akumasan Posted April 18, 2024 Share Posted April 18, 2024 Il y a 2 heures, GOONIES a dit : 2 Légendes s affrontent ! Are you readdddyyyy toooo Rummmmbbblleee ? Oh !!! Balrog Vs. Tyson ^^ Je suis pas voyant mais j'ai une petite idée de l'issu de ce combat. ^^ Il y en à un des deux qui va repartir avec une oreille en moins. 🤣 GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted April 23, 2024 Share Posted April 23, 2024 🔰 Sorti en 2009, Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans est un RPG au tour par tour des plus classiques dans la pure veine des premiers Final Fantasy ou Dragon Quest, en plus d’être exclusif à la Nintendo DS, berceau de pas mal de jeux de rôles. Le développement de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fût confié à Monolith Soft, studio fondé par Tetsuya Takahashi, connu pour avoir travaillé sur les graphismes des premiers Final Fantasy sur Super Nintendo comme ceux de Chrono Trigger. Au vu de l’expertise du studio et sachant que cette adaptation du bébé de Toriyama est une commande, il n’est pas si surprenant d’avoir affaire à un RPG old school. Puis, le choix du support DS permettait de se contenter de la 2D, rapprochant le jeu des standards qui régnaient à l’époque sur Super Nintendo. Le récit de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans va débuter avec l’arc du 23ème Tenkaichi Budokai pour se terminer sur la confrontation entre Goku et Vegeta durant l’arc Saiyan. Bien que l’histoire du manga soit respectée, le soft se permet quelques libertés pour le bien du rythme, mais aussi afin de gonfler un minimum la durée de vie pour tenir dans la moyenne du genre qui tourne entre 20 et 30 heures. Un RPG en 2D classique, qui reprend logiquement la structure du genre, avec une map sur laquelle se trouve divers lieux emblématiques de la franchise où il est possible de se balader. Que ce soit dans une ville ou dans des zones plus dangereuses où se trouveront les ennemis. En outre, certains niveaux auront des pseudos obstacles qu’il faudra détruire avec un kikoha pour avancer. Rien de bien folichon, alors que cela aurait pu amener des situations plus intéressantes, sachant que parfois, ce seront des éléments de glace, feu ou poison qui pourront vous obstruer la route. Des capsules, que l’on peut collecter, vont alors servir à passer ces dits obstacles plus aisément ou être utilisées comme dragon radar, etc. Le jeu ne sortait pas vraiment du lot comparé aux pléthores de RPG existant sur Nintendo DS. Pourtant, rien qu’avec l’univers de Dragon Ball, sa beauté et son système de combat qui retranscrit plutôt bien l’essence des affrontements, le jeu possède toujours ce petit truc en plus. De même que l’approche en équipe a du sens ainsi que l’utilisation intelligente du lore, dans les quêtes comme avec le bestiaire qui va piocher dans pas mal de spécimens, populaires ou non. Preuve d’un amour sincère des développeurs envers la licence. De plus, le fait que le récit nous fasse jouer plusieurs personnages aide à renouveler l’aventure. Mais là où le jeu s’en sort le mieux c’est dans les affrontements. S’il est possible d’améliorer ses statistiques grâce à l’expérience gagnée ou de débloquer et augmenter des capacités, une des particularités du titre est que certaines techniques sont cachées. Le jeu propose en effet un système de combinaisons à découvrir soi-même. En exécutant les bonnes techniques avec les bons personnages, et ce durant le même tour, vous pouvez déverrouiller des enchaînements spéciaux qui formeront de puissants combos. Ces derniers vous gratifient d’animations réussies qui rendent fièrement hommage à l’œuvre. Généralement, les affiliations vont découler d’une association de personnages et de techniques logiques. Enfin, plus le combat sera long et plus vos combattants seront déchaînés. Des mécaniques qui profitent du fait que nous pouvons contrôler jusqu’à trois héros sur le terrain, avec la possibilité de switcher avec les autres si notre team complète en inclus plus. Cela rend les affrontements grisants et permet de profiter de la Z Team. Notez qu’il est aussi possible de réduire les dégâts reçus en appuyant au bout moment sur la touche adéquate. Un moyen d’ajouter un petit peu plus de dynamisme et de pimenter l’action, bien que cela reste très basique. Enfin, concernant la partie exploration, particulièrement avec les capsules à récupérer et utiliser, s’inspirer de ce que fait Game Freak sur Pokémon avec l’usage des CS semble la meilleure chose. Cela rendrait l’aventure plus immersive, plus jouissive aussi et impliquerait plus concrètement les joueurs et joueuses. Notamment vis-à-vis de la narration, qui est normalement un élément important dans un RPG. Le genre se prête bien à Dragon Ball, car il peut donner une autre ampleur à la saga en mettant en avant son lore comme c’est rarement le cas. Et bien qu’on parle de reprendre l’intrigue du manga, on est tout aussi ouvert à une nouvelle histoire, néanmoins cela implique un travail plus minutieux si l’on veut éviter les déconvenues comme le scénario autour de C-21. Ce Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans regorge de bonnes choses et de bonnes intentions. On aimerait qu’un autre jeu de la franchise prenne la relève afin de proposer un RPG digne de ce nom. Pouvoir un jour placer un jeu Dragon Ball à côté d’un Dragon Quest sans qu’il y ait à rougir. Aflow, CopyCat and GOONIES 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted April 24, 2024 Share Posted April 24, 2024 🔰 Sorti le 23 avril 2024, Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath Of The Mutants est le portage du jeu sorti sur borne d'arcade en 2017. Sept ans plus tard, le jeu arrive sur les