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Encore un artiste légendaire du reggae jamaïcain qui nous quitte: RIP Jimmy Cliff😢 J'ai toujours les poils quand je l'écoute......

C'est marrant les hasards, parfois. Je repasse sur le site après 1 an et demi d'absence juste pour trouver un mec qui réagit pile poil un an et demi après son dernier message. Enfin bon, puisque je passe par là, autant te répondre, même si à ce rythme, je ne pense pas recevoir ta réponse avant 2027 au moins (ah, la déchéance des forums... 😌). Je ne vais pas remettre en cause ton statut de médecin, même si agiter dès le début du message l'argument d'autorité, ça inspire peu confiance. Si tu veux, mon cercle d'amis est essentiellement constitué de personnes LGBT, donc même si je n'ai probablement pas de connaissances aussi techniques que toi, je prétends quand même savoir un minimum de quoi je parle — il en va sans aucun doute de même pour @tagomago qui semble s'être intéressé à la question de la transidentité de par sa sœur. Nous avons donc tous trois en commun le fait de côtoyer et/ou d'avoir côtoyé des personnes trans, ce qui change des dialogues de sourds qu'on trouve souvent sur le net, avec pour acteurs des gens qui n'ont jamais vu de personnes queer ou seulement à travers les médias. Cela étant posé, je trouve ça incroyablement hypocrite de ta part de nous accuser tous deux (même si tu cites surtout tagomago, mais j'ai vu ta réaction sur mon message) de faire dans l'idéologie alors que ta seule et unique intervention sur le topic était de promouvoir le bouquin Transmania, un livre écrit par des autrices ayant pour obsession d'exclure les femmes trans des mouvements féministes (et le livre est orienté de cette manière.) Pour quelqu'un qui se prétend médecin, c'est curieusement très orienté idéologiquement comme intervention... Alors il est vrai que mes nombreuses interventions sur le topic étaient relativement peu neutres, toutefois je vois très mal ce qui invalide l'approche médicale dans tous mes messages. N'est-ce pas que ce que j'ai expliqué depuis le début du topic ? Je vois mal quoi ajouter car, aurais-tu été moins hostile dans ton message, je serais parfaitement en accord avec ça. J'ignore ce que tu veux dire par "véritable dysphorie de genre" (à moins que, selon toi, une partie des personnes transgenres prétendent en souffrir juste pour suivre une mode ? raisonnement que je trouve absurde sachant que les taux de regrets après transition de genre sont encore très faibles à ce jour), mais lorsqu'une personne en souffre, il est en effet important qu'elle reçoive un suivi psychiatrique pour les raisons que tu donnes. À ma connaissance, c'est ce suivi psychiatrique qui oriente la personne et qui, si le psychiatre juge utile pour elle et qu'elle est prête à mener le traitement jusqu'au bout, lui prescrit les médicaments qui lui permettent d'entamer sa transition de genre. Pour les opérations chirurgicales, j'avoue n'avoir aucune connaissance sur comment ça se passe médicalement, donc je laisse ça aux personnes qui savent mieux que moi. Oui, transitionner n'est pas facile du tout. Chez certaines familles, avoir l'accord des parents pour transitionner quand on est mineur est impossible. Trouver un psychiatre qui accepte de nous prescrire un traitement peut s'avérer un vrai parcours du combattant, tant la dysphorie de genre n'est parfois pas prise au sérieux au même titre que d'autres troubles psychologiques. Le jugement sociétal est lourd pour les personnes en transition, trop souvent considérée comme "mode passagère". Tout ça est source de souffrance, souffrance