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Certains émulateurs, notamment ceux pour faire fonctionner les consoles les plus récentes (ou les moins vieilles) demandent des ordis un peu costauds, et donc sont peu compatibles avec des ordis assez vieux, AnneFlow.
Je sais pas ce qu'il en est concernant Fable en émulation, mais je pense que il est possible de se le procurer pour pas trop cher sur Steam, Gog, Epic, ...
Ou alors se le procurer de manière un peu moins légale, ce que, bien évidemment, je ne recommande pas. ^^
Et si tu souhaites savoir si ton ordi est capable de le faire fonctionner correctement, tu peux aller sur ce site, taper le nom du jeu qui t'intéresse dans la barre de recherche, et voir si ton ordi est en capacité de faire tourner ton jeu correctement.

https://www.systemrequirementslab.com/cyri

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18 minutes ago, AnneFlow said:

Alors non j'ai une vieille rave de pc de mon ami qui a au moins 10 ans un acer je sais pas quoi (la réf est un peu effacée), ça doit jouer. Ensuite j'utilise RomStation version 2.8.1.

Je ne connais pas bien les iso, j'imagine que ce sont les jeux bruts mais après si je télécharge une iso de Fable par exemple, qu'est-ce que j'en fais pour y jouer ? Je manque de connaissance, c'est pour ça RomStation m'a permis de pouvoir jouer à quelques jeux sans trop de difficultés. Je ne connais pas les pages wiki de compatibilité des jeux, jamais vues.  

Mais donc du coup je rêve un peu en pensant à Fable avec mon vieil ordi, non ? C'est quand même un jeu de 360. J'ai peur qu'il soit trop perfectionné pas comme les jeux de Gameboy Color par exemple.

 

 Et il y a bien un jeu de Xbox 360 que j'aurais aimé rejouer c'est 2 frères il me semble ou Brothers : A Tale of Two Sons.

Mais c'est pareil je crois que c'est un jeu auquel je ne peux accéder...

 

J'avais un acer aussi, c'est pas terrible pour les jeux.

 

Pour Fable, soit tu l'achète sur steam comme gaga l'a proposé soit tu télécharge sur les sites que je t'ai envoyé tu séléctionne le lien sur lequel tu veux télécharger le jeu (ATTENTION à bien fermer les pop-op qui redirige vers des arnaques et à atterir sur l'url du lien sur lequel tu veux télécharger) les sites sont très fiables mais manque de protection.

 

Donc tu télécharges le jeu + le logiciel winrar (icône en forme de pile de bouquins) .

 

Lorsque le téléchargement du jeu sera terminé tu verras une petite icône winrar+ nom du jeu en bas à gauche de l'écran, clique sur la flèche pour ouvrir le dossier du jeu.

 

Ensuite click droit + décompresser dans le dossier spécifé (choisi ton dossier)

 

Dans le dossier du jeu, clique sur l'icône .exe du jeu pour l'installer

 

Il devrait aussi normalement se trouver dans le dossier du jeu, un fichier pour changer la langue à ouvrir avec le bloc-notes, tu as juste à remplacer language=english par language=french et à enregistrer les modifications.

 

il y a aussi des patch fr textes et audios sur ce site

https://traductionjeux.com/

 

au cas ou j'aurais oublié des trucs les instructions sont sur les sites que je t'ai envoyé en liens. ça peut paraître compliqué la première fois mais une fois qu'on maitrise ça prend 5 secondes.

 

je ne peux pas te garantir que le jeu fonctionnera sur ton PC.

 

Concernant la Xbox 360 je crois que le meilleur truc à faire sera de t'en procurer une + le jeu auquel tu veux jouer car il n'existe malheureusement pas d'émulateurs Xbox 360 (enfin, pas qui permettent de faire tourner des jeux commerciaux), question de compositions de la console difficile à émuler sur pc , je crois, et autres raisons dont je ne me souviens pas.

.

 

 

 

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🔰 C'est un festival, le sacre de Michael Jordan pour son 1er titre de champion NBA.

On est en 1991 en finales NBA ce sont la dernière série de matchs de la saison 1990-1991 de la saison NBA et la conclusion des séries éliminatoires des playoffs.

Jordan rentre définitivement dans l'histoire de la NBA en détrônent le roi Magic Johnson.

Ce match est un concours de dunks à lui tout seul mais surtout d'égo !

 

Le champion de la conférence Est, les Bulls de Chicago rencontrent le champion de la conférence Ouest, les Lakers de Los Angeles.

C'était la première apparition de Michael Jordan en finale de la NBA, la dernière de Magic Johnson et la dernière finale NBA pour les Lakers jusqu'en 2000.