consoles avec du contenu supplémentaire. Alors je ne pas y aller par quatre chemins, le jeu n'est vraiment pas fou !!! Le jeu est même à des années-lumière en retard face à un TMNT : Shredder's Revenge crée par Dotemu en 2022 qui lui est vraiment excellent. Après avoir passé quelques heures sur ce Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants, je peux vous dire que le jeu sent vraiment les eaux usées, le fromage périmé et la pizza brûlée, et même si je suis un grand fan de la franchise Ninja Turtles, il y a des jeux bien meilleurs et bien plus amusants dans lesquels vous pouvez dépenser votre argent. Pour être franc avec vous, j'ai même hésité à faire cette vidéo, tellement ce jeu fait tache avec tous les autres jeux Mutant Turtles que je vous ai présenté sur la chaîne jusqu'à maintenant ! Cependant, un premier aspect apparemment positif est qu'il est clair que le classique immortel des années 90 de Konami a été regardé pour l'inspiration et la conception, mais là où le créateur de jeux japonais a livré une brillance pixelisée, le développeur Raw Thrills s'est contenté d'une jouabilité fade et d'une présentation médiocre. Le design est tiré de la série Nickelodeon de 2012, et bien que le design lui-même ne soit pas le meilleur, les graphismes ternes ne parviennent pas à l'élever à un niveau supérieur. Le jeu sorti originellement en 2017 faisait déjà penser au premier coup d'œil, un titre sorti en 2007 pour la Nintendo Wii plutôt qu'à un jeu sorti sur les consoles de 8ème génération. Parce que Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants est horriblement laid et qu'il y a très peu de vie ou de charme dans les environnements ou les personnages entassés à l'écran. Il y a aussi quelque chose d'étrange dans le son, car la musique est extrêmement basse dans le mixage, ce qui donne une impression de platitude et de manque d'énergie. La seule chose que l'on entend vraiment, ce sont les personnages qui lancent de temps en temps des répliques sans queue ni tête, et lorsque ces répliques sont accompagnées d'un silence total, le spectacle qui se déroule sous nos yeux ressemble plus à une farce déréglée qu'à quelque chose de palpitant et d'engageant. La jouabilité elle-même est certainement acceptable, même si elle est extrêmement dépouillée et manque d'idées. Tu utilises le bouton (X) pour te battre (A) pour sauter et (Y) pour utiliser ta capacité spéciale. En-dehors de cela, il y a très peu de choses à suivre, et lorsque l'intelligence des ennemis est à peine présente, on a l'impression de marteler la touche (X) pour atteindre les crédits et enfin éteindre la misère. De plus, tous les boss ont un pattern quasiment identique, et même s'ils ont des apparences différentes, ils ajoutent rarement quelque chose de nouveau ou d'intéressant qui élève l'expérience à autre chose qu'un niveau très médiocre. Il faut également noter que cette aventure est incroyablement vide, puisqu'on ne nous propose que six niveaux qui peuvent être terminés en un peu plus d'une heure. Bien sûr, tu peux rejouer tous les niveaux à l'infini pour obtenir un meilleur score, mais il n'y a rien qui t'encourage à revisiter chaque niveau après les avoir déjà labourés la première fois. Bien sûr, si tu aimes souffrir, tu trouveras peut-être un certain plaisir à te tourmenter dans ce jeu d'action décevant qui manque de polygones, mais pour tous les autres, il n'y a rien de valable ici. En conclusion, je ne peux recommander Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants à personne, pas même aux fans les plus dévoués. Bien sûr, il est possible d'y jouer sans aucun bug, mais avec un prix de 30 balles pour une heure de soi-disant "divertissement", ce n'est acceptable nulle part. L'ensemble du produit ressemble à une façon extrêmement bâclée d'essayer de gagner de l'argent sans faire le moindre effort, et j'espère que les gens ne se laisseront pas berner par le logo Turtles et n'achèteront pas dans l'espoir de trouver une joie nostalgique, parce qu'en ce qui concerne la joie du jeu, il n'y a certainement rien de tout cela ici. CopyCat and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Bibinou67 Posted April 24, 2024 Share Posted April 24, 2024 C'est "mou du genou" mais bon c'est quand même "Tortue Ninja", allez va pour un pouce. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted April 27, 2024 Share Posted April 27, 2024 🔰 Sorti 1991 Burning Fight fut parmi les premiers titres sur MVS, ce Beat 'em all ne restera pas dans les mémoires de joueurs. SNK tente ici de surfer sur la vague initiée par Final Fight, mais ne sait visiblement pas vraiment comment s'y prendre. Le déroulement fait en effet beaucoup penser au hit de Capcom, la maestria en moins. Cela se sent dans beaucoup de graphismes du jeu, et plus particulièrement dans certains personnages qui frôlent carrément le plagiat. Ainsi, on a le choix entre trois protagonistes qui rappellent une fois de plus Haggar, Guy et Cody, pour permettre au joueur de choisir un combattant équilibré, ou soit plus fort mais lent et inversement. Les différences s'arrêtent là, car les coups sont totalement identiques de l'un à l'autre. L'histoire prend place quand pendant des années, la famille Casterora a régné sans partage sur les rues de la ville de New-York. Deux policiers, Duke Edwards et Billy King, ont été chargés d'enquêter et de combattre ce clan mafieux. Les Casterora ont alors joint leurs forces à une autre famille du crime, basée à Ôsaka au Japon : les Heiwa-Gumi. Leur pouvoir est désormais total et seul un policier ose s'opposer à eux au Japon, c'est Ryû Saeba. Duke et Billy décident de se joindre à lui pour combattre ces deux familles et se rendent donc à