Zaito Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 @Aflow Moi aussi j'y joue, ses comme Pac Man 99 et Bomberman 99, un jeux a 100 joueurs en battle royal avec élimination, j'aime bien. lulu2010, Kenra2 and Aflow 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 Autant j'aime bien f zero sur snes/gameboy et N64... Autant, là, c'est compétitif et complexe et je n'ai donc plus de plaisir car c'est beaucoup plus difficile et plus orienté sur prendre des risques de plus en plus important tout en faisant attention à une tonne de trucs. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Zaito Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 @Gaga46 Moi j'aime bien, je suis jamais premier mais bon, genre Tetris 99, plus tu va vite et plus tu envois des malus au 99 autres joueurs. Ses sur ses très dure d'être premier, mais ont peu toujours jouer avec d'autre gens qui aime bien le même jeux quoi, tu joue avec des gens ses le seul intérêt, être premier faut vraiment y jouer beaucoup. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 Je ne dirais pas que mon seul intérrêt était d'être premier mais plutôt que je ne vois pas comment mieux jouer vu que je ne suis pas premier donc peu importe si je joues plus risqué ou non, je meurt aussi rapidement. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted August 12, 2024 Share Posted August 12, 2024 🔰 Dernière vidéo pour clôturer cette trilogie des Assassin's Creed Chronicles avec l'opus INDIA et j'espère vous avoir donné envie, à votre tour, de faire cette trilogie. Cette fois-ci nous somme en 1841, l'assassin Arbaaz Mir reçoit pour mission de déjouer les plans d'un Maître Templier en possession d'un artefact appartenant à sa confrérie. Du fait de son amour pour la princesse Sikh, il va également prendre part au conflit opposant l'Empire Sikh et la Compagnie Britannique des Indes Orientales. Le diamant Koh-i-nor vient alors s'ajouter aux enjeux. Koh-i-Nor signifie "montagne de lumière" en farsi. La Reine Victoria en devint propriétaire lorsque les Britanniques le confisquèrent au dernier souverain Sikh, âgé de 11 ans, Dhulîp Singh. C'est pourquoi, il est actuellement monté sur la couronne de la famille royale britannique et c'est en Inde que les premières mentions du diamant sont retrouvées, mais son origine reste inconnue. En 1739, le diamant tomba en possession du perse Shâh Nâdir qui le renomma Koh-i-Nor. Assassin's Creed Chronicles : INDIA est teinté d'un graphisme aux couleurs chaudes, vives et harmonieuses animant les paysages et les personnages. Le tout est vivifié par des yantra, nommés également mandala dans le bouddhisme qui fleurissent à l'horizon et encerclent les cinématiques. Toutefois, les phases de course contre-la-montre lors desquelles le level design s’effondre suite au passage de l'assassin sont basées sur le même modèle que ceux d'Assassin's Creed Chronicles : CHINA, aussi bien pour le gameplay que pour les couleurs ternes qui dépeignent ces phases de jeu. De plus, sur les douze missions à accomplir, celles se déroulant dans un Afghanistan ébranlé par une bataille nocturne sont toutes aussi ternes. En prenant compte des trois heures nécessaires pour terminer l'aventure principale, la moitié du temps se déroule dans ces paysages ternes. Moins de cinq heures suffiront à terminer les douze missions, cela même sans effectuer un sans faute. Ce qui n'est pas réellement un défaut puisque toutes les missions se ressemblent. Les trophées, le mode New Game+ ainsi que le système de scoring sont les principaux moteurs de la rejouabilité. Le mode New Game+ permet de rejouer l'aventure en préservant les capacités déjà débloquées. C'est via le système de scoring que l'assassin Mir va augmenter sa possibilité à porter plus d'outils/armes et développer de nouvelles capacités telles que le multi kill et celles liées à l'hélix. Et cela d'une façon aléatoire ne permettant pas aux joueurs de décider dans quel domaine se perfectionner. L'hélix peut considérablement faciliter le jeu puisqu'il permet de devenir invisible. Capacité qui paraît incongrue dans un jeu d'infiltration, excepté si elle est bien exploitée comme dans Mark of the