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Il y a 7 heures, Falscie a dit :

Vivement un prochain épisode sur switch peut être, sa serai cool en attendant je continue 😀

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C'est baiten kaitos, non ? il n'y a pas un remake ou remaster de prévu?

Il y a 16 heures, akumasan a dit :

Il est cool Wizard of Legend.

J'ai la version PC sur la quelle j'aime passer un peu de temps.

 Il est sympa mais quand même un poil répétitif et, bon sang, c'est dur.

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Il y a 16 heures, SerialP a dit :

 

C'est baiten kaitos, non ? il n'y a pas un remake ou remaster de prévu?

 Il est sympa mais quand même un poil répétitif et, bon sang, c'est dur.

Oui c'est bien sa, j'avais entendu qu'un remaster était prévu sur la switch puis après changer pour un 3eme opus puis maintenant point mort. 

c'est vrai que c'est répétitif mais il y a une très bonne histoire derrière et dur non il faut juste ne pas hésitez à combattre le plus possible pour l’expérience.

Sa reste quand même le seul rpg digne de se nom sur la GameCube   

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Il y a 4 heures, Falscie a dit :

c'est vrai que c'est répétitif mais il y a une très bonne histoire derrière et dur non il faut juste ne pas hésitez à combattre le plus possible pour l’expérience.

 Pour le coup, je parlais de Wizard of Legend à akumasan, pour cette phrase :

 

Il y a 20 heures, SerialP a dit :

Il est sympa mais quand même un poil répétitif et, bon sang, c'est dur.

 

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Le jour où Michael Jordan changea définitivement la face de la NBA.

En date du 20 avril 1986, face aux Celtics de Larry Bird, Michael Jordan à seulement vingt-trois ans et ce soir là il va s’emparait du record de points marquer en playoff.

C'est avec ces 63 points marquer à lui tout seul que Michael Jordan rentra dans l'histoire de la NBA de la meilleure façon qui soit.

 

C'est le premier grand exploit de l'homme que l'on appellera un peu plus tard Air 23 Jordan.

Ici commence le récit du futur plus grand joueur de l’histoire de la NBA.

Cette année-là, les grands favoris sont les Celtics, dirigés par Larry Bird, accompagné de Kevin McHale, Robert Parish et Bill Walton.

En cette année 1986 les Celtics n’ont qu’un seul objectif :

Récupérer le titre perdu en 1985 face aux Lakers de Magic Johnson.

Tout a bien commencé pour eux, Bird sera élu MVP de la saison, Walton meilleur sixième homme et les Celtics remportent 67 matchs en saison, dont 40 à domicile sur 41 !

 

Les Celtics sont donc invincibles ou presque sur leurs terres et possèdent l’avantage du terrain sur toute la durée de la postseason.

Pour le premier tour, les Celtics affrontent les Bulls. Les hommes de Stan Albeck, ont remporté seulement 30 matchs et ça suffisait pour aller en playoff.

Ce soir du 20 avril 1986, un sophomore de vingt-trois ans vient de dépoussiérer un record vieux de 24 ans, contre la meilleure équipe de la ligue et l’une des plus grandes de l’histoire, dans la forteresse la plus imprenable de l’époque, en ayant joué seulement 18 matchs de saison !

 

Au total, ce soir là Michael Jordan manquera 64 points dans ce matchs avec 19 points rien qu'aux lancers-francs, ses 6 assists, 5 rebonds, 3 interceptions et 2 contres !

Même si Chicago sera éliminé dès le match suivant on jouait au meilleur des cinq matches à l’époque, Michael Jordan a montré ce soir-là toute l’étendue de son répertoire offensif dans une des performances individuelles les plus incroyables de l’histoire de la NBA.

 

C'est à partir de ce moment là que les éloges vont pleuvoir sur le numéro 23 des Chicago Bulls après ce match inimaginable.

Voici les propres mots de Larry Bird à propos de ce match :

« Dieu s’est déguisé en Michael Jordan »

 

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🔰 Sorti le 8 octobre 2010 sur Xbox 360, Enslaved : Odyssey to the West est un jeu vidéo d'action-aventure édité par Namco Bandai et développé par Ninja Theory.

En quelques années, Ninja Theory est donc devenu un acteur incontournable de notre industrie, avec en prime des projets ambitieux et captivants comme peut l’être cet Enslaved : Odyssey to the West.