Ôsaka. Le jeu propose trois personnages, comme vous l'avez sans doute compris. - Ryû est le policier japonais, agile mais peu puissant. - Duke est parfaitement équilibré, ni trop lent, ni trop faible. - Billy fait enfin office de grosse brute, il est lent, mais dispose d'une bonne puissance de frappe. Le système de Burning Fight est basé sur l'utilisation de trois boutons. (A) coup de poing / ramasser une arme ou un bonus / utiliser une arme / projeter l'adversaire (B) saut (C) coup de pied Eh oui, c'est l'un des rares beat them up qui permet d'effectuer un coup de pied tout en restant debout. Les armes sont nombreuses et variées : bâton, 44 Magnum, couteau, bouteille ect... En appuyant sur (A) et (B) simultanément, on déclenche un pouvoir spécial dévastateur qui dégomme sans difficulté les adversaires qui ont le malheur de se trouver à proximité de votre personnage. Prix à payer classique, la barre de santé diminue alors légèrement. À l'instar de son modèle Final Fight ainsi que de nombreux autres titres du même genre, on aura droit à des semi-boss puis à des boss de fin de niveau. Ces derniers sont assez peu impressionnants, ce qui ne les empêche nullement d'être coriaces. Au détour d'une rue, on pourra voir des portes marquées "in". Si on y entre, on accède à une sorte de Bonus Stage dans lequel il s'agit de casser du mobilier dans un temps imparti. On y gagne divers bonus donnant points ou santé. Des policiers entrant dans des boutiques pour tout casser, on aura tout vu. En fait il s'agit, d'après la notice, de boutiques tenues en sous main par le clan Casterora. Quelques détails amusants ont été intégrés au jeu, comme par exemple ces personnages très peureux et inoffensifs, le client d'un sex-shop et un clochard ou la présence en guest star d'un clone de Hulk Hogan. Burning Fight est, dans l'ensemble, très correct, même si certains stages sont bien trop vides, ce qui est bien dommage. Le choix de couleurs laisse aussi parfois à désirer. Bref, on sent que ça aurait pu être bien mieux. Cependant, quelques passages sont réussis, comme un superbe coucher de soleil ou une grosse BMW garée sur un quai. Le jeu est assez rapide, mais que c'est mal animé ! On croirait que les personnages se sont fait un tour de rein tellement qu'ils sont raides dans leur démarche. Tout cela manque singulièrement de souplesse. Histoire de ne pas rester sur cette impression négative, on notera quelques effets de zoom très sympa pour l'apparition de certains ennemis. Le son est très bon niveau bruitages, avec par exemple le bruit des pas sur un escalier en métal très réussi. Pour les musiques, ça va, elles soutiennent bien l'action sans être exceptionnelles. La jouabilité, complète, possède toutefois quelques défauts. D'abord le temps pendant lequel on peut tenir une arme est beaucoup trop court. En effet au bout de quelques secondes le personnage la lâche, sans raison apparente. Il y a également les prises au corps-à-corps, ou plutôt la prise au corps-à-corps. Il est dommage qu'il n'y en ait qu'une et que SNK n'ait pas copié Capcom sur ce point en allouant à Billy plus de variété dans ce domaine. Enfin, les coups sautés sont disposent d'une fenêtre de collision ridiculement courte est bien les placers deviens une vraie gageure. Tout cela fait que Burning Fight aurait pu être bien meilleur à ce chapitre, même s'il reste défoulant et répond bien. Burning Fight ne fait que reprendre pour lui des bases posées par Double Dragon et Final Fight. Visiblement mal ingurgitées et mal gérées sur la jeune MVS, le plaisir de jeu peine à se faire ressentir, réservant cette cartouche aux seuls fans de beat'em all purs et durs. GOONIES, Aflow and CopyCat 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted April 29, 2024 Share Posted April 29, 2024 🔰 Crée par Axander en 2022 Street Fighter X Tekken est l'adaptation du jeu éponyme conçu avec M.U.G.E.N le moteur de jeu de combat 2D conçu par Elecbyte, le tout codé en C en utilisent la library Allegro. Le jeu reprend la totalité du roster vu sur le jeu d'origine en y ajoutant quelques guest, soit 68 personnages en tout : 33 personnages issus de l'univers de Street Fighter. 35 personnages issus de l'univers de Tekken. Diffèrent modes de jeux son disponible : Arcade. Vs Mode. Team Arcade. Team Vs. Team CO-CP. Survival. Survival CO-OP. Training. Le gameplay de tous les personnages est calqué sur celui de Street Fighter à savoir : Shoto : Archetype de combattants utilisant le Karate Shotokan. Ryu et Ken en sont l'exemple. Donc tout perso qui a un dragon, une boule et des coups de ce type. Grappler : Personnage a choppe comme Zangief ou Manon. Rekka : Personnage qui peu cancel un special par un autre special. Le plus gros exemple dans Street Fighter c'est Fei long. Zoners : Personnage qui zone, qui garde l'adversaire a distance, par son jeu de boule ou par son excellence dans le neutral game. Mixup : Personnages dont beaucoup de ses phases sont des 50/50, te poussent a faire un choix. Rushdown : Personnage très offensif, qui te met la pression en permanence. Chacun des personnages possède ses propres caractéristiques. Résistance : Capacité à encaisser les coups, seuls ou en combo. Saut : Hauteur du saut et les capacités offensives et défensives aériennes. Vitesse : Vélocité dans les déplacements à terre et aérien. Technique : Efficacité, diversité et utilisation de la panoplie de coups (hors spéciaux). Coups spéciaux : Efficacité, diversité et utilisation des coups spéciaux uniquement. Portée : Allonge globale des coups, hors spéciaux. Corps-à-corps : Capacité à livrer un combat à cette distance. Mi-distance : Capacité à livrer un combat à cette distance. Longue Distance : Capacité à livrer