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🔰 Sorti le 28 janvier 2021 Golden Force fût développé par le studio Français Storybird et édité par PixelHeart.

Ce jeu d'action/plateformes indépendant a tout de même trouvé la force de paraître sur Xbox One.

Au menu : De bons gros pixels, des pirates, des doublons d'or, des boss avec une difficulté relevée, et une ambiance générale qui nous ramène directement à l'ère de la Super Nintendo et de la Mega Drive.

Voyons ensemble ce que vaut cette aventure qui à première vue, fait un peu penser à Shantae sur le papier !

 

Pas le temps de prendre tranquillement les commandes en main dans Golden Force, le jeu nous place directement dans l’action.

En effet le tuto du jeu n’est rien de moins qu’un Boss gigantesque !

Au moins le ton est donné et on sait à quoi s’attendre.

Après cette douloureuse mise en jambes, nos héros débarquent sur l’île Muscle pour découper du monstre en tranche et ramasser moult piécettes.

 

Avant de commencer un niveau, 4 personnages sont sélectionnables :

-GUTZ un petit blond à l’épée un peu à la façon d'un Wonder Boy.

-SPINA avec ses cheveux violets et ses deux cimeterres qui ressemble beaucoup à Shantae.

-DRAGO une gargouille avec une grosse hache.

-ELDER un vieux guerrier avec des bras robotiques façon Zan dans Streets of Rage 3.

 

Petit bémol, il n’y a pas vraiment de différence notable entre les 4 personnages ou de capacités qui va en démarquer un plus qu’un autre.

À quelques variantes près, la manière de jouer avec ces 4 héros est similaire, et le jeu se prend assez rapidement en main malgré une palette de coups assez variés.

En effet nos pirates sont capables de dasher sur les côtés et en hauteur, charger des attaques en maintenant (X) enfoncé, glisser, envoyer des objets ou renvoyer des tirs dans tous les sens.

Lorsque votre jauge de pièce est pleine, il est également possible de faire appel à votre bateau pirate histoire de faire le ménage, un peu comme la police vu dans le premier Streets of Rage.

Gros point positif, l’aventure peut entièrement se parcourir en coopération local à deux joueurs.

 

De temps en temps vous ramassez des power-up de feu, de glace ou encore d’invincibilité qui permettent de faire le ménage.

Et vous aurez bien besoin de ces pouvoirs car Golden Force est un jeu à l’esprit rétro jusque dans sa difficulté !

Outre les boss tous très gros et assez costauds dont il faudra apprendre par cœur les patterns, les niveaux sont loin d’être une balade de santé.

Certains passages de plateformes sont assez difficiles et quelques ennemis vraiment balèzes.

Sans compter que les checkpoints sont peu nombreux, obligeant donc parfois le joueur à recommencer depuis le début en cas de mort.

Bien que l’on dispose de cinq points de vie, ces derniers fondent parfois comme neige au soleil.

Il est possible d’augmenter son nombre maximum de points de vie mais pour cela il faudra trouver des pièces spéciales bien cachées dans les niveaux et les dépenser au vendeur sur votre propre bateau pirate.

 

À l’ancienne aussi sont les graphismes du jeu, tout en pixel.

Comme d’habitude on aime ou pas. En tous cas l’ensemble ici est de bonne qualité et quelques arrières plans sont même vraiment très jolis.

La bande-son de son côté est sympathique, avec quelques thèmes marquants comme ceux des boss avec le Warning au début de chaque affrontement façon Megaman, bien qu’ils soient finalement peu nombreux. Certaines reviennent en effet plusieurs fois tout au long du jeu au fil des niveaux.

 

Golden Force reste un titre très agréable à jouer, surtout pour les amoureux d’expériences rétro.

Du moins si vous n’avez pas peur de la difficulté qui est elle aussi d’une autre époque !

Le jeu de StoryBird Games est en effet assez corsé mais n’est heureusement que très rarement frustrant. Jouable seul ou en coopération avec un ami en local, et disposant de jolis graphismes rétro, Golden Force souffre d’une durée de vie assez courte et de quelques petits problèmes techniques mais rien de bien grave qui n’ont au final que peu d’impact sur le plaisir de jeu.

 

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Le 08/11/2023 à 10:50, akumasan a dit :

🔰 Sorti le 28 janvier 2021 Golden Force fût développé par le studio Français Storybird et édité par PixelHeart.

Ce jeu d'action/plateformes indépendant a tout de même trouvé la force de paraître sur Xbox One.

