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Parlez-moi de Cinéma


istarah

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Faudrait que je le regarde, The ring

J'ai déjà fait une petite liste de classiques à regarder:
Le parrain
Vendredi 13
evil dead
Gremlins
pulp fiction
les lascars
Karate kid
Et
apocalypse now
the blues brothers
sin city
faudrait que je revois Blade Runner car j'ai lâché au bout d'un moment

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Il y a 2 heures, PulcoRandom a dit :

Faudrait que je le regarde, The ring

J'ai déjà fait une petite liste de classiques à regarder:
Le parrain
Vendredi 13
evil dead
Gremlins
pulp fiction
les lascars
Karate kid
Et
apocalypse now
the blues brothers
sin city
faudrait que je revois Blade Runner car j'ai lâché au bout d'un moment

Ah! voila a peu près la liste des classiques que je n'ai jamais vu. (sauf: le parrain que j'ai moyennement aimé, evil dead que j'ai adoré mais je préfère le 2, Gremlins lui, il fait partit des films que mon père a dit: "ah! [insérer un film] c'est un film que vous devrait voir!", Karate kid que j'ai découvert grace a la superbe série "Cobra kai" de netflix, the blues brothers le mot que je peux dire a propos de ce film c'est WTF?!) Et c'est quoi "les lascars"? 

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Il y a 10 heures, Minou33 a dit :

 

A regarder absolument................en bavant devant!!!          Une vision inoubliable, j'entends encore l'élastique de mon slip claquer sur ma taille

image.thumb.png.818aa37bf5d3de851288e4fb5c41bcb8.png

euh...j'adore le ciné mais la, c partit en chouquettes et moi qui l'ait mis dans ma liste "a voir"...

ça donne encore plus envie de l'voir a la, c'est sur!

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Il y a 19 heures, lulu2010 a dit :

Ah! voila a peu près la liste des classiques que je n'ai jamais vu. (sauf: le parrain que j'ai moyennement aimé, evil dead que j'ai adoré mais je préfère le 2, Gremlins lui, il fait partit des films que mon père a dit: "ah! [insérer un film] c'est un film que vous devrait voir!", Karate kid que j'ai découvert grace a la superbe série "Cobra kai" de netflix, the blues brothers le mot que je peux dire a propos de ce film c'est WTF?!) Et c'est quoi "les lascars"? 

J'ai entendu ce nom une fois sur un autre forum, c'est français et je pensais que c'était un film live mais en fait c'est de l'animation

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Après l'affront que nous avons tous subi en évoquant l'infame étron cinématographique qu'est Les Chevaliers du zodiaque 2023, je prends ma plume pour vous relater la critique d'un véritable coup de coeur pour le récent film diffusé sur Netflix intitulé The Whale du réalisateur Darren Aronofsky avec le talentueux Brendan Fraser. 

 

 

L’approche et l’intrigue annoncées dans The Whale ont de quoi canaliser nos appréhensions. Après des films assez gourmands en effets dramatiques et/ou visuels comme Black Swan et Mother!, Aronofsky semble renouer avec quelque chose de plus terre-à-terre et simple avec The Whale. Une formule enthousiasmante car le cinéaste sait très bien s’exprimer dans ce registre, comme il l’avait montré avec le très beau The Wrestler (après Angel Heart, le meilleur film de ce vrai acteur rebelle qu'est le grand Mickey Rourke) . Aller à l’essentiel sera donc l’une des lignes directrices de ce nouveau film, qui confirme rapidement ce point. Notamment via une unité de lieu, la maison de Charlie constituant le seul décor du film, ses problèmes de santé l’empêchant de s’en extirper (le costume créant l'illusion de ses 150 kilos est totalement incroyable!!!).

 

The Whale va nous familiariser avec cet homme solitaire, reclus chez lui, donnant des cours d’anglais à distance à des étudiants, cachant toujours son visage en prétextant des problèmes de caméra. La peur du monde extérieur et du jugement s’associe donc rapidement à ce personnage à la souffrance permanente, à un tournant de son existence. Pour le spectateur, c’est la compassion qui se manifeste, face à cet homme qui semble dépassé par ses propres travers en dépit de sa bonne volonté. Ainsi, un attachement se crée vis-à-vis de ce personnage que le film n’hésite pas à rendre régulièrement repoussant, pour tenter de bousculer nos certitudes, déjà mises à mal par les interactions entre Charlie et les autres personnages du film. Funeste, pathétique, The Whale décrit l’écroulement d’un monde, et l’attachement à l’espoir, offrant à Brendan Fraser un espace idéal pour exprimer tout son potentiel dramatique.