Ninja. Mais dans Assassin's Creed Chronicles : INDIA, en user revient à faire tomber momentanément la difficulté à zéro. Pour exemple, suite à son passage en Afghanistan, Arbaaz Emir se retrouve dépouillé de toutes armes et outils, ce qui aurait dû pimenter le gameplay, or il est impossible de poursuivre sans user de la faculté d'invisibilité. Alors que le gameplay avait la possibilité d'exiger des phases d'infiltration sans droit à l'erreur, c'est à peine si les serrures ont besoin d'être crochetées. D'autant plus, que la liberté de parcours réside dans le choix d'aller chercher des items dans l'ordre voulu, tandis que l'aventure possède une trajectoire prédéfinie que l'assassin se doit de suivre pour avancer. Le couple que forment Arbaaz et Pyara est doublé dans un anglais sans accent audible en Inde. Un fait étrange est à noter à ce sujet, de manière irrégulière, Arbaaz roule le «r» de son prénom, mais ne le fait pas pour les autres personnages qu'il rencontre. Les gardes locaux s'expriment également en anglais mais roulent tous les «r». Tous ces détails pour en venir au fait que l'immersion n'est pas vraiment au rendez-vous. La différence principale avec ses prédécesseur CHINA & RUSSIA est la colorimétrie qui est la plus belle des trois opus. Le gameplay suit les mêmes bases que les opus précédent : Comportement de l'IA, commandes de sauts, course contre-la-montre. Assassin's Creed Chronicles : INDIA présente aussi les mêmes défauts : scénario, doublage, redondance du gameplay. En plus d'y ajouter les siens, comme le dosage houleux de la difficulté. Assassin's Creed Chronicles : INDIA a bénéficié d'une réalisation graphique soignée qui a su refléter l'atmosphère de la Compagnie Britannique des Indes Orientales. Mais sans la base de données, le fond historique peut passer quasiment inaperçu. GOONIES, Aflow and CopyCat 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
UnderGlitcheur Posted August 14, 2024 Share Posted August 14, 2024 je me fais paper mario sur 64, trop sous coté ce jeu lulu2010 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted August 14, 2024 Share Posted August 14, 2024 Il y a 9 heures, UnderGlitcheur a dit : je me fais paper mario sur 64, trop sous coté ce jeu en quoi il le serait? Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Tiens @UnderGlitcheur moi aussi je suis en ce moment dans Paper Mario 64 ! J'ai atteins le niveau 17 et je me prépare à rentrer dans le champ de fleurs ^^ Mais pourquoi n'ont-ils pas gardé cette dimension évolutive de niveau dans les autres Paper Mario qui ont suivi La porte millénaire ? J'espère qu'ils en ressortiront un un jour. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Et une capture d'écran plus ancienne 😆 de Goombario : Gaga46 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Par contre (pour Paper Mario 64), 30 points Badge maxi, c'est un peu léger ! Link to comment Share on other sites More sharing options...
UnderGlitcheur Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Il y a 16 heures, Aflow a dit : Tiens @UnderGlitcheur moi aussi je suis en ce moment dans Paper Mario 64 ! J'ai atteins le niveau 17 et je me prépare à rentrer dans le champ de fleurs ^^ Mais pourquoi n'ont-ils pas gardé cette dimension évolutive de niveau dans les autres Paper Mario qui ont suivi La porte millénaire ? J'espère qu'ils en ressortiront un un jour. en vrai je suis assez d'accord, ca me manque le fait de maxer ses stats comme ca, ca fait bcp plus rpg. Perso j'ai finis le jeu deux fois et j'en étais a la sortie du manoir de lady bow pour avancer un peu mon cousin 😆 Il y a 15 heures, Aflow a dit : Par contre (pour Paper Mario 64), 30 points Badge maxi, c'est un peu léger ! je savais meme pas que y'avais un max mais c'est giga nul dcp, on peut meme pas tout équiper ;-; Link to comment Share on other sites More sharing options...
UnderGlitcheur Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 Le 14/08/2024 à 20:12, Gaga46 a dit : en quoi il le serait? jdis ca psk personne en parle, il est passé à la trappe alors qu'en vrai il a rien à envier aux autres je trouve Link to comment Share on other sites More sharing options...
