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La Taverne de Socrate, venez débattre !


Annatar78

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Woah woah woah woah et t'as oublié de dire "le frustré qui fait des longs paragraphes avec des majuscules et de points mais qui fait des fautes totalement horribles à chaque phrase".

 

Mis à part ça, j'ai une question pour toi: comment tu veux que ça se passe bien si fais genre que t'es une sorte de psychologue (?) avec tes vieilles analyses totalement altérées et subjectives ? J'vois pas où est le débat alors que toi-même tu est censé faire en sorte d'en avoir un puisque tu as l'air d'en vouloir.

 

Tu crois vraiment qu'un philosophe se prendrait la tête pour des choses aussi stupides que ça ? La philosophie est censée faire cogiter mais là tout ce que je vois c'est deux ou trois personnes qui sont en train de se prendre la tête avec des tournures de phrases exagérées pour... quelle raison ? ;)

 

Je me suis permise de dire que j'aimais les bananes parce que je prends pas du tout ce topic au sérieux, c'est juste un topic qui se barre en steak sur un site totalement inconnu. Après si réellement tu veux faire de la philosophie, apprendre à pas se chauffer quand une personne dit qu'elle aime les bananes est l'une des premières choses à faire. Ca sert franchement à rien de se prendre pour quelqu'un qu'on est pas.

 

Sinon ouais, j'aime grave les bananes ! =P

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Il y a 6 heures, Miisaka a dit :

 

Je me suis permise de dire que j'aimais les bananes parce que je prends pas du tout ce topic au sérieux, c'est juste un topic qui se barre en steak sur un site totalement inconnu. Après si réellement tu veux faire de la philosophie, apprendre à pas se chauffer quand une personne dit qu'elle aime les bananes est l'une des premières choses à faire. Ca sert franchement à rien de se prendre pour quelqu'un qu'on est pas.

 

Sinon ouais, j'aime grave les bananes ! =P

Oh vraiment tu aimes les bananes ( ͡° ͜ʖ ͡°)
 
Personellement je trouve les bananes dangereuse, l'idée même de trouver potenciellement trouver une mygale mortellement venimeux dans un banane m'a toujours fait peur. Une peur dû a mon arachnophobie.
Rien ne me dis que l'araignée veut ma mort mais l'idée de savoir qu'une banane sur 1000 peut m'être mortel me suffis pour éviter les bananes comme la peste alors que dans les faits les chances sont justement minime.

Pourquoi cette peur est capable de nous rendre completement irrationnel alors 5 minutes de reflexion suffisent pour ne pas s'en faire mais qui reste présente malgrés tout ?

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Il y a 13 heures, emmily a dit :

Lol tu te prend trop la tête avec des détails , on est ce qu'on est et celui qui n'avance pas recule c'est juste un principe universal hei.  

Heho d'où t'a vu que j'avais besoin de reconnaissance moi ? 

De quoi tu parles  au juste ? 

 

Toi tu comprend pas les même mots que nous, ou tu fait semblant, ça sers a rien que je t'explique 20 mille fois, je passe.

 

Il y a 10 heures, Miisaka a dit :

Woah woah woah woah

 

Tes une fausse personne, t'arrête pas de venir avec un comptes différent a parler légume, la je suppose que sais la dévergondée le personnage ? Hé gars tu me la fera pas a l'envers. Tout le reste sais du vide que tu raconte, tu cite rien, les raisons je les est deja donner, mais fermer les yeux hein chuuute.

 

Il y a 3 heures, Annatar78 a dit :

Ne répondez pas à Zaito, il n'en vaut pas la peine.

 

Oui j'aimerais bien, mais pourrait tu arrêter d'envoyer des petite pique mesquine alors que les titres de tes prétendu livres je les attend toujours ? Merci.

 

Donc me cité pas et laisser les gens toute a chacun de voir comment sais déroulé la discussion, pas besoin d'être mesquin avec moi sur une pauvre phrase de 4 mots, ça deviens puéril, alors que vous répondais avec rien.

 

(Je participe pas respirer)

Sujet de Annatar78: Nos peurs influent-elles sur notre comportement ?  Se débarrasser de nos peurs peut-il faire de nous un être différent ?

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Nos peurs influent-elles sur notre comportement ?

 

Lorsque l'on ressent de la peur, le corps peut transpirer, trembler, se paralyser, voire même s'évanouir.
On peut donc dire que la peur, peu importe son objet, influe sur notre comportement physique.

 

 

Pour ce qui est du comportement plus psychique : 

 

La peur peut imposer quelques rituels quotidiens :

 - Certains arachnophobes vont inspecter vigoureusement leur chambre, à la recherche du prédateur en question, avant de se coucher.

