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il y a 16 minutes, FlorianHC a dit :

Un bon fps a me conseiller (Only Sony please) ? Sur RomStation 😉

Les fps, ça ne peut pas être bon sur console sauf avec un gyroscope ou un gun ou avec une souris (oui, certains jeux+consoles sont compatible avec une souris notamment sur ps2 ou switch)


En tout cas, je recommande fortement quake et unreal tournement... mais comme dit précédemment, ils sont mieux avec souris.

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il y a 13 minutes, Gaga46 a dit :

Les fps, ça ne peut pas être bon sur console sauf avec un gyroscope ou un gun ou avec une souris (oui, certains jeux+consoles sont compatible avec une souris notamment sur ps2 ou switch)


En tout cas, je recommande fortement quake et unreal tournement... mais comme dit précédemment, ils sont mieux avec souris.

Yes mais perso je suis très mal à l'aise avec un clavier sourit et pourtant je baigne (Je ne joue plus sur console aussi de salon uniquement sur pc)dedans c'est assez paradoxal, mais je ne suis plus pour le confort manette. Mais je comprends ton point de vue 🙂

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il y a 56 minutes, FlorianHC a dit :

Mais je comprends ton point de vue 🙂

Ce n'est pas un point de vue et ce n'est pas une question de confort. La souris est beaucoup plus précise et rapide qu'un gyroscope ou qu'un joystick. (testé scientifiquement)

Après, y a des fps qui n'ont pas besoin de précision ou de rapidité...

il y a une heure, FlorianHC a dit :

(Je ne joue plus sur console aussi de salon uniquement sur pc)

j'ai pas compris du tout cette phrase.

il y a une heure, FlorianHC a dit :

mais je ne suis plus pour le confort manette.

moi aussi, j'aime beaucoup le confort de la manette à part pour les jeux avec curseur (très lent et pas précis) ou fps. Déjà sur pc, je jouais à la manette (ps1 puis ps4 puis xbox one puis hori pad mini)

 

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il y a 19 minutes, Gaga46 a dit :

Ce n'est pas un point de vue et ce n'est pas une question de confort. La souris est beaucoup plus précise et rapide qu'un gyroscope ou qu'un joystick. (testé scientifiquement)

Après, y a des fps qui n'ont pas besoin de précision ou de rapidité...

j'ai pas compris du tout cette phrase.

moi aussi, j'aime beaucoup le confort de la manette à part pour les jeux avec curseur (très lent et pas précis) ou fps. Déjà sur pc, je jouais à la manette (ps1 puis ps4 puis xbox one puis hori pad mini)

 

Je suis désole,  je ne  joue plus sur console,mais oui le clavier souris c'est mieux. 😄

il y a 22 minutes, GOONIES a dit :

XIII sur Ps2 ou GameCube 

Wolfenstein sur 3DO est sympa aussi

Je suis pas un spécialiste cela dit

🙂Merci 

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Halo, un classique, mais j'ai la version remaster sur le Pc qui est plutôt sympathique, j'en suis aux 3 ou 4e épisode. Les jeux sont cool.

Doom, Wolfenstein, Duke... et Goldeneye j'accroche pas du tout à la jouabilité et pourtant jy est jouer tout petit.

Et merci pour les propositions 🙂

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🔰 Alors celui-ci ça fait un moment que je voulais vous le présentez.

Mais je savais pas trop comment faire pour vous le présentez correctement !?

Car oui... Ça va barder, ça va canarder je vous le dit direct !"

Alors oui la vidéo est très courte mais intense !

Kane & Lynch : Dead Men c’est une licence que les p’tits gars de Io Interactive se sont fait la main sur les consoles de 7ème génération et PC.

Avant de revenir récemment à leur licence phare qu'est Hitman.

 

Au niveau du gameplay, la visée est peu précise et c'est dommage pour un jeu comme ça, heureusement que l’IA des ennemis est également aux fraises se qui des fois peu aidé...ou pas...