UnderGlitcheur Posted August 15, 2024 Share Posted August 15, 2024 je suis gaga des rpg paper mario et des mario et luigi Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted August 16, 2024 Share Posted August 16, 2024 Il y a 2 heures, UnderGlitcheur a dit : je savais meme pas que y'avais un max mais c'est giga nul dcp, on peut meme pas tout équiper ;-; bah c'est le but justement, c'est que tu te fasses tes propres combos. Il y a 2 heures, UnderGlitcheur a dit : jdis ca psk personne en parle, il est passé à la trappe alors qu'en vrai il a rien à envier aux autres je trouve Je dirais plutôt que toute la série paper mario est bien moins populaire que mario & luigi... qui est moins populaire que mario party et le reste des jeux nintendo. (à part la porte millénaire) Mais je ne pense pas que paper 64 est moins populaire que les autres paper mario Link to comment Share on other sites More sharing options...
terre7777777 Posted August 20, 2024 Share Posted August 20, 2024 Perso je refait Assassin's Creed Rogue le jeux canon de la licence avec le plus d’opportunité manqué. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kenra2 Posted August 20, 2024 Share Posted August 20, 2024 Rayman Revolution, puis quand j'aurais fini je commencerais Final Fantasy VII sur ps1 En fait j'avais déjà essayé y'a quelques jours mais j'ai pas pris de potions et quand j'étais au secteur 5 je pouvais plus me soigner Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aronaar Posted August 28, 2024 Share Posted August 28, 2024 Je viens de finir récemment ce jeu, un titre indépendant par un studio français (cocorico !) sous forme de jeu narratif avec impact de nos décisions. Nous incarnons plusieurs jeunes fugueurs anonymes, désireux de quitter le régime totalitaire de Petria, chacun rencontrant plusieurs des sept PNJ majeurs au cours de courtes aventures (une run complète peut se faire en sept heures) : à chaque fois l'occasion d'en découvrir plus sur ces personnages avec des historiettes, tandis que le jour des élections se rapproche. Le gameplay est minimal (quelques mini-jeux et utilisation de compétence, gérer son argent, une jauge d'énergie mais pour mourir faute d'énergie, il faut vraiment le vouloir) avec un focus sur les choix de dialogue... Sauf que ceux-ci auront trop peu souvent une incidence réelle. La vraie variabilité est l'ordre dans lequel on vit les historiettes mais le jeu nous force à vivre énormément de situations, parfois de façon téléphonée - comme la présentatrice télé qui nous enrôle comme caméraman car le sien a foutu le camp, et qui nous paye même si nous faisons tout pour saboter le reportage. Nos actions influeront sur l'une des trois fins possibles et le destin d'une poignée de personnages, toutefois ça reste léger niveau interactivité- j'ai cru revivre certains des moments les moins glorieux des jeux Telltale. La DA, la bande-son et le thème sont sympathiques mais le concept reste assez lacunaire ; de quoi quand même passer un moment tranquille entre deux "gros jeux". Pour terminer sur une note positive, voici ma chanson préférée dans le jeu : Prenez soin de vous et adonnez-vous à des jeux qui vous plaisent ! Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kenra2 Posted August 28, 2024 Share Posted August 28, 2024 Le 06/08/2024 à 15:21, Zaito a dit : @Aflow Moi aussi j'y joue, ses comme Pac Man 99 et Bomberman 99, un jeux a 100 joueurs en battle royal avec élimination, j'aime bien. Hein ? Bomberman 99 c'est pas un poisson d'avril ? Zaito 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Zaito Posted August 28, 2024 Share Posted August 28, 2024 Il y a 3 heures, Kenra2 a dit : Hein ? Bomberman 99 c'est pas un poisson d'avril ? Ah oui j'ai cru qu'il s'appeler comme ça dans mes souvenir mais j'ai regarder sont nom est Super Bomberman R, et en ligne il fait rappeller les jeux 99 car ont était vraiment beaucoup, et les gagnants se battait contre les gagnants des autre arènes, il y avais au moins 6, 7 arènes a faire d'affiler et ont était plus de 50 joueurs. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
