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Escafleiko

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Il y a 2 heures, GOONIES a dit :

2 Légendes s affrontent  ! 

 

Are you readdddyyyy toooo Rummmmbbblleee ? 

 

img_1_1713354661711.thumb.jpg.1d4b5fef8bb6ec1f8e2cf5a1e5a88623.jpg

Oh !!!

Balrog Vs. Tyson ^^

Je suis pas voyant mais j'ai une petite idée de l'issu de ce combat. ^^

Il y en Ă  un des deux qui va repartir avec une oreille en moins.Â đŸ€Ł

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🔰 Sorti en 2009, Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans est un RPG au tour par tour des plus classiques dans la pure veine des premiers Final Fantasy ou Dragon Quest, en plus d’ĂȘtre exclusif Ă  la Nintendo DS, berceau de pas mal de jeux de rĂŽles.
Le développement de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fût confié à Monolith Soft, studio fondé par Tetsuya Takahashi, connu pour avoir travaillé sur les graphismes des premiers Final Fantasy sur Super Nintendo comme ceux de Chrono Trigger.

 

Au vu de l’expertise du studio et sachant que cette adaptation du bĂ©bĂ© de Toriyama est une commande, il n’est pas si surprenant d’avoir affaire Ă  un RPG old school.
Puis, le choix du support DS permettait de se contenter de la 2D, rapprochant le jeu des standards qui rĂ©gnaient Ă  l’époque sur Super Nintendo.
Le rĂ©cit de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans va dĂ©buter avec l’arc du 23Ăšme Tenkaichi Budokai pour se terminer sur la confrontation entre Goku et Vegeta durant l’arc Saiyan.
Bien que l’histoire du manga soit respectĂ©e, le soft se permet quelques libertĂ©s pour le bien du rythme, mais aussi afin de gonfler un minimum la durĂ©e de vie pour tenir dans la moyenne du genre qui tourne entre 20 et 30 heures.

 

Un RPG en 2D classique, qui reprend logiquement la structure du genre, avec une map sur laquelle se trouve divers lieux emblĂ©matiques de la franchise oĂč il est possible de se balader.
Que ce soit dans une ville ou dans des zones plus dangereuses oĂč se trouveront les ennemis.
En outre, certains niveaux auront des pseudos obstacles qu’il faudra dĂ©truire avec un kikoha pour avancer.
Rien de bien folichon, alors que cela aurait pu amener des situations plus intéressantes, sachant que parfois, ce seront des éléments de glace, feu ou poison qui pourront vous obstruer la route.
Des capsules, que l’on peut collecter, vont alors servir Ă  passer ces dits obstacles plus aisĂ©ment ou ĂȘtre utilisĂ©es comme dragon radar, etc.

 

Le jeu ne sortait pas vraiment du lot comparé aux pléthores de RPG existant sur Nintendo DS.

Pourtant, rien qu’avec l’univers de Dragon Ball, sa beautĂ© et son systĂšme de combat qui retranscrit plutĂŽt bien l’essence des affrontements, le jeu possĂšde toujours ce petit truc en plus.
De mĂȘme que l’approche en Ă©quipe a du sens ainsi que l’utilisation intelligente du lore, dans les quĂȘtes comme avec le bestiaire qui va piocher dans pas mal de spĂ©cimens, populaires ou non. Preuve d’un amour sincĂšre des dĂ©veloppeurs envers la licence.
De plus, le fait que le rĂ©cit nous fasse jouer plusieurs personnages aide Ă  renouveler l’aventure.

 

Mais lĂ  oĂč le jeu s’en sort le mieux c’est dans les affrontements.
S’il est possible d’amĂ©liorer ses statistiques grĂące Ă  l’expĂ©rience gagnĂ©e ou de dĂ©bloquer et augmenter des capacitĂ©s, une des particularitĂ©s du titre est que certaines techniques sont cachĂ©es.
Le jeu propose en effet un systĂšme de combinaisons Ă  dĂ©couvrir soi-mĂȘme. En exĂ©cutant les bonnes techniques avec les bons personnages, et ce durant le mĂȘme tour, vous pouvez dĂ©verrouiller des enchaĂźnements spĂ©ciaux qui formeront de puissants combos.
Ces derniers vous gratifient d’animations rĂ©ussies qui rendent fiĂšrement hommage Ă  l’Ɠuvre. GĂ©nĂ©ralement, les affiliations vont dĂ©couler d’une association de personnages et de techniques logiques.
Enfin, plus le combat sera long et plus vos combattants seront déchaßnés.

 

Des mĂ©caniques qui profitent du fait que nous pouvons contrĂŽler jusqu’à trois hĂ©ros sur le terrain, avec la possibilitĂ© de switcher avec les autres si notre team complĂšte en inclus plus.
Cela rend les affrontements grisants et permet de profiter de la Z Team.
Notez qu’il est aussi possible de rĂ©duire les dĂ©gĂąts reçus en appuyant au bout moment sur la touche adĂ©quate.
Un moyen d’ajouter un petit peu plus de dynamisme et de pimenter l’action, bien que cela reste trùs basique.

 

Enfin, concernant la partie exploration, particuliĂšrement avec les capsules Ă  rĂ©cupĂ©rer et utiliser, s’inspirer de ce que fait Game Freak sur PokĂ©mon avec l’usage des CS semble la meilleure chose. Cela rendrait l’aventure plus immersive, plus jouissive aussi et impliquerait plus concrĂštement les joueurs et joueuses.
Notamment vis-à-vis de la narration, qui est normalement un élément important dans un RPG.
Le genre se prĂȘte bien Ă  Dragon Ball, car il peut donner une autre ampleur Ă  la saga en mettant en avant son lore comme c’est rarement le cas.
Et bien qu’on parle de reprendre l’intrigue du manga, on est tout aussi ouvert Ă  une nouvelle histoire, nĂ©anmoins cela implique un travail plus minutieux si l’on veut Ă©viter les dĂ©convenues comme le scĂ©nario autour de C-21.

 

Ce Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans regorge de bonnes choses et de bonnes intentions.
On aimerait qu’un autre jeu de la franchise prenne la relùve afin de proposer un RPG digne de ce nom.
Pouvoir un jour placer un jeu Dragon Ball Ă  cĂŽtĂ© d’un Dragon Quest sans qu’il y ait Ă  rougir.

