Mendosa Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 Pourquoi la femme crie dans le danger et non l'homme ? Ou plutôt, pourquoi la femme a une forte propension à crier face à un danger que l'homme ne le ferait ? Je me permets de venir argumenter sur ce sujet si actuel et si caractéristique de cette rupture historique que nous vivons et qui nous emporte malgré nous pleinement dans ce nouveau siècle, comme si ses vingt premières années n'avaient été qu'une séquence d'amorçage timide au sein de laquelle notre rapport au monde était encore bien imprimé de rapports humains et d'échanges se passant majoritairement hors du cadre virtuel. Il est frappant de voir que dans notre histoire collective en occident et plus particulièrement en France il existe toujours un temps d'amorce pour qu'enfin le nouveau siècle s'impose au monde. Le siècle précédent ne s'imposa vraiment en terme de productivité et de bouleversements socio-économiques qu'après la première guerre mondiale. Le 19ème siècle ne commença vraiment qu'après que Napoléon finisse de pousser la république de partout en Europe et ne s'éteigne à Saint-Hélène en 1821. Pour finir le 18ème siècle débute vraiment qu'au moment de la régence à la mort de Louis XIV en 1715. Comme on peut le constater facilement, il y a presque toujours chez nous une parenthèse de décollage qui permet au nouveau siècle d'imposer son horizon et son devenir aux populations qui l'habitent. Et dans ce processus l'individuel n'a presque aucune existence et encore moins depuis les deux derniers siècles que constituent la modernité. Les années 2000 furent assez lente dans le processus de changement que proposait le siècle en comparaison des années 2010, qui elles connurent une fulgurance sociétale et économique qui aboutirent au surgissement d'une dynamique de crises successives commencée avec les gilets jaunes pour se continuer présentement dans un schéma de guerres dont les spécialistes en la matière s'entendent à menacer le danger d'un nouveau conflit mondial. Et c'est dans ces années 2010 et plus encore dans cette dynamique de crises successives que survient le phénomène LGBT qui comme d'autres joyeusetés sociétales nous vient de l'autre côté de l'atlantique. Pourquoi survient-il plus assurément dans cette dynamique de crises et non dans un temps de paix plus prononcé en occident dans les années 70,80 et 90 ou même 2000 ? D'où vient le LGBT ? Qu'exprime t-il dans la traînée du 20ème siècle ? Et plus important encore, pourquoi reçoit-il le rejet de la majorité et du reste du monde non-occidental ? Je ne prétendrais pas répondre ici absolument à toutes ces questions. Néanmoins je m'efforcerai de synthétiser dans la mesure de mes moyens des informations importantes répondant à un certain nombre de préjugés et d'approximations que cette nouvelle idéologie laisse supposer sur l'homme et la femme dans l'historie. Je préciserais ici que je m'attaque intellectuellement à ce mouvement et l'idéologie qu'il porte et non aux individus qui pour des raisons divers pensent y trouver leurs émancipations ou tout simplement un sens à leur vie. D'où vient le LGBT ? Théorie du genre du XIXe au XXIe siècle. Extrait d'un article de Youssef Hindi avec ici et là des annotations de ma part signées de mon pseudonyme (et surlignées en bleu) : Celui qui est considéré comme le précurseur de la théorie du genre est un universitaire homosexuel allemand du XIXe siècle, Karl Heinrich Ulrichs (1825-1895). Ulrichs était le fils d’un pasteur luthérien, il a étudié la théologie et la jurisprudence à l’université de Göttingen. Ulrichs développe le concept de « troisième sexe ». Il explique et résume la nature d’une relation amoureuse entre deux hommes par cette expression en latin « anima muliebris virili corpore inclusa » (une âme de femme dans un corps d’homme). On ne parle pas encore d’homosexualité à l’époque, mais Ulrichs utilise les termes d’uranien/ne et dionysien/ne, en référence aux divinités grecques Aphrodite (née d’un homme, le dieu Uranus) et une autre Aphrodite (née d’une femme, la déesse Dioné). (Nous pouvons voir ici que quoi qu'on en pense, la distinction sexuelle telle qu'elle intervient dans la relation érotique d'un homme et d'une femme dans l'histoire a toujours été indissociablement liée aux conceptions religieuses qui déterminaient leurs existences et leur sens dans la continuation de la vie. Tout comme Denis de Rougemont a démontré dans son "L'Amour et l'Occident" comment le concept d'amour en tant que rapport à l'autre et au monde découle directement du fait religieux, de son implication historique et anthropologique chez l'homme et chez la femme.) Mendosa. Robert Stoller (1925-1991), né à New York de parents immigrés juifs russes, est un psychiatre et psychanalyste. Il créa en 1954 un centre sur l’étude de l’identité sexuelle, la Gender Identity Research Clinic. « C’est là qu’il conceptualisa pour la première fois la notion de gender (genre) pour désigner le sentiment de l’identité sexuelle, par opposition au sexe, qui définit l’organisation anatomique de la différence entre le masculin et le féminin. De là naîtront les études contemporaines sur le genre (gender studies). » En 1968, il publie un ouvrage devenue une référence, Recherches sur l’identité sexuelle à partir du transsexualisme (Gallimard, 1978), « dans lequel, à travers de très nombreux récits de cas, il revisitait toute la théorie freudienne de la sexualité pour désigner clairement le transsexualisme comme un trouble de l’identité sexuelle caractérisé par la conviction inébranlable d’un sujet d’appartenir au sexe opposé. Tout en montrant que ce trouble était purement psychique, Stoller ne s’opposait pas à l’idée du recours à la chirurgie. Mais surtout, au lieu de juger ou de classer, avec la froide objectivité d’un prétendu idéal de la science, il parlait de la souffrance des transsexuels, de leur vécu, de leur subjectivité. Aussi bien inversait-il radicalement le regard que la clinique avait porté sur eux depuis des lustres. » En 1974 il publie The Transsexual Experiment (L’expérience transsexuelle). « Comment se construit l’identité des personnes, notamment leur identité masculine et féminine ? Quelle est la part du biologique et du psychique dans ce processus ? Qu’est-ce qui serait donné au départ aux individus et qu’est-ce qui se construirait au cours de leur existence ? À plusieurs reprises, Stoller souligne le caractère novateur mais également inachevé de ses recherches. » Si Stoller reconnaît la perversion, il ne la considère pas comme néfaste, parce que les pervers peuvent, selon lui, par la sublimation, se découvrir autres que ce qu’ils croyaient être, ou encore devenir de grands créateurs. Il condamne par contre avec virulence la psychanalyse qui considérait, depuis Freud, l’homosexualité comme une perversion : « Le psychanalyste s’adonne au discours sur la morale comme l’ivrogne à la boisson. Je n’ai nullement l’intention de me joindre à ces augustes censeurs du comportement sexuel qui se chargent de dire si la liberté sexuelle est bonne ou mauvaise pour la société ou qui se prononcent sur les lois et la façon dont elles devraient être appliquées pour garantir notre ordre moral. » (Nous pouvons voir ici que les racines de la théorie du genre sont très récentes dans l'histoire humaine, et que s'ils elles attestaient d'une vérité fondamentale ayant toujours existé elles auraient pu tout aussi bien surgir à n'importe quel moment dans l'histoire. Alors qu'elles apparaissent dans une époque où les rapports de productions et leurs répercussions socio-économiques entraînent tout un nouveau champ libre de possibilités dans les échanges de biens et des nouveaux rôles auxquels sont invités les humains à y participer. Mais l'implication de cette participation ne fera que diminuer à mesure que l'environnement biologique de l'homme se fera capter par la machine, ne laissant à ce dernier que la nostalgie d'une implication plus importante dans son histoire. Le surgissement de la théorie du genre et plus tard du LGBT va de pair avec la perte de sens et du sacré eux-mêmes consécutives de la modernité et de son processus historique qu'un des pères de la sociologie Max Weber qualifiait en son temps par l'expression de « désenchantement du monde ».) Mendosa. Poursuivons avec Youssef : Gayle S. Rubin (né en 1949), féministe américaine, née dans une famille juive, est la première anthropologue à utiliser le terme de « genre ». Elle élabore la notion de « système de sexe/genre », qu’elle définit ainsi : « L’ensemble des dispositions par lesquelles une société transforme la sexualité biologique en produits de l’activité humaine et dans lesquelles ces besoins sexuels transformés sont satisfaits… Le genre est une division des sexes socialement imposée. Il est le produit des rapports sociaux de sexualité. Les systèmes de parenté reposent sur le mariage. Ils transforment donc des mâles et des femelles en "hommes" et en "femmes", chaque catégorie étant une moitié incomplète