Au menu : De bons gros pixels, des pirates, des doublons d'or, des boss avec une difficulté relevée, et une ambiance générale qui nous ramène directement à l'ère de la Super Nintendo et de la Mega Drive.

Voyons ensemble ce que vaut cette aventure qui à première vue, fait un peu penser à Shantae sur le papier !

 

Pas le temps de prendre tranquillement les commandes en main dans Golden Force, le jeu nous place directement dans l’action.

En effet le tuto du jeu n’est rien de moins qu’un Boss gigantesque !

Au moins le ton est donné et on sait à quoi s’attendre.

Après cette douloureuse mise en jambes, nos héros débarquent sur l’île Muscle pour découper du monstre en tranche et ramasser moult piécettes.

 

Avant de commencer un niveau, 4 personnages sont sélectionnables :

-GUTZ un petit blond à l’épée un peu à la façon d'un Wonder Boy.

-SPINA avec ses cheveux violets et ses deux cimeterres qui ressemble beaucoup à Shantae.

-DRAGO une gargouille avec une grosse hache.

-ELDER un vieux guerrier avec des bras robotiques façon Zan dans Streets of Rage 3.

 

Petit bémol, il n’y a pas vraiment de différence notable entre les 4 personnages ou de capacités qui va en démarquer un plus qu’un autre.

À quelques variantes près, la manière de jouer avec ces 4 héros est similaire, et le jeu se prend assez rapidement en main malgré une palette de coups assez variés.

En effet nos pirates sont capables de dasher sur les côtés et en hauteur, charger des attaques en maintenant (X) enfoncé, glisser, envoyer des objets ou renvoyer des tirs dans tous les sens.

Lorsque votre jauge de pièce est pleine, il est également possible de faire appel à votre bateau pirate histoire de faire le ménage, un peu comme la police vu dans le premier Streets of Rage.

Gros point positif, l’aventure peut entièrement se parcourir en coopération local à deux joueurs.

 

De temps en temps vous ramassez des power-up de feu, de glace ou encore d’invincibilité qui permettent de faire le ménage.

Et vous aurez bien besoin de ces pouvoirs car Golden Force est un jeu à l’esprit rétro jusque dans sa difficulté !

Outre les boss tous très gros et assez costauds dont il faudra apprendre par cœur les patterns, les niveaux sont loin d’être une balade de santé.

Certains passages de plateformes sont assez difficiles et quelques ennemis vraiment balèzes.

Sans compter que les checkpoints sont peu nombreux, obligeant donc parfois le joueur à recommencer depuis le début en cas de mort.

Bien que l’on dispose de cinq points de vie, ces derniers fondent parfois comme neige au soleil.

Il est possible d’augmenter son nombre maximum de points de vie mais pour cela il faudra trouver des pièces spéciales bien cachées dans les niveaux et les dépenser au vendeur sur votre propre bateau pirate.

 

À l’ancienne aussi sont les graphismes du jeu, tout en pixel.

Comme d’habitude on aime ou pas. En tous cas l’ensemble ici est de bonne qualité et quelques arrières plans sont même vraiment très jolis.

La bande-son de son côté est sympathique, avec quelques thèmes marquants comme ceux des boss avec le Warning au début de chaque affrontement façon Megaman, bien qu’ils soient finalement peu nombreux. Certaines reviennent en effet plusieurs fois tout au long du jeu au fil des niveaux.

 

Golden Force reste un titre très agréable à jouer, surtout pour les amoureux d’expériences rétro.

Du moins si vous n’avez pas peur de la difficulté qui est elle aussi d’une autre époque !

Le jeu de StoryBird Games est en effet assez corsé mais n’est heureusement que très rarement frustrant. Jouable seul ou en coopération avec un ami en local, et disposant de jolis graphismes rétro, Golden Force souffre d’une durée de vie assez courte et de quelques petits problèmes techniques mais rien de bien grave qui n’ont au final que peu d’impact sur le plaisir de jeu.

 

Se jeu me fait penser au jeu 2D pixel made in sega saturn et PSX

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🔰 À l'heure ou il n'y a quasiment plus aucune différence graphique entre les consoles de dernière génération, sachez qu'à l'époque des toutes première consoles affichent de la 3D les différences graphiques était légion, c'était même un argument de poids pour choisir telle ou telle machine.

Après la guerre des consoles 16bits qui opposer SEGA à Nintendo au début des années 90's, c'est au milieu des années 90's qu'il y eut une autre dualité qui a marqué tous les esprits de ceux qui ont connu la génération, des consoles 32bits.

 

Dans cette guerre, deux constructeurs et deux consoles sont restées gravées dans toutes les mémoires, et qui ont engendré un combat ayant longtemps fait rage malgré la mort prématurée de l'une de ces deux machines.

