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Il y a 6 heures, akumasan a dit :

🔰 En voici une très bonne alternative à Pokémon.

Sortie le 28 août 2020, Nexomon Extinction est un Poké-Like de grand classe.

Je suis d'accord que c'est un bon jeu, il change aussi les mécaniques de manière très intéressantes.

Il y a 15 heures, akumasan a dit :

Ce jeu a était fait par des passionnés pour des passionnés

Et c'est bien là le plus gros défaut du jeu!! c'est pratiquement que pour les passionnés! Les mécaniques sont complexe et différentes, la table des types est changée, les pp sont retiré, la plus part des mécaniques ne sont pas du tout expliqué comme les effets de statut ou la table des types. Sans parler des menus et bugs catastrophique... Surtout sur le premier jeu (nexomon)

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19 hours ago, Gaga46 said:

Je suis d'accord que c'est un bon jeu, il change aussi les mécaniques de manière très intéressantes.

Et c'est bien là le plus gros défaut du jeu!! c'est pratiquement que pour les passionnés! Les mécaniques sont complexe et différentes, la table des types est changée, les pp sont retiré, la plus part des mécaniques ne sont pas du tout expliqué comme les effets de statut ou la table des types. Sans parler des menus et bugs catastrophique... Surtout sur le premier jeu (nexomon)

 

Tu veux dire que le gens qui ne connaissent pas Pokémon seraient perdus en commençant ce jeu (Nexomon)? pour les bugs, suffit d'attendre les màjs, vaut meiux éviter de prendre les jeux dès leur sortie généralement.

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Le 25/01/2023 à 03:15, Gaga46 a dit :

Je suis d'accord que c'est un bon jeu, il change aussi les mécaniques de manière très intéressantes.

Et c'est bien là le plus gros défaut du jeu!! c'est pratiquement que pour les passionnés! Les mécaniques sont complexe et différentes, la table des types est changée, les pp sont retiré, la plus part des mécaniques ne sont pas du tout expliqué comme les effets de statut ou la table des types. Sans parler des menus et bugs catastrophique... Surtout sur le premier jeu (nexomon)

Personnellement j'ai pas rencontrer de problèmes de progression dans ce jeu.

Pour moi tout est clair, que se soit dans le choix des items et leurs utilisation.

Dans ma version (Xbox One) les menus sont clair et j'ai pas constater de bug flagrant. 

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Le 26/01/2023 à 07:43, akumasan a dit :

Personnellement j'ai pas rencontrer de problèmes de progression dans ce jeu.

Pour moi tout est clair, que se soit dans le choix des items et leurs utilisation. 

Dans ma version (Xbox One) les menus sont clair et j'ai pas constater de bug flagrant. 

Oui, les menus sont bien clair 😜

C'est sûr!
Mais impossible de regarder son inventaire en combat et hors combat, certains objets n'ont pas d'explications de leurs utilité.
Le pokedex est rempli de ??? au début donc c'est très long de descendre tout en bas.
Je me rappelle avoir été obligé de regarder le wiki pour comprendre le fonctionnement du jeu! Bon, je ne peut pas te donner trop de détails parce que je n'ai plus le jeu sous les mains.

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🔰 Sorti en 2010 sur Xbox 360, Shaun White Skateboarding est un jeu de SK8 comme son nom l'indique.

Au niveau du scénario ça tient sur un post-it, on nage vraiment dans le délire des Skaters.

Une société appeler "le ministère" tient les gens en otage, la joie de vivre a disparu et a laisser place à une vie monotone qui consiste a travailler et a travailler.

C'est la base du scénario, avec notre personnage qui se voit libéré par Shawn White himself en début de jeu, notre but sera de skater en ville pour rétablir la joie de vivre et la couleur !

Le postulat de base est sympatoche et fonctionne plutôt bien à vrai dire.

Le jeu nous offre une version française correcte, on va dire que c'est sympa d'en avoir une sans être excellente.

 

Il faut maintenant parler du contenu du jeu, car il y a de quoi dire dans ce petit monde ouvert !

Alors premièrement, qu'est-ce que Shaun White Skateboarding ?