qui perdure même tout au long du processus de transition. Donc, ton ad hominem selon laquelle je "me fous de la souffrance" des personnes transgenres, je le réfute sciemment. Je le vois tous les jours qu'elles souffrent, et un des meilleurs moyens que j'ai à ma disposition pour lutter contre cette souffrance, c'est d'en parler ; essayer de faire se rendre compte aux gens des souffrances que subissent les personnes transgenres qui ne sont pas diagnostiquées à temps. Trop de personnes ne comprennent pas ce qu'est la transidentité d'un point de vue psychologique, et même si je ne suis pas le premier concerné, j'essaie de lutter contre cette méconnaissance. Ce que je trouve inadmissible, personnellement, c'est les gens qui veulent décrédibiliser ce que ressentent les personnes transgenres en faisant passer leur transidentité comme une "lubie", quand on ne les traite pas carrément d'abominations contre-nature. Pour revenir encore une fois à ce que tu appelles notre "idéologie", à tout hasard, comment appelles-tu les thérapies de conversion — qui, je rappelle, sont littéralement une forme de torture — visant, entre autres, à forcer les personnes à refouler leur transidentité, souvent au nom de la religion ? Forme d'assistance médicale parfaitement valide, ou idéologie elle aussi ? Je ne t'accuse évidemment pas de soutenir les thérapies de conversion, mais j'espère mettre en lumière le fait qu'on oublie trop souvent que des actes allant à l'encontre des personnes transgenres existent réellement, et que critiquer à tour de bras les groupes qui les soutiennent relève encore une fois de l'hypocrisie à un moment (sauf si on se déclare ouvertement transphobe, mais hé, la plupart préfère se cacher derrière un idéal de "sauvegarde de la civilisation"). En réalité, vouloir séparer à tout bout de champ "idéologie" — ce que j'appellerai plutôt engagement social — et médecine relève un peu de la fantaisie à mon avis. Comme je l'ai dit plus haut, les psychiatres qui refusent de prescrire un traitement hormonal aux personnes transgenres, ça existe réellement. Pourquoi ? Parce qu'iels ne prennent pas au sérieux les souffrances de leur patient. Les mauvais médecins, ça existe ; et je pense que les mouvements sociaux ont beaucoup à voir avec l'évolution de la psychiatrie à ce jour. Les groupes LGBT permettent de lever plus facilement les tabous concernant le changement de genre ainsi que la honte que peuvent ressentir les personnes à l'idée de se faire diagnostiquer — d'où le nombre toujours plus fréquent de transition de genre assistée médicalement : c'est parce que les personnes transgenres osent plus facilement en parler aujourd'hui qu'il y en a davantage qu'avant. Je pense avoir fait le tour de ce que j'avais à rétorquer à ta réponse tardive — si ce n'est à propos de la pertinence de préciser qu'une partie des personnes souffrant de dysphorie de genre en dehors des 5% que tu cites sont autistes : en quoi cela devrait-il les exclure du pourcentage exactement ? Je me suis concentré sur ce que j'avais à dire sur les personnes transgenres. Tous.tes ne souffrent pas nécessairement pas de dysphorie de genre, mais ça me semble important d'en parler d'une manière générale quoi qu'il en soit. Je n'ai pas mentionné les non-binaires ou autres groupes faisant partie du spectre LGBTQ+, même si elleux aussi méritent qu'on en parle pour savoir ce qu'iels vivent. Enfin bon, je ne vais pas m'appesantir davantage ici. C'était sympa de repasser par là, même si je vois qu'absolument rien n'a changé en l'espace d'un an. Sur ce, je retourne dans ma grotte. À l'année prochaine !