un combat à cette distance. Enfin, pensez à vous essayer avec tous les personnages, même si certain semblent moins performants sur le ring. En effet, à quelque chose près, tous se valent, seul le gamer fait la différence. Un combat peut se négocier de plusieurs façons différentes. À commencer par la distance de combat, c'est-à-dire la distance qui nous sépare de l'adversaire, et qu'on s'efforcera de conserver. Le combat à longue distance ne s'emploie que pour les personnages possédant des tirs à distance. Cependant, il n'est pas possible de le tenir à l'autre bout de l'écran indéfiniment, et celui-ci finira par réduire la distance de combat. Il est alors nécessaire de savoir le repousser, pour restaurer la distance voulue. Les contre-sauts et Battle Lead sont donc des techniques indispensables à maîtriser pour se battre à longue distance. Le combat mi-distance plus technique, c'est généralement la distance de combat la plus utilisée, car la plus instinctive et la moins difficile à maîtriser. Elle est différente d'un personnage à un autre, puisqu'elle correspond à un saut du rival. Mais la distance aidant, les assauts aériens seront nombreux, et il est impératif de maîtriser les anti-sauts et les Reversal Attacks en cas de coup dur. En d'autres termes, cette distance de combat est plus expéditive que la longue, mais aussi plus exposée. Le combat au corps-à-corps le dernière distance de combat, elle est à réserver aux Roxors. D'ailleurs, c'est souvent les combats à cette distance qui sont les plus palpitants à vivre et à regarder. L'obligation première de cette distance de combat est de rester au contact, comme son nom l'indique. Étouffer l'adversaire, ne pas lui laisser le temps de souffler et de réfléchir, l'assaillir de coups. Attention cependant, car cette distance de combat n'a rien de bourrin, puisqu'un bon gamer repousse en deux temps trois mouvements mal gérés. Ayant une hitbox au pixel près, Street Fighter X Tekken est un excellent M.U.G.E.N car très technique avec une difficulté accru surtout en difficulté de niveaux 8. Je dis souvent qu'une journée d'entraînement sur Street Fighter X Tekken M.U.G.E.N en difficulté de niveaux 8, vaut une semaine d'entraînement sur un Street Fighter de Capcom. Même si le jeu n'atteint pas le niveau d'excellence d'un M.U.G.E.N : Hyper Dragon Ball Z dans sa version FP, il en reste pas moins un des meilleurs jeu de versus fighting jamais crée avec ce moteur graphique. GOONIES and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 1, 2024 Share Posted May 1, 2024 🔰 Crée en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adapté du Manga crée en 1983 par Tetsuo Hara. Ce Hokuto no Ken M.U.G.E.N est en fait le portage de Hokuto no Ken Fighting sorti en 2007 sur PlayStation 2, qui est lui-même le portage de Fist of the North Star sorti en 2005 sur borne arcade Atomiswave et comme dans le jeu d'origine crée par Arc System Works, ce M.U.G.E.N possède des sprites de grande tailles avec une très grande finesse. Cependant, deux choses séparent les trois versions : Premièrement, l'ajout d'un personnage supplémentaire, à savoir Shu qui est absent de la version Atomiswave ainsi que la version PlayStation 2. Secondement, la vitesse de jeu paramétrable, ce qui n'est pas possible sur la version Atomiswave et PlayStation 2. Ainsi, la version M.U.G.E.N est bien plus pêchu ! Toutefois, on déplorera qu'aucune scène d'introduction tirée de l'animé en guise d'opening ne soit présente dans cette version M.U.G.E.N Le jeu propose de retrouver une grande partie des personnages principaux vus dans le Manga : Kenshiro. Heart. Yuda. Rei. Shu. Jagi. Mamiya. Shin. Toki. Souther. Raoh. Le jeu se joue à la façon d'un Guilty Gear, avec 4 boutons : Low Punch. High Punch. Low Kick. High Kick. Les coups spéciaux s'effectue avec LP/HP, LK/HK, LP/LK et HP/HK. Du point de vue de l'animation, que dire si ce n'est que les personnages ont un beau balai dans le derrière. On est à des années lumières de la fluidité d'un Street Fighter III 3rd Strike. En même temps, çà ne dérange pas du tout, au contraire je trouve que çà reste fidèle à l'esprit de Ken. Une animation ultra fluide, aurait dénaturé l'anime, point de vue personnel. Les différents effets, chorégraphies des coups etc... sont excellents ! Aucun bug n'est à signaler après pas mal d'heures de jeu. Bref la conversion de Arc System Works à M.U.G.E.N s'est très bien passée ! Musicalement, c'est pas mal, mais en dessous de la version de Arc System Works. Par contre toutes les voix originales de la série japonaise sont bel et bien présente, et c'est ce qui pour moi renforce largement l'immersion quand on joue à ce jeu. Je vais vous faire un petit topos sur les différents stages : Village de Lin : C'est le stage de Mr Heart et de Kenshiro. C'est bien dommage que Ken n'a pas son propre stage ! Il s'agit du village où Ken affronte Zeed, lors du premier épisode de l'anime. (À noter que la ressemblance n'est pas flagrante, et que les persos du fonds sont mal animés.) Southern Cross : Le palais de Shin, dans la ville qu'il a fait construire pour Yuria, à savoir la croix du sud. Un stage important dans la série et bien retranscrit dans le jeu. Yuria est présente au second plan. Village de Mamiya : C'est la fontaine souterraine du village de Mamiya, là-même où elle rencontrera Rei pour la première fois, et là aussi où Ken soigna les yeux d'Aili. D'ailleurs les 2 tourtereaux se partagent le stage. Un superbe level ! Héliport : C'est l'endroit choisi par Jagi pour affronter Ken. Que dire si ce n'est que là encore les graphismes sont là encore de qualité. Palais de Juda : L'endroit même où Juda séquestre ses femmes. D'ailleurs, elles sont présentes