 

Il faut reconnaître que, malgré une certaine sobriété en apparence, The Whale cherche à déclencher les émotions du spectateur, quitte à lui forcer la main par moments. Quelque chose qui ne surprendra pas tellement les coutumiers du cinéma d’Aronofsky et de ses travers, mais il convient de souligner les aspects positifs de ce nouveau film, qui s’avèrent finalement plus nombreux. En effet, le parallèle qui avait déjà pu être fait avec The Wrestler par rapport au côté humain et simple de The Whale se vérifie bel et bien. Car, malgré quelques traits parfois grossis, The Whale dégage une vraie sincérité qui parvient à nous toucher, compensant ainsi largement les quelques exagérations que l’on peut observer. Un véritable attachement se crée vis-à-vis de Charlie, que l’on sait condamné et incapable de se sortir de cette situation par lui-même, mais que l’on souhaite voir trouver le chemin de l’apaisement.

 

Et cela fonctionne en grande partie grâce à la superbe prestation de Brendan Fraser. L’acteur maudit, malheureux, retrouve la lumière à l’image de cet alter ego, dans une évolution qu’on ne peut s’empêcher de comparer à sa vraie histoire sur certains aspects. Sous ces épaisses couches de maquillage et de costumes, il transmet parfaitement le désespoir et la souffrance de cet homme qui a fait des erreurs, qui a affecté les siens, sans jamais avoir eu l’intention de nuire, et qui veut réparer ce qui a été cassé. Sur la structure, on emprunte des passages obligés, notamment dans sa relation avec sa fille, mais c’est aussi ce qui permet au film de gagner en substance et en perspective. The Whale réussit globalement dans ce qu’il entreprend, c’est un film touchant, très allégorique, pathétique et beau, compensant ses imperfections par sa sincérité. Et, il faut se le dire, cela fait un bien fou de voir Brendan Fraser repartir avec l’Oscar après tout ce qu’il a enduré (Oscar aussi mérité pour cette très belle prestation), preuve qu’il y a encore une justice dans ce monde.

 

En conclusion, ce nouveau film de Darren Aronofsky a offert à Brendan Fraser son premier Oscar, mérité pour sa très belle prestation dans un film touchant et sincère.

 

 

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Le 24/02/2023 à 23:15, Minou33 a dit :

Idem que Maxwel qualité filtre; ça n'est pas la peine d'en rajouter!     Tout est explicite ici

 

 

J'en chiale encore...

 

Le 13/06/2023 à 18:27, Minou33 a dit :

Après l'affront que nous avons tous subi en évoquant l'infame étron cinématographique qu'est Les Chevaliers du zodiaque 2023, je prends ma plume pour vous relater la critique d'un véritable coup de coeur pour le récent film diffusé sur Netflix intitulé The Whale du réalisateur Darren Aronofsky avec le talentueux Brendan Fraser. 

 

 

L’approche et l’intrigue annoncées dans The Whale ont de quoi canaliser nos appréhensions. Après des films assez gourmands en effets dramatiques et/ou visuels comme Black Swan et Mother!, Aronofsky semble renouer avec quelque chose de plus terre-à-terre et simple avec The Whale. Une formule enthousiasmante car le cinéaste sait très bien s’exprimer dans ce registre, comme il l’avait montré avec le très beau The Wrestler (après Angel Heart, le meilleur film de ce vrai acteur rebelle qu'est le grand Mickey Rourke) . Aller à l’essentiel sera donc l’une des lignes directrices de ce nouveau film, qui confirme rapidement ce point. Notamment via une unité de lieu, la maison de Charlie constituant le seul décor du film, ses problèmes de santé l’empêchant de s’en extirper (le costume créant l'illusion de ses 150 kilos est totalement incroyable!!!).

 

The Whale va nous familiariser avec cet homme solitaire, reclus chez lui, donnant des cours d’anglais à distance à des étudiants, cachant toujours son visage en prétextant des problèmes de caméra. La peur du monde extérieur et du jugement s’associe donc rapidement à ce personnage à la souffrance permanente, à un tournant de son existence. Pour le spectateur, c’est la compassion qui se manifeste, face à cet homme qui semble dépassé par ses propres travers en dépit de sa bonne volonté. Ainsi, un attachement se crée vis-à-vis de ce personnage que le film n’hésite pas à rendre régulièrement repoussant, pour tenter de bousculer nos certitudes, déjà mises à mal par les interactions entre Charlie et les autres personnages du film. Funeste, pathétique, The Whale décrit l’écroulement d’un monde, et l’attachement à l’espoir, offrant à Brendan Fraser un espace idéal pour exprimer tout son potentiel dramatique.

 

Il faut reconnaître que, malgré une certaine sobriété en apparence, The Whale cherche à déclencher les émotions du spectateur, quitte à lui forcer la main par moments. Quelque chose qui ne surprendra pas tellement les coutumiers du cinéma d’Aronofsky et de ses travers, mais il convient de souligner les aspects positifs de ce nouveau film, qui s’avèrent finalement plus nombreux. En effet, le parallèle qui avait déjà pu être fait avec The Wrestler par rapport au côté humain et simple de The Whale se vérifie bel et bien. Car, malgré quelques traits parfois grossis, The Whale dégage une vraie sincérité qui parvient à nous toucher, compensant ainsi largement les quelques exagérations que l’on peut observer. Un véritable attachement se crée vis-à-vis de Charlie, que l’on sait condamné et incapable de se sortir de cette situation par lui-même, mais que l’on souhaite voir trouver le chemin de l’apaisement.

