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God of War Ⅱ (Sony PlayStation 2) Part 1

Pas besoin de le présenté celui-ci.

Les dieux n'ont pas respecté leur promesse faite a Kratos.

Kratos n'est pas content, Warning, plan de vengeance activé.

Kratos, ce n'est pas le genre de mec qui va voir son syndicat lorsqu'il n'est pas content de sa situation, non non...

Il ne fait pas dans la dentelle le Kratos, il a simplement l'idée de tuer Zeus, tranquillou.

Ce n'est pas tant l'histoire qui est intéressante, mais la manière dont elle est raconté vengeance amène la violence qui créer le carnage, etc...

Cercle vicieux au combien satisfaisant pour le joueur !

Le 2 enclenche vraiment la spirale de haine qui grandira dans Kratos jusqu'à la fin du 3éme opus son ultime apogée.

j'ai adoré cette épisode !

 

NB: Le dieux, le god le Kratos !

Le mec le plus badass du jeu vidéo.

Avec un certain Solid Snake, mais lui, j'en parlerai plus tard.

 

 

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  • 4 semaines plus tard...

Alors qu’ @akumasan nous partage son avis sur le beat em all Asterix&Obelix de Konami, une nouveauté survitaminee et régressive est sortie aujourd’hui de la part de nos frenchies de chez Microids. 

 

Le test publié sous GameBlog permet d’avoir déjà une petite idée de la qualité du soft et puis le chouette Trailer :  les gau .... les gaugau... les gaulois !!!!!😱

 

 

https://www.gameblog.fr/jeu-video/jeux/tests/test-d-asterix-et-obelix-baffez-les-tous-lautre-guerre-des-gaules-393373

 

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il y a une heure, GOONIES a dit :

Alors qu’ @akumasan nous partage son avis sur le beat em all Asterix&Obelix de Konami, une nouveauté survitaminee et régressive est sortie aujourd’hui de la part de nos frenchies de chez Microids. 

 

Le test publié sous GameBlog permet d’avoir déjà une petite idée de la qualité du soft et puis le chouette Trailer :  les gau .... les gaugau... les gaulois !!!!!😱

 

 

https://www.gameblog.fr/jeu-video/jeux/tests/test-d-asterix-et-obelix-baffez-les-tous-lautre-guerre-des-gaules-393373

 

Il est top visuellement !👌
Le charme de la 2D à encore frapper, par Toutatis.👍 

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🔰 The Simpsons Arcade Game est un beat them all développé et édité par Konami en 1991 sur le système arcade GX-68.

C'est donc en 1991 que Konami lance sa borne d'arcade sur le thème de la famille Simpsons.

Pour l'originalité, on repassera, c'est un beat'em up des plus classique.

Comme les Simpsons ne sont pas d'un naturel combattif, il a fallu improviser un scénario abracadabrantesque vis-à-vis de la série.

 

Voici le pitch :

Montgomery Burns a demandé à Smithers de voler un diamant, mais ce dernier est tombé dans la bouche de Maggie qui s'en sert comme tétine.

Smithers décide alors de kidnapper Maggie pour pouvoir le récupérer.

La famille va alors devoir se mettre à la poursuite du kidnappeur, traversant de nombreux lieux insolites allant d'un cimetière à un studio de télévision, pour finir par la centrale nucléaire Burns de Springfield.

Il faut reconnaître que le graphisme du jeu est très fidèle au trait de Matt Groening, c'est même un des meilleurs jeux de ce point de vue.

On croise aussi pas mal de personnages récurrents de la série.

Une autre des qualités du jeu est la possibilité de jouer jusqu'à quatre joueurs et de contrôler n'importe lequel des membres de la famille Simpson.

L'univers de la série est vraiment très bien retranscrit, on retrouve beaucoup de personnages cultes qui vous apportent des objets ou qui font simplement partie du décor.

Vous vous bagarrez presque tout le temps contre des ennemis qui eux ont été créés pour l'occasion.

 

Le joueur peu choisir parmi l'un des quatre membres de la famille Simpsons et chacun d'eux a son accessoire de prédilection :

►Le ventre pour Homer.

►L'aspirateur pour Marge.

►Le skateboard pour Bart.

►La corde à sauter pour Lisa.

 

The Simpsons arcade game est très similaire à la borne arcade Teenage Mutant Ninja Turtles également de Konami sortie deux ans plus tôt !

Et pour cause, les deux jeux sont basés sur le même moteur.

Evidemment, les niveaux ne sont pas tout à fait les mêmes, les boss n'attaquent pas exactement de la même façon, mais on leur trouve beaucoup de points communs comme la disposition des barres d'énergie en haut de l'écran, l'attaque en plongée pendant un saut.

 

Le jeu se déroule sur huit stages :

►Le centre ville de Springfield + le stage bonus Les ballons.

►Le park Krustyland.

►Le cimetière.

►La taverne de Moe.

►La forêt de Springfield.

►Le pays de rêve + le stage bonus Réveillez-vous.

►La chaîne TV 6.

►La centrale nucléaire de Montgomery Burns.

 

Chaque niveau se termine par un boss dont la vitesse et la force augmenteraient après avoir subi un certain nombre de dégâts.

Bien que le jeu soit l'un des nombreux beat'em ups produits après Final Fight, il contenait de nombreuses innovations, y compris la possibilité pour deux joueurs de faire équipe et d'attaquer les ennemis, l'attaque exacte différant légèrement selon les deux personnages utilisés.

La nourriture pouvait être utilisée pour la guérison, et diverses armes et objets pouvaient être obtenus pour une utilisation pendant une courte période ou pour une attaque de projectile unique.

Ces objets étaient souvent introduits dans le jeu par d'autres personnages des Simpson, et les propres animaux des Simpson pouvaient être utilisés comme armes de jet à divers moments du jeu.

 

Le final se déroule à la centrale électrique de Burns, ou la famille Simpson doit affronte Smithers, qui les attaques à coup de bombes.

Lorsque Smithers est vaincu, M. Burns perce le mur à l'intérieur d'une grande machine qui attaque avec des bombes, des lasers, des missiles et des pinces, et commence une bataille climatique contre les Simpson.

Après un long combat, Burns est vaincu et les Simpson sauvent Maggie, qui place sa tétine dans la bouche de Mr Burns.

À la fin, Homer part avec sa famille et jette le diamant comme s'il s'agissait d'un vulgaire morceau de verre.

 

En conclusion avec une OST très fidèle à la série, The Simpsons Arcade Game fleure bon le hold-up à destination des fans les plus endurcis, car en 1991 se ne sont pas vraiment les beat'em all qui manquent pour les fans du genre et autres nostalgiques des coups de tatane en provenance directe des années 80 et 90.