 - Certains claustrophobes vont systématiquement prendre l'escalier de leur immeuble plutôt que l’ascenseur.

 - Certains (ça fait beaucoup de "certains" mais je ne veux pas englober tout le monde) superstitieux vont faire attention à bien marcher sur les bandes blanches des passages piétons, à ne jamais passer sous une échelle, à ne pas s'approcher des chats noirs, etc...

 

La peur peut transformer les gens de manière plus extrême. Je pense par exemple aux chasses aux hérétiques, qui dénotaient une forte volonté d'exterminer l'objet de la peur.

 

Lorsqu'un être humain a peur de quelque chose, il va généralement agir / penser d'une certaine façon dans le but de ne pas avoir à faire face à l'objet de sa peur. Je dis bien généralement car certains raffolent de cette sensation (films d'horreurs, montagnes russes, rituels d'invocation d'esprits...).

Qu'on agisse pour ou contre ce sentiment, on peut ainsi dire que la peur influe sur le comportement.

 

 

 

Se débarrasser de nos peurs peut-il faire de nous un être différent ?

 

Vaincre une peur nous rend différent de ce que nous étions avant : 

 - Cela peut nous rendre plus courageux. 

 - Cela peut nous rendre moins sensible, en reprenant mon exemple de la chasse aux hérétiques.

 - Cela peut nous rendre plus apaisé, en oubliant nos routines anti-phobies mentionnées plus haut.

 

Se débarrasser de nos peurs peut également faire de nous un être différent dans le sens où certaines peurs sont faites pour nous protéger ; telle la peur que ressent instinctivement un lapin face à un renard.

L'absence totale de peur face à toute situation est un des signes révélateurs d'un psychopathe.

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Il y a 21 heures, Zaito a dit :

Toi tu comprend pas les même mots que nous, ou tu fait semblant, ça sers a rien que je t'explique 20 mille fois, je passe

Si c'est tout ce que tu as trouvé à me dire, je suis vraiment déçu . mais comme tu as dis , on en reste donc là .

 

 

À propos de la peur : 

Il est inadmissible pour nous autres croyant d'avoir peur d'une quelconque chose  si ce n'est ce qui entraine  le courroux de Dieu .

Donc toute peurs doit être combattu avec la connaissance .

 

 

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Heureusement que l'on attends une réponse philosophique et non théologique, sinon Emmily aurais répondu de manière prévisible et possiblement incongrue a la question, au moins l'on se rassurera, on a la une réponse concise et brève.

 

Nos peurs influent-elles sur notre comportement ?  Se débarrasser de nos peurs peut-il faire de nous un être différent ?

 

La peur peut avoir plusieurs effets, les peurs même pourrait on dire. Tout d'abord qu'est-ce-que la peur? Fondamentalement il y a a mon avis deux types principaux de peur. Des peurs immédiates et en général externes impliquer dans la survie, d'autres latentes et interne généralement irrationnel ou du moins proche de cela.  Pour les premières elles surgissent lorsque l'on crains pour sa vie ou sa santé via une "agressions" par exemple. Il s'agit là de l'expressions de l'instinct de survit, permettant de fuir (ou de combattre) le cause de la peur et se mettre hors de danger.

 

Il peut y avoir là plusieurs variantes avec différentes intensités, un autre exemple serait de se promener dans un manoir abandonné rempli de zombie et... Mauvais script excusez moi, un manoir ou une battisse abandonné en pleine nuit donc. La nuit elle même est souvent une cause de peur ou d'anxiété en fonction des personnes surtout en absence de source de lumière qui est là pour résumé une peur de l'inconnu combiner avec toute la fiction d’horreurs et de peur qui fait travailler notre imagination.

 

L'imagination elle-même est un puissant générateur de peur potentiel, imaginé un assaillant inconnu, un événement dangereux et soudains, tout cela bien qu’irrationnelle provoque chez des personnes un sentiments de peur. En cela les médias actuel sont a charge, faisant apparaître le monde bien plus dangereux qu'il ne l'est source de peur et d'autre sentiments qui peuvent en découler et mener au coté obscur de la force... Je me mélange dans mes fiches moi, ces médias là donc exacerbe le sentiment d'insécurité, puissant motif de peur basé sur l'imaginaire, mais instaurant un réel sentiment de crainte.

 

Cela nous amène au craintes interne, l'on a donc l'imagination qui peut se combiner au craintes externes mais aussi bien agir toutes seules pour d'autre cas, comme imaginer que l'on avale des horrible araignées velues, poilue dans la nuit. Les phobies donc, diverses et variées, de cela je ne sais pas grand chose ni n'est d'avis et encore moins d’expériences propre aussi je laisse a d'autre compléter ou pas cela. La peur de la réaction d'une personne avant de lui annoncer une mauvaise nouvelle. 