qui ne peut trouver la plénitude que dans l’union avec l’autre. Hommes et femmes sont, bien sûr, différents. Mais ils ne sont pas aussi différents que le jour et la nuit, la terre et le ciel, le yin et le yang, la vie et la mort. En fait, si l’on s’en tient à la nature, les hommes et les femmes sont plus proches entre eux que les uns ou les autres ne le sont de quoi que ce soit d’autre – par exemple les montagnes, les kangourous ou les cocotiers. L’idée que les hommes et les femmes sont plus différents qu’ils ou elles ne le sont de toute chose autre doit provenir d’un lieu qui n’est pas la nature. [...] Loin d’être l’expression de différences naturelles, l’identité de genre exclusive est la suppression de similitudes naturelles. Et ceci exige la répression : chez les hommes, de ce qui est la version locale (quelle qu’elle soit) des traits "féminins", chez les femmes, de ce qui est la définition locale des traits "masculins". » (Voila l'origine de la dissociation du genre de son sexe imposée prétendument par des constructions sociales. En minimisant les différences entre mâle et femelle Gayle S. Rubin renforce l'idée selon laquelle les genres n'ont été imposés que socialement et arbitrairement en s'appuyant sur des représentations biologiques exagérées. Mais c'est nier les réelles et fortes différences qu'il existe entre les deux sexes et qui étaient déjà connues au début du 20ème siècle, comme le rapporte le chirurgien, biologiste, écrivain scientifique et eugéniste français Alexis Carrel : "Les glandes sexuelles ne poussent pas seulement au geste qui, dans la vie primitive, perpétuait l’espèce, elles intensifient aussi nos activités physiologiques, mentales et spirituelles. Les testicules et les ovaires ont une fonction très étendue.", ainsi qu'une étude de 2021 prouvant la relation très intime entre le sexe et le cerveau : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-psycho-sexo/des-scientifiques-decouvrent-une-region-du-cerveau-qui-reagit-au-clitoris-900845#:~:text=Les résultats issus des examens,variait pour chaque femme testée.) Mendosa. La sociologue féministe Ann Oakley, affirmera quant à elle que « le genre n’a pas d’origine biologique, […] les connexions entre sexe et genre n’ont rien de vraiment "naturel" » Pour Judith Butler, la féministe judéo-américaine que nous avons mentionné plus haut, c’est le genre qui construit le sexe, les différences biologiques ont une importance mineures. Le genre est une construction culturelle selon elle : « Une série d’actes répétés […] qui se figent avec le temps de telle sorte qu’ils finissent par produire l’apparence de la substance, un genre naturel de l’être. » Ces théories sont aussi défendues par la neurobiologiste juive française Catherine Vidal, qui affirme qu’« à la naissance, le bébé humain ne connaît pas son sexe » et si les femmes et les hommes adoptent des comportements de genre stéréotypés, « la raison tient d’abord à une empreinte culturelle rendue possible grâce aux propriétés de plasticité du cerveau humain » Des études scientifiques ont invalidé ces théories. D’après la neuro-scientifique Sandra Witelson, les scanners IRM montrent qu’« il y a des centaines de différences anatomiques et chimiques entre les cerveaux masculins et féminins » ; elle ajoute que, dès la cinquième semaine de gestation, la testostérone change à jamais les embryons mâles ainsi que leur cerveau. Selon Apostolos Georgopoulos, professeur de neuroscience, « les cerveaux des femmes sont définitivement différents de ceux des hommes » En 2017, la plus grande étude sur le sujet, réalisée sur 2 750 femmes et 2 466 hommes et publiée dans Science, a mis en évidence que si les cerveaux masculins et féminins sont en majeure partie similaires, il existe des différences physiques importantes. Le cortex des cerveaux féminins est ainsi plus épais, tandis que le volume cérébral des cerveaux masculins est plus important. (Ce qui tendrait à démontrer la fonction naturelle de la mère dans l'amour inconditionnel qu'elle donne à son nourrisson et cet instinct de préservation qui n'est que sa continuité direct, comme peuvent le confirmer bien des mères à travers le monde qui travaillent et qui n'arrivent pas à se défaire de ce sentiment de culpabilité de laisser leur progéniture. La fameuse culpabilité maternelle, comme l'attestent ces quatre femmes dont le métier les amène à partir très loin de chez elles) Mendosa : Je continue l'argumentaire par moi même et mettrais par guillemets les sources et auteurs que j'utiliserai pour étayer mes propos. Pour continuer sur cette prétendue androgynie psychique et naturelle diversement conditionnée par une société encore patriarcale et machiste, voyons ce que nous rapporte André Bergevin Professeur honoraire à l'Université de Paris sur l'influence du rôle des hormones sexuelles dans la différenciation cérébrale de part leurs réalités biologiques : "Rappelons simplement que la testostérone inhibe le développement de l'hémisphère cérébral gauche (qui fonctionne sur un mode analytique et assure principalement le langage) ce qui entraîne chez l'homme une relative prévalence de l'hémisphère droit (qui fonctionne lui, sur un mode synthétique, entre autre pour ce qui est des relations spatiales). Ceci explique certains traits caractéristiques de la femme (précocité et performances verbales, souci du détail etc.) et de l'homme (fréquence de la dyslexie, inventivité instrumentale, synthèses etc). Non décidément "l'un n'est pas l'autre", du moins tant qu'il y aura plus d'hormones testiculaires chez l'homme que chez la femme, ce qui ne semble pas prêt de cesser !" Source https://www.amazon.fr/Révolution-permissive-sexualité-tolérance-transgression/dp/2868398219 L'hormone masculin est sécrété 50 fois plus que chez la femme, ce qui a pour conséquence de favoriser chez l'homme un jugement plus général des choses, en entre autres choses de donner à l'homme plus de forces physiques ainsi que d'engendrer la construction de son ossature et sa voix et pour finir sa musculature. Ce qui fait que l'homme dans l'histoire s'est beaucoup plus présenté que la femme dans les postes à hautes responsabilités, qu'il soit civil mais surtout militaire. L'homme n'a pas ce sentiment de ne pas être à sa place quand il s'engage dans un poste lui octroyant du pouvoir sur les autres, et de s'y sacrifier si l'engagement moral lui ordonne de le faire sur un champ de bataille. C'est pourquoi dans l'histoire il n'eut vraiment jamais de caste de guerrières exclusivement constituée de femmes qui s'est montrée dans les grandes épopées que nous connaissons au travers de la géographie mondiale, même s'il en eut existé elles n'ont été que très minoritaires dans le monde. Et puis qu'en est-il des valeurs militaires que l'on retrouve partout dans le monde ?.., et qui sont presque toujours des vertus guerrières qui se voient attribuées essentiellement à des hommes ? Les japonaises ne pouvaient devenir samouraï (bien que un cas ou deux tout à fait anecdotique ait pu existé), pas plus que les femmes Maasaï ne peuvent être soldat, et que l'on a point connaissance de femmes prétorienne, ou de janissaires femme, mamelouk femme, croisé femme, templier femme, hoplite femme, guerrier jaguar femme, cavalier tartare femme, cosaques du Don femme etc. Ce fait historique nous amènerait à penser que très tôt les hommes ont très rapidement perçu que les femmes de part leurs biologies n'étaient tout simplement pas faites pour assurer la protection du groupe, de la famille du clan ou de la tribu, et que pour s'opposer à une armée adverse efficacement il fallait la compter en nombre d'hommes uniquement. Pourquoi cette prééminence des vertus militaires et stratégiques se retrouvent-elles beaucoup plus chez l'homme que chez la femme ? Laissons le chirurgien et biologiste Alexis Carrel nous apporter la réponse : "Les testicules et les ovaires ont une fonction très étendue. D’abord, ils donnent naissance aux cellules mâle ou femelle dont l’union produit le nouvel être humain. En même temps, ils sécrètent des substances qui se déversent dans le sang, et impriment aux tissus, aux organes et à la conscience, les caractères mâle ou femelle. Ils donnent aussi à toutes nos fonctions leur caractère d’intensité. Le testicule engendre l’audace, la violence, la brutalité, les caractères qui distinguent le taureau de combat du bœuf qui traîne la charrue le long du sillon. L’ovaire exerce une action analogue sur l’organisme de la femme. Mais il n’agit que pendant une partie de l’existence. Au moment de la ménopause, il s’atrophie. La durée moindre de la vie de l’ovaire donne à la femme vieillissante une infériorité manifeste sur l’homme. Au contraire, le testicule reste actif jusqu’à l'extrême vieillesse.".., et de poursuivre "Les différences qui existent entre l’homme et la femme ne sont pas dues simplement à la forme particulière des organes génitaux, à la présence de l’utérus, à la gestation, ou au mode d’éducation. Elles viennent d’une cause très