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PixaRom, Le Magazine de RomStation


Aronaar

Messages recommandés

Invité LordDagan

Puisqu'on en est aux covers, je ne peux m'empêcher de vous montrer celle de la future ré-édition du numéro 1. Quand, on ne sait pas encore, mais c'est une volonté d'uniformiser l'ensemble.

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Oyé, oyé, braves Lecteurs ! Vous excuserez le léger retard, ainsi que les coquilles résiduelles : Kimimaros s'est démené, n'hésitant pas à passer une nuit blanche, pour que le magazine subisse le moins de retard possible.

Lorsque vous verrez le résultat, je pense que vous n'en tiendrez pas trop rigueur vu la métamorphose du format. Attention d'ailleurs, ce numéro II peut être assez long à charger !

Nous vous souhaitons une bonne lecture et sommes comme avant réceptifs à vos commentaires. Une note concernant la longueur, néanmoins, aucun d'entre nous ne s'attend à ce que vous lisiez tout et encore moins le faire rapidement, savourez-le tranquillement.

Sous ce format les liens ne sont pas activables, ils seront rajoutés plus tard.

http://www.joomag.com/magazine/pixarom-n-2/M0133363001385874626

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Invité LordDagan

Comme vous pourrez le constater, nous avons pris notes de vos commentaires, et avons (enfin, surtout Kimi :D) donné un aspect magazine, vous avez même l'effet du "tournage" de page. Ceci dit, vous avez aussi la possibilité de le télécharger en un format PDF des plus classique.

En espérant que ce numéro vous plaira. Sachez qu'on est pas près de lâcher, le prochain numéro sera dès ce soir mis en chantier.

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J'ai surtout passé plus de 24 heures sans dormir, dont 8 heures consacrés exclusivement au journal. Mes os craquent. :p

J'espère en tout cas que vous lirez ce deuxième numéro avec autant de plaisir que celui que j'ai pris à faire la conception de ce dernier. Et surtout le plus important, apprécier le contenu. La forme c'est bien, mais le fond c'est encore meilleur. :)

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Ah je vois qu'il ya un journal qui a su tenir le coup ^^

En tout cas, je viens de lire en entier cette deuxième édition du journal et je ne peux m'empêcher de féliciter l'ensemble de la rédaction :ok:

Une mise en page structurée comme il se doit, des images bien placées et en harmonie avec le texte. Des rubriques fortement intéressantes et une lecture par glissade de pages entre elles.

C'est juste magnifique. Je tiens surtout à féliciter Kimimaros pour la sublime couverture de cette deuxième édition (et aussi pour la première édition).

Bonne continuation à l'ensemble de la rédaction, j'ai hâte de lire vos prochaines éditions :)

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Allez je me lance pour les commentaires :)

J'ai passé 2h à feuilleter le magazine, et du coup je n'ai pas tout lu évidemment. Seulement ce qui m'intéressait le plus au premier abord (comme dans un véritable mag quoi ^^). Attention... pavé!

Tout d'abord, les points positifs :

Effectivement félicitations pour la mise en page, elle est super chouette, l'écriture va nickel cette fois, les images sont vraiment utiles, très bien choisies, bref ça fait déjà carrément plus pro, disons. Du bon boulot ça! Vraiment.

J'ai beaucoup aimé les speed tests qui sont très sympas (même si j'ai bien compris que ça n'était pas du tout prévu) je pense que c'est un concept à garder : ça allège un peu le côté sérieux du journal.

J'ai aussi beaucoup aimé l'article sur Sherlock Holmes, et l'idée d'avoir une contre argumentation par un autre rédacteur. Les deux discours sont très bons et ça permet de se faire une meilleure idée, le fait d'avoir deux versions. Même si j'avais déjà ma propre opinion.

Le fait d'avoir des nouvelles est aussi super intéressant (moi j'adore). Sauf que là, c'est trop long pour le format du mag, une seule nouvelle suffirait je pense.

Le dossier sur la peur dans le jeu vidéo m'a vachement plu aussi, bien écrit, bien complet, rien à dire si ce n'est bravo.

Du côté des tests, ça reste comme d'hab, j'ai l'impression que c'est moins lourd que dans le premier numéro (est-ce qu'il y en a moins? C'est juste une impression).