Je parle du combat SEGA contre SONY, la Saturn contre la PlayStation.

Pour ce comparatif, j'ai choisi Tomb Raider, car c'est l'un des tout premier jeu multi-support sorti la même année sur ces deux consoles devenu mythique.

 

Il y a toujours eu baston entre ceux qui ne juraient que par les jeux multi-supports pour donner une "vérité", et ceux qui juraient que par les exclusivités pour donner une autre "vérité".

Car effectivement, pour reprendre les termes de certains, la Saturn était une usine à gaz, une machine capable du meilleur comme du pire selon les moyens que l'on se donne dessus, mais aussi ce que l'on essaye de faire avec.

il y a aussi une autre phrase souvent dite concernant la Saturn, c'était quelle était la meilleure pour la 2D, mais la moins bonne pour la 3D.

Cette phrase tient tout simplement du fait que dans 99% des cas, les jeux 2D étaient meilleurs sur Saturn notamment grâce à sa RAM, là ou à l'inverse les jeux 3D étaient à 99% meilleurs sur PlayStation grâce à son architecture prévue pour, et ses effets en hardware en ont fait une bête de guerre dans ce domaine.

 

Comme je l'ai dit plus haut, la PlayStation de Sony a été conçue avec un maître-mot : efficacité en 3D.

Cette machine, c'était du pain béni pour les développeurs, car elle était puissante, facile à programmer, bénéficiait de plusieurs effets en hardware, coucou l'effet transparence.

Alors que du côté de la Saturn, c'était tout l'inverse avec la 3D, un cauchemar pour les programmeurs, car l'architecture revisitée tardivement n'a pas permis d'avoir une bonne optimisation avec très peu d'effets en hardware et le fait de devoir jongler entre les deux processeurs, et les kits de développements étaient moisis au lancement de la Saturn.

SEGA a mis énormément de temps à proposer de bons outils de développement.

 

La console de SEGA étant dès le départ pensée pour la 2D, du coup il en allait tout autre dans ce domaine, avec une console permettant des temps de chargement réduits, des sprites plus gros, une animation plus fluide, et surtout plus de personnages à l'écran grâce à l'ajout des cartouches de RAM qui enfonçaient le clou face à la concurrente.

Le souci, c'est que le marché étant parti vers la 3D, donc forcément, ce n'est pas l'aspect 2D qui a prévalu lorsque les gens comparaient les deux consoles.

La Saturn est donc restée avec cette image de machine moins puissante que sa concurrente.

 

Quant à la console de SONY avec son architecture faite pour la 3D permettait beaucoup plus de choses en hardware pour obtenir de bons résultats.

Plus simple, plus rapide, et plus économique que sur la concurrente, la PlayStation n'avait pas besoin de programmer les effets de transparence par exemple, elle les gère en natif, pas de problème entre certains composants comme les VDP de la Saturn qui empêche certains effets de multi-plans.

Le principal argument de la machine de SONY, c'était qu'elle permettait d'avoir des jeux 3D multi-support supérieur dans 99% des cas, car la PlayStation pouvait calculer des chiffres à virgule flottante ce qui était impossible sur Saturn.

L'autre avantage de la PlayStation, c'était la gestion de polygones triangulaire pour créer les modèles 3D, alors que pour la Saturn, c'était des polygones à 4 faces ce qui devenait vite compliqué pour le rendu des modèles 3D.

 

Pour conclure, SONY a été plus intelligent, plus prévoyant concernant l'avenir et les tendances de la deuxième moitié des années 90's.

La PlayStation, en dehors de sa fiabilité désastreuse, et de sa puissance plus légère, s'est largement imposée avec une direction plus juste, et une conception exceptionnelle ayant engendré des jeux 3D impressionnants pour l'époque, qui n'ont cessé de s'améliorer au fil des années.

SEGA aura perdu gros dans l'histoire vaincu par la petite nouvelle, mais comme on dit, c'est le jeu ma pauvre Lucette.

 

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🔰 Apres la vidéo comparatif de Tomb Raider (Saturn Vs. PlayStation) voici une autre vidéo de comparaison entre les différentes versions de Mickey Mania sur :

SEGA Megadrive. (0:01)

SEGA Mega CD. (3:50)

Super Nintendo. (8:00)

SONY PlayStation. (13:43)

Ma version préférée reste celle sur SEGA Mega-CD suivi juste derrière par celle de la version SONY PlayStation.