Pour finir The Simpsons Arcade Game reste un très bon jeu mais malheureusement le soft est bien trop court pour rester gravé dans les mémoires des aficionados de beat'em all.

 

 

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🔰 Développé et édité par Capcom en 1993, The Punisher est un beat'em all fonctionnent sur le Hardware Capcom Play System, le fameux CPS.

Le jeu met en scène Le Punisher et Nick Fury, qui sont tout les deux des personnages de chez Marvel Comics.

 

Ce jeu aurait pu s'appeler The Punisher et Nick Fury fracasse Wilson Fisk !

En effet, dans ce beat'em all de Capcom, le joueur un incarne Franck Castle alias le Punisher et le joueur deux joue Nicholas Joseph Fury alias Nick Fury un agent du S.H.I.E.L.D.

Tous les deux veulent en finir avec Wilson Fisk alias Le Caïd ou Kingpin en anglais.

Le personnage du Punisher est apparu dans Spiderman n°129 paru en Février 1974.

On retrouvera Franck Castle sporadiquement dans les aventures de Spider-Man, mais aussi dans Captain America ou Daredevil qui n'apprécieront pas les méthodes expéditives de notre anti-héros.

 

Pour une fois pas de donzelle en détresse à secourir mais juste une soif de vengeance à assouvir.

Vous dirigerez le Punisher ou Nick Fury, au travers de six niveaux, seul ou accompagné par un de vos amis puisque comme dans tout Beat'em all qui se respecte, il y a un mode deux joueurs.

 

Avant même de commencer, le jeu nous offre une superbe intro résumant rapidement comment Franck Castle est devenu The Punisher.

Ce titre est un petit bijou de gameplay, la palette de coups de nos deux protagonistes est variée et facilement utilisable, on se surprend à user et abuser des projections d'ennemis, des "grabs" pour marteler de coups son adversaire ou encore du coup de pied de Nick Fury qui ressemble à s'y méprendre au "Somersault Kick" de Guile de Street Fighter Ⅱ, et comme si cela ne suffisait pas, il faut rajouter que vous dégainerez votre arme lorsque l'un des ennemis sortira la sienne s'en suivra un matraquage en règle du bouton de tir pour faire le ménage à l'écran.

Une chose est sûre, The Punisher ne fait pas dans la dentelle, les parties seront rythmées par les "KA-BLLAAAAM", "BAANNGG", "CRAAAAAK" et autres onomatopées que ne renieraient pas les réalisateurs de la série télévisée Batman des années 60, et le tout pour notre plus grand plaisir.

 

On met des crédits, on choisit notre personnage et c'est parti pour la baston.

La palette des coups est variée, les contrôles répondent parfaitement et il y a même une roulade bien pratique pour les esquives. Comme souvent, on retrouve le fameux coup spécial qui consomme de la vie mais aussi la possibilité d'envoyer des grenades en quantité limitée pour échapper aux situations tendues. Il est possible également de récupérer une multitude d'armes pour se débarrasser des vilains :

►Couteaux.

►Battes.

►Haches.

►Marteaux.

►Shuriken.

►Lance-flamme.

►9mm.

►Uzi.

►M-16

►TNT.

►Grenades.

►Et même une lance de chevalier !

C'est sans compter sur les éléments du décor pouvant eux aussi servir d'armes.

Pouvoir balancer une borne arcade dans la tronche des ennemis quoi de plus jouissive !

 

La vrai nouveauté, c'est qu'on peut parfois tirer au flingue pendant un temps limité, le système de visée automatique facilitant les choses car on n'est pas obligé d'être pile en face des ennemis pour les toucher, ce qui est vraiment agréable dans ce genre de jeu.

 

Le périple de Franck Castle vous fera donc traverser six niveaux diverse et varier comme :

►Les rues de la "Grosse Pomme" New York.

►Dans un château en Floride.

►Sur les Docks.

►À travers les égouts.

►Sur un train en Arizona.

►Et pour finir dans l'hôtel de Wilson Fisk.

 

A chaque fin de stage on retrouve le traditionnel Boss de fin de niveau vous attendant pour en découdre.

En parlant des Boss, il est à noter que les designers du jeu ne furent pas super inspirés pour ceux-ci, vu que le premier est retrouvé dans les stages suivant en tant qu'ennemi de base et que le Gardroid est présent dans le deuxième et le cinquième niveau, plutôt étonnant viennent d'un jeu signé Capcom pourtant très à cheval sur ce genre de détails.

 

L'OST est peut-être l'unique point noir de cette version Arcade.

La musique est trop discrète même si on sent que ça a été fait volontairement pour que les bruitages soient mieux mis en avant, car ils sont soignés c'est indéniable. Mais cette musique trop discrète est malheureusement dommageable.

 

The Punisher est donc un passage obligé pour tous les fans du anti-héros Marvel ou les fans de Beat'em all.

À part la musique trop discrète et pas spécialement travaillée, je n'ai strictement rien à dire de négatif sur ce jeu.

Tout y est, le level design, les animations, le respect de l'œuvre ainsi que la jouabilité.

On pourrait lui reprocher sa durée de trop sans doute trop courte pour un jeu de cette qualité, mais quand un jeu est bon, c'est toujours trop court.

Ce jeu mériterait d'être plus connu, pour moi c'est un vrai coup de cœur et en 2021 j'y joue toujours c'est pour dire.

 

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🔰 Sorti en 2014 sur le XBLA, Streets of Red Devil's Dare Deluxe est un beat'em all multijoueur avec la particularité de pouvoir joué des héros emblématiques du rétrogaming dans un combat contre des zombies...

Tout un programme !

 

Streets of Red a été conçu pour être joué encore et encore, chaque exécution offrant le potentiel de nouveau contenu.

Plusieurs personnages son jouables aux caractéristiques uniques dans une succession de niveaux sans cesse a difficulté croissante, permettent d'éviter un gameplay simple et ne vieillissent pas. Le système de combat facile à apprendre mais difficile à maîtriser permet beaucoup de profondeur.

 

Le pitch :

L’histoire commence un samedi après-midi banal en pleine Benny Arcade Expo la fête bat son plein, les joueurs découvrent avec en train de nouveaux jeux indépendants quand soudain, des zombies font irruption en ville et commencent à tout bouffer.

Le sang des cosplayeurs présents sur la grande scène ne fait qu’un tour et ils se regroupent pour aller tataner du mort-vivant.

On retrouve dans l’équipe :

 

►Kingston, le concierge déguisé en Shovel Knight.

►Queenie et son toutou qui se prennent pour Terra et son mécha de FFⅥ.

►Jackson aka Raph des Tortues Ninja.

►Axel et son cosplay le Link du pauvre.