J'ai loupé le coche pour le 31 octobre.........mais mieux vaut tard que jamais!!! Autant je suis pas mal calé en gratte électrique (Gibson, Fender, Jackson), autant en version acoustique à part Ibanez j'y connais que dalle; mais là, je trouve que ce duo sonne sacrément bien! #bloody tears forever

Hey Joe, Willy DeVille (live - 1993)

Salut ! Street Fighter 2' aura eu raison de mes Francs , je crois que je ne suis pas le seul !! Puis une fois les poches vidées, je restais regarder les autres jouer 🙂 _ Sinon dans un tout autre registre, je suis retombé sur ça cette semaine et je manque un peu de temps, mais je m'y remettrais bien et j'ai noté le nom car je l'avais complètement zappé : Night Hunter 🧛‍♂️🩸 L'époque Atari ST (Amiga aussi) était formidable, il y avait vraiment d'excellentes idées sur les disquettes 3 pouces et demi et Night Hunter fait partie de ceux qui m'avaient absorbé, il lui manque juste une bande son digne de ce nom : Autre précision le concernant, sur la version Amiga l’écran suit le joueur de droite à gauche, alors que sur la version Atari, il y avait un temps de chargement à chaque changement d'écran. A+ et bon game !!

🎼Teddybears "Punkrocker" feat. Iggy Pop.🎶 Il a toujours la pèche le Iggy !

Pour ma part, c'est Metal Slug sur arcade qui a mis à sec mon Plan Epargne Logement!!!! Et puis un jour, les dieux de l'Emulation nous sont apparus....😲

@CopyCat la version piano voix est superbe si tu as l occasion ❤️ En attendant on a 2 fifilles qui font monter la pression

🔰 Sorti sur PC en 2025, TENGAI, appelé également Samurai Aces Ⅱ, est à l'origine un shoot'em up à scrolling horizontal développé par Psikyo et sorti en 1996 sur borne arcade, la même année que RayStorm, 19XX, Raiden Fighters, d'autres très bons shoot'em up. L'ambiance est la même que dans le premier épisode, avec un monde totalement bercé par le Japon médiéval. Le style de jeu reste constant dans tous les Psikyo : un tir standard, un tir surchargé, une bombe et des améliorations pour booster la puissance de feu. La conception des niveaux est également pratiquement la même, comportant quelques adversaires, un mini-boss, encore quelques adversaires, et enfin un boss. Il n'existe pas d'éléments destructibles dans le décor, sauf très occasionnellement, et ce n'est pas un jeu de tir où il faut esquiver le terrain, donc l'avantage d'une vue horizontale est plutôt contestable. L'univers semble plus élaboré et moins imprévisible que Samurai Aces : il fusionne toujours le Japon fantastique médiéval avec la magie et le steampunk, mais au moins cela élimine les aspects modernes et de science-fiction du précédent, ce qui lui confère une cohérence bien supérieure. Les niveaux initiaux sont aléatoires. Toutefois, parmi les options, on a la possibilité de déterminer l'ordre dans lequel on souhaite jouer. Selon l'itinéraire suivi dans le niveau 5, chaque personnage a deux conclusions distinctes. En termes de complexité, on ne se situe pas dans une dynamique de manic avec des motifs sophistiqués, mais plutôt des configurations plutôt exactes. À l'instar d'un Raiden, ces individus sont souvent d'une rapidité remarquable et testeront intensément vos réflexes. Heureusement, le jeu propose différents niveaux de difficulté, rendant son accessibilité universelle. De même, si les continus sont en instant respawn dans le mode le plus facile, il vous faudra revenir au début du niveau dans les modes de difficulté normaux. Quelques adversaires sont particulièrement tenaces, nécessitant une quantité considérable de tirs pour les éliminer. Ce qui reste le plus captivant, ce sont les affrontements avec les boss. Ces derniers possèdent toujours un design unique et charismatique. Visuellement, c'est splendide, les décors et les sprites sont remarquablement illustrés. Les morceaux sont de qualité et la possibilité de sélectionner différents personnages apporte un petit supplément d'attrait. TENGAI est un jeu de tir rafraîchissant qui vous épatera visuellement, mais attention, c'est du lourd ! Avec son atmosphère unique et son défilement inhabituel, TENGAI se démarque radicalement du style habituel de Psikyo, et c'est un succès manifeste.

#OnTour!

Une autre version tout autant mythique de ce standard! 😻

Andrew Watt Acoustic Remix - Let Me Love You.

Mais quelle claque!!!! Comment imaginer un tel standard de SOAD revisité à la sauce Motown et que ça donne un rendu aussi incroyablement bon??!!??