Surtout quand on est submergé, on est encore loin mais très loin d’un Uncharted par exemple.

Ah oui... L'histoire ? Car oui il y a une histoire, il s’agit d'un TPS dans lesquels on incarne Kane suivi de son "pote" Lynch deux mecs vraiment peu fréquentables.

Kane est un ancien mercenaire et Lynch est un psychopathe sous médocs aux côtés desquels il ne fait pas bon rester tellement ce sont des poissards finis…

 

Enfin au moins on n’a pas le temps de s’ennuyer !

Surtout que les balles fusent vraiment de tous les côtés, on est davantage dans le jeu “fusillade” C'est un hommage à quelques films du genre Heat pour ne citer que lui, les deux compères badass s’en prenant vite plein la tête si on ne trouve pas un endroit pour se planquer et éliminer les ennemis à distance…

Certains passages du premier opus sont d’ailleurs bien pénibles à passer tant on ne sait pas bien où se cacher, les balles ne faisant pas que siffler près de vos oreilles et la visée approximative n’arrange pas franchement les choses.

 

Bref, on a affaire à un jeux assez moyens dans son gameplay, certains défauts sur lesquels on ne reviendra par forcément une fois finis mais qui ne laissent pas le joueur indifférent en raison des personnages et de la mise en scène encore une fois, en somme une licence qui a encore beaucoup de choses à prouver pour devenir vraiment bonne voire incontournable.

 

PS: Respect le bruit des balles, ont dirait que tout le budget du jeu est passer là dedans !!!

 

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Il y a 5 heures, Kratos a dit :

Je vois ton avatar sur l'embed. T'as probablement une session active qui t'identifie sur youtube et qui change en conséquence l'affichage dans ton navigateur uniquement.

Ah oui c'est une histoire de navigateur !

Merci Kratos c'est bien vu !

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🔰 Encore un jeu mal aimer... Mais moi j'aime bien ce FPS.

Jouer à ce Aliens Colonial Marines c'est comme un hommage au film de James Cameron. Tandis que jouer à Alien isolation c'est comme regarder le film de Ridley Scott.

C'est deux salles deux ambiance comme on dit mais dans les deux cas on en a pour notre argent.

 

NB : Alien Isolation enfoncera le clou quelques temps après.

Mais cette opus, j'en parlerais un peu plus tard.

 

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🔰 Dans l'espace personne ne vous entendra crier.

Cette phrase culte du premier film résonne toujours de ma tête quand je joue à ce jeu.

Sorti en octobre 2014 Alien Isolation emprunte la voie salvatrice du survival à l'état pur.

Comme je l'avais dit dans ma vidéo sur Aliens Colonial Marines, ce Alien Isolation est un belle hommage au film de Ridley Scott, je parle bien-sur d'Alien, le huitième passager sortie en 1979.

 

L'histoire d'Alien Isolation se situe entre Alien, le huitième passager et Aliens le retour.

Dans le jeu, vous incarnez Amanda Ripley qui est à la recherche de réponses depuis la disparition de sa mère, Ellen Ripley.

Ripley a une occasion en or de pouvoir aller chercher la boîte noire du vaisseau, le Nostromo, qui a explosé car sa mère faisait partie de l’équipage du Nostromo.

Vous allez sur Sébastopol pour récupérer cette fameuse boîte noire.

Pendant votre périple, vous rencontrerez des ennemis comme des humains, des intelligences artificielles et bien-sur l'Alien qui est le seul vrai maitre à bord.

Vous serez pourchassés et vous devrez être discrets, car on ne sait jamais sur quoi on peut tomber dans ce décor lugubre, alarmant et surtout inquiétant.

Tout en continuant le jeu Alien Isolation, vous découvrirez la cause de l’explosion du vaisseau de votre mère.

 

Au premier abord, l’équation est donc d’une simplicité désarmante.

