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🔰 Développé et édité par SNK en 1998 pour les bornes Arcade Neo-Geo MVS, Real Bout Fatal Fury 2 : The Newcomers est la suite de Real Bout Fatal Fury Special sorti un an auparavant.

Comme son nom l'indique le jeu comporte deux nouveaux combattants.

 

C'est donc une grande première d'avoir de nouveaux personnages dans un tel type de jeu.

Pour rappel en ce qui concerne l'histoire officielle, Geese Howard est bien mort à la fin de Real Bout Fatal Fury et Wolgang Krauser ne combat plus depuis qu'il a participé au tournoi King of Fighters de 1996.

Tout ceci n'est donc que prétexte à de joyeuses empoignades auxquelles il serait fort dommage de ne pas participer !

 

Il est temps d'accéder à l'écran de sélection des combattants.

Et là c'est une véritable effervescence : des portraits ayant un trait bien dynamique, des couleurs très flashy, une musique qui monte vite en puissance.

Real Bout Fatal Fury 2 c'est du gros calibre, et SNK tient à le faire savoir. On y retrouve les 19 personnages de base de Real Bout Fatal Fury Special, ainsi que Geese et les deux nouveaux venus : Rick et Xiangfei, soit un total de 22 combattants.

 

Rick Strowd est un combattant qui n'utilise que ses poings tandis que Li Xiangfei est adepte de coups très secs et rapides Real Bout Fatal Fury 2 n'ayant pas réellement de scénario, on ne sait pas grand chose de Xiangfei et de Rick.

 

Les bases sont expliquées dans l'incontournable séquence How to Play.

Elles restent les mêmes quand dans Real Bout Fatal Fury et Real Bout Fatal Fury Special :

 

A►Coup de poing.

B►Coup de pied.

C►Coup fort.

D►Changement de plan.

 

Le principal changement par rapport a Real Bout Fatal Fury Special c'est que l'on ne ramène plus son adversaire de l'autre plan avec le bouton (C), mais désormais avec (D). Cela peut paraître anodin mais lors des premières parties, on brasse bêtement de l'air, s'exposant à un contre.

Toujours à propos des plans, ils sont au nombre de deux mais un seul sert en permanence.

Le plan du haut est là pour l'esquive, on ne peut y rester très longtemps.

Le bouton (D) autorise également une relevée rapide.

Non seulement c'est plus prompt que dans Real Bout Fatal Fury, mais en plus cela ne coûte rien au niveau de la Power Gauge.

Cerise sur le gâteau, on peut se relever en arrière ou sur le second plan.

 

Quant aux pouvoirs spéciaux, ils sont pratiquement les mêmes que dans l'épisode précédent.

Quelques modifications sont apportées, comme par exemple Joe qui n'envoie plus trois mais deux tornades, ou Geese qui n'a plus de Shippû Ken.

Pour ce dernier, c'est nomral qu'il soit un peu bridé. Dans l'épisode précédent, il s'agit d'un boss caché de l'enfer.

Dans Real Bout Fatal Fury 2, il est sélectionnable dès le départ.

Enfin certains coups spéciaux sont devenus plutôt des enchaînements, comme le Power Dunk ou le Power Charge de Terry.

 

Les personnages sont les mêmes que dans Real Bout Fatal Fury Special : imposants, détaillés, très nets, le travail est impeccable.

Les décors ont moins tendance à être orientés parallèlement au plan de combat en étant symétriques cela donne une très bonne impression de profondeur.

 

Les stages sont par ailleurs plus nombreux mais ils semblent légèrement moins détaillés.

Cela est sans doute dû au fait qu'ils ont perdu leurs parties destructibles présentes à leurs extrémités dans Real Bout Fatal Fury et Real Bout Fatal Fury Special.

 

En conclusion : Real Bout Fatal Fury 2 : The Newcomers fait partie des "must-have" de la Neo-Geo que se soit sur MVS ou AES.

Il n'y a aucune raison de se priver de ce jeu si on aime un temps soit peu ceux de combat. Real Bout Fatal Fury 2 : The Newcomers arrive à repousser un peu plus loin les limites posées par RBS, ce dernier étant déjà extrêmement abouti.

Voilà un autre grand jeu qui mérite vraiment qu'on se penche dessus, même si au premier abord il peut sembler trop proche de son illustre aîné, seulement au premier abord.