Salut @GambierBae @Ienzo100 @Minou33 @akumasan! Merci beaucoup pour vos réponses ! Bien joué ta vidéo @Minou33 , amusante et instructive, un rappel pour la mémoire. La Saturn, ça me rappel surtout Sega Rally qui était juste parfait et seul au monde lors de sa sortie, ça faisait réfléchir quant au choix PS1 vs Saturn... Ça ne m'aurait pas dérangé de jouer sur le support le plus qualitatif , mais le texte en Français c'est cool quand même... Par contre la narration en Japonais est bien plus convaincante que celle des US, tan pis je ne peux pas tout avoir... Je viens de tester avec un traducteur via Bato, mais ça n'est vraiment pas terrible, la traduction est clean, mais il faudrait avoir le contrôle d'ouverture des fenêtres de conversation comme dans FF, ici avec Grandia ce n'est pas possible. Du coup ce sera donc Grandia dans sa version PS1, merci pour ton conseil @GambierBae 👍 Bonne journée 😄

Yes, on est en plein dedans avec le père Benzaie!!!!

🎃 Voilà les P'tits Loups, le week-end d’Halloween s’achève et le playthrough sur CREEPY TALE 4 aussi. J’espère que vous avez pris du plaisir à regarder ces trois vidéos, autant que j’en ai pris pour les réaliser. Un grand merci à toutes et à tous pour m’avoir suivi tout au long de ce week-end festif et je vous dis à très bientôt avec de nouvelles vidéos sur une multitude d’autres jeux. 🎃

Un live tout chaud !

Salut à tous les potos de Romstation ! On retourne à l'émission Paddle Academy avec aujourd'hui un nouvel épisode dédié à "Isolated Warrior" : un bon shmup oublié de la NES ? Réponse en vidéo ! Bon visionnage tout le monde ! 😉 N'oubliez pas de partager, commenter, liker et vous abonner si ce n'est pas déjà fait svp, merci ! (ça devient dur avec l'algo de YouTube, on a donc plus que jamais besoin de votre soutien ;))

Sympa ma Cat, je ne connaissais pas ce son ! Il me rappelle un peu celle-ci. ^^

🏀 Sorti en 1994 sur le système Arcade Neo·Geo MVS, Street Hoop ou Street Slam est une bonne alternative à NBA JAM car Street Hoop va droit au but. C'est du Street-Ball sans règles ou vous devez arriver à mettre la balle dans le panier. Le gameplay est d'une simplicité absolu car ici il y a qu'un bouton pour tirer et un autre pour passer, ce qui apporte une dimension véritablement amusante au jeu. Sachez que le streetball, une version débridée du basket, dans laquelle j'ai brillé pendant plusieurs années sur le terrain de jeu situé près de mon domicile, et c'est toujours vrai à ce jour, même si j'ai un peu vieilli, j'ai plus 20 piges les gars ! En jouant en 3 Vs. 3, on a parfois du mal à garder en tête l'importance des règles et de la courtoisie. Street Hoop va réveiller en vous vos instincts les plus débridés et les plus violents car c'est du Street-Ball. En d'autres termes, tout est autorisé ! Une fois que vous avez choisi l'une des dix équipes en compétition, vous aurez la possibilité de vous engager dans un tournoi mondial ou de défier un ami à des matchs individuels. Dans les deux scénarios, le jeu se passe dans la rue, les deux paniers sont opposés et trois joueurs par équipe s'affrontent pour le ballon. Comme mentionné précédemment, seuls deux boutons vous donnent la possibilité de contrôler les actions des joueurs : En attaque, le post bas prime et le shoot à 3 pts est une option plus que négligeable, mais chaque attaque est récompensée par une jauge de skill qui au final nous fera claquer un dunk d’anthologie dans la raquette, ou un shoot à 3 pts explosif qui rentrera à coup sûr ! En défense, ils se servent pour sauter et frapper, ce qui représente en effet une forme de défense, tandis qu'en attaque, ils s'en servent pour tirer et réaliser des passes. Dès le début, une chose est évidente saut au yeux ! L'arcade l'emporte sur la réalité et le concept de fair-play devient rapidement dépassé. Soyez agressifs, enchaînez avec des passes rapides, essayez des tirs à 3 pts et écrasez l'adversaire en possession du ballon. Ici c'est que que fun, Street Hoop propose des moments agréables et après quelques parties, vous aurez assez de maîtrise des contrôles pour accomplir des actions impressionnantes. En fin de compte, on remarque tout de même que ce jeu fait cruellement défaut en termes d'originalité et de richesse (actions, équipes, tactiques, etc.). Les musiques, Street-Style, sont très typées Hip Hop comme dans les années 90's. Cela change radicalement de ce que l'on trouve habituellement sur la console de SNK. Graphiquement, le jeu s'en sort très bien. Il faut dire aussi que Data East n'est pas nouveau dans le paysage Neo·Geo et sait donc tirer parti des capacités de la console. Il est à noter que le jeu est également désigné sous le nom de Dunk Dream dans sa version japonaise, et Street Slam dans sa version destinée au marché américain. En définitive, ce clone de NBA JAM est un très bon jeu de basketball. Flexible et captivant, il devient véritablement incroyable quand on essaie à deux. Ce clone de NBA JAM en 3 Vs. 3 et à la sauce Neo·Geo privilégie le spectacle grandiose, mais souffre d'un manque flagrant de profondeur : l'action est extrêmement répétitive et devient rapidement ennuyeuse. En somme, Street Hoop n'apporte rien de vraiment mémorable, mais j'aime toujours autant y rejouer pour le fun que le jeu procure.