Bah tout simplement un jeu de Skate type Arcade à la façon d'un Tony Hawk dans un monde semi-ouvert coupé en zone avec moult objectif (scénario comme annexe).

EA oblige le gameplay est identique à celui du jeu Skate un autres jeu également crée par EA sortie 3 ans auparavant.

Le but premier est surtout de redonner de la couleur a cette ville terne !

Autant le dire d'avance, tout ce qui touche à la quête principale n'est pas très long, rythmée avec le cadre du genre et surtout... bah c'est un méga gros tuto quoi, car on débloque des compétences jusqu'à la fin.

 

Shaun White est loin d'être une vitrine technique, mais c'est loin de la catastrophe.

Alors, le jeu est très basique, on sent clairement que ce n'est pas sur cet aspect que le studio a travaillé.

Oubliez tout ce que vous aviez appris sur Snowboarding, ici les règles du jeu changent.

Vous êtes dans la ville de New Harmony, cité où le conformisme et le monochrome sont de rigueur depuis la vingtaine d’année coïncidant avec l’arrivée du Ministère, un groupe pensant et dictant ce qui est bien ou pas et qui élimine purement et simplement les anticonformistes qui ne se mettraient pas dans le rang.

Mais grâce à la magie du skateboard et du flow, Vous, l’élu choisi par un Shaun capturé allez devoir devenir son égal pour libérer la ville et faire évader la star du jeu.

 

Le flow qu’est-ce que c’est ?

C’est une sorte d’énergie qui permet d’influencer l’environnement et les gens selon 3 degrés nécessitant donc un certain niveau de flow pour chacun, leur redonnant leurs couleurs, changeant le décor. Pour accumuler ce flow, vous devrez effectuer dans une ville entière, figures, grabs, grinds et autres acrobaties venues tout droit du monde du skateboard. Mais il ne faudra pas vous reposer une fois le niveau atteint, car il diminue rapidement au fur et à mesure des secondes.

 

Parfois, car un bouton sert à deux actions différentes et qu’on a appuyé un millième de seconde trop tôt ou trop tard, parfois car le jeu est tout simplement assez exigeant en termes de précision, ce qui contraste beaucoup avec cet aspect arcade du titre.

Votre joystick gauche sert à se déplacer et à avancer, tandis que le droit, seul ou combiné aux autres boutons, servira à effectuer tout un tas d’acrobaties.

Malheureusement, certains phénomènes restent inexpliqués durant la douzaine d’heures du solo, comme des grabs qui ne sortent pas, des rotations parfaites suivies d’une réception parfaite qui se voient gratifiées par un échec et donc pas de points de flow et des pertes de vitesses incompréhensibles !

 

Je dédiasse ce let's play au poto de la chaine YouTube "La skateosphere"

https://www.youtube.com/@Laskateosphere/videos

 

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En ce moment, je me suis remis sur un chef d'oeuvre que j'ai commencé il y'a environ 20 ans (ouais si longtemps Oo)  à l'époque sur émulateur mais ressorti l'année dernière via son Pixel Remaster ... je parle bien sur de l'incroyable Final Fantasy VI.

Cet épisode est tellement bourré de qualité, je ne serais même pas lui trouver de défauts ! Bon, il est, je trouve, l'un des FF les + difficile et punitif en terme de difficulté mais je préfère sa que d'être attaché à une laisse et rouler sur le jeu.

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Il y a 4 heures, Lardgreen a dit :

En ce moment, je me suis remis sur un chef d'oeuvre que j'ai commencé il y'a environ 20 ans (ouais si longtemps Oo)  à l'époque sur émulateur mais ressorti l'année dernière via son Pixel Remaster ... je parle bien sur de l'incroyable Final Fantasy VI.

Cet épisode est tellement bourré de qualité, je ne serais même pas lui trouver de défauts ! Bon, il est, je trouve, l'un des FF les + difficile et punitif en terme de difficulté mais je préfère sa que d'être attaché à une laisse et rouler sur le jeu.

Ah Final Fantasy VI ce jeu est dans mon top 5 des meilleurs jeu Final Fantasy.

J'ai la version Pixel Remaster Steam et que se soit la version SNES ou Steam, ce jeu est plus qu'une bombe c'est une légende à lui tout seul.