Ces peurs internes sont plus paralysante que stimulatrice, elles peuvent mener a une fuite de la peur en question en évitant l'événements ou la cause de la phobie en question. Il y a tout un tas de degrés d'intensité dans ces peurs là qui peuvent être de la peur rampante qui s'accentue, a un effet de surprise brusque, cela dépendant du contexte.

 

Avec tout cela, les peurs peuvent elles influencer sur le comportement? Pour cela je pourrais répondre oui, mais parfois non, que ce soit dans un effet de stimulus qui peut provoquer une réaction différente comme affronter la cause de la peur, ou amplifier la fuite et donc en ce sens ne pas modifier la première décisions et non la modifier.

La peur pour ce genre de choses peut aussi bien donner la force pour potentiellement la surmonter sinon tenter de la combattre, ou bien donner les ailes pour fuir, voir même être a un points ou elle paralyse et donc provoque une réaction comportementale différentes par rapport a une action nécessaire en réponse a la peur. Tout cela dépends de différents facteur, des degrés de peur, de la personne et de ses capacités et probablement d'autres effets psychologiques qui me sont inconnus.

 

Maintenant peut-on surmonter la peur? Pour cela je répondrais plutôt sur l'effet du temps (de l'âge) qui permet ou non de surmonter une peur. Dans les cas des peurs qui font effets via des danger je pense qu'en général on ne surmonte pas les peurs, celles-ci sont souvent moteurs et plutôt bénéfique au regards de la situation tant qu'elle ne provoque pas des décisions irrationnel lourde de conséquences. Il est cependant possible d'y succomber et de se retrouver incapable de réagir ce qui est là très dangereux en fonction de la situation.

 

Pour les peurs relevant plus des phobies ou de l'imaginations, celle-ci peuvent être surmonté ou dépassée, que ce soit via une meilleur compréhensions de celle-ci ou via un acte de courage telle le héros tout de vert vêtu, l'épée a la main, prêts a pourfendre ce qui le tourmente. Cependant tout cela dépends de la personne et éventuellement de son environnement externe qui pourra l'y aider ou non a dépassé cela. En général le temps est assez efficace pour les phobies et avec l'age celles-ci peuvent disparaître. Cependant l'age peut aussi bien amplifier la peur, aussi cela est encore très variable.

 

La raisons de tout cela est que dans les premier cas la peur est plus une question de survie un réflexe naturel qui est présent dans une grande partie du règne animal la peur pouvant sauver la vie. Dans le second cas, la peur est souvent d'origine irrationnelle, aussi elle est aussi bien difficile a comprendre qu'a étudier et a surmonter pour ceux qui en sont les victimes.

La peur de survie est relativement simple a comprendre et logique même. Il parait logique de courir se mettre a l'abris si un véhicule vous fonce dessus, rien qui ne serait inadmissible au final. D'un autre coté il y a ces peurs irrationnelle et parfois inexplicable qui comme indiqué ne peuvent trouver un début de rationalisation. Tout cela au fond fait il partie de la face de la même pièces? Ou est ce que l'on a des mécaniques plus subtiles auquel l'on attribue le même nom?

 

Je n'ai pas consulté dans le détails les autres réponses pour essayer d'avoir un travail assez peu orienté, du moins rien qui ne vienne d'autre chose que de moi et de ce que je suis, aussi je vous invite a critiquer les résultats que je vous fournis et de les compléter dans la mesure du possible.

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  • 2 semaines plus tard...

C'est intéressant ce que tu développe, Itachiaurion, et j'aimerai revenir sur « La nuit elle même est souvent une cause de peur ou d'anxiété en fonction des personnes surtout en absence de source de lumière qui est là pour résumé une peur de l'inconnu combiner avec toute la fiction d’horreurs et de peur qui fait travailler notre imagination. »

 

La nuit modifie notre comportement car, d'une certaine manière, elle déstabilise notre perception de notre environnement. L'homme n'est pas habitué à vivre dans la nuit, tels que les animaux nocturnes, avec comme seule lumière, la lune. L'homme a peur de ce qu'il ne peut pas voir ou même, pour aller plus loin, percevoir ou ressentir.

 

J'en viens à vous poser la question suivante :  l'homme a-t-il peur de ce qu'il ne connait pas ?

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Il y a 3 heures, Annatar78 a dit :

J'en viens à vous poser la question suivante :  l'homme a-t-il peur de ce qu'il ne connait pas ?

 

Très souvent l'ignorance est assimilé à une peurs , un dégoût ou même une hostilité sans fondement . Juste par pure ignorance de fait  . 

C'est pour cela que la connaissance est la lumière qui chasse les ténèbres de l'ignorance . 