profonde, l’imprégnation de l’organisme tout entier par des substances chimiques, produits des glandes sexuelles.".., ce qui amène l'auteur à affirmer "En réalité, la femme est profondément différente de l’homme. Chacune des cellules de son corps porte la marque de son sexe. Il en est de même de ses systèmes organiques, et surtout de son système nerveux. Les lois physiologiques sont aussi inexorables que les lois du monde sidéral. Il est impossible de leur substituer les désirs humains. Nous sommes obligés de les accepter telles qu’elles sont. Les femmes doivent développer leurs aptitudes dans la direction de leur propre nature, sans chercher à imiter les mâles. Leur rôle dans le progrès de la civilisation est plus élevé que celui des hommes. Il ne faut pas qu’elles l’abandonnent.".., et de conclure "Les femmes qui n’ont pas d ’enfants sont moins équilibrées, plus nerveuses que les autres. Entre les deux sexes, il y a d’irrévocables différences. Il est impératif d’en tenir compte dans la construction du monde civilisé." L'homme, cet inconnu. La nature propre et distincte entre les deux sexes existent bel et bien, n'en déplaise aux théoriciens du genre et autres lgbtistes. Ce sont des vérités biologiques et anthropologiques que les hommes et les femmes dans l'histoire suivant leurs caractéristiques ethno-culturelles sont venues jouer dans l'attribution saines et égales à leurs riches différences, les différents rôles qu'ils durent se voir attribuer par l'ordre naturel du monde, et pour lesquels ils ne pouvaient nullement négocier ses impératifs, pas plus qu'ils ne purent négocier les lois indicibles qui gouvernent tous les éléments constituant le vivant. Les constructions sociales se sont établies progressivement au cours des siècles dans le respect de la hiérarchie naturelle du monde comme le reflet parfait de l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent. La théorie du social qui s'impose au biologique est très récente et nous vient de la modernité, autrement dit de l'affirmation du capitalisme industriel suivant la révolution française qui par l'optimisation des moyens et des hôpitaux par exemple est venue décharger la femme de ses impératifs biologiques par les usines de productions de pilules, et les avancées médicales dans le domaine de l'avortement, dont le chiffre annuel que remportent des hôpitaux américains se hisse presque aux PIB de certains pays du tiers monde. C'est que la destruction de foetus représente un gigantesque business aux frontières du marché noir et de la légalité. C'est par la modernité que le choix de l'enfant s'est posé comme projet de vie, avant la modernité le taux de mortalité infantile a toujours été très élevé. Les femmes ont toujours côtoyé la mort de très près, et la retraite n'était possible que par la progéniture qui venait continuer la poursuite du domaine par les forces nouvelles qu'elle apportait. Faut-il rappeler que c'est précisément leurs différences entre l'homme et la femme qui font la beauté de leur union ? Et que ce que recherche bien souvent un homme chez une femme est tout ce qui n'est pas homme, et inversement. Pour cela lire la Métaphysique du sexe de Julius Evola. Et pourquoi pas Sexe et caractère d'Otto Weininger. Ce faisant vous serez en parfaite mesure de constater l'effondrement intellectuel occidental en seulement à peine un siècle. Mais ça c'est un autre sujet ! Quoique cet aspect participe à la dégénérescence ambiante. Pour finir cette section j'aimerais vous partager un fait historique rendu célèbre par son infinie tristesse et sa grande brutalité. Malheureusement je cherche en vain le documentaire où un homme ayant vécu ce drame relate les faits. Cette tragédie se passe en 1940 au moment du bombardement du pont de Gien. A l'arrivée imminente des troupes allemandes, et dans le grand désarroi engendré par le bombardement de la ville par l'aviation ennemie, les autorités française eurent comme tâche d'exporter la population hors de la ville par le pont. Cependant dans la folie régnante et par l'énorme bouchon accumulé et dû aux énormes embouteillages le pont était bondé depuis des heures. C'est alors qu'on a vu des femmes se jeter par le pont, d'autres partaient se noyer dans le fleuve avec leur bébé dans leurs bras. Et on a vu aussi une femme prendre par les pieds son enfant et le fracasser contre un des murets de peur qu'il se fasse kidnapper par les allemands. Voici deux articles relatant des faits similaires : https://www.liberation.fr/societe/1999/10/12/pour-les-proteger-de-leur-pere-une-mere-qui-a-egorge-ses-deux-enfants-au-havre-a-ete-ecrouee-hier_286056/, et https://www.20minutes.fr/justice/4098188-20240626-angleterre-mere-avoue-avoir-tue-deux-enfants-7-11-ans-proteger . Dans ces deux articles les accusées se sont défendues en disant que les homicides commis sur leurs enfants avaient été fait pour les protéger. Je prends seulement ces deux articles, mais il en existe pléthore sur le net, avec toujours des mères tuant leurs progénitures pour les protéger d'un mari, d'un oncle, de difficultés financières etc. Si ces mères et d'autres ont été capables de faire ce qu'elles ont fait en prétextant de protéger leurs chairs, comment pourraient-elles le faire sans qu'il existe un instinct de protection exclusivement maternel qui les pousse malgré elles à commettre l'irréparable ? La réponse est que bien évidemment cet instinct existe, bien que nous ne connaissons pas encore toute sa portée physiologique et spirituelle. Mais la recherche ne s'arrête pas, voyez plus tôt : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/04/14/apres-l-accouchement-le-cerveau-des-femmes-n-est-plus-tout-a-fait-le-meme_6169513_1650684.html "Après l’accouchement, le cerveau des femmes n’est plus tout à fait le même" "Dans sa Carte blanche au « Monde », la chercheuse en psychologie Sylvie Chokron détaille les travaux qui montrent comment des changements dans la matière grise et blanche s’installent durablement après l’accouchement." "Les recherches récentes montrent que la physiologie des mères se modifie pendant les années, voire les décennies, qui suivent la naissance de leur enfant. Mais cela ne s’arrête pas là. Avoir un enfant transforme un adulte en un parent. C’est dire à quel point ce n’est pas juste le corps mais également l’esprit qui se modifie de manière radicale. Si l’on imagine bien à quel point la maternité entraîne des changements sur le plan psychologique, on n’est pas forcément conscient de ce qui se passe concrètement sur le plan cérébral." "Elseline Hoekzema, de l’université d’Amsterdam, et ses collègues de l’université de Madrid ont eu la possibilité de suivre la morphologie de la substance grise cérébrale de femmes avant et après la grossesse, et ce, jusqu’à deux ans après l’accouchement, comparée à celles de pères et de femmes contrôles n’ayant jamais eu d’enfant. Les résultats de cette première étude d’envergure sont édifiants. Ils révèlent que la grossesse est spécifiquement associée chez les mères à des modifications notables et durables du volume de la matière grise cérébrale, avec notamment la réorganisation d’une petite région connue pour son implication dans la cognition sociale et en particulier dans la capacité que nous avons de nous mettre à la place d’autrui. Voilà qui est précieux pour donner un sens aux réactions du nouveau-né, qui ne peut pas s’exprimer verbalement. Mais ce n’est pas tout." Voici une autre étude montrant une longévité accrue et qui est due à la relation complexe et tendrement intime entre la mère et son enfant : https://www.parents.fr/actualites/etre-parent/la-relation-entre-la-mere-et-lenfant-expliquerait-la-longevite-humaine-selon-une-etude-1093267 Ces recherches récentes valident les observations scientifiques observées et citées plus haut par Alexis Carrel il y a un siècle, selon lesquelles les biologies bien distinctes de l'homme et de la femme ont une grande influence dans leurs devenirs respectifs. L'accouchement d'un enfant par une mère ne se termine pas quand elle le reçoit dans ses bras par la sage-femme, il continue toute sa vie, et ne se termine qu'à sa mort. Et l'homme ne connaît pas ce lien, car il n'a pas la biologie de la femme, il est incapable de mettre au monde. Quid D'Alfred Kinsey ? Quand on parle de la théorie du genre et du phénomène Lgbt il est impossible de ne pas mentionner ce docteur, enfin si on peut légitimement lui décerner ce qualificatif. Ce docteur fou qui mettra fin à ses jours pendu par ses testicules est au coeur de la matrice de la soi-disant révolution sexuelle dans les années 60 aux USA, et qui déferla comme un cancer en Europe peu de temps après, et dont le lgbtisme est une de ses métastases. Judith Reisman est une américaine qui travailla pratiquement toute sa vie à décortiquer les méfaits de cet homme et ses deux rapports célèbres : Sexual behavior in the human male paru en 1948 et Sexual behavior in the human female paru en 1953. Concernent la mort plus que troublante ainsi que sa vie, l'auteur James