 

 

Capture d’écran 2023-01-31 21123111.png

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🔰 Sorti en 2020 Hardcore Mecha est un Run & Gun développé et édité par RocketPunch Games.

Le soft est à féliciter pour plusieurs raisons.

Tout d’abord par son mode solo qui est de grande qualité, alors que je redoutais le contraire depuis que les développeurs du studio RocketPunch Games ont annoncé un certain focus sur le multi.

Dans les faits, c’est assez faux et, comme votre humble serviteur est du genre ours solitaire, pour le coup on ne s’en plaindra pas.

En conséquence, on se retrouve avec un scénario bien écrit rappellent immédiatement les grandes heures de la Japanimation comme :

 

Great Mazinger et Grendizer (Goldorak chez nous)

Gundam.

Evangelion.

Patlabor.

Full Metal Panic !

Macross / Macross Plus / Macross Frontière.

Robotech.

Et j'en passe, je vais pas vous sortir la liste complète des animées incluent des Mechas.

 

Dans ce jeu on incarne Tarethur, un jeune homme qui fait partie de forces lourdement armées, des mercenaires.

Le groupe se voit confier la mission de récupérer un agent secret étrangement disparue sur Mars.

Voilà le départ d’une aventure qui va vous projeter en plein conflit politique, révolutionnaire pour être plus précis.

Rien de bien surprenant, mais ça n’en reste pas moins attachant d’un bout à l’autre, notamment grâce à de belles cinématiques, et des cutscenes écrites avec soin.

 

Imaginez un Run & Gun 2D à la Metal Slug qui rencontrerait de légères mécaniques de RPG, tout en louchant un peu sur l’ambiance visuelle et scénaristique d’un Super Robot Taisen.

Vous secouez bien fort avec une prise de décision salvatrice concernant le rendu du poids des mechas car chaque pas provoque une secousse, et vous obtenez Hardcore Mecha.

Le mode solo vous lance dans huit chapitres, divisés en dix-huit niveaux, au sein desquels il va falloir faire parler la poudre.

 

Le soft met le paquet sur la courbe de progression du joueur.

Ce dernier sera sans doute un peu décontenancé en tout début de parcours, tant le robot géant marque son poids. Mais, au fil des secondes, la prise en mains gagne en puissance, et le comportement de l’avatar n’en devient que plus plaisant.

Il répond au doigt et à l’œil : corps à corps, saut, dash, différents tirs à munitions, et parfois un peu tout ça en lévitation, ces actions s’impriment rapidement à l’esprit. Surtout que tout s’avère efficace selon les opposants.

 

Vous l’aurez compris, j'ai particulièrement apprécié la direction artistique de Hardcore Mecha.

Les robots sont tous fantastiques, dommage qu’il n’existe pas de musée pour les admirer de plus près.

Aussi, les environnements traversés se renouvellent bien.

On avait un peu peur en tout début du solo, avec une mine pas très originale, mais ça se diversifie largement par la suite, tout en restant parfaitement cohérent avec le récit. Techniquement, on est aussi enjoué : pas de baisses de framerate, les animations déchirent, les explosions et sources de lumière en mettent plein la vue.

Une preuve de plus que la 2D peut s’avérer au moins aussi impressionnantes que la 3D, quand elle est maîtrisée comme dans ce soft.

 

Enfin, la partie audio n’est pas en reste, avec des thèmes qui ne font qu’ajouter à la saveur épique qui domine l’expérience.

Les basses sont très utilisées, c’est un bonheur au casque.

La participation de Hironobu Kageyama ne fait que rajouter de l’entrain à notre engouement, avec un thème bourré de peps, peut-être un peu trop accompagné de bruitages du jeu sur les premiers instants.

En tout cas, le titre gagne encore plus de points au rayon du fan service positif grâce à cet invité de luxe.

Quant aux doublages, ils sont assurés en japonais, ce qui ne fait qu’ajouter à l’authenticité de la passion de RocketPunch Games pour le genre mecha et rien que pour ça, bravo à eux.

 

Si on m'avait dit que l’un des jeux les plus remarquables de ce début d’année 2020 serait issu du China Hero Project, je ne l’aurais sûrement pas cru.