Les amateurs de détails pourront déplorer la relative simplification technique du jeu.

 

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🔰 Sorti en 1995 sur borne Arcade Neo-Geo MVS Real Bout Fatal Fury fût le tout premier opus de la saga des Real Bout ou Garou au Japon, mais le quatrième chronologiquement.

Alors en pleine gloire, avec notamment un The King of Fighters ’95 qui chauffe dur dans les chaumières et rassemble les foules dans les salles d’arcade, SNK se décide à lancer une suite au mésestimé Fatal Fury 3 : Road to the Final Victory.

 

Après une intro certes sommaire, mais qui a la pêche, le premier contact avec le jeu se fait avec l’écran de sélection des persos.

Première surprise, plutôt mauvaise car il ne se présente plus sous la forme d’une photo de famille, comme c’était le cas auparavant, mais sous celle d’un bête cadre avec des artworks des personnages de chaque côté.

 

Cet épisode signe le grand retour des stars oubliées dans l’opus précédent ! Parmi les héros présentés, vous aurez donc tout le casting de Fatal Fury 3, boss compris Yamazaki enfin jouable.

Ainsi que Billy Kane de Fatal Fury 1/2 et Special, Duck King Fatal Fury 1 et Specia, et le chouchou de beaucoup d’entre nous, j’ai nommé Kim Kaphwan Fatal Fury 2 et Special. Ces trois persos ont été entièrement redessinés, et le résultat est véritablement excellent, mention à Billy Kane.

Cependant, pas de personnages cachés, déblocables ou encore en version alternative.

Tout est déjà disponible, prêt à vous en mettre plein la vue.

SNK nous propose du grand spectacle, avec ses gladiateurs des temps modernes se livrant à des combats acharnés dans une arène.

 

La principale attraction de cet épisode, et même à mon sens l’élément qui rend ce jeu tout simplement culte la possibilité d’éjecter son adversaire de la zone de combat, comme sur un ring, avec pour conséquence une victoire instantanée pour celui qui reste à l’intérieur !

Le self-control est donc de rigueur, dans les moments de pressings intensifs, surtout qu’au moindre faux-pas on peut trébucher par mégarde.

Vous en conviendrez, un tel principe s’avèrerait rapidement abusif, s’il n’y avait pas une condition à remplir pour parvenir à faire sortir son opposant de la zone de combat exploser littéralement ce qui fait obstacle à l’envoi sur orbite de l’adversaire.

Cela peut être une simple barrière, un panneau, ou plus original le public lui-même !

Les retournements de situation sont radicaux. Ajoutez à cela de petites animations de Ring Out toujours amusantes, et différentes pour chaque personnage.

Joe qui fait mine de se noyer une fois dans l’eau.

Hon Fu qui tape sur les vitres de la rame de métro une fois enfermé dans celle-ci.

Ainsi que la possibilité dans certains décors d’expulser sa malheureuse victime à l’autre bout de l’écran au lieu d’être simplement poussé dans l’eau au bord d’un ring dans le premier stage.

 

Comme sous-entendu dans l’introduction de ce test, la jouabilité a été complètement repensée sur cet épisode.

Finis les classiques LP/LK/HP/HK et les combinaisons A+B et B+C pour changer de plan, voici venu le temps de la simplicité !

A pour le petit coup de poing, B pour le petit coup de pied, ça cela ne change pas.

On seul et unique gros coup fait son apparition bouton C.

Coup de poing ou de pied, cela dépend du style de combat du personnage choisi.

Les furies les plus puissantes sont elles aussi simplifiées, car il suffit cette fois de faire la combinaison classique et de la valider avec C.

Enfin, le bouton D est réservé à l’esquive, toujours sur trois plans.

 

Concernant le déroulement du jeu en mode un joueur, vous affrontez vos adversaires par groupe de trois, choisis au hasard, sauf pour Yamazaki et Billy Kane qui seront obligatoirement dans l’avant-dernier stage, derniers remparts avant l’affrontement final contre l’infâme Geese Howard. D’ailleurs, une fois le boss final envoyé au tapis, la démo de fin du jeu qui se dévoile avec Terry, et sans utiliser de continue a largement inspiré l’intro de Garou : Mark of the Wolves.

 

Real Bout Fatal Fury paraît d'abord assez répétitif du fait de son nombre très bas de décors et de ses musiques presque identiques à Fatal Fury 3.