H. Jones d'une biographie essaye d'en retracer les coulisses : Alfred C. Kinsey : A Public/Private Life sortie en 1997. Ici : https://www.amazon.com/Alfred-C-Kinsey-Public-Private/dp/0393040860, ainsi que deux critiques de cette biographie parues pratiquement à la même période : https://www.lrb.co.uk/the-paper/v20/n09/kenneth-silverman/the-balboan-view et https://www.commentary.org/articles/joseph-epstein/the-secret-life-of-alfred-kinsey/ Je vais simplement copier la quatrième page de couverture du livre de Judith Reisman intitulé "Kinsey, la face obscure de la révolution sexuelle" : "Qui n’a jamais entendu parler des « rapports Kinsey » ? Dans les années 60 et 70, alors que la révolution sexuelle transformait les mœurs et la structure des sociétés occidentales, ils en furent la caution scientifique, et même plus, la caution morale puisqu’il se disait que le puritanisme avait étouffé des pulsions naturelles et saines, et que chacun, homme, femme et même enfant, allait enfin être libéré. Publiés en 1948 et 1950, ces rapports sortirent rapidement des cercles universitaires pour inonder les publications grand public : journaux, magazines féminins, et bien sûr presse gravitant autour des mouvements pour la libération des femmes. Alors que le « jouir sans entraves » de Mai–68 allait faire florès, ces rapports nous disaient comment jouir, avec qui, combien de fois et par quelles stimulations, ouvrant la voie à ce que l’ONU est en train d’établir : des « droits sexuels » pour tous, dès l’âge de 10 ans. Car les prémisses des travaux de Kinsey – biologiste spécialiste des insectes – sont qu’en matière de sexualité il n’y a pas de normes, il n’y a que des comportements qu’il prétend observer comme il a observé les guêpes : homosexualité, sado-masochisme, voyeurisme, pédophilie et zoophilie ne sont ainsi que des variations d’une sexualité épanouie. Mais pour établir ces rapports – financés par la Fondation Rockefeller – Kinsey va puiser à toutes les sources : prostituées, prisonniers, enfants à peine pubères et même nourrissons, ce qui n’empêchera pas leur parution d’être saluée comme une avancée scientifique, alors qu’ils n’étaient qu’un instrument de la promotion de l’idéologie libertaire et de la destruction des structures familiales. C’est en 1966, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, dans le sillage d’un Jack Lang qui déplore que « la sexualité puérile est encore un continent interdit » et d’un Thierry Lévy qui se plaint avec véhémence du tabou de la pédophilie. Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui. Née aux États-Unis en 1935, Judith Reisman est une essayiste et conférencière américaine. Titulaire d’un doctorat en communication, professeur invité à l’école de droit de la Liberty University en Virginie, elle a écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public." Nous savons maintenant que pour prouver faussement ses théories Afred Kinsey s'était employé à ne rechercher des preuves que chez des personnes vivant "au-bord" de la société, et non de la majorité silencieuse qui travaillait, comme toujours l'intérêt des braves gens est méprisé par ces officines supranationales. Je vais m'arrêter ici pour l'instant. Je reprendrais cet article plus tard afin de l'alimenter en contenu et retravailler ce qui a déjà été fait. Je vous demande de ne pas me prêter des intentions belliqueuses ou quoi que ce soit d'autre, mon but recherché est à titre informatif et non d'inciter à des réactions physiques ou violentes, seulement si vous le souhaiter à du militantisme pacifique et dans les règles démocratiques, on va dire ça comme ça, ça sonne plutôt bien. Pour quelque chose que je juge à la fois néfaste aussi bien pour l'individu que pour la société, comme je pense l'avoir un peu démontré. Je laisserais le mot de la fin à Youssef Hindi dans la conclusion de son article qui m'a servi d'introduction au mien : "Les sciences dures, l’anthropologie et la sociologie peuvent et doivent être utilisées dans la lutte contre ces théories qui s’attaquent aux enfants et pourraient donc détruire à terme les sociétés. Il me semble également fondamental dans ce combat de remonter jusqu’à la genèse des idéologies LGBT pour identifier les causes, comprendre les mécanismes et les finalités de ces mouvements" (Féminisme et transsexualisme : origines religieuses et mystiques – Idéologies et mouvements LGBT). PS : Ah oui j'oubliais, pour répondre à ma toute première question "Pourquoi la femme crie dans le danger et non l'homme ?", je répondrais simplement en disant que le cri de la femme, et plus particulièrement de la mère est une alerte naturelle profondément codée dans son génétique qui a pour fonction d'appeler l'homme à la rescousse face à un éventuel danger, qu'il soit animal, climatique etc. Pour vous en convaincre je vous enjoindrais gentiment de visionner des vidéos de la chaîne https://www.youtube.com/@PoliceActivity, une chaîne américaine à but pédagogique en vue de former des policiers dans leurs futurs responsabilités qu'ils devront prendre dans le réel, et où l'on peut entendre que les femmes crient infiniment plus que les hommes, alors qu'elles partagent les mêmes dangers, du moins quand elles ne sont pas protégées par ces derniers. Romeso, akumasan, Ear and 3 others 3 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 il y a 24 minutes, Mendosa a dit : "Pourquoi la femme crie dans le danger et non l'homme ?" D'un point de vue de la physique un cri aigu porte beaucoup plus loin qu'un cri grave. C'est pour ça que le cri des bébés est aussi aigu, pour qu'il soit entendu de très loin. Mendosa 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Mendosa Posted June 29, 2024 Author Share Posted June 29, 2024 à l’instant, akumasan a dit : D'un point de vue de la physique un cri aigu porte beaucoup plus loin qu'un cri grave. C'est pour ça que le cri des bébés est aussi aigu, pour qu'il soit entendu de très loin. C'est donc un appel au danger, comme respectivement celui de la femme. terre7777777 and Ear 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 il y a 1 minute, Mendosa a dit : C'est donc un appel au danger, comme respectivement celui de la femme. Oui c'est un héritage génétique qui viens du fond des ages. La nature est très bien faite. ^^ Mendosa 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Itachiaurion Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 Il y a 2 heures, akumasan a dit : Oui c'est un héritage génétique qui viens du fond des ages. La nature est très bien faite. ^^ La nature est bien faite jusqu'au moment où elle ne l'est plus. Il ne faut pas tomber dans le très classique argument de l'appel à la nature qui nous amène à voir certain bienfait tout en omettant involontairement (ou non) les nombreux problèmes que l'on peut y trouver. Les cancers sont par exemple un joli exemple du moment où la "nature" se passe très mal et amène au décès de l'individu. Sans compter toutes les maladies génétiques, les problèmes rencontrés chez certaines espèces, j'en passe et des meilleurs. Il y a de très nombreux défaut dans la nature et il ne faut pas l'ériger en modèle. Au passage ce sont les sons graves et non les sons aigus qui porte le plus loin, c'est pour ça que l'on peut établir des radios (80 à 100MHz) entre des pays là le signal wifi (2.4-5Ghz) de votre box n'ira pas plus loin que les maisons autour. Les plus grandes longueurs d'onde (donc basse fréquences) sont en effet beaucoup plus pénétrantes de par la physique des choses-là où les hautes fréquences sont arrêtées beaucoup plus rapidement. Je n'ai pas vraiment le temps de vérifier toutes les sources apportées au-dessus, mais il serait intéressant d'apporter des méta-analyse sur le sujet et pour les confronter aux premières citations du post de ce sujet. Quel est la source pour le décès d'Alfred Kinsey @Mendosa? Celle que je trouve parle juste du mort par pneumonie, que ce soit les articles de journaux comme le New York Times du 26 aout 1956. Je sais que l'on peut dire que Wikipédia n'est pas forcément la source la plus fiable, mais quand les sources de Wikipédia et que les sources externes sont aussi d'accord je pense qu'on peut s'accorder pour dire qu'il est mort d'une pneumonie. La question serait pourquoi mentionner cette mort si particulière avec des sources douteuses dans ton exposé ? Personnellement cela ne m'incite pas à la confiance quant au reste. Je ne vais pas décortiquer tout le reste, mais il serait bienvenu de ta part de revoir tes sources ou bien de les indiquer plus clairement. ChatNoirRetro and Aronaar 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Mendosa Posted June 29, 2024 Author Share Posted June 29, 2024 il y a 13 minutes, Itachiaurion a dit : La nature est bien faite jusqu'au moment où elle ne l'est plus. Il ne faut pas tomber dans le très classique argument de l'appel à la nature qui nous amène à voir certain bienfait tout en omettant involontairement (ou non) les nombreux problèmes que l'on peut y trouver. Les