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Il y a 4 heures, emmily a dit :

 

Très souvent l'ignorance est assimilé à une peurs , un dégoût ou même une hostilité sans fondement . Juste par pure ignorance de fait  . 

C'est pour cela que la connaissance est la lumière qui chasse les ténèbres de l'ignorance . 

 

La connaissance et l'ouverture d'esprit. L'un ne va pas sans l'autre dans ce cas précis car connaître une peur ne suffit pas pour la terrasser. Il paraît donc très important de remettre en cause la peur elle-même afin de comprendre les causes indirectes qu'elle procure à notre cerveau.

 

Parfois, au contraire, l'ignorance est le meilleur moyen de ne pas céder à la peur. Par exemple, il n'est pas impossible qu'une chose qui procure la peur dans un pays situé à l'autre bout du monde, ne nous procurent aucune sensation particulière puisque nous ignorons son existence.

 

De ce fait, je ne pense pas que ce soit l'ignorance telle que nous l'entendons ici qui est responsable de la peur. C'est d'autant plus la désinformation, la rumeur, qui est responsable, selon moi, de la peur. L'exemple qui me vient tout de suite à l'esprit est celui de l'araignée. Certaines personnes expriment une peur des araignées, causée par le dégout ou bien parce que l'on pense qu'elles peuvent piquer. On sait que celles-ci ne piquent pas (du moins pas celles que l'on trouve dans nos maisons^^). Notre esprit est trompé. Ce n'est pas de l'ignorance sur la réalité des faits, à savoir ici que les araignées ne piquent pas l'homme,  mais plutôt une sorte de "mauvaise volonté" de notre cerveau à vouloir accepter la vérité, ce qui conduit à la peur.

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  • 6 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
Le 23/06/2018 à 15:17, Itachiaurion a dit :

Nos peurs influent-elles sur notre comportement ?  Se débarrasser de nos peurs peut-il faire de nous un être différent ?

Salut à tous, je ne sais pas si mon message à bien sa place ici ayant eut un cursus plus scientifique que philosophique (d'ailleurs on pourrait débattre d'avoir un système éducatif qui met autant ces deux notions en opposition...) mais j'espère pouvoir apporter quelques pistes sur le sujet :

 

Pour démarrer un vidéo de Christophe Michel sur les deux vitesse de la pensée (système1/système2 ou heuristique/analytique).

 

 

 

 

Le peur provoque un mécanisme de survie qui nous fait réagir en système 1, heuristique, très rapide pour réagir à un danger potentiel donc.

Je ne pense pas qu'il faille plus regarder du coter de "vaincre sa peur", mais plutôt d'aborder le sujet du coter de "déterminer quand la peur est mauvaise conseillère, et qu'il vaut mieux passer en système2, analytique, plus lent mais plus fiable".

 

Ainsi la peur va influencer notre comportement, indirectement, à cause de la réaction rapide et du manque d'analyse. Vaincre sa peur peut donc revenir à savoir prendre le recul nécessaire pour passer en mode analytique. Ça ne reviens pas au même que de ne plus avoir peur, mais plutôt à savoir quand prendre le temps d'analyser plutôt que de réagir dans l'urgence.

Je dirais donc qu'en se débarrassant de nos peur on ne devient pas quelqu'un de différent, mais quelqu'un qui peut faire des choix différents. A condition de bien garder en tête que le doute est un art... des fois il vaut mieux céder à la peur et réagir le plus vite possible quand il est question de survie immédiate 😉 Mais la peur est aussi un outil de manipulation utiliser pour nous convaincre rapidement, dans l'urgence et faire croire à la personne à convaincre qu'elle n'a pas le temps d'analyser l'argumentaire et qu'il faut qu'elle régisse au plus vite...

 

"Vaincre sa peur" peut nous aider à être moins influençable, donc pas forcément à devenir une personne différente, mais au contraire nous laisse le temps de na pas céder aux influences et de pouvoir nous révéler nous même 🙂

 

Voilà j'espère avoir aidé et apporté mes idées pour compléter certains élément soulevés par Itachiaurion.

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  • 2 semaines plus tard...

Tchou les z'amis !

 

Je ne sais pas encore bien comment fonctionne le topic mais il me semble que le dernier sujet n'intéresse plus des masses.

Puis j'aimerais en proposer un autre si ça convient à tout le monde :

 

Comment l'humour influence-t-il notre façon de pensée ? Doit-on en se sentir responsable de notre humour, de son impactes et du contexte (entre ami.e.s, famille, dans les média, en live sur un stream, etc...).

 

Merci d'avance, tchou !

