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Escafleiko

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Il y a 2 heures, GOONIES a dit :

2 Légendes s affrontent  ! 

 

Are you readdddyyyy toooo Rummmmbbblleee ? 

 

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Oh !!!

Balrog Vs. Tyson ^^

Je suis pas voyant mais j'ai une petite idée de l'issu de ce combat. ^^

Il y en à un des deux qui va repartir avec une oreille en moins. 🤣

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🔰 Sorti en 2009, Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans est un RPG au tour par tour des plus classiques dans la pure veine des premiers Final Fantasy ou Dragon Quest, en plus d’être exclusif à la Nintendo DS, berceau de pas mal de jeux de rôles.
Le développement de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fût confié à Monolith Soft, studio fondé par Tetsuya Takahashi, connu pour avoir travaillé sur les graphismes des premiers Final Fantasy sur Super Nintendo comme ceux de Chrono Trigger.

 

Au vu de l’expertise du studio et sachant que cette adaptation du bébé de Toriyama est une commande, il n’est pas si surprenant d’avoir affaire à un RPG old school.
Puis, le choix du support DS permettait de se contenter de la 2D, rapprochant le jeu des standards qui régnaient à l’époque sur Super Nintendo.
Le récit de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans va débuter avec l’arc du 23ème Tenkaichi Budokai pour se terminer sur la confrontation entre Goku et Vegeta durant l’arc Saiyan.
Bien que l’histoire du manga soit respectée, le soft se permet quelques libertés pour le bien du rythme, mais aussi afin de gonfler un minimum la durée de vie pour tenir dans la moyenne du genre qui tourne entre 20 et 30 heures.

 

Un RPG en 2D classique, qui reprend logiquement la structure du genre, avec une map sur laquelle se trouve divers lieux emblématiques de la franchise où il est possible de se balader.
Que ce soit dans une ville ou dans des zones plus dangereuses où se trouveront les ennemis.
En outre, certains niveaux auront des pseudos obstacles qu’il faudra détruire avec un kikoha pour avancer.
Rien de bien folichon, alors que cela aurait pu amener des situations plus intéressantes, sachant que parfois, ce seront des éléments de glace, feu ou poison qui pourront vous obstruer la route.
Des capsules, que l’on peut collecter, vont alors servir à passer ces dits obstacles plus aisément ou être utilisées comme dragon radar, etc.

 

Le jeu ne sortait pas vraiment du lot comparé aux pléthores de RPG existant sur Nintendo DS.

Pourtant, rien qu’avec l’univers de Dragon Ball, sa beauté et son système de combat qui retranscrit plutôt bien l’essence des affrontements, le jeu possède toujours ce petit truc en plus.
De même que l’approche en équipe a du sens ainsi que l’utilisation intelligente du lore, dans les quêtes comme avec le bestiaire qui va piocher dans pas mal de spécimens, populaires ou non. Preuve d’un amour sincère des développeurs envers la licence.
De plus, le fait que le récit nous fasse jouer plusieurs personnages aide à renouveler l’aventure.

 

Mais là où le jeu s’en sort le mieux c’est dans les affrontements.
S’il est possible d’améliorer ses statistiques grâce à l’expérience gagnée ou de débloquer et augmenter des capacités, une des particularités du titre est que certaines techniques sont cachées.
Le jeu propose en effet un système de combinaisons à découvrir soi-même. En exécutant les bonnes techniques avec les bons personnages, et ce durant le même tour, vous pouvez déverrouiller des enchaînements spéciaux qui formeront de puissants combos.
Ces derniers vous gratifient d’animations réussies qui rendent fièrement hommage à l’œuvre. Généralement, les affiliations vont découler d’une association de personnages et de techniques logiques.
Enfin, plus le combat sera long et plus vos combattants seront déchaînés.

 

Des mécaniques qui profitent du fait que nous pouvons contrôler jusqu’à trois héros sur le terrain, avec la possibilité de switcher avec les autres si notre team complète en inclus plus.
Cela rend les affrontements grisants et permet de profiter de la Z Team.
Notez qu’il est aussi possible de réduire les dégâts reçus en appuyant au bout moment sur la touche adéquate.
Un moyen d’ajouter un petit peu plus de dynamisme et de pimenter l’action, bien que cela reste très basique.

