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Messages recommandés

Il y a 6 heures, Kenra2 a dit :

Dans Saturn Bomberman sinon, on peut chevaucher des dinos

C'est un jeu excellent ce SATURN Bomberman, tout comme Bomberman'94 sur PC-Engine ou même son portage ou plutôt ça variante sur Megadrive nommé sobrement Mega Bomberman.

Les dinos aux différents pouvoir selon leurs couleurs son aussi de la partie dans ces trois là.

fan absolu ^^

La version Neo-Geo est cool mais sans Dinos cette fois-ci.

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Il y a 19 heures, akumasan a dit :

C'est un jeu excellent ce SATURN Bomberman, tout comme Bomberman'94 sur PC-Engine ou même son portage ou plutôt ça variante sur Megadrive nommé sobrement Mega Bomberman.

Les dinos aux différents pouvoir selon leurs couleurs son aussi de la partie dans ces trois là.

fan absolu ^^

La version Neo-Geo est cool mais sans Dinos cette fois-ci.

Ouais Saturn est considéré comme le meilleur jeu de la série !
J'ai joué à Mega Bomberman car j'avais un problème d'ému avec '94 mais c'était très cool !
Et Neo aussi excellent, même si y'a ni louies ni dinos

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Le 12/12/2023 à 01:15, Luddel a dit :

Hey, J'ai décidé d'étendre la culture rétro de ma p'tite femme en jouant a des jeux cultes qu'elle n'a jamais connu auparavant. Elle adore les dinosaures, j'ai donc commencer par la série des Dino Crisis 😉

Faut avouer que la plus part des jeux contenant des dinos... Il faut les tuer...

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🔰 Le grand "Pat" Ewing, il était une fois, un Pivot hors normes, il était le nom d'une équipe à lui tout seul et plus de vingt ans après avoir quitté les Knicks de New York, Patrick Ewing reste une figure majeure de l’histoire de la NBA car il fut l'un des rares joueurs à incarner une équipe au point de ne faire plus qu’un avec elle.

« Quand vous pensez à New York et au Madison Square Garden vous pensez à Patrick Ewing »

Soulignait Michael Jordan qui fut son adversaire chez les Bulls et son partenaire aux jeux Olympique de 92 à Barcelone.

Et ce fut le cas pour Patrick Ewing dans les années 90's le #33 des Knicks dont, je m'en souviens de lui comme si c'était hier.

L'Homme que l'on nomme « The Beast », c’est 15 saisons passées au service du « Madison Square Garden de New York » dans la quête obsessionnelle du titre NBA et avec un engagement total mais, car il y a toujours un mais, Patrick Ewing trouva toujours face à lui, une équipe pour lui confisquer la bague de Champion NBA tant convoitée.

Le grand Pat fit de tristes adieux à la ville qui ne dort jamais juste après la saison 1999-2000.

 

Patrick Ewing en quelques chiffres c'est :

All-Star : 1986, 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97

All-NBA First team : 1990

All-NBA Second team : 1988, 89, 91, 92, 93, 97

All-Defensive Second team : 1988, 89, 92

Rookie de l’année 1986

All-Rookie First team : 1986

Champion olympique : 1984, 92

Champion NCAA 1984

 

En jetant un œil au palmarès plus bas, vous noterez que l’intéressé disparut du deuxième cinq défensif après 1992.

Bien sûr, l’ami Patoche n’eut jamais de Scottie Pippen ou de John Stockton à ses côtés, et à tous ceux qui me sortirons "oui mais il y avait John Starks ou Anthony Mason", je leur dirais que ses deux-là n'était pas au niveau des deux joueurs citer précédemment, jouent la même saison.

Mais après tout, Houston fut champion en 1994 avec un seul scoreur "The Dream" #34 Hakeem Olajuwon.

Il est une idée répandue qui veut qu’une équipe joue parfois mieux sans son franchise player. Quand votre meilleur élément n’est pas là pour vampiriser le jeu, les autres prennent leurs responsabilités et le collectif en sort gagnant.

Evidemment, la démonstration bute sur le résultat des Finales.

Et son argumentation devient alors très faible : « Ewing Theory » ou pas, New York était trop limité en taille…

 

Des années après le départ du grand Pat, figure incontournable de la NBA des années 90's on continue de refaire le match !

Les séries face aux Bulls, aux Pacers et au Heat sont devenues des classiques.

« Slam » l’a classé 36éme de son Top 50 des joueurs historique de la NBA.

Seuls Walt Frazier et Willis Reed peuvent prétendre avoir fait plus pour New York.

