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Escafleiko

Messages recommandés

il y a une heure, akumasan a dit :

Fan de jolie filles et de jeux de baston, il est évident que je ne pouvais pas passer à coté de ce soft !
De jolies jeunes filles bien galbées, adeptes du Moe, et qui se crêpent le chignon, ça attire forcément l’œil et ça agite surtout notre bon gros stick.
L'histoire d'Arcana Hearts 3 : Love Max !!!!! n'est pas anodine.

Ah ben voilà mon double, je suis démasqué 😉 !

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il y a une heure, akumasan a dit :

Fan de jolie filles et de jeux de baston, il est évident que je ne pouvais pas passer à coté de ce soft !

 

 

Oooooooooooh doucement Bijou! T'as vu la tronche du roaster?????????? Elles sont toutes mineures!

 

Un jeu directement destinés aux pervers japonais, qui ont un véritable problème de société avec l'érotisation des écolières et compagnie....

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Il y a 2 heures, Minou33 a dit :

Un jeu directement destinés aux pervers japonais, qui ont un véritable problème de société avec l'érotisation des écolières et compagnie....

Tu y va un peu fort là !

Ce sont des sprites dans un jeu vidéo.

On est pas dans Lolita de Vladimir Nabokov ni dans un Hentail là !

 

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il y a 30 minutes, akumasan a dit :

Tu y va un peu fort là !

Ce sont des sprites dans un jeu vidéo.

On est pas dans Lolita de Vladimir Nabokov ni dans un Hentail là !

 

 

Pardon mais dans Street Fighter ou Tekken, on a affaire à des adultes et ça choque pas

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il y a 16 minutes, Minou33 a dit :

Pardon mais dans Street Fighter ou Tekken, on a affaire à des adultes et ça choque pas

 

C'est pas forcément un bon exemple lol :

 

Révélation

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Par contre, c'est vrai que de tout le texte copié-collé, décider de rajouter cette phrase-là en particulier, c'est un poil déplacé. Enfin, c'est un jeu japonais, on va pas te jeter la pierre, Aku. x3

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il y a 4 minutes, ChatNoirRetro a dit :

Enfin, c'est un jeu japonais, on va pas te jeter la pierre

 

Tout à fait d'accord, ça reste un jeu et on oblige personne à y jouer!

 

Même type de débat à l'époque avec le film Tueurs-Nés (Natural Born Killers); on oblige personne à le regarder!

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Il y a 4 heures, Minou33 a dit :

Oooooooooooh doucement Bijou! T'as vu la tronche du roaster?????????? Elles sont toutes mineures!

image.png.b1cb57d2ef9230ab7d12c89a05e5e468.png
Maillot de bain scolaire ET sac d'école de primaire... ah oui, y a clairement le combo fatal.
Sinon, les autres, je ne sais pas si c'est si pervers et la taille ne fait pas l'âge car les persos doivent souvent faire la même taille pour que ce soit la même hitbox.

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Il y a 2 heures, Minou33 a dit :

Pardon mais dans Street Fighter ou Tekken, on a affaire à des adultes et ça choque pas

Pour moi c'est un jeu de Versus Fighting avec un roster uniquement composé de Magical Girl (mahō shōjo)

Ça va pas plus loin que ça. ^^ 

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il y a 4 minutes, akumasan a dit :

Ça va pas plus loin que ça.

 

Tout à fait amigo, y'a rien qui ne justifie d'aller + loin, aucun interêt. Sinon, histoire de déconner à nouveau , on en parle d'Aya Nakamura???????   Pardon, je sors....😜

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🔰 Sorti en 1992 sur le système Arcade M-92 plus connue pour faire tourner des Shoot ‘em Up et autres Run 'n Gun, notamment les R-Type, les Gun Force ou bien encore In the Hunt, la société IREM nous offre au début des années 90 ce Beat ‘em All, intéressant sur quelques points.
Faites craquer les jointures, y’a de la tarte à la phalange au menu.

