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God of War Ⅱ (Sony PlayStation 2) Part 1

Pas besoin de le présenté celui-ci.

Les dieux n'ont pas respecté leur promesse faite a Kratos.

Kratos n'est pas content, Warning, plan de vengeance activé.

Kratos, ce n'est pas le genre de mec qui va voir son syndicat lorsqu'il n'est pas content de sa situation, non non...

Il ne fait pas dans la dentelle le Kratos, il a simplement l'idée de tuer Zeus, tranquillou.

Ce n'est pas tant l'histoire qui est intéressante, mais la maniÚre dont elle est raconté vengeance amÚne la violence qui créer le carnage, etc...

Cercle vicieux au combien satisfaisant pour le joueur !

Le 2 enclenche vraiment la spirale de haine qui grandira dans Kratos jusqu'à la fin du 3éme opus son ultime apogée.

j'ai adoré cette épisode !

 

NB: Le dieux, le god le Kratos !

Le mec le plus badass du jeu vidéo.

Avec un certain Solid Snake, mais lui, j'en parlerai plus tard.

 

 

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  • 4 semaines plus tard...

Alors qu’ @akumasan nous partage son avis sur le beat em all Asterix&Obelix de Konami, une nouveautĂ© survitaminee et rĂ©gressive est sortie aujourd’hui de la part de nos frenchies de chez Microids. 

 

Le test publiĂ© sous GameBlog permet d’avoir dĂ©jĂ  une petite idĂ©e de la qualitĂ© du soft et puis le chouette Trailer :  les gau .... les gaugau... les gaulois !!!!!đŸ˜±

 

 

https://www.gameblog.fr/jeu-video/jeux/tests/test-d-asterix-et-obelix-baffez-les-tous-lautre-guerre-des-gaules-393373

 

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il y a une heure, GOONIES a dit :

Alors qu’ @akumasan nous partage son avis sur le beat em all Asterix&Obelix de Konami, une nouveautĂ© survitaminee et rĂ©gressive est sortie aujourd’hui de la part de nos frenchies de chez Microids. 

 

Le test publiĂ© sous GameBlog permet d’avoir dĂ©jĂ  une petite idĂ©e de la qualitĂ© du soft et puis le chouette Trailer :  les gau .... les gaugau... les gaulois !!!!!đŸ˜±

 

 

https://www.gameblog.fr/jeu-video/jeux/tests/test-d-asterix-et-obelix-baffez-les-tous-lautre-guerre-des-gaules-393373

 

Il est top visuellement !👌
Le charme de la 2D à encore frapper, par Toutatis.👍 

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🔰 The Simpsons Arcade Game est un beat them all dĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Konami en 1991 sur le systĂšme arcade GX-68.

C'est donc en 1991 que Konami lance sa borne d'arcade sur le thĂšme de la famille Simpsons.

Pour l'originalité, on repassera, c'est un beat'em up des plus classique.

Comme les Simpsons ne sont pas d'un naturel combattif, il a fallu improviser un scénario abracadabrantesque vis-à-vis de la série.

 

Voici le pitch :

Montgomery Burns a demandé à Smithers de voler un diamant, mais ce dernier est tombé dans la bouche de Maggie qui s'en sert comme tétine.

Smithers décide alors de kidnapper Maggie pour pouvoir le récupérer.

La famille va alors devoir se mettre à la poursuite du kidnappeur, traversant de nombreux lieux insolites allant d'un cimetiÚre à un studio de télévision, pour finir par la centrale nucléaire Burns de Springfield.

Il faut reconnaĂźtre que le graphisme du jeu est trĂšs fidĂšle au trait de Matt Groening, c'est mĂȘme un des meilleurs jeux de ce point de vue.

On croise aussi pas mal de personnages récurrents de la série.

Une autre des qualités du jeu est la possibilité de jouer jusqu'à quatre joueurs et de contrÎler n'importe lequel des membres de la famille Simpson.

L'univers de la série est vraiment trÚs bien retranscrit, on retrouve beaucoup de personnages cultes qui vous apportent des objets ou qui font simplement partie du décor.

Vous vous bagarrez presque tout le temps contre des ennemis qui eux ont été créés pour l'occasion.

 

Le joueur peu choisir parmi l'un des quatre membres de la famille Simpsons et chacun d'eux a son accessoire de prédilection :

â–șLe ventre pour Homer.

â–șL'aspirateur pour Marge.

â–șLe skateboard pour Bart.

â–șLa corde Ă  sauter pour Lisa.

 

The Simpsons arcade game est trĂšs similaire Ă  la borne arcade Teenage Mutant Ninja Turtles Ă©galement de Konami sortie deux ans plus tĂŽt !

Et pour cause, les deux jeux sont basĂ©s sur le mĂȘme moteur.

Evidemment, les niveaux ne sont pas tout Ă  fait les mĂȘmes, les boss n'attaquent pas exactement de la mĂȘme façon, mais on leur trouve beaucoup de points communs comme la disposition des barres d'Ă©nergie en haut de l'Ă©cran, l'attaque en plongĂ©e pendant un saut.

 

Le jeu se déroule sur huit stages :

â–șLe centre ville de Springfield + le stage bonus Les ballons.

â–șLe park Krustyland.

â–șLe cimetiĂšre.

â–șLa taverne de Moe.

â–șLa forĂȘt de Springfield.

â–șLe pays de rĂȘve + le stage bonus RĂ©veillez-vous.

â–șLa chaĂźne TV 6.

â–șLa centrale nuclĂ©aire de Montgomery Burns.

 

Chaque niveau se termine par un boss dont la vitesse et la force augmenteraient aprÚs avoir subi un certain nombre de dégùts.

Bien que le jeu soit l'un des nombreux beat'em ups produits aprÚs Final Fight, il contenait de nombreuses innovations, y compris la possibilité pour deux joueurs de faire équipe et d'attaquer les ennemis, l'attaque exacte différant légÚrement selon les deux personnages utilisés.

La nourriture pouvait ĂȘtre utilisĂ©e pour la guĂ©rison, et diverses armes et objets pouvaient ĂȘtre obtenus pour une utilisation pendant une courte pĂ©riode ou pour une attaque de projectile unique.

Ces objets Ă©taient souvent introduits dans le jeu par d'autres personnages des Simpson, et les propres animaux des Simpson pouvaient ĂȘtre utilisĂ©s comme armes de jet Ă  divers moments du jeu.

 

Le final se déroule à la centrale électrique de Burns, ou la famille Simpson doit affronte Smithers, qui les attaques à coup de bombes.

Lorsque Smithers est vaincu, M. Burns perce le mur à l'intérieur d'une grande machine qui attaque avec des bombes, des lasers, des missiles et des pinces, et commence une bataille climatique contre les Simpson.

AprÚs un long combat, Burns est vaincu et les Simpson sauvent Maggie, qui place sa tétine dans la bouche de Mr Burns.

À la fin, Homer part avec sa famille et jette le diamant comme s'il s'agissait d'un vulgaire morceau de verre.

 

En conclusion avec une OST trÚs fidÚle à la série, The Simpsons Arcade Game fleure bon le hold-up à destination des fans les plus endurcis, car en 1991 se ne sont pas vraiment les beat'em all qui manquent pour les fans du genre et autres nostalgiques des coups de tatane en provenance directe des années 80 et 90.

Pour finir The Simpsons Arcade Game reste un trÚs bon jeu mais malheureusement le soft est bien trop court pour rester gravé dans les mémoires des aficionados de beat'em all.

 

 

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🔰 DĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Capcom en 1993, The Punisher est un beat'em all fonctionnent sur le Hardware Capcom Play System, le fameux CPS.

