Mon premier Survival-Horror sur PS1, j'étais à fond dedans car j'avais envie de tester le genre quand je me le suis procuré et je l'apprécie encore aujourd'hui. C'est d'ailleurs toujours mon préféré à ce jour car je n'ai pas développé un gout prononcé pour ce style de jeu et je ne les ai pas tous fait mais je pense qu'il aura du mal à être détrôné de la première place dans mes préférences des jeux que j'ai eu l'occasion d'avoir entre les mains à son époque.

Franchement je préfère largement la version originale du jeu que son remake sur PS4. Le remake n'a pas le charme original des Resident Evil à l'ancienne pour moi.

Dans le même temps, ce n'était pas réellement le but de Capcom. Je ne peux que deviner ce qui fait le charme du RE2 original pour toi,  mais je doute que cela aurait fonctionné une vingtaine d'années après.

Le REmake² diverge notamment en expulsant le côté série B. Le ton est sérieux, l'ambiance sombre, les doubleurs ont de la conviction, les personnages gagnent énormément en vraisemblance et l'intrigue est plus crédible (même si des éléments, comme la taille du complexe souterrain d'Umbrella, restent un peu fous...).

Le gameplay se calque sur RE7, tout en conservant le système bien connu de la série, à savoir pas mal de fetchques. Et ce REMake² se veut bien plus survival.

Le 10/2/2019 à 21:47, Iva a dit :

Franchement je préfère largement la version originale du jeu que son remake sur PS4. Le remake n'a pas le charme original des Resident Evil à l'ancienne pour moi.

Je suis bien d'accord avec toi malheureusement...

J'y ai passé des heures sur ce jeu essentiellement avec Claire plutôt que Léon.

C'est dommage qu'il y ait un bug lors des sauvegardes dans ce jeu. Je me sens obligé de changer de plateformes ou de jouer à la version Anglaise pour que ça marche et ça m'énerve.

Le 10/2/2019 à 21:47, Iva a dit :

Franchement je préfère largement la version originale du jeu que son remake sur PS4. Le remake n'a pas le charme original des Resident Evil à l'ancienne pour moi.

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Ah des fois les originaux, "tu peux pas test" comme on dit et étant donné qu'il y'a de légères différences selon les consoles pour cet opus là eh bien je suis moi même très pointilleux et j'ai un gros attachement nostalgique pour la version PS1 puisque c'est sur celle-ci que je me suis vraiment éclaté à l'époque.
 

Le 30/10/2019 à 01:10, coolzed a dit :

C'est dommage qu'il y ait un bug lors des sauvegardes dans ce jeu. Je me sens obligé de changer de plateformes ou de jouer à la version Anglaise pour que ça marche et ça m'énerve.

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Des détails peuvent être extrêmement frustrants ça je suis entièrement d'accord.

Jeu culte de la PS1, à essayer si ce n'est pas déjà fait. 😉

Dommage qu'il n'y est pas le mode hard sur la version PS1, mais vous aurez quand même pas mal de temps de jeu si vous faites les 4 scénarios en facile puis en normal.👌

Je ne sais pas si il y a des soucis de sauvegardes car j'ai visé le Rang A sans sauvegardes ni sprays donc à confirmer. 🤔

La seule chose qui me manque dans le remake ce sont les musiques, trop discrètes, et pour le peu qu'on entend, facilement oubliables.

En dehors de ça, le remake est en tout point supérieur à l'original. 20 ans après un des trucs qui me dérange le plus dans le jeu de 98 c'est tout simplement l'incohérence totale d'avoir autant d'énigmes dans un commissariat. IRL ça se passe comment d'avoir à débloquer la clé d'une porte d'un bâtiment public en plaçant un joyau sur une statue ? Lol. Alors ouais RE ne vise pas le réalisme à 100%, et clairement ça ne m'a jamais empêché de m'éclater sur ce jeu, mais un peu de crédibilité ne fait pas de mal. Sur ce point le Remake se veut bien plus cohérent, bien sûr il y a toujours l'histoire de débloquer des portes, mais les énigmes se résument surtout à mettre des fusibles, tourner des valves, récupérer des pièces électriques, bref, y'a un peu plus de logique dans ces énigmes, on essaye réellement de débloquer des salles, au lieu de jouer à un puzzle tordu. Pas toujours bien sûr mais plus qu'il y a 20 ans.

À un moment faut apprendre à laisser les vieilles choses derrière soi. Et un dernier point très important : le remake est vraiment un SURVIVAL-horror, les zombies, plus résistants, qui te suivent d'une zone à l'autre, et qui sont plus coriaces, ça t'oblige à aborder le jeu différemment, même en y rejouant.

Le 10/02/2019 à 21:47, JETT a dit :

Franchement je préfère largement la version originale du jeu que son remake sur PS4. Le remake n'a pas le charme original des Resident Evil à l'ancienne pour moi.

Pourtant il fout autant la trouille que l'original, ce que tu dis s'adresse surtout au remake du 3 qui est une purge absolue, contrairement a l'original qui lui es bien supérieur..