 

 

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🔰 Sorti en 1997 sur la Saturn de SEGA, SATURN BOMBERMAN est un jeu vidéo d'action et de puzzle créé par Hudson Soft en 1983 et autant vous le dire tout de suite, avec Bomberman '94 sur PC-Engine, ce SATURN BOMBERMAN est sans aucun doute le meilleur Bomberman jamais sorti, toute console confondue !

Plusieurs épisodes présents sur la Super Nintendo sont excellents, mais la version Saturn est pour moi indétrônable.

Un must have, Il suffit de voir l’intro en dessin animé pour s’en rendre compte.

 

Pour ceux qui ne connaîtraient pas Bomberman voici un petit rappel du principe du jeu :

Chaque joueur dirige un petit personnage qui a le pouvoir de déposer des bombes où il le souhaite. Les bombes peuvent tuer un adversaire mais également détruire des éléments du décor ce qui permet de trouver des options.

Mais vos bombes peuvent également, vous-même vous tuez, donc faite très attention au placement de vos bombes !

Le concept à l’air simple, mais il faut une bonne dose de tactique et de réflexion pour arriver au bout de tous les stages.

SATURN BOMBERMAN comporte 5 Mondes en mode « Story », chacun disposant d'une dizaine de stages et d'un Boss final.

Reste ensuite le mode « Multi-joueurs » pour passer des heures de folies avec ses amis, ainsi que le « Master Mode » où vous incarnez un Bomberman habillé d’un Dōgi à la Songoku.

Dans ce dernier mode, vous enchaînez les épreuves pour arriver à l’étage suprême d’une tour.

 

Cet opus Saturn s’impose d’entrée comme le plus bel épisode en 2D.

Les graphismes sont magnifiques et il est à mon avis difficile de faire mieux pour un Bomberman.

La Saturn montre encore une fois qu’elle est imbattable sur son terrain de prédilection qu'est la 2D.

Tout fourmille de détail, tout est animé à merveille, et lorsque des petits effets 3D viennent agrémenter le décor c’est du pur bonheur.

 

La prise en main et le gameplay sont également impeccables.

La version Saturn a repris la très bonne idée que Hudson Soft avait expérimentée sur Super Nintendo et PC-Engine, à savoir les Dinosaures de différentes couleurs.

Cela apporte une nouvelle façon de jouer, et un nouveau challenge, celui de garder son dinosaure le plus longtemps possible afin qu’il grossisse et devienne plus puissant.

Ces derniers peuvent être découverts dans des œufs cachés au milieu des stages.

Il y a cinq sortes différentes de dinosaures :

- Le violet émet des ultra-sons qui permettent d'exploser directement une bombe.

- Le bleu peut frapper les bombes pour les dégager de son passage.

- Le vert à la capacité de courir très vite.

- Le jaune pousse un hurlement qui assomme les adversaires.

- Le violet à la capacité de sauter par dessus les blocs.

 

Niveau musiques, celles du mode « Story » sont très jolies.

Le petit bémol viendra du mode « Multi-joueur » où la musique est toujours identique !

Quel dommage… Comment les développeurs ont-ils pu faire ça ?

 

Si vous jouez seul, il vous faudra de nombreuses heures pour terminer les modes « Story » et « Master ».

À noter qu’il est aussi possible de jouer à deux en même temps au mode « Story » !

C’est vraiment plaisant de pouvoir découvrir les différents stage à deux, et de s’entraider pour les boss les plus coriaces.

Quant au mode « Multi-joueurs », vous pouvez y jouer à l’infini.

 

En conclusion, SATURN BOMBERMAN est un petit bijou de jeu vidéo.

Comme je l'ai dit au début, avec Bomberman '94 sur PC-Engine, c'est le meilleur Bomberman de la série à mes yeux.

SATURN BOMBERMAN a su se remettre en question pour offrir aux joueurs ce que la série a de mieux.

Aucun défaut à signaler, la série reste la maîtresse incontestée du multijoueurs, et cet épisode en particulier en est le représentant le plus exemplaire.

 

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il y a 25 minutes, akumasan a dit :

🔰 Sorti en 1997 sur la Saturn de SEGA, SATURN BOMBERMAN est un jeu vidéo d'action et de puzzle créé par Hudson Soft en 1983 et autant vous le dire tout de suite, avec Bomberman '94 sur PC-Engine, ce SATURN BOMBERMAN est sans aucun doute le meilleur Bomberman jamais sorti, toute console confondue !

Plusieurs épisodes présents sur la Super Nintendo sont excellents, mais la version Saturn est pour moi indétrônable.

Un must have, Il suffit de voir l’intro en dessin animé pour s’en rendre compte.