 

Il y a bien d’autres personnages cachés, mais chut, je ne vous ai rien dit. Chapeauté par le mystérieux Ivan, une fée communiste anagramme de Navi (non ce n’est pas un gag), l’improbable gang va devoir survivre à 10 nuits d’horreur pour espérer voir la fin du cauchemar.

C’est donc sur un pitch digne des films de Seth Rogen que commence la campagne de ce Streets of Red et l’absurdité parodique ne s’arrête pas là. Pour parfaire son jeu, Secret Base a rajouté des compétences qui viennent booster les coups des personnages a acheter entre les niveaux.

On peut même acheter des tokens qui permettent de reprendre au début de la dernière nuit en cas de mort, mais attention à ne pas dépenser tout l’argent, il pourrait s’avérer utile avant la fin de l’aventure surtout que le dernier boss est assez retors, en tout cas pour un seul joueur. Heureusement, Streets of Red se joue aussi et surtout en coopératif local à deux ou plus et c’est là qu’il montre tout son potentiel.

 

On retrouve le plaisir du Streets of Rage des mercredis après-midi avec les amis devant le tube cathodique !

La musique et le look du jeu y font pour beaucoup et même si certains n’acrrocheront pas aux 50 nuances de gris et rouge du jeu, on ne peut lui reprocher une certaine originalité ici aussi.

À chaque élimination, vous gagnez de l'argent qui peut être dépensé pour des améliorations ou pour vous faire revivre lorsque vous mourrez.

Vous feriez mieux d'apprendre à gagner de l'argent rapidement et à le dépenser intelligemment dans Streets of Red, car lorsque vous êtes mort, vos données de sauvegarde meurent avec vous. Les frissons, les sensations fortes, les factures, et l'opportunité d'acquérir de nouvelles compétences ici ne s'arrêtera pas tant que chaque rue ne sera pas rouge de sang !

 

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🔰 Sorti sur le XBLA en 2018 Bud Spencer & Terence Hill Slaps And Beans ou Gifles et Haricots en bon Français, est le premier jeu vidéo OFFICIEL de Bud Spencer et Terence Hill. Bud Spencer & Terence Hill dans leur première aventure virtuelle.

Une toute nouvelle histoire ! Que ce soit dans le saloon d'un Western, le centre ville de Miami, dans parc d'attraction etc...

Vous allez faire le plein de conversations drôles, des baffes et bien sûr beaucoup de grosses bagarres.

 

Slaps And Beans est un beat'em all en mode coopératif ou en mode solo, avec de nombreuses plate-forme et des mini-jeux, dans lesquels vous interpréterez les personnages de Bud Spencer & Terence Hill.

Le jeu fût un beau succès sur Kickstarter, sans doute du à la popularité des deux acteurs que son les deux nos protagonistes Bud Spencer & Terence Hill.

En France, on a tous vu au moins une fois un film avec Bud Spencer & Terence Hill ce qui renforce immédiatement l’aspect nostalgie de l’ensemble du soft.

Ce beat’em all de la Trinity Team s’est fait une excellente réputation qui s’explique avant tout par une réalisation exceptionnelle pour un jeu "dit" indé.

 

Cela ne pouvait pas commencer ailleurs qu'au Far-West.

Le colossal Bud Spencer et le facétieux et agile Terence Hill croisent la route de brigands et se dirigent vers la ville la plus proche qui semble entre de mauvaises mains.

Pour le fric, la bouffe ou les beaux yeux d'une habitante, ils vont commencer à balayer les hommes de main osant se dresser devant eux pour aller s'occuper de leur chef.

Mais ce n'était que du cinéma.

Les revoilà ensuite dans le monde moderne où le producteur les a arnaqués en plus d'enlever une jeune femme que nos deux héros vont tenter de sauver en allant jusqu'au douzième et dernier niveau.

 

Sous des atours plutôt ravissants, Spencer et Hill ont fière allure et les animations se montrent assez plaisantes, on se complaît à distribuer les pains.

Des gros et lourds avec le géant barbu, des plus légers et rapides avec le bellâtre.

On apprécie les contres bien placés donnant lieu à des rafales de patates ou de gifles.

On rit lorsque ce bon vieux Bud attrape deux têtes pour les cogner ou encore qu'il explose avec un bruit de quilles de bowling fracassées.

On s'étonne des esquives du poids plume. On se croit revenu en enfance.

 

Au-delà du pixel art très soigné et ainsi que des animations très détaillées, c’est surtout le nombre de décors différents qui impressionne cela a dû représenter un travail de titans.

De manière générale, le jeu transpire la passion et multiplie les références, jusque dans le gameplay qui cherche à retranscrire les célèbres bastons du duo, mettant ainsi l’accent sur l’interaction avec le décor et l’utilisation d’objets qu’on peut même tenir par deux, c'est pas une première dans le genre.

Seul la possibilité de switcher à tout moment entre nos deux protagonistes préféré donne une dimension très intéressante en solo.

Les forces de ce beat’em all son aussi les cinématographiques qui deviennent aussi ses limites, donnant parfois l’impression au joueur d’être simple spectateur, d’autant que le titre est souvent interrompu par des dialogues que l’on peut accélérer, ainsi que des QTE aussi que des mini-jeux.

 

Autant le concours de bouffe, sous forme de jeu de rythme, se révèle intéressant dès que l’on a compris sa dimension stratégique.

Mais la difficulté s’en retrouve mal dosée, globalement très basse puis très élevée sans crier gare, lors de certaines épreuves.

Ce n’est heureusement pas gênant la plupart du temps mais, pour un jeu à ce point nostalgeek, on ne s’attendait pas forcément à une expérience souffrant de problèmes de productions modernes…

Au moins, ça a le mérite de donner envie de distribuer des baffes !

 

Les ingrédients clés de ce Slaps and Beans sont dans l'avis général :

►Des graphismes en pixel art.

►Le respect des films et bande original dont son issu les niveaux du jeu.

►Un système de combat au style de Bud Spencer et Terence Hill.

►Co-opération en solo et multijoueur.

►Certain Mini-jeux.

►Le coup du buggy décapotable rouge et jaune.

►Un tas de baffes et beaucoup de fayots évidemment.

 

Cet hommage à Terence Hill et à feu-Bud Spencer force souvent le respect, mais Slaps And Beans est hélas un beat’em all bien inégal et se réserve donc aux Cinéphiles ou aux fans de ce duo mythique avant tout.

 

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🔰 Samurai Shodown Ⅳ est sorti en 1996 sur borne d'arcade soit la même année que :

►Soul Blade sur le Namco System 11.

►Street Fighter Alpha 2 sur le CPS Ⅱ.

►Virtua Fighter 3 sur le SEGA AM2.

►X-Men vs Street Fighter aussi sur le CPS Ⅱ.