cancers sont par exemple un joli exemple du moment où la "nature" se passe très mal et amène au décès de l'individu. Sans compter toutes les maladies génétiques, les problèmes rencontrés chez certaines espèces, j'en passe et des meilleurs. Il y a de très nombreux défaut dans la nature et il ne faut pas l'ériger en modèle. Au passage ce sont les sons graves et non les sons aigus qui porte le plus loin, c'est pour ça que l'on peut établir des radios (80 à 100MHz) entre des pays là le signal wifi (2.4-5Ghz) de votre box n'ira pas plus loin que les maisons autour. Les plus grandes longueurs d'onde (donc basse fréquences) sont en effet beaucoup plus pénétrantes de par la physique des choses-là où les hautes fréquences sont arrêtées beaucoup plus rapidement. Je n'ai pas vraiment le temps de vérifier toutes les sources apportées au-dessus, mais il serait intéressant d'apporter des méta-analyse sur le sujet et pour les confronter aux premières citations du post de ce sujet. Quel est la source pour le décès d'Alfred Kinsey @Mendosa? Celle que je trouve parle juste du mort par pneumonie, que ce soit les articles de journaux comme le New York Times du 26 aout 1956. Je sais que l'on peut dire que Wikipédia n'est pas forcément la source la plus fiable, mais quand les sources de Wikipédia et que les sources externes sont aussi d'accord je pense qu'on peut s'accorder pour dire qu'il est mort d'une pneumonie. La question serait pourquoi mentionner cette mort si particulière avec des sources douteuses dans ton exposé ? Personnellement cela ne m'incite pas à la confiance quant au reste. Je ne vais pas décortiquer tout le reste, mais il serait bienvenu de ta part de revoir tes sources ou bien de les indiquer plus clairement. Pour ce qui est de la mort du Kinsey elle se trouve dans le livre de Judith Reisman. Qu'entends-tu par "sources douteuses" ? Pour le Kinsey j'en ai donné aucune, j'te l'accorde, mais il y a des interview d'elle qui en parle, et d'autres, le personnage est connu. Pour les autres je donne le nom des auteurs, des articles parus, leurs liens, et des livres . Il te faut quoi de plus ? Et puis Kinsey n'est pas le sujet de l'article. Ear 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
MasterDagan Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 Prendre comme appui Youssef Hindi, conspirationniste notoire, antisémite et membre d'égalité et réconciliation, c'est quand même se tirer une balle dans le pied, non ? Mais tu as le mérite d'avoir attirer la vieille garde, bravo. Ear, Nnamhock and ChatNoirRetro 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Nnamhock Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 il y a 14 minutes, Mendosa a dit : Pour ce qui est de la mort du Kinsey elle se trouve dans le livre de Judith Reisman. Qu'entends-tu par "sources douteuses" ? Pour le Kinsey j'en ai donné aucune, j'te l'accorde, mais il y a des interview d'elle qui en parle, et d'autres, le personnage est connu. Pour les autres je donne le nom des auteurs, des articles parus, leurs liens, et des livres . Il te faut quoi de plus ? Et puis Kinsey n'est pas le sujet de l'article. Judith A. Reisman? Tu veux dire l'essayiste qui a passé la quasi totalité de sa carrière à ne pondre que des oeuvres anti-Kinsley, ce qui veut dire que nous n'avons absolument pas à faire à une source neutre, encore moins objective, et donc, à l'opposé de ce qu'on pourrait appeller fiable au premier abord? Je veux bien que tu justifies ce choix de sources tiens, ca pourrait être intéressant... Le Wikipedia allemand dit notament qu'elle ne se privait pas pour aller jusqu'à des rabaissements et insultes personnelles envers lui. Autant dire que le taux de crédibilité de ta source est placé bien haut. et si c'ets pareil pour chacune d'entre elles, on va certainement avoir droit à un gros fou-rire général... Ah ben tiens, encore mieux, Madame ne plubliait presque qu'exclusivement dans des revues fondamentalistes chrétiennes... Déterminer la légitimité d'un mouvement situé a un spectre éthique/politique en ne l'observant que de cet autre coté du spectre, mais ca devient de plus en plus crédible dites moi... ChatNoirRetro 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Mendosa Posted June 29, 2024 Author Share Posted June 29, 2024 il y a 6 minutes, MasterDagan a dit : Prendre comme appui Youssef Hindi, conspirationniste notoire, antisémite et membre d'égalité et réconciliation, c'est quand même se tirer une balle dans le pied, non ? Mais tu as le mérite d'avoir attirer la vieille garde, bravo. Oui enfin c'est le catéchisme que le spectacle médiatique lui attribue pour ne jamais aller vraiment dans le fond. Et puis je découvre cet homme sur Strategika, donc rien avoir avec ER, même s'il publie des articles il en est pas membre. Merci pour le compliment. Ear 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
MaiffaInes Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 C'est bien beau d'avoir écrit et cité autant, mais de une, comme tu le dit toi même, ton machin est pas fini, donc je ne comprend pas pourquoi tu le partage. Deuxièmement, écrire et citer autant, sans même commencer par exposer les faits qui se sont produit à Stonewall, un événement majeur dans notre communauté (et oui je dis bien NOTRE car j'en fais parti) qui a donné la fameuse marche des fierté, ou Gay Pride, tout ça pour ne parler que de militaire et en résumé, d'un état de Nature qui font que les individus sont ce qu'ils sont parce qu'ils sont programmé biologiquement... A un moment, il faut réfléchir. Et avant de réfléchir, il faudrait peut être... ECOUTER terre7777777, tagomago and ChatNoirRetro 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
MasterDagan Posted June 29, 2024 Share Posted June 29, 2024 il y a 21 minutes, Mendosa a dit : Oui enfin c'est le catéchisme que le spectacle médiatique lui attribue pour ne jamais aller vraiment dans le fond. Et puis je découvre cet homme sur Strategika, donc rien avoir avec ER, même s'il publie des articles il en est pas membre. Merci pour le compliment. Strategika, ce site conspirationniste tenu par Plaquevent (lui aussi très soralien, antivax, etc, etc). Tu as d'autres cases conspiracy watch à cocher ou c'est bon ? Je connais d'avance la teneur de ta réponse, donc tu peux garder ton mille-feuilles pour toi. On a bien compris ton niveau de "tolérance", sous un pavé rempli de mots; et de plus mal aéré. Et c'est de toutes façons exactement le genre de réactions que tu attends. Mais je te rassure, il y a ici des gens moins idiots que moi, et qui ont encore la foi pour contrer ton déroulé idéologique.Personnellement, je me contente des taquets. Ear, Aflow and ChatNoirRetro 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 Il y a 6 heures, Mendosa a dit : D'où vient le LGBT ? Qu'exprime t-il dans la traînée du 20ème siècle ? Et plus important encore, pourquoi reçoit-il le rejet de la majorité et du reste du monde non-occidental ? Je ne dirais pas que la majorité le rejette... je dirais que ceux qui parlent le plus et le plus fort sont la partie la plus extrême de la population. Aussi, j'avoue que le côté full "c'est les gènes qui font le comportement", même avec des études (que je n'aurais pas le temps de vérifier et même s'ils étaient vraies), je ne peut que penser que la génétique n'est pas la seule raison. Les gens (même s'ils sont convaincu de l'amour maternel génétique), ont aussi une morale et une psychologie qui jouent un rôle dans leurs comportement. Que penser des mères qui font des choses horribles à leurs propre enfants? Qu'elles ont un problème génétique et du coup, on pourrait dire qu'elles sont handicapé d'un manque d'amour maternel? Parce que si elles auraient un amour maternel mais une psychopathie ou pas d'amour maternel sans psychopathie; je pense que l'un empêcherait l'autre! Il y a 6 heures, Mendosa a dit : Des études scientifiques ont invalidé ces théories. D’après la neuro-scientifique Sandra Witelson, les scanners IRM montrent qu’« il y a des centaines de différences anatomiques et chimiques entre les cerveaux masculins et féminins » ; elle ajoute que, dès la cinquième semaine de gestation, la testostérone change à jamais les embryons mâles ainsi que leur cerveau. Selon Apostolos Georgopoulos, professeur de neuroscience, « les cerveaux des femmes sont définitivement différents de ceux des hommes » Et on ne peut rien conclure avec ça car rien ne prouve que ça le reste pour le restant de sa vie! D'ailleurs, tu prouves toi même en disant: Il y a 6 heures, Mendosa a dit : En 2017, la plus grande étude sur le sujet, réalisée sur 2 750 femmes et 2 466 hommes et publiée dans Science, a mis en évidence que si les cerveaux masculins et féminins sont en majeure partie similaires, il existe des différences physiques importantes. Le cortex des cerveaux féminins est ainsi plus épais, tandis que le volume cérébral des cerveaux masculins est plus important. Je pense que les différences sont simplement lié au vécu et aux différences physique