 

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🔰 Sorti le 23 avril 2024, Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath Of The Mutants est le portage du jeu sorti sur borne d'arcade en 2017.
Sept ans plus tard, le jeu arrive sur les consoles avec du contenu supplémentaire.
Alors je ne pas y aller par quatre chemins, le jeu n'est vraiment pas fou !!!
Le jeu est mĂȘme Ă  des annĂ©es-lumiĂšre en retard face Ă  un TMNT : Shredder's Revenge crĂ©e par Dotemu en 2022 qui lui est vraiment excellent.

 

AprĂšs avoir passĂ© quelques heures sur ce Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants, je peux vous dire que le jeu sent vraiment les eaux usĂ©es, le fromage pĂ©rimĂ© et la pizza brĂ»lĂ©e, et mĂȘme si je suis un grand fan de la franchise Ninja Turtles, il y a des jeux bien meilleurs et bien plus amusants dans lesquels vous pouvez dĂ©penser votre argent.
Pour ĂȘtre franc avec vous, j'ai mĂȘme hĂ©sitĂ© Ă  faire cette vidĂ©o, tellement ce jeu fait tache avec tous les autres jeux Mutant Turtles que je vous ai prĂ©sentĂ© sur la chaĂźne jusqu'Ă  maintenant !

 

Cependant, un premier aspect apparemment positif est qu'il est clair que le classique immortel des annĂ©es 90 de Konami a Ă©tĂ© regardĂ© pour l'inspiration et la conception, mais lĂ  oĂč le crĂ©ateur de jeux japonais a livrĂ© une brillance pixelisĂ©e, le dĂ©veloppeur Raw Thrills s'est contentĂ© d'une jouabilitĂ© fade et d'une prĂ©sentation mĂ©diocre.

 

Le design est tirĂ© de la sĂ©rie Nickelodeon de 2012, et bien que le design lui-mĂȘme ne soit pas le meilleur, les graphismes ternes ne parviennent pas Ă  l'Ă©lever Ă  un niveau supĂ©rieur.
Le jeu sorti originellement en 2017 faisait dĂ©jĂ  penser au premier coup d'Ɠil, un titre sorti en 2007 pour la Nintendo Wii plutĂŽt qu'Ă  un jeu sorti sur les consoles de 8Ăšme gĂ©nĂ©ration.

 

Parce que Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants est horriblement laid et qu'il y a trÚs peu de vie ou de charme dans les environnements ou les personnages entassés à l'écran.
Il y a aussi quelque chose d'Ă©trange dans le son, car la musique est extrĂȘmement basse dans le mixage, ce qui donne une impression de platitude et de manque d'Ă©nergie.
La seule chose que l'on entend vraiment, ce sont les personnages qui lancent de temps en temps des rĂ©pliques sans queue ni tĂȘte, et lorsque ces rĂ©pliques sont accompagnĂ©es d'un silence total, le spectacle qui se dĂ©roule sous nos yeux ressemble plus Ă  une farce dĂ©rĂ©glĂ©e qu'Ă  quelque chose de palpitant et d'engageant.

 

La jouabilitĂ© elle-mĂȘme est certainement acceptable, mĂȘme si elle est extrĂȘmement dĂ©pouillĂ©e et manque d'idĂ©es.
Tu utilises le bouton (X) pour te battre (A) pour sauter et (Y) pour utiliser ta capacité spéciale.
En-dehors de cela, il y a trÚs peu de choses à suivre, et lorsque l'intelligence des ennemis est à peine présente, on a l'impression de marteler la touche (X) pour atteindre les crédits et enfin éteindre la misÚre.
De plus, tous les boss ont un pattern quasiment identique, et mĂȘme s'ils ont des apparences diffĂ©rentes, ils ajoutent rarement quelque chose de nouveau ou d'intĂ©ressant qui Ă©lĂšve l'expĂ©rience Ă  autre chose qu'un niveau trĂšs mĂ©diocre.

 

Il faut Ă©galement noter que cette aventure est incroyablement vide, puisqu'on ne nous propose que six niveaux qui peuvent ĂȘtre terminĂ©s en un peu plus d'une heure.
Bien sûr, tu peux rejouer tous les niveaux à l'infini pour obtenir un meilleur score, mais il n'y a rien qui t'encourage à revisiter chaque niveau aprÚs les avoir déjà labourés la premiÚre fois.
Bien sĂ»r, si tu aimes souffrir, tu trouveras peut-ĂȘtre un certain plaisir Ă  te tourmenter dans ce jeu d'action dĂ©cevant qui manque de polygones, mais pour tous les autres, il n'y a rien de valable ici.

 

En conclusion, je ne peux recommander Teenage Mutant Ninja Turtles Arcade : Wrath of the Mutants Ă  personne, pas mĂȘme aux fans les plus dĂ©vouĂ©s.
Bien sûr, il est possible d'y jouer sans aucun bug, mais avec un prix de 30 balles pour une heure de soi-disant "divertissement", ce n'est acceptable nulle part.
L'ensemble du produit ressemble Ă  une façon extrĂȘmement bĂąclĂ©e d'essayer de gagner de l'argent sans faire le moindre effort, et j'espĂšre que les gens ne se laisseront pas berner par le logo Turtles et n'achĂšteront pas dans l'espoir de trouver une joie nostalgique, parce qu'en ce qui concerne la joie du jeu, il n'y a certainement rien de tout cela ici.

 

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🔰 Sorti 1991 Burning Fight fut parmi les premiers titres sur MVS, ce Beat 'em all ne restera pas dans les mĂ©moires de joueurs.
SNK tente ici de surfer sur la vague initiée par Final Fight, mais ne sait visiblement pas vraiment comment s'y prendre.
Le déroulement fait en effet beaucoup penser au hit de Capcom, la maestria en moins.
Cela se sent dans beaucoup de graphismes du jeu, et plus particuliÚrement dans certains personnages qui frÎlent carrément le plagiat.
Ainsi, on a le choix entre trois protagonistes qui rappellent une fois de plus Haggar, Guy et Cody, pour permettre au joueur de choisir un combattant équilibré, ou soit plus fort mais lent et inversement.
Les diffĂ©rences s'arrĂȘtent lĂ , car les coups sont totalement identiques de l'un Ă  l'autre.

