akumasan Posted June 8, 2024 Share Posted June 8, 2024 🔰 Medal of Honor : Warfighter est bien un FPS, mais c'est aussi un jeu de bagnoles ! Le jeu compte 13 missions en tout, dont 2 sont exclusivement des courses-poursuites. La mission N°4 du nom de "Hot Pursuit" et la mission N°10 du nom de "Hello and Dubai". Le plus incroyable, c'est que pour un FPS ses deux courses son vraiment excellente. Ce qui est le plus marquent, c'est que le pilotage des véhicules est carrément top, car on ressent vraiment le poids du véhicule pendant les sûr et sous-virage ainsi que la puissance des impacts. J'irais même plus loin en disant que ses deux phases de conduites sont mieux fichues que dans certains jeux qui sont uniquement consacrés à la conduite automobile !!! On voit tout de suite que le moteur graphique Frostbite 2 utiliser pour faire tourner ce Medal of Honor en avait vraiment sous le capot. Hot Pursuit : Dans cette mission, vous conduirez une jeep. Vous serez invité à poursuivre un 4X4 en fuite. Sur le côté, gauche de l'écran se trouve un compteur qui se remplira à mesure que votre cible s'éloignera de vous. S'il se remplit complètement, vous échouerez à la mission. Poursuivez le 4X4 en restant le plus proche possible. Lorsque des obstacles croisent votre chemin, n'ayez pas peur de les heurter ou même de les percuter. La plupart ne représenteront que peu de menace pour vous. Cependant, méfiez-vous des collisions de plein fouet face aux voitures venant en sens inverse, car votre jeep survivra au choc, mais vous serez retardé de quelques secondes, permettant à votre cible de mettre une certaine distance entre vous, voir même de s'échapper. Lorsque vous vous approchez assez près du 4X4, percutez-le pour terminer le niveau. Hello and Dubai : Dans cette mission, vous conduirez une voiture avec Hassan, enfermer dans le coffre. Sur le côté, gauche de l'écran, vous verrez un indicateur intitulé « Progression de la liaison montante » cette gauge doit être remplie avant la fin de la mission. Dirigez-vous vers la sortie du parking et lorsque vous sortez dans la rue, tournez à gauche et continuez pendant un moment. Vous serez bientôt intercepté par les hommes d'Hassan qui conduise des berlines noires. Esquivez les hommes d'Hassan et si ses hommes s'approchent de trop, percutez-les avec votre voiture. Frappez-les plusieurs fois pour les mettre hors service. Continuez et d'autres voitures feront leur apparition pour vous bloquer. Après une petite partie de cache-cache, la course-poursuite reprend pour partir en direction de l'autoroute. Lorsque vous y êtes invité, tournez à droite et dirigez-vous vers la sortie de l'autoroute pour finir la mission. Je vous propose donc un petit montage vidéo regroupent ses deux missions que je trouve vraiment épique et rarement vu dans un FPS sorti à cette époque. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
CopyCat Posted June 11, 2024 Share Posted June 11, 2024 Le 24/01/2023 à 11:22, akumasan a dit : 🔰 En voici une très bonne alternative à Pokémon. Sortie le 28 août 2020, Nexomon Extinction est un Poké-Like de grand classe. Le jeu est ultra complet, c'est un vrai Poké-Spirit Game. Graphiquement le jeu est très beau et la progression est fluide. Ce jeu a était fait par des passionnés pour des passionnés et on peut dire qu'ils relèvent le niveau. Les différentes créatures sont bien recherchés et assez belles pour la plupart, l'histoire est sympa à suivre avec une bonne dose d'humour qui m'a plusieurs fois fait sourire. Je vous le recommande les Potos. C'est vrai que la ressemblance avec Pokémon est évidente. Une jolie découverte Aku.❤️ Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 11, 2024 Share Posted June 11, 2024 🔰 Sorti en 2010 Singularity est un FPS qui réunit de nombreux genres déjà vu dans différents jeux vidéo, comme de l’horreur avec ses monstres et ses jump scare, du FPS pour ses gunfight, de l’aventure pour ses nombreux moments de réflexions et on pourrait même dire qu’il y a un peu de plate-forme dans certain passages. Dans Singularity vous devrez manipuler le temps pour réparer vos erreurs, des erreurs que paradoxalement, vous avez créé alors que vous n’étiez pas encore né. Tout commence lorsque vous arrivez en hélico sur l’île de Katorga-12, située non loin de la côte orientale de la Russie. Notre frêle soldat prêt à en découdre avec ceux qui vous attendront en bas, votre mission est de découvrir les raisons des fortes émissions de radioactivité aperçues grâce aux nombreux satellites qui gravitent autour de notre belle planète. Pas de chance, les Russes sont arrivés sur l’île abandonnée les premiers et font exploser une bombe IEM avant que vous ne touchiez le sol. Les deux hélicos américains plantés, il ne reste que deux survivants, vous et un certain Devlin. Vous devrez d’abord le retrouver avant de chercher à comprendre ce que les Russes faisaient sur cette île, il y a de cela 55 ans. Si le début du scénario est vu et revu, la suite est nettement plus intéressante. L’URSS menait sur l’île des recherches sur un nouvel élément, l’E99. Cet élément pourrait permettre de réaliser des bombes plus puissantes que l’arme atomique américaine. Ses capacités ne s’arrêtent pas là et il serait aussi possible de manipuler les objets sans effort voire, de manipuler le temps. Notre soldat, on ne peut plus fier d’avoir découvert la raison des problèmes sur l’île en moins de cinq minutes, mais malheureusement se sera de courte durée, car une onde temporelle balaye l’île et vous transporte en 1955, là-bas, vous allez sauver le professeur Demitchev. Grave erreur puisqu’en survivant, il va changer la face du monde. Pour éviter que Singularity sombre dans le FPS horror banal, Raven Software a disséminé quantité de notes, d’enregistrements audio et parfois même, des vidéos pour en savoir davantage sur les expériences menées sur l’île, mais aussi la personnalité des différents protagonistes. Cela ressemble nettement à Bioshock qui n’était cependant pas le premier à utiliser cette méthode. Si cela passe bien dans le titre de 2K Games, dans Singularity, les enregistrements audio sont parfois mal placés, un peu comme si tout le monde se trimbalait avec un magnétophone dans sa poche. Singularity n’en reste pas moins un FPS possédant un bon scénario, pas vraiment nouveau tant la course à l’armement en contexte de guerre froide est un sujet traité et retraité. Vos interventions dans le passé ont une influence sur le futur même si l’on regrette que notre influence sur les structures soit si faible. Singularity a un atout de taille, le Manipulateur Temporel ou "MT" pour les intimes. Vous