🏀 Sorti en 1996, RUN and GUN 2 est le deuxième opus du jeu de basket développé par Konami. Cette fois-ci, Konami change de hardware et passe sur le système Arcade GX Type 4 qui a vu naitre des titres arcade comme : Rushing Heroes, ou encore, Vs. Net Soccer. RUN and GUN 2 est fondamentalement identique à son prédécesseur sorti trois ans plus tôt sur le système Arcade GX247. La grande différence entre les deux opus, c'est leur aspect graphique qui dans ce deuxième opus est beaucoup plus fin. Par contre au niveau du gameplay rien a changé, c'est exactement la même façon de jouer ! Le jeu est même un poil plus lent que son prédécesseur et cela est dû au grand nombre d'animations rajoutées pour cet version. Que ce soit pour les joueurs, mais également pour le public bien plus animé. Le moteur graphique lui aussi a évolué, aidé par le système GX Type 4. On garde le style Mode 7 mais en bien plus fluide grâce à un framerate un peu plus élevé. Le gameplay quant à lui reste identique, au premier opus de RUN and GUN. Pour savoir de quoi il en retourne, référez-vous à la description de la premier vidéo.

I Heard It Through The Grapevine, Creedence Clearwater Revival (1966)

🏀 Sorti en 1993, RUN and GUN est un jeu de basket développé par Konami sur le système Arcade GX247. Je me rappelle encore comme si c'était hier la toute première fois où j'ai mis une pièce de 10 frs dans cette borne arcade. J'étais émerveillé par ce jeu, car je n'avais jamais vu un jeu de basket avec une telle profondeur de champs, et en plus en 1993, ce jeu était magnifique, c'était du jamais vu, car aucune console de cette époque ne pouvait afficher de tels graphismes ! Le jeu propose un terrain vu de front utilisant une sorte de Mode 7 avec différentes perspectives lorsqu'on agrandit les sprites, caractéristique des jeux arcade de Konami des années 90's. Grâce à son impressionnant réalisme et son équilibre surprenant, le jeu a connu un engouement considérable dans les salles d'arcade, en phase avec la passion de l'époque pour le basketball. Mais attention : ce jeu ne laisse aucune pitié ! Si vous n'occupez pas la première place à la fin d'un quart-temps, c'est le Game Over, même en cas d'égalité ! Par ailleurs, le tir au buzzer du CPU est pratiquement infaillible. Aux deuxième et quatrième quarts-temps, la solidité défensive et l'attaque de l'équipe contrôlée par le CPU augmentent considérablement, et malgré le nombre de paniers marqués, le tir à trois points semble présenter des signes de manipulation des probabilités. De plus, les mécanismes incitant à la consommation de pièces de monnaie étaient omniprésents sur cette borne. Le CPU étant limité au poste de pivot, son équipe disposait d'un excellent tireur à trois points, car la défense individuelle était moins efficace à ce poste. Généralement, le pivot marquait après avoir pénétré sous le panier et profité d'un double blocage adverse. Cependant, à l'époque, les pivots étaient souvent joués par des équipes comme Chicago ou Phoenix, qui avaient des pivots moins performants. Il semble que Michael Jordan et