 

L'histoire prend place quand pendant des années, la famille Casterora a régné sans partage sur les rues de la ville de New-York.
Deux policiers, Duke Edwards et Billy King, ont Ă©tĂ© chargĂ©s d'enquĂȘter et de combattre ce clan mafieux.
Les Casterora ont alors joint leurs forces Ă  une autre famille du crime, basĂ©e Ă  Ôsaka au Japon : les Heiwa-Gumi.
Leur pouvoir est désormais total et seul un policier ose s'opposer à eux au Japon, c'est Ryû Saeba.
Duke et Billy dĂ©cident de se joindre Ă  lui pour combattre ces deux familles et se rendent donc Ă  Ôsaka.

 

Le jeu propose trois personnages, comme vous l'avez sans doute compris.
- RyĂ» est le policier japonais, agile mais peu puissant.
- Duke est parfaitement équilibré, ni trop lent, ni trop faible.
- Billy fait enfin office de grosse brute, il est lent, mais dispose d'une bonne puissance de frappe.

 

Le systÚme de Burning Fight est basé sur l'utilisation de trois boutons.
(A) coup de poing / ramasser une arme ou un bonus / utiliser une arme / projeter l'adversaire
(B) saut
(C) coup de pied
Eh oui, c'est l'un des rares beat them up qui permet d'effectuer un coup de pied tout en restant debout. Les armes sont nombreuses et variées : bùton, 44 Magnum, couteau, bouteille ect...
En appuyant sur (A) et (B) simultanément, on déclenche un pouvoir spécial dévastateur qui dégomme sans difficulté les adversaires qui ont le malheur de se trouver à proximité de votre personnage.
Prix à payer classique, la barre de santé diminue alors légÚrement.

 

À l'instar de son modĂšle Final Fight ainsi que de nombreux autres titres du mĂȘme genre, on aura droit Ă  des semi-boss puis Ă  des boss de fin de niveau.
Ces derniers sont assez peu impressionnants, ce qui ne les empĂȘche nullement d'ĂȘtre coriaces.

 

Au détour d'une rue, on pourra voir des portes marquées "in".
Si on y entre, on accĂšde Ă  une sorte de Bonus Stage dans lequel il s'agit de casser du mobilier dans un temps imparti.
On y gagne divers bonus donnant points ou santé.
Des policiers entrant dans des boutiques pour tout casser, on aura tout vu.
En fait il s'agit, d'aprĂšs la notice, de boutiques tenues en sous main par le clan Casterora.

 

Quelques détails amusants ont été intégrés au jeu, comme par exemple ces personnages trÚs peureux et inoffensifs, le client d'un sex-shop et un clochard ou la présence en guest star d'un clone de Hulk Hogan.

 

Burning Fight est, dans l'ensemble, trĂšs correct, mĂȘme si certains stages sont bien trop vides, ce qui est bien dommage.
Le choix de couleurs laisse aussi parfois à désirer.
Bref, on sent que ça aurait pu ĂȘtre bien mieux.
Cependant, quelques passages sont réussis, comme un superbe coucher de soleil ou une grosse BMW garée sur un quai.

 

Le jeu est assez rapide, mais que c'est mal animé !
On croirait que les personnages se sont fait un tour de rein tellement qu'ils sont raides dans leur démarche.
Tout cela manque singuliĂšrement de souplesse.
Histoire de ne pas rester sur cette impression négative, on notera quelques effets de zoom trÚs sympa pour l'apparition de certains ennemis.

 

Le son est trÚs bon niveau bruitages, avec par exemple le bruit des pas sur un escalier en métal trÚs réussi.
Pour les musiques, ça va, elles soutiennent bien l'action sans ĂȘtre exceptionnelles.

 

La jouabilité, complÚte, possÚde toutefois quelques défauts. D'abord le temps pendant lequel on peut tenir une arme est beaucoup trop court.
En effet au bout de quelques secondes le personnage la lĂąche, sans raison apparente.
Il y a également les prises au corps-à-corps, ou plutÎt la prise au corps-à-corps.
Il est dommage qu'il n'y en ait qu'une et que SNK n'ait pas copié Capcom sur ce point en allouant à Billy plus de variété dans ce domaine.
Enfin, les coups sautĂ©s sont disposent d'une fenĂȘtre de collision ridiculement courte est bien les placers deviens une vraie gageure.
Tout cela fait que Burning Fight aurait pu ĂȘtre bien meilleur Ă  ce chapitre, mĂȘme s'il reste dĂ©foulant et rĂ©pond bien.

 

Burning Fight ne fait que reprendre pour lui des bases posées par Double Dragon et Final Fight.
Visiblement mal ingurgitées et mal gérées sur la jeune MVS, le plaisir de jeu peine à se faire ressentir, réservant cette cartouche aux seuls fans de beat'em all purs et durs.

 

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🔰 CrĂ©e par Axander en 2022 Street Fighter X Tekken est l'adaptation du jeu Ă©ponyme conçu avec M.U.G.E.N le moteur de jeu de combat 2D conçu par Elecbyte, le tout codĂ© en C en utilisent la library Allegro.
Le jeu reprend la totalité du roster vu sur le jeu d'origine en y ajoutant quelques guest, soit 68 personnages en tout :
33 personnages issus de l'univers de Street Fighter.
35 personnages issus de l'univers de Tekken.

 

DiffĂšrent modes de jeux son disponible :
Arcade.
Vs Mode.
Team Arcade.
Team Vs.
Team CO-CP.
Survival.
Survival CO-OP.
Training.

 

Le gameplay de tous les personnages est calqué sur celui de Street Fighter à savoir :


Shoto :
Archetype de combattants utilisant le Karate Shotokan.
Ryu et Ken en sont l'exemple.
Donc tout perso qui a un dragon, une boule et des coups de ce type.

 

Grappler :
Personnage a choppe comme Zangief ou Manon.

 

Rekka :
Personnage qui peu cancel un special par un autre special.
Le plus gros exemple dans Street Fighter c'est Fei long.

 

Zoners :
Personnage qui zone, qui garde l'adversaire a distance, par son jeu de boule ou par son excellence dans le neutral game.

 

Mixup :
Personnages dont beaucoup de ses phases sont des 50/50, te poussent a faire un choix.

 

Rushdown :
Personnage trĂšs offensif, qui te met la pression en permanence.