allez rajeunir ou vieillir les objets, les monstres et les hommes. C’est indispensable pour assurer sa survie et sa progression sur l’île. C’est aussi l’occasion de faire quelques puzzles honteusement chiants qui se résument bien souvent à vieillir une caisse pour la faire passer par un tunnel où elle n’aurait jamais pu passer autrement avant de la remettre à son état normal et de la poser ensuite sur le sol. Si l’on fait abstraction de ces phases ennuyeuses à souhait, le MT a bien d’autres fonctions. La bulle temporelle en est une, si une dizaine d’araignées mutées foncent sur vous, cette bulle pourra ralentir le temps à l’intérieur et donc, toutes les araignées qui s’y trouvent, vous pourrez alors réfléchir sur quelle arme utiliser pour faire un beau massacre. Il y a enfin le vieillissement, qui, s’il est associé à une forte dose d’E99 qui pourra transformer un humain en mutant. Dans le cas contraire, l’homme tombera sous le poids des années. Il est dommage de ne pas pouvoir rajeunir l’ennemi, il aurait été amusant de rendre la jeunesse à un garde, pourquoi pas quand il avait cinq ans ? En définitive, Singularity propose de bonnes choses comme les différentes projections dans le passé, les décors qui varient malgré la petitesse de l’île ainsi que le manipulateur temporel. Il est impossible durant la partie de faire des choix entre laisser quelqu’un vivre ou mourir, ou détruire un lieu plutôt que le laisser tel quel, quand un jeu manipule le temps, il aurait été intéressant d’avoir de tels choix à faire. Cela aurait permis qui plus est d’avoir des fins vraiment différentes et pas des épilogues déterminés par notre seul et dernier choix qui a lieu deux minutes avant la fin du jeu. Singularity reste cantonné à la mode du FPS très scripté, alors qu'un Bioshock nous force lui à refaire deux fois le jeu pour connaître les deux fins. L’ambiance correcte aurait pu être meilleure si la qualité sonore était au rendez-vous. Ici, vos enceintes 5.1 ne vous serviront à rien, ce qui est dommage surtout quand le jeu tente de vous faire entendre des bruits derrière votre dos. Raven Software est parvenu à créer un univers à la fois riche et captivant. Porté par une histoire et une ambiance parfaitement retranscrites, Singularity s'appuie sur des bases solides et un gameplay ingénieux pour nous offrir l'une des meilleures surprises de ce début d'année. Largement inspiré par des titres tels que Bioshock et Condemned. Singularity parvient à saisir l'essence de ses illustres modèles et de les modeler pour se créer sa propre identité. Au final, ce titre que l'on attendait vaguement nous entraîne dans une aventure maîtrisée du début à la fin, et très largement supérieure à bon nombre de FPS en termes d'immersion. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 12, 2024 Share Posted June 12, 2024 🔰 Sorti en 2013 à une époque ou Call of Duty et Battlefield, se livrait une guerre sans merci depuis quelques années, la licence d'Electronic Arts reviens avec un tout nouveau moteur graphique à la pointe de la technologie. Battlefield 4 fut le tout premier jeu à utiliser le Frostbite 3 et fait passé Battlefield 4 à la vitesse supérieure en cherchent à nous en mettre plein la vue, à grands renforts de destructions de décors et d'effets spéciaux avancés. Sur PC, les promesses graphiques sont tenues et on en prend réellement plein la vue ! Les différents effets spéciaux utilisés offrent une image plus réaliste que jamais, tandis que la technologie assure également le spectacle en matière de géométrie. Comprenez par là que non seulement la destructibilité des décors est une nouvelle fois au rendez-vous, mais qu'on a droit en plus à une gestion précise des vagues. Ainsi, l'océan n'est plus une surface plane, mais au contraire, un espace en relief qui ne cesse de se transformer. La disparition bienvenue des QTE parfois ridicules de Battlefield 3 et des points de respawn infinis, le mode solo de Battlefield 4 stagne, voire régresser comparer à son prédécesseur. Plus scriptée que jamais, l'aventure multiplie les erreurs caractéristiques des FPS mal pensés. On a par exemple droit à un festival de portes qui ne deviennent ouvrables que lorsque le jeu le décide arbitrairement, à des compagnons qui nous crient "c'est par là" alors qu'on les attend déjà au point d'arrivée, et à diverses longueurs dues à des scripts mal gérés. Reconnaissons tout de même une certaine amélioration sur ce dernier point, puisque le héros peut désormais ordonner à ses amis de cibler particulièrement certains ennemis. La musique est également plutôt plaisante, tandis que l'interface reste sobre et discrète, un simple cercle blanc signalant par exemple la présence d'une zone interactive. Mais tout cela ne compense pas l'impossibilité de renvoyer les grenades, les personnages sans charisme, le scénario bien plat, sauver par une direction artistique réussie, mais trop générique. Même la présence de trois fins différentes tombe totalement à plat puisqu'elle ne dépendent que d'un seul choix final, et que la différence entre chacune d'entre elles se limite grosso modo aux trois lignes de dialogues qui suivent la décision. Dans cette 3ème mission appeler : South China Sea, on se trouve réfugier à bord de l'USS Valkyrie. Mais sans matériel médical fonctionnel, la vie n'est pas facile pour les blessés ! La solution est de rejoindre l'USS Titan qui pour une raison inconnue n'a pas été impacté par l'attaque. Le problème est que les soldats de Chang sont plus rapides que les soldats Américains, et qu'ils ont déjà attaqué le Titan. Sous les ordres du sergent Kovic, l'escouade Tombstone est alors chargée de se rendre à bord du navire pour obtenir des renseignements sur ce qui a pu mener à cette situation. L'abordage du Titan sera dans les faits, plus compliqué que prévu puisque le navire s'apprête à couler. Il faut donc faire très vite, pas le temps de sauver les quelques survivants américains de l'attaque de Chang. Ceci ne sera d'ailleurs pas du goût de tous et Irish, le "gentil" du mode solo, n'hésitera pas à frapper son supérieur le sergent Kovic lorsque celui-ci ordonne de laisser périr ses compatriotes. Une fois les données concernant l'attaque recueillies, il faut quitter le Titan. Mission délicate puisque les Chinois sont toujours à bord et que l'état du porte-avions est critique. Une fois tous enfuis de l'USS Titan à l'aide d'un bateau d'attaque abandonné miraculeusement par les soldats de Chang, vous foncez vers l'USS Valkyrie. Vous pensez la mission finie ? Et bien non, car sur l'USS Valkyrie, vous devrez une nouvelle fois faire face aux Chinois qui ont attaqué le bateau durant votre absence. Comme tout bon personnage d'un mode solo de FPS, vous allez héroïquement vous débarrasser plus ou moins tout seul des ennemis et sauver la vie de Garrison. Mais cet assaut aura été rude et le sergent Kovic n'a pas survécu à la chute d'une échelle de 4 mètres... (C'est une des morts les plus bêtes de l'histoire du jeu vidéo.) Ainsi vous êtes donc à présent le nouveau chef de l'escouade Tombstone ! Pour cette 3ème mission du mode solo, DICE a mis le paquet et nous propose une mission de qualité. Belles comme un trailer, les séquences de combats maritimes ou encore de plongée témoignent d'un réel sens du détail de la part des développeurs Suédois. Une mission nerveuse et splendide, elle correspond bien à ce que devrait être le solo selon moi ! Pour faire simple, il s'agit de la mission de Battlefield 4 dont je prends vraiment le plus plaisir à rejouer, c'est sûrement mon coté Marin de Saint Malo qui refait surface à ce moment-là. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted June 12, 2024 Share Posted June 12, 2024 Tu enchaînes les jeux de tirs @akumasan . Je suis dans un jeu plus coloré disons... rien à voir avec le tir car c'est Paper Mario : Color Splash sur Wii U sorti en 2016 selon Wikipedia. Il est vraiment sympa. C'est plein d'humour et de références... akumasan, GOONIES and CopyCat 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 12, 2024 Share Posted June 12, 2024 Oui ma Aflow en ce moment je fais beaucoup de FPS et il m'en reste encore pas mal à vous montrez. Il est excellent ce Paper Mario Wii U. J'ai le dernier opus sur ma Switch et il est vraiment pas mal. ^^ Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 16, 2024 Share Posted June 16, 2024 🔰 Sorti en 2013, GRID 2 revient sur Xbox 360, soit cinq ans après un premier opus très réussi. La formule n'a pas radicalement changé, quelques choix ont certes été faits pour la rendre encore plus accessible, mais la réalisation a fait un bond en avant pour renforcer encore un peu plus les excellentes sensations de course, qui font tout le sel de la série. Le credo de GRID 2, est ainsi de livrer aux amateurs de course automobile un jeu à la fois accessible et sensationnel. Côté gameplay, ne vous attendez ainsi pas à retrouver des modèles physiques ultra exigeants comme dans un Gran Turismo ou un Forza : vous ne serez pas vraiment embêtés par des transferts de masses réalistes, les freinages tardifs ne vous pénaliseront pas trop. Le jeu facilite au contraire vos trajectoires, et il est volontairement indulgent avec vos erreurs d'appréciation. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de subtilité dans la conduite pour autant, loin de là. Car GRID 2 arrive vraiment à positionner son curseur arcade/simulation en plein milieu, notamment grâce à des comportements très crédibles des différents véhicules. Les véhicules ont tous des modèles physiques, bien distincts, qui braquent un peu façon "savonette" mais ne tombent jamais dans la fantaisie non plus, grâce à des éléments pertinents comme la gestion de l'adhérence, en Drift ou tout simplement en sortie de virages lorsqu'il s'agit de mettre la gomme, ou encore les "touchettes" avec les autres véhicules, les accidents qu'elles peuvent entraîner et bien sûr les dégâts majeurs qui vont avec, sur votre carrosserie comme vos éléments mécaniques. Heureusement, l'option de "rembobinage" inventée par le premier GRID et copiée mille fois depuis - permet toujours de revenir quelques secondes en arrière (cinq fois par course). Cet équilibrage est finalement assez unique en son genre, et additionné à la très bonne sensation de vitesse et à la variété des courses : Circuits pro bien larges mais techniques, routes de montagne étroites et piégeuses, circuits citadins tortueux, il offre des sensations franchement excellentes, parfois jubilatoires. Dès les premières minutes du mode Carrière, vous serez ainsi par exemple jeté à bord d'un gros muscle car américain sur les étroites routes de la côte californienne, avec 11 concurrents à dépasser sur quelques kilomètres. Il faudra aller vite, très vite, et tenter des dépassements subtils, sans grand espace entre la voiture concurrente lancée à toute allure et le grand fossé rempli d'arbres millénaires, prêts à plier votre caisse en deux à la moindre incartade. C'est cette tension, cette rage de la course, qui font toute la personnalité et l'intérêt de GRID 2. Pour ne rien gâcher, GRID 2 se permet en plus de nous en mettre plein les yeux. Non seulement les courses, épreuves et lieux sont hyper variés, mais en prime le titre de course jouit d'une réalisation de très, très bonne facture. Graphiquement, c'est superbe, les environnements regorgent de détails, que ce soit dans les villes de Chicago, Paris, Hong Kong, Miami, Dubaï, les circuits d'Indianapolis, Brands Hatch, Yas Marina, ou encore les routes escarpées d'Okutawa, de la Côte d'Azur, de Californie. D'ailleurs je ferais une vidéo part Ⅱ spéciale courses en France car les tracés sont vraiment excellent ! GRID 2 propose un voyage franchement splendide dont on se délecte tout au long du mode Carrière, en admirant aussi tout un tas de petits détails comme la brume au-dessus du bitume en montagne, les écureuils qui traversent la route avant notre passage en Californie, les métros aériens et leurs étincelles à Chicago, les papiers journaux ou les feuilles qui volent au vent et que dire des différents effets de lumière, du rendu du ciel, de ce joli filtre propre aux productions Codemasters tellement classe. GRID 2 nous sert sur un plateau d'argent des courses nerveuses et des sensations excellentes. Visuellement splendide et varié, il offre à la fois une prise en main immédiate et un gameplay subtil, avec notamment un système de dégâts toujours aussi bien maîtrisé par Codemasters. Les fans de simulation regretteront peut-être ses compromis "mainstream" comme plus de vue cockpit, pas de réglages mécaniques ni d'aides au pilotage à désactiver, de modèles physiques un brin laxistes, mais ceux qui choisiront de s'y plonger quand même retiendront surtout un mode carrière long, fun et intéressant, un mode en ligne hyper complet, de la variété et des bonnes idées dans tous les types d'épreuves. Bref, un excellent jeu de course qui réussit un très bon compromis arcade et simulation. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