Pourtant, Hardcore Mecha a tout du soft de belle qualité, pour qui apprécie le Run & Gun, la tendance RPG et la culture des robots géants.

Avec son solo très soigné, sa direction artistique au top et son gameplay fignolé dans les moindres détails, ce titre ma convaincu.

À peine pourra-t-on regretter l’absence de ce nous appelons une feature massue (une originalité qui fait la différence), et un multi pas aussi foufou qu’annoncé.

Mais cela ne remet nullement en cause le constat : Hardcore Mecha, c’est vraiment du très bon.

 

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Il y a 17 heures, akumasan a dit :

Ah Final Fantasy VI ce jeu est dans mon top 5 des meilleurs jeu Final Fantasy.

J'ai la version Pixel Remaster Steam et que se soit la version SNES ou Steam, ce jeu est plus qu'une bombe c'est une légende à lui tout seul.

 

 

Capture d’écran 2023-01-31 21123111.png

Et dire que des gens détestent cet épisode où pense qu'il est surcoté par rapport à certains épisode bien - abouti ...

Pourquoi Locke porte mon pseudo ? 🤣

 

EDIT : Ca à l'air sympa Hardcore Mecha, vais voir pour me le procurer 🙂

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🔰 Sorti en 2022 la licence RWBY revient, pour le plus grand plaisir des fans de la série.

Pour cet épisode, suivant plus ou moins l’évolution de la série, la formule a été changée et le projet fût confié à WayForward Technologies, à qui l’on doit entre autres la saga des Shantae, des River City Girls ou bien encore de la saga des BloodRayne.

 

RWBY: Arrowfell suit l’histoire de l’équipe RWBY composé de : Ruby, Weiss, Blake et Yang d'où l'acronyme RWBY.

Après qu’elles soient devenues des chasseresses à part entière.

En trouvant un orbe mystérieux lors d’une de leurs missions, ils remarquent une augmentation de l’activité des Grimm créatures de destruction attirées par les émotions négatives autour de Mantle.

Ils enquêtent sur les circonstances, tout en se heurtant à l’équipe BRIR, qui est un jeu de personnages original. C’est un récit assez simple que le jeu divise en chapitres.

 

Cependant, avant cela, vous passez à peu près la majorité du jeu à terminer la quête de récupération après la quête de récupération.

La plupart de ces quêtes ont très peu d’incidence sur l’intrigue.

Une personne vous demande de retrouver son bouquin, tandis qu’un d’autre vous demande une pioche.

Parce qu’une quête de récupération débloquera quelque chose de nécessaire pour la suivante, le jeu a une sensation très linéaire, ce qui est bien.

Cela signifie que vous devrez souvent revenir à la même carte encore et encore, car vous pouvez accéder à différentes zones que vous ne pouviez pas auparavant.

 

Revisiter les cartes peut être assez intimidant, car elles se ressemblent toutes vaguement.

Ils ne sont pas compliqués, mais il était facile d’oublier le chemin que je devais emprunter car chaque virage m’amenait à un écran similaire.

Les cartes ont également une grande quantité d’embuscades, le jeu vous les poussant encore et encore plus près de la fin.

Dans les embuscades, vous devez détruire plusieurs vagues d’ennemis.

Mais une fois que vous avez trouvé une combinaison gagnante de tactiques qui fonctionnent pour vous, elles ne sont pas très difficiles.

 

Le premier niveau donne une explication rapide sur la façon dont la Semblance (pouvoir spécial) de chaque fille peut les aider dans l’exploration.

Par exemple, Yang peut détruire les rochers sur votre chemin, tandis que vous pouvez utiliser Blake pour écraser les plates-formes.

Ce n’est qu’en lisant la description de Ruby et en voyant comment le jeu mentionne spécifiquement son fusil que j’ai réalisé qu’ils implémentaient des attaques à longue portée dans le jeu et que je l’ai compris à partir de là.

 

La conception des niveaux dans RWBY: Arrowfell suit un format linéaire qui rappelle les Metroidvanias, mais un peu plus restreint qu'à l'accoutumé.