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Coucou, pour la première question, je dirais que c'est plutôt l'inverse à savoir que c'est plutôt notre façon de penser qui influence notre humour. Une personne ne fera pas le même genre d'humour selon comment il pense (je sais pas trop comment illustrer avec un exemple, désolée ^^")

 

Par contre, doit-on se sentir responsable de notre humour, son impact et du contexte, ça dépends:

 

A mes yeux, notre humour est ce qu'il est et ce que certains jugeront comme un humour de merde (dans le sens que ça fait pas rire), d'autres le jugeront comme étant un humour à la con (dans le bon sens du terme), il ne faut pas oublier non plus qu'on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui (pour ma part, je suis plutôt "on rit de tout ou on rit de rien", mais j'dirais que ça fait partie justement des façons de penser). On ne va pas sortir un humour bien bauf devant une féministe extremiste, la personne a beaucoup plus de chances de te faire la morale ou de te crier dessus bien comme il faut (dans ce cas de figure, tu es responsable car tu savais que la personne est féministe extremiste), par contre, tu ne serais pas responsable si tu n'avais pas cette info et donc que tu ne saurais pas qu'il y ait de fortes chances que la personne le prenne mal.

 

Niveau contexte, entre amis, tu connais tes amis, tu sais donc quel humour passe, si tu peux faire de l'humour noir, ou de l'humour bien gras, etc... donc si l'humour que tu emploies ne passe pas, c'est un peu ta faute vu que tu connais tes amis, donc tu aurais pu te douter que certains n'ont pas le même humour que toi. Pareil pour la famille.

 

Pour les médias, ça dépends du média, si c'est pour 1 million de (télé)spectateurs, à moins que ton public soit un public d'abonnés qui sont là pour l'humour que tu emploies, tu peux te lâcher sans aller dans la méchanceté gratuite (à moins de faire une téléréalité mais là n'est pas le débat) ou dans les trucs qui risquent le gros scandale. Si ton public est plus restreint (j'dirais 100 000 maximum), tu peux aller un peu plus fort mais après, peu importe le nombre, c'est un peu à toi de doser ce que tu fais.

 

A présent, son impact: L'impact que ton humour aura (selon ce que c'est, évidemment, un humour bien gras n'aura pas le même effet qu'un humour limite enfantin) dépendra des personnes ciblées et des personnes qui le verront. Autant dire que si tu es connu et qu'il y a un idiot qui te scrute pour voir le moindre truc qu'il peut sortir de son contexte pour faire un gros scandale (on est prêt à tout pour le buzz~~), ça peut aller très loin si tu sors de l'humour noir, surtout si des gens qui sont facilement heurtés ou offensés en rajoutent une couche derrière (suffit d'une photo sortie de son contexte où une personne se prends une gifle et quelqu'un peut donner des raisons parfois absurdes auxquelles tu n'avais même pas pensé mais je pars peut-être un peu loin). Si tu es juste un type qui stream dans son coin pour 10 viewers, à part faire bannir ton compte si quelqu'un te signale, je pense pas que tu risques le gros scandale...

 

Voilà, j'espère ne pas avoir dit de grosses bêtises, c'est un peu ce que j'avais en tête ^^"

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Citation

Coucou, pour la première question, je dirais que c'est plutôt l'inverse à savoir que c'est plutôt notre façon de penser qui influence notre humour.

Je vais essayer de parler du contraire : l'humour peut influencer la façon de penser, de plusieurs façons.

 

On peut par exemple l'utiliser pour faire passer des messages que l'on pourrait se voir reprochés si l'on employait un ton plus sérieux, par exemple. Je crois que ces messages, répétés, peuvent avoir un impact sur la façon de penser de ceux qui les reçoivent. Dites avec humour il y a des choses qui nous semblent moins graves, qui sont plus facilement acceptées. Une personne qui passerait son temps à faire des blagues racistes/misogynes/misandres/etc aurait l'argument de l'humour et du second degré pour se défendre de ceux qui voudraient le lui reprocher, tout en ayant une petite chance de toucher ses auditeurs les plus influençables.

 

Il est possible de devenir soi-même un peu (plus) raciste si l'on passe son temps à ne faire que ce genre de plaisanteries. Une personne qui ne racontera que des blagues sur les noirs, les arabes et compagnie pourrait bien finir par penser un peu ce qu'il raconte. Le milieu dans lequel il évolue aura peut-être aussi un impact. Je prends l'exemple d'un skater que j'ai connu et qui passait son temps à faire des blagues de plus ou moins mauvais goût sur les arabes : au début je me disais que cela était innocent, il affirmait lui-même ne pas être raciste. Puis j'ai remarqué que ses blagues s'intensifiaient en particulier lorsque des gens qu'il qualifiait de "roms" traînaient près du skateparc où il se rendait souvent. Avec le temps son ton est devenu plus sérieux, jusqu'au jour où j'ai commencé à l'entendre tenir des propos tels que "on est plus chez nous" dès que l'on passait près d'une caravane. Ses blagues lui prenaient de plus en plus de temps, leur ton devenait finalement plus sérieux et les gens qu'il côtoyait sur son terrain de jeu avaient l'air de partager le même sens de l'humour. Je ne crois pas qu'il était raciste au départ, peut-être l'est-il devenu ou peut-être donne-t-il maintenant simplement vraiment l'impression de l'être.