Oui, le 21ème meilleur scoreur de tous les temps (avec 24 815 pts), icône de la Mecque du basket, fait partie du Top 10 des pivots « all-time ».

Mais plutôt dans le troisième chapeau.

 

Le premier réunirait Kareem, Wilt et Bill (à vous de les classer).

Le deuxième Hakeem, Shaquille et David Robinson (idem).

Même avant de connaître la consécration, les deux derniers eurent un petit truc en plus.

Entre 1992 et 1999, le Shaq était déjà un Hercule des parquets (27 pts, 12 rebonds de moyenne).

Robinson, lui, était un athlète sublime, aussi véloce et mobile qu’un arrière, décevant en playoffs, moins costaud mentalement mais plus complet des deux côtés du parquet.

C'est un record à 71 pts, un quadruple-double comme Olajuwon, on est à ce niveau là.

 

Finalement, le seul tort de Patrick Ewing fut peut-être de naître cinq ou six mois avant les deux joueurs qui ont trusté tous les titres NBA de 1991 à 1998 !

Un grand Monsieur qui a marquer son époque et mon adolescence au passage.

 

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Actuellement je me suis mit en grosse mode retro et un poil tourné FPS.

Pas plus tard qu'hier je me suis refait les trois premier chapitre de Wolfenstein 3D sur PC. Et a côté de ça, j'ai repris complètement par hasard un plaisir a re-débuter une partie de Medal of Honor sur PS1.

 

Et rien à voir avec Romstation mais je me suis offert un Amiga500 Mini, ce qui fait que je rejoue a Turrican et cannon Fodder depuis quelques jours.

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🔰 Sorti en 2016, Abzû fut développé par Giant Squid des anciennes membres de thatgamecompany, les mêmes développeurs qui étaient déjà derrière des titres comme Flower et Journey.

D'ailleurs, les similitudes sont nombreuses entre Abzû et Journey.

Tout comme Journey, le gameplay d'Abzû est simple mais réel, le scénario crypté, mais présent, le level design sous-marin mais pertinent, et le maniement du héros est un véritable bonheur de chaque instant.

Qu'il est difficile de juger un jeu comme Abzû, car d'un côté, le jeu est à couper le souffle visuellement, mais le manque de challenge est assez déroutant, du moins au début.

Ce qui fait clairement le charme de ce jeu, c'est la beauté des paysages sous-marins et l'activité réaliste de la faune qui y vivent.

 

Le jeu est découpé en quatre zones qui auront chacune sa particularité.

On aura droit en t'autres à un paysage très verdoyant avec beaucoup d'algues et un autre assez dégagé faisant la part belle aux coraux.

Je vais m’arrêter là pour les descriptions, car ce jeu s’apprécie vraiment dans sa découverte et dans l'exploration de ces paysages.

Et ce n'est pas tout, on à également droit à une faune riche et variée au comportement assez réaliste. En effet dans quasiment chaque grosse zone se trouve une statue permettant à notre plongeur de méditer et de pouvoir observer librement chaque poisson en particulier ce qui permettra de constater leur autonomie et leur façon de nager plutôt réussit.

Le fait que l'on puisse s'agripper aux plus gros spécimens est également une réussite, car en plus de profiter du paysage d'un nouveau point de vue, on peut être amener à diriger notre monture et à effectuer avec certains des saltos au-dessus de l'eau plutôt classe !

 

Pour le moins bon maintenant, le principal défaut du jeu, c'est l'absence de challenge.

Il y a bien quelques petites énigmes ici et là pour forcer le joueur à farfouiller un peu la zone, mais la plupart sont beaucoup trop facile, ce qui est dommage, car quelques petites énigmes un peu recherchées auraient parfaitement collé à l'esprit du jeu.

J'ai également été un poil déçu par la narration, car s'il y a bien des mosaïques pour informer le joueur sur le background, je n'aurais pas dit non à quelques lignes de textes, juste pour éclaircir le tout.

 

Donc, pour conclure, Abzû est vraiment un bon jeu d'exploration bien prenant grâce à des paysages sous-marins très jolis et une faune convaincante.

Malheureusement, le jeu ne demande aucun challenge et pour peu qu'on ne s’intéresse pas du tout à l'exploration, dans ce cas ce jeu n'est pas fait pour vous, la durée de vie ne dépassera pas les deux heures.

Pour les autres, foncez, Abzû est un véritable voyage subaquatique !

 

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Arrivant à la fin de Medal of Honor et Wolfenstein, je me suis lancé (encore) sur Final Fantasy, le premier, en version Dawn of Soul sur GBA.