 

Dans un futur glauque, en 2042, le Dr Clayborn et ses sbires projettent de larguer une bombe nucléaire sur la ville de New York que protège le commissaire Gordon (pas celui de Batman).
Celui-ci demande d’urgence à trois flics sous couverture de l’aider à appréhender le savant fou.

Comme dans la plupart des Beat ‘em All, vous pouvez jouer à trois en choisissant votre personnage parmi les trois disponibles :


• Claude le plus équilibré.
• Bubba le colosse mou du genou.
• Rosa la rapide sans muscles hypertrophiés, mais avec une sacrée paie boobs.

 

Le jeu se découpe ensuite en cinq niveaux chronométrés où vous devrez vaincre des paquets d’ennemis avant d’affronter un boss.
Vous commencez sur une plage garnie de loubards de tous poils, puis visitez la ville où vous attendent d’agaçante femmes qui sautent à cloche-patte.
Ensuite, vous vous enfoncez dans les sous-sols des hommes-taupes qui jaillissent du sol, puis traversez les ruelles de nuit en prenant garde aux motards.
Le dernier niveau, la base aérienne des méchants pas beaux, vous demandera d’affronter tous les ennemis que vous avez déjà rencontrés.

 

Les trois combattants se contrôlent de la même façon : vous disposez d’un bouton pour sauter, un pour frapper.
Notez que vous pouvez attraper votre adversaire uniquement en l’approchant.
En appuyant sur les deux boutons à la fois, vous réalisez une attaque spéciale qui, comme toujours, consomme de la vie.
Enfin, il est possible de dasher en appuyant deux fois rapidement vers l’avant.
Le dash peut blesser les adversaires, mais le mieux est de le conclure par un coup, voire par une attaque spéciale.

 

Vous pouvez vous servir d’à peu près tout et n’importe quoi pour assaillir vos adversaires : barils, caisses, torches, mais aussi motos ou piliers/poutrelles qu’il vous faudra au préalable extraire du sol.
Certains ennemis transportent également des caisses de grenades.
Les frapper fait tomber la caisse, pour un effet dévastateur et immédiat.

 

D’autres criminels transportent de la nourriture qui restaurera votre énergie.
Vous pouvez également la récupérer au moyen d’animaux comme des cochons, escargots, poules, etc, qui se promènent à l’écran une fois que vous les avez libérés.
La plupart du temps, ils sont planqués sous les piliers et sont libérés lorsque vous retirez lesdits piliers du sol.

 

Les graphismes sont de grande qualité. Sans que le design n’y ressemble, ils font pourtant indéniablement penser à In the Hunt ou Metal Slug, deux œuvres du studio Nazca à l’origine de ce titre.
Bref, les décors fourmillent de détails, les sprites sont très fins et les couleurs ternes collent à l’ambiance.

 

Les déplacements et coups sont bien décomposés, l’utilisation des objets donne lieu à des effets sympathiques, et les ennemis ont des mimiques amusantes lorsqu’ils meurent par exemple le quatrième boss.

 

Les musiques sont rythmées et collent à l’action, même si on aurait sans doute préféré des thèmes un peu plus métalliques pour bien faire.
Les bruitages sont de qualité, par contre les voix digits sont exécrables.

 

Le gameplay laisse la part belle au ‘bourrinisme’ le plus extrême et à la surenchère de violence.
Il faut que ça saigne, et tout a été fait pour.
Les coups s’enchaînent avec efficacité, les spéciaux consomment très peu d’énergie, que l’on peut regagner un peu partout d’ailleurs, et les objets à jeter sont hallucinants.

 

Seul bémol vite gênant, l’écran ne scrolle pas assez, si bien que certains ennemis restent inaccessibles tant qu’ils ne se décident pas à avancer.
Pas facile à expliquer, disons qu’on est obligé d’attendre que l’ennemi soit au milieu de l’écran pour le cogner, à l’inverse de nombre de Beat ‘em All où on peut frapper sur les bords de l’écran.
Oh puis merde, jouez et vous verrez bien de quoi je parle.