Le jeu met en scĂšne Le Punisher et Nick Fury, qui sont tout les deux des personnages de chez Marvel Comics.

 

Ce jeu aurait pu s'appeler The Punisher et Nick Fury fracasse Wilson Fisk !

En effet, dans ce beat'em all de Capcom, le joueur un incarne Franck Castle alias le Punisher et le joueur deux joue Nicholas Joseph Fury alias Nick Fury un agent du S.H.I.E.L.D.

Tous les deux veulent en finir avec Wilson Fisk alias Le CaĂŻd ou Kingpin en anglais.

Le personnage du Punisher est apparu dans Spiderman n°129 paru en Février 1974.

On retrouvera Franck Castle sporadiquement dans les aventures de Spider-Man, mais aussi dans Captain America ou Daredevil qui n'apprécieront pas les méthodes expéditives de notre anti-héros.

 

Pour une fois pas de donzelle en détresse à secourir mais juste une soif de vengeance à assouvir.

Vous dirigerez le Punisher ou Nick Fury, au travers de six niveaux, seul ou accompagné par un de vos amis puisque comme dans tout Beat'em all qui se respecte, il y a un mode deux joueurs.

 

Avant mĂȘme de commencer, le jeu nous offre une superbe intro rĂ©sumant rapidement comment Franck Castle est devenu The Punisher.

Ce titre est un petit bijou de gameplay, la palette de coups de nos deux protagonistes est variĂ©e et facilement utilisable, on se surprend Ă  user et abuser des projections d'ennemis, des "grabs" pour marteler de coups son adversaire ou encore du coup de pied de Nick Fury qui ressemble Ă  s'y mĂ©prendre au "Somersault Kick" de Guile de Street Fighter Ⅱ, et comme si cela ne suffisait pas, il faut rajouter que vous dĂ©gainerez votre arme lorsque l'un des ennemis sortira la sienne s'en suivra un matraquage en rĂšgle du bouton de tir pour faire le mĂ©nage Ă  l'Ă©cran.

Une chose est sûre, The Punisher ne fait pas dans la dentelle, les parties seront rythmées par les "KA-BLLAAAAM", "BAANNGG", "CRAAAAAK" et autres onomatopées que ne renieraient pas les réalisateurs de la série télévisée Batman des années 60, et le tout pour notre plus grand plaisir.

 

On met des crédits, on choisit notre personnage et c'est parti pour la baston.

La palette des coups est variĂ©e, les contrĂŽles rĂ©pondent parfaitement et il y a mĂȘme une roulade bien pratique pour les esquives. Comme souvent, on retrouve le fameux coup spĂ©cial qui consomme de la vie mais aussi la possibilitĂ© d'envoyer des grenades en quantitĂ© limitĂ©e pour Ă©chapper aux situations tendues. Il est possible Ă©galement de rĂ©cupĂ©rer une multitude d'armes pour se dĂ©barrasser des vilains :

â–șCouteaux.

â–șBattes.

â–șHaches.

â–șMarteaux.

â–șShuriken.

â–șLance-flamme.

â–ș9mm.

â–șUzi.

â–șM-16

â–șTNT.

â–șGrenades.

â–șEt mĂȘme une lance de chevalier !

C'est sans compter sur les éléments du décor pouvant eux aussi servir d'armes.

Pouvoir balancer une borne arcade dans la tronche des ennemis quoi de plus jouissive !

 

La vrai nouveautĂ©, c'est qu'on peut parfois tirer au flingue pendant un temps limitĂ©, le systĂšme de visĂ©e automatique facilitant les choses car on n'est pas obligĂ© d'ĂȘtre pile en face des ennemis pour les toucher, ce qui est vraiment agrĂ©able dans ce genre de jeu.

 

Le périple de Franck Castle vous fera donc traverser six niveaux diverse et varier comme :

â–șLes rues de la "Grosse Pomme" New York.

â–șDans un chĂąteau en Floride.

â–șSur les Docks.

â–șÀ travers les Ă©gouts.

â–șSur un train en Arizona.

â–șEt pour finir dans l'hĂŽtel de Wilson Fisk.

 

A chaque fin de stage on retrouve le traditionnel Boss de fin de niveau vous attendant pour en découdre.

En parlant des Boss, il est à noter que les designers du jeu ne furent pas super inspirés pour ceux-ci, vu que le premier est retrouvé dans les stages suivant en tant qu'ennemi de base et que le Gardroid est présent dans le deuxiÚme et le cinquiÚme niveau, plutÎt étonnant viennent d'un jeu signé Capcom pourtant trÚs à cheval sur ce genre de détails.

 

L'OST est peut-ĂȘtre l'unique point noir de cette version Arcade.

La musique est trop discrĂšte mĂȘme si on sent que ça a Ă©tĂ© fait volontairement pour que les bruitages soient mieux mis en avant, car ils sont soignĂ©s c'est indĂ©niable. Mais cette musique trop discrĂšte est malheureusement dommageable.

 

The Punisher est donc un passage obligé pour tous les fans du anti-héros Marvel ou les fans de Beat'em all.

À part la musique trop discrĂšte et pas spĂ©cialement travaillĂ©e, je n'ai strictement rien Ă  dire de nĂ©gatif sur ce jeu.

Tout y est, le level design, les animations, le respect de l'Ɠuvre ainsi que la jouabilitĂ©.

On pourrait lui reprocher sa durée de trop sans doute trop courte pour un jeu de cette qualité, mais quand un jeu est bon, c'est toujours trop court.

Ce jeu mĂ©riterait d'ĂȘtre plus connu, pour moi c'est un vrai coup de cƓur et en 2021 j'y joue toujours c'est pour dire.

 

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🔰 Sorti en 2014 sur le XBLA, Streets of Red Devil's Dare Deluxe est un beat'em all multijoueur avec la particularitĂ© de pouvoir jouĂ© des hĂ©ros emblĂ©matiques du rĂ©trogaming dans un combat contre des zombies...

Tout un programme !

 

Streets of Red a Ă©tĂ© conçu pour ĂȘtre jouĂ© encore et encore, chaque exĂ©cution offrant le potentiel de nouveau contenu.

Plusieurs personnages son jouables aux caractéristiques uniques dans une succession de niveaux sans cesse a difficulté croissante, permettent d'éviter un gameplay simple et ne vieillissent pas. Le systÚme de combat facile à apprendre mais difficile à maßtriser permet beaucoup de profondeur.

 

Le pitch :

L’histoire commence un samedi aprĂšs-midi banal en pleine Benny Arcade Expo la fĂȘte bat son plein, les joueurs dĂ©couvrent avec en train de nouveaux jeux indĂ©pendants quand soudain, des zombies font irruption en ville et commencent Ă  tout bouffer.

Le sang des cosplayeurs prĂ©sents sur la grande scĂšne ne fait qu’un tour et ils se regroupent pour aller tataner du mort-vivant.

On retrouve dans l’équipe :

 

â–șKingston, le concierge dĂ©guisĂ© en Shovel Knight.

â–șQueenie et son toutou qui se prennent pour Terra et son mĂ©cha de FFâ…„.

â–șJackson aka Raph des Tortues Ninja.

â–șAxel et son cosplay le Link du pauvre.

 

Il y a bien d’autres personnages cachĂ©s, mais chut, je ne vous ai rien dit. ChapeautĂ© par le mystĂ©rieux Ivan, une fĂ©e communiste anagramme de Navi (non ce n’est pas un gag), l’improbable gang va devoir survivre Ă  10 nuits d’horreur pour espĂ©rer voir la fin du cauchemar.

C’est donc sur un pitch digne des films de Seth Rogen que commence la campagne de ce Streets of Red et l’absurditĂ© parodique ne s’arrĂȘte pas lĂ . Pour parfaire son jeu, Secret Base a rajoutĂ© des compĂ©tences qui viennent booster les coups des personnages a acheter entre les niveaux.