Et à côté de ça, j'ai envie de tenter pour la première fois Ghosts 'n Goblins. Je pense le faire une fois ou deux avec le cheat qui permet d'avoir de la thune illimité histoire de voir ce qui m'attend et ensuite tenter de le faire par moi-même.

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Il y a 3 heures, Leonours a dit :

Et à côté de ça, j'ai envie de tenter pour la première fois Ghosts 'n Goblins. Je pense le faire une fois ou deux avec le cheat qui permet d'avoir de la thune illimité histoire de voir ce qui m'attend et ensuite tenter de le faire par moi-même.

tu joues à quel version de Ghosts 'n Goblins?, y a pas besoin de cheat sur arcade

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Il y a 10 heures, Gaga46 a dit :

tu joues à quel version de Ghosts 'n Goblins?, y a pas besoin de cheat sur arcade

J'ai pas mal hésité hier justement. J'étais partis pour la version Amiga avant de me dire que, justement, la version Arcade était sans doute la meilleure. (Il me suffirait de mettre une "pièce" quand je n'ai plus de vie) Le problème étant que je n'arrive pas bien a configurer les touches avec "Mame". Du coup j'ai chercher compliqué.

J'ai pris la Capcom classic collection reloaded sur PSP et j'ai commencé à jouer a la version qui est dessus. Mais j'ai un peu de mal a passer le premier niveau. Il y a une espèce de diablotin rouge en milieu de lvl dont je ne comprend pas encore bien le paterne. 

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@Leonours excellent choix ! 

tu es sur le Master class de la difficulté 🙂 bonne chance Camarade et que la force de ta lance soit avec toi, intrepide chevalier qui finira tôt ou tard en calbute (vous avez dit anachronique ?!)

T inquiète, c est que le début des problèmes, j ai eu la chance de rejouer à la borne récemment (un regal!) et là  j ai pu épater la galerie jusqu au ... niveau 2 ! 

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Le 22/12/2023 à 17:42, akumasan a dit :

Pour le moins bon maintenant, le principal défaut du jeu, c'est l'absence de challenge.

Dans ce cas, go subnautica! Je suis justement entrain d'y jouer... je ne sais pas si c'est super difficile mais au moins, c'est beaucoup moins couloir et tu dois te démerder à comprendre le fonctionnement de l'écosystème.

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🔰 C'est reparti pour une nouvelle année de vidéos et quoi de mieux pour démarrer 2024 qu'un Final Fantasy.

Sorti en 2022 pour fêter le 35ème anniversaire de Final Fantasy, CRISIS CORE : Final Fantasy Ⅶ Reunion est une préquelle qui situe son action cinq ans avant les événements de Final Fantasy Ⅶ.

Nous y incarnons Zack Fair, seconde classe du SOLDAT de la Shinra, envoyé avec son mentor Angeal pour éliminer une résistance tout en enquêtant sur la disparition de Genesis, un SOLDAT de première classe.

 

Ce remake de la version PlayStation Portable sorti en 2007 reste excellent dans son écriture comme dans sa mise en scène, CRISIS CORE : Final Fantasy Ⅶ Reunion n’apporte cependant rien de plus au scénario déjà proposé il y a quinze ans plus tôt sur la portable de Sony.

En tout état de cause, n’importe quel amoureux de la licence y trouvera son compte, d’autant que c’est uniquement ici que certaines réponses sont apportées et notamment des sous–intrigues simplement survolées dans l’opus principal.

 

Avec la vision de joueur de l’époque, le titre était un incontournable difficile à éviter et vraiment satisfaisant.

S’il n’y a pas la moindre incohérence avec la réécriture proposée par Final Fantasy Ⅶ Remake, beaucoup de questions se posent quant à la pertinence de la date de sortie de cet épisode.

En effet, bien des thématiques et des secrets n’ont pas encore été dévoilés dans la version Remake du jeu principal et sont pourtant évoqués assez clairement ici.

Inutile de dire que toute personne souhaitant continuer de découvrir l’histoire de Cloud Strife et de ses amis verra irrémédiablement son expérience gâchée par des révélations qu’il vaut mieux apprendre plus tard.

 

À qui s’adresse-t-il réellement ?

Aux anciens ayant déjà fait Final Fantasy VII sur la première PlayStation ?

Sans nul doute. Pour les nouveaux en revanche, qui souhaitent découvrir l’épopée originale, nous ne saurons que vous conseiller d’attendre d’avoir bouclé l’opus principal et ses suites pour éviter tout spoiler majeur.

Pour autant, il faut saluer l’idée d’écrire une préquelle à Final Fantasy Ⅶ et non une suite, permettant ainsi d’évoquer certains sujets passés sous silence, mais aussi de ne pas tomber dans l’écueil de simplement suivre les mêmes protagonistes.