 

Toutefois, ce n’est pas la seule difficulté, le challenge se révélant assez important.
Ainsi, si l’on traverse les deux premiers niveaux sans trop d’encombres, les suivants sont de plus en plus délicats.

 

Cependant, cinq niveaux, même assez longs et bien fournis, cela reste assez maigre.
D’autant que l’on prend plaisir à jouer des poings dans ce jeu.
Il faut bien l’avouer, un ou deux niveaux supplémentaires n’auraient pas été de refus.

 

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🔰 Sorti en 1998, DARAKU TENSHI : The Fallen Angels fut dévloppé par Steel Hearts pour le systeme Arcade SH-2 de Psikyo.
Méconnu car uniquement sorti en arcade, DARAKU TENSHI : The Fallen Angels gagne aujourd'hui à être essayé par les amateurs de versus fighting, car ce jeu atypique rivalisant sur bien des points avec les King of Fighters sortis à la même époque.
En fait, on est pas passé loin du chef d'œuvre, vraiment !
Même si le jeu souffre de quelques problèmes de finition, que je vais essayer de détricoter tout ça points par points.

 

Le soft se joue à 4 boutons, somme toute classique, avec arrière pour la garde, des quarts de cercles, on trouve assez vite ses repères.
Certains se plaignent d'une certaine "rigidité", pas plus qu'un King of Fighters, en fait.
Le jeu se démarque cependant par quelques mécaniques.
Beaucoup moins axé sur les boules et autres tours de magie que ses concurrents, on est vite appelés à jouer au corps à corps, avec de nombreuses possibilités pour casser la garde adverse, une choppe, bien entendu, mais aussi un pourcentage de guard break en plus des coups bas, moyens, overhead.
La possibilité d'esquiver avec LK+LP et d'envoyer une riposte en décalage, des propriétés de cancel sur les coups light et donc de combos, que l'on regrettera à un certain niveau de jeu de ne pouvoir réellement arrêter, d'autant que le jeu implémente des coups OTG (on the ground).
La barre de vie s'écoule donc assez vite.

 

On notera un système plutôt original de switch, pied droit pied gauche, permettant d'envoyer des coups différents selon la position du personnage, mécanique que l'on retrouve sur certains jeux de combats en 3D, dont DARAKU TENSHI : The Fallen Angels s'inspire.
On a bien entendu deux super par perso, que l'on peut charger avec LK+LP et envoyer à souhait une fois la barre de vie dans le rouge, une mécanique de come back peu subtile, mais efficace.

 

Difficile de critiquer efficacement un jeu si peu éprouvé et de savoir sur la durée si l'équilibrage entre les personnages est décent, mais le jeu est indubitablement praticable et plaisant, bénéficiant d'assez de profondeur pour satisfaire les joueurs acharnés, comme les néophytes.

 

Certains discuteront, et ils auront raison à propos de l'aspect 3D au format JPEG des stages, à la mode à l'époque et pas toujours du meilleur effet, jurant avec les personnages, le décalage évident entre les sprites de ceux-ci qui sont bons et les portraits franchement de mauvais goût qui les desservent.
Le sound design est peu soigné et des musiques du jeu, qui il faut le dire, peuvent rester dans la tête, mais pour les mauvaises raisons.
C'est mal terminé, à part donner l'impression au joueur d'être hors des sentiers battus, ça nuit à un titre qui par ailleurs frise l’excellence.

 

Je suis obligé de terminer cette critique par une note positive, car DARAKU TENSHI : The Fallen Angels la vaut largement.
Comment dire, ça change des clones NEO-GEO insipides, souvent pour le meilleur, malgré les évidentes faiblesses de ce jeu de baston (faiblesses qui à l'usage, sont supportables) qui devrait être non pas méconnu, mais un cas d'école.

