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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 27/06/2024 dans la communauté.

  1. Aronaar

    D'où vient le LGBT ?

    J'ai, pour le dire simplement, beaucoup de mal avec les propos tenus dans le premier message de ce post, à plusieurs niveaux. Je ne vais pas m'aventurer à décortiquer chaque point car cela prendrait un temps que je ne suis, honnêtement, tout simplement pas prêt à accorder, mais je vais revenir sur plusieurs éléments tout de même. 1) Un article informatif Je suis certain que c'était là ton intention, mais ton post reste à charge ; tu parles toi-même d'attaquer intellectuellement le concept de LGBT (sans, à mon sens, te poser un moment pour le définir clairement) que tu juges néfaste tant pour l'individu que la société. Pour être informatif et synthétique, il est également bon d'être clair- cependant et respectueusement, même avec des couleurs et des retours à la ligne et d'autant plus en format forum (contrainte qui t'es extérieure, certes) ton article me semble quelque peu indigeste, entre un trop grand nombre de citations à rallonger et un fil rouge qu'on peut aisément perdre de vue, sans parler de certaines tournes de phrase alambiquées. Il est louable de ta part de vouloir apporter des sources, encore ne faut-il pas que cela nuise à la teneur de l'ensemble. Comme évoqué précédemment, cela peut donner l'impression d'un mille-feuilles argumentatif qui noie le lecteur avec des arguments pas toujours liés entre eux, tout en comptant des sources à la fiabilité parfois discutables. Ne pas te prêter d'intentions belliqueuses, pourquoi pas, mais le tout demeure très orienté, que ce soit sur tes positions ou les choix des sources. 2) Dans l'espace, personne ne vous entend crier C'est fort simple, je ne vois pas le lien entre le titre de ton article et la première question que tu poses. En tant qu'amorce racoleuse, ça attire l'attention, certes, mais quelle drôle de manière d'amener le sujet ! Cela démontre, plus qu'autre chose, une certaine vision déterministe de ta part (ou du moins, telle est mon impression). Sauf qu'alors que tu aimes citer tel ou tel expert, ici, tu nous renvoie vers une chaîne "pédagogique". J'ai examiné plusieurs vignettes et fait l'effort de regarder quelques vidéos, avant que ma sensibilité personnelle m'empêche de continuer : le côté éducatif de voir un agresseur au couteau se faire plomber en pleine rue, se vidant de son sang pendant que le policier lui intime de lâcher le couteau, ça ne va pas très loin selon moi, allant plus dans le champ de la curiosité morbide. Je pense que personne n'ira s'amuser à regarder un échantillon significatif des vidéos de cette chaîne pour déterminer si les femmes crient plus que les hommes, et même si c'était le cas... En quoi cela validerait-il ton assertion ? Ne serait-ce pas là généralisation abusive que d'étendre cette observation au comportement des femmes en général, dans le monde entier ? C'est en plus franchement gommer les facteurs liés à la personnalité, la culture, l'expérience de vie et les stéréotypes de genre. 3) Vérité fondamentale, mon amie " Nous pouvons voir ici que les racines de la théorie du genre sont très récentes dans l'histoire humaine, et que s'ils elles attestaient d'une vérité fondamentale ayant toujours existé elles auraient pu tout aussi bien surgir à n'importe quel moment dans l'histoire " Pourquoi parler nécessairement de vérité fondamentale ? Sous couvert de quoi le genre aurait-il pu autrement pu surgir à n'importe quel moment dans l'Histoire ? Le genre est un concept au carrefour de plusieurs champs d'étude, dont des disciplines (sociologie, psychologie...) elles-mêmes récentes. Tu évoques la Révolution française, tu cites un des pères de la sociologie moderne, je pense donc que tu sais fort bien, par exemple, que la sociologie aurait eu des difficultés à émerger sans de tels bouleversements de l'ordre social établi. A plusieurs reprises tu évoques la récence, mais ce n'est pas parce quelque chose est ancien que cela en devient nécessairement "fondamentalement vrai". 4) L'inné et l'acquis, round#4573 " La nature propre et distincte entre les deux sexes existent bel et bien, n'en déplaise aux théoriciens du genre et autres lgbtistes. Ce sont des vérités biologiques et anthropologiques que les hommes et les femmes dans l'histoire suivant leurs caractéristiques ethno-culturelles sont venues jouer dans l'attribution saines et égales à leurs riches différences, les différents rôles qu'ils durent se voir attribuer par l'ordre naturel du monde, et pour lesquels ils ne pouvaient nullement négocier ses impératifs, pas plus qu'ils ne purent négocier les lois indicibles qui gouvernent tous les éléments constituant le vivant. Les constructions sociales se sont établies progressivement au cours des siècles dans le respect de la hiérarchie naturelle du monde comme le reflet parfait de l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent. " Pour moi on s'approche là d'un salmigondis, qui suscite une cascade d'interrogations dans mon esprit fébrile. Quelles sont donc ces attributions " saines et égales à leurs riches différences " ? Permets- moi de caricaturer : les hommes musclés produisent des biens, prennent les décisions et vont à la guerre, les femmes fragiles procréent et restent s'occuper du logis et de la descendance ? Je m'interroge alors sur ce que tu entends par "l'ordre naturel" du monde, qui, je l'espère, n'est pas la perpétuation d'un système patriarcal où l'homme, via les normes, lois, règles morales et religieuses, entre autres, s'assure de conserver le pouvoir. Je ne peux m'empêcher de repenser à un roman historique où des religieux théorisaient que la femme ne possédait pas réellement de cerveau mais d'une sorte de matrice à l'intérieur du crâne, justifiant par là qu'elles ne puissent pas égaler les capacités intellectuelles d'un homme ; sottise basée sur l'ignorance pour justifier l'ascendant des mâles. Pour la "hiérarchie naturelle du monde" je suis tout autant dans le brouillard, quant à "l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent", pour être honnête et sans animosité aucune, je ne cherche même pas à comprendre. Tandis, encore une fois, que tu aimes à citer divers auteurs, tu livres ici des pensées dont la portée semble peut-être évidente pour toi, en ce qui me concerne, le tout reste fort nébuleux. Beaucoup d'autres passages ont de quoi faire réagir (" Faut-il rappeler que c'est précisément leurs différences entre l'homme et la femme qui font la beauté de leur union ? " Et donc, les différences entre deux hommes et deux femmes ne confèrent-elles également pas une beauté à leur union ? Est-il donc si outrancier que l'essence de ce que nous sommes dépasse notre codage génétique et les constructions sociales qui s'ensuivent ?) mais je vais m'arrêter là, en fait de démonstration, j'ai le sentiment d'un empilement d'extraits qui vont dans ton sens et en toute sincérité, si tu as démontré quelles sont tes positions en la matière, je n'ai pas su distinguer en quoi le courant LGBT serait néfaste pour l'individu et la société.
    8 points
  2. Itachiaurion

    D'où vient le LGBT ?

    Les scientifiques n’ont normalement pas de croyance dans leur corpus. A la différence d'un religieux ou même d'une personne non religieuse qui a l'intime conviction que quelque chose est vrai car il le ressent comme naturel, comme évident ou que sais-je encore, le scientifique se repose sur la confiance qu'il a dans la communauté scientifique. Si les scientifiques ne sont pas infaillibles cela ne veut pas dire que la méthode est comparable à ce qu'il se fait autour. L'un des grands points fort de la science sur le reste c'est que jusqu'ici la science à donner des milliers de preuves de son fonctionnement, que ce soit dans ses capacités à prédire les évènements, a les interprétés ou à nous fournir des nouvelles technologies qui serait de la magie pure il y a deux siècles. Le plus haut niveau de preuve et de certitude que l'on peut avoir en se monde et le consensus de la communauté scientifique. Le biologiste ne sait pas d'avance si un trou noir existe, mais il fait confiance aux physiciens qui lui-même fait confiance à l’ingénieur quand il monte dans l'avions, qui fait confiance aux médecins lorsqu’ils prennent un traitement etc. De plus en dehors de cette faculté de prédiction qui n'est pas retrouvé ailleurs, les scientifiques n'ont normalement pas de problème à remettre en cause le consensus du moment que des preuves suffisamment solides sont amené pour valider un nouveau consensus. Quand Einstein débarque en 1905 avec sa théorie relativité restreinte il remet complètement en question la théorie de Newton et l'existence de l'éther. Pourtant au vu de la solidité a tout épreuve de sa théorie et des explications qu'elle amène sur le monde de la physique il y a rapidement peu de doute quand a la théorie tant elle se vérifie encore jusqu’à nos jours. Là ou un scientifique ferait preuve de croyance c'est par exemple lors de l'avènement d'une nouvelle théorie qui soit très peu étayer ne donne pas les preuves suffisantes pour être validé, mais où il serait persuadé qu'elle soit tenue pour vrai pour X ou Y raison. En admettant même que la théorie est validée dans le futur, il aura eu raison pour les mauvaises raisons, ce qui ne rend pas valide sa démarche. Maintenant pour ne pas trop virer hors sujet et pour parler un peu des LGBT je vais vous sortir un article sur la question. A savoir une méta-analyse qui fait l’étude de 1491 papier sur la dysphorie de genres. Je vous présente « The phenomenology of gender dysphoria in adults: A systematic review and meta-synthesis » publié en aout 2020 par Kate Cooper, Ailsa Russell, William Mandy, et Catherine Butler. Liens : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7441311/ Quelques points : Je ne vais pas tout citer mais il est clair que le concept de dysphorie de genre fortement lié au fait d’être trans est un sujet autrement plus sérieux que la présentation qui nous a été donné ici qui relève plus de l’homme paille et d’un narratif douteux et confus. J’ai également trouvé d’autre études intéressantes sur ce sujet complexe qui a besoin de plus de recherche d’après les papiers que j’ai lu. What Is Gender Dysphoria? A Critical Systematic Narrative Review https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/trgh.2018.0014 Sex Ratio of Transgender Adolescents: A Meta-Analysis https://iris.unito.it/retrieve/e27ce42e-650a-2581-e053-d805fe0acbaa/Boof-of-abstracts-EPATH2019.pdf#page=69 Gender identity disorder (GID) in adolescents and adults with differences of sex development (DSD): A systematic review and meta-analysis https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1477513120306410 Le simple fait que l'extrême majorité des personnes ayant reçu un traitement hormonal retrouve une qualité de santé mentale plus proche des groupes de test là où c'était inférieur avant, montre bien qu'il y a un problème réel aux conséquences sérieuses sur la vie des gens et que la médecine s'en empare depuis des années. Il ne s'agit pas simplement d'un phénomène social dû à des élucubrations de psychanalystes. Au passage, la dysphorie de genre est connue depuis plus de 50 ans étant donné que les traitements on lieu au pays-bas depuis 1972 et n'est donc pas simplement un phénomène des années 2000. Bonne journée.
    6 points
  3. 5 points
  4. Salut les amis de Romstation ! Nouvelle vidéo hors-série sur Lord Paddle : un vlog consacré à mon week-end dernier passé au FaeriePop, édition 2024 sur le thème de l'Asie, une chouette convention geek basée à Nègrepelisse dans le Tarn-et-Garonne, en compagnie des copains et partenaires de Nostalgie du Geek. On a bien rigolé et passé un très bon moment !
    4 points
  5. GOONIES