En cette année 1996 la 3D commence à dominer l’arcade, et la 2D lutte en ouvrant son gameplay à un public un peu plus large que la précédente vague qui était très difficile d’accès. Techniquement, c’est beau comme tous les jeux Neo-Geo de qualité de la période.

 

Amakusa Shiro Tokisada, revenu d'entre les morts, a repris ses projets de monde idéal, il ranime Zankuro, et enlève une jeune fille, Hazuki, afin de retrouver toute sa puissance. Le vil s'est retranché avec sa proie dans son temple, et nos vaillants héros vont devoir aller le déloger.

 

Apparemment conscients de l'attachement des joueurs à leurs personnages préférés, SNK a donc remis en tête le sorcier fou à la sexualité troublée ainsi que Zankuro. Ils ne sont pas les seuls à effectuer le grand retour :

►Charlotte.

►Jubei.

►Tam-Tam.

Sont aussi de la partie.

 

Pour un total de dix-sept personnages jouables, trente-quatre si l'on prend en compte le choix du mode de jeu, les critiques sur l'épisode précédent ont donc été entendues, pour notre plus grand plaisir !

 

Au menu des nouveautés, signalons l'apparition d'une double barre de vie, afin de rallonger les combats.

Un nouveau mode de super est à découvrir la barre de rage, dont la durée d'utilisation dépend de la barre de vie du joueur, et qui permet de déclencher une super combo qui monte jusqu'à quatorze coups, ou une attaque fatale en un coup.

Dans notre grande série "les super coups cachés", sous certaines conditions victoire en moins de quarante secondes, provoquer l'ennemi au moins une fois, et maintenir le bouton A au moment du coup ultime, une commande appelée "No contest" apparaîtra si elle est exécutée, l'adversaire le sera aussi.

Pour conclure dans la finesse, il est possible de se faire seppuku, histoire de perdre dignement.

 

Le déroulement du jeu diffère quelque peu des précédents, puisque le joueur va progresser sur l'île d'Amakusa, avec des duels aux différents points de rencontre représentés sur une carte, jusqu'à atteindre le château.

Au début de la partie, un deuxième personnage, souvent le némésis de celui que l'on a choisi, part lui aussi à l'attaque du château.

Un temps limite apparaît alors passé le délai imposé, ce personnage servira de boss unique, et une fausse fin sera la seul récompense en fin de partie.

Si la contrainte est respectée, le joueur aura également la possibilité d'affronter Amakusa, puis Zankuro, et d'assister à la véritable fin.

 

Si les sprites ont légèrement rapetissé depuis l'épisode précédent, quelle joie de goûter à nouveau à une sélection riche de personnages, aux graphismes léchés et à l'animation, certes légèrement moins détaillée que dans Samurai Shodown Ⅲ, mais tout de même d'excellente facture !

Mais cette débauche de qualité se paie seuls deux nouveaux prétendants ont fait leur apparition d'autre part, le nombre de décors est en baisse, avec seulement neuf stages, même s'ils connaissent les transformations du précédent opus enfin, c'est du côté son que le bât blesse, avec quelques thèmes musicaux, et, à la manière d'un King of Fighters 97, des ambiances sonores qui brillent par leur platitude.

 

Mais qu'importe, le titre est excellent, plus abordable que Samurai Shodown Ⅲ, avec une difficulté plus raisonnable et une jouabilité plus conventionnelle, mais qui bénéficie de tout le savoir-faire des auteurs de la série !

Je dédies une nouvelle fois cette vidéo à Suparoach Gaming qui m'a donné l'idée de faire ce jeu.

Allez voir sa chaine car c'est du très bon.

 

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti le 19 août 2021 sur le XBLA, Mayhem Brawler développé et édité par Hero Concept est un Beat'em all qui nous plonge dans l'ambiance des jeux arcade des années 90's. Avec un style BD et une bande-son incroyable, le soft offre une expérience unique à vivre en solo ou en coop avec des amis, au cours de laquelle chacun de vos choix influenceront l'histoire.

C’est également durant ces années 90, que les Comics ont commencé à arborer des couleurs vives dans le même style que Mayhem Brawler.

La direction artistique rend littéralement hommage à cette époque avec sa modélisation et surtout le thème abordé faisant écho aux Super Heros de Marvel ou ceux de DC Comics.

 

Le scénario est assez bien développé pour un beat’em all.

Les phases de narrations sont très bien mises en scène, façon Comics avec dialogues doublés en anglais.

Cerise sur le gâteau, entre chaque stage, deux possibilités scénaristiques s’offrent à vous, donnant sur des conclusions du jeu différentes.

Ce qui est assez rare et bienvenu dans ce type de jeu.

 

Vous pouvez incarner un de ses trois Super Flics dotés de capacités surhumaines pour taper du super vilain.

De nombreuses références sont passées en revue.

Lycanthropes, vampires, et même magiciens shootés à la drogue seront de la partie.

L’ensemble revisité dans une époque contemporaine bourrée aux réseaux sociaux !

 

 

Comme tout bon beat’em all old school, l’action se déroule en scrolling horizontal, avec plusieurs groupes d’ennemis à massacrer avant de passer à la zone suivante avant d’arriver au boss.

Il y a quelques bulles de tutoriel au début de l’aventure mais le jeu se prend très facilement en main.

 

Dans ce jeu on retrouve un gameplay des plus simple :

Le bouton A pour cogner à répétition.

Le bouton X pour les attaques spéciales.

Le bouton B pour sauter.

Le bouton Y pour ramasser les objets au sol.

 

Malgré une prise en main simple, le niveau de difficulté est déséquilibré.

Tout seul, vous êtes rapidement submergé par les vagues d’ennemis qui vous tapent sans scrupule dans le dos.

Il est assez difficile de gérer tous les adversaires à la fois.

Il faut jouer sur les différents niveaux de hauteur de l’écran pour les attirer du même côté.

Il faut remplir rapidement sa jauge d’attaque spéciale pour effectuer des attaques de zone afin de vous défaire de situation à risque.

 

L’aventure peut se faire à deux et même à trois comme tout bon Beat'em all des années 90's sorti sur borne Arcade Dès le moment où il y a un deuxième joueur, l'aventure devient beaucoup plus simple.

L’intelligence artificielle est assez basique.

Les ennemis arrivent à droite, à gauche et vont taper le premier venu.

Il suffit alors de les coincer d’un côté et de les cogner avec la première arme qui vous tombe sous la main. Entre les couteaux,

les battes de baseball ou encore les armes à feu, il y a de quoi faire.

 

Toutefois, malgré le fun primaire que procure cette expérience, on regrettera l’absence de combo techniques pour finir les adversaires.

Il manque un côté spectaculaire dans la mise en scène surtout pour des héros.