 

Enfin, concernant la partie exploration, particulièrement avec les capsules à récupérer et utiliser, s’inspirer de ce que fait Game Freak sur Pokémon avec l’usage des CS semble la meilleure chose. Cela rendrait l’aventure plus immersive, plus jouissive aussi et impliquerait plus concrètement les joueurs et joueuses.
Notamment vis-à-vis de la narration, qui est normalement un élément important dans un RPG.
Le genre se prête bien à Dragon Ball, car il peut donner une autre ampleur à la saga en mettant en avant son lore comme c’est rarement le cas.
Et bien qu’on parle de reprendre l’intrigue du manga, on est tout aussi ouvert à une nouvelle histoire, néanmoins cela implique un travail plus minutieux si l’on veut éviter les déconvenues comme le scénario autour de C-21.

 

Ce Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans regorge de bonnes choses et de bonnes intentions.
On aimerait qu’un autre jeu de la franchise prenne la relève afin de proposer un RPG digne de ce nom.
Pouvoir un jour placer un jeu Dragon Ball à côté d’un Dragon Quest sans qu’il y ait à rougir.

 

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🔰 Sorti le 23 avril 2024, Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath Of The Mutants est le portage du jeu sorti sur borne d'arcade en 2017.
Sept ans plus tard, le jeu arrive sur les consoles avec du contenu supplémentaire.
Alors je ne pas y aller par quatre chemins, le jeu n'est vraiment pas fou !!!
Le jeu est même à des années-lumière en retard face à un TMNT : Shredder's Revenge crée par Dotemu en 2022 qui lui est vraiment excellent.

 

Après avoir passé quelques heures sur ce Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants, je peux vous dire que le jeu sent vraiment les eaux usées, le fromage périmé et la pizza brûlée, et même si je suis un grand fan de la franchise Ninja Turtles, il y a des jeux bien meilleurs et bien plus amusants dans lesquels vous pouvez dépenser votre argent.
Pour être franc avec vous, j'ai même hésité à faire cette vidéo, tellement ce jeu fait tache avec tous les autres jeux Mutant Turtles que je vous ai présenté sur la chaîne jusqu'à maintenant !

 

Cependant, un premier aspect apparemment positif est qu'il est clair que le classique immortel des années 90 de Konami a été regardé pour l'inspiration et la conception, mais là où le créateur de jeux japonais a livré une brillance pixelisée, le développeur Raw Thrills s'est contenté d'une jouabilité fade et d'une présentation médiocre.

 

Le design est tiré de la série Nickelodeon de 2012, et bien que le design lui-même ne soit pas le meilleur, les graphismes ternes ne parviennent pas à l'élever à un niveau supérieur.
Le jeu sorti originellement en 2017 faisait déjà penser au premier coup d'œil, un titre sorti en 2007 pour la Nintendo Wii plutôt qu'à un jeu sorti sur les consoles de 8ème génération.

 

Parce que Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants est horriblement laid et qu'il y a très peu de vie ou de charme dans les environnements ou les personnages entassés à l'écran.
Il y a aussi quelque chose d'étrange dans le son, car la musique est extrêmement basse dans le mixage, ce qui donne une impression de platitude et de manque d'énergie.
La seule chose que l'on entend vraiment, ce sont les personnages qui lancent de temps en temps des répliques sans queue ni tête, et lorsque ces répliques sont accompagnées d'un silence total, le spectacle qui se déroule sous nos yeux ressemble plus à une farce déréglée qu'à quelque chose de palpitant et d'engageant.

 

La jouabilité elle-même est certainement acceptable, même si elle est extrêmement dépouillée et manque d'idées.
Tu utilises le bouton (X) pour te battre (A) pour sauter et (Y) pour utiliser ta capacité spéciale.
En-dehors de cela, il y a très peu de choses à suivre, et lorsque l'intelligence des ennemis est à peine présente, on a l'impression de marteler la touche (X) pour atteindre les crédits et enfin éteindre la misère.
De plus, tous les boss ont un pattern quasiment identique, et même s'ils ont des apparences différentes, ils ajoutent rarement quelque chose de nouveau ou d'intéressant qui élève l'expérience à autre chose qu'un niveau très médiocre.