CopyCat Posted June 17, 2024 Share Posted June 17, 2024 Quel pilot ce Aku !😍 akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 19, 2024 Share Posted June 19, 2024 🔰 Sorti en 2010, Vanquish est le fruit de l'étroite collaboration entre Shinji Mikami créateur de la saga Resident Evil, PlatinumGames développeurs de génie et SEGA. Après avoir révolutionné le genre du Beat'em all avec le très bon Bayonetta, Shinji Mikami et PlatinumGames reviennent pour tenter de botter les fesses au conservatisme des TPS de l'époque en frappant directement en plein dans leur point faible qu'est la lourdeur de ce genre de jeux. Shinji Mikami frappe fort et montre une nouvelle fois son attrait pour les travellings et le rythme, puisque Vanquish alterne entre vitesse avec des glissades et des ralentis lorsque vous êtes à l'article de la mort, pour vous donner une ultime chance de survie. Vanquish est donc un TPS avec un concept on ne peut plus simple et on ne peut plus classique à base de couverture. On sent immédiatement que Gears of War est passé par-là. Heureusement pour lui, le rapprochement entre les deux titres s’arrête là, tant le traitement de Vanquish va à l’opposé de ce qui se fait habituellement dans ce genre de jeux, et cet opposé s'appelle la vitesse ! Tout commence dans une cinématique qui dévoile un scénario brillamment nanardesque comme je les aime. On y incarne donc Sam Gideon, scientifique du DARPA, qui affronte aux cotés des space marines et particulièrement du Lt. Colonel Burns le cliché du vieux briscard porté sur la bouteille. Notre Héro fait face à une menace typique de destruction du monde par de non-moins stéréotypés Communisto-Russes venus de l’espace qui ont quand même le bon goût de cybernétiser un max. On est dans un grand bol de guerre froide des années 80s arrosé à la sauce SF/Manga, le tout relevé avec une grosse pointe Wasabi qui a le bon goût de ne pas renier ses origines japonaises, saupoudrées d’un sens de l’auto-dérision qui fait mouche. L’action se déroule dans une colonie spatiale, totalement repompée sur celles de Gundam pour notre plus grand plaisir. Ce terrain de jeu original s’inspire d’univers futuro-post-apocalyptiques tels celui d'Akira, remplis de béton, de métal, d’ascenseurs gigantesques, de turbo-trains, d’usines démesurées et de robots géants à dézinguer. Visuellement, on est dès l’écran titre plongé sur cet excellent terrain connu de la SF Japonaise. Contrairement aux TPS lourdauds à l’américaine, Vanquish est un jeu d’action particulièrement agile à l’action frénétique. Sam est équipé d’une armure ARS qui lui permet de faire des glissades à grande vitesse et de déclencher des bullet time pour des réactions plus précises. Une fois l’habitude prise, on se retrouve donc à foncer à grande vitesse au milieu des ennemis pour enclencher le ralenti et les abattre à bout portant, faisant des sauts entre les balles tout en faisant des tirs de précision permettant par exemple d’exploser une grenade en plein vol. Chaque escarmouche et chaque affrontement majeur sont pensés, dans leur mise en place comme dans leurs objectifs, pour proposer des solutions plus créatives que de se cacher et tirer, permettant à chacun de choisir son style et de s’adapter. Le jeu est résolument orienté arcade comme en témoigne la grosse interface présente à l’écran, allant jusqu’à nous afficher un score pour chaque cible dégommée. Mais c'est bien dans le gameplay que transpire le plus cette démarche, car on peut mourir très rapidement, mais sans aucune pénalité ni temps de chargement, et on apprend dans chaque situation à améliorer son jeu. Les armes sont proposées dans un cocktail qui, à défaut d’être Molotov, offre un florilège d’options assez classiques. Seule petite ombre au tableau, leur progression se fait en récupérant des munitions au-delà du stock maximal, c’est-à-dire en n’utilisant pas lesdites armes, ce qui va à l’encontre de tout le reste du jeu, mais peut aussi permettre aux joueurs les plus aguerris de mettre en place des stratégies de progression à l’échelle d’une partie pour devenir vraiment puissants. Il est intéressant de souligner que pour un jeu qui a 14 ans, il ne fait absolument pas tache à côté de productions actuelles, bien au contraire. Les visuels sont sublimes, la construction en tube de la colonie permet d’avoir des gratte-ciel qui nous surplombent en permanence, créant des panoramas originaux qui donnent envie de lever les yeux entre deux phases d’action. Le personnage, avec son armure neuve qui s’use, ses armes qui se transforment au lieu de bêtement se dégainer et ses cigarettes de frimeur, est plaisant à suivre et à incarner tout au long de l’aventure. Vanquish prend à contre-pied le cover/shooter planplan en enrichissant le gameplay ou l'on sort de sa cachette pour se jeter dans la mêlée, en profitant de la glissade rapide pour foncer au cœur de l’action et du bullet time pour aligner précisément ses cibles dans des positions acrobatiques incroyables. PlatinumGames nous offre là un jeu de haute volée, extrêmement bien calibré pour tous. C'est un TPS solide avec des interactions et un gameplay bien plus riches que les ténors du genre. CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Mendosa Posted June 23, 2024 Share Posted June 23, 2024 Diaboliquement nerveux le Vanquish à l'époque ! Sinon à quoi je joue moi ? Ben à Elden Ring les copains ! C'est l'heure du dessert les copines ! Le dlc est sorti ! Et puis aussi quelques jeux de ps1 avec l'option très bienvenue de Duckstation qui permet de forcer le 60hz sur des jeux pal (j'aime beaucoup ça les gars). J'aimerais beaucoup pouvoir vous partager ma partie, mais hélas je joue sur séries x. Je crois que cet été je vais essayer de me procurer du matériel pour pouvoir streamer mes consoles et également le pc pour rendre honneur à RomStation. Si vous avez des conseils à me donner sur quel matériel à acheter pour stramer ma série x je vous en serai très reconnaissant les amis. PS : Si ma demande est hors sujet je peux ouvrir un nouveau topic sur la question. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shadow-x Posted June 23, 2024 Share Posted June 23, 2024 Je suis sur ma deux cent soixante-quinzième heure de jeu de "Baldur's Gate 3", et c'est ma première partie. Mon indécision légendaire m'a fait prendre mon temps. J'essaie de ne jamais revenir sur mes choix et j'ai tout fait pour éviter le spoil (ça a été très difficile) afin de profiter des bonnes et mauvaises surprises réservées par l'aventure sans chercher à en contrôler sa tournure. Je n'en parlerai pas plus parce que même après avoir beaucoup avancé je cherche toujours à éviter qu'on me révèle quoi que ce soit... mais bon sang c'est un jeu qu'il est bien ! Si je le termine je sens qu'elle ne va pas me louper, la fameuse dépression post-game. À côté de ça j'ai aussi mis un pied dans "Cry of Fear", un jeu d'horreur gratuit trouvé sur Steam, et chaque nouveau pas dans cet enfer me donne envie de fuir en courant. Ce serait déjà fait si l'histoire ne m'intriguait pas autant. Aflow, GOONIES and Mendosa 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted June 24, 2024 Share Posted June 24, 2024 @Shadow-x Love Baldur's Gate ! J'ai fais le 1 et le 2 l'un après l'autre ^^ (Connais pas le 3) Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 27, 2024 Share Posted June 27, 2024 🔰 Pour cet opus les développeurs de F1 2012 se sont focalisés sur le contenu qui dispose de quelques innovations bienvenues, car la série officielle de Formule 1, a tout simplement gagné en XP. Confié à Codemasters Birmingham, depuis F1 2010, l'opus 2012 sur la 360, a très sensiblement progressé, pour offrir aujourd'hui le meilleur de la discipline, sans aucune contestation. Forcément, le jeu officiel de F1 confié à ce studio féru de course automobile, ne pouvait pas faire mauvais ménage, bien au contraire. Cette nouvelle version, bien qu'elle ne révolutionne pas le genre, arrive toutefois à un niveau de qualité très élevé, qui ne pourra qu'être apprécié par les fans de course auto virtuelle. Une nouvelle saison de Formule 1 et hop un tout nouveau tout beau jeu signé Codemasters, dans la lignée des deux précédents. Il autant dire que depuis le premier volet, initié dès l'an de grâce 2010, pour un renouveau au sommet, les promesses ont été tenues. A commencer par le "Test de jeunes pilotes", dans lequel vous allez pouvoir vous lancer dès le départ, histoire de vous familiariser avec les différentes "routines" à assimiler de la F1 moderne (KERS, DRS, Pneumatiques, quelques vidéos explicatives etc.). Vous pouvez même choisir, à la volée la répartition du freinage. Attention, spécial équilibriste, faire ça en pleine course demande pas mal de concentration. Ça se passe à Abu Dhabi durant l'intersaison, comme en vrai, et ça permet également d'étalonner le jeune pilote néophyte que vous êtes. Plusieurs choses se débloquent ensuite : une quarantaine de design de casques notamment, mais aussi le Mode Carrière avec ses 20 courses, nouveau circuit d'Austin compris, le mode Banc d'Essai (qui regroupe les modes Champions, Scénario et Contre la montre). On n'oubliera pas non plus évidemment les fameux mails des équipes qui vous recrutent. C'est clair, concis et pas rébarbatif. Comme l'an passé, en débutant votre carrière, des objectifs bous sont alloués. Certains vous demandent d'obtenir un résultat minimum aussi bien en essais qu'en course, mais également par rapport à votre coéquipier. La météo, surtout sous la pluie, là encore extrêmement bien rendue, les détails sont légion et contribuent à apporter plus de sensations encore : outre la difficulté de rester sur la piste, même avec les assistances enclenchées, on a cette fois une sorte de "trouble" non pas dans la Force, comme une sorte de buée sur votre casque, qui vous empêchera d'attaquer à l'aveugle et vous préconisera la sagesse derrière une autre monoplace. La météo dynamique rende également certains GP indécis, le tout est évidemment complété par des bruitages tout simplement parfaits, que l'on soit à l'intérieur du cockpit ou en vue extérieure. Un très bon point de ce côté-là. Côté I.A, les pilotes adverses réagissent correctement selon les aléas de la course, et rien e bien fâcheux n'est à déplorer ici. Nous sommes bien loin des erreurs énormes que l'on trouvait encore dans F1 2010. Les progrès réalisés sont bel et bien présents. Aucun pilote ne vous gêne sur des manœuvres de dépassement ou lorsqu'ils doivent vous concéder un tour par exemple. Ils réagissent rapidement et de manière aussi intelligente possible pou des "bots". En revanche, il est toujours dommage qu'à Monaco par exemple, "couper" le virage du Loews nous pénalise systématiquement. Et si, globalement, elles sont données avec parcimonie ave avertissements préalables, certaines fois, elles peuvent paraître injustes. Quant aux dégâts, là encore, il faudra y aller franco pour tout casser. Outre les courses rapides à faire au pied levé si je puis dire, histoire de se détendre, d'autres modes de jeux vous sont proposés dans F1 2012. L'une des nouveautés est le mode Défi Saison. Il s'agit, comme son nom l'indique, une course contre un adversaire à choisir, puis des qualifs sur un tour et enfin une mini-course sans ravitaillement. En cas de gagne, les grandes écuries vous recruteront et ainsi de suite. Le mode Champions quant à lui vous demande de relever un défi précis, comme battre Raikkonen à Spa, avec des pneus frais et lui piquer sa 7ème place, où encore rattraper et ou résister à Lewis Hamilton ou Jenson Button. F1 2012 respecte totalement ses engagements, eu égard à la version de l'an passé. Sorti avant la fin du championnat toujours en cours donc, globalement plus fluide, procure de très belles sensations aussi bien en ligne qu'en hors-ligne, et vous permet de vous lancer dans une carrière au long cours. Même si les graphismes restent somme toute assez similaire à celui de F1 2011, malgré quelques améliorations, il demeure totalement immersif avec d'excellentes sensations au volant ou à la manette. Sans oublier une durée de vie conséquente, qui devrait largement vous faire tenir jusqu'en mars prochain, et le début de sa saison 2013. Bref, c'est la référence du jeu de F1 sur console. GOONIES, Aflow and CopyCat 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 🔰 Sorti en 2007 FlatOut : Ultimate Carnage fut mon tout premier jeu de bagnoles sur la toute nouvelle console de Microsoft, passent de l'ère des consoles 128 bits, à la naissance de celle des consoles HD et je me souviens encore de la claque que j'avais prise à ce moment-là, car passer de FlatOut 2 sur Xbox à FlatOut : Ultimate Carnage sur Xbox 360 m'a tout de suite fait entrevoir le potentiel de cette toute nouvelle génération de consoles. Pour ceux qui ne connaissent pas la série FlatOut, il s'agit d'un mélange entre Burnout et Destruction Derby avec des décors incroyablement interactifs et destructibles, où tous les objets percutés ou détruits restent sur la piste. Pour cette version next-gen les développeurs nous proposent une mise à jour de FlatOut 2 avec un changement de taille, un tout nouveau moteur graphique. Au programme, des courses dans des décors très variés, des chronos avec classement on-line, un mode carnage composé de défis, un mode carrière des plus commun mais réussi, des arènes de destruction ou il faut être le dernier survivant à la Destruction Derby sur PSone, des courses sur des circuits en forme