 

Quoi qu'il en soit, Mayhem Brawler rend belle et bien hommage aux Beat'em all 2D de années 90's.

Le titre est bien réalisé et ne se prend pas du tout au sérieux et il est très intéressant pour cela.

Les références populaires sont légions et l’autodérision même du jeu vidéo est au cœur de certaines répliques.

Il se veut extrêmement accessible au détriment d’une jouabilité un peu trop simpliste, en manque de profondeur.

Toutefois, il a le mérite d’être drôle et sans prise de tête.

C’est clairement le genre de jeu à sortir en soirée dans le but de rigoler entre Potes.

 

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🔰 Développé en 2020 par Dotemu en collaboration avec SEGA Streets of Rage 4 était attendu par toute une floppé de fans, encore plus dans la conjoncture actuelle, Streets of Rage 4 fait mouche juste comme il faut, sans commettre d’impairs majeurs mais sans révolutionner le genre ni la saga non plus.

C’était aussi le credo des différentes équipes de développement, qui avait à cœur de proposer un opus dans la lignée, mais avec le dosage de nouveautés nécessaire pour ne pas tomber dans le remake pur et dur.

Vous l'aurez compris, Streets of Rage 4 est une véritable réussite !

 

Streets of Rage c’était avant tout une affaire de coups de poings et de coups de pieds, d’ambiance crade et d’environnements variés que les musiques de Yuzo Koshiro et de Motohiro Kawashima sublimaient, entrainant les joueurs au rythme de la basse et des combinaisons A, B, C. comme dans les Beat'em All de l’époque.

Tout comme Double Dragon et Final Fight que l'on présente plus étant les concurrents direct des Streets of Rage, ont au fil des années créé des univers de plus en plus fouillés, espérant ainsi palier le caractère intrinsèquement répétitif de ces jeux.

 

Plus de 25 ans se sont aujourd’hui écoulés entre Streets of Rage 3 et son successeur, sauver à nouveau la ville n’est donc plus un simple souvenir mais bien une réalité.

Malgré quelques tentatives avortées quant à la réalisation d’un quatrième opus, c’est en août 2018 que sont apparus les premiers chara designs d’Axel et Blaze, promettant un retour en force moderne.

Encore une fois, dans une ville sur le point d’explose et les anciens flics décident à nouveau de tous les battre à poings nus.

 

Let's Go. Passés la cinématique et les illustrations qui dévoilent l’intrigue, le premier niveau se lance :

une ruelle sale, des ennemis qui surgissent par dizaines, ne demandant qu’à se faire laminer sur un thème entrainant, toujours inspiré par l'Euro Dance et le New Jack Swing on y est !

 

Nostalgie mise à part, la direction artistique est vraiment très soignée, que ce soit avec les décors, les lumières, malgré le choix un peu étrange d’avoir un rendu proche du toon shading, appuyant donc fortement les contours des personnages et des objets.

En se basant sur les sprites des trois premiers jeux, dont certains possèdent des cernes visibles, le directeur artistique Ben Fiquet et l'illustrateur Julian Nguyen-You les ont rapproché de l'animation japonaise.

Leurs croquis révèlent ainsi une nette volonté d’avoir un aspect plus cartoon/manga pour les différents personnages pour ma part j'y vois surtout le style de la Toei Animation, cohérent donc mais pas forcément au goût de tous. Le côté « hip and cool » de certains nouveaux ennemis est aussi bienvenu qu’il peut parfois s’avérer grotesque.

Néanmoins l’ensemble, des menus aux illustrations et aux animations des personnages, rend très bien à l’écran, passés les quelques instants pour oublier que Streets of Rage n’est plus un jeu 16Bits.

 

Les environnements des 12 niveaux contrairement à 8 pour les trois premiers jeux sont extrêmement variés et donnent envie de les refaire pour apercevoir quelques détails ou références cachées, voir même y perdre du temps pour profiter des ambiances et des musiques.

Les ennemis, pas aussi variés que ce que les premières images du jeu laissaient penser les Dylan et autres Kevins avec leurs coups de pieds traitres sont les nouveautés les plus courantes, reprennent les designs des jeux précédents, mais après tout un Galsia reste un Galsia et un Donovan reste un Donovan le mal ne vieilli pas à Wood Oak City.

Même le décor s’en prend parfois à nos héros, les forçant à tomber dans des trous, à éviter des câbles électriques et des produits toxiques et à ne pas frapper dans des bidons explosifs.

 

Malgré la linéarité des niveaux de gauche à droite en deux tableaux et un boss, avec la variante de défilement vertical, le plaisir est là et les combos s’enchainent, parfois de justesse, juste avant qu’un ennemi ne marque une interruption en vous frappant.

 

Les ennemis semblent bien plus nerveux et savoir d’emblée comment profiter des frames d’extrême vulnérabilité pour frapper les personnages et même les balancer de l’autre côté de l’écran qu’il faut donc péniblement traverser à nouveau, certains de leurs coups paraissent même imparables ayant la priorité sur ceux des héros globalement tout ce qui relève du jeu aérien.

D’autres ennemis ont l'air de maîtriser parfaitement la notion de hit box, à tel point que celle des héros passe pour être bien plus importante que celle de leurs opposants.

 

Streets of Rage 4 est une incroyable surprise et le digne héritier de la série culte.

Magnifique sur le plan visuel, le gameplay a également pris un petit coup de jeune avec de nombreux ajouts, tout en gardant des bases classique.

Enfin, l’OST se révèle moins marquante qu’à l’époque, tout en restant de bonne facture et on déplorera l’absence d’un mode entrainement pour s’entraîner à réaliser ses combos à la perfection.

 

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  • 3 semaines plus tard...

🔰 Les Turtles sont de sorti et prêt pour en découdre !

 

C'est une poursuite sauvage à travers l'espace et le temps qui attend les Teenage Mutant Ninja Turtles dans cette aventure.

A travers des dimensions nos Turtles mettent tout en œuvre pour arrêter Shredder et le Kraang les ennemis mythique des Turtles.

Combattez comme les tortues à travers des mondes glacials et volcaniques, sur les toits chaotiques de New York et même du Technodrome tous un programme ! Affrontez d'anciens ennemis reconnaissables comme Bebop & Rocksteady, ainsi que de nouvelles hordes dotées de nombreuses capacités mortelles.

 

Collectionnez de nouveaux costumes pour les tortues lors de votre voyage, chacun avec ses propres pouvoirs spéciaux qui peuvent faire ou défaire le prochain combat !

Le concept des tenus et génial. C'est pour moi un très bon Beat'em all car le jeu est bourré de bonne idée comme switch de persos et prendre ses aptitudes à tous moments ou se réunir pour des attaques ciblé et combo de fou !