 

Il faut également noter que cette aventure est incroyablement vide, puisqu'on ne nous propose que six niveaux qui peuvent être terminés en un peu plus d'une heure.
Bien sûr, tu peux rejouer tous les niveaux à l'infini pour obtenir un meilleur score, mais il n'y a rien qui t'encourage à revisiter chaque niveau après les avoir déjà labourés la première fois.
Bien sûr, si tu aimes souffrir, tu trouveras peut-être un certain plaisir à te tourmenter dans ce jeu d'action décevant qui manque de polygones, mais pour tous les autres, il n'y a rien de valable ici.

 

En conclusion, je ne peux recommander Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants à personne, pas même aux fans les plus dévoués.
Bien sûr, il est possible d'y jouer sans aucun bug, mais avec un prix de 30 balles pour une heure de soi-disant "divertissement", ce n'est acceptable nulle part.
L'ensemble du produit ressemble à une façon extrêmement bâclée d'essayer de gagner de l'argent sans faire le moindre effort, et j'espère que les gens ne se laisseront pas berner par le logo Turtles et n'achèteront pas dans l'espoir de trouver une joie nostalgique, parce qu'en ce qui concerne la joie du jeu, il n'y a certainement rien de tout cela ici.

 

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🔰 Sorti 1991 Burning Fight fut parmi les premiers titres sur MVS, ce Beat 'em all ne restera pas dans les mémoires de joueurs.
SNK tente ici de surfer sur la vague initiée par Final Fight, mais ne sait visiblement pas vraiment comment s'y prendre.
Le déroulement fait en effet beaucoup penser au hit de Capcom, la maestria en moins.
Cela se sent dans beaucoup de graphismes du jeu, et plus particulièrement dans certains personnages qui frôlent carrément le plagiat.
Ainsi, on a le choix entre trois protagonistes qui rappellent une fois de plus Haggar, Guy et Cody, pour permettre au joueur de choisir un combattant équilibré, ou soit plus fort mais lent et inversement.
Les différences s'arrêtent là, car les coups sont totalement identiques de l'un à l'autre.

 

L'histoire prend place quand pendant des années, la famille Casterora a régné sans partage sur les rues de la ville de New-York.
Deux policiers, Duke Edwards et Billy King, ont été chargés d'enquêter et de combattre ce clan mafieux.
Les Casterora ont alors joint leurs forces à une autre famille du crime, basée à Ôsaka au Japon : les Heiwa-Gumi.
Leur pouvoir est désormais total et seul un policier ose s'opposer à eux au Japon, c'est Ryû Saeba.
Duke et Billy décident de se joindre à lui pour combattre ces deux familles et se rendent donc à Ôsaka.

 

Le jeu propose trois personnages, comme vous l'avez sans doute compris.
- Ryû est le policier japonais, agile mais peu puissant.
- Duke est parfaitement équilibré, ni trop lent, ni trop faible.
- Billy fait enfin office de grosse brute, il est lent, mais dispose d'une bonne puissance de frappe.

 

Le système de Burning Fight est basé sur l'utilisation de trois boutons.
(A) coup de poing / ramasser une arme ou un bonus / utiliser une arme / projeter l'adversaire
(B) saut
(C) coup de pied
Eh oui, c'est l'un des rares beat them up qui permet d'effectuer un coup de pied tout en restant debout. Les armes sont nombreuses et variées : bâton, 44 Magnum, couteau, bouteille ect...
En appuyant sur (A) et (B) simultanément, on déclenche un pouvoir spécial dévastateur qui dégomme sans difficulté les adversaires qui ont le malheur de se trouver à proximité de votre personnage.
Prix à payer classique, la barre de santé diminue alors légèrement.

 

À l'instar de son modèle Final Fight ainsi que de nombreux autres titres du même genre, on aura droit à des semi-boss puis à des boss de fin de niveau.
Ces derniers sont assez peu impressionnants, ce qui ne les empêche nullement d'être coriaces.

 

Au détour d'une rue, on pourra voir des portes marquées "in".
Si on y entre, on accède à une sorte de Bonus Stage dans lequel il s'agit de casser du mobilier dans un temps imparti.
On y gagne divers bonus donnant points ou santé.
Des policiers entrant dans des boutiques pour tout casser, on aura tout vu.
En fait il s'agit, d'après la notice, de boutiques tenues en sous main par le clan Casterora.

