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Il y a 18 heures, lukyx a dit :

moi j joue en se moment a céleste je suis devenu amoureux entre style du jeu propre difficulté au rdv sans galérer 3 heures

alors, je suis méga d'accord, la difficulté est très progressive. Les niveaux sont très varié et changent complétement des classiques niveaux de lave+marin+forêt+prairie+caverne.
Le premier niveau est très facile et pratiquement tous les non joueurs de jeux vidéo peuvent réussir avec de la patience.

Mais les derniers niveaux (les casettes et le niveau après la fin du jeu...) sont beaucoup beaucoup trop dur. Personnellement, je suis coincé sur le dernier niveau au vers les 3/4 de celui-ci. Y a un passage réputé pour être beaucoup plus dur que le reste du niveau. Je ne peut pas quitter le niveau sinon, je dois recommencer une grande quantité de celui-ci donc je pense que je ne peut juste plus jouer...

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Il y a 4 heures, Gaga46 a dit :

alors, je suis méga d'accord, la difficulté est très progressive. Les niveaux sont très varié et changent complétement des classiques niveaux de lave+marin+forêt+prairie+caverne.
Le premier niveau est très facile et pratiquement tous les non joueurs de jeux vidéo peuvent réussir avec de la patience.

Mais les derniers niveaux (les casettes et le niveau après la fin du jeu...) sont beaucoup beaucoup trop dur. Personnellement, je suis coincé sur le dernier niveau au vers les 3/4 de celui-ci. Y a un passage réputé pour être beaucoup plus dur que le reste du niveau. Je ne peut pas quitter le niveau sinon, je dois recommencer une grande quantité de celui-ci donc je pense que je ne peut juste plus jouer...

 Céleste un grand jeu !

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Je dédiasse ce let's play à Bibinou.

 

🔰 Quand un Castlevania se la joue God of War et en 2D en plus, faut en parler; ça donne des chocapic's dans le YouTube game.

Lords of Shadow Mirror of Fate.

Sorti le 5 mars 2013 ce remake HD de Shadow Mirror of Fate et souvent boudé par les fan de cette francise !

Pourquoi ?

Je sais pas car le soft réunie plein d'idées de game play toutes génial pour un Castlevania !

Faute à la communication sur ce soft...?

 

Ce test :

Les développeurs de chez MercurySteam sont des gens talentueux certains moments de Castlevania Lords of Shadow étaient de véritables tableaux contemplatifs d’une beauté formelle sidérante.

Lords of Shadow Mirror of Fate est un prolongement de l’histoire, le chaînon manquant qui reliera le premier opus au second prévu pour février de l’année prochaine. A ce titre, on déconseillera à tous ceux n’ayant pas joué à Lords of Shadow de s’essayer à Mirror of Fate sous peine de se voir révélé le dénouement de celui-ci.

Le jeu reprend la jouabilité 2D des opus GBA et DS mélangeant exploration et action.

On jouera successivement Trevor Belmont, Alucard et Simon Belmont, et si à la base cette idée ne semble pas être mauvaise, dans sa pratique elle s’avère être catastrophique.

 

Il on fait fort les mecs

Mais avant de me jeter, toutes dents dehors, sur la structure du jeu, je vais d’abord aiguiser mes crocs sur sa réalisation.

Oh, loin de moi l’idée de critiquer les capacités technique de la 3DS ! Dans l’ensemble le rendu est tout à fait acceptable et est loin de piquer les yeux. On retrouve même, par moments, tout le talent artistique de MercurySteam, mais celui-ci est dispensé au compte-goutte, dilué dans des environnements fades et très sombres, trop sombres, si bien que parfois on tombe dans un trou que l’on n’a point su distinguer, ou sur des pics dont les pointes ne parvenaient pas à percer l’obscurité.

Se mouvoir dans un environnement aussi terne est déjà difficile mais cela l’est encore plus lorsque l’on dirige un personnage qui se déplace avec l’aisance d’un pachyderme.

 

Le moindre saut semble être au ralenti, notre personnage se bat continuellement contre la gravité, il souffre aussi d’une animation anémique qui le fait s’accrocher aux divers points d’appuis comme par l’opération du Saint Esprit.

Les combats contre les boss sont eux aussi, très bien pensés et suffisamment relevés pour être intéressants.

