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Escafleiko

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il y a 51 minutes, RichterB a dit :

T'a fait comment pour jouer via arcade par Teknoparrot ?

Avec un PC.

J'ai télécharger le jeu.

Arcade c'est le mode de jeu aux quelles je joues, sinon je l'aurais appeler (STORY Mode)

Et avec YouTube j'ai fait une vidéo.

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il y a 27 minutes, RichterB a dit :

T'a fait comment pour jouer via arcade par Teknoparrot ?

 

De quoi ? TeknoCarrot ? le jeu est dispo sur PC et Play.

 

Révélation

 

 

To run the game add Koihime/Game/koi_systemAPM to teknoparrot.

 

Set Your Buttons, Add the Exe to Nvidia Control Panel/3D settings/Programs & Set V-Sync to On.

 

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🔰 Umineko : Golden Fantasia ou Ōgon Musōkyoku car c'est son vrai nom est un jeu de combat développer par 07th Expansion sortie en 2010.

Le gameplay tourne autour d'un système de combat par équipe dans lequel chaque joueur prend le contrôle de deux personnages, dont un seul peut être contrôlé à la fois, mais qui peuvent tous deux être échangés avec l'autre via le système appeler "Touch" du jeu.

Un "touch" ne peut être effectué que lorsque la jauge de contact d'un joueur est pleine (la jauge se remplit d'elle-même sur une période de temps définie).

 

Il existe cinq types de méthodes de "touch", chacune utilisant une quantité différente de la jauge de "touch" :

Le "Touch" normal, qui est utilisé lorsque le joueur n'effectue aucune autre action.

Attack "Touch", qui est effectué lorsque le joueur est en train d'attaquer un adversaire.

Guard "Touch", lorsque le joueur se défend contre un adversaire.

Le damage "Touch", qui ne peut être utilisé que lorsque le joueur est endommagé, et a pour effet supplémentaire de créer une barrière qui éloigne l'adversaire du joueur et Assault "Touch", dans lequel le joueur effectue une attaque précipitée vers un adversaire avant de se retirer.

 

Chaque personnage du jeu a une capacité unique qui peut être utilisée pour améliorer ses propres compétences ou celles de ses partenaires pendant une période de temps limitée.

Il existe deux méthodes d'activation des capacités.

La première méthode consiste à toucher, ce qui active automatiquement la capacité du personnage à être désactivé et affecte le personnage à activer.

L'autre méthode consiste à invoquer le Metaworld, qui non seulement modifie radicalement l'arrière-plan, mais active également les capacités des deux. le personnage du joueur et son partenaire en même temps.

 

Le Metaworld peut être invoqué grâce à l'utilisation de la jauge SP, qui permet également aux personnages d'effectuer des attaques spéciales et puissantes appelées "SP Supers" et "Meta Supers".

Cependant, deux joueurs ne peuvent pas invoquer le Metaworld en même temps le premier joueur à invoquer le Metaworld bénéficiera de ses effets, mais il est possible pour l'autre joueur d'annuler le Metaworld de l'adversaire.

Le Metaworld restera actif jusqu'à ce que la Meta Jauge de l'invocateur soit épuisée.

C'est un jeu agréable a jouer et je vous le conseil si vous le trouver à bas prix.

 

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Perso les jeux de baston que j'ai testé sont: Street Fighter 2 sur super nintendo (j'ai seulement fait l'histoire de Ryu), le premier Tekken, que j'ai jamais fini et auquel je suis longtemps resté bloqué face à certains personnages, et là en ce moment je fais Kof 94, mais je perds tout le temps, même avec les coups spéciaux en tête.

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti en 2018 SNK Heroines est un jeu de combat développé par SNK Playmore et édité par NIS America, dans ce jeu qui est disons un OVNI vidéoludique car ils regroupant les combattantes de l’univers de :

King of Fighters.

Fatal Fury.

Art of Fighting.

Samurai Showdown.