 

En choisissant de traiter à leurs façon le roman Chinois de Wu Cheng'en appeler le "Voyage en Occident" ou plus connue chez nous sous le nom de "La Pérégrination vers l'Ouest", les scénaristes de Ninja Theory sont parvenus à nous proposer un personnage principal fort, répondant au doux nom de Monkey.

Très largement inspiré de Song Wu Kong, ou Son Goku (le fameux roi des singes) ce dernier affiche un charisme immédiat. Musculeux, sauvage et se déplaçant tel un primate enragé, Monkey est également agile.

A l’instar de Lara Croft ou plus récemment de Nathan Drake d’Uncharted, notre héros a la faculté de s’accrocher à n’importe quel paroi, ce qui lui offre une palette de mouvements plus large qu’à l’accoutumée.

 

S’il est plutôt doué aux combats au corps-à-corps, il se montrera encore plus performant un bâton dans les mains.

Grâce à un gantelet magique, Monkey peut faire appel à tout moment à son arme qui lui permet non seulement d’allonger ses attaques mais aussi de s’en servir comme projectile dans des cas bien précis.

Et avec sa ceinture qui a tendance à faire office de queue de singe, vous aurez bien compris que les clins d’œil et les références à l’histoire originale chinoise ponctuent l’aventure, qui ne se fera d’ailleurs pas seul.

 

Dans son périple, Monkey a en effet hérité d’une nouvelle copine nommé Trip, pas le genre qu’on emballe à la moindre envie, mais plutôt celle qu’on se coltine par défaut parce qu’elle a réussi à le dompter grâce à une couronne spéciale, lui permettant ainsi de contrôler son esprit à distance.

Trip fera donc partie de l’aventure, que l’on veuille ou non.

Et si celle-ci a plutôt tendance à freiner notre héros dans ses mouvements il faudra souvent lui venir en aide, la porter pour passer certains obstacles ou bien encore lui faire la courte-échelle pour lui permettre d’accéder à des corniches a priori inaccessibles, elle lui sera souvent d’une aide précieuse.

 

On pense notamment à sa libellule mécanique qui permet de scanner assez rapidement une zone entière et ainsi repérer les ennemis et autres pièges qu’il va falloir combattre ou éviter.

Quoiqu’il en soit, il ne faudra jamais laisser Trip à la merci des adversaires, sa mort provoquant immédiatement celle de Monkey puisque les deux cerveaux de nos héros sont reliés par le biais de cette couronne spéciale.

On aurait aimé pouvoir contrôler Trip dans un éventuel mode coopératif, mais hormis des ordres assez simples à lui donner ne pas bouger, faire diversion ou courir dans une direction, notre jeune femme est prise en charge par l’ordinateur qui s’occupe de tout.

 

Certains pourraient penser qu’Enslaved est du genre assisté.

Il est vrai que l’aventure, aussi intéressante soit-elle, à tendance à prendre le joueur par la main, ne lui laissant qu’un champ d’actions assez restreint.

Toutefois, cet assistanat ne signifie en rien que le jeu soit linéaire, bien au contraire.

En mélangeant plutôt bien les genres et en s’efforçant à varier les plaisirs, Enslaved : Odyssey to the West ne tombe pas dans les mêmes travers qui avaient causé du tort à Heavenly Sword il y a quelques années.

Le titre de Ninja Theory s’évertue en effet à ponctuer l’aventure de combats dynamiques, de séquences de plates-formes amusantes et de phases aux commandes d’une planche volante, qui permet de surfer au-dessus de l’eau ou se déplacer plus vite.

Une variété dans les actions donc à laquelle s’ajoute un système de combat plutôt bien huilé.

Reprenant peu ou prou ce qui avait été introduit dans Heavenly Sword, les développeurs ont approfondi le gameplay d’Enslaved en s’inspirant ce qui se fait dans le genre.

 

En réalité, ce qui fait cruellement défaut à Enslaved, c’est le manque de challenge dont fait preuve le jeu.

S’il est évident que les développeurs cherchent à simplifier au plus le gameplay de leur jeu, afin de séduire un plus large public, ces derniers ont tendance parfois à oublier les gamers qui sont habitués à l’exercice, et pour lesquels certains obstacles se passent en un claquement de doigts.