 

Revenons maintenant à la structure du jeu. La qualité des précédents opus portables de Castlevania associé au talent de MercurySteam promettait beaucoup. Malheureusement, les Espagnols sont ici passés à côté de l’essentiel.

Outre la maniabilité très lourde de notre personnage, le jeu souffre dans ses deux premiers chapitres d’un manque d’imagination et d’ambition affligeant. On a l’impression, durant la moitié du jeu, que le fait de diviser l’aventure en trois petites histoires distinctes réduit d’autant la superficie à explorer.

Certains lieux se recoupent mais les environnements sont cloisonnés et les rares secrets que l’on aura à découvrir à chaque fois ne nous permettront que d’accroître notre barre de vie, notre magie et le nombre de munitions que l’on pourra transporter comme la hache, eau bénite mais aussi chauve-souris et autres suivant le personnage

incarné.

Révélation

Le Boss.

 

 

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Le 08/07/2022 à 19:53, Gaga46 a dit :

alors, je suis méga d'accord, la difficulté est très progressive. Les niveaux sont très varié et changent complétement des classiques niveaux de lave+marin+forêt+prairie+caverne.
Le premier niveau est très facile et pratiquement tous les non joueurs de jeux vidéo peuvent réussir avec de la patience.

Mais les derniers niveaux (les casettes et le niveau après la fin du jeu...) sont beaucoup beaucoup trop dur. Personnellement, je suis coincé sur le dernier niveau au vers les 3/4 de celui-ci. Y a un passage réputé pour être beaucoup plus dur que le reste du niveau. Je ne peut pas quitter le niveau sinon, je dois recommencer une grande quantité de celui-ci donc je pense que je ne peut juste plus jouer...

jen ai entendu parler mais moi jen suis que au 3eme niveau c'est déjà dur quand même 

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Il y a 2 heures, lukyx a dit :

jen ai entendu parler mais moi jen suis que au 3eme niveau c'est déjà dur quand même  

chaque niveau, c'est un mur de difficulté supplémentaire, oui

quelques astuces qui m'ont aidé:

J'utilise les boutons directionnels plutôt que l'analogue car ça permet d'être certain de ne pas faire de diagonales sans faire exprès. (et oui, les boutons séparé sont bien mieux qu'un d-pad).

Aussi, essaye de trouver la meilleure combinaison de touches pour y arriver ou essayer d'autre combinaisons plus simple. C'est en analysant le passage et ce qui bloque qu'on arrive mieux.

Comme dit le jeu: ne compte pas tes morts et prends ton temps.
Si tu n'y arrives pas, n'hésite pas à revenir dans les niveaux précédents et essaye de trouver les cassettes et fraises ou essaye de faire moins de morts -> ça entraine.

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Le 10/07/2022 à 18:47, Gaga46 a dit :

chaque niveau, c'est un mur de difficulté supplémentaire, oui

quelques astuces qui m'ont aidé:

J'utilise les boutons directionnels plutôt que l'analogue car ça permet d'être certain de ne pas faire de diagonales sans faire exprès. (et oui, les boutons séparé sont bien mieux qu'un d-pad).

Aussi, essaye de trouver la meilleure combinaison de touches pour y arriver ou essayer d'autre combinaisons plus simple. C'est en analysant le passage et ce qui bloque qu'on arrive mieux.

Comme dit le jeu: ne compte pas tes morts et prends ton temps.
Si tu n'y arrives pas, n'hésite pas à revenir dans les niveaux précédents et essaye de trouver les cassettes et fraises ou essaye de faire moins de morts -> ça entraine.

hey je joue au clavier de toute façon donc je suis sur pc donc avec les flèche et oui j'aime la difficulté  du jeu qui est très progresif c'est génial mais apprécie tu les OST du jeu ? je les trouve magnifique

 

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Il y a 15 heures, lukyx a dit :

hey je joue au clavier de toute façon donc je suis sur pc donc avec les flèche et oui j'aime la difficulté  du jeu qui est très progresif c'est génial mais apprécie tu les OST du jeu ? je les trouve magnifique

ah désolé, je me suis mal exprimé, je suis sur switch.

Je voulais dire que les boutons directionnels de la switch sont meilleur qu'un d-pad. Je pense qu'au clavier, c'est pas ouf du tout pour les diagonales donc contre intuitif mais c'est plus précis qu'un d-pad.