En gros, je dirais que le magazine est complet, varié, qu'on trouve un peu de tout, tests, présentations, films, avis, chroniques, "BD", l'idée est vraiment chouette. Et avec la nouvelle présentation, c'est très agréable à lire donc je dis bravo pour la performance, franchement, vous vous êtes vraiment investis, c'est pas fait à l'arrache et ça se voit.

Maintenant, ce qui va moins bien (ben oui faut bien héhé) :

Il faut absolument le nom des auteurs de chaque article. C'est la base je pense, savoir qui écrit, surtout au début quand on s'approprie le magazine et donc le style de chacun. Ca manque, là.

Les articles de Maiffa et d'Aronnar sont bons mais un truc me gène : le duo avec Jane pour Maiffa ou Bob pour Aronnar, c'est super redondant. Surtout quand deux articles de ces auteurs sont à la suite. Je trouve que ça ne rajoute rien, que c'est du remplissage et que Maiffa pourrait très bien avoir son style perso et reconnaissable sans Jane. Moi je préfère lire Maiffa.

J'ai un peu moins aimé le numéro du rageux de base (sorry Nnam) ce mois-ci. J'adore l'idée, je pense qu'il faut le garder, mais y a tellement de parenthèses dans le texte que du coup je m'y suis un peu perdue.

L'annonce de ce qu'il y aura dans le prochain numéro est vraiment pas top... le lecteur se sent assez exclu du truc et on pige pas tout. Du coup... pas trop d'intérêt même si ça aurait pu être amusant.

L'édito du départ ne m'a pas plu du tout... assez démoralisant en fait. Je sais que le message ne voulait pas être aussi dur mais moi j'en ai surtout retenu que la communauté de RS était naze, que les rédacteurs étaient au-dessus, et que le journal s'éloignait donc de la communauté. Hors, il y est pleinement rattaché donc dommage.

Allez je m'arrête là.

Bravo à tous, je suis vraiment ravie d'avoir ce magazine à lire et je trouve que vous faites du bon boulot. Les critiques que je peux faire ne sont qu'un avis tout à fait perso à ne surtout pas prendre mal. C'est pas parce que quelque chose ne me plait pas que je vous demande de le changer, c'est juste à titre indicatif... je ne veux vraiment fâcher personne.

Thumbs up! :ok: :bravo:

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Non mais je t'en veux pas, cette fois, mon rageux de base est juste en dessous de ce que j'aurais aimé avoir comme minimum moi-même, j'ai juste pas trouvé assez d'inspiration cette fois pour cette rubrique...

J'ai apporté plus d'attention à Musclor du coup...

Ah oui j'en ai pas parlé, mais en même temps là par contre rien à dire. Dans le sens que l'article était nickel ^^

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J'ai passé en revu quelques articles du premier numéro du journal (et feuilleter le second). C'est plutôt intéressant.

La présentation est en effet meilleur pour le second numéro. Cependant les articles ne sont plus signés il semblerait. Cela me chagrine un peu.

Après sur les propos de certains articles du premier numéro, il y a des choses sur lesquelles je ne suis pas d'accord ou sur lesquelles je voudrais revenir. (Petite précision, même si j'aurais l'air un peu critique ou hargneux, dîtes-vous qu'en faite il n'en est rien. En réalité je les trouve assez intéressants.)

_Page 63. NickHarwitt. Yuzo Koshiro.

Je trouve que l'article sur Yuzo Koshiro manque de véritable "direction". Ca donne un peu l'impression d'avoir à faire à l'introduction d'une dissertation de français, surtout le premier paragraphe qui semble dénué de but, d'intention propre. Ce premier paragraphe ressemble à de la paperasserie que tu essaies de remplir le plus hâtivement possible. Alors que les "débuts" de de Koshiro sont loin d'être une anecdote...

Pour être plus précis : sa carrière chez Falcom est un fait remarquable. Autres choses qui ne sont pas anodines : les jeux trois "jeux"/série que tu as cité et mis entre parenthèse comme pour t'en débarrasser le plus vite possible. Le fait que tu les suives par des points de suspension, qui sont injustifiés car ta liste était bel et bien exhaustive, me font penser que tu ne mesures pas la propre importance des noms que tu cites dans ce premier paragraphe. C'est aussi un peu le cas, dans une moindre mesure, pour les paragraphes qui suivent, d'ailleurs à ce propos, il semble que Street of Rage date de 1991 et non de 1992.

