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Messages recommandés

Il y a 2 heures, Bibinou67 a dit :

et me voilà à nouveau d'attaque ⚔️ pour dévorer des minous

 

Gaffe, sur ma vieille carne tu risquerai de t'y casser les dents (du moins les 2 chicots proéminents caractéristiques des enfants de la nuit amateurs de sang.....bordel de miaou, le printemps des poètes est en moi!!!)

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On revient au topic avec une p'tite donzelle armée jusqu'au dents qui va faire de l'ombre à Billy (euh non 😅malheureusement) il s'agit juste d'une pâle copie de CONTRA dont la jouabilité difficile ne convint pas, mais qui a le mérite de pouvoir tourner sur n'importe quel configuration.

 

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#avis au masochistes 😂 🤣

 

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Il y a 3 heures, Bibinou67 a dit :

il s'agit juste d'une pâle copie de CONTRA dont la jouabilité difficile ne convint pas

on dirait qu'une simple retouche sur le level design pourrait rendre le jeu plus jouable. ça se joue à pas grand chose, je pense.

D'ailleurs, en parlant de calibrage, je pense direct à ce jeu:

 

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🔰 Disponible depuis le 12 Mars 2024, c’est par l’intermédiaire des très appréciés développeurs de chez WayForward que cette relecture de Contra a été rendue possible.

Konami revient doucement mais sûrement dans le secteur du jeu vidéo et lorsqu’on a fait partie des minots, puis ados des années 90 ayant connu son âge d’or, on est ravis de revoir l’éditeur de manière régulière sur nos machines.

Après de plutôt bonnes compilations consacrées à Castlevania ou encore à Metal Gear, c’est au tour de la saga Contra de reprendre les armes pour un opus totalement inédit qui prendra la forme d’un remake du tout premier épisode de la licence sorti en 1987 en arcade.

 

On ne va pas se mentir, réimaginer un titre arcade de presque 40 ans et qui se terminait en 20 minutes chrono relevait d’un petit défi pour les développeurs. Impossible pour eux de s’en tenir uniquement à cette version de référence si bien que pour parvenir à livrer un jeu suffisamment consistant, ils ont mixé parfaitement leur jeu avec la version sortie un an après sur NES en y ajoutant quelques passages cultes qui viennent de la Super Nintendo mais aussi la Megadrive, de la DS, ce qui permet de balayer un large spectre de la saga !

 

Avec 8 stages et un petit peu plus de boss, Contra Operation Galuga s’étale sur deux heures en solo où vous devrez repousser comme à l’habitude l’invasion de la planète par les aliens.
Alors que le groupe terroriste du Red Falcom a envahi la terre par les Îles Galuga au large de la Nouvelle Zélande, Bill Rizer et Lance Bean de l’unité d’élite Contra sont envoyés sur place pour protéger l’humanité.
Si le scénario est typique des productions vidéoludiques de l’époque et des nanars des années 80, il est indéniable de ne pas mentionner les nombreux efforts faits par WayForward pour ajouter une couche narrative au titre.


Entre chaque mission, on a droit à quelques cutscenes, parfois en écrans fixes avec des dialogues doublés en anglais, parfois avec le moteur du jeu, et même dans un format bande dessiné lors de l’épilogue !
L’histoire a sans spoiler été un peu complexifiée et si on est très loin d’être sur un chef-d’œuvre, c’est l’un des Contra oldschool les plus scénarisés de la série !

Si WayForward sait parfaitement que c’est dans les vieux titres que l’on fait les meilleurs gameplay, en tant que spécialistes des jeux néo-rétro, les développeurs ont bien évidemment ajouté une touche de modernité aux compétences de nos héros histoire que ceux qui découvrent la saga puissent prendre du plaisir sans que cela soit trop punitif !

 

Si le genre porte le nom du Run & Gun ce qui résume assez bien ce qu’il faut faire dans un jeu Contra, on peut bien évidemment sauter et alterner entre nos différentes armes comme c’est inscrit dans l’ADN de la série !
On commence donc avec les deux personnages de bases que sont Bill et Lance et on débloque au fur et à mesure les Probotectors de la version européenne des jeux d’époque, ainsi que les autres protagonistes du titre au fur et à mesure de l’avancée dans l’histoire !