Charles Barkley, alors au sommet de leur gloire, aient eu une grande influence. Dans ce contexte, la stratégie centrée sur le pivot décrite précédemment devient difficile à mettre en œuvre. Il est plus simple d'utiliser un schéma consistant à trouver un joueur plus rapide que son adversaire en défense individuelle, à effectuer des feintes de corps, à passer le tireur, puis à s'infiltrer sous le panier et à tirer. Cette technique permet de remporter facilement la victoire. Dans ce cas, il arrive que le pivot adverse se retrouve dos au panier pour défendre sur le pivot adverse, ou que ce dernier soit simplement bloqué sous le panier. Dans le premier cas, ayant déjà passé le tireur, il peut facilement dunker. Dans le second, s'il effectue un double crochet, il peut marquer. Ce type d'action est facile à réaliser à Chicago avec Jordan et Pippen, et à Phoenix avec Barkley et Kevin Johnson. En attaque avec une prise à deux, la probabilité de marquer est plus faible qu'avec un dunk. Il faut donc, dès qu'on tire, effectuer des changements de joueurs efficaces et tenter de récupérer un maximum de rebonds sous le panier. En phase offensive, les passes sont minimisées et le joueur à l'intérieur transporte le ballon directement. Si un coéquipier est plus près de la cible que l'attaquant adverse, optez pour un alley-oop. Autrement, employez une aptitude individuelle pour surpasser le tireur sous le panier et inscrire des points. En défense, on note une préférence pour les contres plutôt que les interceptions à risque et peu profitables. Ainsi, le gameplay devient inévitablement plus répétitif. En phase défensive, la stratégie consiste à intercepter systématiquement la première passe adverse, profitant de l'absence de faute. Cependant, tenter une interception et offrir une opportunité de panier facile est souvent une erreur ; il faut donc bien analyser la situation. Viser le contre est une bonne idée, mais attention : le CPU utilise tellement de dunks puissants sans contre qu'elle est moins efficace en défense contre les dunks. Ce jeu de basket de Konami possédait son propre style arcade, ce qui fit de RUN and GUN un classique incontournable des salles d'arcade en 1993. Depuis, il est devenu l'un des quatre jeux de basketball d'arcade les plus populaires, aux côtés de NBA JAM, mais aussi, Street Hoop et de Super Slams une adaptation du manga Slam Dunk de Takehiko Inoue. En l'absence de licence NBA officielle, toutes les équipes ont adopté pour le nom de leur ville d’origine. Ainsi les Bulls s’appellent désormais les Chicago et les Magic s’appellent désormais les Orlando. Et c’est pareil pour toutes les autres équipes. Par la suite, en 1996, un second opus appelé sobrement RUN and GUN 2, a également vu le jour. Je ferai une vidéo dessus juste après celle-ci. Il s'agit en fait d'une version 2.0 du premier opus, certes bien plus jolie avec des mouvements légèrement plus fluides grâce à une modélisation plus fidèle, le rythme était plus lent, ce qui rendait le jeu un peu moins palpitant. Mais je détaillerai tout cela dans ma prochaine vidéo.