Enfermé dans un vaisseau-ville labyrinthique, vous devrez évoluer au fil des couloirs, ascenseurs et serrures rétro-futuristes en évitant à tout prix de croiser le xénomorphe, impossible à tuer.

Une mission particulièrement épineuse à cause des sens aiguisés de la bête, qui vous empêchent notamment de courir, sous peine de le voir rappliquer dans la seconde.

Dans ce cauchemar sans fin, votre meilleur allié sera l’indétrônable détecteur de mouvements, ainsi qu’une série de placards et autres cachettes permettant de vous dérober au regard de votre ennemi, qui lui évolue bruyamment dans les conduits d’aération pour mieux tomber dans votre périmètre et vous chasser.

 

La formule a beau sembler bête et méchante, elle est d’une efficacité redoutable.

L’expérience, basée sur une très pertinente vision à la première personne et l’attention portée aux sons, repousse les limites de l’identification lorsqu’accroupi sous une table, on entend le lourd pas de l’Alien se rapprocher et s’arrêter sous nos yeux, ou encore lorsque sa gueule baveuse se rapproche des fentes de notre casier, nous obligeant à vite appuyer sur une touche pour retenir son souffle quelques instants, faute de quoi, la bête nous arrache à notre cachette.

 

La direction artistique est une vrai tuerie !

A commencer par un superbe rétrofuturisme, revendiqué comme un hommage au premier film.

Place donc aux écrans cathodiques, aux clés de verrouillage digne des disquettes, à l’appareil de décryptage massif et ordinateur digne d'un IBM PC.

Alien Isolation arbore fièrement les habits du passé, à l’image des charmants écrans de chargement sous forme de visions pixellisées du vaisseau.

L’omniprésence de poussières et particules diverses en suspension dans l’air donne à chaque tableau une belle profondeur, accentuée par la possibilité parfois vitale de basculer le point entre le détecteur de mouvement et le décor.

La station spatiale offre d’ailleurs un panorama tristounet et un peu trop immaculé au fil des heures, jusqu’à de belles bouffées d’air frais dans la dernière partie, avec notamment une mission à l’extérieur de la navette où l’on pourra observer une superbe géante gazeuse et une pluie de météores.

La musique, tour à tour discrète et grandiloquente, se qui participe énormément à l'ambiance du soft.

 

Alien Isolation offre une multitude de séquences terrifiantes, avec cette sensation puissante d’être démuni face à l'horreur pure.

Enfermé dans un lourd corps humain et rattaché à un champ de vision beaucoup trop réduit, on apprend peu à peu à gérer sa peur comme Amanda Ripley, à cohabiter avec le xénomorphe pour avancer, quitte à être empalé en pleine lecture d’un fichier, ou débusqué qu’on s’est un peu trop penché pour surveiller la bête.

Une expérience beaucoup trop belle pour être boudée, même si elle manque parfois de maîtrise narrative, d'une dernière ligne droite réussie, et n’explore pas avec finesse le trauma de l'héroïne.

Dans tous les cas, le jeu confirme que la saga Alien a encore du carburant pour continuer à vivre pour longtemps.

 

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Alien Isolation était en effet une belle surprise, dans une licence qui a connu des cahots à travers ses différents médias.

A part quelques rares "dysfonctionnements", l'IA de l'Alien nous donne véritablement l'impression d'être traqué, sentiment d'impuissance renforcé par le fait que notre arsenal peut uniquement le ralentir ou le distraire.

Contrairement à d'autres "stalkers" comme le Némésis dans le R3make, le xénomorphe continue d'instiller de la tension tout au long du jeu (et il n'est pas le seul pour ça...).

 

La séquence finale est par contre moins bien pensée que le reste, avec un détour qui ne fait pas trop sens et une Ripley laissée en vie pour une raison nébuleuse. Le moment qui m'a le plus déplu est le flash-back avec le Marlow, guère plus qu'une longue cinématique où nous sommes aux commandes.

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