dans le jeu. Je ne trouve pas ce stage très fidèle à la série puisque je n'ai pas un grand souvenir de cette salle. Par contre, mention spéciale, au UD dont le sol est frappé. La pyramide le l'empereur : Tout simplement le meilleur stage pour moi ! La cascade : Le lieu du combat Toki/Raoh et accessoirement le lieu de leur première rencontre avec Ryuken. On voit d'ailleurs les tombes de 2 frères ainsi que des parents de leurs parents. Un stage absolument magnifiquement dessiné, et très gai pour une fois. Temple du Hokuto Shinken : Le lieu de la confrontation finale entre Ken et Raoh ! Un stage somptueux. On y retrouve les différents modes de jeux typique aux jeux M.U.G.E.N : Arcade. Vs Mode. Team Arcade. Team Vs. Team CO-CP. Survival. Survival CO-OP. Training. Pour conclure, Hokuto no Ken M.U.G.E.N reste un jeu de baston 2D solide, à la réalisation certes facile puisque copié sur Guilty Gear mais qui devrait titiller la fibre nostalgique des vieux briscards habitués au stick et élevés aux dessins animés japonais diffusés le mercredi après-midi durant le Club Dorothée. Minou33, Aflow, CopyCat and 1 other 1 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted May 1, 2024 Share Posted May 1, 2024 Excellent ! Nostalgie ! Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted May 1, 2024 Share Posted May 1, 2024 il y a une heure, akumasan a dit : Crée en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adapté du Manga crée en 1983 par Tetsuo Hara Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga. akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 1, 2024 Share Posted May 1, 2024 il y a une heure, Minou33 a dit : Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga. Tout simplement parce que j'avais oublié la version Arcade sur Atomiswave lors de la rédaction de ce test. C'est vrai que cette version Arcade ne s'appelle pas Hokuto no Ken Fighting, mais Fist of the North Star, et j'ai connu Hokuto no Ken Fighting (PS2) avant la version originale sorti sur Atomiswave. Je pense que c'est pour ça que je l'ai omise. Mais je vais réparer ce malencontreux oubli de suite. 😉 Mea Culpa. Minou33 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted May 1, 2024 Share Posted May 1, 2024 il y a une heure, akumasan a dit : Mea Culpa. ...And justice for all👍 akumasan, Aflow and GOONIES 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted June 11, 2024 Share Posted June 11, 2024 Ça va être long ... d attendre ... CopyCat and akumasan 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 11, 2024 Share Posted June 11, 2024 Dès qu'il sort je le choppe direct ! DAY ONE ^^ Il y a 1 heure, GOONIES a dit : Ça va être long ... d attendre ... CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 15, 2024 Share Posted June 15, 2024 🔰 Sorti en 2014 The Legend of Korra est un beat 'em all, mais à la façon PlatinumGames, ce qui densifie quand même un genre bien engoncé dans des mécaniques souvent désuètes et répétitives. Cet aspect répétitif, il n'y échappe pas, surtout que bien qu'affichant un style chatoyant proche du dessin animé, les décors sont un peu vides, jolis dans le style, mais sommaires. Mais ce qui accroche d'emblée avec ce titre, c'est son système de combat, que l'on aimerait bien voir de nouveau ailleurs. Il est question de combos dans The Legend of Korra, mais aussi de contres, qui figent le temps un instant pour infliger, par une direction donnée au stick, un coup dévastateur à son ennemi direct ou même une multitude. On enchaînera aussi les feintes face aux adversaires les plus coriaces. Coups faibles et coups forts sont à utiliser en alternance, tout comme les quatre pouvoirs élémentaires. À la base The Legend of Korra est la série animée de Nickelodeon qui fait suite à Avatar : Le Dernier maître de l’air. Pour ceux qui ne connaissent pas, un rapide résumé. Le monde est divisé en quatre grandes nations, qui vénèrent et maîtrisent chacune un élément : Feu. Eau. Terre. Air. Une seule personne au monde est capable de maîtriser les quatre éléments : l’Avatar. Dans la première série, celui-ci se nomme Aang et est né dans la nation de l’Air. Chaque Avatar naît dans un pays différent, ainsi, l’équilibre est maintenu. Malheureusement, peu de temps après son ascension au rang d’Avatar, il est attaqué par le Seigneur du Feu, actuel dirigeant de l’empire du Feu. Ce dernier a décidé que pour que le monde connaisse la paix, il faut que le monde entier soit sous sa gouverne. Il part donc en conquête et commence par attaquer l’Avatar afin que le seul être capable de le vaincre soit enfermé et sous son contrôle. Cet Avatar est cependant perdu dans la glace et va dormir pendant cent ans, menant à la série animée. Certains passages font grandement dans la plate-forme, nous obligeant à sauter sur des rebords parfois assez mal définis, ou dans des morceaux de niveau en deux dimensions, déjà beaucoup moins bancals. Mais c’est surtout les niveaux de courses à dos de Naga, le chien ours polaire de Korra, qui demandent plus de réflexes. En effet, dans ceux-ci, l’animal avance automatiquement, vous devrez donc esquiver les différents obstacles. Que ce soit en sautant, en frappant des ennemis ou en glissant sur le sol, tout vous sera utile. Ces niveaux se basent uniquement sur vos réflexes et nécessitent que vous soyez attentif ou que vous ayez la capacité de vous souvenir du parcours entre chaque checkpoint après être mort plusieurs fois. Le Pro-Bending est également de la partie avec un mode à part entière. Qu’est-ce que le Pro-bending ? Un trois contre trois un maitre du feu, un de l’eau et un de la terre, dans une arène. L’arène est divisée en six zones : trois rouges (votre équipe) et trois bleues. Quand