de lemniscate ainsi que des mini jeux pas forcement utile, comme balancer son pilote par le pare brise sur des centaines de mètres c'est un peu n'importe quoi, mais bon, on n'est pas obligé d'y jouer pour avancer dans la progression. Bref, un jeu bien complet... sauf que j'avais déjà Flatout 2 sur Xbox et que j'y voyais pas grand-chose de neuf excepté un tout nouveau moteur graphique et des textures en HD. Si quand même, il y avait plus d'adversaires sur la piste pour un carnage encore plus monstre ! Le gameplay a été revu et corrigé, simple et agréable à prendre en main. Un gameplay "arcade" bien sûr, mais beaucoup moins bourrin qu'un Burnout Revenge, et moins absurde qu'un Ridge Racer. Bref le parfait dosage pour un jeu d'arcade ! Pas de vitesse démesurée qui en deviennent ridicules dans Burnout 3 et 4, et un gameplay beaucoup plus technique qu'on pourrait le croire. Dans la lignée d'un Burnout il vous faudra une concentration extrême pour éviter tous les pièges de la course, et bordel qu'ils sont nombreux ! N'espérez pas gagner une course en jouant approximativement et n'espérez pas revenir miraculeusement en tête après 2 ou 3 crashs. Les environnements sont variés, à la campagne comme à la ville, il est quasiment toujours possible de courir un peu en dehors de la piste et c'est là qu'il y a le plus de choses à casser. Un boost est disponible, celui-ci se remplit quand vous percutez les véhicules ennemis, quand vous faites des sauts ou détruisez les décors. Mais n'espérez pas revenir premier à coup de boost, celui-ci n'est qu'une petite aide supplémentaire. Non, pour gagner à FlatOut il n'y a qu'une seule possibilité, avoir de bons réflexes ! D'autant que l'IA est agressive et le niveau de difficulté élevé. Un vrai jeu d'arcade et totalement "next-gen" comme je vais vous le prouver dans le paragraphe suivant. Dès la première partie, c'est le "ouf" de soulagement, car le moteur graphique a été revu et corrigé ! Fini le flou, le framerate bas, les couleurs fades de FlatOut 2 sur Xbox. C'est maintenant coloré, beau et assez fluide ! De plus, l'ambiance sonore s'est fortement améliorée, car le son était étouffé sur les deux précédents opus. Les circuits sont réussis, la HD n'est pas forcément très fine, mais c'est varié, avec de belles couleurs, et avec des détails qui font la différence. Nous ne sommes certes pas à 60 images secondes, mais c'est très agréable et largement suffisant, de plus le framerate est très stable quelle que soit la complexité de la scène. Et nom d'un chien, que ce jeu porte bien son nom : "Ultimate carnage" car jamais dans l'histoire du jeu vidéo, on aura vu un tel niveau de destructions dans un jeu de bagnoles. Pour l'époque, le jeu était démentiel, vous pouvez tout défoncer, avec plus ou moins de succès en fonction de la masse des objets, ceux-ci sont projetés, s'envolent, ou sont traînés dans le chaos le plus total ! Vous détruisez des bâtisses qui s'écroulent gênant les adversaires qui vous suivent, vous défoncez les vitrines, vous provoquez des explosions en détruisant des stations essence, les débris volent dans les airs, retombant un peu partout sur la piste. Et chose fantastique, tous ces objets et débris ont leur "propre vie ", car vous les retrouverez à chaque tour en train de traîner un peu partout sur la piste ! Ce sont des centaines, voire des milliers de débris qui envahissent alors le circuit comme des barrières, rondins, tables, chaises, caisses, planches, bidons... Des objets retombent sur votre voiture, et restent même parfois accrochés ! C'est de la folie furieuse ! De plus, votre véhicule perd des pièces, se détruit petit à petit, fait des tonneaux, s'envole dans les airs grâce aux rampes, retombe comme il le peut... Les adversaires commettent des fautes, vous provoquent de façon agressive. Tout ceci rend le gameplay plus fun et un peu "aléatoire" et c'est un compliment, car cela rend la durée de vie énorme du fait de la gestion des décors, des objets, des nombreux obstacles, de l'IA adverse qui font que chaque course n'est jamais gagnée d'avance ! Et je ne parle même pas des courses sur circuit en forme lemniscate où à chaque croisement, on risque de se faire percuter de coté un autre véhicule ! Je ne parle même pas des arènes de destruction où le but sera de survivre à tous les concurrents. Le fun à l'état pur. Burnout a trouvé son maître, car Flatout Ultimate carnage est un rêve de gamin que vous revivez à l'écran les courses de voitures que vous organisiez dans votre chambre avec cascades et destructions ! Bugbear a totalement corrigé les deux gros défauts de la série que ce soit la conduite des véhicules et surtout le moteur graphique pour un résultat saisissant. CopyCat, Aflow and GOONIES 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shadow-x Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 Le 24/06/2024 à 02:43, Aflow a dit : @Shadow-x Love Baldur's Gate ! J'ai fais le 1 et le 2 l'un après l'autre ^^ (Connais pas le 3) Le 3, il est excellent ! Je n'ai jamais fait le 2 mais le premier est en cours avec deux camarades de jeu (le jeu de base est terminé, on entame l'extension). Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 1, 2024 Share Posted July 1, 2024 🔰 Comme je l'avais écrit dans l'espace communautaire de la chaîne, voici la 2ème vidéo sur les jeux F1 de Codemasters et cette fois-ci, on passe directement de F1 2012 à F1 2014. Même circuit, même pilot, même constructeur, mais préparateur diffèrent. On passe de Mercedes McLaren à Mercedes-AMG Petronas. F1 2014 revient donc pour son ultime baroud d'honneur, car cet opus sera le dernier sur consoles de 7ème génération. F1 2014 est un titre bien développé et fort agréable à jouer. Le jeu n’a cessé de s’améliorer au fil des années et fut très bien accueilli par la critique de l'époque. Les fans de F1 pourront retrouver toutes les écuries, tous les pilotes et tous les circuits du championnat de cette année-là. De nombreux modes de jeu sont disponibles et il est même possible de profiter du titre à deux joueurs en Split Screen. F1 2014 fait le job et il le fait bien, les sensations de pilotage sont bien présentes, la pluie est très bien retranscrite quand on joue en vue du cockpit. Sur ce point-là, l’immersion est totale. On regrettera toutefois que le mode Classic de F1 2013 ne soit plus de la partie. Mais je ferai une vidéo spéciale sur le mode Classic de F1 2013 très prochainement avec Alain Prost au volant de sa Williams de 1980. CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 4, 2024 Share Posted July 4, 2024 🔰 Sorti en 2014, GRID Autosport n'est pas un mauvais jeu, mais