Lorsque tu cites des faits, des jeux ou n'importe quoi et que ces choses cités sont le coeur/le sujet de la phrase il faut que tu possèdes une maîtrise totale sur ces entités. Et ce n'est pas l'impression que tu donnes. A titre de comparaison, Aronaar, lorsqu'il écrit, semble avoir une connaissance sur les jeux qu'il cite et donc donne l'image de maîtriser son propos.

Qu'en à toi, que sais-tu de Street of Rage en faite? Sais-tu ce qu'est Nihon Falcom que tu as écris avec un "n" au lieu d'un "m"? Même question pour Ys, Slayer Dragon et Xanadu.

Si tu n'as pas les bonnes connaissances c'est un tort de les citer, et si tu les avais alors il fallait étoffer ton propos avec.

il compose une bande-son de type techno/trance music ce qui était une première dans l'histoire de la composition vidéo-ludique.

Aussi si tu dis quelque chose d'aussi fort à propos de lui, du jeux-vidéo et de la "trance music" tu te dois définir et justifier plus précisément ton propos. Moi je ne m'y connais absolument pas en "trance music" donc je ne vois pas le côté extraordinaire dans le fait qu'il soit supposément le premier a en composé. Il faut véritablement justifier l'importance de ce propos, parce qu'à priori, il doit y avoir des "premier" partout. Il y a certainement un premier gars à avoir composer dubstep pour un jeu ou un premier mec à avoir fait un bitbox dans un jeu.

Mais la véritable raison pour laquelle je suis dubitatif est celle-ci

Ce n'est peut-être pas de la "trance" (quoi que ça puisse être) mais pour n'importe quel manant c'est du même style que ce qu'a fait Koshiro sur Street of Rage. C'est le genre de truc très "urbain" que l'on imaginerait bien dans une boîte de nuit... Et cela précède Koshiro et son Street of Rage. Au final où est la véritable révolution apportée par Koshiro?

D'ailleurs est-ce que tu as vraiment écris ta phrase avec la conviction que c'était une révolution? C'est de ça dont je parle quand j'ai dit que ça manquait de volonté dans ton article. Ecrire avec un but, avec une conviction c'est éviter les formules toutes faites qui sont de ce fait souvent dénué de justification. Si jamais tu es persuadé que le fait de faire de la trance c'est révolutionnaire, argumente, étoffe, combat. Si en réalité tu n'en a rien à faire, abstiens-toi d'écrire des choses auxquelles tu ne crois qu'à moitié.

Puis le passage "Street of Rage" a été un un peu expédié compte tenu de l'importance qu'il a eu sur sa carière. J'aurais aimé de l'étoffement sur ce passage aussi.

De même je voudrais, par exemple, plus d'information quant au fait que la chute de Shenmue aurait frappé la réputation de Koshiro. (d'ailleurs est-ce vrai? je ne l'ai lu nulle part)

Enfin il me faut revenir sur ton introduction et sur Falcom, parce que je me suis un peu trop éloigné de mon premier désaccord avec l'article...

Comme je l'ai sous-entendu, je trouve que l'introduction a été un peu expédié. La raison c'est qu'en terme de musiques de jeux-vidéo japonnais, Falcom, ce n'est pas n'importe qui. Devant même Dragon Quest et Final Fantasy c'est sans doute lui seul le véritable précurseur qui a tenté de fonder ce lien si fort entre OST et RPGs.

"Les musiques de RPGs", expression qui en fait chavirer plus d'un, possède à priori ses racines chez Falcom. Tandis que Enix et Square se sont pendant très longtemps uniquement reposé sur un unique compositeur Sugiyama pour l'un Uematsu pour l'autre, Falcom est sans doute le premier à, de lui-même, s'être autant investi dans la composition de bonne musique pour leurs RPGs.