Chacun peuvent bénéficier de leurs compétences propres telles que le saut, le double saut, un grappin, la possibilité de voler un court instant en plus de disposer d’un dash très utile qui dynamise les mouvements du soldat !


En fonction de votre skill, vous gagnerez plus ou moins de pièces permettant de débloquer via une boutique, tout un tas d'atouts pour faire et refaire le jeu dans les différents modes de difficulté ! Invincibilité temporaire, armes upgradées, vie supplémentaire, point de vie en plus, etc..
Il y a une tonne de choses à débloquer et pas seulement des compétences puisqu’on peut jouer en mode arcade avec un mix 8 bits de la licence, des autres jeux Konami, la série Castlevania et ça colle super bien !

 

Avec “Operation Galuga”, WayForward livre un revival réussi pour la franchise Contra.
Fidèle à ses origines, le jeu parvient à distiller une expérience de jeu très fun, et proche de celle des premiers volets.
Operation Galuga se présente comme un mélange de shooter et de platformer très nerveux, qui se joue de préférence en coop.
Cet épisode introduit un paquet de très bonnes idées, de la boutique qui permet de débloquer personnages, perks et musiques, aux capacités additionnelles des personnages en passant par le mode défi. Le contenu est assez généreux également.
En revanche, sur le plan technique, le titre peine à convaincre et est surtout vendu beaucoup trop cher pour “un simple shooter” dont on aura finalement vite fait le tour malgré l’abondance de contenu…

 

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il y a 12 minutes, Bibinou67 a dit :

Et selon toi, sur quel support est'il le mieux calibré ?

oula, je n'ai pas testé le jeu sur plusieurs supports, je n'ai joué qu'à une version crack sur pc... et je n'ai pas dépassé le deuxième niveau.

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@akumasan comment il me fait plaisir ce petit retour d'expérience je m en frotte les mains (et Minou les moustaches) d'avance ... 

 

Bill & Lance 're still alive !

Longue vie au Contra #ContraFan

 

@Bibinou67merci pour cette découverte une fille dans un Run'N'Gun trop bien !!! (Avec de sacrés... formes!) 

 

@Gaga46 il a l'air bien sympa ce Volgar ! 

 

Le run N gun ? Bien évidemment que c est ici que ça se passe 😀

nul part ailleurs ! (Oui soyons modeste ...)

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Il y a 11 heures, Bibinou67 a dit :

OK, moi je l'ai testé sur Dreamcast (émulateur), sympa mais pas facile 😄 et vu que j'ai pas insisté 😅 mais si ça te tente de le tester sur emu il est dispo sur RS 😉.

ha, je ne savais pas du tout qu'il existait sur dreamcast. Pas mal pour les sauvegardes d'état... N'empêche que je vais quand même l'acheter.

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🔰 Sorti sur Xbox One en 2019, puis réédité en 2021 avec les DLC Annihilation Line & Infiltré, TERMINATOR : Resistance Enhanced est tout bonnement de la version définitive du jeu de 2019 développé par Teyon et édité par Reef Entertainement.
On y retrouve la campagne principale, l’aventure additionnelle « Annihilation Line » ainsi qu’un mode « Infiltré » nous permettant de prendre les commandes d’un Terminator dans une mission unique, courte mais intense.
Tout cela est enrobé par une optimisation générale des performances du jeu.
Notez que si vous possédez déjà Terminator: Resistance, la mise à jour ajoutant les optimisations ainsi que le mode « Infiltré » est totalement gratuite.
Le DLC « Annihilation Line » peut quant à lui être acquis séparément contre une quinzaine d’euros. TERMINATOR : Resistance Enhanced permet ainsi aux joueurs passés à côté du jeu jusqu’ici de découvrir l’ensemble de cette adaptation de l’univers Terminator.

 

TERMINATOR : Resistance Enhanced est un vrai FPS, une sorte de mix entre Metro et Call of Duty à mes yeux. Metro pour le côté narratif assez poussé, et COD pour le gameplay un peu plus nerveux.
Alors attention, on ne parle pas d’un AAA, c’est un titre avec un budget un peu plus faible, un AA comme on en voit beaucoup passer dans nos colonnes, mais globalement, TERMINATOR : Resistance Enhanced est un jeu qui tient la route.