 

Chacun des personnages possÚde ses propres caractéristiques.
Résistance : Capacité à encaisser les coups, seuls ou en combo.
Saut : Hauteur du saut et les capacités offensives et défensives aériennes.
Vitesse : Vélocité dans les déplacements à terre et aérien.
Technique : Efficacité, diversité et utilisation de la panoplie de coups (hors spéciaux).
Coups spéciaux : Efficacité, diversité et utilisation des coups spéciaux uniquement.
Portée : Allonge globale des coups, hors spéciaux.
Corps-à-corps : Capacité à livrer un combat à cette distance.
Mi-distance : Capacité à livrer un combat à cette distance.
Longue Distance : Capacité à livrer un combat à cette distance.

Enfin, pensez Ă  vous essayer avec tous les personnages, mĂȘme si certain semblent moins performants sur le ring.
En effet, à quelque chose prÚs, tous se valent, seul le gamer fait la différence.

 

Un combat peut se négocier de plusieurs façons différentes.
À commencer par la distance de combat, c'est-Ă -dire la distance qui nous sĂ©pare de l'adversaire, et qu'on s'efforcera de conserver.

 

Le combat à longue distance ne s'emploie que pour les personnages possédant des tirs à distance. Cependant, il n'est pas possible de le tenir à l'autre bout de l'écran indéfiniment, et celui-ci finira par réduire la distance de combat.
Il est alors nécessaire de savoir le repousser, pour restaurer la distance voulue.
Les contre-sauts et Battle Lead sont donc des techniques indispensables Ă  maĂźtriser pour se battre Ă  longue distance.

 

Le combat mi-distance plus technique, c'est généralement la distance de combat la plus utilisée, car la plus instinctive et la moins difficile à maßtriser.
Elle est différente d'un personnage à un autre, puisqu'elle correspond à un saut du rival.
Mais la distance aidant, les assauts aériens seront nombreux, et il est impératif de maßtriser les anti-sauts et les Reversal Attacks en cas de coup dur.
En d'autres termes, cette distance de combat est plus expéditive que la longue, mais aussi plus exposée.

 

Le combat au corps-à-corps le derniÚre distance de combat, elle est à réserver aux Roxors.
D'ailleurs, c'est souvent les combats Ă  cette distance qui sont les plus palpitants Ă  vivre et Ă  regarder.
L'obligation premiĂšre de cette distance de combat est de rester au contact, comme son nom l'indique.
Étouffer l'adversaire, ne pas lui laisser le temps de souffler et de rĂ©flĂ©chir, l'assaillir de coups. Attention cependant, car cette distance de combat n'a rien de bourrin, puisqu'un bon gamer repousse en deux temps trois mouvements mal gĂ©rĂ©s.

 

Ayant une hitbox au pixel prÚs, Street Fighter X Tekken est un excellent M.U.G.E.N car trÚs technique avec une difficulté accru surtout en difficulté de niveaux 8.
Je dis souvent qu'une journée d'entraßnement sur Street Fighter X Tekken M.U.G.E.N en difficulté de niveaux 8, vaut une semaine d'entraßnement sur un Street Fighter de Capcom.
MĂȘme si le jeu n'atteint pas le niveau d'excellence d'un M.U.G.E.N : Hyper Dragon Ball Z dans sa version FP, il en reste pas moins un des meilleurs jeu de versus fighting jamais crĂ©e avec ce moteur graphique.

 

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🔰 CrĂ©e en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adaptĂ© du Manga crĂ©e en 1983 par Tetsuo Hara.
Ce Hokuto no Ken M.U.G.E.N est en fait le portage de Hokuto no Ken Fighting sorti en 2007 sur PlayStation 2, qui est lui-mĂȘme le portage de Fist of the North Star sorti en 2005 sur borne arcade Atomiswave et comme dans le jeu d'origine crĂ©e par Arc System Works, ce M.U.G.E.N possĂšde des sprites de grande tailles avec une trĂšs grande finesse.

 

Cependant, deux choses séparent les trois versions :

PremiÚrement, l'ajout d'un personnage supplémentaire, à savoir Shu qui est absent de la version Atomiswave ainsi que la version PlayStation 2.

Secondement, la vitesse de jeu paramétrable, ce qui n'est pas possible sur la version Atomiswave et PlayStation 2.

Ainsi, la version M.U.G.E.N est bien plus pĂȘchu !

Toutefois, on déplorera qu'aucune scÚne d'introduction tirée de l'animé en guise d'opening ne soit présente dans cette version M.U.G.E.N

 

Le jeu propose de retrouver une grande partie des personnages principaux vus dans le Manga :
Kenshiro.
Heart.
Yuda.
Rei.
Shu.
Jagi.
Mamiya.
Shin.
Toki.
Souther.
Raoh.

 

Le jeu se joue à la façon d'un Guilty Gear, avec 4 boutons :
Low Punch.
High Punch.
Low Kick.
High Kick.
Les coups spéciaux s'effectue avec LP/HP, LK/HK, LP/LK et HP/HK.

 

Du point de vue de l'animation, que dire si ce n'est que les personnages ont un beau balai dans le derriĂšre.
On est à des années lumiÚres de la fluidité d'un Street Fighter III 3rd Strike.
En mĂȘme temps, çà ne dĂ©range pas du tout, au contraire je trouve que çà reste fidĂšle Ă  l'esprit de Ken.
Une animation ultra fluide, aurait dénaturé l'anime, point de vue personnel.
Les différents effets, chorégraphies des coups etc... sont excellents !
Aucun bug n'est Ă  signaler aprĂšs pas mal d'heures de jeu.
Bref la conversion de Arc System Works à M.U.G.E.N s'est trÚs bien passée !

 

Musicalement, c'est pas mal, mais en dessous de la version de Arc System Works.
Par contre toutes les voix originales de la série japonaise sont bel et bien présente, et c'est ce qui pour moi renforce largement l'immersion quand on joue à ce jeu.

 

Je vais vous faire un petit topos sur les différents stages :

 

Village de Lin :
C'est le stage de Mr Heart et de Kenshiro.
C'est bien dommage que Ken n'a pas son propre stage !
Il s'agit du village oĂč Ken affronte Zeed, lors du premier Ă©pisode de l'anime.
(À noter que la ressemblance n'est pas flagrante, et que les persos du fonds sont mal animĂ©s.)