 

Quelques détails amusants ont été intégrés au jeu, comme par exemple ces personnages très peureux et inoffensifs, le client d'un sex-shop et un clochard ou la présence en guest star d'un clone de Hulk Hogan.

 

Burning Fight est, dans l'ensemble, très correct, même si certains stages sont bien trop vides, ce qui est bien dommage.
Le choix de couleurs laisse aussi parfois à désirer.
Bref, on sent que ça aurait pu être bien mieux.
Cependant, quelques passages sont réussis, comme un superbe coucher de soleil ou une grosse BMW garée sur un quai.

 

Le jeu est assez rapide, mais que c'est mal animé !
On croirait que les personnages se sont fait un tour de rein tellement qu'ils sont raides dans leur démarche.
Tout cela manque singulièrement de souplesse.
Histoire de ne pas rester sur cette impression négative, on notera quelques effets de zoom très sympa pour l'apparition de certains ennemis.

 

Le son est très bon niveau bruitages, avec par exemple le bruit des pas sur un escalier en métal très réussi.
Pour les musiques, ça va, elles soutiennent bien l'action sans être exceptionnelles.

 

La jouabilité, complète, possède toutefois quelques défauts. D'abord le temps pendant lequel on peut tenir une arme est beaucoup trop court.
En effet au bout de quelques secondes le personnage la lâche, sans raison apparente.
Il y a également les prises au corps-à-corps, ou plutôt la prise au corps-à-corps.
Il est dommage qu'il n'y en ait qu'une et que SNK n'ait pas copié Capcom sur ce point en allouant à Billy plus de variété dans ce domaine.
Enfin, les coups sautés sont disposent d'une fenêtre de collision ridiculement courte est bien les placers deviens une vraie gageure.
Tout cela fait que Burning Fight aurait pu être bien meilleur à ce chapitre, même s'il reste défoulant et répond bien.

 

Burning Fight ne fait que reprendre pour lui des bases posées par Double Dragon et Final Fight.
Visiblement mal ingurgitées et mal gérées sur la jeune MVS, le plaisir de jeu peine à se faire ressentir, réservant cette cartouche aux seuls fans de beat'em all purs et durs.

 

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🔰 Crée par Axander en 2022 Street Fighter X Tekken est l'adaptation du jeu éponyme conçu avec M.U.G.E.N le moteur de jeu de combat 2D conçu par Elecbyte, le tout codé en C en utilisent la library Allegro.
Le jeu reprend la totalité du roster vu sur le jeu d'origine en y ajoutant quelques guest, soit 68 personnages en tout :
33 personnages issus de l'univers de Street Fighter.
35 personnages issus de l'univers de Tekken.

 

Diffèrent modes de jeux son disponible :
Arcade.
Vs Mode.
Team Arcade.
Team Vs.
Team CO-CP.
Survival.
Survival CO-OP.
Training.

 

Le gameplay de tous les personnages est calqué sur celui de Street Fighter à savoir :


Shoto :
Archetype de combattants utilisant le Karate Shotokan.
Ryu et Ken en sont l'exemple.
Donc tout perso qui a un dragon, une boule et des coups de ce type.

 

Grappler :
Personnage a choppe comme Zangief ou Manon.

 

Rekka :
Personnage qui peu cancel un special par un autre special.
Le plus gros exemple dans Street Fighter c'est Fei long.

 

Zoners :
Personnage qui zone, qui garde l'adversaire a distance, par son jeu de boule ou par son excellence dans le neutral game.

 

Mixup :
Personnages dont beaucoup de ses phases sont des 50/50, te poussent a faire un choix.

 

Rushdown :
Personnage très offensif, qui te met la pression en permanence.