En effet. Il semblerait que ce sont eux les premiers à avoir commercialisé des CDs d'OST de jeux, ils sont aussi les premiers à aller (et ce dès la fin des années 80) jusqu'à créer leur propre "groupe de musiciens" qui ressemble en faite à une fusion entre un label musical et une véritable team de musiciens. Avec un fonctionnement qui ne semble pas être si différent de "label" d'idols à la AKB, Morning Musume, avec, ceci dit, la médiatisation et le bling bling en moins. En d'autres termes c'est un groupe de musique dont l'existence est entièrement détenu par Falcom : Les musiques sont commandés par Falcom (pour leurs propres jeux) et ils en possèdent de ce fait tous les copyrights, ce qui selon une interview de Koshiro l'attriste quelque peu puisqu'il n'a de ce fait jamais gagné un rond des albums de ses propres ost. De plus l'existence de la team est indépendante des membres qui la compose : si des gens la quitte, d'autres seront recrutés sans modifier grand chose dans les musiques, leur style, leur qualité (d'où le parallèle avec les groupe d'idols). Ils font aussi parti des développeurs à s'être énormément investi dans la PC-Engine CD afin de leur permettre de composer des musiques aux qualités inégalées à l'époque, et ce, malgré le fait que SEGA et Nintendo dans le marché des consoles. En effet signalons que la qualité audio qu'offrait la PCE CD devant la SNES et la Genesis était incomparable. Et je peux vous dire que Falcom ont réellement fait cracher les boyaux de la PCE CD (musicalement parlant).

Le poids de Falcom sur les OSTs (au moins de RPGs) est énorme et provient d'une volonté propre de leur part. D'un côté Yuzo Koshiro a tenu une place importante dans leur projet mais d'un autre côté il n'a aussi été qu'un musicien parmi tant d'autres qui a eu la chance d'avoir vu sa canditature accepté chez Falcom et qui a pu traivaillé 2 ans chez eux. Par opposition à Falcom, Enix et Square sont des sociétés qui à priori n'avait, à l'époque, pas des ambitions musicales démeusurées et qui ont par le coup du sort rencontré la bonne personne ce qui leur a permis de former la réputation musicale qu'ils ont aujoud'hui. Evidemment ils ont ensuite évolué jusqu'à ajourd'hui posséder leur propre record label. Cependant contrairement à Falcom cette volonté est sans doute arrivé un peu plus tard par opportunisme, en effet, à l'époque, Square luttait ne serait-ce que pour survivre et n'ont recruter Uematsu qu'au détour d'un couloir (lui aussi étant au bord survie à ce qu'il paraît). De même pour Enix, ils ont eu la chance de voir débarquer Sugiyama, une figure déjà assez réputé à l'époque, qui avait été amusé par un jeu vidéo développé par Enix et leur a envoyé une lettre de fan pour finalement composer pour eux. Mais au vu des informations dont on dispose Enix semble s'être reposé uniquement sur Sugiyama pendant très longtemps pour les musiques. En plus, je suppose que c'est sans doute Sugiyama qui possède le droit d'auteur de ses musiques (un véritable rentier des temps moderne).

Voilà un petit aperçu de l'importance de Falcom. Cela a peut-être été un véritable tremplin inespéré dans la vie de Koshiro.

Mais l'ultime point qui m'a titiller, c'est le passage où tu parles de renaissance avec Etrian Odyssey. Après le passage éclair de Falcom, les deux trois phrases sur Street of Rage et Shenmue, le fait que l'épisode 'Etrian Odyssey' revêt une telle importance m'avait quelque peu perturbé et m'a poussé à écrire ce message.

Il y a vraiment des disproportions assez frappantes dans tes propos. Et je pense qu'ils sont du à un manque d'approfondissement dans ton travail.

En tout cas je te conseille ce site pour glâner deux ou trois trucs :

http://www.squareenixmusic.com/ En bas une rubrique "Artist". Il y a aussi une rubrique interview.

_Page 60 du PixaRom n°2. Shoji Meguro. Article non signé.

Le seul article du n°2 que j'ai lu pour l'instant.

Il y a déjà plus d'étoffement que dans l'article de NickHarwitt sur Koshiro. C'est une bonne chose, le signe d'une plus grande maîtrise des propos et du sujets. Même si certaines négligences sont à noter: Atlus ne s'est pas focalisé sur le Japon jusqu'en 2000. En effet des jeux développés par Atlus et édités par d'autres aux USA, il y en a de très vieux. Mais surtout, il y a même des jeux édités par Atlus aux USA... Ce que je veux dire par là c'est qu'ils avaient déjà des installations aux USA dès les années 90. A l'époque ont sorti Persona 1, des jeux comme Ronde, Maken X et ils avaient localisé et distribué au USA le portage de Tactics Ogre sur PS1.