 

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🔰 Super Gem Fighter Mini Mix ou Pocket Fighter au Japon est un jeu de combat développé et édité par Capcom en septembre 1997 sur le Capcom Play System Ⅱ.
Sorti juste un an après Super Puzzle Fighter Ⅱ Turbo, c'est au tour de Super Gem Fighter Mini Mix de passer sur le grill.
Le soft reprend les principaux personnages de deux grandes sagas de Capcom à savoir Street Fighter et Darkstalkers.
Le roster est presque le même que celui vu dans Super Puzzle Fighter Ⅱ Turbo.
Dans Super Gem Fighter Mini Mix, exit Donovan remplacé par Ibuki et Tessa ainsi que Zangief font maintenant parti du roster.
Les protagonistes sont dessinés dans le style SD (Super Deformed), en fait, là aussi, les sprites des personnages sont identique à ceux de Super Puzzle Fighter Ⅱ Turbo.

 

Les commandes ont également été simplifiées pour l'occasion, puisque l'on ne vous propose qu'un seul bouton pour les poings, un pour les pieds et un pour les furies.
A noter que si vous l'utilisez sans faire de manipulation spécifique à une des furies, vous sortez un coup casse-garde long à venir, mais bien pratique.
En revanche, si les coups spéciaux originaux ont été relookés, ils sont néanmoins tous présents.

 

Le système de jeu de Super Gem Fighter est légèrement différent d'un Street Fighter standard : les gemmes rouges, bleues et jaunes dont il est question servent à alimenter 3 jauges distinctes (de couleurs identiques, évidemment), ces jauges servant à alimenter un super combo particulier.

 

Par exemple, une fois sa jauge bleue remplie, Ryu pourra lancer une Shinku-Hadouken.

 

Les contrôles étant simplifiés exit les trois boutons de poing et ceux de pied qui devienne un bouton poing, un bouton pied, un bouton spécial et un bouton taunt (provocation).
Les coups poing/pied peuvent s'enchaîner, au contraire des combos.
Le spécial induit de maintenir le bouton enfoncé afin que l'adversaire tombe à portée au moment de lancer le coup.

 

Les coups induisent souvent une touche humoristique, les personnages prenant parfois des costumes ou des animations amusantes, notamment Chun-li frappant l'adversaire avec une poêle, ou encore Dan se transformant en Elvis et pousse la chansonnette.

 

En dehors de ces particularités, le principe du jeu reste standard :
8 combats, contre 7 adversaires aléatoires puis un adversaire final précis selon le personnage choisi au départ.
Ainsi, Dan cherche à vaincre Sakura pour la convaincre de devenir sa première apprentie, la succube Morrigan cherche à prouver qu'elle est plus belle que Chun-Li, qui en retour cherche à capturer Felicia la femme-chat.

 

Chaque super coup est diffèrent pour chaque personnage, et ils sont tous aussi ridicules les uns que les autres pour mon plus grand plaisir.
Même si tous les persos de Street Fighters ne sont pas disponibles pour jouer, mais ils sont tous présents dans le jeu, dans les décors, on y retrouvera entre autre les asiatiques Feilong et Dhalsim ainsi que Birdie en train de manger un bol de riz.
Sur la jolie plage touristique, on y verra Dhalsim en train de nettoyer son éléphant et Blanca en train d’alimenter la hutte en électricité.
Mais le meilleur, c’est quand même Bison faisant de la luge !

 

NB : Deux personnages sont cachés, Il s’agit d’Akuma et de Dan.

 

Capcom a su créer un nouveau jeu à partir d'un autre jeu a succès mais juste pour le fun, sans pour autant qu’il soit dénué d’intérêt, cette amusante version de Street Fighter se révèle même prenante et vraiment très agréable à jouer.

 

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il y a 3 minutes, GOONIES a dit :

Quand les Gros Glands reviennent !!!                  ils frappent forts les bougres ...