 

Chacun des personnages possède ses propres caractéristiques.
Résistance : Capacité à encaisser les coups, seuls ou en combo.
Saut : Hauteur du saut et les capacités offensives et défensives aériennes.
Vitesse : Vélocité dans les déplacements à terre et aérien.
Technique : Efficacité, diversité et utilisation de la panoplie de coups (hors spéciaux).
Coups spéciaux : Efficacité, diversité et utilisation des coups spéciaux uniquement.
Portée : Allonge globale des coups, hors spéciaux.
Corps-à-corps : Capacité à livrer un combat à cette distance.
Mi-distance : Capacité à livrer un combat à cette distance.
Longue Distance : Capacité à livrer un combat à cette distance.

Enfin, pensez à vous essayer avec tous les personnages, même si certain semblent moins performants sur le ring.
En effet, à quelque chose près, tous se valent, seul le gamer fait la différence.

 

Un combat peut se négocier de plusieurs façons différentes.
À commencer par la distance de combat, c'est-à-dire la distance qui nous sépare de l'adversaire, et qu'on s'efforcera de conserver.

 

Le combat à longue distance ne s'emploie que pour les personnages possédant des tirs à distance. Cependant, il n'est pas possible de le tenir à l'autre bout de l'écran indéfiniment, et celui-ci finira par réduire la distance de combat.
Il est alors nécessaire de savoir le repousser, pour restaurer la distance voulue.
Les contre-sauts et Battle Lead sont donc des techniques indispensables à maîtriser pour se battre à longue distance.

 

Le combat mi-distance plus technique, c'est généralement la distance de combat la plus utilisée, car la plus instinctive et la moins difficile à maîtriser.
Elle est différente d'un personnage à un autre, puisqu'elle correspond à un saut du rival.
Mais la distance aidant, les assauts aériens seront nombreux, et il est impératif de maîtriser les anti-sauts et les Reversal Attacks en cas de coup dur.
En d'autres termes, cette distance de combat est plus expéditive que la longue, mais aussi plus exposée.

 

Le combat au corps-à-corps le dernière distance de combat, elle est à réserver aux Roxors.
D'ailleurs, c'est souvent les combats à cette distance qui sont les plus palpitants à vivre et à regarder.
L'obligation première de cette distance de combat est de rester au contact, comme son nom l'indique.
Étouffer l'adversaire, ne pas lui laisser le temps de souffler et de réfléchir, l'assaillir de coups. Attention cependant, car cette distance de combat n'a rien de bourrin, puisqu'un bon gamer repousse en deux temps trois mouvements mal gérés.

 

Ayant une hitbox au pixel près, Street Fighter X Tekken est un excellent M.U.G.E.N car très technique avec une difficulté accru surtout en difficulté de niveaux 8.
Je dis souvent qu'une journée d'entraînement sur Street Fighter X Tekken M.U.G.E.N en difficulté de niveaux 8, vaut une semaine d'entraînement sur un Street Fighter de Capcom.
Même si le jeu n'atteint pas le niveau d'excellence d'un M.U.G.E.N : Hyper Dragon Ball Z dans sa version FP, il en reste pas moins un des meilleurs jeu de versus fighting jamais crée avec ce moteur graphique.

 

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🔰 Crée en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adapté du Manga crée en 1983 par Tetsuo Hara.
Ce Hokuto no Ken M.U.G.E.N est en fait le portage de Hokuto no Ken Fighting sorti en 2007 sur PlayStation 2, qui est lui-même le portage de Fist of the North Star sorti en 2005 sur borne arcade Atomiswave et comme dans le jeu d'origine crée par Arc System Works, ce M.U.G.E.N possède des sprites de grande tailles avec une très grande finesse.

 

Cependant, deux choses séparent les trois versions :

Premièrement, l'ajout d'un personnage supplémentaire, à savoir Shu qui est absent de la version Atomiswave ainsi que la version PlayStation 2.

Secondement, la vitesse de jeu paramétrable, ce qui n'est pas possible sur la version Atomiswave et PlayStation 2.

Ainsi, la version M.U.G.E.N est bien plus pêchu !

Toutefois, on déplorera qu'aucune scène d'introduction tirée de l'animé en guise d'opening ne soit présente dans cette version M.U.G.E.N

 

Le jeu propose de retrouver une grande partie des personnages principaux vus dans le Manga :
Kenshiro.
Heart.
Yuda.
Rei.
Shu.
Jagi.
Mamiya.
Shin.
Toki.
Souther.
Raoh.