 

Pour ceux qui ne connaîtraient pas Bomberman voici un petit rappel du principe du jeu :

Chaque joueur dirige un petit personnage qui a le pouvoir de déposer des bombes où il le souhaite. Les bombes peuvent tuer un adversaire mais également détruire des éléments du décor ce qui permet de trouver des options.

Mais vos bombes peuvent également, vous-même vous tuez, donc faite très attention au placement de vos bombes !

Le concept à l’air simple, mais il faut une bonne dose de tactique et de réflexion pour arriver au bout de tous les stages.

SATURN BOMBERMAN comporte 5 Mondes en mode « Story », chacun disposant d'une dizaine de stages et d'un Boss final.

Reste ensuite le mode « Multi-joueurs » pour passer des heures de folies avec ses amis, ainsi que le « Master Mode » où vous incarnez un Bomberman habillé d’un Dōgi à la Songoku.

Dans ce dernier mode, vous enchaînez les épreuves pour arriver à l’étage suprême d’une tour.

 

Cet opus Saturn s’impose d’entrée comme le plus bel épisode en 2D.

Les graphismes sont magnifiques et il est à mon avis difficile de faire mieux pour un Bomberman.

La Saturn montre encore une fois qu’elle est imbattable sur son terrain de prédilection qu'est la 2D.

Tout fourmille de détail, tout est animé à merveille, et lorsque des petits effets 3D viennent agrémenter le décor c’est du pur bonheur.

 

La prise en main et le gameplay sont également impeccables.

La version Saturn a repris la très bonne idée que Hudson Soft avait expérimentée sur Super Nintendo et PC-Engine, à savoir les Dinosaures de différentes couleurs.

Cela apporte une nouvelle façon de jouer, et un nouveau challenge, celui de garder son dinosaure le plus longtemps possible afin qu’il grossisse et devienne plus puissant.

Ces derniers peuvent être découverts dans des œufs cachés au milieu des stages.

Il y a cinq sortes différentes de dinosaures :

- Le violet émet des ultra-sons qui permettent d'exploser directement une bombe.

- Le bleu peut frapper les bombes pour les dégager de son passage.

- Le vert à la capacité de courir très vite.

- Le jaune pousse un hurlement qui assomme les adversaires.

- Le violet à la capacité de sauter par dessus les blocs.

 

Niveau musiques, celles du mode « Story » sont très jolies.

Le petit bémol viendra du mode « Multi-joueur » où la musique est toujours identique !

Quel dommage… Comment les développeurs ont-ils pu faire ça ?

 

Si vous jouez seul, il vous faudra de nombreuses heures pour terminer les modes « Story » et « Master ».

À noter qu’il est aussi possible de jouer à deux en même temps au mode « Story » !

C’est vraiment plaisant de pouvoir découvrir les différents stage à deux, et de s’entraider pour les boss les plus coriaces.

Quant au mode « Multi-joueurs », vous pouvez y jouer à l’infini.

 

En conclusion, SATURN BOMBERMAN est un petit bijou de jeu vidéo.

Comme je l'ai dit au début, avec Bomberman '94 sur PC-Engine, c'est le meilleur Bomberman de la série à mes yeux.

SATURN BOMBERMAN a su se remettre en question pour offrir aux joueurs ce que la série a de mieux.

Aucun défaut à signaler, la série reste la maîtresse incontestée du multijoueurs, et cet épisode en particulier en est le représentant le plus exemplaire.

 

Enfin quelqu'un d'autre qui s'intéresse à Bomberman !
J'ai fait le mode histoire et joué un peu en multi et essayé le mode master où je comprenais pas pourquoi Bomberman était habillé en Goku, et j'ai tout kiffé, l'animation, les niveaux et les musiques du jeu qui étaient excellentes, sans oublier les boss, surtout celui au far-west où on doit lui balancer des bombes depuis un wagon, et le boss final qui est le robot de Mujoe, alias... Mr Méchant.
J'ai fait beaucoup de jeux Bomberman, ceux sur PC-Engine, Snes, Neo Bomberman sur Neo Geo, Mega Bomberman, un portage de Bomberman '94 sur Megadrive car j'arrivais pas à le lancer sur turbografix.
Et j'ai aussi fait le premier Bomberman sur N64, Bomberman 64.