 

C'est vrai que c'est fort d'adapter "Street Fighter" sur CPC 😋 je ne sais d'ailleurs plus où ils en sont, le jeu est-il terminé et disponible ? je suppose qu'il y aura des nouvelles prochainement dans le mag Mo5 😁.

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🔰 Sorti en 2022, Trek to Yomi est un jeu de samouraï qui rend hommage au réalisateur de cinéma japonais traditionnel d'Akira Kurosawa. (Les Sept Samouraïs, film de 1954 pour ne citer que lui.)
Un hommage qui se ressent dès le lancement du jeu, avec un menu particulièrement stylé, mais aussi au travers de son esthétique, le jeu proposant des graphismes en noir et blanc, avec un grain très singulier et un format très cinématographique.
Le jeu a être édité par Devolver Digital, l'éditeur américain qu'on ne présente plus, et développé par Flying Wild Hog, le studio polonais à l'origine des récents Shadow Warrior, c'est bel et bien à un voyage au Japon que Trek to Yomi nous convie.

Et le dépaysement n'est pas que géographique, puisque l'aventure nous ramène à la fois à l'époque des samouraïs sur le fond et à celle des films de Akira Kurosawa sur la forme, les deux contextes allant particulièrement bien ensemble comme chacun le sait.

 

La première chose qui saute aux yeux en lançant Trek To Yomi, c’est sa capacité à nous mettre directement dans l’ambiance avec ce côté cinématographique japonais des années 50/60 et il en va de même pour l’histoire, qui nous plonge dans la peau du jeune Hiroki, dont le village va se faire attaquer par des bandits et accessoirement maître Sanjuro va se faire tuer des mains de Kagerou.

Viens ensuite une ellipse de plusieurs années où Hiroki, qui s’est juré de protéger la fille de son maître nommée Aiko ainsi que le village, va devoir faire face à une nouvelle invasion sanglante d’un maître de guerre.

 

Qu’on se le dise, on se retrouve en face d’une narration à la manière des films de Samouraï des années 50 et 60.
Il faut bien l’avouer, l’histoire reste assez prenante et même surprenante avec un côté purement surnaturel qui donne un aspect très rafraîchissant et excitant à la trame en général.
Cela donne aussi l’occasion d’y voir le côté assez cruel des bandits du Japon féodal et les pillages, qui se soldent par un bain de sang.
Soit dit en passant, force est d’admettre que la mise en scène est quant à elle une belle réussite, et arrive à bien rythmer l’action.

 

l'intégralité du jeu se déroule dans un noir et blanc très travaillé.
Des filtres granuleux, des tremblements et des effets de craquements de pellicule viennent rajouter un côté vieilli et sale à l'image, afin de plaire aux plus cinéphiles d'entre nous.
Il en va de même pour la mise en scène, qui multiplie les cadrages audacieux, les différentes valeurs de plans et les effets de profondeur de champ.
Qu'il s'agisse des scènes mettant en vedette le feu, la lune ou les parois en papier washi, les jeux d'ombre et de lumière sont absolument magnifiques.
Tous les plans larges valent vraiment le détour et s'avèrent à la hauteur des scènes de cinéma les plus réussies.

 

Quant au scénario, il reprend également à son compte les codes des films de samouraïs d'antan puisqu'il se base sur une histoire de vengeance.
Après avoir vu son maître se faire assassiner par des bandits dans son enfance, le héros Hiroki va à nouveau affronter les gredins une fois arrivés à l'âge adulte.
L'aventure prend tout de même un tournant surnaturel au bout d'un moment, histoire de ne pas trop tourner en rond.
Inutile de hurler au spoiler, puisque le titre même du jeu y fait référence, Yomi désignant le monde des morts dans la mythologie Shinto.