lulu2010 Posted August 30, 2024 Share Posted August 30, 2024 Moi j'ai enfin fini Resident evil 4 sur gamecube (et non je n'ai pas le remake ouin!) et c'est devenu mon jeu préféré, une très belle découverte! Du coup, j'enchaine sur le 5 sur switch, c'est pas la claque que je me suis prise avec le 4, mais c'est trés cool. J'ai l'impression qu'on en parle pas trop, il a bien marché? Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 7, 2024 Share Posted September 7, 2024 🔰 Sorti en 2021 Aeterna Noctis ou en latin "Nuit Éternelle" est un jeu de plateforme de type Metroidvania qui raconte l’éternel combat entre les forces de l’ombre et celles de la lumière. La première chose que je me suis dit en jouent au jeu, c'est un Castlevania Symphony of the Night moderne et en plus vraiment bien fichu ! Cela pourrait sembler être un cliché surutilisé, mais le jeu prend une tangente insoupçonnée car vous y incarnez le Roi de l’Obscurité. Comme tout bon jeu du genre, vous aurez un environnement immense à explorer, rempli de secrets à découvrir et de créature immondes à vaincre. Ce qui différencie Aeterna Noctis de d’autres jeux d’action et d’aventure est son style gothique sombre et glauque et son niveau de difficulté très élevé. Pour ceux qui ont la patience et la dextérité suffisantes pour survivre aux nombreux pièges, ils y trouveront une aventure particulièrement intéressante qui rappellent plusieurs des classiques qui ont inventé le genre. Voici le pitch : L’ordre naît du chaos. Cet axiome philosophique a, semble-t-il, été suivi à la lettre par le studio de Aeternum Game Studios, pour leur premier jeu. Celui-ci commence alors que le Chaos est en train de créer le monde et les êtres humains. Après des millénaires où tout se passait pour le mieux, les humains ont fini par se diviser en deux factions : la lumière et les ténèbres. Leurs philosophies étant diamétralement opposées, ils ne cessent de s’affronter. Furieux de ce comportement, le Chaos décide d’octroyer des pouvoirs égaux à un champion de chaque faction et les condamne à s’affronter à jamais. Le gagnant a le droit de régner sur le peuple entier d’Aeterna pendant que le perdant se retrouve sans aucun pouvoir. Il lui faut alors passer des épreuves afin de collecter les fragments de pouvoir pour les retrouver et confronter à nouveau son adversaire afin de récupérer le trône. Aeterna Noctis vous met donc dans la peau du Roi des Ténèbres qui vient d’être déchu et a perdu tous ses pouvoirs. Le but sera donc pour lui de tous les retrouver avec l’assistance du joueur. Ce genre de jeu vous demande donc de visiter chaque zone plusieurs fois à différents moments du jeu pour découvrir de nouveaux lieux et trouver de nouveaux objets. Aeterna Noctis vous demandera d’explorer seize zones. Le système de jeu est relativement classique pour le genre : le Roi des Ténèbres dispose de cinq points de vie (PV) au début de partie et d’une fiole de soin. Celle-ci vous permet de regagner un PV à chaque utilisation, ce qui la vide entièrement. Pour la remplir à nouveau, il vous faudra en trouver une sur les ennemis ou bien en acheter une. Vous rencontrerez en effet plusieurs PNJ lors de votre aventure dont un marchand et un forgeron. Le premier vous permettra d’acquérir des cartes des différentes zones ainsi que des consommables. Le second vous permettra d’améliorer vos armes. Le Roi des Ténèbres dispose dès le début du jeu d’une épée à laquelle viendra se greffer plusieurs armes ténébreuses. Celles-ci sont beaucoup plus puissantes mais consomme du mana ou magie à chaque utilisation. Un jeu travaillé aussi bien graphiquement que musicalement Concernant son aspect visuel, Aeterna Noctis est vraiment magnifique. Tous les personnages et décors sont en 2D mais dessinés et animés à la main. Ce travail titanesque pour un premier jeu permet d’obtenir un rendu vraiment très léché et c’est un bonheur pour les yeux d’admirer tous les détails, que ce soit l’animation du personnage ou bien l’arrière-plan qui fourmille d’éléments. Les boss sont tout aussi originaux et vraiment uniques par leur aspect et leur originalité. L’aspect musical et sonore n’est pas en reste pour autant. Aeterna Noctis est agrémenté de musiques orchestrales qui collent toujours au niveau et arrivent à sublimer le rendu du titre. Certaines musiques épiques contre les boss nous galvanisent littéralement. Aeternum Game Studios nous livrent pour leur premier jeu un univers prenant, exigeant et vraiment de toute beauté. Les animations, les décors et la musique ont fait l’objet d’un soin tout particulier et le plaisir de parcourir cet univers est immense. Sa difficulté pourra laisser plus d’un joueur frustré, même si le niveau de difficulté facile peut rendre les phases