On a l'impression d'un jeu pas tout à fait fini.

Sans doute sorti trop rapidement, SNK a dû faire un choix entre l'habillage et la maniabilité.

Justement, à l'usage, on se rend compte des progrès accomplis en matière de souplesse et d'ergonomie.

Des progrès d'autant plus tangibles quand on joue à deux, il prend alors sa vraie dimension et montre enfin tout son potentiel au joueur averti qui saura apprécier les améliorations apportées.

 

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Tu es le seul mon p'tit AKU à être capable d'écrire autant sur un jeu de combat à 4 boutons 😁 tu devrais écrire dans des revues spécialisés 😁

Révélation

PS: va tu nous faire l'intégrale des KOF & FF 😂 et sinon que pense tu du XV récemment sorti (y a combien de boutons sur celui ci 😂)  😉

 

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il y a 32 minutes, Bibinou67 a dit :

Tu es le seul mon p'tit AKU à être capable d'écrire autant sur un jeu de combat à 4 boutons 😁 tu devrais écrire dans des revues spécialisés 😁

  Révéler le contenu masqué

PS: va tu nous faire l'intégrale des KOF & FF 😂 et sinon que pense tu du XV récemment sorti (y a combien de boutons sur celui ci 😂)  😉

 

C'est le projet après avoir fait la saga des Real Bout, je ferais la saga des Fatal Fury en commencent par Fatal Fury 3 Road to the final Victory, pour finir avec le premier.

Ensuite j'enchaine avec la saga des Art of Fighting du 3 pour finir avec le premier.

 

Quant à King of Fighters ⅩⅤ je suis dubitatif car je suis pas très fan de la 3D utiliser dans le jeu, mais comme tout bon fans de cette franchise je vais l'avoir pour faire une vidéo dessus mais après je sais pertinemment que j'y jouerais pas plus que ça.

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il y a une heure, akumasan a dit :

C'est le projet après avoir fait la saga des Real Bout, je ferais la saga des Fatal Fury en commencent par Fatal Fury 3 Road to the final Victory, pour finir avec le premier.

Super Aku ! Ah le tout premier Fatal Fury j’en ai encore des étoiles pleins les yeux 🤩 le papy qui craque sa veste, les frères bogart j’ai découvert ce jeu en version import jap sur la Snes.C était en 93 je crois,  Un grand moment ! C’était vraiment bon presque aussi bon que SSF2 😉 Le débat est lancé...

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il y a 12 minutes, GOONIES a dit :

Super Aku ! Ah le tout premier Fatal Fury j’en ai encore des étoiles pleins les yeux 🤩 le papy qui craque sa veste, les frères bogart j’ai découvert ce jeu en version import jap sur la Snes.C était en 93 je crois,  Un grand moment ! C’était vraiment bon presque aussi bon que SSF2 😉 Le débat est lancé...

De mon coter mon GOONIES j'ai connu les Fatal Fury dans les salles d'arcade j'avais une quinzaine d'années, c'est pour ça que je ferais cette saga dans sa version MVS. 😉

De très loin la meilleur version le portage sur console ne peu pas rivaliser.

Street Fighter Ⅱ vs Fatal Fury ou King of Fighters je dirais:

Street Fighter Ⅱ plus casual.

Fatal Fury ou King of Fighters plus technique.

Dans les deux cas ses trois soft son légendaire.

 

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De mon côté, je préfère le dire que, de manière générale, les jeux de bastons sont pour moi juste un défouloir de courte durée, il y a effectivement eu le phénomène "Street Fighter II" qui à son époque fut une petite révolution sur la Super Nintendo (alors j'imagine pas sur l'arcade 😁) et je ne peux que reconnaitre la qualité des jeux SNK que j'ai également appréciés.

Il fut un temps, celui de la Playstation ou j'étais davantage focalisé sur les jeux de combat, enfin certains, dont Street Fighter Alpha 2, Tekken 2, Soulblade, Mortal Kombat et d'autres moins connus comme Tobal 2, et puis fut venu la Dreamcast et son magnifique Soulcalibur, ce fut des moments mémorables.

 

Alors oui je fais piètre figure face à notre AKUMA San 😅 car oui, pour moi, tous ces jeux se ressemble beaucoup même si je conçois tout à fait qu'il y a des différences au niveau des personnages et de leurs actions, donc oui il y aura toujours des similitudes et ce quelque soit le jeu de combat, mais personnellement je préfère m'orienter vers des titres moins médiatisés mais de toute aussi bonne facture comme par exemple les Breakers, Last Blade, Matrimelee, Waku Waku 7 et j'en passe (je sais que notre AKU y viendra tôt ou tard 😁).