 

Car si pour flatter dans le sens du poil le fan assidu, nous retrouvons une bonne partie du casting d’origine (Tifa et Yuffie étant les plus représentatives), ce dernier n’est que secondaire à l’intrigue. Seuls les personnages ayant réellement une relation « active » avec Zack sont mis en avant (Aerith, Cloud ou Sephiroth pour ne citer qu’eux) le tout en parfaite concordance avec l’intrigue de Final Fantasy Ⅶ.

 

L’histoire offre plein de clés de compréhension pour ceux qui n’auraient fait que le remake de Final Fantasy Ⅶ.

Elle introduit bien mieux la fonction et les rôles de certains personnages, notamment les TURKS, et présente surtout les motivations de méchant de Sephiroth.

Cependant, j’ai trouvé que le récit avait du mal à fonctionner en autonomie.

Crisis Core est très intéressant pour nous donner du biscuit sur la mythologie Final Fantasy Ⅶ, mais ce n’est pas le plus doué pour nous passionner avec sa propre intrigue.

Cette chasse à l’homme contre les SOLDAT devenus monstres et le lien fraternel liant Zack à son mentor Angeal ont du mal à rivaliser face aux origines stories de Cloud et Sephiroth qui défilent sous nos yeux.

Le récit est d’ailleurs conscient d’être qu’une extension d’une histoire bien plus légendaire, vu qu’il va faire souvent appel à des figures connues du jeu original pour un peu de fan service.

 

Niveau prise en main, de gros efforts ont aussi été faits.

Avec les gâchettes RT/LT dont la PlayStation Portable était dépourvu, on peut jongler entre nos potions, élixirs et autres objets de soin pour les utiliser rapidement en combat.

Désormais, Les Matérias, les sorts et les compétences, sont utilisables en utilisant un raccourci avec LB.

Cet ajout donne une maniabilité beaucoup plus moderne au jeu et permet surtout de renforcer l’aspect action du titre.

À tel point que le gameplay penche beaucoup plus du coté bourrin et un peu décérébré que celui du RPG où l’on doit réfléchir à notre équipement et nos Matérias à équiper.

Ici, spammer en boucle le sort le plus puissant en se planquant dans un coin est souvent la meilleure solution.

Peu de place à la réflexion et à l’étude des patterns comme Final Fantasy Ⅶ Remake avait su le faire.

 

CRISIS CORE : Final Fantasy Ⅶ Reunion garde la touche rétro issue de la version PlayStation Portable par son côté linéaire du jeu, ce qui n’est pas forcément désagréable vis à vis de la tendance de l’open-world.

Un travail de lifting remarquable avec les bonnes améliorations là où cela semblait être nécessaire.

Une réussite à la fois pour les amoureux de Final Fantasy et pour ceux qui souhaitent se lancer dans l’aventure.

C’est une très belle adaptation contemporaine qui apporte de la fluidité et de la lisibilité sans perdre la singularité du jeu d’origine.

 

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🔰 Ah Karl Malone...

C'est le facteur, c'est le style et la puissance, c'est le meilleur ailier-fort de l’histoire de la NBA avant que Tim Duncan #21 des Spurs, ne vienne le déloger de son piédestal en 1994.

J'ai réellement connu Karl Malone en 1992 pendent les Jeux Olympique de Barcelone.

Karl Malone reste pour moi, et sans doute pour un bon moment encore, comme le symbole de la franchise du Utah Jazz dont il a largement participé, en compagnie de John Stockton, à écrire l’histoire du club.

Retour sur la carrière du "Mailman", car c'est un facteur pas comme les autres.

 

Karl Malone en chiffres c'est :

2 fois médaille d’or aux Jeux Olympiques avec les Etats-Unis : 1992 et 1996

3 fois en Finales NBA : 1997, 1998 et 2004

2 fois MVP de la saison régulière : 1997 et 1999

2 fois MVP du All-Star Game : 1989 et 1993 (avec John Stockton)

14 fois All-Star : 1988, 1989, 1990, 1991, 1992, 1993, 1994, 1995, 1996, 1997, 1998, 2000, 2001, 2002.

11 fois All-NBA first team : 1989, 1990, 1991, 1992, 1993, 1994, 1995, 1996, 1997, 1998 et 1999.

2 fois All-NBA second team : 1988 et 2000.

1 fois All-NBA third team : 2001.

3 fois All-Defensive first team : 1997, 1998 et 1999.

1 fois All-Defensive second team : 1988.

1 fois All-Rookie first team : 1986.