de plateforme et les combats moins compliqués. Sa durée de vie est très grande et il faut s’armer de patience pour vraiment l’appréhender. Comptez entre quarante et cinquante heures pour terminer l’histoire principale et environ soixante-dix pour vraiment tout explorer. Cette durée de vie gigantesque est liée non seulement à sa difficulté mais aussi aux vastes zones à explorer. Aflow, GOONIES and CopyCat 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 8, 2024 Share Posted September 8, 2024 🔰 Sorti en 2017 Splasher est un jeu de plateforme 2D développé par Splashteam avec un gameplay très orienté arcade et même fait pour du speed run. Il met les joueurs au-devant d'épreuves demandant agilité, vitesse et réflexes à toute épreuve, le tout dans un univers cartoon déjanté. Le jeu est dur et c'est ça force ! Splasher est le tout dernier projet de Romain Claude, ancien game designer et level designer chez Ubisoft connu pour avoir travaillé sur Rayman Legends et Rayman Origins. Pour créer Splasher, il a réuni autour de lui une équipe de talent avec notamment l’artiste Richard Vatinel, alias Gromy, à la direction artistique et Aymeric Schwartz, compositeur et sound designer, eux aussi connu pour avoir bossé sur Absolver, Rayman Origins et Soldats Inconnus. Voici le pitch de déglinguo : Les Splashers sont en danger ! Le Docteur, le diabolique et cupide patron de l'usine de peinture, est prêt à tout pour faire plus de profit, quitte à mener à leur perte les pacifiques ouvriers d'Inkorp. Mais un jeune héros se dresse contre cette infamie. Armé d'un canon à peinture, il va se lancer à l'assaut de l'usine pour sauver les Splashers et défier le dictateur. Sa prodigieuse arme lui offre des pouvoirs spéciaux différents selon ses couleurs : coller aux murs, rebondir, attaquer les ennemis. Aidez-le à accomplir sa noble mission et à mettre fin à cette folie, et mettez vos talents et vos réflexes à l'épreuve en affrontant tout ce que l'usine place sur votre chemin. Niveau gameplay le jeu répond du tac au tac et heureusement pour un jeu ou la vitesse d'exécution est un facteur clé, le jeu répond au doigt et à l'œil, mais, s'octroie le droit de nous piéger quand il le faut, lors des première run. C'est pas du die 'n retry à la Super Meat Boy mais on en est pas loin lors dans certaines phases de jeu, ce qui poussent à était plus rapide et précis. La gestion du jet d'eau est intelligente et essentiel pour progressé, c'est simple et efficace car cette fonction apportent beaucoup de plus-value dans l'usages et la façon de run ou de Speed Run les niveaux. Mais le plus cool dans tout ça, c'est que Splashers a une O.S.T signé David Boitier et Aymeric Schwartz de dingue !!! C'est du béton armé, du lourd, du très bon, et je ne vais pas développer tous les superlatifs ! Mais ce n'est que des sons super bien bossé ! Ils ont réussi à faire une O.S.T du même niveau que l’O.S.T de Hotline Miami pour les connaisseurs. Je vous conseil vraiment de l'écouté car ça vaut son pesant de cacahuète. ^^ Le titre : Dubby Surf de David Boitier & Aymeric Schwartz, c'est une vrai tuerie et facilement trouvable sur le Web ! https://splasher-game.bandcamp.com/album/splasher-soundtrack CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 18, 2024 Share Posted September 18, 2024 🔰 Sorti en 2021 ce GTA-Like version médiévale est une petite perle du genre. Car c'est une excellente parodie chevaleresque à la façon d'un GTA ! Le pitch est simple : La main de la princesse est mise en jeu lors du Grand Tournoi, passez de brigand de quartier à champion. C'est Grand Theft Chevaux : Semez le chaos dans un mode médiéval inspiré de GTA. Utilisez des épées, des lances, des crottes ect... mais n'importe quoi, tant que c'est efficace ! Portez la couronne : En tant que pauvre paysan, il vous faudra faire preuve de créativité pour remporter le Grand Tournoi. Formez des alliances improbables, leurrez vos ennemis et déterrez des squelettes de dinosaures, comme ça, sans raison. Passez votre temps à accomplir des quêtes, à semer le chaos et à rire du malheur des autres ! Beaucoup de chahut : Envoyez des vaches en l'air, traînez vos voisins dans la boue, lancez des grenades sacrées ou tracez des dessins élaborés dans le champ à l'aide de la charrue. Ménestrel tout puissant : Embauchez un compagnon musical pour vous jouer vos airs préférés et accompagner votre aventure d'une bande-son intense. Cependant