On peut mĂȘme acheter des tokens qui permettent de reprendre au dĂ©but de la derniĂšre nuit en cas de mort, mais attention Ă  ne pas dĂ©penser tout l’argent, il pourrait s’avĂ©rer utile avant la fin de l’aventure surtout que le dernier boss est assez retors, en tout cas pour un seul joueur. Heureusement, Streets of Red se joue aussi et surtout en coopĂ©ratif local Ă  deux ou plus et c’est lĂ  qu’il montre tout son potentiel.

 

On retrouve le plaisir du Streets of Rage des mercredis aprĂšs-midi avec les amis devant le tube cathodique !

La musique et le look du jeu y font pour beaucoup et mĂȘme si certains n’acrrocheront pas aux 50 nuances de gris et rouge du jeu, on ne peut lui reprocher une certaine originalitĂ© ici aussi.

À chaque Ă©limination, vous gagnez de l'argent qui peut ĂȘtre dĂ©pensĂ© pour des amĂ©liorations ou pour vous faire revivre lorsque vous mourrez.

Vous feriez mieux d'apprendre Ă  gagner de l'argent rapidement et Ă  le dĂ©penser intelligemment dans Streets of Red, car lorsque vous ĂȘtes mort, vos donnĂ©es de sauvegarde meurent avec vous. Les frissons, les sensations fortes, les factures, et l'opportunitĂ© d'acquĂ©rir de nouvelles compĂ©tences ici ne s'arrĂȘtera pas tant que chaque rue ne sera pas rouge de sang !

 

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🔰 Sorti sur le XBLA en 2018 Bud Spencer & Terence Hill Slaps And Beans ou Gifles et Haricots en bon Français, est le premier jeu vidĂ©o OFFICIEL de Bud Spencer et Terence Hill. Bud Spencer & Terence Hill dans leur premiĂšre aventure virtuelle.

Une toute nouvelle histoire ! Que ce soit dans le saloon d'un Western, le centre ville de Miami, dans parc d'attraction etc...

Vous allez faire le plein de conversations drÎles, des baffes et bien sûr beaucoup de grosses bagarres.

 

Slaps And Beans est un beat'em all en mode coopératif ou en mode solo, avec de nombreuses plate-forme et des mini-jeux, dans lesquels vous interpréterez les personnages de Bud Spencer & Terence Hill.

Le jeu fût un beau succÚs sur Kickstarter, sans doute du à la popularité des deux acteurs que son les deux nos protagonistes Bud Spencer & Terence Hill.

En France, on a tous vu au moins une fois un film avec Bud Spencer & Terence Hill ce qui renforce immĂ©diatement l’aspect nostalgie de l’ensemble du soft.

Ce beat’em all de la Trinity Team s’est fait une excellente rĂ©putation qui s’explique avant tout par une rĂ©alisation exceptionnelle pour un jeu "dit" indĂ©.

 

Cela ne pouvait pas commencer ailleurs qu'au Far-West.

Le colossal Bud Spencer et le facétieux et agile Terence Hill croisent la route de brigands et se dirigent vers la ville la plus proche qui semble entre de mauvaises mains.

Pour le fric, la bouffe ou les beaux yeux d'une habitante, ils vont commencer Ă  balayer les hommes de main osant se dresser devant eux pour aller s'occuper de leur chef.

Mais ce n'était que du cinéma.

Les revoilĂ  ensuite dans le monde moderne oĂč le producteur les a arnaquĂ©s en plus d'enlever une jeune femme que nos deux hĂ©ros vont tenter de sauver en allant jusqu'au douziĂšme et dernier niveau.

 

Sous des atours plutĂŽt ravissants, Spencer et Hill ont fiĂšre allure et les animations se montrent assez plaisantes, on se complaĂźt Ă  distribuer les pains.

Des gros et lourds avec le géant barbu, des plus légers et rapides avec le bellùtre.

On apprécie les contres bien placés donnant lieu à des rafales de patates ou de gifles.

On rit lorsque ce bon vieux Bud attrape deux tĂȘtes pour les cogner ou encore qu'il explose avec un bruit de quilles de bowling fracassĂ©es.

On s'Ă©tonne des esquives du poids plume. On se croit revenu en enfance.

 

Au-delĂ  du pixel art trĂšs soignĂ© et ainsi que des animations trĂšs dĂ©taillĂ©es, c’est surtout le nombre de dĂ©cors diffĂ©rents qui impressionne cela a dĂ» reprĂ©senter un travail de titans.

De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le jeu transpire la passion et multiplie les rĂ©fĂ©rences, jusque dans le gameplay qui cherche Ă  retranscrire les cĂ©lĂšbres bastons du duo, mettant ainsi l’accent sur l’interaction avec le dĂ©cor et l’utilisation d’objets qu’on peut mĂȘme tenir par deux, c'est pas une premiĂšre dans le genre.

Seul la possibilité de switcher à tout moment entre nos deux protagonistes préféré donne une dimension trÚs intéressante en solo.

Les forces de ce beat’em all son aussi les cinĂ©matographiques qui deviennent aussi ses limites, donnant parfois l’impression au joueur d’ĂȘtre simple spectateur, d’autant que le titre est souvent interrompu par des dialogues que l’on peut accĂ©lĂ©rer, ainsi que des QTE aussi que des mini-jeux.

 

Autant le concours de bouffe, sous forme de jeu de rythme, se rĂ©vĂšle intĂ©ressant dĂšs que l’on a compris sa dimension stratĂ©gique.

Mais la difficultĂ© s’en retrouve mal dosĂ©e, globalement trĂšs basse puis trĂšs Ă©levĂ©e sans crier gare, lors de certaines Ă©preuves.

Ce n’est heureusement pas gĂȘnant la plupart du temps mais, pour un jeu Ă  ce point nostalgeek, on ne s’attendait pas forcĂ©ment Ă  une expĂ©rience souffrant de problĂšmes de productions modernes


Au moins, ça a le mérite de donner envie de distribuer des baffes !

 

Les ingrédients clés de ce Slaps and Beans sont dans l'avis général :

â–șDes graphismes en pixel art.

â–șLe respect des films et bande original dont son issu les niveaux du jeu.

â–șUn systĂšme de combat au style de Bud Spencer et Terence Hill.

â–șCo-opĂ©ration en solo et multijoueur.

â–șCertain Mini-jeux.

â–șLe coup du buggy dĂ©capotable rouge et jaune.

â–șUn tas de baffes et beaucoup de fayots Ă©videmment.

 

Cet hommage Ă  Terence Hill et Ă  feu-Bud Spencer force souvent le respect, mais Slaps And Beans est hĂ©las un beat’em all bien inĂ©gal et se rĂ©serve donc aux CinĂ©philes ou aux fans de ce duo mythique avant tout.

 

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🔰 Samurai Shodown Ⅳ est sorti en 1996 sur borne d'arcade soit la mĂȘme annĂ©e que :

â–șSoul Blade sur le Namco System 11.

â–șStreet Fighter Alpha 2 sur le CPS Ⅱ.

â–șVirtua Fighter 3 sur le SEGA AM2.

â–șX-Men vs Street Fighter aussi sur le CPS Ⅱ.

En cette annĂ©e 1996 la 3D commence Ă  dominer l’arcade, et la 2D lutte en ouvrant son gameplay Ă  un public un peu plus large que la prĂ©cĂ©dente vague qui Ă©tait trĂšs difficile d’accĂšs. Techniquement, c’est beau comme tous les jeux Neo-Geo de qualitĂ© de la pĂ©riode.