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🔰 Édité par Gearbox Publishing et développé par Under the Stairs, Eyes in the Dark : The Curious Case of One Victoria Bloom de son vrai nom est un jeu sorti sur PC le 14 Juillet 2022.

Dans Eyes in the Dark, vous incarnez une jeune fille nommée Victoria revenue pour un temps au manoir possédé par sa famille depuis toujours et dans lequel vit son grand-père. Sauf qu’arrivée devant les grilles du manoir, elle se rend compte que quelque chose cloche.

Les ténèbres l’ont envahi et un nuage épais l’empêche d’avancer.

 

A l’aide d’une lampe torche sortie de nulle part, Victoria va pouvoir se frayer un passage dans les allées menant à l’entrée du manoir.

L’occasion pour nous, joueurs, de découvrir un tutoriel plutôt bien fait, efficace, même si l’on aurait aimé un peu plus d’indications sur toutes les possibilités que nous offre le jeu.

L’action se déroule dans les années 1920 et la mise en scène sous forme de film muet ajoute un cachet à l’expérience non négligeable.

 

Une fois la lampe prise en main, vous tombez sur vos premiers ennemis.

Le but ici ?

Les viser avec votre lampe torche le plus possible afin de leur infliger des dégâts et les éliminer.

Les combats fonctionnent par vagues qui vous fonceront dessus.

À vous d’utiliser votre saut, votre esquive et votre lampe torche pour les éliminer.

À votre entrée dans une pièce, les sorties se verrouillent jusqu’à ce que vous ayez éliminé toutes les cibles et que les sorties vous donnent l’accès à la suite du jeu.

 

Une fois parvenu à l’entrée du manoir, une cinématique vous montre que la situation est bien pire que ce que vous ne croyiez et votre grand-père se fait enlever par les ténèbres.

Avant de disparaitre, il parvient à vous lancer sa montre à gousset qui devrait vous « sauver la vie » selon ses mots.

 

Eyes in the Dark révèle sa véritable identité au bout de 10 minutes de jeu.

C'est un Rogue-Like avec tout ce qui les caractérise comme dans le récent jeu Hades, arsenal qui se réinitialise à chaque mort, génération procédurale des salles, possibilité d’acheter des améliorations temporaires, boss à combattre pour changer de zone etc.

 

Si vous en doutiez donc, Eyes in the Dark est exigeant, demande de la précision et de la perspicacité tandis qu’une anticipation et un contrôle total des touches seront privilégiés.

D’autant plus que chacune des pièces devra de nouveau être validée en tuant le boss de la zone pour récupérer sa clé, sans possibilité de la garder pour les futures parties. Avant chaque changement de zone, vous devrez choisir entre 3 cases vous conférant chacune un avantage mais aussi un inconvénient.

Il vous faudra donc, il semblerait de ce que nous en avons vu, que les 9 zones soient traversées sans succomber pour vous en sortir définitivement et sauver le Grand-Père.

 

Pour vous aider, à certains moments, vous trouverez un havre de paix en la personne du corbeau, présent dans une seule salle dans chacune des zones du jeu.

Vous devrez combattre pour y arriver mais une fois dedans, vous devrez utiliser les étincelles (monnaie du jeu), récupérées depuis le début sur les corps de vos défunts ennemis entre autres, pour vous acheter améliorations fugaces double-saut, possibilité de planer, augmentation du rayon de tir ou de la portée des attaques etc.

Ou encore vous refaire une santé.

Une mécanique bien connue des habitués du genre mais appréciée ici pour varier l’expérience.

 

À contrario, la direction artistique est clairement un point fort du jeu.

Avec sa totale représentation en tableaux noirs et blancs, chaque pièce arbore un contenu, une organisation et un level design différent pour chaque zone du manoir, avec une impression de 3D dans ce jeu en 2D à déplacement latéral. Meubles à l’arrière plan, tableaux familiaux, toiles d’araignée qui peuvent vous ralentir.

Tout est représenté d’une manière à vous transporter dans cet univers bicolore.

 

Parlons de la musique, qui est tout simplement magistrale. Sous fond d’inspiration aux musiques d’autrefois (style 8 bits par exemple), le jeu parvient à invoquer une certaine émotion lors de scènes choisies ou lors des combats dynamiques.