🏀 Sorti en 1996 sur borne Arcade, NBA Hang Time est le 3ème volet de la série NBA JAM. La série commencé en 1993 avec NBA JAM, puis avec NBA JAM Tournament Edition sortie un an et demi plus tard. NBA Hang Time fut développé pour le système Arcade Wolf Unit, un hardware propriétaire de Midway. Visuellement, on reconnaît tout de suite la patte Midway avec ses graphismes digitalisés et colorés qui vont plutôt bien avec l'ambiance cool du jeu. Les animations sont de très bonne facture et aucun ralentissement n'arrive à pointer le bout de son pixel, ce qui n'est pas une mince affaire vu la nervosité et le rythme du jeu. Mais, très objectivement, même si les graphismes forment un très bon background, c'est bien l'univers sonore, juste extraordinaire, qui met les joueurs de l'ambiance surchauffé du titre Le speaker qui met le feu, les digits d'avion ou de vaisseaux spatiaux lors des dunks, le bruit d'explosion lors d'une bâche bien placée, la musique Hip-Hop allant comme un gant au monde du basket américain. La formule originale du jeu ne change pas, on joue en 2 contre 2 en ne contrôlant qu'un joueur, le CPU gérant l'autre membre de votre équipe. Les règles sont pratiquement les même qu'au basket si ce n'est l'absence totale de faute et de retour en zone. Les 29 équipes de la NBA sont disponibles avec 5 joueurs par équipe pour mixer sa composition. Tous les ténors de la saison 95-96 sont la, Pippen, Rodman, Ewing, Mourning, Kemp... présents pour en découdre ! Chaque joueur est différencié par 6 stats qui le caractérise vraiment dans le jeu : Speed : Vitesse du joueur. Power : Endurance et Force du joueur. Dunk : Capacité du joueur à dunker. Shoot : Capacité du joueur à tirer à courte et longue distance. Steal : Capacité du joueur a voler ou intercepter le ballon. Block : Capacité défensive du joueur pour les bâches, les rebonds et les blocages. Ces stats ayant un réel impact sur le jeu, il incombe donc au joueur de sélectionner ses 2 joueurs en fonction de son style de jeu. Trois boutons sont mises a la disposition du joueur : A : Turbo. B : Shoot en attaque et saut en défense. C : Passe en attaque et interception en défense. Le gameplay du jeu est très simple d'accès et permet aux joueurs, débutants comme vétérans des précédents opus, de rentrer instantanément dans le dynamisme du jeu. On accélère, on passe, on dunk ou on shoot en attaque et on accélère, on intercepte, on bâche ou on prends les rebonds en défense. Tout s'enchaîne à un rythme effréné dans une fluidité parfaite, sans temps mort en dehors des quart temps, sans avoir une seconde pour s'ennuyer. Mais même si en apparence le soft semble simple, dans les mains d'un joueur habitué, on comprend très vite que, comme tout bon titre arcade, le jeu jouit d'une profondeur assez extraordinaire. Que ce soit en attaque avec le placement de ses joueurs ou du jaugeage des tirs, ou en défense avec les interceptions, les bâches et les rebonds, le gameplay de NBA Hang Time demande précision et skill pour vraiment délivrer tout son potentiel. Évidemment, le côté fun et complètement cool qui faisait la saveur des premiers opus est toujours présent avec les superdunks, le mode on-fire surviens lorsque vous arrivez à mettre 3 paniers sans en prendre un seul, le joueur qui marque le 3ème crame le panier avec le ballon qui s'enflamme permettant, si le ballon est récupéré, au joueur d'avoir la balle en feu et il deviens possible de marquer de n'importe où sur le terrain, voir carrément de péter le panier lors d'un dunk de folie ! La voie du speaker enflamme alors littéralement la partie de ses phrases mythiques "Boomshakalakaaa !!!" et autres "Wild Open !!!" lors de chaque action. J'espère que ma vidéo a su vous transmettre toute la ferveur et passion que j'éprouve pour ce jeu, auquel je reviens constamment dès que possible. C'est un jeu que je recommande à tous pour son accessibilité, son gameplay, son univers et surtout pour son ambiance incomparable. C'est vraiment parfait et à quatre joueurs, c'est tout simplement divin.