Quoi qu'il en soit, il s'agit de quelqu'un que je n'ai plus vu depuis longtemps mais qui m'a marqué par cet aspect de sa personnalité.

 

J'ai un autre exemple, une personne que je connais davantage que celle citée plus haut : Il s'agit de quelqu'un avec lequel il est difficile d'aborder un sujet sérieusement car ce dernier passe son temps à plaisanter. Je crois qu'il peut sembler, pour des gens le connaissant peu, être un petit plaisantin ne se prenant jamais au sérieux. Un clown. Seulement cette personne est couverte d'une maladie de peau qui a tendance à se propager quand elle se sent particulièrement mal, raison pour laquelle elle porte toujours des vêtements qui la couvrent presque intégralement même en plein été.

Peut-être que son humour permanent l'aide à avancer, peut-être que ses blagues sont sa façon de fuir et/ou de se protéger, peut-être que c'est un peu de tout ça. Je ne sais pas si l'on peut vraiment dire que les gens sont influencés par ses plaisanteries, mais ils peuvent à cause d'elles se faire une vision faussée de ce personnage.

 

D'une manière plus positive l'humour peut aider à prendre du recul sur des événements négatifs : Plaisanter gentiment au sujet de la peine de cœur d'un ami auprès de lui peut lui remonter le moral. Plaisanter peut nous aider à avancer et à "prendre la vie du bon coté" : lors de la mort d'un être cher, de la perte de quelque chose de précieux, d'un accident ou d'une maladie. Bien sûr, il s'agit de faire preuve de tact.

 

L'humour pourrait donc influencer la façon de penser de celui qui en fait et de celui qui le perçoit.

 

Citation

Doit-on en se sentir responsable de notre humour, de son impactes et du contexte

 

On peut reparler du tact ! Et revenir sur ce qu'a écrit Astreachan plus haut : On peut peut-être plaisanter de tout, mais pas avec n'importe qui, n'importe où et n'importe quand.

 

Les blagues sur les homosexuels entre bonnes connaissances dans une ambiance appropriée ? Pourquoi pas. Dans le pire des cas si quelqu'un le prend mal, il est encore possible de s'expliquer, de s'entendre et de s'excuser s'il le faut. Ces mêmes blagues en plein milieu d'une manifestation pour les droits des homosexuels peuvent avoir des conséquences moins enviables pour le blagueur, qu'il lui faudra assumer.

 

Imaginons qu'un homme à la tête d'un puissant pays déclenche une guerre mondiale suite à une série de tweets plaisantins au sujet du crâne dégarni de Vladimir Putin : vous ne le tiendriez pas pour responsable de son humour et de ses conséquences ?

Il est aussi possible que de mauvaises blagues sorties dans de très mauvaises circonstances soient dues à, par exemple, une déficience mentale. Dans ce cas la question de la responsabilité est sans doute plus délicate.

 

 

 

J'aimerais m'attarder sur le sujet des médias mais j'ai un peu de mal à mettre mes idées en place, aussi je vais attendre de voir l'évolution de la conversation.

 

Je vais juste finir, subtilement, avec une blague zoophile :

C'est l'histoire d'un homme qui rentre dans un bar.

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il y a 5 minutes, Shadow-x a dit :

 

C'est l'histoire d'un homme qui rentre dans un bar.

puis qui rentre dans une chaise, puis dans la table, puis dans la serveuse

 

Sinon, je suis pas mal d'accord avec ce que tu as rajouté à tout ça sauf sur un point: Je pense pas qu'on puisse devenir raciste en faisant souvent des blagues sur des ethnies ou des religions (pour ma part, comme j'ai dit, je rigole de tout vu que ça me dérange pas qu'on rigole de moi, donc ce n'est pas parce que je fais pas mal d'humour noir en rapport avec les juifs et les allemands ou les humours clichés sur les arabes ou les belges que j'vais me mettre à les haïr, je vais pas me mettre à penser que les arabes sont des voleurs juste parce que quand on objet disparait, j'accuse constamment mon pote arabe à ma droite pour déconner, mais après, tout le monde n'est pas pareil mais je dirais plutôt que certains peuvent prendre certaines blagues pour de la réalité, pour reprendre mon exemple d'arabes voleurs, certains pourraient se mettre à poursuivre mon copain arabe à ma droite juste parce qu'ils avaient déjà l'idée de "arabe=voleur" en tête qu'ils vont me prendre au sérieux et ça va pas arranger leur ressenti de la chose)

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il y a 11 minutes, Astreachan a dit :

Je pense pas qu'on puisse devenir raciste en faisant souvent des blagues sur des ethnies ou des religions.