 

Amakusa Shiro Tokisada, revenu d'entre les morts, a repris ses projets de monde idéal, il ranime Zankuro, et enlÚve une jeune fille, Hazuki, afin de retrouver toute sa puissance. Le vil s'est retranché avec sa proie dans son temple, et nos vaillants héros vont devoir aller le déloger.

 

Apparemment conscients de l'attachement des joueurs Ă  leurs personnages prĂ©fĂ©rĂ©s, SNK a donc remis en tĂȘte le sorcier fou Ă  la sexualitĂ© troublĂ©e ainsi que Zankuro. Ils ne sont pas les seuls Ă  effectuer le grand retour :

â–șCharlotte.

â–șJubei.

â–șTam-Tam.

Sont aussi de la partie.

 

Pour un total de dix-sept personnages jouables, trente-quatre si l'on prend en compte le choix du mode de jeu, les critiques sur l'épisode précédent ont donc été entendues, pour notre plus grand plaisir !

 

Au menu des nouveautés, signalons l'apparition d'une double barre de vie, afin de rallonger les combats.

Un nouveau mode de super est à découvrir la barre de rage, dont la durée d'utilisation dépend de la barre de vie du joueur, et qui permet de déclencher une super combo qui monte jusqu'à quatorze coups, ou une attaque fatale en un coup.

Dans notre grande série "les super coups cachés", sous certaines conditions victoire en moins de quarante secondes, provoquer l'ennemi au moins une fois, et maintenir le bouton A au moment du coup ultime, une commande appelée "No contest" apparaßtra si elle est exécutée, l'adversaire le sera aussi.

Pour conclure dans la finesse, il est possible de se faire seppuku, histoire de perdre dignement.

 

Le déroulement du jeu diffÚre quelque peu des précédents, puisque le joueur va progresser sur l'ßle d'Amakusa, avec des duels aux différents points de rencontre représentés sur une carte, jusqu'à atteindre le chùteau.

Au début de la partie, un deuxiÚme personnage, souvent le némésis de celui que l'on a choisi, part lui aussi à l'attaque du chùteau.

Un temps limite apparaßt alors passé le délai imposé, ce personnage servira de boss unique, et une fausse fin sera la seul récompense en fin de partie.

Si la contrainte est respectée, le joueur aura également la possibilité d'affronter Amakusa, puis Zankuro, et d'assister à la véritable fin.

 

Si les sprites ont lĂ©gĂšrement rapetissĂ© depuis l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent, quelle joie de goĂ»ter Ă  nouveau Ă  une sĂ©lection riche de personnages, aux graphismes lĂ©chĂ©s et Ă  l'animation, certes lĂ©gĂšrement moins dĂ©taillĂ©e que dans Samurai Shodown ⅱ, mais tout de mĂȘme d'excellente facture !

Mais cette dĂ©bauche de qualitĂ© se paie seuls deux nouveaux prĂ©tendants ont fait leur apparition d'autre part, le nombre de dĂ©cors est en baisse, avec seulement neuf stages, mĂȘme s'ils connaissent les transformations du prĂ©cĂ©dent opus enfin, c'est du cĂŽtĂ© son que le bĂąt blesse, avec quelques thĂšmes musicaux, et, Ă  la maniĂšre d'un King of Fighters 97, des ambiances sonores qui brillent par leur platitude.

 

Mais qu'importe, le titre est excellent, plus abordable que Samurai Shodown ⅱ, avec une difficultĂ© plus raisonnable et une jouabilitĂ© plus conventionnelle, mais qui bĂ©nĂ©ficie de tout le savoir-faire des auteurs de la sĂ©rie !

Je dédies une nouvelle fois cette vidéo à Suparoach Gaming qui m'a donné l'idée de faire ce jeu.

Allez voir sa chaine car c'est du trĂšs bon.

 

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti le 19 aoĂ»t 2021 sur le XBLA, Mayhem Brawler dĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Hero Concept est un Beat'em all qui nous plonge dans l'ambiance des jeux arcade des annĂ©es 90's. Avec un style BD et une bande-son incroyable, le soft offre une expĂ©rience unique Ă  vivre en solo ou en coop avec des amis, au cours de laquelle chacun de vos choix influenceront l'histoire.

C’est Ă©galement durant ces annĂ©es 90, que les Comics ont commencĂ© Ă  arborer des couleurs vives dans le mĂȘme style que Mayhem Brawler.

La direction artistique rend littéralement hommage à cette époque avec sa modélisation et surtout le thÚme abordé faisant écho aux Super Heros de Marvel ou ceux de DC Comics.

 

Le scĂ©nario est assez bien dĂ©veloppĂ© pour un beat’em all.

Les phases de narrations sont trÚs bien mises en scÚne, façon Comics avec dialogues doublés en anglais.

Cerise sur le gĂąteau, entre chaque stage, deux possibilitĂ©s scĂ©naristiques s’offrent Ă  vous, donnant sur des conclusions du jeu diffĂ©rentes.

Ce qui est assez rare et bienvenu dans ce type de jeu.

 

Vous pouvez incarner un de ses trois Super Flics dotés de capacités surhumaines pour taper du super vilain.

De nombreuses références sont passées en revue.

Lycanthropes, vampires, et mĂȘme magiciens shootĂ©s Ă  la drogue seront de la partie.

L’ensemble revisitĂ© dans une Ă©poque contemporaine bourrĂ©e aux rĂ©seaux sociaux !

 

 

Comme tout bon beat’em all old school, l’action se dĂ©roule en scrolling horizontal, avec plusieurs groupes d’ennemis Ă  massacrer avant de passer Ă  la zone suivante avant d’arriver au boss.

Il y a quelques bulles de tutoriel au dĂ©but de l’aventure mais le jeu se prend trĂšs facilement en main.

 

Dans ce jeu on retrouve un gameplay des plus simple :

Le bouton A pour cogner à répétition.

Le bouton X pour les attaques spéciales.

Le bouton B pour sauter.

Le bouton Y pour ramasser les objets au sol.

 

Malgré une prise en main simple, le niveau de difficulté est déséquilibré.

Tout seul, vous ĂȘtes rapidement submergĂ© par les vagues d’ennemis qui vous tapent sans scrupule dans le dos.

Il est assez difficile de gérer tous les adversaires à la fois.

Il faut jouer sur les diffĂ©rents niveaux de hauteur de l’écran pour les attirer du mĂȘme cĂŽtĂ©.

Il faut remplir rapidement sa jauge d’attaque spĂ©ciale pour effectuer des attaques de zone afin de vous dĂ©faire de situation Ă  risque.

 

L’aventure peut se faire Ă  deux et mĂȘme Ă  trois comme tout bon Beat'em all des annĂ©es 90's sorti sur borne Arcade DĂšs le moment oĂč il y a un deuxiĂšme joueur, l'aventure devient beaucoup plus simple.

L’intelligence artificielle est assez basique.

Les ennemis arrivent Ă  droite, Ă  gauche et vont taper le premier venu.

Il suffit alors de les coincer d’un cĂŽtĂ© et de les cogner avec la premiĂšre arme qui vous tombe sous la main. Entre les couteaux,

les battes de baseball ou encore les armes Ă  feu, il y a de quoi faire.

 

Toutefois, malgrĂ© le fun primaire que procure cette expĂ©rience, on regrettera l’absence de combo techniques pour finir les adversaires.

Il manque un cÎté spectaculaire dans la mise en scÚne surtout pour des héros.

 

Quoi qu'il en soit, Mayhem Brawler rend belle et bien hommage aux Beat'em all 2D de années 90's.

Le titre est bien réalisé et ne se prend pas du tout au sérieux et il est trÚs intéressant pour cela.