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il y a 5 minutes, Kenra2 a dit :

Enfin quelqu'un d'autre qui s'intéresse à Bomberman !
J'ai fait le mode histoire et joué un peu en multi et essayé le mode master où je comprenais pas pourquoi Bomberman était habillé en Goku, et j'ai tout kiffé, l'animation, les niveaux et les musiques du jeu qui étaient excellentes, sans oublier les boss, surtout celui au far-west où on doit lui balancer des bombes depuis un wagon, et le boss final qui est le robot de Mujoe, alias... Mr Méchant.
J'ai fait beaucoup de jeux Bomberman, ceux sur PC-Engine, Snes, Neo Bomberman sur Neo Geo, Mega Bomberman, un portage de Bomberman '94 sur Megadrive car j'arrivais pas à le lancer sur turbografix.
Et j'ai aussi fait le premier Bomberman sur N64, Bomberman 64.

Je suis un fan absolu Kenra, et cela depuis tout petit. ^^

https://www.youtube.com/@Akumasaori/search?query=bomberman

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Il y a 20 heures, GOONIES a dit :

MegaCd ma machine de coeur

😍 ❤️ 🫶 

🔰 Pour moi c'est celui-ci le meilleur jeu Mega-CD.

The Terminator sur Mega CD est une vrai petite bombe.

Non seulement, on a enfin un jeu vidéo de plates formes/action solide, jouable, riche et assez long (1h30 pour le finir environ), mais en plus, on a la venue de Tommy Tallarico à la bande son qui signe l'un des trucs musicaux les plus déments jamais entendu.

Entre nappes de synthés dans la veine de Brad Fiedel, solos de guitares heavy, mélodies imparables, nos oreilles sont au paradis !

 

Pour le reste, c'est un jeu tout à fait fonctionnel sur le plan de la jouabilité, Reese se prend en main rapidement, les sauts sont précis grâce au air control, mais ridicules à cause de l'animation trop raide et le fait qu'il n'y ait aucune impulsion contrairement à la version Megadrive.

On gagne donc en fluidité et en fun ce qu'on perd en réalisme

Et pour un jeu vidéo d'action plates/formes tel que lui, il vaut mieux que les choses tournent ainsi.

En revanche, les ennemis comme les Terminators du début sont plutôt très bien faits, contrairement aux loubards ridicules des niveaux de l'époque 1984 !

 

Les niveaux sont assez longs et bien construits, regorgent de petits passages secrets pour récolter des bonus comme des vies et des upgrades pour son arme principale.

Il y a même des boucliers d'énergie temporaires pour résister aux tirs ennemis.

Cela n'empêche pas pourtant au jeu d'être assez linéaire, puisqu'il n'est pas hyper inventif dans ses phases de plates-formes, et même assez répétitif parfois.

On grimpe les escaliers (nombreux), on tir partout, on saute, on se mange des robots volants, on se perd dans les dédales de couloirs un peu trop ressemblants entre eux, bref, on s'amuse, c'est efficace, mais on sent qu'il manque quelque chose de plus pour faire un jeu vraiment palpitant.

 

Autre petite déception, moindre cette fois-ci, les cinématiques entre chaque niveaux sont d'une qualité très discutable, avec toujours la même petite musique en fond sonore, elles reprennent les images du film de Cameron, mais sont quand même bien charcutées.

Je crois que le Mega CD est capable de beaucoup mieux pour délivrer des cinématiques, mais bon, on va dire que leur présence renforce tout de même l'ambiance du jeu pour coller à celle du film, bien que je pense personnellement qu'elle soient assez inutiles, c'est toujours un plaisir de voir les acteurs du film.

 

Pour finir, je dirai que The Terminator version Mega CD est peut-être la meilleure adaptation du film en jeu vidéo.

David Perry a réalisé un truc carré, avec une durée de vie à la hauteur (manque des sauvegardes ou des continues, dommage), et une difficulté progressive à travers des niveaux pas très jolis ni très inspiré dans leur level design, mais plutôt cohérents et aboutis.

Une version à découvrir, surtout grâce à sa bande son démente, et le fait qu'il offre un programme globalement satisfaisant.

 

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Je partage ton avis, Il est vraiment très bon celui ci et ... je l ai... presque terminé (sauvegarde au dernier niveau que je n ai pas ressorti du placard depuis ... de nombreux mois). Très bonne jouabilite et une bande son aux petits oignons à l époque, pour les grincheux des scènes cinématographiques qui piquent les yeux 😉 aujourd hui mais à l époque ça me faisait grimper aux rideaux

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Il y a 2 heures, ChatNoirRetro a dit :

Déjà pris depuis longtemps, j'avais profité à l'époque de la méga-offre proposée à l'occasion de la sortie d'Alyx pour me procurer tous les jeux de la série + les add-on...

 

...Il est peut-être temps que je me les fasse ? 👽

les add-ons tu peux pas les avoir gratuitement sur le workshop de la communauté ?