 

Southern Cross :
Le palais de Shin, dans la ville qu'il a fait construire pour Yuria, Ă  savoir la croix du sud.
Un stage important dans la série et bien retranscrit dans le jeu.
Yuria est présente au second plan.

 

Village de Mamiya :
C'est la fontaine souterraine du village de Mamiya, lĂ -mĂȘme oĂč elle rencontrera Rei pour la premiĂšre fois, et lĂ  aussi oĂč Ken soigna les yeux d'Aili.
D'ailleurs les 2 tourtereaux se partagent le stage.
Un superbe level !

 

Héliport :
C'est l'endroit choisi par Jagi pour affronter Ken.
Que dire si ce n'est que là encore les graphismes sont là encore de qualité.

 

Palais de Juda :
L'endroit mĂȘme oĂč Juda sĂ©questre ses femmes.
D'ailleurs, elles sont présentes dans le jeu.
Je ne trouve pas ce stage trÚs fidÚle à la série puisque je n'ai pas un grand souvenir de cette salle.

Par contre, mention spéciale, au UD dont le sol est frappé.

 

La pyramide le l'empereur :
Tout simplement le meilleur stage pour moi !

 

La cascade :
Le lieu du combat Toki/Raoh et accessoirement le lieu de leur premiĂšre rencontre avec Ryuken.
On voit d'ailleurs les tombes de 2 frĂšres ainsi que des parents de leurs parents.
Un stage absolument magnifiquement dessiné, et trÚs gai pour une fois.

 

Temple du Hokuto Shinken :
Le lieu de la confrontation finale entre Ken et Raoh !
Un stage somptueux.

 

On y retrouve les différents modes de jeux typique aux jeux M.U.G.E.N  :
Arcade.
Vs Mode.
Team Arcade.
Team Vs.
Team CO-CP.
Survival.
Survival CO-OP.
Training.

 

Pour conclure, Hokuto no Ken M.U.G.E.N reste un jeu de baston 2D solide, à la réalisation certes facile puisque copié sur Guilty Gear mais qui devrait titiller la fibre nostalgique des vieux briscards habitués au stick et élevés aux dessins animés japonais diffusés le mercredi aprÚs-midi durant le Club Dorothée.

 

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il y a une heure, akumasan a dit :

Crée en 2020 par Mugenation, Hokuto no Ken est un jeu de versus fighting adapté du Manga crée en 1983 par Tetsuo Hara

 

Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga.

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il y a une heure, Minou33 a dit :

Et pourquoi à aucun moment tu ne parles de la version dispo sur Atomiswave????? A mon humble avis, la source d'inspiration est également là! Et les musiques bien + punchy et aggressives sur ce support, à l'image du manga.

Tout simplement parce que j'avais oublié la version Arcade sur Atomiswave lors de la rédaction de ce test.

C'est vrai que cette version Arcade ne s'appelle pas Hokuto no Ken Fighting, mais Fist of the North Star, et j'ai connu Hokuto no Ken Fighting (PS2) avant la version originale sorti sur Atomiswave.

Je pense que c'est pour ça que je l'ai omise.

Mais je vais rĂ©parer ce malencontreux oubli de suite. 😉

Mea Culpa. 

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  • 1 month later...

🔰 Sorti en 2014 The Legend of Korra est un beat 'em all, mais Ă  la façon PlatinumGames, ce qui densifie quand mĂȘme un genre bien engoncĂ© dans des mĂ©caniques souvent dĂ©suĂštes et rĂ©pĂ©titives.

Cet aspect répétitif, il n'y échappe pas, surtout que bien qu'affichant un style chatoyant proche du dessin animé, les décors sont un peu vides, jolis dans le style, mais sommaires.
Mais ce qui accroche d'emblée avec ce titre, c'est son systÚme de combat, que l'on aimerait bien voir de nouveau ailleurs.
Il est question de combos dans The Legend of Korra, mais aussi de contres, qui figent le temps un instant pour infliger, par une direction donnĂ©e au stick, un coup dĂ©vastateur Ă  son ennemi direct ou mĂȘme une multitude.
On enchaĂźnera aussi les feintes face aux adversaires les plus coriaces.
Coups faibles et coups forts sont à utiliser en alternance, tout comme les quatre pouvoirs élémentaires.

 

À la base The Legend of Korra est la sĂ©rie animĂ©e de Nickelodeon qui fait suite Ă  Avatar : Le Dernier maĂźtre de l’air.
Pour ceux qui ne connaissent pas, un rapide résumé.
Le monde est divisé en quatre grandes nations, qui vénÚrent et maßtrisent chacune un élément : 
Feu.
Eau.
Terre.
Air.
Une seule personne au monde est capable de maĂźtriser les quatre Ă©lĂ©ments : l’Avatar.
Dans la premiĂšre sĂ©rie, celui-ci se nomme Aang et est nĂ© dans la nation de l’Air.
Chaque Avatar naĂźt dans un pays diffĂ©rent, ainsi, l’équilibre est maintenu.
Malheureusement, peu de temps aprĂšs son ascension au rang d’Avatar, il est attaquĂ© par le Seigneur du Feu, actuel dirigeant de l’empire du Feu.
Ce dernier a décidé que pour que le monde connaisse la paix, il faut que le monde entier soit sous sa gouverne.
Il part donc en conquĂȘte et commence par attaquer l’Avatar afin que le seul ĂȘtre capable de le vaincre soit enfermĂ© et sous son contrĂŽle.
Cet Avatar est cependant perdu dans la glace et va dormir pendant cent ans, menant à la série animée.

 

Certains passages font grandement dans la plate-forme, nous obligeant à sauter sur des rebords parfois assez mal définis, ou dans des morceaux de niveau en deux dimensions, déjà beaucoup moins bancals.
Mais c’est surtout les niveaux de courses Ă  dos de Naga, le chien ours polaire de Korra, qui demandent plus de rĂ©flexes.
En effet, dans ceux-ci, l’animal avance automatiquement, vous devrez donc esquiver les diffĂ©rents obstacles.
Que ce soit en sautant, en frappant des ennemis ou en glissant sur le sol, tout vous sera utile.
Ces niveaux se basent uniquement sur vos rĂ©flexes et nĂ©cessitent que vous soyez attentif ou que vous ayez la capacitĂ© de vous souvenir du parcours entre chaque checkpoint aprĂšs ĂȘtre mort plusieurs fois.