Les rĂ©fĂ©rences populaires sont lĂ©gions et l’autodĂ©rision mĂȘme du jeu vidĂ©o est au cƓur de certaines rĂ©pliques.

Il se veut extrĂȘmement accessible au dĂ©triment d’une jouabilitĂ© un peu trop simpliste, en manque de profondeur.

Toutefois, il a le mĂ©rite d’ĂȘtre drĂŽle et sans prise de tĂȘte.

C’est clairement le genre de jeu Ă  sortir en soirĂ©e dans le but de rigoler entre Potes.

 

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🔰 DĂ©veloppĂ© en 2020 par Dotemu en collaboration avec SEGA Streets of Rage 4 Ă©tait attendu par toute une floppĂ© de fans, encore plus dans la conjoncture actuelle, Streets of Rage 4 fait mouche juste comme il faut, sans commettre d’impairs majeurs mais sans rĂ©volutionner le genre ni la saga non plus.

C’était aussi le credo des diffĂ©rentes Ă©quipes de dĂ©veloppement, qui avait Ă  cƓur de proposer un opus dans la lignĂ©e, mais avec le dosage de nouveautĂ©s nĂ©cessaire pour ne pas tomber dans le remake pur et dur.

Vous l'aurez compris, Streets of Rage 4 est une véritable réussite !

 

Streets of Rage c’était avant tout une affaire de coups de poings et de coups de pieds, d’ambiance crade et d’environnements variĂ©s que les musiques de Yuzo Koshiro et de Motohiro Kawashima sublimaient, entrainant les joueurs au rythme de la basse et des combinaisons A, B, C. comme dans les Beat'em All de l’époque.

Tout comme Double Dragon et Final Fight que l'on présente plus étant les concurrents direct des Streets of Rage, ont au fil des années créé des univers de plus en plus fouillés, espérant ainsi palier le caractÚre intrinsÚquement répétitif de ces jeux.

 

Plus de 25 ans se sont aujourd’hui Ă©coulĂ©s entre Streets of Rage 3 et son successeur, sauver Ă  nouveau la ville n’est donc plus un simple souvenir mais bien une rĂ©alitĂ©.

MalgrĂ© quelques tentatives avortĂ©es quant Ă  la rĂ©alisation d’un quatriĂšme opus, c’est en aoĂ»t 2018 que sont apparus les premiers chara designs d’Axel et Blaze, promettant un retour en force moderne.

Encore une fois, dans une ville sur le point d’explose et les anciens flics dĂ©cident Ă  nouveau de tous les battre Ă  poings nus.

 

Let's Go. PassĂ©s la cinĂ©matique et les illustrations qui dĂ©voilent l’intrigue, le premier niveau se lance :

une ruelle sale, des ennemis qui surgissent par dizaines, ne demandant qu’à se faire laminer sur un thĂšme entrainant, toujours inspirĂ© par l'Euro Dance et le New Jack Swing on y est !

 

Nostalgie mise Ă  part, la direction artistique est vraiment trĂšs soignĂ©e, que ce soit avec les dĂ©cors, les lumiĂšres, malgrĂ© le choix un peu Ă©trange d’avoir un rendu proche du toon shading, appuyant donc fortement les contours des personnages et des objets.

En se basant sur les sprites des trois premiers jeux, dont certains possÚdent des cernes visibles, le directeur artistique Ben Fiquet et l'illustrateur Julian Nguyen-You les ont rapproché de l'animation japonaise.

Leurs croquis rĂ©vĂšlent ainsi une nette volontĂ© d’avoir un aspect plus cartoon/manga pour les diffĂ©rents personnages pour ma part j'y vois surtout le style de la Toei Animation, cohĂ©rent donc mais pas forcĂ©ment au goĂ»t de tous. Le cĂŽtĂ© « hip and cool » de certains nouveaux ennemis est aussi bienvenu qu’il peut parfois s’avĂ©rer grotesque.

NĂ©anmoins l’ensemble, des menus aux illustrations et aux animations des personnages, rend trĂšs bien Ă  l’écran, passĂ©s les quelques instants pour oublier que Streets of Rage n’est plus un jeu 16Bits.

 

Les environnements des 12 niveaux contrairement Ă  8 pour les trois premiers jeux sont extrĂȘmement variĂ©s et donnent envie de les refaire pour apercevoir quelques dĂ©tails ou rĂ©fĂ©rences cachĂ©es, voir mĂȘme y perdre du temps pour profiter des ambiances et des musiques.

Les ennemis, pas aussi variés que ce que les premiÚres images du jeu laissaient penser les Dylan et autres Kevins avec leurs coups de pieds traitres sont les nouveautés les plus courantes, reprennent les designs des jeux précédents, mais aprÚs tout un Galsia reste un Galsia et un Donovan reste un Donovan le mal ne vieilli pas à Wood Oak City.

MĂȘme le dĂ©cor s’en prend parfois Ă  nos hĂ©ros, les forçant Ă  tomber dans des trous, Ă  Ă©viter des cĂąbles Ă©lectriques et des produits toxiques et Ă  ne pas frapper dans des bidons explosifs.

 

MalgrĂ© la linĂ©aritĂ© des niveaux de gauche Ă  droite en deux tableaux et un boss, avec la variante de dĂ©filement vertical, le plaisir est lĂ  et les combos s’enchainent, parfois de justesse, juste avant qu’un ennemi ne marque une interruption en vous frappant.

 

Les ennemis semblent bien plus nerveux et savoir d’emblĂ©e comment profiter des frames d’extrĂȘme vulnĂ©rabilitĂ© pour frapper les personnages et mĂȘme les balancer de l’autre cĂŽtĂ© de l’écran qu’il faut donc pĂ©niblement traverser Ă  nouveau, certains de leurs coups paraissent mĂȘme imparables ayant la prioritĂ© sur ceux des hĂ©ros globalement tout ce qui relĂšve du jeu aĂ©rien.

D’autres ennemis ont l'air de maĂźtriser parfaitement la notion de hit box, Ă  tel point que celle des hĂ©ros passe pour ĂȘtre bien plus importante que celle de leurs opposants.

 

Streets of Rage 4 est une incroyable surprise et le digne héritier de la série culte.

Magnifique sur le plan visuel, le gameplay a Ă©galement pris un petit coup de jeune avec de nombreux ajouts, tout en gardant des bases classique.

Enfin, l’OST se rĂ©vĂšle moins marquante qu’à l’époque, tout en restant de bonne facture et on dĂ©plorera l’absence d’un mode entrainement pour s’entraĂźner Ă  rĂ©aliser ses combos Ă  la perfection.

 

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  • 3 semaines plus tard...

🔰 Les Turtles sont de sorti et prĂȘt pour en dĂ©coudre !

 

C'est une poursuite sauvage Ă  travers l'espace et le temps qui attend les Teenage Mutant Ninja Turtles dans cette aventure.

A travers des dimensions nos Turtles mettent tout en Ɠuvre pour arrĂȘter Shredder et le Kraang les ennemis mythique des Turtles.

Combattez comme les tortues Ă  travers des mondes glacials et volcaniques, sur les toits chaotiques de New York et mĂȘme du Technodrome tous un programme ! Affrontez d'anciens ennemis reconnaissables comme Bebop & Rocksteady, ainsi que de nouvelles hordes dotĂ©es de nombreuses capacitĂ©s mortelles.

 

Collectionnez de nouveaux costumes pour les tortues lors de votre voyage, chacun avec ses propres pouvoirs spéciaux qui peuvent faire ou défaire le prochain combat !

Le concept des tenus et génial. C'est pour moi un trÚs bon Beat'em all car le jeu est bourré de bonne idée comme switch de persos et prendre ses aptitudes à tous moments ou se réunir pour des attaques ciblé et combo de fou !