L’objectif affiché est simple mais non dénué d’intérêt car il parvenir a rameuter les joueurs goûtant peu au gameplay technique des jeux de combat en simplifiant la jouabilité à l’extrême.

Saupoudrez le tout de vêtements presque absents et d’un fan service maîtrisé, et vous obtenez SNK Heroines.

 

Je vais d’abord parler de ce qui saute me aux yeux, à savoir une hyper sexualisation poussée de chaque combattante.

Si ce n’est pas une surprise pour des personnages comme Mai Shiranui, habituée à montrer beaucoup de sa personne, c’est un peu plus dérangeant lorsque l’on voit Nakoruru et son visage d’enfant à moitié dévêtue.

Cela reste très manga mais somme toute discutable.

On évite donc le hentaï pour rester simplement dans du dessin destiné à adolescents excités.

Passons sur les cris poussés lors des affrontements, qui vous donneront probablement une bonne réputation auprès de vos voisins.

 

Les 14 personnages se retrouvent donc coincés dans une dimension parallèle par Kukri, présent dans le dernier KOF.

Attiré par la chair de nos délicates protagonistes, il les force à s’affronter en équipes de deux.

Pire, leur colère et leur honte permettent de mettre à exécution son plan de transformer cette réalité alternative pour qu’elle prenne la place de la véritable réalité vraie !

Si vous avez vomi votre dîner en lisant ce scénario, vous n’êtes pas seul. Mais au moins, il y a une histoire. Votre mission sera donc de botter les fesses de Kukri et de vous échapper de votre prison, afin d’éviter une fin sablonneuse.

C’est donc à cette fin que l’on entame le mode histoire du jeu, entrecoupé de très courtes cinématiques pour illustrer.

 

Hormis la nudité partielle et la trame scénaristique, l’une des particularités de SNK Heroines : Tag Team Frenzy est sa jouabilité simplifiée à l’extrême.

Une simple pression sur un bouton équivaut à un mouvement spécial ! Ainsi, un bouton servira de choppe, un autre d’attaque critique ou forte avec même un bouton dédié entièrement à bloquer toutes les attaques. Il n’est pas possible de se baisser et de distribuer des coups bas, sans parler des overheads, totalement absents.

En prime : étoiles, cœurs et petites fleurs jaillissent à chaque beigne distribuée.

Enchaînements automatiques à foison, barre de santé commune aux deux personnages de son équipe et une seule façon de terminer un affrontement :

Un Dream Finish, c’est à dire un super pouvoir lorsque votre adversaire est dans les pommes.

Des objets sont même utilisables en jeu, comme des peaux de banane, pour rajouter à l’absurde.

 

Avec des raccourcis pareils, il ne reste que les mouvements pour vraiment pouvoir se différencier de son concurrent, et lancer un super saut ou un air-dash afin d’enclencher son combo automatique devient rapidement la seule chose technique à faire.

Enfin ça, c’est jusqu’à ce que le joueur découvre la jongle, c’est à dire la possibilité de continuer d’enchaîner l’ennemi en l’air.

Ce dernier point amène un peu de profondeur au jeu, mais ne parvient pas à masquer un sentiment de vide.

Les néophytes trouveront eux un point de départ idéal pour la baston virtuelle, si tant est qu’ils n’aient jamais touché à un jeu de combat de leur vie.

La satisfaction immédiate est garantie et permet de réaliser de jolies enchaînements pour pas un rond.

C’est dans un sens le même esprit que Dragon Ball FighterZ, mais l’on reste malgré tout très loin de son contenu et de sa réalisation graphique.

 

En ce qui concerne les modes, on retrouve l’entraînement, l’apprentissage d’enchaînements, tutoriaux et survie pour se lancer, ainsi qu’une galerie et, surtout un mode en ligne.

Ce dernier est malheureusement déjà à moitié vide, et il faudra probablement rapidement se rabattre sur ses potos pour jouer en local.

SNK Heroines : Tag Team Frenzy n’est pas un mauvais jeu, loin de là.