Les Bulls gagnent la série 4-1.

Jordan tournera à 31,2 points de moyenne à 56% au tir, avec 11,4 passes décisives, 6,6 rebonds, 2,8 interceptions et 1,4 ce qui l'aidera à remporter son premier titre de MVP des Finales2.

 

La série n'est pas la première entre ces deux équipes.

Avant 1991, ils se sont rencontrés à quatre reprises (1968, 1971, 1972 et 1973), toutes victorieuses pour les Lakers.

Chicago était membre de la Conférence ouest à l'époque et s'est installée dans l'Est en 1981.

Les finales de 1991 marquent la première victoire des Bulls sur les Lakers en playoffs.

Cette série marquera la fin de l'ère Showtime des Lakers et le début de la dynastie des Bulls.

 

Les Lakers de 1991 étaient menés par Magic Johnson, qui avait 32 ans, ainsi que son coéquipier James Worthy.

Les Bulls sont menés par le MVP de la saison régulière Michael Jordan et Scottie Pippen.

 

Michael Jordan deviendra le troisième joueur de l'histoire de la NBA à remporter le titre de meilleur marqueur de la saison et le titre NBA au cours de la même saison.

 

La saison 1990-1991 a marqué le 25e anniversaire des Bulls dans la franchise.

L'équipe venait de subir une défaite en sept matchs contre les Pistons de Détroit lors de la finale de la Conférence de l'Est de 1990.

 

Ils ont réussi à établir un record de franchise avec 61 victoires au cours de la saison régulière.

Jordan a remporté le titre de meilleur marqueur pour une cinquième saison consécutive.

Jordan a également distribué le ballon avec régularité, en grande partie grâce à l'attaque en triangle instituée par l'entraîneur Phil Jackson et l'assistant Tex Winter.

Cela a donné aux Bulls des armes offensives supplémentaires, allant de l'ailier Scottie Pippen et des joueurs de poste tels qu'Horace Grant et Bill Cartwright à des tireurs tels que John Paxson et B. J. Armstrong.

La saison complète de Jordan lui a valu son deuxième titre de MVP de la saison régulière.

 

En playoffs, les Bulls n'ont perdu qu'une seule fois lors des trois premiers tours.

Ils ont éliminé les Knicks de New York au premier tour, puis ont éliminé les 76ers de Philadelphie au deuxième tour.

Leur revanche très attendue avec les Pistons de Détroit en finale de conférence a montré la maturité et l'équilibre que les Bulls ont montrés toute la saison.

 

Les Lakers ont remplacé leur entraîneur, Pat Riley, par Mike Dunleavy Sr., ancien entraîneur adjoint des Bucks de Milwaukee.

Dunleavy a ensuite abandonné l' attaque du Showtime au profit d'un style de jeu plus délibéré, mais malgré le changement de système, les Lakers ont tout de même connu une saison impressionnante, remportant 58 matchs.

 

En playoffs, les Lakers ont éliminé les Rockets de Houston au premier tour, puis éliminé les Warriors de Golden State au deuxième tour.

Les Lakers étaient ensuite opposés aux Trail Blazers de Portland, qui venaient de participer à la finale NBA l'année précédente.

Les Lakers remporteront la finale de la conférence en six matchs.

 

 

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Qu'est ce qu'ils ont pu me gonfler, ces Bulls sur cette période. ^^

Les Blazers avaient un jeu super fluide et collectifs, et j'adorais les Suns de Barkley et K. Johnson, qui s'étaient aussi cassés les dents sur ces mêmes Bulls en 93.
J'commençais tout juste à m'intéresser au basket à l'époque, et ces Bulls ont barré la route à plein d'équipes que je kiffais.
D'ailleurs, j'ai jamais autant aimé la NBA que lors des deux saisons où Jordan avait pris sa retraite (enfin, une saison 1/2) : les playoffs de 94 et 95 étaient dantesque en terme d'intensité, on avait l'impression que beaucoup d'équipes savaient que, Jordan partit (et à 50% de ses moyens en 95), y'avait enfin une fenêtre pour gagner un titre, et qu'elle allait pas durer bien longtemps.
Les finales 94 par exemples, entre les Knicks et les Rockets, ont été les plus défensives de l'histoire de la ligue, et ça bastonnait sévère dans la raquette.
Mais la série de playoffs qui m'a le plus marqué, sur cette période, c'est les demi finale de conf (en gros, les quarts de finales pour les non initiés au jargon NBA) de l'Est de 95 entre les Knicks et les Pacers. Une vraie bataille de tranchée : Miller (star des Pacers) qui score 8 points en 9 secondes pour faire gagner son équipe à NY. Puis y'avait déjà un gros passif en terme de rivalité entre ces deux équipes (et entre Reggie Miller et Spike Lee aussi ^^).
J'adorais cette équipe, car elle avait pas de noms aussi ronflants que les favoris de cette époque, et pas aussi médiatisés, mais ils lâchaient jamais rien sur un terrain, défendaient comme des morts de faim.