 

L’histoire prend place en 2028 à Los Angeles après le Jugement Dernier.
On se retrouve dans la trame qui suit Terminator 1 et 2, à savoir l’histoire du combat entre l’homme avec à sa tête John Connor, et les machines avec les robots de chez Skynet.
Le scénario est très réussi, et reste fidèle aux deux premiers films.
D’ailleurs, il explique très bien certaines choses qui restaient obscurs dans les films.
Tout se recoupe, et tient la route, et le fanboy sera aux anges.
On en vient presque à regretter qu’aucun film n’ait pris la peine de faire un scénario de ce genre, aussi fidèle à l’histoire, et qui nous propose de découvrir comment les humains ont découvert l’existence du premier robot avec de la peau humaine synthétique, appelé ici « l’infiltré ».
Et le fait de contrôler un nouveau personnage, à savoir Jacob Rivers, permet de laisser beaucoup de mystères, sans rester centré sur le classique « John, Sarah, Arnie ».

 

Le gameplay est dans la lignée des FPS consoles, sans chichi particulier, c’est très facile d’accès, et même si certains pesteront par l’aide à la visée, personnellement cela ne m’a pas dérangé du tout. Le jeu propose un côté RPG, à la mode ces derniers temps, mais d’une manière assez légère et pas prise de tête.
Le scénario nous propose une narration assez soutenu, avec des dialogues à choix multiples qui nous influeront sur les choix de certains personnages, ce qui permet d’avoir plusieurs fins, même si cela ne change que des petits bouts d’histoires.

La campagne dure environ une dizaine d’heures, on n’a pas envie de lâcher la manette, afin de connaître la fin de l’histoire.

 

Techniquement, TERMINATOR : Resistance Enhanced tient la route, et même s'il ne peut pas tenir la distance avec les derniers gros AAA du genre, avec des textures assez simples au final, on se retrouve avec un jeu très propre, avec des environnements qui nous mettent dans l’ambiance de ce monde post apocalyptique.
La bande sonore est de qualité avec une musique inspirée des thèmes de la saga, donc cela met dans l’ambiance à la fois dans les scènes d’action avec des cuivres bien poussés et du rock à outrance, et dans les scènes dramatiques avec de la musique qui prend aux tripes.
Les doublages en anglais sont de bonne qualité, les bruitages tiennent la route.

Un beau boulot global.

 

Ce qui est le plus top, c'est l'OST identique a celle de Terminator 2.

Ex : @20:01 la musique que l'on entend en fond c'est "Desert Suite" de Terminator 2

 

 

Cette Edition Enhanced inclus l'extension narrative Annihilation Line qui a une durée de vie d'environ 4 heures de jeu.
Cela ne chamboule pas l'expérience de l'histoire originale, on est en terrain connu mais elle est plutôt bien rythmée et c'est plutôt sympa de rencontrer le personnage iconique de Kyle Reese. Enfin, il y a l'Infiltrator Mode, où les joueurs peuvent prendre le contrôle de l'unité d'infiltration emblématique T-800.
Un bon gros délire pour les fans de la saga.
C'est une mission assez courte, qui se termine en moins d'une heure, et qui se joue au scoring.
On contrôle un T-800 et on fait le ménage, cela va vous détendre après une journée de boulot fatigante.

 

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  • 2 semaines plus tard...

Le Fiston vient de gagner en compétence, il peux maintenant découper ses ennemis en tranches 😁 en plus de leur tirer dessus, sans oublier que le Fiston se dote d'un nouvel accessoire ; un vélo tout terrain, le BMX.

 

Alors à vos pédales les gaillards, pour une aventure typé "Metroidvania" pleine d'action, d'hémoglobine, de plateforme, le tout en sublime pixel-art accompagné d'une somptueuse ambiance sonore.

 

header.jpg?t=1712772277    Turbo Kid

 

#trailer  #no spoil 😛

Révélation

 

 

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🔰 sorti en 1990 sur borne d'arcade, Aliens est l'adaptation du film "Aliens, le retour" de James Cameron, sorti en 1986.
Avec Asterix et Teenage Mutant Ninja Turtles, il fait partie des quelques titres tirés de licences cinéma ou BD de l'éditeur, ce qui les rend assez intéressants.
Le jeu est un récit des événements qui se déroulent dans le film et en tant que tel, il suit une intrigue similaire, bien qu'il apporte quelques modifications à l'histoire afin de l'adapter au format du jeu.