Enslaved est loin d’être le jeu le plus difficile, c’est certain, et le nombre trop limité de chapitres ne nous tiendra en haleine qu’une huitaine d’heures de jeu, pas plus.

Les plus exigeants noteront également quelques chutes de frame-rate ici et là, un aliasing assez présent et souvent des textures qui mettent du temps à s’afficher convenablement.

Rien de bien dramatique dans le fond, mais l’immersion s’en retrouve quelque peu hachée, ce qui ne manquera pas de faire grincer des dents certains joueurs en quête du Saint Graal.

 

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🔰 Sorti en 2013 sur Xbox 360 Metal Gear Rising : Revengeance est un spin off de Metal Gear Solid dont le héros est Raiden, ce qui permettra aux joueurs de comprendre comment Raiden est passé du petit nouveau dans Metal Gear Solid 2 à un ninja ultra badass dans Metal Gear Solid 4.

Originalement le jeu fût développé dans les studios de Kojima Productions mais deux ans plus tard, Konami confie la direction du jeu à Platinum Games, car plus expérimenté dans les jeux d’action.

Ces derniers changent légèrement la trame scénaristique en situent les évènements 4 ans après Metal Gear Solid 4, ce qui leur donne plus de liberté pour le scénario.

Donc plus question donc de savoir comment Raiden devient un barjo du katana, ici on privilégie l’action pure et dure avec une toute nouvelle histoire aux accents futuristes dans la lignée de Metal Gear Solid 4 avec ces sociétés de Militaire Privée et ces soldats boostés aux nano-machines.

Le résultat de tout ça se nomme Metal Gear Rising : Revengeance et y a pas à dire, c’est sacrément bien burné comme jeu !

 

L'histoire de Metal Gear Rising : Revengeance prend place en 2018, soit quatre ans après que Solid Snake ait mis fin aux agissements des Patriotes dans Metal Gear Solid 4.

On retrouve Raiden, désormais employé d’une société de sécurité militaire privée, en Afrique pour protéger le Premier ministre nommé N’Mani.

C’est alors que des cyborgs attaquent le convoi du premier ministre et le capturent.

C’est là que le joueur fait ses premières armes au katana, mais ce dernier se fait zigouiller par une bande de cyborgs hyper puissants qui veulent juste foutre la merde pour s’amuser un peu et contrôler le marché de la guerre.

Malgré un scénario très nettement orienté action et une histoire à part qui ne nécessite pas de connaître la saga Metal Gear pour en comprendre tous les tenants et aboutissants, on trouvera des références aux jeux d’Hideo Kojima.

De l’enfance de Raiden aux posters cachés de playmates asiatiques, en passant par les conversations au Codec ou aux cartons pour se dissimuler, les fans trouveront de nombreux repères ainsi que des clins d’œil à d’autres œuvres sont également à découvrir dans le jeu.

 

La scène d’introduction vous place directement au cœur de l’action.

Dès la première cinématique, le sang gicle et coule à flots.

Après quelques minutes de jeu, Raiden fait déjà face à un Metal Gear qui l’attaque à coup de missiles.

Les scènes qui se déroulent sous nos yeux sont dantesques.

Raiden court sur les murs, saute sur les missiles, et découpe tout ce qui bouge et même ce qui ne bouge pas comme certains éléments du décor.

 

La transformation de Raiden aura pour effet de lui donner de nouvelles possibilités de gameplay, notamment grâce à une barre d’énergie qui se remplit grâce aux coups portés au katana et autres recharges trouvées dans des coffres ou carrément dans les corps de vos adversaires encore vivants.

En effet, lorsque la barre est suffisamment remplie, il est alors possible de passer en slow motion pour mieux découper ses adversaires.

Il devient vite facile de trancher plusieurs centaines de morceaux dans un seul ennemi.

Ces phases de boucherie, nommées Zandatsu, donneront lieu à des cutscenes peu variées mais diablement classes.

La prise en main du gameplay est rapide, instinctive et surtout jouissive, exceptés une caméra capricieuse et l’accès à l’inventaire.

En effet, pour sélectionner vos équipements, vous devrez arrêter toute action et appuyer sur la flèche de gauche ou droite pour accéder à un écran de sélection !

Raiden doit être complètement immobile, même en plein combat.