Plutôt qu'une grande carte interconnectée, des niveaux autonomes sont déverrouillés et peuvent être sélectionnés à partir d'une carte du monde dans l'ordre de votre choix. Chaque niveau a quelques voies rayonnant dans les deux sens et vous pouvez les explorer pour trouver des coffres contenant des points de compétence ou des éléments clés nécessaires pour faire avancer l'histoire.

 

L'absence d'une fonction de carte peut rendre la navigation dans certains niveaux plus fastidieuse qu'elle ne devrait l'être car aucun des niveaux n'est assez grand pour que vous puissiez vous sentir complètement perdu, mais il y a eu quelques fois où je me suis retrouvés à errer un peu parce que je ne trouver pas le couloir nécessaire pour progresser.

 

RWBY: Arrowfell n'est certainement pas un mauvais jeu, mais il est plutôt frustrant de voir comment quelques ajustements et ajustements simples à certains systèmes de jeu auraient pu conduire à une expérience considérablement plus agréable.

 

Pour conclure RWBY: Arrowfell est très amusant, avec une réelle envie non seulement de suivre l'histoire, mais aussi d'explorer chaque centimètre du monde du jeu.

La difficulté est un peu facile, mais il est toujours amusant de combattre les ennemis et de trouver de nouvelles stratégies pour utiliser les différents pouvoirs des filles.

 

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🔰 Sorti en 2018, Another Sight suit les aventures de Kit une jeune fille qui perd la vue à la suite d'un accident dans un tunnel ferroviaire délabré.

Elle se relèvent et entend Hodge... un Chat... Hodge est un Chat roux courageux, un vrai CatZ comme ont dit chez moi.

Et qui semble posséder un peu plus d'intelligence que vous même, et oui un chat c'est malin et même très malin.

Désormais Kit doit compter sur Hodge pour l'aider à naviguer dans la version teintée de Steampunk Londonien victorien.

Bien sûr, le concept de cécité en tant que caractéristique mécanique allait toujours poser un sacrée challenge et unique dans son genre.

 

Another Sight est un jeu assez accessible en ce qui concerne sa prise en main.

Les commandes restent bien cartographiées et faciles à adapter

 Le mouvement est lié au joystick gauche, avec une fonction de saut liée au bouton (A) et une commande d'action liée au bouton (X).

Vous êtes libre de basculer entre Kit et Hodge à tout moment en appuyant sur [RB], et selon qui vous jouez, vous appuyez sur le bouton (Y) pour appeler Hodge ou miauler en tant que Hodge.

L'échange entre ces personnages reste essentiel tout au long et permet un travail de puzzle très complexe.

 

Chaque personnage arbore des avantages et des inconvénients, et ce n'est qu'avec l'aide de l'autre qu'ils peuvent surmonter le voyage à portée de main.

Kit est assez lent tandis que Hodge est vive, speed et vois tout.

Hodge, cependant, est beaucoup plus rapide et peut sauter à de plus grandes hauteurs.

Une chose que Kit peut faire et que Hodge ne peut pas faire, est de tirer des leviers ou de pousser des objets lourds, mais d'un autre côté, Kit est incapable de se faufiler à travers des espaces étroits ou d'escalader des murs, contrairement à Hodge.

Ce ne sont là que quelques exemples parmi les nombreux des mécanismes que vous endurerez, le jeu abritant une fraîcheur louable.

 

Another Sight fait le taf de façon formidable pour que vous vous sentiez investi non seulement dans ses personnages, mais aussi dans son monde, son histoire et sa signification profonde.

Bien qu'assez court, il fait bon usage de son temps grâce à un afflux constant d'énigmes diverses et intelligemment développées.

Dans l'ensemble, malgré quelques problèmes mineurs avec ses éléments de plate-forme, le jeu offre une aventure tout aussi engageante qu'intrigante, et qui ne ressemble à rien d'autre.

 

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🔰 Sorti en 2009 dans tous les bon Supermarchés Carrouf de France et de Navarre, vous avez certainement dû voir pendent vos emplettes croiser ce Ninja Blade sans savoir de quoi il en retourne exactement, je vous rassure, comme la grande majorité des joueurs sur Xbox 360 et PC de l'époque je ne connaissais pas du tout ce titre qui croupissant dans l'ombre d'un bac d'invendus du Cash Converters.