 

Le jeu est bien fait, ça bouge et c'est lisible pour celui qui joue. En somme vous aimez les Beat'em all bien nerveux je vous conseil celui-ci.

 

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🔰 Au top !

Si la franchise Marvel Vs Capcom possède un certain succès en Europe, elle connaît sûrement son plus gros succès aux États-Unis, notamment avec l’épisode Marvel Vs Capcom 3, arrivé en pleine période de revival du jeu de combat.

A ses origines, notamment boosté par le succès des séries animées des différentes séries de Marvel, comme celle de X-Men, Capcom a réalisé en 1996 un premier épisode sur borne d’arcade puis PS1 nommé X-men Vs Street Fighter.

Le succès fut au rendez vous et il ne faudra attendre qu’une année pour voir sa suite arriver Marvel Super Heroes Vs Street Fighter.

L’idée d’incorporer différents personnages venus d’autres productions de Capcom n’arrivera que en 1998, avec le premier épisode de Marvel Vs Capcom, sous nommé Clash of the Super Heroes.

 

Après deux autres suites, la franchise reviendra cette année avec un tout nouvel épisode nommé Infinite

 En attendant la sortie attendue de cet épisode, Capcom propose aujourd’hui sur nos consoles actuelles le dernier épisode en date de la série, c’est-à-dire Ultimate Marvel Vs Capcom 3.

La version de Ultimate Marvel Vs Capcom 3 qui nous a été permis de jouer est donc un remaster du jeu sorti en 2011, proposant alors un upscale 1080p promettant également 60 images par seconde.

Le résultat est pour le coup assez convaincant et le jeu n’a pas vieilli du tout en cinq ans.

Les effets de lumières sont tout aussi convaincants.

On pourra cependant reprocher au jeu de ne pas avoir changé son netcode, c’est-à-dire sa gestion du mode en ligne, ne permettant pas aujourd’hui un mode de jeu online convaincant.

 

Après une excellente mise en bouche de l’ambiance du titre par une introduction animée assez nerveuse, vous arrivez dans le menu principal du jeu.

Trois choix principaux s’offrent à vous : le mode local, vous proposant ainsi d’effectuer le classique mode arcade, versus, entraînement, ainsi qu’un mode mission vous permettant d’apprendre les différents combos pour chaque personnage le mode en ligne vous permettra de jouer contre vos amis ou le monde entier et le mode héros et hérauts.

On pourra cependant reprocher le manque d’un véritable mode tutoriel, qui aurait permis au nouveaux venus de véritablement envisager le jeu dès sa base.

Le mode héros et hérauts vous permettra, que ce soit en ligne ou en local, d’enchaîner les différents affrontements afin de conquérir les différents territoires composant le monde. Vous pourrez le faire du coté ainsi des héros ou des vilains, mais vous posséderez le même choix de personnage, pour plus d’équilibre du jeu.

Après chaque affrontement, vous récupérerez différentes cartes, que vous pourrez combiner afin de créer différents boost pour votre équipe.

Le mode, original par rapport aux différents modes histoires proposés habituellement dans les différents jeux de combats, permet pour le coup un peu de variété. Ultimate Marvel Vs Capcom 3 reste un jeu plutôt complet encore aujourd’hui je m'explique :

 

Un des éléments difficile lors de la création d’un jeu cross-over est de pouvoir proposer un univers visuel cohérent.

Un des gros points forts de ce titre est d’avoir encore une fois réussi à mixer parfaitement les différents univers et proposer une véritable cohérence.

Cette cohérence se retrouve bien entendu également de façon sonore, avec différents thèmes réussis.

Vous aurez le choix lors de chaque combat de créer votre propre équipe de trois personnages issus de n’importe quel univers.

Chaque personnage possède bien entendu ses spécificités et combos, et il vous faudra de plus choisir la furie de chacun de vos personnages.

La série des Marvel Vs Capcom a su se renouveler à chaque épisode, et cherche à proposer une expérience accessible au grand public mais profond pour les connaisseurs.

 

Ce troisième épisode canon à complètement changé la formule.

Si le jeu reste sur une utilisation de 6 boutons, d’une gestion des combos par des quarts et demis cercles, cet épisode s’est séparé de son ancien système de jeu.

Les deux autres boutons restant sont utilisés de leur côté avec les partenaires de combat. Vous pourrez ainsi les appeler pour effectuer un combo avec eux, effectuer une attaque spéciale combinée, ou encore pouvoir échanger de place avec celui-ci.

Le jeu est ainsi fait pour être très dynamique, et pour créer de véritables combos dévastateurs.

Le tout permet ainsi de véritablement mettre en avant les cinquante personnages jouables du jeu.

Le jeu possède également un mode simple, simplifiant la réalisation des combos, permettant aux débutants de pouvoir également profiter facilement du jeu, même si Ultimate Marvel Vs Capcom 3 fait partie de ces jeux pouvant être le parfait 1er jeu de combat pour un nouveau joueur.

Les joueurs beaucoup plus expérimentés pourront ne pas aimer l’approche trop arcade et moins technique du jeu en comparaison à un Street Fighter ou un Tekken. Mais le système de combos est assez bien réfléchi et pensé pour proposer assez d’interactions pour les joueurs les plus exigeants.

 

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On continu encore et encore.
🔰 Marvel VS Capcom a longtemps représenté pour moi le jeu de combat ultime.

Pas trop compliqué, ultra bourrin, on peut facilement y jouer avec un pote n'a jamais touché au jeu.

Puis est venu Street Fighter IV, graphiquement j'ai beaucoup aimé mais je l'ai trouvé beaucoup trop technique.

Les combats relèvent plus de la tactique que du fun puis mon dieu, ce boss final totalement Cheaté.

 

J'avoue avoir été inquiet quand j'ai vu les premières images de ce Street Fighter X Tekken mais bon, on ne sait jamais.

Je lance le jeu et je tombe sur une cinématique comme Capcom sait le faire, le genre qui vous laisse avec un filet de bave aux lèvres et vous donne furieusement envie de vous y mettre

 On peut même espérer qu'un mode histoire soit présent vu la qualité de la cinématique mais non, exactement la même déception comme Marvel VS Capcom 3.

Enfin si, il y a un petit effort avec une intro avec un bô dessin et une cinématique de clôture pour chaque duo mais bon c'est tellement risible à cause du pitch de départ.

Une boîte sort de nulle part et tout le monde se défonce la gueule pour la récupérer, on a vu bien mieux. Les fins sont très courtes et ne servent presque à rien tant la narrativité est proche du néant.

 

Y en a certaines qui font sourire mais quand on voit l'effort de Namco avec Tekken 6 même si l'histoire était un peu bidon, au moins elle existait et avait le mérite de pousser le joueur à la vivre. Tant pis si la durée de vie est riquiqui comme Fight Night Champion.