 

Pour finir les mécaniques de gameplay de Eyes in the Dark, bien que connues et éprouvées dans d'autres jeux avant lui, sont savamment étudiées et ne nécessitent finalement que peu de touches pour les contrôler. On note également une direction artistique en noir et blanc très originale, accompagnée de décors somptueux et d'une musique très satisfaisante et marquante.

 

PS: Oui je sais le Boss ma mis une belle rouste, et alors ? Cela arrive même aux meilleurs.🤣🤣🤣

 

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🔰 Sorti en 2011 soit plus de dix ans après le premier opus, Alice est de retour au pays de la folie se qui replonge la jeune fille brune aux grands yeux dans ses propres turpitudes, n'oubliant malheureusement pas de conserver celles de l'époque passée, comme une caméra perfectible et un côté un peu trop limité dans le gameplay.

 

Pourtant, malgré ses redondances et une structure parfois floue, le jeu de Spicy Horse possède une accroche indéniable qui se trouve dans ce mélange étrange entre un univers magnifique, un ensemble de bonnes idées et paradoxalement un côté old-school charmeur.

A ranger aux côtés de ces jeux pas vraiment réussis mais qui contiennent tout de même un équilibre qui les fait tenir debout.

 

On connaissait déjà les projets d’American McGee pour leur tiraillement entre grandeur d’un pôle artistique tout puissant et défaillance du versant ludique, banal et souvent mal réglé.

Cristallisant cette approche boiteuse du game design, le premier Alice Madness alignait une plateforme très basique dans le cadre d’un univers de bric et de broc, aux fulgurances artistiques déjà incontestables.

Voir l’équipe de Spicy Horse relancer sa licence avec Alice Madness Returns n’est donc pas une surprise ce qui l’est d’avantage, c’est qu’au travers d’une aventure répétitive et bordélique, le jeu parviennent à maintenir l’intérêt par son inventivité visuelle constante.

 

S’inscrivant dans la suite logique du précédent épisode, le scénario reprend son approche librement adaptée du roman de Lewis Caroll, dans laquelle le Pays des Merveilles n’est qu’une hallucination, refuge d’une Alice sombrant progressivement dans la folie.

La jeune fille au passé tragique évolue ainsi tout au long de l’aventure entre l’atmosphère cendrée d’une Angleterre victorienne et les contrées fantastiques de son esprit, où elle renoue petit à petit avec la vérité.

A mesure qu’elle s’en approche, son monde imaginaire menace de basculer dans le cauchemar pur et simple, qui modèlera une progression alternant plateforme classique et combats acharnés.

 

Difficile de ne pas être impressionné par le sens esthétique à l’œuvre d’entrée de jeu, des faubourgs sombres d’un Londres début de siècle aux vallons du Pays des Merveilles.

Modélisée avec goût, notre belle Alice version gothique évolue au gré d’une animation soignée dans un décor d’abord vraiment réussi.

Si les premiers environnements s’agencent en tableaux élégants approfondis de beaux arrière-plan en applâts, l’esthétique ne tarde cependant pas à fluctuer en qualité. Comme tous les jeux crées par l’équipe de McGee, les éléments visuels semblent vite s’agencer au gré de l’inspiration des designer, dans ce qui vire parfois à l’exercice de style un peu vain.

La narration en berne en est le symptôme le plus évident, un comble pour un récit au potentiel si énorme.

 

Tout le reste de l’aventure suivra cette courbe qualitative en dent de scie, alternant panoramas grandioses et vilains décors étriqués et il faudra sans doute une certaine dose de patience pour passer le cap des moments visuellement pénibles et accepter la dispersion de l’esthétique aux quatre vents, ce que confirme par ailleurs le design des personnages et ennemis pas toujours de bon goût mais c’est aussi cette amplitude qualitative qui à son meilleur permet des rencontres surprenantes et des visions mémorables comme celle de l’immense bâtisse industrielle du premier niveau, perçant le ciel de ses tours acérées.

 

Le level-design lui même s’inscrit dans cette légèreté de traitement, agençant les tracés dans l’espace de façon chaotique.

Ainsi morcelés en plateformes flottantes, les parcours n’encouragent pas vraiment à l’exploration mais au moins favorisent-t-il l’exercice acrobatique auquel il sont totalement dédiés.

Si les premiers mondes se cantonnent à des tracés routiniers et plus « terriens », le level design s’affine progressivement jusqu’à culminer vers la fin dans le niveau des passerelles en cartes à jouer flottant au beau milieu des nuages.