C'est ainsi que je tombe sur ce jeu de Ninjouille qui a su se perdre dans le bac des jeux à 5€.

Cependant j'avais reconnu la Prod aux manettes du soft, les développeurs de FromSoftware auteurs des Dark Souls.

Cette fois-ci les développeurs ont préféré une aventure repoussant toujours un peu plus loin la surenchère visuelle à grands coups d'explosions et de situations grotesques.

Une orientation nanardesque qui ne fait pas l'unanimité Défouloir exaltant pour certains, caricature de Ninja Gaiden frisant la nullité pour d’autres, le temps d’un test essayons d’y voir plus clair sur cet intriguant Ninja Blade !

 

Intriguant à l'image de son héros manieur de sabre Ken Ogawa surement un Japonais, quoi que !

Dans le genre charisme, on n'est pas loin du zéro absolu.

On retiendra de lui qu'il est bilingue, qu'il aime sans plus son papounet et qu'il a obtenu son CAP Charcutier avec brio.

Ok je divague sur ce dernier point, et à dire vrai, on s'en bat le steak de sa personnalité qu'il a pas, vu que sa présence sert uniquement de prétexte à tout faire péter à l'écran.

Un hobby que l'on apprendra à partager au cours de neuf missions, longues d'environ une heure chacune.

Prévoyez donc du temps pour vos sessions gaming lors d’un Week-End par exemple, vous constaterez que les heures défilent sans que l’on s'y ennuie une seule seconde.

Un signe révélateur selon moi qu'il n'est pas mauvais.

 

Si vous ne vous battez pas, ne vous inquiétez pas dans Ninja Blade on explose le compteur de QTE, à tel point qu'il pourrait être assimilé à Guitar Hero sans la musique et sans Guitar...

Chaque QTE est précédé d'un gros plan rapide des yeux de Ken, permettant aux joueurs de se préparer.

Bien que ce soit un moyen plutôt intelligent de s'assurer que le joueur ne soit jamais pris en embuscade par les QTE, le tir est tellement surutilisé et prévisible qu'il devient comique.

 

Si le gameplay se rapproche de Ninja Gaiden malgré l'absence d'une roulade pour éviter ses assaillants à la place on peut glisser, notre Ken National en paraît plus dynamique.

La prise en main surprend, il faut un gros temps d'adaptation pour se faire à ces déplacements rapides.

Dans votre arsenal vous aurez pour compagnes trois lames différentes, enfin quatre pour être exact :

Un katana bien évidemment mais aussi une épée lourde pour défoncer des murs ou boucliers et un duo d'épées réservé aux petits ennemis rapides qui sert aussi de grappin.

Une fois les armes évoluées, vous débloquez une nouvelle série de combos.

Les attaques à distances quant à elles se font par un shuriken ayant la spécificité de s'enflammer ou s'électriser pour paralyser les mutants.

Autre technique, le mode "vision Ninja", utile pour ralentir le temps ou déceler les points faibles des boss et interactions avec le décor.

Des éléments de celui ci sont destructibles recelant des bonus pour allonger sa barre de vie ou de chi, voir des customisations pour son costume.

Notons que le joueur insatisfait de la tenue d’origine, peut la customiser avec les couleurs de son choix et c'est se que j'ai fait en l'habillent mon perso de façon pyjama rayé.

 

Si l'ambiance série B voir carrément série Z aux répliques banales effraiera certains, d'autres en feront abstraction, et poseront leur neurones dans un bocal le temps d'apprécier ce jeu pop corn à l'action non-stop.

Le scénario a pour fond la propagation d'un virus qui n'est pas s'en rappeler Resident Evil.

Il se transmet via des vers, transformant leurs hôtes en répugnants mutants mais pas dépourvu d’intelligence, qu'il soit humain, insecte ou gastéropode... Leurs impressionnantes mises à mort frôlent le débile mais c'est assumé, et personnellement j'en ai été demandeur.

 

J'espère que les joueurs qui souhaitent se le procurer ont bien conscience de ne pas être en présence d'un chef d'œuvre pour les raisons évoquées dont principalement son manque d'originalité.