 

Le jeu se joue à la façon d'un Guilty Gear, avec 4 boutons :
Low Punch.
High Punch.
Low Kick.
High Kick.
Les coups spéciaux s'effectue avec LP/HP, LK/HK, LP/LK et HP/HK.

 

Du point de vue de l'animation, que dire si ce n'est que les personnages ont un beau balai dans le derrière.
On est à des années lumières de la fluidité d'un Street Fighter III 3rd Strike.
En même temps, çà ne dérange pas du tout, au contraire je trouve que çà reste fidèle à l'esprit de Ken.
Une animation ultra fluide, aurait dénaturé l'anime, point de vue personnel.
Les différents effets, chorégraphies des coups etc... sont excellents !
Aucun bug n'est à signaler après pas mal d'heures de jeu.
Bref la conversion de Arc System Works à M.U.G.E.N s'est très bien passée !

 

Musicalement, c'est pas mal, mais en dessous de la version de Arc System Works.
Par contre toutes les voix originales de la série japonaise sont bel et bien présente, et c'est ce qui pour moi renforce largement l'immersion quand on joue à ce jeu.

 

Je vais vous faire un petit topos sur les différents stages :

 

Village de Lin :
C'est le stage de Mr Heart et de Kenshiro.
C'est bien dommage que Ken n'a pas son propre stage !
Il s'agit du village où Ken affronte Zeed, lors du premier épisode de l'anime.
(À noter que la ressemblance n'est pas flagrante, et que les persos du fonds sont mal animés.)

 

Southern Cross :
Le palais de Shin, dans la ville qu'il a fait construire pour Yuria, à savoir la croix du sud.
Un stage important dans la série et bien retranscrit dans le jeu.
Yuria est présente au second plan.

 

Village de Mamiya :
C'est la fontaine souterraine du village de Mamiya, là-même où elle rencontrera Rei pour la première fois, et là aussi où Ken soigna les yeux d'Aili.
D'ailleurs les 2 tourtereaux se partagent le stage.
Un superbe level !

 

Héliport :
C'est l'endroit choisi par Jagi pour affronter Ken.
Que dire si ce n'est que là encore les graphismes sont là encore de qualité.

 

Palais de Juda :
L'endroit même où Juda séquestre ses femmes.
D'ailleurs, elles sont présentes dans le jeu.
Je ne trouve pas ce stage très fidèle à la série puisque je n'ai pas un grand souvenir de cette salle.

Par contre, mention spéciale, au UD dont le sol est frappé.

 

La pyramide le l'empereur :
Tout simplement le meilleur stage pour moi !

 

La cascade :
Le lieu du combat Toki/Raoh et accessoirement le lieu de leur première rencontre avec Ryuken.
On voit d'ailleurs les tombes de 2 frères ainsi que des parents de leurs parents.
Un stage absolument magnifiquement dessiné, et très gai pour une fois.

 

Temple du Hokuto Shinken :
Le lieu de la confrontation finale entre Ken et Raoh !
Un stage somptueux.

 

On y retrouve les différents modes de jeux typique aux jeux M.U.G.E.N  :
Arcade.
Vs Mode.
Team Arcade.
Team Vs.
Team CO-CP.
Survival.
Survival CO-OP.
Training.

 

Pour conclure, Hokuto no Ken M.U.G.E.N reste un jeu de baston 2D solide, à la réalisation certes facile puisque copié sur Guilty Gear mais qui devrait titiller la fibre nostalgique des vieux briscards habitués au stick et élevés aux dessins animés japonais diffusés le mercredi après-midi durant le Club Dorothée.

 

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il y a une heure, akumasan a dit :

Crée en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adapté du Manga crée en 1983 par Tetsuo Hara

 

Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga.

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il y a une heure, Minou33 a dit :

Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga.

Tout simplement parce que j'avais oublié la version Arcade sur Atomiswave lors de la rédaction de ce test.

C'est vrai que cette version Arcade ne s'appelle pas Hokuto no Ken Fighting, mais Fist of the North Star, et j'ai connu Hokuto no Ken Fighting (PS2) avant la version originale sorti sur Atomiswave.

Je pense que c'est pour ça que je l'ai omise.

Mais je vais réparer ce malencontreux oubli de suite. 😉

Mea Culpa. 

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