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  • 3 semaines plus tard...

🔰 Développé par Visual Concepts et publié par 2K Sports, NBA 2K12 sort en Octobre 2011 sur Xbox 360, et le moins qu'on puisse dire, c'est que dans le monde des jeux vidéo, rares sont les jeux qui n’ont aucune concurrence, et pourtant, les NBA 2K sont bien les seuls jeux de basket a être disponibles chaque année alors que la concurrence ne donne plus signe de vie depuis l’année dernière.

Mais comme on le sait tous, l’absence de concurrence pousse rarement à produire le meilleur et plutôt à se reposer sur ses lauriers.

 

La maniabilité qui a été revue :

De nouveaux mouvements sont disponibles, et surtout la manière de les effectuer a quelque peu changé.

Il faudra donc un petit temps d’adaptation aux joueurs venant de l’opus précédent pour retrouver leurs marques.

Les déplacements sont plus fluides et réalistes, mais cela induit forcément une dynamique de mouvement différente avec des changements de direction moins abruptes de par une inertie légèrement plus élevée.

 

Le stick droit permet toujours de sortir nombre de techniques de shoot, mais couplé aux boutons de tranche, ils offrent un choix encore plus impressionnant.

En défense, il y a dorénavant 3 modes de déplacement, classique à vitesse normale, une intensité de défense maximale avec LT pour des déplacements plus précis et une possibilité d’accélérer légèrement avec LT+RT tout en gardant un contrôle maximal des déplacements.

Pratique pour suivre un joueur renversant le jeu de l’autre côté du terrain.

Le stick droit permet maintenant de lever les bras en l’air en tout circonstance pour empêcher ou intercepter des passes, ou empêcher un joueur d’en recevoir une.

 

Bref, le nombre de mouvements qu’il est possible de faire s’étoffe encore plus que dans les opus précédents, et un mode permettant de pouvoir tous les apprendre et les intégrer serait vraiment le bienvenu.

 

NBA 2K12 est aussi généreux qu'il est exigeant et est en tout cas un véritable jeu de passionnés, fait par des fans pour des fans.

Mais avec ses animations bluffantes, la fidélité proposée dans la reproduction des plus grands joueurs (les fameux quinze joueurs mythiques mais aussi les as actuels), la richesse de son contenu, la profondeur de son gameplay, son ambiance et sa bande son qui tuent, la simu de 2K Sports force le respect de tous.

Le constat est aussi limpide qu'une passe laser de Magic Johnson, qu'un cross-over de Michael Jordan, qu'un tir à trois points de Larry Bird : NBA 2K12 est la meilleure simulation de basket jamais sortie à cette époque et il va falloir se lever tôt pour remettre en cause cet état de fait.

 

🔰 Le 12 juin 2011, Après une série où ils ont été menés à deux reprises, les Dallas Mavericks vont venir s’imposer et gagner la bague qui manquait tellement à cette franchise.

Dans ces Finals 2011, un match de séries. Chaque équipe a eu la sienne, LeBron James en premier quart-temps, Dirk Nowitzki (18 points en seconde mi-temps) au dernier quart-temps.

Mais vu que c'est un jeu vidéo j'ai décider que les Heat de Miami serait les grands vainqueurs.

 

Mais revenons à la réalité, durant ses Finals, Dallas a été mené deux fois, (1-0 puis 2-1) pour frapper au bon moment, là où ça faisait le plus mal au Heat.

Dans les toutes dernières secondes de la partie, alors que le titre était gagné, Dirk Nowitzki (21 points à 9/27 au shoot, 11 rebonds dans ce Game 6) rejoindra les vestiaires, submergé par l’émotion, pour pleurer.

Ce sont ses coéquipiers qui parviendront à le faire revenir sur le parquet pour la cérémonie de remise du trophée.

 

Un moment où il fut bien évidemment le héros puisque avec 26 points et 9.7 rebonds de moyenne, la star des Mavericks est logiquement sacrée MVP des Finals.

Ces Finals 2011, mais aussi les playoffs 2011 dans leur ensemble, constituent l’indéniable sommet de sa carrière.

 

Car ensuite, Dirk Nowitzki et Dallas ne remporteront plus une seule série de playoffs.

L’attente sera longue puisqu’il a fallu attendre 2022 pour revoir les Mavericks passer le premier tour des playoffs.

La NBA Finals 2011 entre les Mavericks et le Heat, on retrouve du grand, du très grand Dirk Nowitzki qui rentre le Game Winner pour permettre à Dallas d'égaliser dans la série face au Heat du Big Three LeBron James, Dwyane Wade et Chris Bosh.