Curieusement, la plupart des webzines l'ont injustement notés, prétextant trop de QTE ou une prétendue faible durée de vie environ 9h pour le finir.

Ce qui n'est pas l'avis des commentaires de ceux qui l'ont fait.

Bien entendu l'ombre de Ninja Gaiden pèse sur lui, la comparaison n’aurait peut être pas eu lieu si le jeu avait pour nom Samurai Blade mais pour peu que vous ne soyez pas exigeant et recherchez un titre fun, il saura faire son job brillamment en offrant des moments spectaculaires empreint d'irrésistibles kitscheries.

En somme c'est mon Nanar à moi version Ninja et Dieu sait que j'aime les Nanars surtout comme celui-ci.

 

Capture d’écran 2023-02-09 144407XXX.png

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  • 2 semaines plus tard...

Pour le moment c'est surtout "Tyranny" parce que j'avais envie d'un jeu avec une grosse histoire (pour l'instant je ne suis pas déçu), "Diablo 2" qui est un énième jeu que je ne me suis jamais donné la peine de terminer (il est temps de changer ça), "Fire Emblem - Path of Radiance" qui est celui sur lequel j'ai passé le plus de temps dernièrement (que je n'ai jamais terminé non plus, et que j'ai découvert après sa suite sur Wii), "Going Medieval" pour un peu de gestion/construction détendue.

 

J'ai aussi commencé "Metro 2033 Redux", car j'ai vraiment adoré les livres. Mais j'ai un peu de mal à avancer. Même si l'ambiance est sympathique et que redécouvrir les stations souterraines de Moscou du point de vue des développeurs est un plaisir... je crois que j'aurais préféré un jeu plus orienté horreur qu'action. En en faisant un FPS bien bourrin ils ont dû beaucoup s'éloigner de l'histoire d'origine (et faire grossir le bestiaire en conséquence). Dans les livres (surtout dans le premier) on a vraiment l'impression que c'est le métro lui-même qui tente de nous dévorer, pas "juste" des monstres qui l'habitent. Le héros est aussi bien plus démuni face aux dangers qu'il rencontre, et je passe sur toutes les modifications qui ont été faites au niveau du scénario.

Enfin j'ai conscience que c'est finalement un jeu qui s'inspire plus des livres qu'il ne les reprend. Mais je ne sais pas... je crois qu'un petit survival horror plus Silent Hillesque aurait mieux représenté l'oeuvre d'origine.

Je le continuerai quand même parce que j'ai vraiment envie de savoir ce qu'ils ont fait de certains passages du bouquin, ou au moins de certains lieux qu'il me semble difficile d'éviter vu leur importance dans le monde des "Metro".

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Le meilleur jeu de Trial ever, apparu pour la toute première fois sur le Xbox live arcade le 12 août 2009, Trials Evolution est rapidement devenu un incontournable dans son genre, avec son gameplay soigné et son principe de jeu addictif c'est comme un Bonbon tu y reviens toujours.

Logiquement l'équipe de RedLynx, qui était déjà à l'origine du premier opus, est revenu à la charge quelque temps après avec un nouvel épisode baptisé Trials Evolution qui, en plus d'améliorer la recette d'un jeu déjà excellent, incluait cette fois un mode multijoueur en local et en ligne pour des courses entre Potos qui va bien.

 

Si Trials Evolution que j'appellerais " Trials Evo" commence aujourd'hui à dater, le jeu a pas vieilli, il est toujours aussi bon voir même inégalé dans son concept.

Sans déconner il est trop fun le soft !

Car depuis sa sortie sur Bbox 360 on a pas fait mieux dans le genre.

Ayant subi un léger lifting pour l'occasion, le jeu est soigné dans son ensemble et les différents niveaux que l'on traverse sont de bonne qualité, même si on aurait aimé que les décors soient un peu plus détaillés et vivants.

Disposant de 50 pistes de différents niveaux, il vous faudra au préalable réussir à débloquer les différents permis de chaque niveau avant de vous adonner aux courses associées.

Des courses qui seront bien entendu de plus en plus difficiles, défiants alors votre dextérité ainsi que votre patience devant certains pièges retors !