 

Le système de combat se montre quant à lui suffisamment riche pour plaire aux amateurs de technicité, et suffisamment permissif pour rester accessible.
En effet, les combats aux sabres sont somptueux, répondent bien et restent en parfaite osmose avec les armes à utiliser que l’on gagne au cours de notre progression comme les Bô-Shuriken, l’arc et l’Ozutzu.
Les combats au Katana son à base de coups rapide ou fort viennent se greffer différents combos, qui permettent entre autres d'aborder une attaque par le haut ou le bas, d'effectuer des volte-faces dévastateurs ou encore des parades de permutation.
Roulade d'esquive, blocage prolongé et parade instantanée sont également de la partie.
Facile à placer, le blocage consomme beaucoup d'endurance et finit donc par nous laisser sans défense, tandis que parer pile au moment où une lueur apparaît sur l'arme de l'ennemi permet au contraire de placer des contre-attaques, et même de regagner de la santé.
Des sanctuaires disséminés dans les décors servent quant à eux de points de sauvegarde et redonnent pleine santé et endurance.

 

Trek to Yomi est pratiquement aussi bon que Ghost of Tsushima.
Le titre se révèle être un bon jeu d’action en 2.5D de par ses combats relativement viscéraux, un peu punitifs et jouissifs, en passant par une variété intéressante dans la jouabilité.
Le tout en étant doté d’une bande-son et d’une esthétique singulière qui restent constantes en qualité.
En somme, et en dépit de ses nombreuses qualités dont sa difficulté progressive voire sa progression en elle-même, Trek To Yomi est sans problème un très bon jeu, et pourrait presque tutoyer l’excellence.

 

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il y a 4 minutes, CopyCat a dit :

Il est vraiment beau ce jeu.😍

Je ne connaissais pas du tout.😮

Merci pour la découverte Aku.😘

C'est un de mes beat 'em all (récent) préférer, c'est pour moi "The Master Class".

Ma vidéo est beaucoup moins belle que le jeu l'est en réalité.

J'ai du passais en mode performance (élevé) car en mode Qualité (ultra) OBS ramé ! Chez moi j'y joue en ultra et le jeu est super beau en ultra surtout les effets de lumières. ^^

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🔰 Evil Ryu, si ce nom ne parle pas à tout le monde, il s’agit en réalité de la personnification du Satsui un esprit enragé né de l’obsession de l’humanité pour le pouvoir.
Ryu ayant réussi à vaincre le Satsui no Hado dans la trame principal, il se transformera donc en Evil Ryu dans cet épisode, ainsi corrompu par le Satsui no Hado, Ryu suit la voie du mal.
Il erre à la recherche de combats à mort contre des adversaires à sa mesure.
Son style et son apparence physique ont changé du tout au tout, et il ressemble désormais beaucoup plus à Akuma, dont le vrai nom est Gouki.
Evil Ryu a déjà fait son apparition dans plusieurs jeux estampillés Capcom.
Possédé par un mauvais esprit, Ryu se voit attribué de nombreuses nouvelles compétences, mélangent ceux de Ryu et ceux d'Akuma.

 

Sorti en 2014 Street Fighter Ⅳ revient dans cette édition Ultra avec de nouveaux réglages dans le gameplay.

Le calibrage des personnages a ainsi été le point central du développement du titre avec, entre autres, si on se fie aux chiffres fournis, plus de 40% de modifications liées aux timings, défense, dégâts et vitesses de réaction, pour chaque personnage, permettant d’avoir une expérience promise comme optimale en local comme en ligne.

 

Concrètement, et même si ce recalibrage est le bienvenu en online, il n’en reste pas moins relatif puisque chaque joueur se moquera plus ou moins de cette refonte, le personnage fétiche restant finalement relativement identique par rapport aux précédents opus.

Et si vous regrettez de ne plus pouvoir faire de l‘anti-jeu comme vous le faisiez avant, rassurez-vous, vous pourrez également utiliser chaque personnage dans ses versions précédentes de Street Fighter Ⅳ.