du corps humain et aux différences de fonctionnement de celui-ci. (ça fait déjà beaucoup de différence entre les hommes et les femmes pour conclure que la conclusion ne reflète rien d'intéressant sur le sujet. PS/apparté: Je précise que le sujet ne m'intéresse pas tant que ça, je suis juste de passage et je dis mon avis et mes croyances sur le sujet. Et au passage, je contredis les scientifiques qui disent que la science n'est pas une croyance et qu'un scientifique ne croit pas. CAR un scientifique n'a pas le temps de lire, tester et de se faire un avis sur la totalité de ce qui est publié (surtout quand ce n'est pas son domaine lol). La croyance, c'est un avis sur un phénomène. Et puis, une expérience scientifique, ce n'est pas définitif, un tas de choses peut fausser la conclusion (erreurs, biais, mauvaise compréhension des résultats, mauvaise manipulation, erreur de jugement, élément perturbateur externe, ect) ChatNoirRetro and Mendosa 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Itachiaurion Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 Il y a 12 heures, Gaga46 a dit : PS/apparté: Je précise que le sujet ne m'intéresse pas tant que ça, je suis juste de passage et je dis mon avis et mes croyances sur le sujet. Et au passage, je contredis les scientifiques qui disent que la science n'est pas une croyance et qu'un scientifique ne croit pas. CAR un scientifique n'a pas le temps de lire, tester et de se faire un avis sur la totalité de ce qui est publié (surtout quand ce n'est pas son domaine lol). La croyance, c'est un avis sur un phénomène. Et puis, une expérience scientifique, ce n'est pas définitif, un tas de choses peut fausser la conclusion (erreurs, biais, mauvaise compréhension des résultats, mauvaise manipulation, erreur de jugement, élément perturbateur externe, ect) Les scientifiques n’ont normalement pas de croyance dans leur corpus. A la différence d'un religieux ou même d'une personne non religieuse qui a l'intime conviction que quelque chose est vrai car il le ressent comme naturel, comme évident ou que sais-je encore, le scientifique se repose sur la confiance qu'il a dans la communauté scientifique. Si les scientifiques ne sont pas infaillibles cela ne veut pas dire que la méthode est comparable à ce qu'il se fait autour. L'un des grands points fort de la science sur le reste c'est que jusqu'ici la science à donner des milliers de preuves de son fonctionnement, que ce soit dans ses capacités à prédire les évènements, a les interprétés ou à nous fournir des nouvelles technologies qui serait de la magie pure il y a deux siècles. Le plus haut niveau de preuve et de certitude que l'on peut avoir en se monde et le consensus de la communauté scientifique. Le biologiste ne sait pas d'avance si un trou noir existe, mais il fait confiance aux physiciens qui lui-même fait confiance à l’ingénieur quand il monte dans l'avions, qui fait confiance aux médecins lorsqu’ils prennent un traitement etc. De plus en dehors de cette faculté de prédiction qui n'est pas retrouvé ailleurs, les scientifiques n'ont normalement pas de problème à remettre en cause le consensus du moment que des preuves suffisamment solides sont amené pour valider un nouveau consensus. Quand Einstein débarque en 1905 avec sa théorie relativité restreinte il remet complètement en question la théorie de Newton et l'existence de l'éther. Pourtant au vu de la solidité a tout épreuve de sa théorie et des explications qu'elle amène sur le monde de la physique il y a rapidement peu de doute quand a la théorie tant elle se vérifie encore jusqu’à nos jours. Là ou un scientifique ferait preuve de croyance c'est par exemple lors de l'avènement d'une nouvelle théorie qui soit très peu étayer ne donne pas les preuves suffisantes pour être validé, mais où il serait persuadé qu'elle soit tenue pour vrai pour X ou Y raison. En admettant même que la théorie est validée dans le futur, il aura eu raison pour les mauvaises raisons, ce qui ne rend pas valide sa démarche. Maintenant pour ne pas trop virer hors sujet et pour parler un peu des LGBT je vais vous sortir un article sur la question. A savoir une méta-analyse qui fait l’étude de 1491 papier sur la dysphorie de genres. Je vous présente « The phenomenology of gender dysphoria in adults: A systematic review and meta-synthesis » publié en aout 2020 par Kate Cooper, Ailsa Russell, William Mandy, et Catherine Butler. Liens : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7441311/ Quelques points : Citation "Quatre concepts généraux ont été identifiés : détresse due à la dissonance du genre assigné et vécu ; interface entre le genre assigné [note de traduction: Cette expression fait référence aux interfaces et infrastructures qui contribuent à la construction et à la naturalisation d’un modèle binaire-hétérosexuel d’intelligibilité du genre et de la sexualité], l’identité de genre et la société ; les conséquences sociales de l'identité de genre ; traitement interne du rejet et de la transphobie. Une conclusion clef était la relation réciproque entre les sentiments d'un individu concernant son genre et les réactions de la société à l'égard des personnes transgenres. D’autres sous-thèmes contribuant à la détresse étaient l’erreur de genre, l’inadéquation entre l’identité de genre et les attentes sociétales, et l’hypervigilance à l’égard de la transphobie. En termes de bien-être après la transition, une étude utilisant la cohorte d'Amsterdam sur la dysphorie de genre de 1972 à 2015 a révélé que parmi les personnes ayant subi une gonadectomie, 0,6 % des femmes trans et 0,3 % des hommes trans ont éprouvé des regrets (Wiepjes et al., 2018). Une méta-analyse portant sur la qualité de vie en matière de santé mentale chez les adultes transgenres en recherche de traitement a confirmé les conclusions de Dhejne et al., car la qualité de vie en matière de santé mentale était inférieure dans la population transgenre par rapport aux témoins (Nobili, Glazebrook et Arcelus, 2018). Les auteurs ont ensuite étudié la qualité de vie après un traitement hormonal inter-sex ; sept études ont été incluses et il a été constaté que la qualité de vie en matière de santé mentale s'améliorait considérablement après le traitement (Nobili et al., 2018). Cette revue systématique et étude méta-ethnographique a synthétisé toutes les études qualitatives disponibles sur l'expérience vécue de la dysphorie de genre chez les adultes transgenres. Vingt études ont été incluses, toutes publiées depuis 2009, fournissant un riche ensemble de données pour la synthèse. Quatre concepts généraux ont été identifiés : détresse due à la dissonance entre le genre attribué et vécu, l'interface entre le genre attribué, l'identité de genre et la société, les conséquences sociales de l'identité de genre et le traitement interne du rejet et de la transphobie. Ces concepts ont démontré que la détresse causée par la dissonance entre le genre attribué et vécu est étroitement liée à la détresse due aux réactions des autres à l'identité de genre, que cela se reflète par des étrangers mégenrant l'individu ou par le rejet de la famille proche ou des amis. Cela peut ensuite alimenter le schéma de pensée et les comportements de l'individu, par exemple par l'hypervigilance à l'égard de la transphobie et la peur du rejet en raison du fait d'être transgenre. Cela démontre les relations complexes entre les sentiments d'un individu à l'égard de son corps, son identité de genre, son expression de genre et la façon dont les étrangers interagissent avec l'individu, souvent guidés par les normes culturelles de genre et le manque de conscience ou d'acceptation de l'expérience de l'individu transgenre. Ces résultats sont concordants avec la littérature quantitative disponible dans ce domaine. Les participants ont décrit avoir ressenti une détresse psychologique importante dans cette étude, conformément aux travaux quantitatifs antérieurs (Downing & Przedworski, 2018). Les participants ont fréquemment déclaré ressentir de l'anxiété et une mauvaise humeur en fonction de leur sexe, et l'anxiété et la dépression sont les affections les plus fréquemment signalées dans ce groupe (Dhejne et al., 2016). Bien qu'elles ne soient pas l'objet de cette étude, certaines études incluses dans cette revue ont mis en évidence l'amélioration du bien-être psychologique après la transition, conformément aux études quantitatives sur les effets de la transition physique (Nobili et al., 2018)." Je ne vais pas tout citer mais il est clair que le concept de dysphorie de genre fortement lié au fait d’être trans est un sujet autrement plus sérieux que la présentation qui nous a été donné ici qui relève plus de l’homme paille et d’un narratif douteux et confus. J’ai également trouvé d’autre études intéressantes sur ce sujet complexe qui a besoin de plus de recherche d’après les papiers que j’ai lu. What Is Gender Dysphoria? A Critical Systematic Narrative Review https://www.liebertpub.com/doi/full/10.1089/trgh.2018.0014 