On pourrait presque le considérer comme un jeu d’initiation pervers à la baston.

Sa bande son décente, ses options de personnalisation nombreuses et ses affrontement simples autant qu’amusants montre qu’un minimum de travail de qualité a été fourni.

Mais ce sentiment dure une heure jusqu’à ce que l’on se heurte à la dure réalité :

Peu de contenu, un gameplay sans réelle profondeur, un mode en ligne vide et un mode histoire vite expédié.

 

SNK Heroines : Tag Team Frenzy est le type de jeu que l’on met 40 minutes dans la console lorsque des amis sont dans le coin, histoire de rire un coup, pour ne le ressortir ensuite que 6 mois plus tard.

Le fan service a malgré tout été assuré et les fans de SNK trouveront de quoi satisfaire leurs pulsions.

 

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Il y a 1 heure, akumasan a dit :

🔰 Sorti en 2018 SNK Heroines est un jeu de combat développé par SNK Playmore et édité par NIS America, dans ce jeu qui est disons un OVNI vidéoludique car ils regroupant les combattantes de l’univers de :

King of Fighters.

Fatal Fury.

Art of Fighting.

Samurai Showdown.

L’objectif affiché est simple mais non dénué d’intérêt car il parvenir a rameuter les joueurs goûtant peu au gameplay technique des jeux de combat en simplifiant la jouabilité à l’extrême.

Saupoudrez le tout de vêtements presque absents et d’un fan service maîtrisé, et vous obtenez SNK Heroines.

 

Je vais d’abord parler de ce qui saute me aux yeux, à savoir une hyper sexualisation poussée de chaque combattante.

Si ce n’est pas une surprise pour des personnages comme Mai Shiranui, habituée à montrer beaucoup de sa personne, c’est un peu plus dérangeant lorsque l’on voit Nakoruru et son visage d’enfant à moitié dévêtue.

Cela reste très manga mais somme toute discutable.

On évite donc le hentaï pour rester simplement dans du dessin destiné à adolescents excités.

Passons sur les cris poussés lors des affrontements, qui vous donneront probablement une bonne réputation auprès de vos voisins.

 

Les 14 personnages se retrouvent donc coincés dans une dimension parallèle par Kukri, présent dans le dernier KOF.

Attiré par la chair de nos délicates protagonistes, il les force à s’affronter en équipes de deux.

Pire, leur colère et leur honte permettent de mettre à exécution son plan de transformer cette réalité alternative pour qu’elle prenne la place de la véritable réalité vraie !

Si vous avez vomi votre dîner en lisant ce scénario, vous n’êtes pas seul. Mais au moins, il y a une histoire. Votre mission sera donc de botter les fesses de Kukri et de vous échapper de votre prison, afin d’éviter une fin sablonneuse.

C’est donc à cette fin que l’on entame le mode histoire du jeu, entrecoupé de très courtes cinématiques pour illustrer.

 

Hormis la nudité partielle et la trame scénaristique, l’une des particularités de SNK Heroines : Tag Team Frenzy est sa jouabilité simplifiée à l’extrême.

Une simple pression sur un bouton équivaut à un mouvement spécial ! Ainsi, un bouton servira de choppe, un autre d’attaque critique ou forte avec même un bouton dédié entièrement à bloquer toutes les attaques. Il n’est pas possible de se baisser et de distribuer des coups bas, sans parler des overheads, totalement absents.

En prime : étoiles, cœurs et petites fleurs jaillissent à chaque beigne distribuée.

Enchaînements automatiques à foison, barre de santé commune aux deux personnages de son équipe et une seule façon de terminer un affrontement :

Un Dream Finish, c’est à dire un super pouvoir lorsque votre adversaire est dans les pommes.

Des objets sont même utilisables en jeu, comme des peaux de banane, pour rajouter à l’absurde.