Le 10/02/2019 à 21:47, JETT a dit :

Franchement je préfère largement la version originale du jeu que son remake sur PS4. Le remake n'a pas le charme original des Resident Evil à l'ancienne pour moi.

complétment d'accord avec toi 

Après, je suppose que cela dépend de ce qu'on recherche. C'est sûr que les anciens RE, ayant popularisé le genre du survival-horror, ont un "grain" typique de l'époque, un charme peut-être un peu désuet, style film de série B.

Le REmake² lui, entreprend (et réussit) une noble entreprise : reprendre le matériel de base en lui ajoutant une patine de vraisemblance beaucoup plus importante, que ce soit au niveau des personnages, de l'intrigue ou bien des puzzles.

Ce n'est pas grand-chose, mais donner une histoire au commissariat justifiant certains aspects insolites de son agencement, c'est mieux que de balancer des clés à thème sans autre raison que nous sommes dans un jeu vidéo.

Et niveau trouille, indépendamment des graphismes, le Mr X du REmake² est bien plus menaçant que son ancêtre sur PS1. En rajoutant les ennemis plus résistants, on a une expérience qui se rapproche plus du survival que de l'action horrifique, où RE2 s'orientait déjà un peu.

Non mais rien que les zombies qui défoncent les portes rend le Remake plus intéressant et offre un challenge bien supérieur à l'original.

La nostalgie a ses limites. A un moment faut savoir reconnaître quand un travail moderne est bien fait. Et dans le cas de RE2R, bordel, qu'il est bien fait.

edit: en me relisant je me rends compte que je donne une mauvaise impression que quelqu'un doit préférer le remake à l'original, bien entendu ce n'était pas mon intention. L'original a bien sûr certains aspects qui le rendent unique (notamment les musiques, fort discrètes dans le remake d'ailleurs). Je voulais juste dire qu'au final, pad en main, il me semble quand même bien compliqué d'admettre aujourd'hui que l'original est meilleur que le remake.

Le jeu qui fait re-peur (t'as saisi la blague re=Resident Evil)

Aussi bon si ce n'est meilleur que le premier opus, l'ambiance gore/horrifique accompagné de ses musiques participent parfaitement à nous mettre dans l'ambiance.

L'histoire et le chemin diffèrent (légèrement) en fonction du cd inséré et donc du personnage choisi (CD 1 Léon / CD 2 Claire)  Les armes diffèrent aussi d'un personnage à l'autre, les dialogues diffèrent, ...

 2 manières de faire l'histoire donc : commencer avec Léon et finir avec Claire ou (mon préféré) Commencer avec Claire et finir avec Léon. Une fois l'histoire fini on obtient une "nouvelle histoire" avec Hunk (membre de l'équipe Alpha d'umbrella qu'on a aperçu avec Birkin lors d'une cinématique)

Le meilleur pour la fin : réussi avec Hunk pour débloquer Tofu et si tu arrive à la fin avec lui franchement bravo (je ne l'ai réussi qu'une seule fois) et c'est comment dire ... HARDCORE

Sinon j'ai fait Léon A en 1h59min59sec (temps console) mais c'était il y a longtemps en descente et par vent arrière

Le jeu est bon, l'ambiance est bonne, la maniabilité des persos est ... daté MAIS facile à prendre en main, l'histoire assez bateau mais prend bien la suite du premier opus c'est pour toutes ces raison que je lui donne la note de : presque caca culotte / 20

CD1 = Léon

CD2 = Claire

Excellent RE tout confondu, le Remake m'a laissé sur ma faim, plutôt que de me refaire encore le Remake, j'ai préféré opter pour la version PS1.

Resident Evil 2 : Un chef-d'œuvre à la croisée du jeu vidéo et de l'univers de Romero

Resident Evil 2 a marqué toute une génération, et il est facile de comprendre pourquoi. À une époque où les jeux vidéo exploraient de nouveaux horizons narratifs et techniques, ce titre a su capturer l’essence même des films de George A. Romero. Les rues enflammées, les zombies errant dans une ville américaine en plein chaos... Tout respirait cette ambiance apocalyptique qui rend hommage au maître des films de zombies.

La transition entre le huis clos oppressant du manoir Spencer du premier opus et l'immersion dans une ville entière infestée de morts-vivants était un véritable choc. On passait des couloirs sombres et confinés à des rues étroites, des parkings lugubres, et surtout au commissariat de Raccoon City, qui reste l'un des lieux les plus emblématiques du jeu vidéo. Ce sentiment de désolation, renforcé par une bande-son oppressante et des environnements dévastés, transportait les joueurs dans une expérience proche des grands classiques du cinéma d'horreur.

Les boss étaient une autre claque : impressionnants, grotesques, et en constante mutation, ils donnaient l'impression d'un monde où l'apocalypse biologique ne cessait de s'étendre. Pour l'époque, c'était révolutionnaire, autant sur le plan du gameplay que de la mise en scène. Chaque avancée technologique des développeurs était palpable, et découvrir ce jeu en 1998, c'était vivre un moment historique dans l’âge d’or du jeu vidéo.

Aujourd’hui, un néophyte pourrait avoir du mal à saisir l’impact de Resident Evil 2 à sa sortie, car l’évolution constante des machines et des standards nous a habitués à des expériences encore plus poussées. Mais pour ceux qui l’ont vécu à l’époque, c’était bien plus qu’un jeu : c’était une plongée inoubliable dans un univers qui mélangeait Romero et Hollywood, une véritable révolution.