    La Cuisine pour les Nuls

    Ce soir c était... trop bon !!! Le thon ? Le steak de la mer 🌊 !
    4 points
  6. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    Car carézmmzzzzzzn3nnnnnt. Un truc lisse range sur l'étagre Obsplette comme l'omelette !
    4 points
  7. GOONIES

    Tu écoutes quoi ?

    Yes !!!!! #Catacombes #Énorme #WallOfDeath https://www.ouifm.fr/queen-of-the-stone-age-annonce-un-concert-en-france-dans-un-lieu-inedit-tandis-que-son-wall-of-death-devient-viral?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR0NahccIUgK2-ciqo74wdF7C_Mx4cmkabjEd6gZntqtbWDMabzZvuKVLcE_aem_5YYbb3WukZioEFTE614w7w
    4 points
  8. Aflow

    La Cuisine pour les Nuls

    Pizza Party ! Là c'est la pâte après environ 2h mais plus on laisse longtemps la pâte lever meilleur cela doit être ! C'est une Franc-Comtoise : crème fraîche, lardons, oignons, patates, saucisse de Montbéliard, cancoillotte.
    4 points
  9. ChatNoirRetro

    Mon orthographe

    Sans vouloir faire mon prof de français de primaire, c'est du futur, donc il n'y a pas de S. Mais oui, si tu as du mal avec l'orthographe, @terre7777777, n'hésite pas à t'aider de correcteurs automatiques. Il n'y a pas de honte à cela, et tu peux facilement en installer sur ton navigateur grâce à des extensions. ^^
    4 points
  10. akumasan

    Mon orthographe

    Du côté de RomStation ils peuvent supprimer ce qu'ils veulent et à tous moments. Et contrairement ils peuvent garder des topics inactif quasiment ad vitam æternam comme celui de crios intitulé Faux Raccord qui est le plus vieux topic de la section Bla Bla. Topic crée en 2010 et qui est inactif depuis le 15 octobre 2011. Par conte côté utilisateurs, on est obligé à un certain moment de supprimer soit même certains fichiers comme les photos par exemple, car on est limité à 488.28mo D'ailleurs, je vais devoir supprimer certaines photos, car j'arrive à la limite. Pour les topics, coté créateur du topic on peut supprimer soit même son topic. Ce que j'ai déjà fait sur certains topics que j'avais créé dans le passé.
    4 points
  11. 🔰 Sorti le 18/07/2024 Bō : Path of the Teal Lotus est un jeu d’action à scrolling horizontal, le tout en 2D dessiné à la main, totalement inspiré du folklore japonais un peu à la Okami. Le joueur suivra les aventures d’un kitsune, un esprit surnaturel qui prend la forme d’un renard blanc. Au premier coup d'œil, Bō : Path of the Teal Lotus peut sembler être une sorte de clone de Nine Sols un jeu dont j'avais déjà fait une Part Ⅰ sur la chaîne il y a quelques semaines en arrière. Le talent artistique et la vision de Squid Shock sont pleinement mis en valeur dès le départ, leur style artistique saisissant étant un mélange envoûtant d'animation traditionnelle dessinée à la main, de designs de personnages quasi-animés et d'artisanat traditionnel japonais en papier. Tous ces éléments artistiques distincts, renforcés par des effets visuels spectaculaires d'éclairage et autres, se combinent pour créer l'un des styles artistiques les plus attrayants et uniques de tout jeu récent. Mais Bō : Path of the Teal Lotus est bien plus qu'un simple beau visage. Il possède toutes les caractéristiques du genre métroïdvania et sa progression est conditionnée par des capacités spécifiques, il y a un minimum d'indications, et sa carte est interconnectée et truffée de secrets. En même temps, les conventions de la plate-forme 2D sont inextricablement tissées dans l'ADN du jeu, à un degré beaucoup plus élevé que ses contemporains du genre. Comprendre ce mélange de genres est la clé pour apprécier le gameplay de Bō. La comparaison avec Nine Sols voir même Hollow Knight est pertinente, du moins pour la première heure de Bō. Les joueurs contrôlent une petite silhouette encapuchonnée et déceptivement mignonne, maniant une arme de base ressemblant à une épée. Frapper les ennemis avec cette arme provoquera un effet de recul qui, lorsqu'on attaque par le haut, peut être utilisé pour prolonger le temps de vol, ce qui facilite les déplacements et le repositionnement. Le génie de Bō réside dans ce que Squid Shock appelle son "système de mouvement et de réinitialisation". Essentiellement, cette mécanique permet aux joueurs d'obtenir un saut en l'air après avoir heurté un ennemi ou un autre objet. Cela réinitialisera également la capacité de dash de Bō. L'univers mystique de Bō : Path of the Teal Lotus est construit autour de l'épine dorsale du folklore japonais. Bō lui-même est un tentaihana, un hybride yokai fleur-animal inventé pour les besoins du jeu, et la plupart des ennemis et PNJ que les joueurs rencontreront sont également des yokai. Ces PNJ comprennent un oiseau brise la quatrième dimension inspiré du Yogen no Tori, ou "oiseau prophétique" du mythe japonais, et l'Étranger Vermillon, une femme bizarrement belle tirée d'une légende japonaise du 19ème siècle. En effet, les inspirations japonaises de Bō sont profondes, et le jeu regorge de références subtiles à reconnaître. La campagne principale de Bō : Path of the Teal Lotus peut être bouclée en environ dix heures. Terminer tout le contenu secondaire et obtenir tous les objets de collection peut vous faire gagner quelques heures supplémentaires, mais pas beaucoup. D'une certaine manière, cela profite au jeu, lui permettant d'avancer à un rythme soutenu, offrant régulièrement de nouvelles mécaniques, environnements et personnages à découvrir et il n'y a rien qu'on pourrait qualifier de "remplissage". Dans le même temps, ceux qui recherchent plus pour leur argent pourraient être déçus par le manque de contenu proposé. Bō manque également de valeur de rejouabilité, car il n'y a pas de niveaux de difficulté supérieurs à sélectionner ou de défis qui pourraient distinguer significativement un second parcours d'un premier. En fin de compte, Bō : Path of the Teal Lotus est une petite pépite de jeu qui ne manquera pas de séduire les amateurs de métroïdvanias et de plates-formes à la recherche d'une expérience concise mais riche en contenu. Ses mécaniques de mouvement révolutionnaires, son univers envoûtant et son level design astucieux en font un incontournable pour tous ceux qui apprécient le genre. Que vous soyez un vétéran ou un nouveau venu dans le monde des métroïdvanias indés, Bō saura vous charmer avec son mélange unique de traditions japonaises, de gameplay fluide et d'une direction artistique au top. C'est une aventure remplie de magie, de merveilles et d'instants inoubliables qui mérite amplement votre temps et votre argent.
    3 points
  12. Uncharted 2: Among Thieves is the sequel to Naughty Dog's 2007 game Uncharted: Drake's Fortune. The story follows Nathan Drake as he attempts to solve the mystery surrounding Marco Polo's lost fleet. Gameplay remains similar to the first installment with shootouts, escapes, and daring stunts. New elements include stealth-action segments and enhanced cover mechanics. The game introduces competitive and cooperative multiplayer modes.
    3 points
  13. LA méga classe!!!
    3 points
  14. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    Ah les Fleelwood Mac ^^
    3 points
  15. GOONIES

    Tu écoutes quoi ?

    Nutshell By Goonies pas évidente...il faut que je plaque la voix maintenant une autre paire de manche sur cette rythmique pas évidente et hypnotique effet Chorus #Bathroom 4 micros sur 5 ouverts Nutshell Chorus.m4a à toi de me dire ce que tu en penses ?
    3 points
  16. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    🌊🌊🌊
    3 points
  17. Salut, Depuis quelques temps, les admins ont arrêté de communiqué à la communauté, même pas des annonces sur les prochaines mise à jour ou des plans pour le future de RomStation. En pire ils ce débarrassent de plusieurs fonctions (Chat multi etc...) sans même nous expliquer pourquoi et je dois l'admettre, je commence a perde patience. Les admins doivent absolument être un peu plus communicatifs envers les utilisateurs de RS, surtout vue que la plus part d'entre eux soutiennent financièrement la plateforme avec leur abonnements Platinum.
    3 points
  18. Metal Gear Solid 4 is the fourth major installment in the series, developed by Hideo Kojima. It resolves previous plotlines by reintroducing characters from earlier games. The story follows an aged Solid Snake deployed to the Middle East in 2014 to thwart Liquid Ocelot, who aims to control the Sons of the Patriots and build an army.