 

Avec des raccourcis pareils, il ne reste que les mouvements pour vraiment pouvoir se différencier de son concurrent, et lancer un super saut ou un air-dash afin d’enclencher son combo automatique devient rapidement la seule chose technique à faire.

Enfin ça, c’est jusqu’à ce que le joueur découvre la jongle, c’est à dire la possibilité de continuer d’enchaîner l’ennemi en l’air.

Ce dernier point amène un peu de profondeur au jeu, mais ne parvient pas à masquer un sentiment de vide.

Les néophytes trouveront eux un point de départ idéal pour la baston virtuelle, si tant est qu’ils n’aient jamais touché à un jeu de combat de leur vie.

La satisfaction immédiate est garantie et permet de réaliser de jolies enchaînements pour pas un rond.

C’est dans un sens le même esprit que Dragon Ball FighterZ, mais l’on reste malgré tout très loin de son contenu et de sa réalisation graphique.

 

En ce qui concerne les modes, on retrouve l’entraînement, l’apprentissage d’enchaînements, tutoriaux et survie pour se lancer, ainsi qu’une galerie et, surtout un mode en ligne.

Ce dernier est malheureusement déjà à moitié vide, et il faudra probablement rapidement se rabattre sur ses potos pour jouer en local.

SNK Heroines : Tag Team Frenzy n’est pas un mauvais jeu, loin de là.

On pourrait presque le considérer comme un jeu d’initiation pervers à la baston.

Sa bande son décente, ses options de personnalisation nombreuses et ses affrontement simples autant qu’amusants montre qu’un minimum de travail de qualité a été fourni.

Mais ce sentiment dure une heure jusqu’à ce que l’on se heurte à la dure réalité :

Peu de contenu, un gameplay sans réelle profondeur, un mode en ligne vide et un mode histoire vite expédié.

 

SNK Heroines : Tag Team Frenzy est le type de jeu que l’on met 40 minutes dans la console lorsque des amis sont dans le coin, histoire de rire un coup, pour ne le ressortir ensuite que 6 mois plus tard.

Le fan service a malgré tout été assuré et les fans de SNK trouveront de quoi satisfaire leurs pulsions.

 

Attends, mais KOF normalement c'est censé être un crossover entre fatal fury, art of fighting, world heroes etc, non ?

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  • 3 semaines plus tard...

🔰 Bonjour à toutes et à tous mes p'tit Loups.

Je suis en pleine saison d'été en Cuisine et j'ai pas trop de temps a consacrer à ma chaîne YouTube en cette période de rush, mais j'ai pris un moment pour vous présentez ce jeu qu'est "The Rumble Fish 2" sur le système Arcade Atomiswave.

Un choix qui devrait ravir les fans de la licence, mais aussi pour ceux qui la découvrent.

 

Que ce soit dans ses visuels ou dans son histoire totalement sous-exploité, pratique répandue dans le genre à ses débuts, le soft de Dimps n’est pas des plus accueillants pour le nouveau venu.

Pourtant, la cinématique animée servant d’introduction a le mérite de faire son effet.

Néanmoins, il faut l’avouer, l’esthétique n’est clairement pas l’atout de la licence.

Si l’on peut aisément outrepasser des menus peu élégants, difficile de ne pas ressentir le manque de vie criant des arrière-plans 3D constituant les arènes.

 

Les décors peinent à convaincre et à marquer, devenant bien vite oubliables.

Alors que les personnages sont plutôt réussis dans leur modélisation et animations.

Là où ces derniers fautent, du moins pour nous, c’est sur le chara design général que nous trouvons bien trop banal.

Il y a un manque de charisme et de personnalité évident dans le roster, et ce malgré un nombre restreint de combattants.

 

De surcroît, l’univers de The Rumble Fish 2 ne s’impose pas à nous comme ce peut être le cas dans d’autres franchises, que ce soit Guilty Gear, Darkstalkers ou King of Fighters.

Aucunement une main tendue pour se prendre d’affection pour un protagoniste.

 

Ces manquement sont assez dommageables pour nous.