 

Le Pro-Bending est également de la partie avec un mode à part entiÚre.
Qu’est-ce que le Pro-bending ?
Un trois contre trois un maitre du feu, un de l’eau et un de la terre, dans une arùne.
L’arĂšne est divisĂ©e en six zones : trois rouges (votre Ă©quipe) et trois bleues.
Quand vous faites reculer les trois adversaires d’une zone, vous en prenez possession.
Pour gagner, il faut soit Ă©jecter tous vos adversaires de l’arĂšne, soit gagnĂ© trois rounds contre eux (maĂźtriser plus de zones qu’eux Ă  la fin des trois minutes de chaque round).

 

A cela, on peut ajouter une toute petite galerie, présentant les trésors que vous aurez ramassés dans le jeu.
Également, un magasin vous permettra d’acheter des objets de soin, des combos ou des artefacts permettant de modifier l’expĂ©rience de jeu.
Ceux-ci rendront le jeu plus dur (Expérience multipliée par deux, mais vie divisée par autant.)
Ou plus simple (possibilité de contre lorsque vous prenez une attaque).
Les objets et artefacts doivent ĂȘtre Ă©quipĂ©s pour ĂȘtre utilisĂ©s.
(Korra vous le rappellera bien assez lorsque vous serez sur l’écran correspondant.)
Les premiers seront utilisables d’une pression de la direction Ă  laquelle ils sont assignĂ©s, et les deuxiĂšmes seront activĂ©s tant qu’ils seront Ă©quipĂ©s.
Il est possible de dĂ©sĂ©quiper tout cela en plein combat, d’une simple pression du bouton correspondant.

 

Les graphismes en Cel-Shading rendent honneur Ă  la sĂ©rie, mĂȘme si les cinĂ©matiques ne sont pas parfaites et la musique colle Ă  l’univers.
De plus, ce sont les vrais doubleurs de la sĂ©rie qui sont ici en action, respectant parfaitement l’univers.
Si les fans de la série auraient certainement voulu que l'adaptation de La Légende de Korra par PlatinumGames ait plus d'envergure, à prendre pour ce qu'il est, un petit jeu pas cher, aux combats plaisants grùce aux contres et aux quatre pouvoirs élémentaires, The Legend of Korra s'en tire honorablement.
On apprécie aussi l'histoire à suivre avec de nombreuses scÚnes animées.
The legend of Korra est beat 'em all plutÎt sympa et les développeurs de chez PlatinumGame n'a pas voulu faire un Bayonetta Bis, mais plutÎt un jeu accessible aux mécaniques simple.

 

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  • 2 weeks later...

🔰 Sorti en 2015 cette derniùre version de Dead or Alive 5 appeler Last Round n’apporte finalement pas grand-chose par rapport à la version original.
Selon ses dĂ©veloppeurs, le moteur a subi un petit changement nommĂ© le Soft Engine, afin de rendre l’affichage de la peau des combattants plus naturel et doux, mais force est de constater qu’il ne s’agit que d’un simple lissage des textures et d’un Ă©clairage moins forcĂ©.
Pour le reste, on peut dire qu’il est toujours plaisant Ă  l’Ɠil, mĂȘme si l’on sent qu’il s’agit d’un portage rapide et non d’une rĂ©elle recrĂ©ation.

 

Il faut dire que le jeu ne me fera pas mentir, et pour cause, lorsque je parle de portage rapide, je pĂšse mes mots.
Dead or Alive 5 Last Round ne profite pas du boost de puissance des PC et des consoles de 8Ăšme gĂ©nĂ©rations pour ĂȘtre plus optimisĂ©, il est toujours aussi lent Ă  charger, ce qui est un peu frustrant dans un jeu de combat oĂč il est important de pouvoir enchaĂźner trĂšs rapidement les sĂ©lections de personnages et les matchs.

 

Pour cette dĂ©clinaison, au-delĂ  de sa petite option de customisation permettant d’influer sur les accessoires de ses combattants comme des lunettes, coupe de cheveux, petit masque, ect...
Ce sera l’occasion de profiter des personnages vendus jusque-lĂ  en DLC ainsi que de la majoritĂ© des costumes alternatifs disponibles sur les magasins en ligne. 
MajoritĂ©, car certains sont encore Ă  rajouter, moyennant un petit passage Ă  la caisse, et que d’autres sont prĂ©vus dans le futur.

 

NĂ©anmoins, bien que dĂ©testant ce genre de pratiques, je me questionne sur le bien-fondĂ© de la critiquer avec Dead or Alive puisqu’en vĂ©ritĂ©, tout acheteur de ce soft sait Ă  quoi s’attendre sur ce terrain, DOA 5 n’ayant jamais fait dans la dentelle (sauf avec ses modĂšles) en matiĂšre de DLC. L’éditeur n’a d’ailleurs jamais essayĂ© de se cacher de cette pratique, elle fait partie intĂ©grante du jeu. 

 

On regrettera simplement que la nouvelle gĂ©nĂ©ration n’ait pas Ă©tĂ© l’occasion pour la Team Ninja de rendre tout ça encore plus joli.
Il n’empĂȘche que Last Round reste un jeu de combat entre potes, sans prises de tĂȘte, parfait de par son gameplay organisĂ© sur un principe de pierre/feuille/ciseau (les coups gagnent sur la projection, qui gagne sur le contre, qui gagne sur les coups) qui permet Ă  n’importe quel novice de prendre la manette et de s’amuser lors d’une soirĂ©e, de par la variĂ©tĂ© des combattants et de leurs costumes aussi sexy que loufoques, et de par ses possibilitĂ©s pour le joueur solo qui s’amusera Ă  tout dĂ©bloquer avant de partir Ă  l’aventure en ligne.

 

DOA 5 Last Round est donc une version loin d’ĂȘtre exempte de reproches, nĂ©anmoins, il reste un trĂšs bon titre accessible et fun, dĂ©sormais disponible avec le plus de contenu possible pour une nouvelle gĂ©nĂ©ration de joueurs.

Difficile de dire non.

 

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  • 4 weeks later...
Il y a 1 heure, Zaito a dit :

En jeu de baston j'attend Dragon Ball Sparking Zero, je ne sais pas si je suis le seul.