Juste un regret : Le Magic de mon idole à l'époque (nonon, c'était pas Shaq, mais Penny Hardaway) qui se mangent un gros 0/4 en finale 95 contre les Rockets (doublé 94/95), après avoir éliminé les Bulls de Jordan puis les Pacers.


 

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Hakeem The Dream un top player 😉 

 

y avait qd meme Reggie et ses grandes oreilles, un sacre shooter & thrashtalker et 2 europeens le pivot the flyingDutchman qui etait top (Rick me rappelle plus le nom) et l allemand Schrempf de memoire qui deboitait pas mal parti plus tard chez les sonics de l enorme Shaaaaaawwwwwnnn Kemp & Barry P. les pacers c etait du costaud. 😉 

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Il y a 2 heures, tagomago a dit :

Qu'est ce qu'ils ont pu me gonfler, ces Bulls sur cette période. ^^

Les Blazers avaient un jeu super fluide et collectifs, et j'adorais les Suns de Barkley et K. Johnson, qui s'étaient aussi cassés les dents sur ces mêmes Bulls en 93.
J'commençais tout juste à m'intéresser au basket à l'époque, et ces Bulls ont barré la route à plein d'équipes que je kiffais.
D'ailleurs, j'ai jamais autant aimé la NBA que lors des deux saisons où Jordan avait pris sa retraite (enfin, une saison 1/2) : les playoffs de 94 et 95 étaient dantesque en terme d'intensité, on avait l'impression que beaucoup d'équipes savaient que, Jordan partit (et à 50% de ses moyens en 95), y'avait enfin une fenêtre pour gagner un titre, et qu'elle allait pas durer bien longtemps.
Les finales 94 par exemples, entre les Knicks et les Rockets, ont été les plus défensives de l'histoire de la ligue, et ça bastonnait sévère dans la raquette.
Mais la série de playoffs qui m'a le plus marqué, sur cette période, c'est les demi finale de conf (en gros, les quarts de finales pour les non initiés au jargon NBA) de l'Est de 95 entre les Knicks et les Pacers. Une vraie bataille de tranchée : Miller (star des Pacers) qui score 8 points en 9 secondes pour faire gagner son équipe à NY. Puis y'avait déjà un gros passif en terme de rivalité entre ces deux équipes (et entre Reggie Miller et Spike Lee aussi ^^).
J'adorais cette équipe, car elle avait pas de noms aussi ronflants que les favoris de cette époque, et pas aussi médiatisés, mais ils lâchaient jamais rien sur un terrain, défendaient comme des morts de faim.

Juste un regret : Le Magic de mon idole à l'époque (nonon, c'était pas Shaq, mais Penny Hardaway) qui se mangent un gros 0/4 en finale 95 contre les Rockets (doublé 94/95), après avoir éliminé les Bulls de Jordan puis les Pacers.


 

Le Reggie redoutable shooter au 3pts une vrai legende le mec !

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il y a 6 minutes, Minou33 a dit :

En matière de sneakers, il n'y a pas que les Air Jordan....

 

Il y avait aussi cette paire signée Dikembe Mutombo by Adidas qui était incroyable!

 

Lifestyle-Deals-adidas-Mutombo--e1426106

Les Adidas Dikembe Mutombo je les avais quand j'etais gosse avec les Air Jordan 7 que je porte toujours !

 

mes jordan.jpg

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Il y a 3 heures, GOONIES a dit :

pour aller en Irlande, prenez la compagnie Air Minou vous verrez du pays 🙂 

 

Air Minou vous invite à découvrir The Giant's Causeway (La Chaussée des Géants en français)

 

A la pointe Nord de l'irlande, un des endroits probablement le + marquant du voyage dans ma mémoire; une telle beauté majestueuse, une sensation que le temps s'est figé

 

Les Vikings l'avaient bien compris; la Nature est clairement + forte que toi.

 

 

 

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🔰 Sorti en 2011 sur Xbox 360 puis réédité en 2016 sur Xbox One, Bastion est un Action-RPG en 3D isométrique développé par Supergiant Games et édité par Warner Bros Game.

L'histoire de Bastion se déroule à Caelondia, une région autrefois glorieuse détruite par les événements catastrophiques de la calamité.