Je peux comprendre, ce n'est pas parce que je ris aux blagues sur les blondes que je suis misogyne, moi non plus. Peut-être qu'il faut prendre en compte la tendance à être influencé ("influençabilité", ça se dit ?) qui peut varier d'une personne à l'autre en fonction de plusieurs choses comme le vécu, le lieu de vie, l'entourage... le caractère de la personne en question.

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il y a 1 minute, Shadow-x a dit :

Je peux comprendre, ce n'est pas parce que je ris aux blagues sur les blondes que je suis misogyne, moi non plus. Peut-être qu'il faut prendre en compte la tendance à être influencé ("influençabilité", ça se dit ?) qui peut varier d'une personne à l'autre en fonction de plusieurs choses comme le vécu, le lieu de vie, l'entourage... le caractère de la personne en question.

Oui, évidemment, y'a les influences: Un enfant qui grandit dans une famille homophobe a de fortes chances de l'être (la petite chance de ne pas l'être étant qu'il rencontre quelqu'un qui l'influence dans l'autre sens ou qu'il trouve le moyen de se faire son propre avis)

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Le 08/03/2019 à 15:26, TheDisciple a dit :

Comment l'humour influence-t-il notre façon de pensée ?

 

Pour ce qui est de ma première question, à savoir "comment" et non pas "si", c'est que c'est déjà bien documenté. L'humour à une influence sur la société et les idées qu'il véhicule.

 

Par exemple grâce au bias de simple exposition :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_simple_exposition

 

Je ne sais plus où j'ai vu ça, mais il y a des personnes qui étudient par exemple l'impacte des site satiriques. Même si on sait qu'un site est satirique et donne de fausses infos, on a plus tendance à y croire la deuxième fois qu'on voit passer la même fausse info.

 

Entretiens entre Mendax de la tronche en biais et Sardoche, juste ces 30seconde où Mendax explique l'influence de ce qu'on dit par l'humour, m'ironie whatever avec des sources :

 

 

 

Du coup personnellement je pense que même (et surtout) entre amis on doit faire attention. En limitant l'humour oppressif à un petit cercle réduit qu'on sait d'avance complaisant à ce genre d'humour, on ne s'expose jamais à la remise en question de ce genre d'humour.

 

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J'ai regardé le passage en question.

C'est marrant que ce monsieur parle de la Cage au Folles, car j'y pensais justement. Aujourd'hui faire ce genre de film ne passerait sans doute pas.

 

Ce que je voulais maladroitement illustrer avec mon exemple de skateur (peut-être)raciste, c'est que ses blagues véhiculaient des stéréotypes racistes susceptibles de gagner en force. En ce sens je ne peux qu'être d'accord avec "Mendex".

 

Malgré tout, à mon avis, il ne faut pas s'empêcher de rire des femmes, des hommes, des noirs, des blancs, etc. Mais j'ai l'impression que notre génération (je parle de génération mais c'est peut-être simplement l'époque ?) a du mal à prendre du recul - à comprendre que certaines choses sont dites avec humour et donc à ne pas les prendre au sérieux - et à faire preuve de tact - du mal à comprendre que dans certaines circonstances avec certaines personnes, on ne doit pas rire de certaines choses.

Pour contrer le fait que des gens ne se rendent pas compte de la portée de leurs blagues et rigolent de tout n'importe quand sans réfléchir à l'impact de leurs propos, j'ai l'impression que l'on passe à une autre extrême selon laquelle il ne faut plus rire de certaines choses.

 

Mais il vaut peut-être mieux se méfier des extrêmes en tout genre. Si l'on ne doit plus rire du tout de certains sujets parce que ces plaisanteries peuvent faire du mal et véhiculer de fausses idées dangereuses, alors il faut aussi arrêter de donner son avis sur les choses, car les avis bien formulés même sans aucun humour ont sans doute autant de chances de réussir à véhiculer les mêmes idées.

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il y a 9 minutes, Shadow-x a dit :

Pour contrer le fait que des gens ne se rendent pas compte de la portée de leurs blagues et rigolent de tout n'importe quand sans réfléchir à l'impact de leurs propos,

Perso c'est plutôt ça que j’appellerais "avoir du mal à prendre du recul".

Les études scientifiques, faites à postériori, en multipliant et en reproduisant les différents cas étudier sans prendre en compte l'affecte, c'est prendre du recul.