Pour un jeu purement orienté action, devoir accéder à son équipement en mettant presque le jeu en pause est plutôt mal venu.

 

Le soft propose également quelques phases d’infiltration qu’il vaut mieux respecter pour éviter des ennemis un peu trop forts.

Si vous avez suffisamment upgradé les compétences et les armes de Raiden, vous pourrez passer en force et redécorer les murs en rouge.

Vous croiserez beaucoup de soldats de base avec un katana, un flingue ou un lance-missile. Ils seront toutefois régulièrement épaulés par des collègues un peu mieux équipés comme les Mastiffs, les Gekkos ou carrément de petits Metal Gear.

Dans l’ensemble, les ennemis sont assez variés et les combats face aux boss ne vous demanderont pas trop d’acharnement.

Cependant, vous devrez apprendre leurs différents mouvements pour les contrer efficacement et frapper au bon moment.

 

En somme, Metal Gear Rising : Revengeance nous offre un concentré d’action, teinté de combats jouissifs et d’une cohérence avec l’univers de Metal Gear Solid.

Découper les adversaires en petit bout ou faire tomber des ponts entiers avec un simple katana est un vrai défouloir.

Bourré d'un humour décalé et de quelques piques bien senties sur la série de Kojima, le jeu est l' enfant terrible de la saga Metal Gear Solid.

Le fils caché qui n'empêchera jamais de donner du fun aux joueurs.

 

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🔰 Originellement sortie en 2014 sur PlayStation 4 et PC, c'est en 2018 que le jeu fût porté sur la console portable de Big N.

Transistor est un Action-RPG de science-fiction développé par SuperGiant Games les créateurs du jeu Bastion dont j'avais déjà fait une vidéo sur la chaîne.

Dans ce jeu on y incarne Red, une chanteuses des plus populaires qui fût attaquée lors d'un concert par les membres de la Camerata, une mystérieuse organisation criminelle qui en a après sa voix, l'interprète se réveille aphone au côté du corps sans vie de son bien-aimé, dont l'esprit semble avoir été enfermé dans une mystérieuse épée/clé USB, cette armes a pour nom "Le Transistor."

Mais Red n'a pas vraiment le temps de chercher à comprendre le pourquoi du comment.

Le Process, mi-programme informatique, mi-entité robotique aspire Cloudbank dans le néant.

A l'aide de sa nouvelle arme, la jolie rouquine va devoir s'échapper, trouver l'origine du problème, dénicher les membres de la Camerata pour espérer peut-être retrouver sa voix et son amour perdu.

 

Le jeu commence avec le personnage de Red, agenouillée près du corps de l'Inconnu qui a été tué par le Transistor.

Red est une chanteuse et l'attaque qui a tué le jeune homme lui a aussi volé sa voix.

La conscience de l'homme ainsi que la voix de Red résident maintenant dans le Transistor.

Ainsi la voix de l'homme va guider le joueur à travers la ville de Cloudbank, dans ses différents districts.

Le joueur va se trouver confronté à une entité robotique intelligente appelée Process.

 

En étant dans le district de Goldwalk, Red découvre que le Process est contrôlé par la Camerata, un groupe de personnes haut placées qui ont essayé de tuer Red.

Au fur et à mesure de l'aventure, Red découvre des citoyens ayant été tués et presque transformés par le Process, et absorbe leur conscience dans le Transistor.

Retournant sur la scène où Red avait chanté la veille, elle rencontre Sybil Reisz, une membre de la Camerata qui fut amie de Red avant son assassinat.

Red affronte donc Sybil qui a été "Processisée" et absorbe sa conscience dans le Transistor.

Red l'utilise pour localiser le leader de la Camerata et l'un des administrateurs de Cloudbank, Grant Kendrell.

 

Transistor ne manque donc pas de personnalité et sa narration, qui laisse volontairement de larges zones d'ombres sur certaines parties du récit, est une de ses grandes forces.

Le but est de laisser votre imagination faire le reste, ou de vous voir fouiller le jeu à la recherche de petits éléments de réponse.

Certains se plaindront peut-être de l'absence de personnages tiers mais ce sentiment de solitude qui donne aussi à l'aventure toute son épaisseur.