    The game introduces new actions, an enhanced camera, and a redesigned combat system. Camouflage is replaced by Octocamo, and the stamina gauge by a stress meter, affecting accuracy based on combat and climate conditions. Snake has access to a diverse array of customizable weapons.

    Gadgets include the Solid Eye (electronic binoculars) and the Metal Gear Mk. II (exploration and stunning robot). The multiplayer, Metal Gear Online, features original modes like "Sneaking Mission" and "Team Sneaking" based on stealth elements.
    3 points
  19. CopyCat

    Clips animés

    3 points
  20. Minou33

    Clips animés

    Un des + beaux souvenirs de ma jeunesse........Et je me demande si les studios Ghibli ne s'en seraient pas inspiré???? Un chef d'oeuvre intemporel
    3 points
  21. Minou33

    Clips animés

    Probablement une des + belles sources de référence dans le domaine de l'animation des années 80; cultissime et indémodable!!!
    3 points
  22. Quel plaisir de revoir enfin une convention à l'esprit familial de taille humaine et pas les usines à gaz que sont devenues les Japan expo et consort.... Et puis comme cadre Nègrepelisse, une des + belles bastides du Quercy avec mon coup de coeur ultime Bruniquel !!!! @lordpaddle Ta prochaine mission: devenir agent du syndicat d'initiative du Tarn-et-Garonne et venir prendre une bière à Caylus (si ça te parle c'est là que réside ma belle-mère) ou bien sur la place centrale de Saint-Antonin. Une idée de lieu pour une prochaine convention pour cette asso qui me vient immédiatement en tête est Cordes-sur-Ciel (mais c'est peut être un peu + loin et surtout pas vraiment le coeur de cible car énormément touristique!!!). Vive le 8.2 libre!😍✌️
    3 points
  23. tiraMISSU

    Clips animés

    3 points
  24. Aflow

    Clips animés

    Je commence avec ceci :
    3 points
  25. Gaga46

    Emulateur Xbox original

    Je dirais qu'une poignée de jeux tournent parfaitement avec un des deux émulateur... L'autre a possiblement un beau futur... Mais concernant romstation... On est très loin de l'ajouter vu qu'il faut qu'il soit stable sur beaucoup de jeux. Et pour le cloud, déjà que c'est la galère avec les jeux ps3... Je pense que les admins n'y pensent même pas!
    3 points
  26. Aflow

    Tu écoutes quoi ?

    Qui fleure bon les années 90 ^^
    3 points
  27. C'est un peu light comme config car l'émulation demande beaucoup mémoire (8Go minimum pensent que 12Go de RAM étant le top pour RomStation & ses émulateurs) + une carte graphique pour faire tourner les version de DirectX avec une card de type RTS ou GTX nvidia ou autres équivalent et un CPU cadencé a 2.4 à 3.3 Ghz.) Avoir ses pilots PhysX a jour. Et avoir un bon réglage de chaque émulateur adapté à ta config ça c'est le plus importent. C'est avec des réglages au carré pour ton système que tu va taper dans le meilleur.
    3 points
  28. Bon appétit, ce jeu est délicieux ! Je commence tout juste Final Fantasy V (la version Pixel Remaster). Je n'en suis qu'au tout, tout début. J'aime bien, il y a des choses dans le pitch de départ et les personnages qui me rendent un peu nostalgique du premier.
    3 points
  29. Je m’enchaîne les mortal kombat que se soit la série principal ou les spin off. De qualité variable en vrai les mortal kombat le 1er sympa mais ta vite fait le tour. Le second en vrai l'ia vers la fin de la tour est asser cheater au point ou pour gagner faut faire le meme coup c'est a dire sauter puis faire un coup. Se qui baisse asser la note. Le 3 par contre vraiment sympa et bien plus dynamique. Pour les suivant les opus sur ps1 sont vraiment plat le 4 bof surtout qu'en vrai sinnok est pas vraiment un boss mémorable les spin off sur ps1 specials force et sub zero mythologie sont vraiment ennuyeux specials force cest peu etre aussi parce que c'est pas franchement mon perso préféré jax et celui avec subzero car le mélange beat 'em all et jeu de combat cest pas top. Pour ceux sur ps2 alors le 5 deadly alliance alors en vrai a partir de cette opus il commence a organisé une longue saga se qui est sympa mais l'opus en lui meme est asser ennuyeux une fois l'arcade finie le monde konquest n'est pas fameux surtout que j'ai eu du mal a le finir avec les long combo compliqué a faire dedans et aussi dans se jeu ta pas la fin canonique et perso j'aimerai que la fin d'au moins un des perso sa la fin canonique. Le 6 mystification pareil que le 5 surtout que le mode konquest meme si se mode est devenu un mode histoire pour expliqué tout le jeu est asser chiant au final c'est carrement un monde ouvert mais bien vide Le 7 armagedon en vrai j'ai bien aimé celui ci surtout que niveau perso t'avais l’embarras du choix pour le mode konquest cest de nouveau un mode histoire qui explique les evenement du jeu mais cette fois ci cest linéaire du coup j'apprecie mieux que le monde ouvert vide du 6 par contre les fatalité le fait que plus aucun personnage n'en est moisi faut les faire soi meme. Pour finir sur ps2 le spin off shaolin monk alors comparé au 2 précédent spin off qui était vraiment des échec celui ci est une réussite tu t'ennuie pas et les boss sont asser technique(mention au triple boss de fin avec shao kahn qui te vide ta vie en quelque coup). Pour 8 cest un hors série mortal kombat vs dc universe sur ps3 et sincèrement les 2 mode histoire que tu suit dc ou mortal kombat cest asser ennuyant surtout que je trouve la fusion entre darkseid et shao kahn raté. Bon la actuellement j'essaye de faire le 9 sur ps3 mais sa freeze en a peine quelque minute apres que j'ai démaré un mode de jeu du coup cest un poil compromi pour l'instant..
    3 points
  30. CopyCat

    La Cuisine pour les Nuls

    C'est un Jambon Beurre de compétition !🤣👌
    3 points
  31. GOONIES

    La Cuisine pour les Nuls

    https://www.facebook.com/Chefclub.tv/videos/1459745444686450/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v Punaise je suis tombé sur ça... et j en salive #JambonBeurre C est Aku en mode Street Food ? 449990388_3780214758879543_8446418929571380205_n(1).mp4
    3 points
  32. Experience a game that feels completely new. Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 4 is a fan sequel created by Team BT4, the project tries to update and remodel the Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 game created by the Spike company with the new content that has appeared from Dragon Ball from 2007 to 2018, trying to be as faithful as possible to what the original creators were trying to achieve. Representing the franchise in this frenetic game that simulates the most iconic anime fights.
    3 points
  33. Mendosa

    D'où vient le LGBT ?