 

Le jeu est bien fait, ça bouge et c'est lisible pour celui qui joue. En somme vous aimez les Beat'em all bien nerveux je vous conseil celui-ci.

 

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🔰 Au top !

Si la franchise Marvel Vs Capcom possĂšde un certain succĂšs en Europe, elle connaĂźt sĂ»rement son plus gros succĂšs aux États-Unis, notamment avec l’épisode Marvel Vs Capcom 3, arrivĂ© en pleine pĂ©riode de revival du jeu de combat.

A ses origines, notamment boostĂ© par le succĂšs des sĂ©ries animĂ©es des diffĂ©rentes sĂ©ries de Marvel, comme celle de X-Men, Capcom a rĂ©alisĂ© en 1996 un premier Ă©pisode sur borne d’arcade puis PS1 nommĂ© X-men Vs Street Fighter.

Le succĂšs fut au rendez vous et il ne faudra attendre qu’une annĂ©e pour voir sa suite arriver Marvel Super Heroes Vs Street Fighter.

L’idĂ©e d’incorporer diffĂ©rents personnages venus d’autres productions de Capcom n’arrivera que en 1998, avec le premier Ă©pisode de Marvel Vs Capcom, sous nommĂ© Clash of the Super Heroes.

 

AprÚs deux autres suites, la franchise reviendra cette année avec un tout nouvel épisode nommé Infinite

 En attendant la sortie attendue de cet Ă©pisode, Capcom propose aujourd’hui sur nos consoles actuelles le dernier Ă©pisode en date de la sĂ©rie, c’est-Ă -dire Ultimate Marvel Vs Capcom 3.

La version de Ultimate Marvel Vs Capcom 3 qui nous a été permis de jouer est donc un remaster du jeu sorti en 2011, proposant alors un upscale 1080p promettant également 60 images par seconde.

Le rĂ©sultat est pour le coup assez convaincant et le jeu n’a pas vieilli du tout en cinq ans.

Les effets de lumiĂšres sont tout aussi convaincants.

On pourra cependant reprocher au jeu de ne pas avoir changĂ© son netcode, c’est-Ă -dire sa gestion du mode en ligne, ne permettant pas aujourd’hui un mode de jeu online convaincant.

 

AprĂšs une excellente mise en bouche de l’ambiance du titre par une introduction animĂ©e assez nerveuse, vous arrivez dans le menu principal du jeu.

Trois choix principaux s’offrent Ă  vous : le mode local, vous proposant ainsi d’effectuer le classique mode arcade, versus, entraĂźnement, ainsi qu’un mode mission vous permettant d’apprendre les diffĂ©rents combos pour chaque personnage le mode en ligne vous permettra de jouer contre vos amis ou le monde entier et le mode hĂ©ros et hĂ©rauts.

On pourra cependant reprocher le manque d’un vĂ©ritable mode tutoriel, qui aurait permis au nouveaux venus de vĂ©ritablement envisager le jeu dĂšs sa base.

Le mode hĂ©ros et hĂ©rauts vous permettra, que ce soit en ligne ou en local, d’enchaĂźner les diffĂ©rents affrontements afin de conquĂ©rir les diffĂ©rents territoires composant le monde. Vous pourrez le faire du cotĂ© ainsi des hĂ©ros ou des vilains, mais vous possĂ©derez le mĂȘme choix de personnage, pour plus d’équilibre du jeu.

AprÚs chaque affrontement, vous récupérerez différentes cartes, que vous pourrez combiner afin de créer différents boost pour votre équipe.

Le mode, original par rapport aux diffĂ©rents modes histoires proposĂ©s habituellement dans les diffĂ©rents jeux de combats, permet pour le coup un peu de variĂ©tĂ©. Ultimate Marvel Vs Capcom 3 reste un jeu plutĂŽt complet encore aujourd’hui je m'explique :

 

Un des Ă©lĂ©ments difficile lors de la crĂ©ation d’un jeu cross-over est de pouvoir proposer un univers visuel cohĂ©rent.

Un des gros points forts de ce titre est d’avoir encore une fois rĂ©ussi Ă  mixer parfaitement les diffĂ©rents univers et proposer une vĂ©ritable cohĂ©rence.

Cette cohérence se retrouve bien entendu également de façon sonore, avec différents thÚmes réussis.

Vous aurez le choix lors de chaque combat de crĂ©er votre propre Ă©quipe de trois personnages issus de n’importe quel univers.

Chaque personnage possÚde bien entendu ses spécificités et combos, et il vous faudra de plus choisir la furie de chacun de vos personnages.

La série des Marvel Vs Capcom a su se renouveler à chaque épisode, et cherche à proposer une expérience accessible au grand public mais profond pour les connaisseurs.

 

Ce troisiÚme épisode canon à complÚtement changé la formule.

Si le jeu reste sur une utilisation de 6 boutons, d’une gestion des combos par des quarts et demis cercles, cet Ă©pisode s’est sĂ©parĂ© de son ancien systĂšme de jeu.

Les deux autres boutons restant sont utilisés de leur cÎté avec les partenaires de combat. Vous pourrez ainsi les appeler pour effectuer un combo avec eux, effectuer une attaque spéciale combinée, ou encore pouvoir échanger de place avec celui-ci.

Le jeu est ainsi fait pour ĂȘtre trĂšs dynamique, et pour crĂ©er de vĂ©ritables combos dĂ©vastateurs.

Le tout permet ainsi de véritablement mettre en avant les cinquante personnages jouables du jeu.

Le jeu possĂšde Ă©galement un mode simple, simplifiant la rĂ©alisation des combos, permettant aux dĂ©butants de pouvoir Ă©galement profiter facilement du jeu, mĂȘme si Ultimate Marvel Vs Capcom 3 fait partie de ces jeux pouvant ĂȘtre le parfait 1er jeu de combat pour un nouveau joueur.

Les joueurs beaucoup plus expĂ©rimentĂ©s pourront ne pas aimer l’approche trop arcade et moins technique du jeu en comparaison Ă  un Street Fighter ou un Tekken. Mais le systĂšme de combos est assez bien rĂ©flĂ©chi et pensĂ© pour proposer assez d’interactions pour les joueurs les plus exigeants.

 

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On continu encore et encore.
🔰 Marvel VS Capcom a longtemps reprĂ©sentĂ© pour moi le jeu de combat ultime.

Pas trop compliqué, ultra bourrin, on peut facilement y jouer avec un pote n'a jamais touché au jeu.

Puis est venu Street Fighter IV, graphiquement j'ai beaucoup aimé mais je l'ai trouvé beaucoup trop technique.

Les combats relÚvent plus de la tactique que du fun puis mon dieu, ce boss final totalement Cheaté.

 

J'avoue avoir été inquiet quand j'ai vu les premiÚres images de ce Street Fighter X Tekken mais bon, on ne sait jamais.

Je lance le jeu et je tombe sur une cinématique comme Capcom sait le faire, le genre qui vous laisse avec un filet de bave aux lÚvres et vous donne furieusement envie de vous y mettre

 On peut mĂȘme espĂ©rer qu'un mode histoire soit prĂ©sent vu la qualitĂ© de la cinĂ©matique mais non, exactement la mĂȘme dĂ©ception comme Marvel VS Capcom 3.

Enfin si, il y a un petit effort avec une intro avec un bÎ dessin et une cinématique de clÎture pour chaque duo mais bon c'est tellement risible à cause du pitch de départ.

Une boßte sort de nulle part et tout le monde se défonce la gueule pour la récupérer, on a vu bien mieux. Les fins sont trÚs courtes et ne servent presque à rien tant la narrativité est proche du néant.