En effet, l’esthétique d’un jeu de combat est importante pour attirer les joueurs et joueuses.

Que ce ne soit qu’une question de goûts et de couleurs, c’est en partie vrai, parce que dans les faits ça joue d’une façon ou d’une autre.

Si, de plus, il est possible d’avoir une histoire construit autour, porté par une narration aussi simple soit elle, les chances de perdurer dans le temps seront plus viables.

 

L’OST pourra au moins distiller quelques morceaux plaisants et pour apporter un peu d’atmosphère. Bien que nos oreilles préfèrent tout de même la partition de "The Rumble Fish" premier du nom.

 

Les défauts soulevés le sont réellement qu’en fonction du public et des attentes de chacun lorsqu’il joue à un jeu de combat.

Si vous n’avez d’yeux que pour le gameplay, Dimps vous réserve de bonnes surprises.

De manière générale, l’apprentissage d’un titre du genre demande de l’investissement en temps.

 

Ce "The Rumble Fish 2" n’échappe pas à la règle, même s’il se montre plus facile à prendre en main que bon nombre de ses influences, et concurrents, 2D.

Maîtriser pleinement le gameplay n’est pas aisé, mais hormis les manipulations à exécuter, rien n’est vraiment bien complexe.

On progresse rapidement, parce que c’est intuitif.

 

Ceci étant dit, si ce n’est pour apprendre la liste de mouvements et les spécificités de votre personnage, le mode entraînement n’aura aucun apprentissage ni exercice à vous enseigner.

Il faut se contenter des indications lors des chargements. Un effort qui aurait été appréciable, d’autant plus pour consolider un contenu solo décevant.

Décevant, parce qu’à part une galerie pour profiter d’illustration à débloquer et un mode survie toujours appréciable, le mode arcade de "The Rumble Fish 2" ne vaut pas grand-chose.

Le choix d’une narration au second plan et d’un univers ne s’installant jamais, rend son entreprise peu engageante.

 

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Il y a 19 heures, akumasan a dit :

🔰 Bonjour à toutes et à tous mes p'tit Loups.

Je suis en pleine saison d'été en Cuisine et j'ai pas trop de temps a consacrer à ma chaîne YouTube en cette période de rush, mais j'ai pris un moment pour vous présentez ce jeu qu'est "The Rumble Fish 2" sur le système Arcade Atomiswave.

Un choix qui devrait ravir les fans de la licence, mais aussi pour ceux qui la découvrent.

 

Que ce soit dans ses visuels ou dans son histoire totalement sous-exploité, pratique répandue dans le genre à ses débuts, le soft de Dimps n’est pas des plus accueillants pour le nouveau venu.

Pourtant, la cinématique animée servant d’introduction a le mérite de faire son effet.

Néanmoins, il faut l’avouer, l’esthétique n’est clairement pas l’atout de la licence.

Si l’on peut aisément outrepasser des menus peu élégants, difficile de ne pas ressentir le manque de vie criant des arrière-plans 3D constituant les arènes.

 

Les décors peinent à convaincre et à marquer, devenant bien vite oubliables.

Alors que les personnages sont plutôt réussis dans leur modélisation et animations.

Là où ces derniers fautent, du moins pour nous, c’est sur le chara design général que nous trouvons bien trop banal.

Il y a un manque de charisme et de personnalité évident dans le roster, et ce malgré un nombre restreint de combattants.

 

De surcroît, l’univers de The Rumble Fish 2 ne s’impose pas à nous comme ce peut être le cas dans d’autres franchises, que ce soit Guilty Gear, Darkstalkers ou King of Fighters.

Aucunement une main tendue pour se prendre d’affection pour un protagoniste.

 

Ces manquement sont assez dommageables pour nous.

En effet, l’esthétique d’un jeu de combat est importante pour attirer les joueurs et joueuses.

Que ce ne soit qu’une question de goûts et de couleurs, c’est en partie vrai, parce que dans les faits ça joue d’une façon ou d’une autre.