Le morcellement des tracés y parait moins artificiel, la direction artistique a son meilleur et le challenge plus justement corsé.

 

Se ponctuant de séquences de plateforme, on combattra régulièrement des hordes de créatures dans des affrontements qui pourraient risquer de lasser, si la variété des ennemis, obligeant à adapter son approche, n’en cassait pas la routine.

Alice n’excellera pas sur le mode du beat’em all, en dépit de son sympathique arsenal alignant couteau de cuisine, poivrière mitraillette ou théière lance-grenade.

 

Alice Madness Returns n'est pas mauvais mais ça n'a rien de particulièrement transcendant.

Il le fait certes plus que le premier opus mais sa linéarité et son système de jeu très basique jure avec l'environnement et l'univers d'une très grande richesse.

Se ne sera certes pas l’occasion pour le studio Spicy Horse de montrai le meilleur jeu conçu par McGee.

 

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il y a 21 minutes, akumasan a dit :

Alice Madness Returns n'est pas mauvais mais ça n'a rien de particulièrement transcendant.

tout à fait et tout comme pour le premier jeu, la seule raison de jouer à ce jeu (selon moi), c'est pour l'ambiance.

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti il y a à peine deux jours, soit le 31 juillet 2022, Yeamna est un jeu développé par Catnip Studio, une équipe Coréenne bourré de talents.

 

Yeomna est un jeu de plateforme d'action façon Metrovania en 2D.

Prenez le rôle d'une exorciste demi-démon nommé Dongbaek et terminez les quêtes demandés par Yeomna seigneur de son état.

Dongbark va devoir combattre dans cette aventure d'exploration du monde souterrain onirique et mystérieux.

 

Des flammes inquiétantes se lèvent à nouveau dans un monde autrefois paisible gouverné par l'Empereur de Jade après la défaite du Roi Démon.

Alors que les exorcistes tombent contre les sbires du roi démon, Dongbaek, une jeune exorciste, est envoyé à la ville du sceau sur ordre du seigneur Yeomna.

Parcourez le monde souterrain infesté de démons, battez les démons et collectez des documents anciens pour retrouver l'enfant disparu et les vérités cachées.

 

Reconstruisez le village en ruine et devenez une puissante exorciste.

Découvrez le village onirique et le monde souterrain inspirés des peintures traditionnelles coréennes, réinventés en tant qu'art pour ce jeu vidéo.

Changez de forme entre les formes humaines et félines pour éviter les pièges et manipulez des objets pour ouvrir de nouveaux chemins.

Découvrez des endroits cachés pour obtenir des compétences et divers objets à collecter.

Rassemblez les parchemins contenant les souvenirs de Dongbaek et les secrets de Yeomna pour rechercher la vérité sur le monde souterrain.

 

Les démons nouvellement créés, basés sur des images traditionnelles du folklore coréen, apparaissent comme des amis ou des ennemis.

Des personnages animés créés à partir d'une combinaison d'animations 2D traditionnelles image par image et squelette.

Basculez stratégiquement entre le pistolet et la lame en fonction des situations de combat.

Reconstruisez le village et devenez plus puissant avec l'aide des villageois.

 

Entre Getsu Fūma Den et Okami, Yeomna est vraiment un excellent titre.

Pour une première production les petits gars de chez Capnip on fait fort, très fort.

 

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🔰 Sorti le 10 janvier 2012 Choplifter HD est un remake développé par inXile Entertainment sur Xbox 360.

On ne compte plus, aujourd’hui, les licences tombées dans l’oubli qui retrouvent une seconde jeunesse sur consoles 7ème génération, ce qui est le cas pour Choplifter.

En effet, les plus jeunes d’entre nous ne connaissent certainement pas cette licence phare des années 80.

Quel que soit le support que connu cette licence, le gameplay restait le même.

Vous êtes un pilote d’hélicoptère, et votre mission, si vous l’acceptez, est soit de sauver des otages, soit d’éliminer des hordes d’ennemis.

 

Un postulat de départ simple, donc, mais qui rend le tout intemporel, et c’est là le premier bon point du soft.

Seulement, l’exigence en matière de graphismes a, pour sa part, bien changé.

Mais malgré le grand âge de son aîné, Choplifter HD parvient à se hisser au même rang que les jeux actuels du XBLA.