Aussiconcernant le fait de voir Atlus comme un "studio". Il est difficile de considérer Atlus comme un studio à moins que tu ne considères que Square Enix soit aussi un studio. Atlus est au mieux une société au pire une branche de Sammy Sega. Un studio, ce serait plutôt des choses du genre Infinite Ward (qui serait un très gros studio pour le coup), Intelligent Systems, Mistwalker etc.

Enfin je conteste aussi l'importance de Meguro dans tous ces jeux (Persona et autres) ainsi que sa position en tant de compositeur et plus globalement l'impression globale que donne l'article du personnage. L'article donne vraiment l'impression qu'il est Le Créateur des musiques de Persona X etc. Or si on en croit les données du web, les crédits de fin des différents jeux, et tout plein de chose ce n'est qu'un des nombreux participants des musiques de ces jeux. Il ne détient pas l'absolue paternité des musiques de ces jeux, d'ailleurs il faudrait sans doute vérifier si ce n'est pas Atlus lui-même qui possède tous les copyrights des ost (comme pour Falcom). Par exemple le rappeur dont tu parles qui a collaboré avec Atlus (et je suppose qu'il doit y avoir une chanteuse de J-pop aussi si mes souvenirs sont bons), Meguro a beau être compositeur, est-ce à lui que revient la paternité des chansons de Persona 3? Il faudrait déjà vérifier s'il a les capacités d'écrire des paroles de chanson puis ensuite s'assurer qu'il les ait bien écrites.

Ensuite chose importante : précisons que dans certains jeux d'Atlus il a non pas signé comme compositeur mais comme "producer" ou "director". Ce n'est donc pas qu'un compositeur. D'ailleurs en se renseignant un peu sur sa vie, la compostion n'était pour lui qu'un hobbie à la base : Il a un diplôme en méca des fluides... Là où je veux en venir c'est que peut-être faudrait-il le voir surtout et avant tout un employé d'Atlus (peut-être même un cadre, mais on n'en sait rien enfaite) plutôt comme l'artiste libre comme l'air "à la Koshiro" que tu as décrit. Et c'est là que ton portrait peut s'opposer à la réalité.

Je m'explique : ta description de Meguro semble épouser celle de l'artiste en tant qu'électron libre, pillier de nombreux jeux et ayant composé leur musique de A à Z. J'ai l'impression de retourner au début des années 90, un unique compositeur qui, littéralement, CREE l'OST, des jeux Créés par quelques artistes. On est dans le cadre de ma description du Square et de l'Enix d'antant. Et c'est d'ailleurs pour cela que je suis revenu sur ton propos qualifiant Atlus de studio : à cause l'image globale qui ressort, une image définitivement romantique. Alors qu'au final, en réalité, ce n'est peut-être qu' " un salarié ou un cadre d'Atlus, une companie qui crée des jeux vidéo. Dans le processus de création de jeux signés Atlus, il intervient principalement dans le secteur qui s'occupe de créer les musiques du jeux." Une description un peu moins romantique mais non moins réaliste.

Avec les informations dont on dispose, pour moi Meguro est justement totalement différent d'un Koshiro ou d'un Nujabes. Et ça ! J'aurais aimé le ressentir dans ton article. Pour moi c'est surtout et avant tout un employé d'Atlus (donc absolument pas un électron libre). De ce fait les compositions qu'il a pu faire ne peuvent se dissocier d'Atlus, son portrait ne peut se dissocier d'une description d'Atlus. Mais surtout, et j'en ai la conviction, contrairement aux cas Uematsu/Koshiro/Sugiyama, tu ne peux ratacher les musiques de Persona ou d'autres jeux à son unique personne parce que cela reviendrait à les détacher injustement des jeux dont ils proviennent et qui par contre sont produits d'Atlus.

Sinon à part ça, cela m'a plu que tu ais choisi ces compositeurs. Ce sont précisément les deux seuls compositeur sur lesquels je connais deux ou trois trucs. Je ne pensais pas qu'une telle coïncidence puisse se produire. Nous devons être sur la même longueur d'onde ma parole!.

P.S. : J'avais aussi prévu de commenter l'article sur Dagan sur Dragon Quest ainsi que la petite rubrique manga écrite par quelqu'un qui n'a pas signé mais je pense que je m'arrêterais là finalement.

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