Si, de plus, il est possible d’avoir une histoire construit autour, porté par une narration aussi simple soit elle, les chances de perdurer dans le temps seront plus viables.

 

L’OST pourra au moins distiller quelques morceaux plaisants et pour apporter un peu d’atmosphère. Bien que nos oreilles préfèrent tout de même la partition de "The Rumble Fish" premier du nom.

 

Les défauts soulevés le sont réellement qu’en fonction du public et des attentes de chacun lorsqu’il joue à un jeu de combat.

Si vous n’avez d’yeux que pour le gameplay, Dimps vous réserve de bonnes surprises.

De manière générale, l’apprentissage d’un titre du genre demande de l’investissement en temps.

 

Ce "The Rumble Fish 2" n’échappe pas à la règle, même s’il se montre plus facile à prendre en main que bon nombre de ses influences, et concurrents, 2D.

Maîtriser pleinement le gameplay n’est pas aisé, mais hormis les manipulations à exécuter, rien n’est vraiment bien complexe.

On progresse rapidement, parce que c’est intuitif.

 

Ceci étant dit, si ce n’est pour apprendre la liste de mouvements et les spécificités de votre personnage, le mode entraînement n’aura aucun apprentissage ni exercice à vous enseigner.

Il faut se contenter des indications lors des chargements. Un effort qui aurait été appréciable, d’autant plus pour consolider un contenu solo décevant.

Décevant, parce qu’à part une galerie pour profiter d’illustration à débloquer et un mode survie toujours appréciable, le mode arcade de "The Rumble Fish 2" ne vaut pas grand-chose.

Le choix d’une narration au second plan et d’un univers ne s’installant jamais, rend son entreprise peu engageante.

 

Ça a l'air très intéressant, j'ai déjà plein de jeux à faire mais merci 

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Je nous vois bien @Minou33 & @GOONIES en mode Chun Norris & Bruce Plee

 

Mais qu'à cela ne tienne, mon chupito de amor!   Le jeu est dispo sur IGG Games, et j'ai la maison pour moi sur la semaine du 21 août. Donc ça va clairement tataner sa gueule grave 👊👊👊👊👊

 

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J'ai fini Double Dragon Gaiden: Rise of The Dragons avec la bad ending en 1H17.

Donc je refais le jeu pour avoir la good ending.

Je ferais un petit montage pour avoir les deux fins en une seule vidéo.

Je posterais la vidéo cette semaine.

⚠️SPOIL⚠️

Quelle finale d’enfoiré !!!

 

 

Révélation

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  • 4 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Grand fan de Punch Out et surtout de Super Punch Out (le tip pour jouer à 2 est qq part sur le forum d’ailleurs ...)

 

Aujourd’hui dans les bacs ... (expression super Old School) sur toutes les machines yc la Switch @Gaga46 😉 

 

Attention ça envoie du bois épileptique s’abstenir

 

Are Yyyooouuu Reeaaadyyy to Ruuuuummbblllleeee ?

 

https://www.indiemag.fr/articles/thunder-ray-boxe-facon-punch-out-lespace

 

 

 

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Le 14/09/2023 à 16:58, GOONIES a dit :

Grand fan de Punch Out et surtout de Super Punch Out (le tip pour jouer à 2 est qq part sur le forum d’ailleurs ...)

Aujourd’hui dans les bacs ... (expression super Old School) sur toutes les machines yc la Switch @Gaga46 😉

Attention ça envoie du bois épileptique s’abstenir

Are Yyyooouuu Reeaaadyyy to Ruuuuummbblllleeee ?

https://www.indiemag.fr/articles/thunder-ray-boxe-facon-punch-out-lespace

chai pas quoi en penser, faut que je test! déjà que j'ai pratiquement joué aux jeux du genre... Je n'ai joué qu'à la référence de punch out dans super meat boy forever... en tout cas, pourquoi pas... faut voir le système de game over.