 

Je vais surement me faire reprendre par notre AKU spécialiste du sujet 😁, mais je tenais à le dire, car quand je vois le nombre de version de KOF je prends peur, et je dois avouer que ça fait fort longtemps que j'ai décrocher quand au fait de savoir quelle est la différence entre le KOF n°1 et le n°24 😅, alors oui je préfère alors me tourner vers un Garou MOTW, qui finalement, pour moi, remplace un peu toutes les autres versions de KOF et FF, mais je ne suis pas un puriste 😁.

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Bonne analyse mon Bibinou.

Pour les Breakers, Last Blade (la vidéo du 2 est faite), Matrimelee, Darkstalkers, Vampire Savior, Waku Waku 7, Samurai Showdown, Kizuna, Art of Fighting son aussi au menu.

Pour Garou Mark of the Wolves c'est tout simplement Real Bout Fatal Fury 4 se n'est ni un Fatal Fury ni un King of Fighters, mais faut bien connaitre la saga pour le savoir. 😉

 

 

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🔰 Développé par Hidden Variable et édité par Autumn Games, Skullgirls est un jeu de Vs Fighting en 2D sorti initialement en 2015 mais cette DLC est bien plus récente car elle date de 2021.

 

Lorsque j'ai entendu parler du projet Skullgirls pour la première fois, j'ai pensé que malgré les qualités du titre, il aurait sans doute du mal à se faire une place parmi les mastodontes de la catégorie que sont Tekken, SoulCalibur, Street Fighter IV et surtout les productions Arc System Works.

Pourtant, et à ma grande surprise, cette place lui revient de droit tant il sait mettre en confiance les débutants tout en proposant des combats assez tactiques.

 

Même si j'avais déjà pu constater le charme de Skullgirls lors de sa présentation, je ne m'attendais pas a être aussi séduit par l'univers, le character design, l'enveloppe générale et le cachet graphique qui se dégagent de cette production.

Avec ses menus rétros, sa réalisation 2D, ses animations fluides, son design qui s'inspire à la fois de la bande dessinée classique telle que nous, occidentaux, la connaissons, des comics américains ou même des mangas japonais.

Ce cocktail détonnant ne serait pourtant rien sans un gameplay bien rôdé, surtout dans un jeu du genre, et avouons que de ce côté là, les développeurs connaissent leurs sujet.

 

Avec un casting restreint, seulement 14 personnages dont 2 persos de plus avec ce DLC, le roster de Skullgirls semble limité.

Pourtant, on se rend vite compte que chaque combattante a ses propres spécialités, de la chopeuse à la championne du corps à corps en passant par la Ms. Fortune capable de se démembrer ou le zoneur et Valentine qui peut empoisonner ses adversaires pour mieux les immobiliser, chaque guerrière est une nouvelle découverte.

Mais contrairement à Blazblue qui propose un peu la même chose en termes de roster, Skullgirls se distingue par une accessibilité étonnante, notamment grâce à des manipulations classiques et très simples à réaliser.

De prime abord, le titre a donc de bons points mais il profite surtout d'un souci du détail que l'on retrouve tout autant dans son design que dans sa jouabilité.

 

Skullgirls tient à soigner le confort dans sa jouabilité mais aussi dans ses menus simples et efficaces mais propose aussi plusieurs manières de créer son propre style de jeu.

On peut ainsi choisir de n'incarner qu'un seul personnage quand un adversaire préfèrera en jouer trois pour vous affronter.

Evidemment, rien ne vous empêche d'en prendre deux et votre challenger aussi puisque le jeu effectue lui-même un calcul pour équilibrer les dégâts et la santé de votre perso.

C'est une manière intéressante d'aborder les combats puisque avec plusieurs membres dans une équipe on pourra changer de personnage, gérer les barres de santé et même les faire intervenir en tant que strikers pour épauler ou relancer un enchaînement par exemple.

Cerise sur le gâteau, le menu d'avant match est l'occasion de choisir le mouvement qu'utilisera cet intervenant dans le round pour d'optimiser vos actions.

 

Qui dit jeu de combat à l'ancienne dit exigences d'antan.