Sex Ratio of Transgender Adolescents: A Meta-Analysis https://iris.unito.it/retrieve/e27ce42e-650a-2581-e053-d805fe0acbaa/Boof-of-abstracts-EPATH2019.pdf#page=69 Gender identity disorder (GID) in adolescents and adults with differences of sex development (DSD): A systematic review and meta-analysis https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1477513120306410 Le simple fait que l'extrême majorité des personnes ayant reçu un traitement hormonal retrouve une qualité de santé mentale plus proche des groupes de test là où c'était inférieur avant, montre bien qu'il y a un problème réel aux conséquences sérieuses sur la vie des gens et que la médecine s'en empare depuis des années. Il ne s'agit pas simplement d'un phénomène social dû à des élucubrations de psychanalystes. Au passage, la dysphorie de genre est connue depuis plus de 50 ans étant donné que les traitements on lieu au pays-bas depuis 1972 et n'est donc pas simplement un phénomène des années 2000. Bonne journée. MasterDagan, ChatNoirRetro, Gaga46 and 3 others 5 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aronaar Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 J'ai, pour le dire simplement, beaucoup de mal avec les propos tenus dans le premier message de ce post, à plusieurs niveaux. Je ne vais pas m'aventurer à décortiquer chaque point car cela prendrait un temps que je ne suis, honnêtement, tout simplement pas prêt à accorder, mais je vais revenir sur plusieurs éléments tout de même. 1) Un article informatif Je suis certain que c'était là ton intention, mais ton post reste à charge ; tu parles toi-même d'attaquer intellectuellement le concept de LGBT (sans, à mon sens, te poser un moment pour le définir clairement) que tu juges néfaste tant pour l'individu que la société. Pour être informatif et synthétique, il est également bon d'être clair- cependant et respectueusement, même avec des couleurs et des retours à la ligne et d'autant plus en format forum (contrainte qui t'es extérieure, certes) ton article me semble quelque peu indigeste, entre un trop grand nombre de citations à rallonger et un fil rouge qu'on peut aisément perdre de vue, sans parler de certaines tournes de phrase alambiquées. Il est louable de ta part de vouloir apporter des sources, encore ne faut-il pas que cela nuise à la teneur de l'ensemble. Comme évoqué précédemment, cela peut donner l'impression d'un mille-feuilles argumentatif qui noie le lecteur avec des arguments pas toujours liés entre eux, tout en comptant des sources à la fiabilité parfois discutables. Ne pas te prêter d'intentions belliqueuses, pourquoi pas, mais le tout demeure très orienté, que ce soit sur tes positions ou les choix des sources. 2) Dans l'espace, personne ne vous entend crier C'est fort simple, je ne vois pas le lien entre le titre de ton article et la première question que tu poses. En tant qu'amorce racoleuse, ça attire l'attention, certes, mais quelle drôle de manière d'amener le sujet ! Cela démontre, plus qu'autre chose, une certaine vision déterministe de ta part (ou du moins, telle est mon impression). Sauf qu'alors que tu aimes citer tel ou tel expert, ici, tu nous renvoie vers une chaîne "pédagogique". J'ai examiné plusieurs vignettes et fait l'effort de regarder quelques vidéos, avant que ma sensibilité personnelle m'empêche de continuer : le côté éducatif de voir un agresseur au couteau se faire plomber en pleine rue, se vidant de son sang pendant que le policier lui intime de lâcher le couteau, ça ne va pas très loin selon moi, allant plus dans le champ de la curiosité morbide. Je pense que personne n'ira s'amuser à regarder un échantillon significatif des vidéos de cette chaîne pour déterminer si les femmes crient plus que les hommes, et même si c'était le cas... En quoi cela validerait-il ton assertion ? Ne serait-ce pas là généralisation abusive que d'étendre cette observation au comportement des femmes en général, dans le monde entier ? C'est en plus franchement gommer les facteurs liés à la personnalité, la culture, l'expérience de vie et les stéréotypes de genre. 3) Vérité fondamentale, mon amie " Nous pouvons voir ici que les racines de la théorie du genre sont très récentes dans l'histoire humaine, et que s'ils elles attestaient d'une vérité fondamentale ayant toujours existé elles auraient pu tout aussi bien surgir à n'importe quel moment dans l'histoire " Pourquoi parler nécessairement de vérité fondamentale ? Sous couvert de quoi le genre aurait-il pu autrement pu surgir à n'importe quel moment dans l'Histoire ? Le genre est un concept au carrefour de plusieurs champs d'étude, dont des disciplines (sociologie, psychologie...) elles-mêmes récentes. Tu évoques la Révolution française, tu cites un des pères de la sociologie moderne, je pense donc que tu sais fort bien, par exemple, que la sociologie aurait eu des difficultés à émerger sans de tels bouleversements de l'ordre social établi. A plusieurs reprises tu évoques la récence, mais ce n'est pas parce quelque chose est ancien que cela en devient nécessairement "fondamentalement vrai". 4) L'inné et l'acquis, round#4573 " La nature propre et distincte entre les deux sexes existent bel et bien, n'en déplaise aux théoriciens du genre et autres lgbtistes. Ce sont des vérités biologiques et anthropologiques que les hommes et les femmes dans l'histoire suivant leurs caractéristiques ethno-culturelles sont venues jouer dans l'attribution saines et égales à leurs riches différences, les différents rôles qu'ils durent se voir attribuer par l'ordre naturel du monde, et pour lesquels ils ne pouvaient nullement négocier ses impératifs, pas plus qu'ils ne purent négocier les lois indicibles qui gouvernent tous les éléments constituant le vivant. Les constructions sociales se sont établies progressivement au cours des siècles dans le respect de la hiérarchie naturelle du monde comme le reflet parfait de l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent. " Pour moi on s'approche là d'un salmigondis, qui suscite une cascade d'interrogations dans mon esprit fébrile. Quelles sont donc ces attributions " saines et égales à leurs riches différences " ? Permets- moi de caricaturer : les hommes musclés produisent des biens, prennent les décisions et vont à la guerre, les femmes fragiles procréent et restent s'occuper du logis et de la descendance ? Je m'interroge alors sur ce que tu entends par "l'ordre naturel" du monde, qui, je l'espère, n'est pas la perpétuation d'un système patriarcal où l'homme, via les normes, lois, règles morales et religieuses, entre autres, s'assure de conserver le pouvoir. Je ne peux m'empêcher de repenser à un roman historique où des religieux théorisaient que la femme ne possédait pas réellement de cerveau mais d'une sorte de matrice à l'intérieur du crâne, justifiant par là qu'elles ne puissent pas égaler les capacités intellectuelles d'un homme ; sottise basée sur l'ignorance pour justifier l'ascendant des mâles. Pour la "hiérarchie naturelle du monde" je suis tout autant dans le brouillard, quant à "l'harmonieuse unicité de toutes les choses qui le composent", pour être honnête et sans animosité aucune, je ne cherche même pas à comprendre. Tandis, encore une fois, que tu aimes à citer divers auteurs, tu livres ici des pensées dont la portée semble peut-être évidente pour toi, en ce qui me concerne, le tout reste fort nébuleux. Beaucoup d'autres passages ont de quoi faire réagir (" Faut-il rappeler que c'est précisément leurs différences entre l'homme et la femme qui font la beauté de leur union ? " Et donc, les différences entre deux hommes et deux femmes ne confèrent-elles également pas une beauté à leur union ? Est-il donc si outrancier que l'essence de ce que nous sommes dépasse notre codage génétique et les constructions sociales qui s'ensuivent ?) mais je vais m'arrêter là, en fait de démonstration, j'ai le sentiment d'un empilement d'extraits qui vont dans ton sens et en toute sincérité, si tu as démontré quelles sont tes positions en la matière, je n'ai pas su distinguer en quoi le courant LGBT serait néfaste pour l'individu et la société. MasterDagan, Aflow, MaiffaInes and 5 others 5 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ear Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 il y a 42 minutes, Aronaar a dit : Je ne peux m'empêcher de repenser à un roman historique où des religieux théorisaient que la femme ne possédait pas réellement de cerveau mais d'une sorte de matrice à l'intérieur du crâne, justifiant par là qu'elles ne puissent pas égaler les capacités intellectuelles d'un homme Du coup ça permettrait aussi de justifier que je fasse pas une longue explication comme vous et que je dise juste : "C'est nul ce qu'il dit" (ou de mettre des réactions puériles à ses messages...). Non en vrai c'est pas d'un cerveau qu'il me manque (même si j'en vois certains arriver et dire que si 😡), c'est de patience. "Et c'est dans ces années 2010 et plus encore dans cette dynamique de crises