 

 

 

Non, tu n'es pas le seul, car cela fait 17 ans que j'attends une suite Ă  Dragon Ball Budokai Tenkaichi 3.

Donc il est sûr que j'aurai Sparing Zero day one. ^^

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  • 1 month later...

🔰 Sorti en 2008, Oriental Legend 2 est un beat 'em all dĂ©veloppĂ© par IGS pour le systĂšme arcade PolyGame Master 2, appelĂ© sobrement le PGM2.
Oriental Legend 2 n'est pas vraiment la suite du premier opus sorti en 1997.
Il s'agit plutÎt d'une refonte totale du premier jeu avec un tout nouveau moteur graphique, un gameplay beaucoup plus nerveux et avec une durée de vie bien supérieure au premier opus.
Comme dans le premier opus, le jeu s'inspire dans les grandes lignes du roman chinois de Wu Cheng'en intitulé "La Pérégrination vers l'Ouest" mais également connu sous le titre "Le Voyage en Occident ou encore "Journey to the West" dans la langue de Shakespeare.

 

Pour cette session et pour faire un petit clin d'Ɠil à la sortie de Black Myth Wukong, j'ai choisi de jouer Wukong le Roi Singe, personnage principal du jeu et personnage principal du roman de Wu Cheng'en.
Wu Kong ou Singe conscient de la vacuitĂ©, est nĂ© d’un Ɠuf pondu par une pierre fĂ©condĂ©e par le ciel et la terre.
Immortel et dotĂ© de pouvoirs phĂ©nomĂ©naux pour le Kung-Fu, il se rebelle contre le ciel, ce qui lui vaudra 500 ans d’emprisonnement sous la paume de Bouddha.
Wukong est considéré comme un roi par les autres singes.
Il est facĂ©tieux, colĂ©rique, rusĂ© et il recherche l’immortalitĂ©.
D’ailleurs dans l’Ɠuvre originale, il devient tellement prĂ©tentieux que Bouddha en personne l’emprisonne dans une montagne histoire de lui calmer les nerfs.
Arrogant, impulsif et facĂ©tieux, Wukong est le symbole du mauvais garçon, il s’assagira Ă  l’issue du pĂšlerinage atteignant l’illumination.

 

Le soft propose trois modes de jeu :
-Le mode Plot : ce mode propose sept stages avec un niveau de difficulté standard conçu pour les joueurs qui veulent découvrir l'histoire des personnages.
-Le mode Online Ranking : qui est un mode plus difficile du jeu, il se déroule en huit étapes qui, une fois terminé, fournirent au joueur un code à saisir sur le site officiel d'IGS afin de partager son classement en ligne.
-Et enfin le Challenge Boss : qui, comme son nom l'indique, est une sorte de "Time Attack" oĂč les joueurs sont mis au dĂ©fi de vaincre, Ă  la suite, tous les boss du jeu en un minimum de temps.

 

Le roster complet se compose de dix personnages, dont cinq personnages venant du premier opus :
-Wukong.
-Bajay.
-Wujin.
-Purple.
-Chang Er.

 

Pour cette nouvelle aventure, ils sont rejoints par trois nouveaux venus, Ă  savoir :
-Er Lang.
-Drakan.
-Iron Fan.

 

Et deux autres personnages peuvent ĂȘtre dĂ©bloquĂ©s aprĂšs avoir terminĂ© le jeu une fois :
-Xuan Zan.
-Zhi zhu.

 

Comme l'opus de 1997, il s'agit toujours d'un beat 'em all Ă  scrolling horizontal pouvant accueillir jusqu'Ă  quatre joueurs.
Mais la comparaison s'arrĂȘte lĂ , car cette fois-ci, la prise de XP des personnages est une caractĂ©ristique majeure du gameplay dans Oriental Legend 2.
Au fur et à mesure de la progression, on gagne de l'expérience en vainquant des ennemis et, en montant de niveau, on gagne des coups spéciaux, ainsi les personnages de niveau inférieur ayant beaucoup plus de chances d'avoir du mal à vaincre les boss de fin de partie.

 

Petit détail sympa, la borne arcade de Oriental Legend 2 fut la premiÚre borne à prendre en charge un lecteur de cartes à puce ressemblent à une carte bancaire en guise de carte mémoire.
En achetant celle-ci dans les salles d'arcade, les joueurs avaient la possibilité de sauvegarder la progression de leur personnage dans les différents stages ainsi que les objets gagnés pendant les sessions de jeu.

 

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🔰 DeuxiĂšme partie et fin de l'histoire de MĂ©cha-Naruto.

Mécha-Naruto était une réplique mécanisée de Naruto Uzumaki qui apparaßt dans les épisodes exclusifs à l'anime et Naruto Shippûden Ultimate Ninja Storm REVOLUTION.

 

Mécha-Naruto était une création d'Orochimaru créée afin d'aspirer le bijû de Naruto, c'est-à-dire Kyûbi, mais l'invention tourna au désastre, Mécha-Naruto se déchaßna en détruisant tout sur son passage.

Pain retrouva les restes de Mécha-naruto dans le repaire effondré d'Orochimaru, et comprenant que ce dernier cherchait à nuire à l'Akatsuki en les privant du Kyûbi, Pain prit les plans de mécha-Naruto et le répara à l'aide du Roi des enfers de JigokudÎ. Puis il demanda à Itachi de tester Mécha-naruto en lui faisant extraire totalement le Kyûbi du corps de Naruto.

Mécha-Naruto fut montré à l'origine comme étant sauvage, attaquant sans réfléchir tout ce qui se trouvait sur son passage. Mécha-Naruto devint déterminé à capturer Kurama pour l'Akatsuki.

 

Il Ă©tait implacable dans sa quĂȘte de Kurama, dĂ©truisant tout ce qui Ă©tait sur son chemin.

En dépit de cette programmation, Itachi programma secrÚtement des ordres supplémentaires : si Naruto était dévoué à sauver Sasuke de sa haine, Mécha-Naruto se rangerait du cÎté de Naruto.