 

Au delà des courses que nous propose Trials Evo, il existe également des minis jeux variés, certains se révèlent même être complètement loufoques.

Réaliser le plus long saut à ski, passer à travers des cercles enflammés avec une moto qui vole, ce genre de défis pourra paraître un peu anecdotique mais leur présence ici fera beaucoup de bien aux joueurs qui verront avec cet amusement un bon moyen de souffler et se détendre.

 

Enfin, le dernier contenu proposé pour Trials Evo est la présence d'un éditeur de niveaux qui vous permettra, si votre patience et votre investissement vous le permet, de créer le niveau de vos rêves.

Tout est mis à votre disposition, les modèles de rampes, les éléments du décor, les déclencheurs, cet éditeur est vraiment complet, tellement complet qu'il en devient presque trop complet pour véritablement s'y attarder avec plaisir.

 

Avant de parler véritablement du portage en lui-même, intéressons-nous aux deux jeux qui le composent.

Mais ce qui fait la force de Trials Evo, et ce qui explique son succès, réside bien évidemment dans son gameplay.

Quoi de plus important dans un jeu de trial, où chaque mouvement de votre pilote est vital, que le gameplay.

Dans Trials Evo, nous avons affaire à quelque chose d'extrêmement bien construit.

A travers tous les mouvements du pilote qui nous sont possibles d'effectuer, on se confronte ici à une gestion de la physique et de l'équilibre très juste et très fidèle à la réalité.

L'impression de se sentir aux commandes d'une vraie moto, voilà ce qui fait le sel de ce jeu et qui le rend si addictif.

 

Sous ses airs de gameplay simplistes, où l'on ne peut finalement que se pencher en avant ou en arrière, Trials Evo possède une jouabilité d'une grande profondeur qu'il faudra apprendre à maîtriser si on souhaite aller au bout des 50 circuits proposés par le jeu.

Plus les niveaux augmentent et plus les stages seront compliqués, aussi vous aurez la possibilité de manier des motos aux caractéristiques techniques bien précises.

Plus de puissance, plus d'accélération, plus de vitesse de pointe, le tout agrémenté de la possibilité de customiser son bolide et son personnage aux couleurs et vêtements souhaités.

Un ajout de surface, certes, mais c'est toujours agréable de prendre soin de nous.

 

Pour finir cet épisode de Trials Evolution : Gold Edition corrige la plupart des défauts aperçus dans le premier épisode et se permet même de luxe d'apporter de vraies nouveautés comme le mode multijoueur ou encore un gameplay accessible et exigeant à la fois.

Trials Evolution, sous ses airs de petit jeu sorti sur le Xbox live arcade, est un incontournable que chaque joueur possédant la console se doit d'essayer au moins une fois.

Ce n'est pas tous les jours que nous avons la possibilité de s'envoler en l'air avec une moto.

@11:35

Vous imaginez pas le nombre de fois ou j'ai du recommencer cette run !

Merci dieux du montage vidéo.

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🔰 Rock and Roll mes p'tits Loups😜🤘

Après la Moto je passe à l'Auto, quoi de plus normal dans la normalité.

Sorti en 2012 DiRT Showdown est un jeu incontestablement jouissif !

 

Il reprend le meilleur de Dirt 3 pour encore plus de fun !

Des nouveaux modes de jeu font leur apparition avec le destruction derby comme centre névralgique.

DiRT Showdown est pour moi le Destruction Derby de la 360 le tout à la sauce Codemasters.

 

De plus, les commentaires audio lors des courses sont bourrés d'humour.

(Pour ceux qui comprenne l'Anglais !)

Un des nouveaux modes de jeu est notamment la présence d'une plateforme surélevée où le but est pousser les adversaires dans le vide.

Pas de doute, ce jeu est fait pour se détendre et s'amuser.

 

Et ça marche, on a là un jeu bien fun, magnifique et certaines épreuves comme le gymkhana ont bien mieux leur place ici que dans DiRT 3.

Le gameplay est quasiment le même que les précédents DiRT, juste une conduite encore plus arcade.

 

Bref, ce jeu est parfait pour se défouler et passer des bonnes heures entre potes.

 

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