 

Et cela fonctionne en grande partie grâce à la superbe prestation de Brendan Fraser. L’acteur maudit, malheureux, retrouve la lumière à l’image de cet alter ego, dans une évolution qu’on ne peut s’empêcher de comparer à sa vraie histoire sur certains aspects. Sous ces épaisses couches de maquillage et de costumes, il transmet parfaitement le désespoir et la souffrance de cet homme qui a fait des erreurs, qui a affecté les siens, sans jamais avoir eu l’intention de nuire, et qui veut réparer ce qui a été cassé. Sur la structure, on emprunte des passages obligés, notamment dans sa relation avec sa fille, mais c’est aussi ce qui permet au film de gagner en substance et en perspective. The Whale réussit globalement dans ce qu’il entreprend, c’est un film touchant, très allégorique, pathétique et beau, compensant ses imperfections par sa sincérité. Et, il faut se le dire, cela fait un bien fou de voir Brendan Fraser repartir avec l’Oscar après tout ce qu’il a enduré (Oscar aussi mérité pour cette très belle prestation), preuve qu’il y a encore une justice dans ce monde.

 

En conclusion, ce nouveau film de Darren Aronofsky a offert à Brendan Fraser son premier Oscar, mérité pour sa très belle prestation dans un film touchant et sincère.

 

 

J'ai vraiment bien aimer !

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On a tous en tête un nombre incalculable de nanards avec des requins....

 

Mais vous souveniez-vous de cette bouse? Je ne l'avais jamais revu depuis sa sortie en 2006....et j'ai compris aujourd'hui pourquoi!!!!   Platitude abyssale des dialogues, jeu d'acteur aux fraises, images de synthèse sponsorisées par Wish               N'en jetez plus, la coupe est pleine!

 

Les 2 seuls points positifs du film; la voix française de Samuel L Jackson qui est celle également dans Pulp Fiction et la présence de la sublime Julianna Margulies, l'inoubliable infirmière/copine de Georges Clooney dans Urgences! 

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Pour conclure, l'expression qui va bien et qui résume tout: "Attention, ça pique vraiment les yeux!!!!"

 

 

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Improbable ce titre "des serpents dans l’avion" ...

traduction française : "une cxxxlle dans le potage" 

 

Sinon j’ai regarde CopLand ce week end avec un Sylvester à contre emploi, Harvey Keitel, Robert De Niro et surtout le regretté Ray Liotta

C’était pas mal à voir 

 

 

 

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je ne sais pas si les séries/sitcoms sont autorisées mais en ce moment je me (re)fait l'integrale de Malcolm (Malcolm in the middle au U.S.A) C trop bien de voir la tête des acteur changer au fil de la série/sitcom en même temps que les voix (je regarde en VF) et la plupart des acteurs joue très bien surtout l'actrice de Lois (la mère), l'acteur de Hal (le père), et celui de Reese. Bien que les épisodes ne se suivent pas vraiment, c pas pour autant lassant car il qq changement au cours de la série/sitcom (Ex: Malcolm passe de collégien à lycéen) et c'est encore mieux si vous avez connu la série/sitcom quand vous étiez petit ce qui est mon cas malgrés que se ne soit pas génération et que je ne sois encore qu'un BB cadum pour ma mamant :). Bon! Je n'en dis pas plus pour ceux qui veulent découvrir! Et avant de partir, mention spécial pour Dewey!Dance Babysitter GIF by Malcolm France

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  • 4 semaines plus tard...
Le 19/06/2023 à 07:43, lulu2010 a dit :

je ne sais pas si les séries/sitcoms sont autorisées mais en ce moment je me (re)fait l'integrale de Malcolm (Malcolm in the middle au U.S.A) C trop bien de voir la tête des acteur changer au fil de la série/sitcom en même temps que les voix (je regarde en VF) et la plupart des acteurs joue très bien surtout l'actrice de Lois (la mère), l'acteur de Hal (le père), et celui de Reese. Bien que les épisodes ne se suivent pas vraiment, c pas pour autant lassant car il qq changement au cours de la série/sitcom (Ex: Malcolm passe de collégien à lycéen) et c'est encore mieux si vous avez connu la série/sitcom quand vous étiez petit ce qui est mon cas malgrés que se ne soit pas génération et que je ne sois encore qu'un BB cadum pour ma mamant :). Bon! Je n'en dis pas plus pour ceux qui veulent découvrir! Et avant de partir, mention spécial pour Dewey!Dance Babysitter GIF by Malcolm France

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Bien sûr que je connais Malcolm, c'est culte !
J'ai découvert ça en vacances chez des amis quand j'avais 9 ans je crois.
Et oui les deux versions sont géniales !
D'ailleurs j'ai appris que Brian Cranston jouait aussi Walter White, c'est dingue je l'aurais jamais deviné

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