partir de rien et surtout d’une grosse cuite promet de ne pas rendre la chose très aisée. Notre anti-héros va devoir commettre un tas de méfaits pour espérer changer son destin. La grande force de cette histoire s’appuie sur son humour burlesque inspiré des Monty Python ou mieux Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ avec Coluche ou encore des inspirations comme les Visiteurs ou encore Kaamelott d'Alexandre Astier. Alors si vous êtes plutôt beau parleur, que les déjections vous dégoûtent ou encore que les pets et les rots vous rebutent, il y a de fortes chances que Rustler ne vous plaise pas. Pour ma part voir un jeu osé de l’humour bien gras, c’est toujours un plaisir surtout quand le tout est bien amené et colle parfaitement au genre et l’époque. Et ce n’est pas certaines quêtes principales et secondaires mémorables qui viendront noircir ce constat, on se marre avec toutes ces conneries et choses absurdes à réaliser. Notre Guy va se retrouver dans des situations parfois bien cocaces, il lui faudra se déguiser en la mort pour effrayer des mauvais payeurs ou encore s’accoutrer comme une femme. Une mission nous demandera d’aller récupérer une vache, de la mener à coups de bâton jusqu’au boucher pour qu'elle finisse en steak, une autre mission nous emmènera à la quête du Graal qui finalement n’est pas le Graal comme on l’entend mais tout autre chose… Vous l’aurez compris, on ne s'ennuie pas dans Rustler, la variété des missions et la dérision nous font passer de bons moments. Rustler se déroule dans un open-world de taille modeste mais suffisant pour ce que le jeu a à nous proposer. Évidemment pas de fast-travel au moyen-âge, on utilise ses jambes ou les chevaux/carrioles pour se rendre aux différents objectifs ou tout simplement s’amuser dans cet univers de gueux ou les gens balancent leur seau d'excréments par la fenêtre, vomisse dans les rues tandis que Guy pète et rote sur commande d’une simple pression de la flèche bas. Si on peut reprocher à cet open-world un manque de vie par rapport à ce que l’on peut connaître dans le genre, il n’en est pas moins intéressant à découvrir. Quelques rencontres, découvertes, collectables se dresseront sur votre chemin. Pour se repérer, une carte est disponible d’une simple pression du stick gauche et permet de voir les différents objectifs en cours ou les bouts de cartes révélés/non révélés. Toute la map n’est pas disponible en début d’aventure, il faudra avancer dans l’histoire et les missions secondaires pour accéder à la seconde zone. Notre héros dispose tout d’abord de ses points mais trouvera de quoi en découdre au fil de son aventure : bouclier, arbalète, épée, lance, hallebarde, faux, simple branche… Certaines sont redoutables comme la hallebarde et laissent peu de chance aux adversaires bien souvent les soldats "flics" qui ne tarderont pas à vous courser lorsque vous commettez des méfaits. Une jauge de niveau de recherche façon GTA apparaît quand Guy enchaîne les mauvais coups et pour échapper à vos poursuivants il faudra soit cavaler le plus possible soit passer par la boutique "Pimp a horse", ici aussi un élément de gameplay repris de GTA. Rustler est tellement décalé que l’on retrouve des éléments modernes dans des éléments totalement anciens, les chevaux des gardes disposent par exemple d’un gyrophare, tandis que les calèches en marche arrière laissent entendre un bip de recul. On retrouve également des tags modernes un peu partout avec des "FUCK THE KING" par exemple. Les bruitages, vous l’aurez compris possèdent également leur dose d’humour graveleuse mais c’est sans compter les bardes qui jouent de la luth avec des rythmes/musiques modernes et qui excellent dans le BeatBox. Tous ces éléments font sourire et apportent un vrai plus au jeu qui ne cessent de nous surprendre. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 21, 2024 Share Posted September 21, 2024 🔰 Sorti en 2017 Embers of Mirrim, racontent une histoire onirique clairement en retrait par rapport à ce qu’il se fait actuellement dans le JV, et c'est ainsi les p’tits gars de Creative Byte Studios ont créé un soft, tout simplement splendide et vraiment fun a jouer. Très franchement, c’est un pur bonheur de traverser les différents décors variés d’Embers of Mirrim, et vous n’oublierez certainement pas les divers panoramas proposés, tout simplement envoûtants du début à la fin. Les arrière-plans ne sont également pas en reste, dans la mesure où nous sentons indéniablement le gros travail fourni par les développeurs pour proposer des arrière-plans non seulement fournis, mais également de toute beauté. Vous l’aurez donc compris, Embers of Mirrim en jette dans sa direction artistique pour le coup en proposant des décors variés et, même si la trame scénaristique n’est pas des plus originales, le soft mise néanmoins sur une bonne mise en scène. En effet, pas mal de passages sont assez marquants, poignants, mais aussi poétiques pour le coup. A noter par ailleurs que le soft se dote de deux fins bien distinctes, en fonction de si vous sauvez tous les adeptes de Mirrim ou non. Ces dernières restent convaincantes, surtout pour la première, et il faut avouer que les cinématiques sont plutôt sympathiques à regarder. Le gameplay d’Embers of Mirrim vous permet donc bel et bien de jouer avec l’ombre et la lumière. Même si au début, vous contrôlez la créature d’ombre ainsi que celle de lumière séparément, ces dernières vont donc ensuite fusionner. Mais, la particularité du soft est que notre créature hybride Mirrim pourra se disloquer, et vous donner la possibilité de contrôler indépendamment deux halos lumineux d’ombre et de lumière représentés en couleur violette et verte respectivement, se nommant simplement les embers. En somme, vous pouvez contrôler Mirrim, mais également vous disloquer en deux embers bien distincts. D’ailleurs, et chose assez intéressante, notre boule de poil peut planer après avoir sauté pour atteindre une plateforme, mais également faire réaliser une onde de choc pour affaisser d’énormes rochers, et ainsi progresser. Il y a donc dans un premier temps tout cet aspect plateforme assez classique, où les sauts sont assez précis en soi, et le tout s’enchaîne parfaitement bien et répond au doigt et à l’œil. Évidemment, des phases de réflexion seront de la partie avec cet élément de gameplay, car avec ces entités, vous pourrez passer dans des barrières d’ombre et de lumière avec vos deux halos violet et vert, mais également vous faire propulser via des plateformes volantes de couleur verte et violette pour le coup, comme les barrières. Le titre de Creative Byte Studios joue beaucoup avec non seulement l’aspect plateforme, mais également le jeu d’ombre et de lumière via vos deux embers. Ce qui est d’autant plus surprenant, c’est que le gameplay arrive sans cesse à se renouveler rien qu’avec cette mécanique d’ombre et de lumière, en incorporant à chaque fois un nouvel élément pour progresser dans les différents niveaux proposés. Allant donc des barrières représentées en vertes et violettes vous permettant de vous disloquer indéfiniment, contrairement à la façon classique où cela ne durera que quelques secondes, en passant par les plateformes de couleur verte et violet foncé pour vous propulser ou bien encore la possibilité d’utiliser d’autres créatures comme tremplins ou passerelles en fonction de l’ember utilisé, la variété est de mise dans le titre, et vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer. Le mélange de réflexion et de plateforme en simultané fonctionne super bien, même si on lui reprochera qu’en contrôlant ces deux embers de couleur indépendamment, on pourra assez vite s’emmêler les pinceaux, ce qui est un peu pénible, surtout quand un titre de cette trempe met à l’épreuve vos réflexes et votre réactivité pour passer des passages en particulier. Bien évidemment que d’autres aspects d’ombre et de lumière seront de la partie, mais nous vous laisserons la surprise de ce côté-là. Enfin, pour terminer, il y a l’aspect graphique du soft, très loin d’être moche. Comme nous l’avons évoqué plus haut, le titre dispose de panoramas totalement saisissants, mais l’aspect graphique fait le boulot. Les cinématiques sont plutôt soignées, et le titre est vachement propre techniquement parlant, malgré quelques textures assez datées et baveuses qu’on se le dise, étant donné qu’il s’agit du moteur graphique Unity. Mais pour le reste, que ce soit les animations, les effets de lumière comme les arrière-plans, cela reste de bonne facture, même si on pourra pester sur certains arrière-plans qui manquent un peu plus de détails sur certains niveaux. Mais qu’à cela ne tienne, le soft reste visuellement agréable pour la rétine. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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