Presque personne n'est laissé dans son sillage, à l'exception du Kid, un guerrier orphelin qui se rend au refuge de la ville, le Bastion, pour l'aider à restaurer ses pouvoirs.

Tout au long de son voyage, le Kid est guidé par Rucks, un étranger à la voix rauque mais réfléchie qui raconte l'histoire du Kid alors qu'il progresse à travers les restes détruits de Caelondia.

 

La mission du Kid est de récupérer des cœurs, trouvés dans chaque région de Caelondia, utilisés pour restaurer le Bastion.

Ce n'est pas une tâche facile, cependant ces noyaux sont souvent pris en otage par les sauvages, les bêtes et divers ennemis qui ont chacun leur propre style d'attaque.

Une fois un noyau capturé, le Bastion peut être amélioré pour fabriquer de nouveaux bâtiments comme un arsenal pour remplacer les armes, une distillerie qui booste le Kid et qui vous permet d'acheter des compétences et des objets.

 

Le gameplay de Bastion résiste extrêmement bien, avec l'action dynamique de la nature combinée à un large éventail d'armes uniques et d'améliorations pour empêcher les choses de devenir périmées.

Lorsque les choses peuvent devenir trop faciles, faire un voyage au sanctuaire pour invoquer les dieux est toujours une option, qui accorde essentiellement des niveaux de difficulté plus élevés en échange d'XP passifs ou de boost d'éclats.

Les éclats sont ensuite utilisés pour améliorer les armes ou pour acheter des potions, des compétences secrètes et d'autres objets divers.

 

 

À mesure que le Bastion commence à grandir, les personnages et l'histoire aussi.

Les survivants de la calamité sont retrouvés et ramenés, ainsi que des souvenirs du vieux monde que chaque personne peut décrire en détail.

En plus de l'histoire principale, un voyage dans Who Knows Where fournit un combat de style vague ennemi pour récupérer plus de fragments et en apprendre davantage sur le passé de chaque personnage.

Trouver de nouvelles armes déverrouille également des zones distinctes qui testent vos réflexes et vos compétences, et des prix comme des matériaux de mise à niveau ou des compétences spéciales peuvent être gagnés pour avoir relevé les défis sous un certain temps.

 

La musique est également envoûtante, capturant le ton fracturé d'un Caelondia brisé associé à l'énergie dynamique de ses déserts.

Mais peut-être la meilleure partie de Bastion est son ingéniosité dans la narration et la narration.

La voix off par Rucks tout au long du jeu est convaincante et bien rythmée, attirant le joueur lentement, ne donnant pas trop loin mais fournissant juste assez pour en vouloir plus.

 

Dans Bastion bien que toutes ces pièces soient bien assemblées, il manque une certaine profondeur à l'histoire sur laquelle je ne peux pas vraiment mettre le doigt.

Je me sentais investi, mais pas assez pour déclencher une réponse émotionnelle vers la fin.

Je pense que si le jeu avait pu forger de meilleures relations entre les personnages ou investir plus de temps dans le développement des personnages, cela aurait pu m'amener à ce point.

En fin de compte, j'ai été plus investi dans l'histoire et la chute de Caelondia que dans les personnages individuels.

 

Je sais maintenant pourquoi les gens sont tombés amoureux de Bastion.

C'est une belle escapade parfaitement proportionnée et bien emballée dans un monde étranger avec une musique, un art et une narration convaincants.

Il n'y a pas de réels avantages supplémentaires à y jouer sur Xbox One, à part quelques réalisations supplémentaires, mais là encore, il n'a pas vraiment besoin de mises à niveau par rapport à la version sortie sur Xbox 360 car le jeu était déjà assez parfait dans sa version original.

 

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🔰 Développé par Capybara Games et édité par Cartoon Network Games en 2018, OK K.O. ! Let's Play Heroes est un jeu d'aventure tiré du dessin animé OK K.O. ! Let's Be Heroes de Cartoon Network, dans cette nouvelle aventure mêlent Beat 'em up avec un petit coté RPG/Card Game on suit un jeune garçon travaillant dans une bodega à Lakewood Plaza Turbo avec ses amis Enid, qui déteste être là, et Radicles, qui profite de KO quand il le peut.

 

Tout le monde en ville est un héros reconnu et a donc reçu une carte de héros spéciale.

Mais quand il obtient enfin une carte lui-même, le diabolique Lord Boxman qui est leur concurrent commercial achète la société qui fabrique des cartes de héros et amène tout le monde au niveau Zéro.

Maintenant, pour élever le niveau de chacun, KO doit se faire des amis, accomplir des quêtes pour eux, et combattez dans des batailles en cours de route.