 

Y en a certaines qui font sourire mais quand on voit l'effort de Namco avec Tekken 6 mĂȘme si l'histoire Ă©tait un peu bidon, au moins elle existait et avait le mĂ©rite de pousser le joueur Ă  la vivre. Tant pis si la durĂ©e de vie est riquiqui comme Fight Night Champion.

Bon encore une dĂ©ception, espĂ©rons qu'on n'aura pas la mĂȘme chose avec Tekken X Street Fighter.

Toutefois pour le reste, Street Fighter X Tekken est un excellent jeu. Le gameplay s'inspire Ă  la fois de Street Fighter IV et de Marvel VS Capcom.

Du quatriÚme Street Fighter, on conserve les coups (simplifiés) et de Marvel VS Capcom, l'idée des teams ce qui donne un cocktail détonnant et d'une fluidité à toute épreuve.

 

Il fallait bien ça pour pallier à la déception du solo.

Les coups spĂ©ciaux sont spectaculaires mĂȘme si elles n'atteignent pas le dĂ©lire clownesque de l'autre crossover avec Spidey. En tout cas, c'est agrĂ©able, les dĂ©butants et les professionnels pourront se rencontrer sans trop se plaindre.

A noter aussi l'apparition de mini gemmes pour booster provisoirement les coups mais ça reste tout de mĂȘme anecdotique.

Graphiquement, c'est beau et la surprise, c'est de voir les personnages de Namco s'intĂ©grer Ă  merveille dans l'univers Capcom Ă  tel point que pour les personnages les plus obscurs des deux saga, on n'arrive mĂȘme pas Ă  savoir s'il est de Capcom ou Namco.

Un trÚs bon point aussi pour les décors, s'ils sont peu nombreux, fourmillent tellement de vie qu'il est parfois difficile de ne pas laisser notre regard vagabonder j'ai perdu un combat comme ça.

 

Au niveau modes de jeu on est pas mal, c'est basique, le mode arcade histoire en fait, un versus, un mode online, entraßnement et des défis.

Bon ben, ils ne se sont pas foulé le cul donc je ne le ferais pas non plus. En conclusion.

Street Fighter X Tekken est un excellent jeu de combat en soi mais à présent, je considÚre que pour devenir excellent, un jeu de combat doit proposer une histoire comme Tekken 6 ou Fight Night Champion du coup, je le recommande a tous le fan de Vs fighting.

 

 

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Les Girls son de sorti et elle son pas lĂ  pour te faire la bise !

River City Girls est un beat'em up conçu en pixel art et doté d'une composante exploration RPG.

Il nous met dans la peau de Kyoko et Misako, deux étudiantes adeptes des arts martiaux qui en découdront avec divers gangs locaux afin de sauver leurs compagnons.

 

River City Girls n’ait pas retenu votre attention.

Et pourtant c'est le digne successeur de Nekketsu Monogatari.

VĂ©ritable lettre d’amour des dĂ©veloppeurs de WayForward Ă  la licence Kunio-kun River City Ransom ou en bon Japonais Nekketsu Monogatari et la ribambelle de jeux de sport et d’action qui ont suivi, ce beat’em up Ă  l’ancienne au style pixelisĂ© part avec de sĂ©rieux atouts dans sa manche pour titiller la fibre nostalgique.

 

AprĂšs l’hommage aux annĂ©es 1980 dans Double Dragon Neon, le studio amĂ©ricain nous plonge cette fois-ci dans la dĂ©cennie suivante, souvent perçue comme celle de l’ñge d’or de la castagne 2D.

Reste Ă  voir si ce spin-off tĂ©moigne d’un aussi grand respect Ă  la saga initiale.

Visuellement, River City Girls est une franche réussie grùce à son Pixel Art de qualité. Non seulement trÚs joli, celui-ci se montre surtout trÚs détaillé et criant de vie. Les animations ne sont pas en reste que ce soit pour nos combattantes ou pour les ennemis.

Perso i love.

 

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Il y a 2 heures, GOONIES a dit :

J aime bcp ce jeu I love this Game 💘 un poil rĂ©pĂ©titif peut ĂȘtre

Tu as raison mon GOONIES les 30 premiÚre minute ça tourne en rond mais aprÚs 1 heure de jeu quand tu prend des compétences là c'est bien plus nerveux.
HĂ©site pas à passer me voir sur ma chaine YT je parlerais bien volontiers avec toi mon GOONIES👌.

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il y a 27 minutes, akumasan a dit :

HĂ©site pas à passer me voir sur ma chaine YT je parlerais bien volontiers avec toi mon GOONIES👌.

J'aimerai beaucoup voir cette chaine mais Ă©tant donnĂ© que je n'ai pas vu passer de lien, je ne sais pas quel est ta chaine mais peut ĂȘtre est-elle privĂ©e ? 😉

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Dans ma vie de gamer il y a des jeux dont je me refait encore et encore !
MĂȘme si on a des PC surpuissant je reviens toujours a Soul Reaver.

Alors celui-ci je ne m'en lasserais jamais, tout comme un certain Metal Gear Solid sur cette mĂȘme bĂ©cane.

Que dire de Legacy of Kain Soul Reaver à part que ce n'est ni plus ni moins qu'un chef d'Ɠuvre.

Le jeu est excellent Ă  tout les niveaux.

 

PastÚque sur le tiramisu les voix Française de Morgan Freeman et de Kevin Costner pour Raziel te met direct dans le bain.

Tout est bon dans ce jeu a commencer par le gameplay qui est au top, son OST envoie du lourd et que dire de son scenario digne d'un blockbuster que l'on aime voir et revoir. Lui trouver des dĂ©fauts va pas ĂȘtre facile.

 

Voici l'histoire:

En détruisant les piliers de Nosgoth, Kain est devenu le maßtre incontesté du plan des humains. Un siÚcle plus tard, il engendre des serviteurs vampires, comme lui, qui le servent loyalement.

Encore plus tard, alors que le monde est corrompu par la dĂ©mence et la cruautĂ©, de nombreuses mutations s'opĂšrent au sein de la communautĂ© vampirique. Vous ĂȘtes Raziel, un des fidĂšles de Kain, et vous venez d'obtenir une somptueuse et diaphane paire d'ailes aprĂšs une mutation.

Ne disposant pas encore de tels attributs, Kain décide de vous bannir pour laver cet affront. Il vous condamne à brûler dans le vortex pour l'éternité.

Mille ans de souffrances s'Ă©coulent et l'Ancien, une puissance mystique, vous ramĂšne alors Ă  la vie, ou plutĂŽt Ă  la mort.

Le faucheur d'Ăąmes que vous ĂȘtes devenu est prĂȘt Ă  se venger de la perfidie de son ancien maĂźtre.

Tout le jeu prend place dans une ambivalence des lieux.

Vous venez en effet du royaume spirituel, un lieu oĂč vous n'avez aucun contact physique avec l'extĂ©rieur.

De l'autre cĂŽtĂ© du miroir, le monde rĂ©el oĂč vous interagissez avec le reste de votre environnement.

 

Au final, chaque niveau a en fait son pendant de ténÚbres.

Lorsque vous mourez dans le monde réel, vous réapparaissez instantanément dans le monde spirituel. Autant les niveaux "réels" sont sans limite apparente et vous y avancez continuellement, autant les niveaux spirituels sont découpés en portions avec à chaque fois, un portail pour revenir dans le monde réel.

Ainsi, de nombreux objets sont présents dans les niveaux pour vous faciliter la tùche. Par exemple, des portails sont placés à certains endroits du jeu pour vous permettre de vous déplacer aisément, comme les autels à métamorphose dans le premier Legacy of Kain.