Bon encore une déception, espérons qu'on n'aura pas la même chose avec Tekken X Street Fighter.

Toutefois pour le reste, Street Fighter X Tekken est un excellent jeu. Le gameplay s'inspire à la fois de Street Fighter IV et de Marvel VS Capcom.

Du quatrième Street Fighter, on conserve les coups (simplifiés) et de Marvel VS Capcom, l'idée des teams ce qui donne un cocktail détonnant et d'une fluidité à toute épreuve.

 

Il fallait bien ça pour pallier à la déception du solo.

Les coups spéciaux sont spectaculaires même si elles n'atteignent pas le délire clownesque de l'autre crossover avec Spidey. En tout cas, c'est agréable, les débutants et les professionnels pourront se rencontrer sans trop se plaindre.

A noter aussi l'apparition de mini gemmes pour booster provisoirement les coups mais ça reste tout de même anecdotique.

Graphiquement, c'est beau et la surprise, c'est de voir les personnages de Namco s'intégrer à merveille dans l'univers Capcom à tel point que pour les personnages les plus obscurs des deux saga, on n'arrive même pas à savoir s'il est de Capcom ou Namco.

Un très bon point aussi pour les décors, s'ils sont peu nombreux, fourmillent tellement de vie qu'il est parfois difficile de ne pas laisser notre regard vagabonder j'ai perdu un combat comme ça.

 

Au niveau modes de jeu on est pas mal, c'est basique, le mode arcade histoire en fait, un versus, un mode online, entraînement et des défis.

Bon ben, ils ne se sont pas foulé le cul donc je ne le ferais pas non plus. En conclusion.

Street Fighter X Tekken est un excellent jeu de combat en soi mais à présent, je considère que pour devenir excellent, un jeu de combat doit proposer une histoire comme Tekken 6 ou Fight Night Champion du coup, je le recommande a tous le fan de Vs fighting.

 

 

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Les Girls son de sorti et elle son pas là pour te faire la bise !

River City Girls est un beat'em up conçu en pixel art et doté d'une composante exploration RPG.

Il nous met dans la peau de Kyoko et Misako, deux étudiantes adeptes des arts martiaux qui en découdront avec divers gangs locaux afin de sauver leurs compagnons.

 

River City Girls n’ait pas retenu votre attention.

Et pourtant c'est le digne successeur de Nekketsu Monogatari.

Véritable lettre d’amour des développeurs de WayForward à la licence Kunio-kun River City Ransom ou en bon Japonais Nekketsu Monogatari et la ribambelle de jeux de sport et d’action qui ont suivi, ce beat’em up à l’ancienne au style pixelisé part avec de sérieux atouts dans sa manche pour titiller la fibre nostalgique.

 

Après l’hommage aux années 1980 dans Double Dragon Neon, le studio américain nous plonge cette fois-ci dans la décennie suivante, souvent perçue comme celle de l’âge d’or de la castagne 2D.

Reste à voir si ce spin-off témoigne d’un aussi grand respect à la saga initiale.

Visuellement, River City Girls est une franche réussie grâce à son Pixel Art de qualité. Non seulement très joli, celui-ci se montre surtout très détaillé et criant de vie. Les animations ne sont pas en reste que ce soit pour nos combattantes ou pour les ennemis.

Perso i love.

 

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Il y a 2 heures, GOONIES a dit :

J aime bcp ce jeu I love this Game 💘 un poil répétitif peut être

Tu as raison mon GOONIES les 30 première minute ça tourne en rond mais après 1 heure de jeu quand tu prend des compétences là c'est bien plus nerveux.
Hésite pas à passer me voir sur ma chaine YT je parlerais bien volontiers avec toi mon GOONIES👌.

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il y a 27 minutes, akumasan a dit :

Hésite pas à passer me voir sur ma chaine YT je parlerais bien volontiers avec toi mon GOONIES👌.

J'aimerai beaucoup voir cette chaine mais étant donné que je n'ai pas vu passer de lien, je ne sais pas quel est ta chaine mais peut être est-elle privée ? 😉

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Dans ma vie de gamer il y a des jeux dont je me refait encore et encore !
Même si on a des PC surpuissant je reviens toujours a Soul Reaver.

Alors celui-ci je ne m'en lasserais jamais, tout comme un certain Metal Gear Solid sur cette même bécane.

Que dire de Legacy of Kain Soul Reaver à part que ce n'est ni plus ni moins qu'un chef d'œuvre.

Le jeu est excellent à tout les niveaux.

 

Pastèque sur le tiramisu les voix Française de Morgan Freeman et de Kevin Costner pour Raziel te met direct dans le bain.

Tout est bon dans ce jeu a commencer par le gameplay qui est au top, son OST envoie du lourd et que dire de son scenario digne d'un blockbuster que l'on aime voir et revoir. Lui trouver des défauts va pas être facile.

 

Voici l'histoire:

En détruisant les piliers de Nosgoth, Kain est devenu le maître incontesté du plan des humains. Un siècle plus tard, il engendre des serviteurs vampires, comme lui, qui le servent loyalement.

Encore plus tard, alors que le monde est corrompu par la démence et la cruauté, de nombreuses mutations s'opèrent au sein de la communauté vampirique. Vous êtes Raziel, un des fidèles de Kain, et vous venez d'obtenir une somptueuse et diaphane paire d'ailes après une mutation.

Ne disposant pas encore de tels attributs, Kain décide de vous bannir pour laver cet affront. Il vous condamne à brûler dans le vortex pour l'éternité.

Mille ans de souffrances s'écoulent et l'Ancien, une puissance mystique, vous ramène alors à la vie, ou plutôt à la mort.

Le faucheur d'âmes que vous êtes devenu est prêt à se venger de la perfidie de son ancien maître.

Tout le jeu prend place dans une ambivalence des lieux.

Vous venez en effet du royaume spirituel, un lieu où vous n'avez aucun contact physique avec l'extérieur.

De l'autre côté du miroir, le monde réel où vous interagissez avec le reste de votre environnement.

 

Au final, chaque niveau a en fait son pendant de ténèbres.

Lorsque vous mourez dans le monde réel, vous réapparaissez instantanément dans le monde spirituel. Autant les niveaux "réels" sont sans limite apparente et vous y avancez continuellement, autant les niveaux spirituels sont découpés en portions avec à chaque fois, un portail pour revenir dans le monde réel.

Ainsi, de nombreux objets sont présents dans les niveaux pour vous faciliter la tâche. Par exemple, des portails sont placés à certains endroits du jeu pour vous permettre de vous déplacer aisément, comme les autels à métamorphose dans le premier Legacy of Kain.