il se contente de reprendre la maniabilité du premier opus en la combinant au moteur graphique de GRID 2. Un an tout pile après un GRID 2 convaincant, mais bien loin des bases posées par Race Driver: GRID, passant de la simulation à l'arcade, Codemasters opère à nouveau un virage à 180° avec GRID: Autosport pour retourner à son premier amour, le réalisme, en le poussant à l'extrême. Cette fois, on a à notre disposition cinq catégories de véhicules à la maniabilité propre, pour autant d'expériences variées. Le point fort de ce GRID Autosport, c'est assurément de proposer cinq catégories de véhicules : Touring Car. Open Wheel. Endurance. Tuner et Street. Pour simplifier, la première propose des véhicules de tourisme rapides, mais lourds sur circuit, la deuxième des monoplaces légères et rapides également sur tracé fermé, la troisième des voitures sportives dans des environnements variés qui doivent tenir leur position ou gagner des places avant la fin du temps imparti, la quatrième des Muscle Cars et bolides idéaux pour les glissades sur des circuits très courts, et la dernière des caisses faites pour les chocs à utiliser sur des circuits urbains cloisonnés sur les côtés. Cette dernière catégorie renferme d'ailleurs à elle seule toute une bonne partie du fun arcade que proposait GRID 2. Côté contenu, 78 voitures sont disponibles, avec chacune leurs spécificités techniques, ce qui a le mérite de compenser ce nombre relativement faible pour un jeu du genre. Elles peuvent aussi être améliorées et voir leur maniabilité personnalisée, pour une expérience en constante évolution. Pour ce qui est des circuits, seulement 22 pistes et 100 tracés avec plusieurs variantes par piste. Ce qui donne très vite l'impression de tourner en rond, surtout en comparaison de GRID 2 et de son système Live Route qui permettait un renouvellement de l'expérience à chaque tour. Il est possible de prendre part à un mode carrière riche, très riche, nous demandant de vivre une multitude de "saisons". Chacune d'entre elles consistant en une série d'épreuves basée sur une catégorie précise, sauf les GRID Series, des évènements rares à débloquer permettant d'effectuer une compétition mêlant cette fois-ci les catégories. En dehors de ce tournoi, toutes les autres "saisons" ont malheureusement la particularité de nous obliger à enchaîner presque une dizaine de courses avec des véhicules qui se ressemblent, sur des circuits à la topographie semblable. Alors forcément, un sentiment de lassitude et de répétition se fait ressentir au fil de chaque saison, là où le contenu varié du jeu aurait largement pu donner lieu à quelque chose de plus vivant. Dommage, surtout qu'il est obligatoire de finir une compétition avant d'en commencer une autre. Pour ce qui est de la partie graphique, difficile de parler de révolution, tout juste d'évolution. En sortant cet Autosport un an après GRID 2, il était compliqué de perfectionner le moteur de jeu, mais là, les améliorations ne sont tout simplement pas décelables. En reprenant en grande partie des circuits déjà utilisés par le passé, certains avec moins de routes que pour la précédente itération, le travail semble un peu bâclé, et le soin apporté à la modélisation des tracés n'a tout simplement pas évolué, ou que très peu. Néanmoins, les décors sont toujours aussi beaux, les textures correctes, les effets lumineux crédibles, les environnements éloignés correctement modélisés et les passants toujours aussi non regardables. Parlons enfin de la bande-son, un élément qui compte pour les amoureux de belles voitures. Là, difficile de juger la perfection des sonorités des moteurs, mais force est de constater qu'un effort a été fait pour différencier chaque véhicule et apporter à chaque modèle un soin tout particulier. L'immersion n'en est que meilleure, le rendu crédible, la spatialisation sonore réussie, mais bien évidemment, les aficionados trouveront toujours à redire. Même si les passionnés les moins exigeants se laisseront facilement prendre au jeu. Alors oui, GRID Autosport ne manque pas de contenu et d'idées. Avec ses cinq catégories de véhicules disponibles et presque autant de sensations différentes, les amoureux d'automobile y trouveront aisément leur plaisir. Mais il est très décevant que le mode solo soit raté, avec une intelligence artificielle au comportement trop agressif et un mauvais cadencement des différentes épreuves. Le nombre de véhicules et de circuits finalement assez faible joue aussi sur cette répétitivité trop rapide pour un jeu de course. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 🔰 New York, 2069, les mégacorporations telles qu'Eurocorp, celle pour laquelle travaille notre héros Miles Kilo, ont à présent beaucoup plus de pouvoir que les gouvernements. Elles disposent de leurs propres armes, armées, et agents. Kilo est l'un d'entre eux et il est chargé de protéger les secrets industriels d'Eurocorp, autant que de voler ceux des autres mégacorporations, Kilo est équipé d'une puce DART de 6e génération, lui permettant de s'interfacer avec le Dataverse et de pirater équipements et terminaux, mais aussi humains portant une puce de qualité inférieure. Verre, béton, buildings gigantesques, projecteurs holographiques et interfaces à la Minority Report du côté des riches, bidons-villes, maladies et dépendances diverses dans la ville-basse, pas de doute, on est en plein dans le style Cyberpunk. Si vous avez aimé l'univers de Cyberpunk 2077, ce jeu là est pour vous, car rares sont les jeux se déroulant dans ces univers d'anticipation sombres et complexes. Depuis Deus Ex : Human Revolution (dont je ferais une vidéo sur celui-là aussi.) on n'avait rien tâté dans le genre, alors forcément, même si ce Syndicate fait dans l'action pure et non dans la stratégie comme ses aînés de la licence créée par Peter Molyneux en 93, on a l'interface neuronale qui frétille et l'envie d'y plonger. Si Syndicate se contente d'être un FPS linéaire relativement classique, avec quelques séquences çà et là pour varier un peu le gameplay de shooting, car le principal intérêt de son game design réside dans la capacité qu'aura Kilo de pirater divers trucs. Des systèmes, d'abord, pour par exemple modifier la configuration d'une salle pendant une fusillade en rabattant ou escamotant des couvertures actionnées par l'informatique d'un lieu, et ensuite, petit à petit, les adversaires pucés, en apprenant trois compétences bien pratiques : contre-feu, suicide et persuasion. La première permet d'enrayer temporairement l'arme de l'adversaire, tout en le rendant plus vulnérable à nos tirs, la seconde le fait