 

Restent alors les quelques nouveautés proposé par cette mouture Ultra, à commencer par de nouvelles options de gameplay comme le Red Focus ou la possibilité de vous lever quand bon vous semble, une fois mis au sol. Vous pouvez également désormais choisir le type d’Ultra Combo nommé W, qui n’est autre qu’un moyen de pouvoir utiliser, dans un même combat, l’Ultra 1 et 2 de chaque personnage comme bon vous semble sous réserve que la jauge le permette, sans que votre adversaire ne puisse savoir laquelle il va se prendre, rendant les tentatives de retournements de situation moins prévisibles pour l’adversaire.

Une bonne chose, mais qui se fera au sacrifice d’une partie des dégâts que vous auriez infligés si vous aviez choisi préalablement un seul Ultra.

 

Malgré ces ajouts plus ou moins bienvenus et en plus de tous les costumes disponibles en DLC et inclus de base dans cette édition, les vraies stars de ce Ultra Street Fighter Ⅳ, ce sont les 5 petits “nouveaux” qui ont été rajoutés au roster de personnages.

Enfin “nouveau” est un bien grand mot, puisque ce sont quasiment tous des personnages récupérés çà et là dans la saga des Street Fighter.

 

C'est ainsi que, Poison, Hugo, Rolento, initialement introduits dans la série Final Fight, ainsi qu’Elena venant tout droit de Street Fighter Ⅲ, viendront baffer les 39 persos déjà présents.

Se joindra également Decapree, un nouveau personnage jouable aux traits proches de ceux de Cammy.

Mais ne vous leurrez pas, Decapree combat bien différemment et il serait regrettable de la sous estimer.

Tout comme il serait regrettable de cracher sur ces 5 personnages qui se manient de manière agréable et apportent quelques styles intéressants.

 

Comme pour chaque nouvelle édition, une seule et même question finit par se poser à nouveau : Est-ce que cela vaut le coup de l’acheter ?

Il n’y a malheureusement pas une seule réponse à cette question, dépendant des versions que vous possédez, celles que vous n’avez pas, mais aussi de vos goûts en matière de personnages.

Car oui, l’essence Street Fighter Ⅳ est toujours là.

 

Mais le jeu commence à accuser le coup de l’âge avec son moteur, et même s’il a été peaufiné pour continuer de proposer du spectacle pour cette édition Ultra, il ne pourra cacher indéfiniment sa désuétude avec certaines textures vieillottes.

Il reste cependant toujours aussi efficace dans les animations et le dynamisme des combats.

De même, nous en sommes à 4 éditions console du jeu, et les changements ne se font que petit à petit pour un prix de revient assez significatif au total.

 

Et bien que cette version Ultra apporte beaucoup plus que ne l’a fait Super Street Fighter Ⅳ Arcade Edition à son époque ; certains calibrages pourront ne pas plaire.

Le contenu solo du jeu est toujours aussi ridicule puisque tout comme les personnages de Super Street Fighter Ⅳ Arcade Edition, les nouveaux venus n’ont toujours pas droit à leurs défis, qui rappelons-le sont le meilleur moyen de s’entraîner et maîtriser un personnage donné.

 

Ultra Street Fighter Ⅳ est un “add-on” pas vraiment indispensable pour ceux qui possèdent l’édition précédente, tellement les rajouts ne sont pas assez significatifs.

Restent alors les 5 nouveaux personnages et de très bons personnages de plus, qui pourront redonner l’espace de quelques heures, ou même quelques dizaines d’heures, de l’intérêt à un titre qui souffre de la surexploitation comme Capcom sait trop bien le faire.

Ce sera donc à chacun de jauger l’intérêt d’investir dans cet opus vis à vis de ce qui sera susceptible de l’intéresser que ce soit pour le calibrage du gameplay, les nouveaux modes en Online, ou encore les nouveaux venus.

Mais si vous voulez entrer dans l’univers de Street Fighter Ⅳ et que vous n’avez pas encore sauté le pas, ce Ultra Street Fighter Ⅳ est alors le titre essentiel pour votre ludothèque tant il arrive toujours avec brio à regrouper accessibilité avec technicité d’un jeu de combat.

 

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