 

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🔰 En 1996 les Chicago Bulls n'était plus la même équipe que lors de leur 3ème titre en 1993, avec les pertes de membres clés de comme John Paxson qui a pris sa retraite, tandis que Bill Cartwright, Horace Grant, B. J. Armstrong, Stacey King, Will Perdue et Scott Williams sont partis via la période d'agents libres.

 

Un nouveau noyau de joueurs a pris forme avec des joueurs tels que :

Luc Longley.

Toni Kukoc.

Steve Kerr.

Ron Harper.

Jud Buechler.

Bill Wennington.

Randy Brown.

Mais leur plus grand ajout à l'équipe fut Dennis Rodman, un vétéran avec neuf ans d'expérience dans la ligue, meilleur rebondeur pendant quatre années consécutives.

 

La magie du trio Michael Jordan, Scottie Pippen et Dennis Rodman va faire très mal en cette année 1996.

Cette alchimie entre ses trois joueurs leur a permis de battre le record de victoires de l'histoire de la NBA sur la saison régulière, avec un total de 72 victoires pour seulement 10 défaites.

Ils ont continué de prendre de l'ampleur en playoffs, en commençant par l'élimination des Heat de Miami au premier tour, suivi d'une victoire de cinq matchs face aux Knicks de New York.

La finale de la conférence était une revanche de la série de la saison précédente avec les Magic d'Orlando, qui se soldera sur une victoire 4-0.

 

Les Seattle SuperSonics étaient menés par Gary Payton et Shawn Kemp, avec George Karl comme entraîneur.

L'équipe était considérée comme une candidate au titre tout au long du milieu des années 1990.

Néanmoins, aucune finale NBA avant cette date, avec une défaite en finale de conférence face aux Suns de Phoenix en 1993.

Deux éliminations consécutives au premier tour ont suivi, y compris la surprenante défaite de 1994 contre les Nuggets de Denver, huitième de la conférence alors que les Sonics étaient la première tête de série.

 

Motivé par une succession de défaites en playoffs, Seattle a terminé la saison 1995-1996 avec un record pour la franchise de 64 victoires.

 

Seattle a entamé les playoffs avec une victoire en quatre matchs contre les Kings de Sacramento, suivi d'une belle victoire face au champion en titre, les Rockets de Houston.

Ils ont ensuite battu le Jazz de l'Utah en sept matchs en finale de la conférence Ouest pour se qualifier pour sa première finale NBA depuis 1979.

 

En cette année 1996 les Bulls remportent face aux Sonics le 4ème titre de leur histoire, et le 1er titre de leur 2ème three-peat.

Mais pour le coach de la franchise de Seattle de l’époque, George Karl, ses joueurs auraient pu l’emporter. Tout s’est joué d’après lui sur un point précis.

 

En 1996, Bulls et Sonics sont au sommet de leur forme.

Les Bulls dominent la conférence Est depuis le début de la décennie, ayant notamment remporté un three-peat entre 1991 et 1993.

Ils viennent alors de boucler une saison à 72 victoires.

Les Sonics sont eux une place forte de la conférence Ouest depuis quelques années.

En 1993, ils sont éliminés en finales de conférence par les Suns.

Les 2 années suivantes, ils décevront en étant éliminés à chaque fois au 1er tour.

Mais en 1996, ça y est, c’est leur année.

Forts de 64 victoires en saison régulière, Seattle atteint les Finales NBA.

 

L’affiche est posée :

Les Sonics de Gary Payton, Detlef Schrempf et Shawn Kemp affronteront les iconiques Bulls de Michael Jordan, Scottie Pippen et Dennis Rodman et inutile de refaire l’historique de ces Finales, vous en connaissez l’issue.

Les Sonics, après avoir été menés 3-0, avaient réussi à revenir à 3-2.

Les Bulls l’emportent en 6 matchs et glanent leur 4ème titre NBA.

 

Ce let's play a était effectuer sur de la version Xbox 360.

 

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il y a une heure, GOONIES a dit :

Je me rappelle de ce duel avec l énorme Trio de Seattle Shaaaaawwwnnn Kemp le destructeur de plexi et Gary "Thrash" Payton un sacre manieur de ballon. 

J adorais ces Sonics mais voilà.... MJ la concurrence ça le galvanise

J'ai jamais autant creuser l'écart pendent un match de finale.

Jordan était on-fire dans ce match.

PS J'ai toujours adorer le duo Kemp et Payton, Kemp pour ses dunks ravageur et Payton pour ses trash talk. ^^

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