Effectivement, cet opus remastérisé garde ses spécificités d’origine, à savoir un scrolling horizontal, avec une action située en bas de l’écran.

Les graphismes ont été retravaillés, donnant un rendu 3D sympathique, mais quelques textures restent moyennes.

Par ailleurs, la refonte graphique réussie ajoute des arrière-plans dynamiques et colorés, qui ont le talent de rendre l’action plus active, tout comme le fourmillement de détails disséminés sur l’ensemble de la carte.

 

D’autre part, l’humour omniprésent rend ces détails d’autant plus intéressants, comme par exemple des panneaux d’informations qui commentent vos exploits.

Hormis les terroristes, les plus odieux des conducteurs d’hélicoptères pourront même s’attaquer à des poulets ou des zombies.

C’est donc dans un environnement décalé que vous devrez sauver les otages.

La prise en main est certes rapide, mais il sera cependant parfois difficile de différencier les otages des terroristes, aspect toutefois plutôt amusant une fois au cœur de l’action.

Pour finir, les musiques et divers bruitages sont également très bien adaptés aux situations, collant parfaitement à l’image du soft.

 

Dans de nombreux domaines, on peut apprécier le fait que le principe d’origine soit respecté.

Il n’est pas rare de voir une adaptation ayant perdu ses spécificités, que les fans de la première heure ont du mal à apprécier.

Pour ce qui est de la jouabilité, il est toujours question de viser les ennemis avec son laser, tout en maniant son hélicoptère avec dextérité.

La prise en main se fera donc aisément, après un court temps d’adaptation, que vous soyez un habitué ou un novice.

Ceci étant dit, la rigidité ou la précision feront parfois défaut, au détriment de l’action, en faisant rater un objectif, par exemple en écrasant accidentellement un otage.

 

D’autre part, Choplifter HD permet, à ceux qui le souhaitent, de s’adonner à du scoring de haute volée.

En premier lieu, la note attribuée en fin de partie obligera certains à recommencer celle-ci de nombreuses fois, pour s’envoler vers le haut du classement online disponible. Une excellente rejouabilité, donc, d’autant que plusieurs heures seront nécessaires pour débloquer tous les hélicoptères, sans oublier les succès.

 

Comme son nom l’indique par le petit rajout HD, nous avons droit à un titre remake en HD Le jeu est dans l’ensemble bien fichu visuellement, même si les personnages humains sont carrément trop petits pour être visibles.

Alors discerner des survivants d’ennemis...

Il vous faudra prendre 2 secondes, le temps de vérifier s’ils ne vous tirent pas dessus pour en être certain.

Le jeu est articulé autour de 4 campagnes (dont la première d’initiation), chacune comprenant plusieurs missions pour atteindre au total la trentaine (du contenu supplémentaire est déjà prévu).

 

Mais ne nous leurrons pas, rien ne joint narrativement chaque mission, seul le pilote et votre copilote seront en quelque sorte les fils conducteurs du jeu.

Et parlons-en de ce copilote.

Il sert un peu de fourre tout : il vous indique la présence d’ennemis, commente vos actions, vous signale lorsque votre jauge de blindage ou d’essence atteignent un seuil critique, et il sait faire de l’humour ! Bon c’est pas forcément du haut niveau dans le domaine, mais c’est quand même sympa pour détendre l’atmosphère entre deux crises de nerfs.

 

Au final, Choplifter HD peut donc se permettre de figurer parmi les adaptations les plus réussies sur consoles next-gen de l'époque.

D’abord grâce au talent des développeurs pour retranscrire l’essence même du jeu, puis en lui donnant un réel intérêt grâce à son univers accrocheur et son gameplay peu habituel.

Les joueurs casual y trouveront, pour leur part, un passe-temps sympathique, tandis que les plus acharnés passeront de longues heures pour finir le soft à 100%.

L’absence de nouveautés vient toutefois noircir le tableau sans nuire pour autant au plaisir de jeu.

 

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il y a 51 minutes, GOONIES a dit :

Génial ce jeu en version 2.0, super comme d’habitude @akumasan J’ai adoré jouer au tout premier,  pas très maniable pour moi  😉 existe t il  sur d’autres supports que xbox 360 ?

Salut mon poto.

Oui ce remake de Choplifter exister sur ses différents support :

XBox 360. (cette version)

PlayStation 3.

PC Steam.

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