Certes, Skullgirls fait la part belle aux chaines de combos, évitant ainsi des manipulations trop alambiquées, mais les séquences peuvent parfois faire perdre la tête.

En fait, ça fait souvent penser aux pianotages de touches qui permettent de lancer les 10 hit combos de Tekken.

Sauf qu'ici, la configuration se joue en 6 boutons comme Street Fighter et demande en plus de gérer plusieurs niveaux d'enchaînement :

Accroupi, debout, en l'air, avec possibilité de relancer d'autres combinaisons encore après ne vous inquiétez pas, le titre intègre un ingénieux système pour éviter les abus de combos infinis.

Je vous laisse imaginer la gymnastique de doigts que cela requiert.

Sans oublier bien évidemment une bonne mémoire pour retenir toutes ces touches successives.

 

Heureusement que les guides et didacticiels sont ULTRA complets, clairs et précis.

En y passant suffisamment de temps, vous vous habituerez très rapidement au style du jeu.

Mieux encore cela vous permettra d'affiner votre vision du Versus Fighting en général, tant ils expliquent parfaitement bien la plupart des mécaniques inhérentes au genre.

 

L'OST du jeu est composée par Michiru Yamane, derrière un certain Castlevania Symphony of the Night pour ne citer que lui, ou encore designé par entre autres Mike Z, homme qui aura officié sur des titres tels que BlazBlue ou encore Marvel Vs Capcom 2, que du beau linge en somme.

Malgré le fait que le soft puisse rebuter au premier abord du à son style graphique qui ne peut plaire à tous et système de jeu demandant un certain temps d'adaptation, Skullgirls 2nd Encore mérite vraiment que l'on s'y attarde.

Avec un casting final ne comporte certes que 16 personnages en incluent ce DLC, Skullgirls se montre suffisamment différent et intéressant pour que l'on puisse y trouver son bonheur.

 

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  • 2 semaines plus tard...

Ca vous tente un p'tit fighting game stylé, plutôt joli et avec plein de waifus , alors vous êtes au bon endroit, par contre le prix ça pique 😁 combien de boutons ? j'en ai fichtrement aucune idée, ce que je sais c'est que ça vient de sortir et que ça a mal été accueilli.

 

 

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Tu as toujours rêvé d’être aussi fort que Godzilla,🦖

les Kaijus n’ont plus de secret pour toi, 

King of monsters est ton jeu préféré, 

A moins que ce ne soit Rampage, 

Tu ne peux plus de te passer de King of Tokyo ou King of New York quand tu organises un apero 😉 (excellent jeux de société au passage, assez fun)?

 

Alors ce superbe trailer est fait pour toi .... A tester (je me méfie de ces jeux en general)

 

Reeeeaaaaadyyyy Toooo Ruuuumble 

 

 

 

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il y a une heure, GOONIES a dit :

Tu as toujours rêvé d’être aussi fort que Godzilla,🦖 les Kaijus n’ont plus de secret pour toi, King of monsters est ton jeu préféré,  A moins que ce ne soit Rampage, 

 

Godzilla ? les Kaijus, j'adore, mais seulement dans les films 😂 et les bons, en found footage comme Cloverfield 😉 (oui, y en a qui aime pas), le KOM sur Neo-Geo ? très peu pour moi 😂, oui, bon, ça passe ce genre de jeu, mais 5 minutes 😁 après j'me lasse, par contre Rampage m'a laissé un bon souvenir sur mon Atari ST, et j'y jouait plus que 5 min 😉.

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  • 4 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Hier soir soirée regressive avec nos tortues ninja préférées 🐢 CowaBunga !

@Minou33 s’est mis en mode 🍕Forever (4fromages !!!!) et a déclenché des rafales de gnons et de combos à faire blemir de jalousie, Ryu et Ken réunis. Oh Yeah ! 

 

Un bon FanGame de 2019, mode NeoRetro, développé sous OpenBore avec de veritables et nombreuses surprises dedans bien regressives esprit "œuf Kinder", normal en cette période Pascale (no spoil 😉). Beaucoup de bonheur et de plaisir avec cette version Teenage Mutant Ninja Turtle Rescue Palooza qui rappelle l’épisode de Konami Turtle in Time sur Snes ou encore le premier épisode Nes. Bien sûr, on peut tjrs trouver quelques imperfections (la faible diversité des coups par exemple)  mais rien de bien méchant car c’est compensé par la bonne fluidité du jeu, des niveaux relativement courts et qui s’enchaînent rapidement avec des décors et une musiques suffisamment variés. 