exploser au beau milieu de ses coéquipiers, et la dernière le retourne contre eux. Pour pirater, il suffit d'avoir en visuel la cible, puis de laisser appuyé le bumper gauche jusqu'à remplir suffisamment la jauge de piratage. En réussissant un timing parfait, on obtient un bonus de rechargement de ces trois capacités, mais elles se rechargent principalement au combat, à chaque ennemi abattu. Cette possibilité influe sur le gameplay à deux titres et d'autre part, elle oblige le joueur à rester attentif et à entreprendre plusieurs actions à la fois, ou alors avec le bon timing. En effet, quelques adversaires, humains ou drones, doivent être piratés avant de pouvoir être abattus, ou alors, pour espérer se tirer de certaines fusillades, il faut agir sur le décor au bon moment. En particulier, les boss demanderont une attention renforcée, d'autant qu'ils sont assez costauds. Voire trop, parfois, ou plus précisément dans un ordre inadéquat par rapport à la courbe de difficulté globale du jeu. Le premier par exemple est beaucoup plus difficile à vaincre que l'avant-dernier... Mais, globalement, ce petit élément de gameplay relativement simple donne du piment aux affrontements. À chaque boss éliminé, on récupérera une puce d'où extraire un peu de technologie à notre avantage ; en jeu, cela se traduira par l'achat de "talents" sur une grille, lesquels offriront des bonus divers selon nos choix. Cette progression du personnage est également présente en multijoueur coopératif, l'autre pan du jeu, dont le fun n'est pas négligeable. Syndicate offre un challenge soutenu, et des sensations très agréables pour les joueurs qui sont en mesure de faire plusieurs choses à la fois, c'est-à-dire essentiellement tirer et pirater en même temps tout en se déplaçant sans arrêt. Les adversaires mobiles, agressifs et nombreux y sont pour beaucoup, et de véritables combats de boss portent l'ensemble un cran au-dessus. Le coop offre lui aussi un prolongement valable à la campagne solo, mais dont on aura fait le tour tout aussi vite. Au final, Syndicate reste bourré de détails soignés et agréables, de qualités propres, mais aussi de défauts ou d'éléments qui auraient mérité d'être plus développés. Le jeu reste un FPS relativement solide pour les gros bouffeurs du genre, qui offre surtout aux joueurs chevronnés l'opportunité de briller grâce à leur capacité à faire plusieurs choses à la fois plutôt que de simplement appuyer sur la gâchette, et aux fans de cyberpunk une petite dose de plaisir, surtout visuel, dans un univers globalement bien retranscrit, mais pas assez creusé. Avec un scénario plus poussé, Syndicate aurait vraiment pu convaincre bien plus. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 Ici les gent supprime t'ils leur message ou n'y a t'il que @akumasan fessent un monologue. Link to comment Share on other sites More sharing options...
CopyCat Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 Cela s'appel une description du jeu... Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 Se que je veut dire c'est qu'il n'y à qu'une personne qui le fait ou es-ce qu'il y en avais plusieurs mais l'une d'elle à supprimé tout c'est message (j'ai déjà vu des truc comme sa sur TikTok ça fait bizarre)? Link to comment Share on other sites More sharing options...
CopyCat Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 Qui a supprimé tout ses messages ? J'ai pas trop compris ta question en fait ? Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted July 5, 2024 Share Posted July 5, 2024 Bon pas grave j’arriverais pas à mieux expliqué. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aronaar Posted July 6, 2024 Share Posted July 6, 2024 @terre7777777 Non c'est juste que dernièrement c'est Akumasan qui alimente principalement et régulièrement le topic. Il n'y a pas de suppression de messages et tout le monde peut participer naturellement. akumasan and terre7777777 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted July 6, 2024 Share Posted July 6, 2024 Je m’enchaîne les mortal kombat que se soit la série principal ou les spin off. De qualité variable en vrai les mortal kombat le 1er sympa mais ta vite fait le tour. Le second en vrai l'ia vers la fin de la tour est asser cheater au point ou pour gagner faut faire le meme coup c'est a dire sauter puis faire un coup. Se qui baisse asser la note. Le 3 par contre vraiment sympa et bien plus dynamique. Pour les suivant les opus sur ps1 sont vraiment plat le 4 bof surtout qu'en vrai sinnok est pas vraiment un boss mémorable les spin off sur ps1 specials force et sub zero mythologie sont vraiment ennuyeux specials force cest peu etre aussi parce que c'est pas franchement mon perso préféré jax et celui avec subzero car le mélange beat 'em all et jeu de combat cest pas top. Pour ceux sur ps2 alors le 5 deadly alliance alors en vrai a partir de cette opus il commence a organisé une longue saga se qui est sympa mais l'opus en lui meme est asser ennuyeux une fois l'arcade finie le monde konquest n'est pas fameux surtout que j'ai eu du mal a le finir avec les long combo compliqué a faire dedans et aussi dans se jeu ta pas la fin canonique et perso j'aimerai que la fin d'au moins un des perso sa la fin canonique. Le 6 mystification pareil que le 5 surtout que le mode konquest meme si se mode est devenu un mode histoire pour expliqué tout le jeu est asser chiant au final c'est carrement un monde ouvert mais bien vide Le 7 armagedon en vrai j'ai bien aimé celui ci surtout que niveau perso t'avais l’embarras du choix pour le mode konquest cest de nouveau un mode histoire qui explique les evenement du jeu mais cette fois ci cest linéaire du coup j'apprecie mieux que le monde ouvert vide du 6 par contre les fatalité le fait que plus aucun personnage n'en est moisi faut les faire soi meme. Pour finir sur ps2 le spin off shaolin monk alors comparé au 2 précédent spin off qui était vraiment des échec celui ci est une réussite tu t'ennuie pas et les boss sont asser technique(mention au triple boss de fin avec shao kahn qui te vide ta vie en quelque coup). Pour 8 cest un hors série mortal kombat vs dc universe sur ps3 et sincèrement les 2 mode histoire que tu suit dc ou mortal kombat cest asser ennuyant surtout que je trouve la fusion entre darkseid et shao kahn raté. Bon la actuellement j'essaye de faire le 9 sur ps3 mais sa freeze en a peine quelque minute apres que j'ai démaré un mode de jeu du coup cest un poil compromi pour l'instant.. akumasan, GOONIES and CopyCat 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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