 

En utilisant Lakewood Plaza Turbo comme un Hub, KO se promène pour ramasser des quêtes et se lancer dans des batailles aléatoires qui doivent être directement sélectionnées pour entrer, plutôt que de les faire apparaître au hasard.

Le cœur du titre consiste à ramasser des quêtes d'autres personnages, donc KO se présente essentiellement au travail et voit combien de quêtes il peut accomplir avant la fin de son quart de travail.

 

Bien que plus la place s'ouvre au fur et à mesure que vous avancez, il est difficile de ne pas ressentir l'ennui lorsque vous devez traverser la bodega encore et encore pour parler à un personnage spécifique.

Ajoutez à cela un malheureux manque de variété de missions il s'agira soit d'une quête de récupération, soit d'un nombre défini de batailles, et cet ennui se déclenche plus tôt que vous ne l'espériez.

 

Un vrai dessin animé vidéoludique, le jeu se situé sur un plan 2D, ont combat des tonnes de Darrells et Shannons avec une variété de mouvements vraiment appréciable.

Sa configuration comprend un coup de poing standard, un coup de pied bas, un uppercut qui permet une bonne quantité d'opportunités de jonglage, une attaque qui permet au KO de rebondir sur l'adversaire et une roulade d'esquive.

 

Le tableau principal de la bataille, cependant, est les cartes de héros.

Alors que KO accomplit des quêtes et obtient des cartes de héros d'un distributeur automatique, il déverrouille finalement le Powie Zowie d'un héros.

Un Powie Zowie est un mouvement spécial que KO peut utiliser au combat qui appelle son ami à l'aide lorsqu'un compteur est entièrement construit.

Vous pouvez en équiper deux, et la vitesse à laquelle ils se remplissent ne semble pas lente.

Bien que les ennemis puissent se sentir un peu comme des éponges de dégâts jusqu'à ce que vous montiez de niveau en cassant une pinata, natch et que vous débloquiez des mouvements plus forts.

 

Heureusement, Let's Play Heroes compense son manque de variété de missions avec une présentation fantastique.

C'est un jeu conçu pour les fans d'abord, et le développeur Capybara s'est assuré d'incorporer autant que possible la voix de la série.

Le style artistique est incroyablement fluide et adorable, le menu de pause affiche le classeur de cartes de KO tandis que le beatbox peut être entendu en arrière-plan, et chaque cinématique et interaction de personnage est entièrement vocale.

 

Ce dernier détail est le plus important, car un jeu comme celui-ci aurait pu facilement s'effondrer au petit matin si seulement certaines des scènes comportaient des doublages de la merveilleuse distribution de la série.

Sans oublier que le doublage complet permet aux non-fans de la série de faire connaissance avec les personnages et de nouer des liens avec eux.

 

Bien qu'il y ait une certaine variété dans la façon dont les batailles peuvent être menées et même les combats de boss, il est difficile de secouer la monotonie après avoir joué à OK K.O. ! Let's Play aux héros pendant plus de quelques heures.

La difficulté est juste et récompense les joueurs qui utilisent efficacement le jet d'esquive, mais sa dépendance à un calendrier rigide pour terminer quête après quête de la même manière donne finalement l'impression de se mettre au travail à chaque session.

 

Les combats peuvent être incroyablement fluides et amusants, mais c'est comme si Capybara avait pris une idée qu'ils avaient pour un beat 'em up à défilement latéral et l'avait étendue au-delà de ses limites dans un RPG d'action.

Dans le même souffle, vous aurez du mal à trouver un jeu plus fidèle à l'animé telle que cette opus.

 

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J'ai commencé le post-game sur pokémon conquest. D'aileurs c'est nawak les quête post-game offrent une meilleure durée de vie au jeu que l'histoire principale.😶

 

Sinon, c'est vraiment un bon jeu. Les pokémon se prêtent bien au genre du tactical puisqu'on conserve les avantages/désavantage de types des jeux originaux et le tactical rajoute les effets de de terrain. Le jeu peut paraître plutôt facile pour des adultes , mais pour les plus jeunes peut-être pas tant que ça puisqu'il faut faire attention aux types, aux déplacement alliés et ennemis et à la portée des attaques, ainsi qu'aux effets du terrain. J'ai parfois gagné de justesse uniquement parce que j'avais choisi la bonne équipe et que j'avais pensé à vérifer le déplacement et la portée de l'ennemi.

 

Le but est de conquérir des royaumes , mais les ennemis peuvent le faire aussi et si un royaume n'est pas ou peu défendu, il prend possession du royaume en question et le joueur devra alors le reconquérir.

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