 

AprÚs l'activation de ces nouvelles directives, Mecha-Naruto vint aider Naruto dans la bataille et se sacrifia volontairement pour protéger le village de Naruto. Mécha-Naruto ressemble à Naruto avec des rivets sur tout le corps. Son bandeau mécanique, qui porte habituellement le nombre « 7610 » peut changer dÚs qu'il le souhaite pour afficher divers mots ou phrases. Il a des mitraillettes intégrées, il peut se transformer en jet super rapide, en 4x4 tout-terrain, il a des sabres lasers et des yeux lasers.

 

Il peut aussi se transformer en armure pour ĂȘtre portĂ©e par une personne.

Il peut voler Ă  l'aide d'un propulseur et peut changer tout son corps en arme.

Il a aussi et surtout la capacité d'absorber ou de relùcher le chakra d'un bijû.

En relùchant tout son chakra de bijû, il crée une énorme Orbe des Démons à Queues capable de tout détruire, mais qui le vide de tout son chakra.

Comme tout jinchûriki ou pseudo-jinchûriki, l'extraction totale de son bijû est mortelle pour Mécha-Naruto.

 

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🔰 Sorti en 2022, Midnight Fight Express propose un grand dĂ©fouloir et un dĂ©fi de taille pour les aficionados de beat 'em all bien pĂȘchu.
Les p'tits gars de la team Jacob Dzwinel ont crĂ©e un trĂšs bon beat 'em all des familles tandis que les autres y verront un agrĂ©able jeu d’action au systĂšme de combat nerveux et profond.
Quelques Ă©lĂ©ments font penser Ă  Sifu, mais avec une vue du dessus, un angle de camera qui se prĂȘtent bien Ă  l'action.
Le jeu propose une aventure sans doute moins iconique, mais surtout moins frustrante, avec plus de variété dans ses affrontements ainsi que dans la mise en scÚne de son scénario. 

 

Ce qui m’a frappĂ© dans les premiers instants de Midnight Fight Express, c’est l’atmosphĂšre barrĂ©e, dĂ©calĂ©e et atypique qui s’en dĂ©gage.
A certaine moment, j’avais l’impression de redĂ©couvrir l’univers de Sifu et ses mĂ©caniques, mais vu sous un autre angle !
Un hĂ©ros anonyme, un donneur d’ordre surprenant, des masques, et surtout une tendance certaine Ă  s’en prendre Ă  toute la racaille locale.
Car c’est une vĂ©ritable plongĂ©e dans les bas-fonds que nous offrent ce titre.
Je ne sais pas si le scénario se déroule sur une seule nuit mais cette fuite en avant sans limite, dans les quartiers les plus mal famés ou les plus clichés fait son petit effet.
L’action s’avĂšre aussi implacable que frĂ©nĂ©tique oĂč pendre le temps de trop rĂ©flĂ©chir n’est certainement pas une bonne idĂ©e.

 

Tout le monde veut votre peau, on ne sait pas trop pourquoi au dĂ©but mais on va vite deviner. Surtout, au bout de quelques dialogues, on se rend compte qu’on s’en fiche royalement. Malheureusement le jeu est bavard au dĂ©but des niveaux et mĂȘme entre les sections d’un mĂȘme niveau.
Frustrant car cela brise plusieurs choses.
Cela nous casse l’action non-stop de cassage de gueule de voyou mais surtout, cela rĂ©initialise le sacro-saint compteur de combo.
La dimension scoring de Midnight Fight Express est un des arguments majeurs d’intĂ©rĂȘt et de rejouabilitĂ©. Et voir disparaĂźtre son prĂ©cieux x100 car ça papote, j’avoue mon incomprĂ©hension. Heureusement, il est possible d’activer une option permettant d’accĂ©lĂ©rer les dialogues et cinĂ©matiques.

 

Assez vite, Midnight Fight Express propose un défi de taille pour lequel personnellement je suis assez mauvais.
D’ailleurs, rĂ©aliser le meilleur score ne m’intĂ©resse que moyennement mais mĂȘme sans se prĂ©occuper de cette carotte, parcourir les 40 niveaux se fait avec un plaisir non dissimulĂ©.
La musique participe beaucoup Ă  ça et soutient parfaitement la frĂ©nĂ©sie et la brutalitĂ© de l’action. 

 

Ce qui a le plus mis à mal les beat them up, c’est le passage à la 3D.
Peu de licences ont rĂ©ussi Ă  franchir ce cap Ă  l’époque.
C’est probablement pour cela que les derniers titres ont misĂ© sur le 2.5D ou le pixel art pour rĂ©ussir Ă  convaincre de nouveau.
Jacob Dzwinel nous surprend lĂ  encore avec son choix d’un jeu dĂ©veloppĂ© en 3D isomĂ©trique.
C’est un parti pris audacieux qui ne laisse aucune marge d’erreur au gameplay et à l’animation mais nous y reviendrons plus tard.

 

Le level design offre des environnements variés et cohérents.
Outre les rues de la ville, nous traversons les Ă©gouts, les tunnels du mĂ©tro, un bar et bien d’autres lieux divers et variĂ©s.
Ce n’est pas moins de 40 niveaux originaux qui nous sont proposĂ©s.
MĂȘme s’ils sont tous trĂšs linĂ©aires, l’intĂ©gration de phases de conduite coupe court Ă  toute monotonie.
La diversité conséquente des adversaires enfonce également le clou.

 

Graphiquement Midnight Fight Express n’est pas au niveau des standards, mais sa direction artistique n’en demande pas plus pour que ça prenne.
Le travail d’animation lors des phases de combat est d’une telle qualitĂ© que l’immersion devient totale malgrĂ© l’aspect graphique.
Il faut d’ailleurs ajouter Ă  cette subtile recette une bande-son Ă©lectro “cyberpunkĂ©e” et des bruitages qui font mal Ă  la mĂąchoire lorsqu’une dent vole Ă  l’écran.

 

MĂȘme s’il ne faut pas plus de 10 heures pour venir Ă  bout des 40 niveaux du jeu, c’est en rĂ©alitĂ© plusieurs dizaines d’heures qui seront nĂ©cessaires pour complĂ©ter le titre Ă  100%.
Chaque stage propose l’accomplissement de dĂ©fis afin de dĂ©bloquer des Ă©lĂ©ments de personnalisation.
La recherche de collectibles au sein des niveaux est aussi au menu.
Et ce n’est que le sommet de l’iceberg car l’intĂ©gration d’un classement mondial fait la part belle aux amateurs de scoring.

 

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