 

Je suis un grand fan de ce jeu et je lui rend hommage en faisant des vidéos dessus.

 

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🔰 Sorti en Avril 2011sur Xbox 360, The Dishwasher Vampire Smile est un Beat’em All en 2D dĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Ska Studios.

Il s'agit de la suite du déjà excellent The Dishwasher Dead Samurai sorti en 2009.

Donc dans ce deuxiĂšme Ă©pisode, vous incarnez la belle-sƓur du Dishwasher s’adonnant Ă  une vendetta sanglante contre ceux qui l’ont enfermĂ©e et transformĂ©e en monstre.

 

La narration est volontairement glauque dans sa réalisation.

Elle prend d’ailleurs la forme d’un Comics en proposant des images fixes entre les niveaux, trĂšs joliment illustrĂ©es dans un style noir et blanc trĂšs dĂ©lavĂ©, parsemĂ©es de bulles de dialogue.

Vous allez me dire que de toute façon, le scĂ©nario dans un jeu typĂ© arcade, ce n’est pas trĂšs important.

C’est trĂšs certainement ce pourquoi les dĂ©veloppeurs se sont permis ces excentricitĂ©s qui, si elles desservent la clartĂ© du scĂ©nario, renforcent l’ambiance particuliĂšrement sombre et glauque de leur jeu.

 

Maintenant que le décor est posé, parlons gameplay, parlons baston.

Le mode story se découpe en une succession de niveaux de dix minutes environ.

Vous avez le choix entre Yuki ou le Dishwasher.

La progression sera la mĂȘme avec les deux personnages bien qu’ils jouissent d’une vision scĂ©naristiquement diffĂ©rente.

Bien Ă©videmment, ils disposent de leurs animations et de leurs propres armes, qui s’élĂšvent au nombre de quatre pour celles de contact et au nombre de deux pour les armes Ă  feu. Elles seront successivement dĂ©bloquĂ©es au fur et Ă  mesure de l’histoire.

 

Ici, le style de jeu se veut ĂȘtre du smash button.

Une touche pour taper avec votre arme principale, une pour une frappe lourde, une autre pour faire une prise ou exécuter votre adversaire une fois sa vie basse et une pour sauter.

Le choix vous est Ă©galement donnĂ© de tirer avec votre arme Ă  feu mais aussi et surtout d’esquiver via des dashs.

Car en effet, vous passerez le plus clair de votre temps à spammer la touche de frappe tout en esquivant en boucle tant l’esquive vous rend invincible pendant son trajet.

Et une fois que les ennemis n’ont plus de vie, de les achever via une prise, une attaque lourde ou encore un assaut sur plusieurs cibles en phase d’exĂ©cution.

Si l’on pourrait penser que tout ceci finirait par ĂȘtre rĂ©pĂ©titif, il n’en est rien.

L’action se veut si nerveuse, la difficultĂ© si bien dosĂ©e et le visuel si brutal et jouissif que mĂȘme aprĂšs plusieurs heures de jeu, le plaisir reste intact.

Sept niveaux de difficultĂ© sont d’ailleurs prĂ©sents, de quoi satisfaire tous les types de joueurs.

Le tout sur fond de musique mĂ©tal, renforçant l’ambiance immersive.

 

En jeu, vous pourrez crĂ©er deux ensembles d’armes diffĂ©rents qu’il vous sera possible de switcher via une touche.

Si cette manipulation n’est pas indispensable, il faut dire qu’elle est trĂšs intĂ©ressante.

Car en effet, elle permet d’effectuer des combos plus impressionnants Le changement d’arme se fait quasiment instantanĂ©ment et ne casse aucunement le combo en cours.

Vous avez donc la possibilitĂ© de dĂ©marrer un combo, changer d’arme pour le continuer, changer de set d’arme et de rĂ©pĂ©ter l’opĂ©ration.

De quoi vous occuper avec plus d’efficacitĂ© des nombreux boss qui viendront se mettre en travers de votre chemin.

 

En plus de vos armes, des compétences magiques se rendront disponibles au cours de votre aventure.

Elles nĂ©cessiteront un crĂąne magique pour ĂȘtre utilisĂ©es, qui se remplira Ă  force de tuer des ennemis.

Vous accumulerez Ă©galement des points d’amĂ©lioration qui serviront Ă  augmenter la puissance de vos armes, magies, jauge de santĂ© ou mĂȘme acheter de la nourriture servant de potion en combat.

 

Mais le titre ne se limite pas Ă  son mode histoire.

Un mode arcade est disponible en proposant cinquante niveaux diffĂ©rents sous forme de dĂ©fis comme ne faire que des combos aĂ©riens ou encore de tuer tous les ennemis en moins d’une minute.

La difficulté y est encore une fois trÚs habilement dosée, rendant ce mode trÚs addictif.

Un mode survie est de la partie lui aussi.

Il y est question de survivre le plus longtemps possible avec le personnage et les armes que vous aurez soigneusement choisis.

Et puis il y a le mode coopératif, qui est inutile de présenter tant son appellation est suffisamment éloquente.

Jamais le dĂ©chiquetage de cyborgs n’aura Ă©tĂ© aussi fun entre amis.

 

Vous l’aurez compris, The Dishwasher Vampire Smile est une pĂ©pite du genre Beat’em All.

Avec son gameplay simple mais efficace, sa direction artistique particuliĂšrement originale et sa tendance Ă  faire enchaĂźner frĂ©nĂ©tiquement les parties aux joueurs, le titre de Ska Studios aura rĂ©ussi Ă  se faire une place aux cĂŽtĂ©s des plus grands titres de l’arcade.

De l’hĂ©moglobine, du mĂ©tal et des bons copains, tout ce qu’il faut pour passer un bon moment.

 

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il y a 5 minutes, akumasan a dit :

🔰 Sorti en Avril 2011sur Xbox 360, The Dishwasher Vampire Smile est un Beat’em All en 2D dĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Ska Studiosï»ż.

 

Ska Studios, du trĂšs bon, un style visuel Ă  part, de l'action, du gore, une boucherie 😁 , d'ailleurs je conseille un autre jeu du studio : "Salt and Sanctuary" qui lui se range plus dans la catĂ©gorie "Igavania" mĂȘme s'il y a des similitudes sur certains aspects, normal c'est du Ska 😅.

 

P.S: oui je sais que « beat’em all » ça se dit en France mais le bon terme est « beat ’em up » (source Mo5) 😉 (oui c'est un dĂ©tail et les 2 expressions sont utilisĂ©s) 😉 👍

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Il y a 4 heures, Bibinou67 a dit :

 

Ska Studios, du trĂšs bon, un style visuel Ă  part, de l'action, du gore, une boucherie 😁 , d'ailleurs je conseille un autre jeu du studio : "Salt and Sanctuary" qui lui se range plus dans la catĂ©gorie "Igavania" mĂȘme s'il y a des similitudes sur certains aspects, normal c'est du Ska 😅.

 

P.S: oui je sais que « beat’em all » ça se dit en France mais le bon terme est « beat ’em up » (source Mo5) 😉 (oui c'est un dĂ©tail et les 2 expressions sont utilisĂ©s) 😉 👍

Salut mon Bibinou je l'ai Salt and Sanctuary d'ailleurs je ferais des vidéos dessus trÚs prochainement car là je suit mon planning de vidéo.

J'enregistre d'abord mes vidéos sur Huntdowm que je posterais sur ma chaine et également ici dans le topic Fiston ! Tais toi ! Cours et Tire !

PS: J'ai toujours Ă©crit Beat'em all comme j'ai toujours Ă©crit Shoot'em up 😉

Petit screen shoot Bibinou tu va tout de suite reconnaitre le Hit 😉

 

 

 

 

saltbibi4.png

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