    Pourquoi la femme crie dans le danger et non l'homme ? Ou plutôt, pourquoi la femme a une forte propension à crier face à un danger que l'homme ne le ferait ? Je me permets de venir argumenter sur ce sujet si actuel et si caractéristique de cette rupture historique que nous vivons et qui nous emporte malgré nous pleinement dans ce nouveau siècle, comme si ses vingt premières années n'avaient été qu'une séquence d'amorçage timide au sein de laquelle notre rapport au monde était encore bien imprimé de rapports humains et d'échanges se passant majoritairement hors du cadre virtuel. Il est frappant de voir que dans notre histoire collective en occident et plus particulièrement en France il existe toujours un temps d'amorce pour qu'enfin le nouveau siècle s'impose au monde. Le siècle précédent ne s'imposa vraiment en terme de productivité et de bouleversements socio-économiques qu'après la première guerre mondiale. Le 19ème siècle ne commença vraiment qu'après que Napoléon finisse de pousser la république de partout en Europe et ne s'éteigne à Saint-Hélène en 1821. Pour finir le 18ème siècle débute vraiment qu'au moment de la régence à la mort de Louis XIV en 1715. Comme on peut le constater facilement, il y a presque toujours chez nous une parenthèse de décollage qui permet au nouveau siècle d'imposer son horizon et son devenir aux populations qui l'habitent. Et dans ce processus l'individuel n'a presque aucune existence et encore moins depuis les deux derniers siècles que constituent la modernité. Les années 2000 furent assez lente dans le processus de changement que proposait le siècle en comparaison des années 2010, qui elles connurent une fulgurance sociétale et économique qui aboutirent au surgissement d'une dynamique de crises successives commencée avec les gilets jaunes pour se continuer présentement dans un schéma de guerres dont les spécialistes en la matière s'entendent à menacer le danger d'un nouveau conflit mondial. Et c'est dans ces années 2010 et plus encore dans cette dynamique de crises successives que survient le phénomène LGBT qui comme d'autres joyeusetés sociétales nous vient de l'autre côté de l'atlantique. Pourquoi survient-il plus assurément dans cette dynamique de crises et non dans un temps de paix plus prononcé en occident dans les années 70,80 et 90 ou même 2000 ? D'où vient le LGBT ? Qu'exprime t-il dans la traînée du 20ème siècle ? Et plus important encore, pourquoi reçoit-il le rejet de la majorité et du reste du monde non-occidental ? Je ne prétendrais pas répondre ici absolument à toutes ces questions. Néanmoins je m'efforcerai de synthétiser dans la mesure de mes moyens des informations importantes répondant à un certain nombre de préjugés et d'approximations que cette nouvelle idéologie laisse supposer sur l'homme et la femme dans l'historie. Je préciserais ici que je m'attaque intellectuellement à ce mouvement et l'idéologie qu'il porte et non aux individus qui pour des raisons divers pensent y trouver leurs émancipations ou tout simplement un sens à leur vie. D'où vient le LGBT ? Théorie du genre du XIXe au XXIe siècle. Extrait d'un article de Youssef Hindi avec ici et là des annotations de ma part signées de mon pseudonyme (et surlignées en bleu) : Celui qui est considéré comme le précurseur de la théorie du genre est un universitaire homosexuel allemand du XIXe siècle, Karl Heinrich Ulrichs (1825-1895). Ulrichs était le fils d’un pasteur luthérien, il a étudié la théologie et la jurisprudence à l’université de Göttingen. Ulrichs développe le concept de « troisième sexe ». Il explique et résume la nature d’une relation amoureuse entre deux hommes par cette expression en latin « anima muliebris virili corpore inclusa » (une âme de femme dans un corps d’homme). On ne parle pas encore d’homosexualité à l’époque, mais Ulrichs utilise les termes d’uranien/ne et dionysien/ne, en référence aux divinités grecques Aphrodite (née d’un homme, le dieu Uranus) et une autre Aphrodite (née d’une femme, la déesse Dioné). (Nous pouvons voir ici que quoi qu'on en pense, la distinction sexuelle telle qu'elle intervient dans la relation érotique d'un homme et d'une femme dans l'histoire a toujours été indissociablement liée aux conceptions religieuses qui déterminaient leurs existences et leur sens dans la continuation de la vie. Tout comme Denis de Rougemont a démontré dans son "L'Amour et l'Occident" comment le concept d'amour en tant que rapport à l'autre et au monde découle directement du fait religieux, de son implication historique et anthropologique chez l'homme et chez la femme.) Mendosa. Robert Stoller (1925-1991), né à New York de parents immigrés juifs russes, est un psychiatre et psychanalyste. Il créa en 1954 un centre sur l’étude de l’identité sexuelle, la Gender Identity Research Clinic. « C’est là qu’il conceptualisa pour la première fois la notion de gender (genre) pour désigner le sentiment de l’identité sexuelle, par opposition au sexe, qui définit l’organisation anatomique de la différence entre le masculin et le féminin. De là naîtront les études contemporaines sur le genre (gender studies). » En 1968, il publie un ouvrage devenue une référence, Recherches sur l’identité sexuelle à partir du transsexualisme (Gallimard, 1978), « dans lequel, à travers de très nombreux récits de cas, il revisitait toute la théorie freudienne de la sexualité pour désigner clairement le transsexualisme comme un trouble de l’identité sexuelle caractérisé par la conviction inébranlable d’un sujet d’appartenir au sexe opposé. Tout en montrant que ce trouble était purement psychique, Stoller ne s’opposait pas à l’idée du recours à la chirurgie. Mais surtout, au lieu de juger ou de classer, avec la froide objectivité d’un prétendu idéal de la science, il parlait de la souffrance des transsexuels, de leur vécu, de leur subjectivité. Aussi bien inversait-il radicalement le regard que la clinique avait porté sur eux depuis des lustres. » En 1974 il publie The Transsexual Experiment (L’expérience transsexuelle). « Comment se construit l’identité des personnes, notamment leur identité masculine et féminine ? Quelle est la part du biologique et du psychique dans ce processus ? Qu’est-ce qui serait donné au départ aux individus et qu’est-ce qui se construirait au cours de leur existence ? À plusieurs reprises, Stoller souligne le caractère novateur mais également inachevé de ses recherches. » Si Stoller reconnaît la perversion, il ne la considère pas comme néfaste, parce que les pervers peuvent, selon lui, par la sublimation, se découvrir autres que ce qu’ils croyaient être, ou encore devenir de grands créateurs. Il condamne par contre avec virulence la psychanalyse qui considérait, depuis Freud, l’homosexualité comme une perversion : « Le psychanalyste s’adonne au discours sur la morale comme l’ivrogne à la boisson. Je n’ai nullement l’intention de me joindre à ces augustes censeurs du comportement sexuel qui se chargent de dire si la liberté sexuelle est bonne ou mauvaise pour la société ou qui se prononcent sur les lois et la façon dont elles devraient être appliquées pour garantir notre ordre moral. » (Nous pouvons voir ici que les racines de la théorie du genre sont très récentes dans l'histoire humaine, et que s'ils elles attestaient d'une vérité fondamentale ayant toujours existé elles auraient pu tout aussi bien surgir à n'importe quel moment dans l'histoire. Alors qu'elles apparaissent dans une époque où les rapports de productions et leurs répercussions socio-économiques entraînent tout un nouveau champ libre de possibilités dans les échanges de biens et des nouveaux rôles auxquels sont invités les humains à y participer. Mais l'implication de cette participation ne fera que diminuer à mesure que l'environnement biologique de l'homme se fera capter par la machine, ne laissant à ce dernier que la nostalgie d'une implication plus importante dans son histoire. Le surgissement de la théorie du genre et plus tard du LGBT va de pair avec la perte de sens et du sacré eux-mêmes consécutives de la modernité et de son processus historique qu'un des pères de la sociologie Max Weber qualifiait en son temps par l'expression de « désenchantement du monde ».) Mendosa. Poursuivons avec Youssef : Gayle S. Rubin (né en 1949), féministe américaine, née dans une famille juive, est la première anthropologue à utiliser le terme de « genre ». Elle élabore la notion de « système de sexe/genre », qu’elle définit ainsi : « L’ensemble des dispositions par lesquelles une société transforme la sexualité biologique en produits de l’activité humaine et dans lesquelles ces besoins sexuels transformés sont satisfaits… Le genre est une division des sexes socialement imposée. Il est le produit des rapports sociaux de sexualité. Les systèmes de parenté reposent sur le mariage. Ils transforment donc des mâles et des femelles en "hommes" et en "femmes", chaque catégorie étant une moitié incomplète qui ne peut trouver la plénitude que dans l’union avec l’autre. Hommes et femmes sont, bien sûr, différents. Mais ils ne sont pas aussi différents que le jour et la nuit, la terre et le ciel, le yin et le yang, la vie et la mort. En fait, si l’on s’en tient à la nature, les hommes et les femmes sont plus proches entre eux que les uns ou les autres ne le sont de quoi que ce soit d’autre – par exemple les montagnes, les kangourous ou les cocotiers. L’idée que les hommes et les femmes sont plus différents qu’ils ou elles ne le sont de toute chose autre doit provenir d’un lieu qui n’est pas la nature. [...] Loin d’être l’expression de différences naturelles, l’identité de genre exclusive est la suppression de similitudes naturelles. Et ceci exige la répression : chez les hommes, de ce qui est la version locale (quelle qu’elle soit) des traits "féminins", chez les femmes, de ce qui est la définition locale des traits "masculins". » (Voila l'origine de la dissociation du genre de son sexe imposée prétendument par des constructions sociales. En minimisant les différences entre mâle et femelle Gayle S. Rubin renforce l'idée selon laquelle les genres n'ont été imposés que socialement et arbitrairement en s'appuyant sur des représentations biologiques exagérées. Mais c'est nier les réelles et fortes différences qu'il existe entre les deux sexes et qui étaient déjà connues au début du 20ème siècle, comme le rapporte le chirurgien, biologiste, écrivain scientifique et eugéniste français Alexis Carrel : "Les glandes sexuelles ne poussent pas seulement au geste qui, dans la vie primitive, perpétuait l’espèce, elles intensifient aussi nos activités physiologiques, mentales et spirituelles. Les testicules et les ovaires ont une fonction très étendue.", ainsi qu'une étude de 2021 prouvant la relation très intime entre le sexe et le cerveau : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-psycho-sexo/des-scientifiques-decouvrent-une-region-du-cerveau-qui-reagit-au-clitoris-900845#:~:text=Les résultats issus des examens,variait pour chaque femme testée.) Mendosa. La sociologue féministe Ann Oakley, affirmera quant à elle que « le genre n’a pas d’origine biologique, […] les connexions entre sexe et genre n’ont rien de vraiment "naturel" » Pour Judith Butler, la féministe judéo-américaine que nous avons mentionné plus haut, c’est le genre qui construit le sexe, les différences biologiques ont une importance mineures. Le genre est une construction culturelle selon elle : « Une série d’actes répétés […] qui se figent avec le temps de telle sorte qu’ils finissent par produire l’apparence de la substance, un genre naturel de l’être. » Ces théories sont aussi défendues par la neurobiologiste juive française Catherine Vidal, qui affirme qu’« à la naissance, le bébé humain ne connaît pas son sexe » et si les femmes et les hommes adoptent des comportements de genre stéréotypés, « la raison tient d’abord à une empreinte culturelle rendue possible grâce aux propriétés de plasticité du cerveau humain » Des études scientifiques ont invalidé ces théories. D’après la neuro-scientifique Sandra Witelson, les scanners IRM montrent qu’« il y a des centaines de différences anatomiques et chimiques entre les cerveaux masculins et féminins » ; elle ajoute que, dès la cinquième semaine de gestation, la testostérone change à jamais les embryons mâles ainsi que leur cerveau. Selon Apostolos Georgopoulos, professeur de neuroscience, « les cerveaux des femmes sont définitivement différents de ceux des hommes » En 2017, la plus grande étude sur le sujet, réalisée sur 2 750 femmes et 2 466 hommes et publiée dans Science, a mis en évidence que si les cerveaux masculins et féminins sont en majeure partie similaires, il existe des différences physiques importantes. Le cortex des cerveaux féminins est ainsi plus épais, tandis que le volume cérébral des cerveaux masculins est plus important. (Ce qui tendrait à démontrer la fonction naturelle de la mère dans l'amour inconditionnel qu'elle donne à son nourrisson et cet instinct de préservation qui n'est que sa continuité direct, comme peuvent le confirmer bien des mères à travers le monde qui travaillent et qui n'arrivent pas à se défaire de ce sentiment de culpabilité de laisser leur progéniture. La fameuse culpabilité maternelle, comme l'attestent ces quatre femmes dont le métier les amène à partir très loin de chez elles) Mendosa : Je continue l'argumentaire par moi même et mettrais par guillemets les sources et auteurs que j'utiliserai pour étayer mes propos. Pour continuer sur cette prétendue androgynie psychique et naturelle diversement conditionnée par une société encore patriarcale et machiste, voyons ce que nous rapporte André Bergevin Professeur honoraire à l'Université de Paris sur l'influence du rôle des hormones sexuelles dans la différenciation cérébrale de part leurs réalités biologiques : "Rappelons simplement que la testostérone inhibe le développement de l'hémisphère cérébral gauche (qui fonctionne sur un mode analytique et assure principalement le langage) ce qui entraîne chez l'homme une relative prévalence de l'hémisphère droit (qui fonctionne lui, sur un mode synthétique, entre autre pour ce qui est des relations spatiales). Ceci explique certains traits caractéristiques de la femme (précocité et performances verbales, souci du détail etc.) et de l'homme (fréquence de la dyslexie, inventivité instrumentale, synthèses etc). Non décidément "l'un n'est pas l'autre", du moins tant qu'il y aura plus d'hormones testiculaires chez l'homme que chez la femme, ce qui ne semble pas prêt de cesser !" Source https://www.amazon.fr/Révolution-permissive-sexualité-tolérance-transgression/dp/2868398219 L'hormone masculin est sécrété 50 fois plus que chez la femme, ce qui a pour conséquence de favoriser chez l'homme un jugement plus général des choses, en entre autres choses de donner à l'homme plus de forces physiques ainsi que d'engendrer la construction de son ossature et sa voix et pour finir sa musculature. Ce qui fait que l'homme dans l'histoire s'est beaucoup plus présenté que la femme dans les postes à hautes responsabilités, qu'il soit civil mais surtout militaire. L'homme n'a pas ce sentiment de ne pas être à sa place quand il s'engage dans un poste lui octroyant du pouvoir sur les autres, et de s'y sacrifier si l'engagement moral lui ordonne de le faire sur un champ de bataille. C'est pourquoi dans l'histoire il n'eut vraiment jamais de caste de guerrières exclusivement constituée de femmes qui s'est montrée dans les grandes épopées que nous connaissons au travers de la géographie mondiale, même s'il en eut existé elles n'ont été que très minoritaires dans le monde. Et puis qu'en est-il des valeurs militaires que l'on retrouve partout dans le monde ?.., et qui sont presque toujours des vertus guerrières qui se voient attribuées essentiellement à des hommes ? Les japonaises ne pouvaient devenir samouraï (bien que un cas ou deux tout à fait anecdotique ait pu existé), pas plus que les femmes Maasaï ne peuvent être soldat, et que l'on a point connaissance de femmes prétorienne, ou de janissaires femme, mamelouk femme, croisé femme, templier femme, hoplite femme, guerrier jaguar femme, cavalier tartare femme, cosaques du Don femme etc. Ce fait historique nous amènerait à penser que très tôt les hommes ont très rapidement perçu que les femmes de part leurs biologies n'étaient tout simplement pas faites pour assurer la protection du groupe, de la famille du clan ou de la tribu, et que pour s'opposer à une armée adverse efficacement il fallait la compter en nombre d'hommes uniquement. Pourquoi cette prééminence des vertus militaires et stratégiques se retrouvent-elles beaucoup plus chez l'homme que chez la femme ? Laissons le chirurgien et biologiste Alexis Carrel nous apporter la réponse : "Les testicules et les ovaires ont une fonction très étendue. D’abord, ils donnent naissance aux cellules mâle ou femelle dont l’union produit le nouvel être humain. En même temps, ils sécrètent des substances qui se déversent dans le sang, et impriment aux tissus, aux organes et à la conscience, les caractères mâle ou femelle. Ils donnent aussi à toutes nos fonctions leur caractère d’intensité. Le testicule engendre l’audace, la violence, la brutalité, les caractères qui distinguent le taureau de combat du bœuf qui traîne la charrue le long du sillon. L’ovaire exerce une action analogue sur l’organisme de la femme. Mais il n’agit que pendant une partie de l’existence. Au moment de la ménopause, il s’atrophie. La durée moindre de la vie de l’ovaire donne à la femme vieillissante une infériorité manifeste sur l’homme. Au contraire, le testicule reste actif jusqu’à l'extrême vieillesse.".., et de poursuivre "Les différences qui existent entre l’homme et la femme ne sont pas dues simplement à la forme particulière des organes génitaux, à la présence de l’utérus, à la gestation, ou au mode d’éducation. Elles viennent d’une cause très profonde, l’imprégnation de l’organisme tout entier par des substances chimiques, produits des glandes sexuelles.".., ce qui amène l'auteur à affirmer "En réalité, la femme est profondément différente de l’homme. Chacune des cellules de son corps porte la marque de son sexe. Il en est de même de ses systèmes organiques, et surtout de son système nerveux. Les lois physiologiques sont aussi inexorables que les lois du monde sidéral. Il est impossible de leur substituer les désirs humains. Nous sommes obligés de les accepter telles qu’elles sont. Les femmes doivent développer leurs aptitudes dans la direction de leur propre nature, sans chercher à imiter les mâles. Leur rôle dans le progrès de la civilisation est plus élevé que celui des hommes. Il ne faut pas qu’elles l’abandonnent.".., et de conclure "Les femmes qui n’ont pas d ’enfants sont moins équilibrées, plus nerveuses que les autres. Entre les deux sexes, il y a d’irrévocables différences. Il est impératif d’en tenir compte dans la construction du monde civilisé." L'homme, cet inconnu. La nature propre et distincte entre les deux sexes existent bel et bien, n'en déplaise aux théoriciens du genre et autres lgbtistes. Ce sont des vérités biologiques et anthropologiques que les hommes et les femmes dans l'histoire suivant leurs caractéristiques ethno-culturelles sont venues jouer dans l'attribution saines et égales à leurs riches différences, les différents rôles qu'ils durent se voir attribuer par l'ordre naturel du monde, et pour lesquels ils ne pouvaient nullement négocier ses impératifs, pas plus qu'ils ne purent négocier les lois indicibles qui gouvernent tous les éléments constituant le vivant. Les constructions sociales se sont établies progressivement au cours des siècles dans le respect de la hiérarchie naturelle du monde comme le reflet parfait de l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent. La théorie du social qui s'impose au biologique est très récente et nous vient de la modernité, autrement dit de l'affirmation du capitalisme industriel suivant la révolution française qui par l'optimisation des moyens et des hôpitaux par exemple est venue décharger la femme de ses impératifs biologiques par les usines de productions de pilules, et les avancées médicales dans le domaine de l'avortement, dont le chiffre annuel que remportent des hôpitaux américains se hisse presque aux PIB de certains pays du tiers monde. C'est que la destruction de foetus représente un gigantesque business aux frontières du marché noir et de la légalité. C'est par la modernité que le choix de l'enfant s'est posé comme projet de vie, avant la modernité le taux de mortalité infantile a toujours été très élevé. Les femmes ont toujours côtoyé la mort de très près, et la retraite n'était possible que par la progéniture qui venait continuer la poursuite du domaine par les forces nouvelles qu'elle apportait. Faut-il rappeler que c'est précisément leurs différences entre l'homme et la femme qui font la beauté de leur union ? Et que ce que recherche bien souvent un homme chez une femme est tout ce qui n'est pas homme, et inversement. Pour cela lire la Métaphysique du sexe de Julius Evola. Et pourquoi pas Sexe et caractère d'Otto Weininger. Ce faisant vous serez en parfaite mesure de constater l'effondrement intellectuel occidental en seulement à peine un siècle. Mais ça c'est un autre sujet ! Quoique cet aspect participe à la dégénérescence ambiante. Pour finir cette section j'aimerais vous partager un fait historique rendu célèbre par son infinie tristesse et sa grande brutalité. Malheureusement je cherche en vain le documentaire où un homme ayant vécu ce drame relate les faits. Cette tragédie se passe en 1940 au moment du bombardement du pont de Gien. A l'arrivée imminente des troupes allemandes, et dans