3ème meilleur scoreur de l’histoire de la NBA : 36 928 points.

Maillot retiré par le Utah Jazz (n° 32)

Sélectionné parmi les 50 meilleurs joueurs de l’histoire à l’occasion du cinquantenaire de la NBA en 1996.

Sélectionné parmi les 75 meilleurs joueurs de l’histoire à l’occasion des 75 ans de la NBA en 2022.

Introduit au Naismith Memorial Hall of Fame en 2010, en tant que membre de la Dream Team 1992.

 

Statistiques en carrière en NBA :

1 476 matches joués.

25.0 points à 51.6 % au shoot.

74.2 % aux lancers-francs.

10.1 rebonds, 3.6 passes décisives.

1.4 en interceptions et 0.8 en contres.

 

C’est à partir de la saison 1987-1988 que la franchise donne les clés du camion à un jeune duo.

Ce duo légendaire constitué de Karl Malone et John Stockton est à la base du nouveau projet dirigé par le nouvel entraîneur Jerry Sloan en remplacement de Frank Layden.

À présent titulaire à la mène, Stockton devient le meilleur passeur de la ligue quand son compère obtient sa première sélection au All-Star Game et dans une All-NBA team.

Le Jazz parvient même à remporter la première série de Playoffs de son histoire grâce à un Malone impérial face à Portland, avant de s’incliner face aux Lakers.

Lorsque cette montagne bodybuildée de 2.06 m et 115 kg arrivait lancée, il valait mieux ne pas aller à son encontre.

Sur jeu placé ils étaient encore plus inarrêtables, faisant du "pick and roll", leur spécialité, un véritable ballet.

Malone savait user de tous les moyens pour scorer avec une régularité folle.

En défense, le grand Karl Malone n’est pas un protecteur de cercle de premier ordre mais son physique en fait un défenseur difficile à bouger et son intelligence de jeu lui permet de lire les lignes de passes adverses comme peu d’intérieurs en sont capables.

Une nouvelle fois Malone se perfectionne dans ce domaine pour devenir un défenseur plus que sérieux, récompensé par une sélection dans une All-NBA Defensive Team à 3 reprises à la fin des années 1990.

 

En Playoffs, l’équipe dirigée par Jerry Sloan ne laisse ni les Rockets (3-2), ni les Spurs (4-1), ni les Lakers des jeunes Shaq et Kobe (4-0), se dresser sur leur route pour retrouver les Bulls en finale. Là encore ils se confrontent à un Jordan trop fort et trop déterminé à écrire sa légende en réalisant un second three-peat.

Karl Malone peut se mordre les doigts, lui qui a perdu une balle décisive dans le Game 6, avant que Michael Jordan ne plante le tir de la victoire.

Une nouvelle fois MVP la saison suivante, Malone ne parviendra plus à porter le Jazz à de tels sommets en post-saison.

Les 4 dernières saisons de l’ailier-fort montrent son lent déclin, ainsi que celui de son équipe. Un dernier baroud d’honneur aux Lakers Après 18 saisons au Jazz, Malone profite de son statut d’agent-libre à l’été 2003.

 

Il figure sans conteste parmi les meilleurs ailiers-forts de tous les temps, et pour beaucoup détient le titre officieux de plus grand joueur à n’avoir jamais été champion NBA.

Récompense suprême, il est introduit au Hall of Fame en 2010, à la fois pour sa carrière mais également en tant que membre de la Dream Team aux Jeux Olympique de Barcelone en 1992.

Pris par l’émotion, il laisse tomber le masque de gros dur qu’il avait porté pendant presque 20 ans sur les parquets NBA pour remercier, dans un discours empreint d’humilité, la franchise du Utah Jazz, l’ancien propriétaire Larry Miller, décédé un an auparavant, et sa mère, Shirley, décédée sept ans jour pour jour avant la cérémonie.

Aujourd’hui, Malone reste comme l’une des légendes de la NBA et le plus grand joueur de l’histoire du Jazz aux côtés de John Stockton, son compère de toujours.

Côte à côte dans la victoire comme dans la défaite, Karl et John le sont également devant la salle du Utah Jazz à Salt Lake City où trônent leurs statues.

 

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il y a 4 minutes, GOONIES a dit :

Moi aussi j avais un gros faible pour The MailMan mon premier poster 5Majeur papier glacé tellement photogénique quand il attaquait le cercle Esprit Gros nounours !!!!

 

Assist de Stockton

AlleyHoops

The MailMan knocked Again ! 

Car nous aussi on l'aime.

 

Capture d’écran 2024-01-09 15324611.png

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