Après que certains militants puisse asséner ces études scientifique avec une certaines véhémece et un manque cruel de pédagogie ans prendre de recul sur un évènement X, ça existe aussi.

Perso j'essaye toujours de critiquer les idées, jamais les personnes.

 

il y a 12 minutes, Shadow-x a dit :

Mais il vaut peut-être mieux se méfier des extrêmes en tout genre.

 

Tu pourrais définir ce que tu entends comme "extrême" et par rapport à quoi ?

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Citation

Perso c'est plutôt ça que j’appellerais "avoir du mal à prendre du recul".

Tu veux parler de la phrase en elle-même ou tu veux dire que j'ai du mal à prendre du recul ? Dans ce dernier cas, je voudrais bien que tu m'expliques.

 

Citation

Les études scientifiques, faites à postériori, en multipliant et en reproduisant les différents cas étudier sans prendre en compte l'affecte, c'est prendre du recul.

Mais trop de recul ne peut-il pas mener à un détachement (voire à une  espèce de déshumanisation ) ? Si je respecte le travail des scientifiques et suis reconnaissant pour ce qu'ils font, j'ai l'impression que pour certaines personnes parlant tout en science l'être humain n'a plus vraiment d'humain que le nom.

Le fait est que bien que cela demande certainement plus d'études, aborder froidement les choses de façon scientifique est peut-être finalement plus facile. Connaître sur le bout des doigts la façon dont fonctionne un individu ne voudra pas forcément dire que l'on comprend cet individu.

 

Ce que je veux dire c'est que les études scientifiques sont indispensables, mais qu'il ne faut pas s'appuyer que sur ces dernières. Mais je m'excuse car je m'égare un peu.

 

Citation

Tu pourrais définir ce que tu entends comme "extrême" et par rapport à quoi ?

C'est ce que j'ai essayé d'expliquer juste ensuite, je ne me suis peut-être pas très bien exprimé.

L'extrême, dans le cas dont nous parlons, ce serait le fait de ne plus devoir rire de certaines choses (j'entends par là une espèce d'interdiction morale). Ce serait l'extrême opposé à celui de pouvoir rire de tout en toute circonstance sans se soucier des conséquences de ses plaisanteries.

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il y a une heure, TheDisciple a dit :

que des gens ne se rendent pas compte de la portée de leurs blagues et rigolent de tout n'importe quand sans réfléchir à l'impact de leurs propos,

Non c'est ça que je trouve être un manque de recul, j'aurais pas due citer la phrase entière mais juste la partie qui décris un certains comportement, ça portait à confusion, my bad 🙂

 

Si, c'est justement le but de la science. De pouvoir faire des constat en se détachant de toute autorité qui aurait dit "c'est comme ci, alors il faut faire comme ça" sans étayer.

La science n'a rien à faire dans le domaine éthique, et inversement. Mais si on veut avoir un comportement éthique rationnel, on doit s'appuyer sur les constat fait par la science. Juste parce que jusqu'à maintenant, on a rien trouvé de mieux pour pouvoir faire des constat sur le réel observable.

Ces deux domaines ne sont pas antagonistes, mais complémentaires.

Après comme partout il peut y avoir des incompréhensions, des "hooligans" pro science qui vont affirmer sans sourciller "machin est comme ça parce que la science le dit" sans prendre en compte que "la science" c'est tout le contraire de ce genre de comportement. La science est là pour remettre en question, on admet qu'un truc est vrai, jusqu'à preuve du contraire, après qu'une affirmation ai résisté suffisamment longtemps à tout essais de contradiction pour en arriver à un consensus.

 

 

il y a 43 minutes, Shadow-x a dit :

(j'entends par là une espèce d'interdiction morale)

Oui j'ai du mal à comprendre, mais j'ai un soucis de base avec le terme "extrême" qui généralement plonge un débat dans la plus grande confusion parce que personne n'y met la même chose dedans. Est-ce que tu pourrais reformuler sans utiliser la mot "extrême" ? Est-ce que le soucis que tu vois c'est juste "quelqu'un veut m'imposer une interdiction morale" ? Je comprend que ce soit préjudiciable de ton point de vue de voir ta liberté limitée par cette interdiction. Mais peux tu voir que si on t'affirme que ta liberté de, par exemple faire des blagues racistes, va impacter la vie d'autre personne qui souffrent d'une oppression dont l'idéologie va être appuyée par ta liberté de faire des blague racistes ?

Même en prenant ça d'un point de vue utilitariste, comment fais-tu la balance entre les deux ?

 

il y a 43 minutes, Shadow-x a dit :

Mais trop de recul ne peut-il pas mener à un détachement (voire à une  espèce de déshumanisation ) ? 

 

En fait je ne vois pas deux extrêmes. Juste :

Soit on rie de tout.

Soit on ne rie pas de tout.

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