le grand désarroi engendré par le bombardement de la ville par l'aviation ennemie, les autorités française eurent comme tâche d'exporter la population hors de la ville par le pont. Cependant dans la folie régnante et par l'énorme bouchon accumulé et dû aux énormes embouteillages le pont était bondé depuis des heures. C'est alors qu'on a vu des femmes se jeter par le pont, d'autres partaient se noyer dans le fleuve avec leur bébé dans leurs bras. Et on a vu aussi une femme prendre par les pieds son enfant et le fracasser contre un des murets de peur qu'il se fasse kidnapper par les allemands. Voici deux articles relatant des faits similaires : https://www.liberation.fr/societe/1999/10/12/pour-les-proteger-de-leur-pere-une-mere-qui-a-egorge-ses-deux-enfants-au-havre-a-ete-ecrouee-hier_286056/, et https://www.20minutes.fr/justice/4098188-20240626-angleterre-mere-avoue-avoir-tue-deux-enfants-7-11-ans-proteger . Dans ces deux articles les accusées se sont défendues en disant que les homicides commis sur leurs enfants avaient été fait pour les protéger. Je prends seulement ces deux articles, mais il en existe pléthore sur le net, avec toujours des mères tuant leurs progénitures pour les protéger d'un mari, d'un oncle, de difficultés financières etc. Si ces mères et d'autres ont été capables de faire ce qu'elles ont fait en prétextant de protéger leurs chairs, comment pourraient-elles le faire sans qu'il existe un instinct de protection exclusivement maternel qui les pousse malgré elles à commettre l'irréparable ? La réponse est que bien évidemment cet instinct existe, bien que nous ne connaissons pas encore toute sa portée physiologique et spirituelle. Mais la recherche ne s'arrête pas, voyez plus tôt : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/04/14/apres-l-accouchement-le-cerveau-des-femmes-n-est-plus-tout-a-fait-le-meme_6169513_1650684.html "Après l’accouchement, le cerveau des femmes n’est plus tout à fait le même" "Dans sa Carte blanche au « Monde », la chercheuse en psychologie Sylvie Chokron détaille les travaux qui montrent comment des changements dans la matière grise et blanche s’installent durablement après l’accouchement." "Les recherches récentes montrent que la physiologie des mères se modifie pendant les années, voire les décennies, qui suivent la naissance de leur enfant. Mais cela ne s’arrête pas là. Avoir un enfant transforme un adulte en un parent. C’est dire à quel point ce n’est pas juste le corps mais également l’esprit qui se modifie de manière radicale. Si l’on imagine bien à quel point la maternité entraîne des changements sur le plan psychologique, on n’est pas forcément conscient de ce qui se passe concrètement sur le plan cérébral." "Elseline Hoekzema, de l’université d’Amsterdam, et ses collègues de l’université de Madrid ont eu la possibilité de suivre la morphologie de la substance grise cérébrale de femmes avant et après la grossesse, et ce, jusqu’à deux ans après l’accouchement, comparée à celles de pères et de femmes contrôles n’ayant jamais eu d’enfant. Les résultats de cette première étude d’envergure sont édifiants. Ils révèlent que la grossesse est spécifiquement associée chez les mères à des modifications notables et durables du volume de la matière grise cérébrale, avec notamment la réorganisation d’une petite région connue pour son implication dans la cognition sociale et en particulier dans la capacité que nous avons de nous mettre à la place d’autrui. Voilà qui est précieux pour donner un sens aux réactions du nouveau-né, qui ne peut pas s’exprimer verbalement. Mais ce n’est pas tout." Voici une autre étude montrant une longévité accrue et qui est due à la relation complexe et tendrement intime entre la mère et son enfant : https://www.parents.fr/actualites/etre-parent/la-relation-entre-la-mere-et-lenfant-expliquerait-la-longevite-humaine-selon-une-etude-1093267 Ces recherches récentes valident les observations scientifiques observées et citées plus haut par Alexis Carrel il y a un siècle, selon lesquelles les biologies bien distinctes de l'homme et de la femme ont une grande influence dans leurs devenirs respectifs. L'accouchement d'un enfant par une mère ne se termine pas quand elle le reçoit dans ses bras par la sage-femme, il continue toute sa vie, et ne se termine qu'à sa mort. Et l'homme ne connaît pas ce lien, car il n'a pas la biologie de la femme, il est incapable de mettre au monde. Quid D'Alfred Kinsey ? Quand on parle de la théorie du genre et du phénomène Lgbt il est impossible de ne pas mentionner ce docteur, enfin si on peut légitimement lui décerner ce qualificatif. Ce docteur fou qui mettra fin à ses jours pendu par ses testicules est au coeur de la matrice de la soi-disant révolution sexuelle dans les années 60 aux USA, et qui déferla comme un cancer en Europe peu de temps après, et dont le lgbtisme est une de ses métastases. Judith Reisman est une américaine qui travailla pratiquement toute sa vie à décortiquer les méfaits de cet homme et ses deux rapports célèbres : Sexual behavior in the human male paru en 1948 et Sexual behavior in the human female paru en 1953. Concernent la mort plus que troublante ainsi que sa vie, l'auteur James H. Jones d'une biographie essaye d'en retracer les coulisses : Alfred C. Kinsey : A Public/Private Life sortie en 1997. Ici : https://www.amazon.com/Alfred-C-Kinsey-Public-Private/dp/0393040860, ainsi que deux critiques de cette biographie parues pratiquement à la même période : https://www.lrb.co.uk/the-paper/v20/n09/kenneth-silverman/the-balboan-view et https://www.commentary.org/articles/joseph-epstein/the-secret-life-of-alfred-kinsey/ Je vais simplement copier la quatrième page de couverture du livre de Judith Reisman intitulé "Kinsey, la face obscure de la révolution sexuelle" : "Qui n’a jamais entendu parler des « rapports Kinsey » ? Dans les années 60 et 70, alors que la révolution sexuelle transformait les mœurs et la structure des sociétés occidentales, ils en furent la caution scientifique, et même plus, la caution morale puisqu’il se disait que le puritanisme avait étouffé des pulsions naturelles et saines, et que chacun, homme, femme et même enfant, allait enfin être libéré. Publiés en 1948 et 1950, ces rapports sortirent rapidement des cercles universitaires pour inonder les publications grand public : journaux, magazines féminins, et bien sûr presse gravitant autour des mouvements pour la libération des femmes. Alors que le « jouir sans entraves » de Mai–68 allait faire florès, ces rapports nous disaient comment jouir, avec qui, combien de fois et par quelles stimulations, ouvrant la voie à ce que l’ONU est en train d’établir : des « droits sexuels » pour tous, dès l’âge de 10 ans. Car les prémisses des travaux de Kinsey – biologiste spécialiste des insectes – sont qu’en matière de sexualité il n’y a pas de normes, il n’y a que des comportements qu’il prétend observer comme il a observé les guêpes : homosexualité, sado-masochisme, voyeurisme, pédophilie et zoophilie ne sont ainsi que des variations d’une sexualité épanouie. Mais pour établir ces rapports – financés par la Fondation Rockefeller – Kinsey va puiser à toutes les sources : prostituées, prisonniers, enfants à peine pubères et même nourrissons, ce qui n’empêchera pas leur parution d’être saluée comme une avancée scientifique, alors qu’ils n’étaient qu’un instrument de la promotion de l’idéologie libertaire et de la destruction des structures familiales. C’est en 1966, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, dans le sillage d’un Jack Lang qui déplore que « la sexualité puérile est encore un continent interdit » et d’un Thierry Lévy qui se plaint avec véhémence du tabou de la pédophilie. Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui. Née aux États-Unis en 1935, Judith Reisman est une essayiste et conférencière américaine. Titulaire d’un doctorat en communication, professeur invité à l’école de droit de la Liberty University en Virginie, elle a écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public." Nous savons maintenant que pour prouver faussement ses théories Afred Kinsey s'était employé à ne rechercher des preuves que chez des personnes vivant "au-bord" de la société, et non de la majorité silencieuse qui travaillait, comme toujours l'intérêt des braves gens est méprisé par ces officines supranationales. Je vais m'arrêter ici pour l'instant. Je reprendrais cet article plus tard afin de l'alimenter en contenu et retravailler ce qui a déjà été fait. Je vous demande de ne pas me prêter des intentions belliqueuses ou quoi que ce soit d'autre, mon but recherché est à titre informatif et non d'inciter à des réactions physiques ou violentes, seulement si vous le souhaiter à du militantisme pacifique et dans les règles démocratiques, on va dire ça comme ça, ça sonne plutôt bien. Pour quelque chose que je juge à la fois néfaste aussi bien pour l'individu que pour la société, comme je pense l'avoir un peu démontré. Je laisserais le mot de la fin à Youssef Hindi dans la conclusion de son article qui m'a servi d'introduction au mien : "Les sciences dures, l’anthropologie et la sociologie peuvent et doivent être utilisées dans la lutte contre ces théories qui s’attaquent aux enfants et pourraient donc détruire à terme les sociétés. Il me semble également fondamental dans ce combat de remonter jusqu’à la genèse des idéologies LGBT pour identifier les causes, comprendre les mécanismes et les finalités de ces mouvements" (Féminisme et transsexualisme : origines religieuses et mystiques – Idéologies et mouvements LGBT). PS : Ah oui j'oubliais, pour répondre à ma toute première question "Pourquoi la femme crie dans le danger et non l'homme ?", je répondrais simplement en disant que le cri de la femme, et plus particulièrement de la mère est une alerte naturelle profondément codée dans son génétique qui a pour fonction d'appeler l'homme à la rescousse face à un éventuel danger, qu'il soit animal, climatique etc. Pour vous en convaincre je vous enjoindrais gentiment de visionner des vidéos de la chaîne https://www.youtube.com/@PoliceActivity, une chaîne américaine à but pédagogique en vue de former des policiers dans leurs futurs responsabilités qu'ils devront prendre dans le réel, et où l'on peut entendre que les femmes crient infiniment plus que les hommes, alors qu'elles partagent les mêmes dangers, du moins quand elles ne sont pas protégées par ces derniers.
    3 points
  34. Pas kiffé l'early game. Je sais que t'as dit dans la description que les arènes seraient plus dures mais franchement mettre des pokés en face comme ptéra ou scarhino avec des attaques qu'ils sont même pas censés avoir appris comme éboulement, séisme ou mégacorne fleeeeeeemme. Le concept est cool mais passer 50h à devoir xp dans les hautes herbes même en accéléré je ronfle, dommage.
    3 points
  35. ypmsei