Dès les premiers regards sur Transistor, j'ai eu un goût de déjà-vu mais bizarrement pas dans le mauvais sens du terme car c'est plutôt de sympathiques retrouvailles.

En effet, il s'agit là du nouveau titre de SuperGiant Games, studio qui ne vous est pas inconnu si vous avez joué à l'excellent Bastion.

 

La narration se fera exclusivement par le biais d'artworks splendides à différents points-clés de la ville et de commentaires du Transistor.

Ce romantisme ambiant, cette classe de l'univers, porté par des associations de couleurs uniques et une bande son magistrale ! Oui, c'est bien là toute la force du jeu de SuperGiant qui m'a littéralement transporté.

 

En effet, les développeurs ont misé gros sur ce point en tentant d'innover avec un mélange de Hack'n Slash et de Tactical-RPG.

Audacieux, mais complexe. L'ensemble de l'aventure, est une succession d'arènes de combats contre des robots appelés "process" de plus en plus puissants au fil de l'aventure.

Avec 4 capacités actives, à choisir entre 16 différentes à la fin du jeu, il faudra trouver les bonnes combinaisons pour mettre à mal vos adversaires.

S'il sera possible de vous battre en temps réel, c'est bel et bien le pouvoir du "turn" qui fait ici toute la différence.

 

Explications : Le "Turn" est une capacité permettant de stopper le temps.

On la déclenche à la pression d'une simple touche, et c'est à partir de ce moment-là que les choses se compliquent.

Moyennant l'utilisation d'une jauge visible en haut de l'écran, il sera possible de planifier un certain nombre d'actions (déplacements, attaques) qui s'exécuteront toutes instantanément, ou presque, lorsque le temps repart.

Le contre-pied pris par les développeurs est de proposer ainsi un gameplay complétement haché qui s'apparente bien plus souvent à de la stratégie qu'à de l'action.

Un énorme travail de recherche a été abattu concernant la synergie des effets de chacune des habiletés, qui différent en fonction de leur fonction passive, active, association avec un autre pouvoir.

 

Au final, Transistor semble réunir les mêmes qualités et les mêmes écueils que fût leurs premier jeu Bastion.

Et même si le gameplay peine parfois à se renouveler, la direction artistique est tellement peaufinée qu'on a une véritable envie d'aller jusqu'au bout de l'aventure histoire d'entendre le mot de la fin.

 

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Je me refais pour la 150ème fois Dishonored. J'adore ce jeu 

 

Coté rétro, je joue a Mario et Luigi Superstar Saga sur GBA. Il est vraiment bon. 

 

Enfin niveau indé, je joue à The red Strings club

 

pour des parties rapides, je joue a Mortal Kombat 11. Le mode histoire est vraiment très sympa

 

voila voila pour une fois, mon backlog est pas trop surchargé.

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🔰 Metal Mutation est un jeu d'action post-cyberpunk Roguelike Dungeon Crawler situé dans un avenir pas si lointain pris en charge par les entreprises et la technologie.

Alors que les prothèses mécaniques hautement développées et l'IA se sont propagées, une mutation métallique causée par des nanoparticules s'est également propagée.

Alors que l'humanité et la société sont au bord de l'effondrement, un Cyborg et une IA unissent leurs forces pour empêcher l'inévitable.

 

Grâce aux miracles de la technologie, la mort n'est qu'un petit désagrément ! Améliorez votre personnage, personnalisez vos armes et choisissez judicieusement votre chemin tout en vous battant pour un avenir meilleur. Utilisez différents types d'armes et synergisez vos attributs pour des combats stylés et des combos flashy ! Explorez un monde cyberpunk ravagé par la cupidité des entreprises et l'ambition technologique. Pourquoi les groupes cyborg et les humains métavers sont-ils séparés ?

 

Comment les gens survivent-ils sous le monopole des grandes entreprises ?

La sortie de Metal Mutation c'est comme un Bonbon au chocolat, le joyau indépendant a allumé la lumière dans notre cœur, symbolisant le travail acharné et la détermination de l'équipe de développement.

Tout comme le protagoniste du jeu, nous avons fait face à de nombreux défis tout au long du processus de développement, mais nous avons persévéré, perfectionné nos compétences et amélioré nos capacités. Nous sommes ravis que les joueurs se lancent dans ce voyage avec nous et aident à façonner l'avenir de Metal Mutation.

 

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