vous faites reculer les trois adversaires d’une zone, vous en prenez possession. Pour gagner, il faut soit éjecter tous vos adversaires de l’arène, soit gagné trois rounds contre eux (maîtriser plus de zones qu’eux à la fin des trois minutes de chaque round). A cela, on peut ajouter une toute petite galerie, présentant les trésors que vous aurez ramassés dans le jeu. Également, un magasin vous permettra d’acheter des objets de soin, des combos ou des artefacts permettant de modifier l’expérience de jeu. Ceux-ci rendront le jeu plus dur (Expérience multipliée par deux, mais vie divisée par autant.) Ou plus simple (possibilité de contre lorsque vous prenez une attaque). Les objets et artefacts doivent être équipés pour être utilisés. (Korra vous le rappellera bien assez lorsque vous serez sur l’écran correspondant.) Les premiers seront utilisables d’une pression de la direction à laquelle ils sont assignés, et les deuxièmes seront activés tant qu’ils seront équipés. Il est possible de déséquiper tout cela en plein combat, d’une simple pression du bouton correspondant. Les graphismes en Cel-Shading rendent honneur à la série, même si les cinématiques ne sont pas parfaites et la musique colle à l’univers. De plus, ce sont les vrais doubleurs de la série qui sont ici en action, respectant parfaitement l’univers. Si les fans de la série auraient certainement voulu que l'adaptation de La Légende de Korra par PlatinumGames ait plus d'envergure, à prendre pour ce qu'il est, un petit jeu pas cher, aux combats plaisants grâce aux contres et aux quatre pouvoirs élémentaires, The Legend of Korra s'en tire honorablement. On apprécie aussi l'histoire à suivre avec de nombreuses scènes animées. The legend of Korra est beat 'em all plutôt sympa et les développeurs de chez PlatinumGame n'a pas voulu faire un Bayonetta Bis, mais plutôt un jeu accessible aux mécaniques simple. GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted June 27, 2024 Share Posted June 27, 2024 🔰 Sorti en 2015 cette dernière version de Dead or Alive 5 appeler Last Round n’apporte finalement pas grand-chose par rapport à la version original. Selon ses développeurs, le moteur a subi un petit changement nommé le Soft Engine, afin de rendre l’affichage de la peau des combattants plus naturel et doux, mais force est de constater qu’il ne s’agit que d’un simple lissage des textures et d’un éclairage moins forcé. Pour le reste, on peut dire qu’il est toujours plaisant à l’œil, même si l’on sent qu’il s’agit d’un portage rapide et non d’une réelle recréation. Il faut dire que le jeu ne me fera pas mentir, et pour cause, lorsque je parle de portage rapide, je pèse mes mots. Dead or Alive 5 Last Round ne profite pas du boost de puissance des PC et des consoles de 8ème générations pour être plus optimisé, il est toujours aussi lent à charger, ce qui est un peu frustrant dans un jeu de combat où il est important de pouvoir enchaîner très rapidement les sélections de personnages et les matchs. Pour cette déclinaison, au-delà de sa petite option de customisation permettant d’influer sur les accessoires de ses combattants comme des lunettes, coupe de cheveux, petit masque, ect... Ce sera l’occasion de profiter des personnages vendus jusque-là en DLC ainsi que de la majorité des costumes alternatifs disponibles sur les magasins en ligne. Majorité, car certains sont encore à rajouter, moyennant un petit passage à la caisse, et que d’autres sont prévus dans le futur. Néanmoins, bien que détestant ce genre de pratiques, je me questionne sur le bien-fondé de la critiquer avec Dead or Alive puisqu’en vérité, tout acheteur de ce soft sait à quoi s’attendre sur ce terrain, DOA 5 n’ayant jamais fait dans la dentelle (sauf avec ses modèles) en matière de DLC. L’éditeur n’a d’ailleurs jamais essayé de se cacher de cette pratique, elle fait partie intégrante du jeu. On regrettera simplement que la nouvelle génération n’ait pas été l’occasion pour la Team Ninja de rendre tout ça encore plus joli. Il n’empêche que Last Round reste un jeu de combat entre potes, sans prises de tête, parfait de par son gameplay organisé sur un principe de pierre/feuille/ciseau (les coups gagnent sur la projection, qui gagne sur le contre, qui gagne sur les coups) qui permet à n’importe quel novice de prendre la manette et de s’amuser lors d’une soirée, de par la variété des combattants et de leurs costumes aussi sexy que loufoques, et de par ses possibilités pour le joueur solo qui s’amusera à tout débloquer avant de partir à l’aventure en ligne. DOA 5 Last Round est donc une version loin d’être exempte de reproches, néanmoins, il reste un très bon titre accessible et fun, désormais disponible avec le plus de contenu possible pour une nouvelle génération de joueurs. Difficile de dire non. GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 20, 2024 Share Posted July 20, 2024 Il y a des jeux comme ça dont je ne me lasserai jamais, et ce Street Fighter Ⅲ : 2nd Impact - Giant Attack en fait partie. ^^ Aller, c’est parti, un crédit et au lit. 😄 GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted July 20, 2024 Share Posted July 20, 2024 Oohhh Ken les bijoux de famille !!!! 😉 Bravo pour la perf et de très beaux enchaînements 😀 c était chaud contre Ryu !!! Ps je suis à fond sur MS Fanthology quel jeu ! akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 20, 2024 Share Posted July 20, 2024 Oui Ryu il est chaudard le bougre ! J'ai bien cru ne pas pouvoir faire la run en un seul crédit mais finalement c'est passer. 😅 PS: Idem je m'amuse vraiment sur ce Metal Slug Fanthology et cette Saga a encore de beaux jours devant elle. ^^ GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Zaito Posted July 27, 2024 Share Posted July 27, 2024 En jeu de baston j'attend Dragon Ball Sparking Zero, je ne sais pas si je suis le seul. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 28, 2024 Share Posted July 28, 2024 Il y a 1 heure, Zaito a dit : En jeu de baston j'attend Dragon Ball Sparking Zero, je ne sais pas si je suis le seul. Non, tu n'es pas le seul, car cela fait 17 ans que j'attends une suite à Dragon Ball Budokai Tenkaichi 3. Donc il est sûr que j'aurai Sparing Zero day one. ^^ Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 3, 2024 Share Posted September 3, 2024 🔰 Sorti en 2008, Oriental Legend 2 est un beat 'em all développé par IGS pour le système arcade PolyGame Master 2, appelé sobrement le PGM2. Oriental Legend 2 n'est pas vraiment la suite du premier opus sorti en 1997. Il s'agit plutôt d'une refonte totale du premier jeu avec un tout nouveau moteur graphique, un gameplay beaucoup plus nerveux et avec une durée de vie bien supérieure au premier opus. Comme dans le premier opus, le jeu s'inspire dans les grandes lignes du roman chinois de Wu Cheng'en intitulé "La Pérégrination vers l'Ouest" mais également connu sous le titre "Le Voyage en Occident ou encore "Journey to the West" dans la langue de Shakespeare. Pour cette session et pour faire un petit clin d'œil à la sortie de Black Myth Wukong, j'ai choisi de jouer Wukong le Roi Singe, personnage principal du jeu et personnage principal du roman de Wu Cheng'en. Wu Kong ou Singe conscient de la vacuité, est né d’un œuf pondu par une pierre fécondée par le ciel et la terre. Immortel et doté de pouvoirs phénoménaux pour le Kung-Fu, il se rebelle contre le ciel, ce qui lui vaudra 500 ans d’emprisonnement sous la paume de Bouddha. Wukong est considéré comme un roi par les autres singes. Il est facétieux, colérique, rusé et il recherche l’immortalité. D’ailleurs dans l’œuvre originale, il devient tellement prétentieux que Bouddha en personne l’emprisonne dans une montagne histoire de lui calmer les nerfs. Arrogant, impulsif et facétieux, Wukong est le symbole du mauvais garçon, il s’assagira à l’issue du pèlerinage atteignant l’illumination. Le soft propose trois modes de jeu : -Le mode Plot : ce mode propose sept stages avec un niveau de difficulté standard conçu pour les joueurs qui veulent découvrir l'histoire des personnages. -Le mode Online Ranking : qui est un mode plus difficile du jeu, il se déroule en huit étapes qui, une fois terminé, fournirent au joueur un code à saisir sur le site officiel d'IGS afin de partager son classement en ligne. -Et enfin le Challenge Boss : qui, comme son nom l'indique, est une sorte de "Time Attack" où les joueurs sont mis au défi de vaincre, à la suite, tous les boss du jeu en un minimum de temps. Le roster complet se compose de dix personnages, dont cinq personnages venant du premier opus : -Wukong. -Bajay. -Wujin. -Purple. -Chang Er. Pour cette nouvelle aventure, ils sont rejoints par trois nouveaux venus, à savoir : -Er Lang. -Drakan. -Iron Fan. Et deux autres personnages peuvent être débloqués après avoir terminé le jeu une fois : -Xuan Zan. -Zhi zhu. Comme l'opus de 1997, il s'agit toujours d'un beat 'em all à scrolling horizontal pouvant accueillir jusqu'à quatre joueurs. Mais la comparaison s'arrête là, car cette fois-ci, la prise de XP des personnages est une caractéristique majeure du gameplay dans Oriental Legend 2. Au fur et à mesure de la progression, on gagne de l'expérience en vainquant des ennemis et, en montant de niveau, on gagne des coups spéciaux, ainsi les personnages de niveau inférieur ayant beaucoup plus de chances d'avoir du mal à vaincre les boss de fin de partie. Petit détail sympa, la borne arcade de Oriental Legend 2 fut la première borne à prendre en charge un lecteur de cartes à puce ressemblent à une carte bancaire en guise de carte mémoire. En achetant celle-ci dans les salles d'arcade, les joueurs avaient la possibilité de sauvegarder la progression de leur personnage dans les différents stages ainsi que les objets gagnés pendant les sessions de jeu. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted September 3, 2024 Share Posted September 3, 2024 Fin de saison le boss est de retour !!! akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 3, 2024 Share Posted September 3, 2024 Il y a 7 heures, GOONIES a dit : Fin de saison le boss est de retour !!! Oui mon GOONIES c'est la dernière ligne droite, fin septembre je suis en vacance. ^^ GOONIES and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 8, 2024 Share Posted September 8, 2024 🔰 Deuxième partie et fin de l'histoire de Mécha-Naruto. Mécha-Naruto était une réplique mécanisée de Naruto Uzumaki qui apparaît dans les épisodes exclusifs à l'anime et Naruto Shippûden Ultimate Ninja Storm REVOLUTION. Mécha-Naruto était une création d'Orochimaru créée afin d'aspirer le bijû de Naruto, c'est-à-dire Kyûbi, mais l'invention tourna au désastre, Mécha-Naruto se déchaîna en détruisant tout sur son passage. Pain retrouva les restes de Mécha-naruto dans le repaire effondré d'Orochimaru, et comprenant que ce dernier cherchait à nuire à l'Akatsuki en les privant du Kyûbi, Pain prit les plans de mécha-Naruto et le répara à l'aide du Roi des enfers de Jigokudô. Puis il demanda à Itachi de tester Mécha-naruto en lui faisant extraire totalement le Kyûbi du corps de Naruto. Mécha-Naruto fut montré à l'origine comme étant sauvage, attaquant sans réfléchir tout ce qui se trouvait sur son passage. Mécha-Naruto devint déterminé à capturer Kurama pour l'Akatsuki. Il était implacable dans sa quête de Kurama, détruisant tout ce qui était sur son chemin. En dépit de cette programmation, Itachi programma