Le + "viking stylish" des amerlocs nous prouve à nouveau (s'il en est besoin) qu'il est un des rois du métal crasseux pour les bikers. Son toucher de gratte est toujours magique pour mes cages à miel!😻

Et celle-là en unplugged, tu la conaissais????

🤘oH YeAh🤘

Mon kiteur préféré, présentation de Dimitri Maramenides, enjoy !! 😁

Il y a rien de chelou ! La SEGA Saturn surpassait la PlayStation dans tous les jeux en 2D grâce à son hardware conçu pour la 2D, tandis que la PlayStation, avec son hardware dédié à la 3D, était plus performante dans ce domaine.

meilleur jeu au monde non je rigole mais qu'est ce que je me suis amusé dessus quand même. comme pour le jeu untlied goes ou je sais plus comment il s'appelle, tu sais le jeu ou tu contrôles une oie et tu dois foutre le bordel dans le village. Ah ce jeu je me suis bien marrer dessus aussi.

🎃 Pour le week-end d'Halloween, on poursuit les aventures de Martin dans CREEPY TALE 4.🎃

🎃 Comme tous les ans, pour Halloween, je vous propose un jeu et cette année ce sera un jeu sorti le 30 mai 2024, du nom de CREEPY TALE : Some Other Place, qui est le 4ᵉ épisode de la série éditée et développée par Creepy Brothers. Cet épisode se lance sur une cinématique dans une maisonnette où se tiennent trois garçons, une femme et un bébé dans un landau. On découvre rapidement que les trois garçons sont frères et que leur mère a récemment donné naissance à une petite fille. Les trois frères envisagent de partir à la cueillette des champignons. Toutefois, l'un d'eux n'a pas envie de faire la cueillette, préférant plutôt la pêche, car il en a assez des soupes de champignons que leur maman prépare. La cinématique s’arrête et vous êtes maintenant hors de la maisonnette, vous dirigeant vers le ponton à la recherche de poissons. Vous êtes en train de pêcher paisiblement quand, tout à coup, une créature surgit de nulle part, s'empare de votre seau rempli de poissons et vous décidez alors de la poursuivre. Toutefois, vous pénétrez dans une souche d'arbre qui vous transporte dans un autre univers et vous vous retrouvez bloqué loin de chez vous. Votre objectif sera d'explorer cet univers inédit pour dénicher la voie de retour vers vos proches. Comme le jeu se déroule de manière horizontale, vous aurez la possibilité de progresser de la gauche vers la droite. Vous aurez aussi l'opportunité de grimper et descendre des échelles, ainsi que de sauter lorsque cela sera possible. Vous aurez la possibilité de collecter des objets et de les stocker dans votre inventaire. À certains moments, vous pourrez interagir avec des boutons et des objets pour progresser dans le jeu. Si vous n'êtes pas familier avec la série CREEPY TALE, ce sont des jeux basés sur des énigmes. Il vous faudra résoudre des énigmes, remettre des objets à certains personnages, activer des mécanismes dans la bonne séquence, et ainsi de suite... Certaines énigmes sont relativement faciles, alors que d'autres présentent une certaine complexité. Il est nécessaire d'observer attentivement l'environnement pour pouvoir les résoudre. CREEPY TALE : Some Other Place arbore un style graphique sombre et sinistre qui lui est caractéristique. Si vous avez joué les trois épisodes antérieurs, vous ne serez pas dérouté. Il présente un certain aspect Tim Burton et des jeux comme Don’t Starve. CREEPY TALE : Some Other Place séduira les amateurs de jeux d'énigmes dans une atmosphère obscure. Si les trois premiers vous ont plu, je crois que celui-ci devrait également vous séduire. Certaines énigmes m'ont semblé plutôt illogiques et complexes, mais inversement, d'autres étaient relativement simples à déchiffrer. Le jeu n'est pas très long, il faut compter environ 2 à 3 heures pour le terminer. Je ferai donc ce playthrough en 3 ou peut-être 4 parties, tout cela étalé sur le week-end d’Halloween. 🎃

euh c'est bon en faite GambierBae a trouvé