    Mon orthographe

    @terre7777777, si tu as des problèmes de français comme moi, je te propose cet outil -> Quillbot: Grammar Checker Il analyse les phrases et met des tirés rouges s'il y a une faute d'orthographe ou de grammaire, et tu peux choisir de corriger les fautes en appuyant sur l'élément tiré en rouge ou de les laisser. C'est vraiment très efficace 👍.
    3 points
  36. This hack brings the quality of life changes from Crash 2 & 3 into Crash 1! Now the game is more accessible and can be enjoyed by anyone who disliked the concept of playing through each level deathless.

    The changes are:

    -The state of broken boxes and defeated enemies are held even after dying
    -Dying no longer disqualifies you from collecting the level’s gem
    3 points
  37. Ear

    D'où vient le LGBT ?

    Du coup ça permettrait aussi de justifier que je fasse pas une longue explication comme vous et que je dise juste : "C'est nul ce qu'il dit" (ou de mettre des réactions puériles à ses messages...). Non en vrai c'est pas d'un cerveau qu'il me manque (même si j'en vois certains arriver et dire que si 😡), c'est de patience. "Et c'est dans ces années 2010 et plus encore dans cette dynamique de crises successives que survient le phénomène LGBT" Non. https://ehne.fr/fr/encyclopedie/thématiques/genre-et-europe/de-la-transition-démographique-aux-révolutions-sexuelles/mouvements-homosexuels-et-lgbtqi-en-europe
    3 points
  38. MaiffaInes

    D'où vient le LGBT ?

    C'est bien beau d'avoir écrit et cité autant, mais de une, comme tu le dit toi même, ton machin est pas fini, donc je ne comprend pas pourquoi tu le partage. Deuxièmement, écrire et citer autant, sans même commencer par exposer les faits qui se sont produit à Stonewall, un événement majeur dans notre communauté (et oui je dis bien NOTRE car j'en fais parti) qui a donné la fameuse marche des fierté, ou Gay Pride, tout ça pour ne parler que de militaire et en résumé, d'un état de Nature qui font que les individus sont ce qu'ils sont parce qu'ils sont programmé biologiquement... A un moment, il faut réfléchir. Et avant de réfléchir, il faudrait peut être... ECOUTER
    3 points
  39. MasterDagan

    D'où vient le LGBT ?

    Prendre comme appui Youssef Hindi, conspirationniste notoire, antisémite et membre d'égalité et réconciliation, c'est quand même se tirer une balle dans le pied, non ? Mais tu as le mérite d'avoir attirer la vieille garde, bravo.
    3 points
  40. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    1993
    3 points
  41. Mendosa

    Le Petit Coin Lecture

    Parce que c'est l'été. Parce que c'est chaud. Parce que c'est l'Italie. Et que c'est superbement bien écrit.
    3 points
  42. 🔰 Sorti en 2007 FlatOut : Ultimate Carnage fut mon tout premier jeu de bagnoles sur la toute nouvelle console de Microsoft, passent de l'ère des consoles 128 bits, à la naissance de celle des consoles HD et je me souviens encore de la claque que j'avais prise à ce moment-là, car passer de FlatOut 2 sur Xbox à FlatOut : Ultimate Carnage sur Xbox 360 m'a tout de suite fait entrevoir le potentiel de cette toute nouvelle génération de consoles. Pour ceux qui ne connaissent pas la série FlatOut, il s'agit d'un mélange entre Burnout et Destruction Derby avec des décors incroyablement interactifs et destructibles, où tous les objets percutés ou détruits restent sur la piste. Pour cette version next-gen les développeurs nous proposent une mise à jour de FlatOut 2 avec un changement de taille, un tout nouveau moteur graphique. Au programme, des courses dans des décors très variés, des chronos avec classement on-line, un mode carnage composé de défis, un mode carrière des plus commun mais réussi, des arènes de destruction ou il faut être le dernier survivant à la Destruction Derby sur PSone, des courses sur des circuits en forme de lemniscate ainsi que des mini jeux pas forcement utile, comme balancer son pilote par le pare brise sur des centaines de mètres c'est un peu n'importe quoi, mais bon, on n'est pas obligé d'y jouer pour avancer dans la progression. Bref, un jeu bien complet... sauf que j'avais déjà Flatout 2 sur Xbox et que j'y voyais pas grand-chose de neuf excepté un tout nouveau moteur graphique et des textures en HD. Si quand même, il y avait plus d'adversaires sur la piste pour un carnage encore plus monstre ! Le gameplay a été revu et corrigé, simple et agréable à prendre en main. Un gameplay "arcade" bien sûr, mais beaucoup moins bourrin qu'un Burnout Revenge, et moins absurde qu'un Ridge Racer. Bref le parfait dosage pour un jeu d'arcade ! Pas de vitesse démesurée qui en deviennent ridicules dans Burnout 3 et 4, et un gameplay beaucoup plus technique qu'on pourrait le croire. Dans la lignée d'un Burnout il vous faudra une concentration extrême pour éviter tous les pièges de la course, et bordel qu'ils sont nombreux ! N'espérez pas gagner une course en jouant approximativement et n'espérez pas revenir miraculeusement en tête après 2 ou 3 crashs. Les environnements sont variés, à la campagne comme à la ville, il est quasiment toujours possible de courir un peu en dehors de la piste et c'est là qu'il y a le plus de choses à casser. Un boost est disponible, celui-ci se remplit quand vous percutez les véhicules ennemis, quand vous faites des sauts ou détruisez les décors. Mais n'espérez pas revenir premier à coup de boost, celui-ci n'est qu'une petite aide supplémentaire. Non, pour gagner à FlatOut il n'y a qu'une seule possibilité, avoir de bons réflexes ! D'autant que l'IA est agressive et le niveau de difficulté élevé. Un vrai jeu d'arcade et totalement "next-gen" comme je vais vous le prouver dans le paragraphe suivant. Dès la première partie, c'est le "ouf" de soulagement, car le moteur graphique a été revu et corrigé ! Fini le flou, le framerate bas, les couleurs fades de FlatOut 2 sur Xbox. C'est maintenant coloré, beau et assez fluide ! De plus, l'ambiance sonore s'est fortement améliorée, car le son était étouffé sur les deux précédents opus. Les circuits sont réussis, la HD n'est pas forcément très fine, mais c'est varié, avec de belles couleurs, et avec des détails qui font la différence. Nous ne sommes certes pas à 60 images secondes, mais c'est très agréable et largement suffisant, de plus le framerate est très stable quelle que soit la complexité de la scène. Et nom d'un chien, que ce jeu porte bien son nom : "Ultimate carnage" car jamais dans l'histoire du jeu vidéo, on aura vu un tel niveau de destructions dans un jeu de bagnoles. Pour l'époque, le jeu était démentiel, vous pouvez tout défoncer, avec plus ou moins de succès en fonction de la masse des objets, ceux-ci sont projetés, s'envolent, ou sont traînés dans le chaos le plus total ! Vous détruisez des bâtisses qui s'écroulent gênant les adversaires qui vous suivent, vous défoncez les vitrines, vous provoquez des explosions en détruisant des stations essence, les débris volent dans les airs, retombant un peu partout sur la piste. Et chose fantastique, tous ces objets et débris ont leur "propre vie ", car vous les retrouverez à chaque tour en train de traîner un peu partout sur la piste ! Ce sont des centaines, voire des milliers de débris qui envahissent alors le circuit comme des barrières, rondins, tables, chaises, caisses, planches, bidons... Des objets retombent sur votre voiture, et restent même parfois accrochés ! C'est de la folie furieuse ! De plus, votre véhicule perd des pièces, se détruit petit à petit, fait des tonneaux, s'envole dans les airs grâce aux rampes, retombe comme il le peut... Les adversaires commettent des fautes, vous provoquent de façon agressive. Tout ceci rend le gameplay plus fun et un peu "aléatoire" et c'est un compliment, car cela rend la durée de vie énorme du fait de la gestion des décors, des objets, des nombreux obstacles, de l'IA adverse qui font que chaque course n'est jamais gagnée d'avance ! Et je ne parle même pas des courses sur circuit en forme lemniscate où à chaque croisement, on risque de se faire percuter de coté un autre véhicule ! Je ne parle même pas des arènes de destruction où le but sera de survivre à tous les concurrents. Le fun à l'état pur. Burnout a trouvé son maître, car Flatout Ultimate carnage est un rêve de gamin que vous revivez à l'écran les courses de voitures que vous organisiez dans votre chambre avec cascades et destructions ! Bugbear a totalement corrigé les deux gros défauts de la série que ce soit la conduite des véhicules et surtout le moteur graphique pour un résultat saisissant.
    3 points
  43. Pour ce qui est de Annatar je pense que tu es quelque peu optimiste à ton corps défendant, voilà bien longtemps qu'il a regagné son microcosme et je le vois mal revenir sur RS, encore moins vu la manière dont a évolué le site. Quant à moi c'est un exercice auquel je ne me suis pas prêté sérieusement depuis mes années de estudiantines, ce qui commence à dater quelque peu, mais soit, essayons en freelance. Avec ces questions il parait toujours bon, en premier lieu, de définir les termes, même s'ils peuvent sembler évidents. Pour savoir, si on se base sur un site de référence, le CNRTL : " Appréhender par l'esprit, avoir la connaissance complète de, pouvoir affirmer l'existence de. " Il y a naturellement d'autres sens mais celui-ci me semble le mieux s'articuler avec le fait "d'avoir raison" qui, toujours selon la même source, signifie " être fondé à penser ou à agir comme on le fait ". En d'autres termes, j'interpréterai la question comme ceci : quels sont les éléments, dans une situation donnée, qui peuvent nous permettre d'affirmer que notre ligne de pensée et/ou d'action est justifiée, dans le vrai ? Cela ouvre les horizons de manière épineuse, si l'on excepte le domaine des vérités absolues ou irréfutables. Si je déclare, en me trouvant sur notre bonne vieille Terre, qu'en lâchant une pomme (pas sur mon voisin, de préférence), elle va tomber, je sais que j'ai raison : selon la loi de la gravité, c'est ce qui va se passer. Il y a donc tout un pan de domaines où, suite à des découvertes, de théories, des expérimentations empiriques réplicables, on a accumulé des connaissances éprouvées sur lesquelles, le cas échéant, je peux m'appuyer pour être certain que j'ai raison. Naturellement ma propre expérience peut servir à cimenter le fait que j'ai raison. Si je vois qu'avec deux plantes d'intérieur de la même espèce, installées côte à côte avec le même substrat et le même degré d'ensoleillement, l'une dépérit parce que je l'arrose beaucoup plus que l'autre ; qu'ensuite je leur donne la même quantité d'eau et que le végétal en ayant reçut trop finit par croitre normalement, j'aurai raison de penser que l'arrosage excessif était la cause du dépérissement. Mais naturellement, la vie, ce n'est pas une succession de situations où je peux me fier à des sources sûres venant valider ma pensée ou mon action. Le fait d'avoir raison a également des échos de légitimation, de valeur morale. Car si j'ai raison de penser une certaines chose, et qu'une autre personne pense différemment, n'a-t-elle pas tort, n'est-elle pas dans le faux ? Vision certes binaire, néanmoins, lorsque les débats commencent à monter en température et partent sur le conflit, c'est plutôt vers ce prisme-là qu'on tend. Comment alors arbitrer ? Une réponse tentante est tout simplement la validation par autrui : son regard, son jugement, son opinion, que cela soit approbation ou condamnation. Prenons un cas concret. Je me promène dans la rue, allant innocemment chercher ma baguette de pain du jour, quand un malfrat me dérobe mon portefeuille et s'enfuit à toutes jambes. Manque de bol pour lui, j'ai décidé d'aller à la salle de gym depuis quelques mois et j'ai le pas leste : je le rattrape, lui fait un croche-pied, et pour faire bonne mesure, lui flanque plusieurs coups de pied à divers endroits de son anatomie, après avoir repris mon téléphone. Applaudissements des badauds. Etais-je fondé à récupérer mon bien ? Certainement, je l'ai acheté avec mes deniers durement acquis, c'est mon droit le plus strict. Avais-je raison de m'emporter et de le violenter ? La réaction des passants pourrait m'incliner à le croire. Cependant nous vivons dans un Etat de droit et l'exercice de la violence légitime ne m'appartient pas, si l'on peut imaginer qu'il est légitime de restreindre les mouvements du voleur pris sur le fait, c'est à la police de l'arrêter et à la justice de rendre un verdict, ce n'est pas à moi d'exercer ma rétribution d'une telle manière. (Là aussi il y aurait probablement tout un débat à avoir sur le bienfondé de certaines règles extérieures à nous, même si, s'il est besoin de le préciser, je ne cautionne en rien la violence envers qui que ce soit). On touche là à un argument fallacieux : l'argument ad populum, qui repose sur l'appelle à la majorité pour donner raison. Instinctivement, il est assez séduisant puisque si tellement de monde pense la même chose, la masse doit être dans le vrai, n'est-ce pas ? Ce serait raisonner de manière biaisée. Si dans une pièce 999 personnes sont d'accord pour affirmer que la Terre est carrée et qu'une seule proclame qu'elle est ronde, les 999 n'auront pas raison. Si des milliers de personnes croient qu'on peut vivre sans manger et vont réellement au bout de cette démarche, la rubrique nécrologique prouvera qu'elles n'avaient pas raison. Bref, s'il y a des domaines - comme la politique, la communication... - où l'avis de la majorité pèsera lourd dans la balance, on ne peut se baser là-dessus comme critère sans faille sur lequel nous baser. Se baser sur l'approbation de figures faisant autorité dans un domaine précis n'est pas non plus un gage d'infaillibilité, les experts peuvent aussi se tromper (si plusieurs experts sans lien entre eux tombent d'accord, c'est déjà autre chose). La seule mention du Dr Raoult, sera, je pense, évocatrice à ce sujet. Sans développer outre-mesure pour le moment, car ça forme déjà un pavé, je pense qu'outre ce que j'ai mentionné au début, il n'y a pas de moyen de savoir, au sens fort du terme, si l'on a raison ou pas- du moins, pas de manière anticipée. (On peut, pour prendre un autre exemple, faire appel à son instinct : un sentiment se basant sur nos expériences passées pour prendre des décisions, mais lui aussi n'est pas une boussole sûre) Le réel, les conséquences de nos actions ou de nos pensées, sont un marqueur bien plus sûr pour déterminer si l'on avait raison ou pas. La part de population britannique ayant opté pour le Brexit afin d'améliorer leur condition de vie et s'absoudre des chaînes européennes pensait, on peut le supposer, avoir raison de vouloir quitter l'Europe. Avec le recul et au moins sur le plan économique, qui demeurait une raison importante mise en avant par les supporters de l'idée, ce n'est pas fameux.
    3 points
  44. CopyCat