 

Je suis un grand fan de ce jeu et je lui rend hommage en faisant des vidéos dessus.

 

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🔰 Sorti en Avril 2011sur Xbox 360, The Dishwasher Vampire Smile est un Beat’em All en 2D développé et édité par Ska Studios.

Il s'agit de la suite du déjà excellent The Dishwasher Dead Samurai sorti en 2009.

Donc dans ce deuxième épisode, vous incarnez la belle-sœur du Dishwasher s’adonnant à une vendetta sanglante contre ceux qui l’ont enfermée et transformée en monstre.

 

La narration est volontairement glauque dans sa réalisation.

Elle prend d’ailleurs la forme d’un Comics en proposant des images fixes entre les niveaux, très joliment illustrées dans un style noir et blanc très délavé, parsemées de bulles de dialogue.

Vous allez me dire que de toute façon, le scénario dans un jeu typé arcade, ce n’est pas très important.

C’est très certainement ce pourquoi les développeurs se sont permis ces excentricités qui, si elles desservent la clarté du scénario, renforcent l’ambiance particulièrement sombre et glauque de leur jeu.

 

Maintenant que le décor est posé, parlons gameplay, parlons baston.

Le mode story se découpe en une succession de niveaux de dix minutes environ.

Vous avez le choix entre Yuki ou le Dishwasher.

La progression sera la même avec les deux personnages bien qu’ils jouissent d’une vision scénaristiquement différente.

Bien évidemment, ils disposent de leurs animations et de leurs propres armes, qui s’élèvent au nombre de quatre pour celles de contact et au nombre de deux pour les armes à feu. Elles seront successivement débloquées au fur et à mesure de l’histoire.

 

Ici, le style de jeu se veut être du smash button.

Une touche pour taper avec votre arme principale, une pour une frappe lourde, une autre pour faire une prise ou exécuter votre adversaire une fois sa vie basse et une pour sauter.

Le choix vous est également donné de tirer avec votre arme à feu mais aussi et surtout d’esquiver via des dashs.

Car en effet, vous passerez le plus clair de votre temps à spammer la touche de frappe tout en esquivant en boucle tant l’esquive vous rend invincible pendant son trajet.

Et une fois que les ennemis n’ont plus de vie, de les achever via une prise, une attaque lourde ou encore un assaut sur plusieurs cibles en phase d’exécution.

Si l’on pourrait penser que tout ceci finirait par être répétitif, il n’en est rien.

L’action se veut si nerveuse, la difficulté si bien dosée et le visuel si brutal et jouissif que même après plusieurs heures de jeu, le plaisir reste intact.

Sept niveaux de difficulté sont d’ailleurs présents, de quoi satisfaire tous les types de joueurs.

Le tout sur fond de musique métal, renforçant l’ambiance immersive.

 

En jeu, vous pourrez créer deux ensembles d’armes différents qu’il vous sera possible de switcher via une touche.

Si cette manipulation n’est pas indispensable, il faut dire qu’elle est très intéressante.

Car en effet, elle permet d’effectuer des combos plus impressionnants Le changement d’arme se fait quasiment instantanément et ne casse aucunement le combo en cours.

Vous avez donc la possibilité de démarrer un combo, changer d’arme pour le continuer, changer de set d’arme et de répéter l’opération.

De quoi vous occuper avec plus d’efficacité des nombreux boss qui viendront se mettre en travers de votre chemin.

 

En plus de vos armes, des compétences magiques se rendront disponibles au cours de votre aventure.

Elles nécessiteront un crâne magique pour être utilisées, qui se remplira à force de tuer des ennemis.

Vous accumulerez également des points d’amélioration qui serviront à augmenter la puissance de vos armes, magies, jauge de santé ou même acheter de la nourriture servant de potion en combat.

 

Mais le titre ne se limite pas à son mode histoire.

Un mode arcade est disponible en proposant cinquante niveaux différents sous forme de défis comme ne faire que des combos aériens ou encore de tuer tous les ennemis en moins d’une minute.

La difficulté y est encore une fois très habilement dosée, rendant ce mode très addictif.

Un mode survie est de la partie lui aussi.

Il y est question de survivre le plus longtemps possible avec le personnage et les armes que vous aurez soigneusement choisis.

Et puis il y a le mode coopératif, qui est inutile de présenter tant son appellation est suffisamment éloquente.

Jamais le déchiquetage de cyborgs n’aura été aussi fun entre amis.

 

Vous l’aurez compris, The Dishwasher Vampire Smile est une pépite du genre Beat’em All.

Avec son gameplay simple mais efficace, sa direction artistique particulièrement originale et sa tendance à faire enchaîner frénétiquement les parties aux joueurs, le titre de Ska Studios aura réussi à se faire une place aux côtés des plus grands titres de l’arcade.

De l’hémoglobine, du métal et des bons copains, tout ce qu’il faut pour passer un bon moment.

 

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il y a 5 minutes, akumasan a dit :

🔰 Sorti en Avril 2011sur Xbox 360, The Dishwasher Vampire Smile est un Beat’em All en 2D développé et édité par Ska Studios.

 

Ska Studios, du très bon, un style visuel à part, de l'action, du gore, une boucherie 😁 , d'ailleurs je conseille un autre jeu du studio : "Salt and Sanctuary" qui lui se range plus dans la catégorie "Igavania" même s'il y a des similitudes sur certains aspects, normal c'est du Ska 😅.

 

P.S: oui je sais que « beat’em all » ça se dit en France mais le bon terme est « beat ’em up » (source Mo5) 😉 (oui c'est un détail et les 2 expressions sont utilisés) 😉 👍

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Il y a 4 heures, Bibinou67 a dit :

 

Ska Studios, du très bon, un style visuel à part, de l'action, du gore, une boucherie 😁 , d'ailleurs je conseille un autre jeu du studio : "Salt and Sanctuary" qui lui se range plus dans la catégorie "Igavania" même s'il y a des similitudes sur certains aspects, normal c'est du Ska 😅.

 

P.S: oui je sais que « beat’em all » ça se dit en France mais le bon terme est « beat ’em up » (source Mo5) 😉 (oui c'est un détail et les 2 expressions sont utilisés) 😉 👍

Salut mon Bibinou je l'ai Salt and Sanctuary d'ailleurs je ferais des vidéos dessus très prochainement car là je suit mon planning de vidéo.

J'enregistre d'abord mes vidéos sur Huntdowm que je posterais sur ma chaine et également ici dans le topic Fiston ! Tais toi ! Cours et Tire !

PS: J'ai toujours écrit Beat'em all comme j'ai toujours écrit Shoot'em up 😉

Petit screen shoot Bibinou tu va tout de suite reconnaitre le Hit 😉

 

 

 

 

saltbibi4.png

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