successives que survient le phénomène LGBT" Non. https://ehne.fr/fr/encyclopedie/thématiques/genre-et-europe/de-la-transition-démographique-aux-révolutions-sexuelles/mouvements-homosexuels-et-lgbtqi-en-europe ChatNoirRetro, terre7777777 and Aronaar 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 " Faut-il rappeler que c'est précisément leurs différences entre l'homme et la femme qui font la beauté de leur union ? " La réponse est oui il le faudrait, car au vu des différente société hummainne on peut voir que la plus part des exemple donné par les gens qui utilise cette phrase son très débattable. Tu en donne toi même un sur le fait que les femme aurais de moins bonne disposition que les homme sur certain sujet mais il faut prendre en compte qu'il à existé et existe encore des société alternative aillent majoritérment des valeur et façont de fonctionné allent à l’encontre de se qui est considéré par de certain comme "L'ordre Naturelle". Par exemple pour la question militaire même si la plus pars des armé étais en effet à majorité masculine on n'a tout de même des cas où c'étais moins tranché comme Les Dahoméennes Agojié, une unité militaire entièrement féminine dans le royaume de Dahomey (aujourd'hui le Bénin), elle se son fait connaitre leur discipline, leur bravoure, et leur efficacité au combat. L'armée des Agojié a joué un rôle crucial dans la défense de leur royaume contre les envahisseurs à la fois d’Europe mais aussi des venu d'autres tribus africaines. on peut aussi cité Les Scythes un peuple nomade de l'Eurasie qui, d’apprêt les archéologiques aurais conté dans leur armé des homme et des femmes scythes combattaient aux ensemble. Voici qu'elle que source : https://esmaparis1.com/2020/05/22/les-amazones-du-dahomey/ https://fr.wikipedia.org/wiki/Amazones_du_Dahomey https://www.numerama.com/sciences/632814-la-decouverte-dune-guerriere-scythe-de-13-ans-conforte-lexistence-passee-des-amazones.html https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1783/femmes-scythes/ Evidemment tout ce qui est dit est à prendre avec des pincette mais s'il y à une conclusion que l'on peut tiré c'est que contrairement à se qui à étais dit au tout début du topic la vision que nous avont de l'ordre naturel homme femme est bien plus lié au contexte géo-politico-culturel qu'à une histoire de génétique. Et cella s’applique à bon nombre d'autre point comme la politique (aillent la flemme de donné des source et des exemple je laisse au plus curieu(x/es) le soin de regardais toutes les différente forme de société matriarcal). Donc pour répondre finalement à ta question rhétorique (se qui je sais est asse paradoxale et ironique), Oui il faut que tu définisse clairement se que tu considére comme des différence homme femme mais aussi se que tu pense être "l'ordre naturel" à moin que tu veuille que les pire baufe de la création déffinnisse c'est notion à ta place! ps : désolé pour les faute d'ortographe et de gramaire. pps : si vous avez d'autre exemple de société ou de culture dans les qu'elle les code entre les homme et les femme son différent n'ésité pas à les mettre je serais curieux d'en apprendre plus sur le sujet. Il y a 22 heures, Mendosa a dit : L'hormone masculin est sécrété 50 fois plus que chez la femme, ce qui a pour conséquence de favoriser chez l'homme un jugement plus général des choses, en entre autres choses de donner à l'homme plus de forces physiques ainsi que d'engendrer la construction de son ossature et sa voix et pour finir sa musculature. Ce qui fait que l'homme dans l'histoire s'est beaucoup plus présenté que la femme dans les postes à hautes responsabilités, qu'il soit civil mais surtout militaire. L'homme n'a pas ce sentiment de ne pas être à sa place quand il s'engage dans un poste lui octroyant du pouvoir sur les autres, et de s'y sacrifier si l'engagement moral lui ordonne de le faire sur un champ de bataille. C'est pourquoi dans l'histoire il n'eut vraiment jamais de caste de guerrières exclusivement constituée de femmes qui s'est montrée dans les grandes épopées que nous connaissons au travers de la géographie mondiale, même s'il en eut existé elles n'ont été que très minoritaires dans le monde. ChatNoirRetro 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 Il y a 8 heures, Itachiaurion a dit : Les scientifiques n’ont normalement pas de croyance dans leur corpus complétement d'accord mais ils doivent bien poser un état initial où ils supposent que une certaine quantité de choses avant de pratiquer les tests et questionnements et en dehors du corpus lui même, y a pas de "si 99% des scientifiques sont d'accord" (ou une autre variable) et "alors c'est vrai" ou un truc du genre. C'est juste des théories. On ne teste que ça fiabilité avec les études scientifique. Une théorie "validée", c'est juste qu'elle a l'approbation et le soutien de la communauté qui n'a pas trouvé de théorie meilleure OU un élément qui fait penser qu'il y a un problème... Il y a 5 heures, terre7777777 a dit : Oui il faut que tu définisse clairement se que tu considére comme des différence homme femme mais aussi se que tu pense être "l'ordre naturel" à moin que tu veuille que les pire baufe de la création déffinnisse c'est notion à ta place! Quand j'ai lu son pavé, je me suis dit "oui, vivre en harmonie les hommes et les femmes ensemble (pas ensemble dans le sens couple)". Mais du coup, je me suis dit "son message veut en venir nul part". Mais si on prends ma première compréhension, ça n'a plus rapport avec le LGBT. Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted June 30, 2024 Share Posted June 30, 2024 il y a 56 minutes, Gaga46 a dit : Mais du coup, je me suis dit "son message veut en venir nul part". Mais si on prends ma première compréhension, ça n'a plus rapport avec le LGBT. Tout simplement car @Mendosa à réuni de nombre thème différent (qu'il aurais sans doute du séparé dans plusieur topic) et que pour attiré de la visibiliét il à mi une question pute-à-clique qui n'est qu'un micro passage de son pavé. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted July 1, 2024 Share Posted July 1, 2024 terre7777777, MaiffaInes, ypmsei and 2 others 2 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted July 1, 2024 Share Posted July 1, 2024 @Mendosa est étrangement silencieux pour quelqu'un qui tenait tant à exposer ses thèses. On aurais pu s'attendre à se qu'un homme aussi sur de lui réponde voir démonte touts se qu'on dit sur c'est pensée. Nnamhock 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aronaar Posted July 2, 2024 Share Posted July 2, 2024 Le 01/07/2024 à 16:27, terre7777777 a dit : @Mendosa est étrangement silencieux pour quelqu'un qui tenait tant à exposer ses thèses. On aurais pu s'attendre à se qu'un homme aussi sur de lui réponde voir démonte touts se qu'on dit sur c'est pensée. Je pense que nous pouvons lui accorder le bénéfice du doute, il faut bien voir aussi que cette vague de réponse n'allant pas dans son sens ait pu le refroidir quelque peu, et/ou a-t-il besoin de temps pour formuler sa réponse face à tant de points qui ont été soulevés. Ou peut-être juge-t-il en effet qu'il serait stérile pour lui de continuer, seul l'avenir nous le dira. terre7777777 and Gaga46 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
MaiffaInes Posted July 2, 2024 Share Posted July 2, 2024 Ou bien avec les dernières élections, des ailes lui sont poussés... Et aussitôt, nous le lui avons coupées... Etant particulièrement concernée... Je ne lui accorderait point ma pitié... terre7777777 and ChatNoirRetro 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
RandomGamer Posted July 2, 2024 Share Posted July 2, 2024 Il y a 3 heures, MaiffaInes a dit : Ou bien avec les dernières élections, des ailes lui sont poussés... Et aussitôt, nous le lui avons coupées... Etant particulièrement concernée... Je ne lui accorderait point ma pitié... j'ai mal à mon Bescherelle ChatNoirRetro, terre7777777 and Aronaar 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 2, 2024 Share Posted July 2, 2024 Il y a 3 heures, MaiffaInes a dit : Ou bien avec les dernières élections, des ailes lui sont poussés... Et aussitôt, nous le lui avons coupées... Etant particulièrement concernée... Je ne lui accorderait point ma pitié... Oula ! Si l'on va sur le terrain politique, il va y avoir des morts ! En un mot : Lola... Link to comment Share on other sites More sharing options...
ChatNoirRetro Posted July 2, 2024 Share Posted July 2, 2024 il y a 7 minutes, akumasan a dit : Oula ! Si l'on va sur le terrain politique, il va y avoir des morts ! En un mot : Lola... Si tu veux ouvrir la boîte de Pandore en faisant de ce topic déjà peu populaire un topic à débat, déjà tu peux le faire ici si tu y tiens vraiment, mais surtout, tu peux t'abstenir. La récupération politique, c'est déjà moyen, mais le faire sur un sujet qui n'a rien à voir, c'est encore pire. Aronaar 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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