Les graphismes fleurtent avec les 16bit et une musique plutôt 8bit. 

 

Telechargeable ici 🆓 

https://openborgames.com/teenage-mutant-ninja-turtles-rescue-palooza-openbor

 

 

Je mets le trailer pour donner une idee Pizza Time !

 

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Pas mal du tout mon GOONIES 😀, merci pour cette production OpenBOR 😉 (oui je sais y en a des tonnes 😁 mais c'est l'intention qui compte) alors pour ma part je prends Michelangelo (il est beau 😍  😂) mais uniquement avec le bandana orange 😝.

Quant au minou, ben désolé, je sais toujours pas qui c'est, toutefois ça n'a peut être aucune espèce d'importance, alors miaou 🐱.

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il y a 25 minutes, Minou33 a dit :

Salut à toi Bibinou

 

El senor Minou débarque sur le forum, sur les conseils avisés de mon poto Goonies!

 

D'accord, mais c'est quelle communauté 😁 vous êtes de la même team, le minou & le goonies together 😁

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🔰 Gekido Advance est un beat'em all 2D vraiment prenant avec une réalisation au top.

D'une part, parce-qu'il apporte un peu de fraîcheur à ce style de jeu et d'autre part parce-qu'il propose une ambiance horrifique plutôt dépaysante.

L’histoire de Gekido Kintaro’s Revenge tient sur un post-it mais donnera lieu à une quête parsemée de combat.

On y incarne Tetsuo.

Il est envoyé par son maître pour enquêter sur des évènements douteux se déroulant dans un village voisin.

Des morts reviennent à la vie, la plupart des enfants ont disparu et des démons semblent avoir pris logement dans un vieux temple du village.

Bref, on le sent, tout va vite dégénérer et il va falloir user de ses poings pour rétablir l’ordre.

 

Parlons maintenant du gameplay.

Celui-ci est ultra-simple. Un bouton pour donner des coups de poing, un autre pour les coups de pied et un troisième pour sauter.

Enchainer plusieurs coups de poing ou pieds ou les alterner permet de réaliser des combos.

Enfin en appuyant sur poing et pied en même temps, on déclenche une attaque spéciale qui touche tous les ennemis à l’écran.

Evidemment sur notre chemin, on rencontrera des trash mobs et des boss qui disposent de compétences différentes.

Il faudra donc adopter son comportement pour s’en défaire.

Pour apporter un peu de complexité, les ennemis peuvent laisser tomber des bonus et malus.

Attention avant de les ramasser.

Certains boost notre force ou notre rapidité par exemple.

Mais d’autres viendront bloquer vos mouvements ou encore inverseront les commandes pendant quelques secondes.

 

Enfin, sachez que le jeu a une petite touche (très légère) des Metroidvania.

En effet, ici il faudra souvent partir à la recherche de clés qui permettront d’ouvrir des accès pour progresser dans l’aventure.

Ainsi les niveaux ne sont pas linéaires, il faudra se balader un peu partout, tout en évitant des pièges (trous, pointes, etc.) qui s’ajouteront aux ennemis qui voudront nous faire la peau.

Ce côté là est un peu laborieux. Il faudra faire de nombreux aller-retour d’une part. D’autre part les zones sombres manquent de visibilité. Impossible de voir certains pièges ou trous. Ce qui engendre pas mal de frustration.

 

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🔰 Sorti en 2021 sur PC The Legend of Tian-ding est un Beat'em all mêlent action et plate-forme.

le jeu fût développe par Creative Games Computer Graphics Corp et édité par Neon Doctrine.

Le jeu raconte l'histoire de Liao Tian-ding un voleur originaire de Taiwan durant la période où l’île était occupée par le Japon et son peuple oppressé par ce dernier.

Liao Tian-ding va à la fois lutter au sein de la résistance, mais aussi partir à la recherche d’un mystérieux trésor.

 

L'histoire prend place en 1909 et tout comme Robin des Bois, vous devez aider ceux qui en ont besoin en volant les riches et les cupides.

Avec les autorités à vos trousses, vous devez mener le combat pour la justice, en écrivant une histoire qui deviendra une légende.