    Le Petit Coin Lecture

    J'ai adoré ce bouquin qui est tiré d'une histoire vrai. Voici le résumé de la quatrième de couverture : Parfois, les familles les plus parfaites cachent les secrets les plus terribles. Tout le monde veut vivre sur Hogarth Street, une jolie avenue bordée d’arbres avec ses maisons blanches. La famille qui vient d’emménager, est parfaite : Katherine et Josh West semblent vraiment amoureux et leurs magnifiques jumeaux de 5 ans courent en poussant des cris de joie autour de leur belle pelouse fraîchement tondue. Mais tout à coup, les voisins s’étonnent. Pourquoi, lorsque vous frappez à la porte, se débarrassent-ils de vous au lieu de vous inviter à entrer ? Pourquoi repoussent-ils les offres de baby-sitting ? D’ailleurs, personne n’a vu les enfants aujourd’hui… Chaque famille a des secrets, et au moment le plus chaud de l’année, la vérité est sur le point d’éclater. Alors qu’une tragédie se déroule derrière des portes closes, le hurlement des sirènes rompt le charme du lever du jour. Et l’une après l’autre, les familles qui se sont efforcées d’accueillir les West commencent à réaliser que Hogarth Street ne sera plus jamais la même.
    3 points
  45. Aflow

    Le Petit Coin Lecture

    Il y aurait 12 numéros de ce manga à ce jour. Il coûte 7,95 EUR si mes souvenirs sont bons... Cette histoire serait née d'une remarque faite par une de ses amies : "C'est fascinant de voir un dessin prendre vie sous ses yeux, on dirait de la magie !"
    3 points
  46. Je déterre le topic telle la taupe qui fait office de personnage principal dans Mole Mania. J'ai droit à un cookie pour avoir trouvé la réponse ? :3
    3 points
  47. Aflow

    La Cuisine pour les Nuls

    Assiette de Siu mai Wind Waker !
    3 points
  48. Link is a young boy who lives with his grandmother on the Outset Island, one of the many small islands lost amidst the waters of the Great Sea. On his tenth birthday, Link encounters a giant bird carrying a girl. Link rescues the girl, but as a result his own sister is taken away by the bird. The unknown girl is a pirate captain named Tetra, who agrees to help Link find and rescue his sister. During the course of their journey the two realize that a powerful, legendary evil is active again, and must find a way to stop him.

    The Wind Waker is the tenth installment in the Zelda series. Like its predecessors, it is an action game with puzzle-solving and light role-playing elements. Basic gameplay mechanics are similar to those found in Ocarina of Time: Link explored 3D outdoor areas and dungeons, fighting enemies and occasionally solving environmental puzzles. An addition to the combat system is the ability to parry at specific times, which is needed to overcome armored foes. Another new feature is picking up and using some of the weapons wielded by the enemies. Similarly to previous games, Link can use tools such as bow and arrow, boomerang, and bombs.

    Link needs to sail through the Great Sea in order to travel to other islands. He uses a baton called the Wind Waker to change wind direction by conducting it and producing melodies. The Wind Waker is also used for teleportation and puzzle-solving purposes. Link can use wind currents to glide and access remote areas.

    Visually, the game utilizes cel-shaded graphics to create a cartoon-like appearance. The characters' bodily proportions and facial features are not realistic, complementing the style. Link's big eyes, in particular, also have a gameplay-related function, giving clues to the player by looking at specific items needed to solve puzzles.
    3 points
  49. A 400-year-old clue in the coffin of Sir Francis Drake sets a modern-day fortune hunter on an exploration for the fabled treasure of El Dorado, leading to the discovery of a forgotten island in the middle of the Pacific Ocean. The search turns deadly when Nathan Drake becomes stranded on the island and hunted by mercenaries. Outnumbered and outgunned, Drake and his companions must fight to survive as they begin to unravel the terrible secrets hidden on the Island. Using maps and ancient artifacts, uncover clues and unravel mysteries to find a forgotten island and a treasure that was thought to have never existed.
    3 points
  50. Dragon Ball Z: Ultimate Tenkaichi is a game based on the manga and anime franchise Dragon Ball Z, and it is the fourth installment of the Budokai Tenkaichi series. The game is a 3D fighter that features various characters from the Dragon Ball Z franchise. Players can select from among 28 characters or create their own custom character to fight against the AI, or with another player locally or online.

    The game has several modes of play. The Story mode follows the plot of the anime including several of the movies and recreates many of the series' iconic battles. Most of the battles are standard one-on-one fights, but there are some special boss fights that feature giant characters like Great Ape Vegeta and Janemba. The Hero mode is similar to the Story mode in gameplay, but it features a new story centered around the player's custom character. Finally, there is the Tournament mode in which up to 16 characters can participate in a standard single-elimination tournament.
    3 points
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+02:00
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