secrètement des ordres supplémentaires : si Naruto était dévoué à sauver Sasuke de sa haine, Mécha-Naruto se rangerait du côté de Naruto. Après l'activation de ces nouvelles directives, Mecha-Naruto vint aider Naruto dans la bataille et se sacrifia volontairement pour protéger le village de Naruto. Mécha-Naruto ressemble à Naruto avec des rivets sur tout le corps. Son bandeau mécanique, qui porte habituellement le nombre « 7610 » peut changer dès qu'il le souhaite pour afficher divers mots ou phrases. Il a des mitraillettes intégrées, il peut se transformer en jet super rapide, en 4x4 tout-terrain, il a des sabres lasers et des yeux lasers. Il peut aussi se transformer en armure pour être portée par une personne. Il peut voler à l'aide d'un propulseur et peut changer tout son corps en arme. Il a aussi et surtout la capacité d'absorber ou de relâcher le chakra d'un bijû. En relâchant tout son chakra de bijû, il crée une énorme Orbe des Démons à Queues capable de tout détruire, mais qui le vide de tout son chakra. Comme tout jinchûriki ou pseudo-jinchûriki, l'extraction totale de son bijû est mortelle pour Mécha-Naruto. Aflow and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 11, 2024 Share Posted September 11, 2024 🔰 Sorti en 2022, Midnight Fight Express propose un grand défouloir et un défi de taille pour les aficionados de beat 'em all bien pêchu. Les p'tits gars de la team Jacob Dzwinel ont crée un très bon beat 'em all des familles tandis que les autres y verront un agréable jeu d’action au système de combat nerveux et profond. Quelques éléments font penser à Sifu, mais avec une vue du dessus, un angle de camera qui se prêtent bien à l'action. Le jeu propose une aventure sans doute moins iconique, mais surtout moins frustrante, avec plus de variété dans ses affrontements ainsi que dans la mise en scène de son scénario. Ce qui m’a frappé dans les premiers instants de Midnight Fight Express, c’est l’atmosphère barrée, décalée et atypique qui s’en dégage. A certaine moment, j’avais l’impression de redécouvrir l’univers de Sifu et ses mécaniques, mais vu sous un autre angle ! Un héros anonyme, un donneur d’ordre surprenant, des masques, et surtout une tendance certaine à s’en prendre à toute la racaille locale. Car c’est une véritable plongée dans les bas-fonds que nous offrent ce titre. Je ne sais pas si le scénario se déroule sur une seule nuit mais cette fuite en avant sans limite, dans les quartiers les plus mal famés ou les plus clichés fait son petit effet. L’action s’avère aussi implacable que frénétique où pendre le temps de trop réfléchir n’est certainement pas une bonne idée. Tout le monde veut votre peau, on ne sait pas trop pourquoi au début mais on va vite deviner. Surtout, au bout de quelques dialogues, on se rend compte qu’on s’en fiche royalement. Malheureusement le jeu est bavard au début des niveaux et même entre les sections d’un même niveau. Frustrant car cela brise plusieurs choses. Cela nous casse l’action non-stop de cassage de gueule de voyou mais surtout, cela réinitialise le sacro-saint compteur de combo. La dimension scoring de Midnight Fight Express est un des arguments majeurs d’intérêt et de rejouabilité. Et voir disparaître son précieux x100 car ça papote, j’avoue mon incompréhension. Heureusement, il est possible d’activer une option permettant d’accélérer les dialogues et cinématiques. Assez vite, Midnight Fight Express propose un défi de taille pour lequel personnellement je suis assez mauvais. D’ailleurs, réaliser le meilleur score ne m’intéresse que moyennement mais même sans se préoccuper de cette carotte, parcourir les 40 niveaux se fait avec un plaisir non dissimulé. La musique participe beaucoup à ça et soutient parfaitement la frénésie et la brutalité de l’action. Ce qui a le plus mis à mal les beat them up, c’est le passage à la 3D. Peu de licences ont réussi à franchir ce cap à l’époque. C’est probablement pour cela que les derniers titres ont misé sur le 2.5D ou le pixel art pour réussir à convaincre de nouveau. Jacob Dzwinel nous surprend là encore avec son choix d’un jeu développé en 3D isométrique. C’est un parti pris audacieux qui ne laisse aucune marge d’erreur au gameplay et à l’animation mais nous y reviendrons plus tard. Le level design offre des environnements variés et cohérents. Outre les rues de la ville, nous traversons les égouts, les tunnels du métro, un bar et bien d’autres lieux divers et variés. Ce n’est pas moins de 40 niveaux originaux qui nous sont proposés. Même s’ils sont tous très linéaires, l’intégration de phases de conduite coupe court à toute monotonie. La diversité conséquente des adversaires enfonce également le clou. Graphiquement Midnight Fight Express n’est pas au niveau des standards, mais sa direction artistique n’en demande pas plus pour que ça prenne. Le travail d’animation lors des phases de combat est d’une telle qualité que l’immersion devient totale malgré l’aspect graphique. Il faut d’ailleurs ajouter à cette subtile recette une bande-son électro “cyberpunkée” et des bruitages qui font mal à la mâchoire lorsqu’une dent vole à l’écran. Même s’il ne faut pas plus de 10 heures pour venir à bout des 40 niveaux du jeu, c’est en réalité plusieurs dizaines d’heures qui seront nécessaires pour compléter le titre à 100%. Chaque stage propose l’accomplissement de défis afin de débloquer des éléments de personnalisation. La recherche de collectibles au sein des niveaux est aussi au menu. Et ce n’est que le sommet de l’iceberg car l’intégration d’un classement mondial fait la part belle aux amateurs de scoring. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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