En tant que maître voleur, vous devrez éliminer ceux qui se mettent en travers de votre chemin.

Heureusement, Liao possède des compétences folles en Kung-Fu.

Vous pouvez rapidement déclencher un barrage d’attaques et utiliser votre ceinture pour désarmer les ennemis.

En faisant cela, vous pouvez utiliser les objets de votre adversaire contre eux, ce qui modifie votre style de combat.

Tout au long, vous apprendrez de nouvelles attaques telles que le coup de poing d’un pouce et le coup de pied de dragon, qui agissent comme d’excellents démarreurs de combo et attaques de refoulement.

Cela devient vital lorsque vous essayez d’échapper à la horde d’ennemis pour recharger votre santé avec un délicieux pain à la vapeur.

 

Les ennemis diffèrent en termes de taille et d’attaques, pour cette raison, vous devrez soigneusement esquiver afin de prendre le dessus.

D’un simple clic sur un bouton, vous pouvez effectuer des frappes pour trouver une fenêtre d’opportunité pour infliger des dégâts.

Comme il existe à la fois des ennemis à distance et au corps à corps, vous devrez également rechercher dans votre environnement des personnages dotés d’armes à feu et vous déplacer en conséquence.

Que vous adoptiez des tactiques de précipitation, d’évasion ou même que vous décidiez de parer les balles, les options disponibles sont nombreuses.

 

Les boss constituent le plus grand défi du jeu, vous faisant utiliser la pléthore de compétences que vous avez acquises au cours du combat.

Ici, vous devrez lire les attaques et apprendre les modèles pour réussir.

Bien qu’il y ait un pic de difficulté à ces points, les batailles sont passionnantes, éprouvantes et enrichissantes.

Cependant, si vous avez du mal, vous pouvez modifier la difficulté.

 

Explorer les rues de Taiwan est une joie.

Le mouvement fluide et lisse vous permet de vous frayer un chemin facilement dans l’environnement.

Avec la possibilité de s’agripper, de se précipiter et de sauter sur un mur, vous devrez combiner diverses manœuvres afin de traverser des zones remplies de dangers. Mourir entraînera la perte d’argent précieux qui est nécessaire pour acheter des améliorations, obtenir des améliorations de capacité et, plus important encore, aider les pauvres. Si les espaces linéaires sont brillamment conçus, l’espace ouvert que vous revisitez n’a pas le même attrait.

Souvent, vous devez revenir sur vos pas en effectuant de simples quêtes de récupération pour faire avancer l’histoire.

Le jeu propose également des missions secondaires et même un jeu de société taïwanais qui est un bon changement par rapport aux cous brisés.

 

La légende de Tian-ding est un régal visuel.

Avec ses décors pittoresques et ses animations exquises, il a parfaitement capturé la vie taïwanaise du ⅩⅩe siècle.

Le manga chinois est à la pointe de l’esthétique, avec des panneaux de bandes dessinées accompagnant des séquences de jeu et des images fixes dessinées à la main qui communiquent le récit.

Certains peuvent ne pas aimer que le dialogue soit parlé en mandarin, cependant, j’ai trouvé que cela ajoutait de l’authenticité à l’histoire de Liao Tian-ding.

 

Comme s’il s’agissait d’un film d’action Est-Asiatique, la bande-son capture l’atmosphère du jeu.

De sa partition traditionnelle apaisante qui dégage un sentiment de tranquillité aux airs intenses et intenses qui éclatent lors de combats épiques, le jeu vous emmène dans un voyage étonnamment émotionnel qui se concentre sur l’abus de pouvoir et l’inégalité.

Des effets sonores subtils ont également été ajoutés aux mouvements, ce qui vous aide à lire les indices d’attaque avec plus de succès.

En plus d’un signal visuel, une invite audio offre une meilleure connaissance du moment et de l’endroit où esquiver.

 

Legend of Tian-ding est un excellent exemple de Beat'em all, d’action 2D et de plate-forme.

En raison de son combat fluide, de sa traversée sans effort et de ses graphismes magnifiques, le jeu se démarque instantanément de ses pairs.

Bien qu’il y ait des pics de difficulté avec les combats de boss, ces affrontements ont été brillamment conçus, offrant une myriade d’indicateurs pour vous aider dans votre combat.

Fusionnant magnifiquement et en toute transparence un éventail de mécanismes c’est le moyen idéal pour célébrer le héros taïwanais.

 

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