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Ce thunder Ray a l'air bien, très graphique, mais ils sont un peu bizarre les personnages.

 

En jeux de combat j'en est vraiment fait beaucoup, j'ai fini tout les Tekken plusieurs fois, j'ai fini tout les Soul Calibur, J'ai du jouer a tout les Street Fighter sauf le dernier, les Guilty Gear, tous les Mortal Kombat sauf le 4, les jeux Dragon Ball Z. Les jeux Injustice etc.

Apres il y a beaucoup de série que j'ai jouer mais j'en suis pas fan. Alors j'ai pas les nom en tête, la série de jeux avec un type en jean avec une casquette rouge et un blouson rouge, il y a un type en bleu et blanc qui se bat avec les pied etc bah j'ai du en faire 6 ou 7, mais j'ai pas accrocher. Dead or oh live, quand j'était petit j'aimais bien, mais depuis Tekken j'aime plus trop, bah quand de meilleur jeux sort, les ancien au mécanique moins bonne devienne douteux. Comme Street Fighter 2, quand j'était petit je le trouvais super, a l'époque ou je jouer comme seul jeux de combat Tekken, mais maintenant je le trouve plutôt mal fait est très vieux, bizarre que un jour je les trouvais bien fait.

 

Au niveau de la force du challenger, Tekken et Mortal Kombat je m'en sort très bien, Guilty Gear ça va mais pas contre tous le monde, Soul Calibur j'était très fort quand je les avais enchaîner, mais depuis que j'ai arrêter de beaucoup y jouer mon niveau a beaucoup descendu, Street Fighter j'aime bien y jouer par contre je me fait battre par les premiers venu, ils restons trop sur ce jeux, ils jouons au millimètre prêt, comme les champions du monde sur leur vidéos, ils se battent pareil, si quelqu'un se demande qui skouat encore Street Fighter 2 en ligne sur ps4.

 

Bref voila.

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Il y a 1 heure, Zaito a dit :

Ce thunder Ray a l'air bien, très graphique, mais ils sont un peu bizarre les personnages.

 

En jeux de combat j'en est vraiment fait beaucoup, j'ai fini tout les Tekken plusieurs fois, j'ai fini tout les Soul Calibur, J'ai du jouer a tout les Street Fighter sauf le dernier, les Guilty Gear, tous les Mortal Kombat sauf le 4, les jeux Dragon Ball Z. Les jeux Injustice etc.

Apres il y a beaucoup de série que j'ai jouer mais j'en suis pas fan. Alors j'ai pas les nom en tête, la série de jeux avec un type en jean avec une casquette rouge et un blouson rouge, il y a un type en bleu et blanc qui se bat avec les pied etc bah j'ai du en faire 6 ou 7, mais j'ai pas accrocher. Dead or oh live, quand j'était petit j'aimais bien, mais depuis Tekken j'aime plus trop, bah quand de meilleur jeux sort, les ancien au mécanique moins bonne devienne douteux. Comme Street Fighter 2, quand j'était petit je le trouvais super, a l'époque ou je jouer comme seul jeux de combat Tekken, mais maintenant je le trouve plutôt mal fait est très vieux, bizarre que un jour je les trouvais bien fait.

 

Au niveau de la force du challenger, Tekken et Mortal Kombat je m'en sort très bien, Guilty Gear ça va mais pas contre tous le monde, Soul Calibur j'était très fort quand je les avais enchaîner, mais depuis que j'ai arrêter de beaucoup y jouer mon niveau a beaucoup descendu, Street Fighter j'aime bien y jouer par contre je me fait battre par les premiers venu, ils restons trop sur ce jeux, ils jouons au millimètre prêt, comme les champions du monde sur leur vidéos, ils se battent pareil, si quelqu'un se demande qui skouat encore Street Fighter 2 en ligne sur ps4.

 

Bref voila.

J'ai beaucoup aimer le : "un type en jean avec une casquette rouge et un blouson rouge"

C'est Terry Bogard de Fatal Fury...

 

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