 

Le joueur incarne le lieutenant Ellen Ripley dans leur mission d'enquête à l'intérieur des restes de la colonie spatiale tout en repoussant une myriade de xénomorphes de toutes sortes et de tous les états du cycle de vie.
Le jeu est fondamentalement un Run 'n Gun à scrolling horizontal, bien que contrairement à la plupart des jeux de ce genre, les sprites des personnages sont considérablement grands et les niveaux sont principalement en 2D isométrique, permettant des mouvements de haut en bas, partageant ainsi de nombreuses similitudes avec jeux dans le genre beat 'em all.
Une innovation que ce jeu, introduit dans le genre est la capacité de s'accroupir, ce qui est utile pour combattre des créatures de petite taille et est une position adoptée par défaut lors des déplacements dans les conduits de ventilation.

 

Le personnage utilise le M56 Smartgun comme arme par défaut pour lutter contre les Xénomorphes, Chestbursters et autres Facehuggers et il y a même des Zombies !
Ont peut également récupérer différents bonus sous la forme de pistolets laser à trois voies, des lance-flammes et des lance-missiles.
De plus, les joueurs peuvent lancer de puissantes bombes pour contrôler les foules en appuyant simultanément sur les deux boutons.
De plus, dans certains niveaux, le joueur peut trouver et utiliser l'exosquelette emblématique Power Loader de la franchise, un bonus unique qui fait passer leurs capacités de combat basées sur des armes à distance en mode strictement mêlée, mais qui à son tour améliore considérablement leur offensive, leur permettant de ne faire qu'une bouchée des Xénomorphes, tuant la plupart d'entre eux en un seul coup et endommageant lourdement les boss.

 

Le jeu compte un large assortiment de mini-boss et de boss qui se combattent dans la perspective isométrique.
Ajoutant de la variété aux principales mécaniques de jeu, à la fin de certains niveaux, le joueur doit combattre un boss extraterrestre qui attaque depuis l'arrière-plan, dans une sorte de stand de tir vertical.
Après avoir vaincu chacun de ces boss particuliers, le joueur entre dans une séquence de conduite où l'on saute au sommet d'un APC (Armored Personnel Carrier) et où l'on doit tirer sur les Xénomorphes arrivant sur nous pendant qu'on se déplace à pleine vitesse.

 

Le jeu comporte six niveaux, dont certains sont basés sur des lieux du film.
Newt fait des apparitions dans trois de ces niveaux, où elle peut être vue soit en train de s'échapper des Extraterrestres, soit enlevée par eux, soit finalement sauvée par le joueur.
Cependant, ses apparences sont simplement esthétiques et le joueur ne peut pas interagir avec elle ni la défendre directement de quelque manière que ce soit.

Le boss final du jeu est la Queen Alien, qui est un passager clandestin de l'USS Sulaco après avoir survécu à une précédente rencontre avec le joueur.

 

Le jeu est composé de six niveaux à savoir :
Niveau 1 - Quartiers d'habitation.
Niveau 2 - Usine.
Niveau 3 - Usine 2.
Niveau 4 - Le nid de la Reine Alien.
Niveau 5 - Voie de sortie.
Niveau 6 - Navire de bataille SULACO.

 

Aliens est un excellent exemple de Run 'n Gun du début des années 90 avec de gros sprites audacieux pour l'époque, une gamme d'armes et une musique atmosphérique.
Le jeu est, pour une raison quelconque, l'un des souvenirs marquants que j'ai de jouer à des jeux vidéo dans des salles d'arcade lorsque j'étais en vacances quand j'étais enfant et c'était aussi un des premiers jeux d'arcade que j'ai terminé.
Tout bon fan de jeux vidéo Aliens devrait essayer au moins une fois la version de Konami, et pour moi, cette adaptation d'Aliens le retour, gardera toujours des souvenirs grisants des vacances d'été en famille.

 

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  • 2 semaines plus tard...

Et un DOOM pour le GOONIES, vous pensez que ça existe  Regardez plutôt ⤵️

 

Révélation

header.jpg?t=1713965126  OUI, et avec du Heavy Metal

 

 

 

A ne pas confondre avec "Doonies" c'est pas la même chose, le métal est aussi présent mais pas que, oui je pense néanmoins que Minou préféreras cette version 😂 mais ptet que Goonies aussi 😜.

 

Révélation

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