titia1011 Posted July 7, 2024 Share Posted July 7, 2024 Et bien pour ma part, j'ai commencer "Majora's Mask" sur N64 akumasan and Aflow 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Shadow-x Posted July 7, 2024 Share Posted July 7, 2024 Il y a 3 heures, titia1011 a dit : Et bien pour ma part, j'ai commencer "Majora's Mask" sur N64 Bon appétit, ce jeu est délicieux ! Je commence tout juste Final Fantasy V (la version Pixel Remaster). Je n'en suis qu'au tout, tout début. J'aime bien, il y a des choses dans le pitch de départ et les personnages qui me rendent un peu nostalgique du premier. akumasan, terre7777777 and titia1011 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 8, 2024 Share Posted July 8, 2024 🔰 Sorti en 2012, Prototype 2, est un jeu ou on incarne James Heller, un soldat qui verra son destin bouleversé lorsqu’il sera rappelé de mission pour constater la mort de sa femme et de sa fille, semble-t-il exécutées par Alex Mercer, lui-même héros du premier opus. Les bases sont donc posées, et le reste de l’aventure ne sera principalement que prétexte à défourailler à cœur joie tous les habitants, infectés ou non, qui peuplent la désormais tristement célèbre ville de New York Zero. Partant d’un postulat simple, on regrettera donc assez rapidement que le scénario n’en reste qu’à ses balbutiements tout au long de l’aventure, quelques rebondissements bienvenus venant tout de même agrémenter l’aventure. Un constat d’autant plus dommageable que le héros et les différents protagonistes se révèlent étonnamment charismatiques, notamment James, le gros dur au cœur tendre, ou encore Mercer, devenu un mélange étonnamment efficace du mec mi-gentil, mi-pourri. James Heller infecté, c’est un peu comme Chantal Goya à un enterrement de vie de garçon : ça va clairement faire mal ! Le héros, ou plutôt l’anti-héros, va donc assez rapidement accumuler toutes sortes de pouvoirs. Du marteau à frapper par terre pour sortir des pics du sol, aux griffes acérées en passant par la possibilité de briser des tanks et des hélicos à mains nus, autant dire qu’on se prend assez rapidement pour Dieu le Père. Au fil de l’aventure, d’autres capacités, comme celle de contrôler les infectés, viendront se greffer à l’éventail déjà particulièrement étoffé des pouvoirs dont dispose Heller. Le titre de Radical l’est sans conteste. Et tout cela n’est qu’un joyeux prétexte à exterminer les soldats et arrêter les machinations du Blackwatch et de Genteck. Il en ressort d’ailleurs l’un des principaux reproches que l’on peut faire à ce Prototype 2 : la répétitivité. Les missions que Heller aura à effectuer se résument en effet la plupart du temps à exterminer tel ou tel escadron, nettoyer des labos ou traquer des personnalités importantes. Notons au passage que le système de tracking des cibles se révèle assez imprécis, bien qu’avec le temps cela devient plus intuitif. Le gameplay étant en effet porté essentiellement par la puissance dévastatrice de Heller, les développeurs ont omis d’ajouter un semblant de profondeur supplémentaire dans les différentes missions, celles-ci se apparaissant au fil du temps un peu barbantes. Rien de bien dramatique, cela dit. Le titre de Radical se bouclant en une grosse dizaine d’heures en ligne droite, il reste cependant intéressant d’effectuer les missions annexes, ces dernières permettant d’évoluer les capacités surhumaines de Heller. En somme Prototype 2 est l’archétype du genre justement nommé bac à sable vraiment fun, diablement jouable grâce notamment à sa capacité grisante à sauter d’immeubles en immeubles tel un héros des temps modernes, le titre de Radical accuse néanmoins le coup côté profondeur. Rapidement répétitives, les missions se rangent parfois un peu trop au rang de prétexte à défourailler sans réfléchir. Ce ne sera probablement pas un défaut pour certains, mais le fait de passer les cinq premières heures à faire la même chose, les cinq dernières perdent fatalement en saveur. Reste de Prototype 2 un titre défouloir, bien conçu et addictif qui, même s’il n’aurait pas rechigné à un peu plus de soin sur certains aspects, assure tout de même l’essentiel. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 9, 2024 Share Posted July 9, 2024 🔰 Je n'allais pas vous montrer [PROTOTYPE 2] sans vous montrer [PROTOTYPE] ! Dans ce premier opus, l'histoire commence par la découverte du personnage qu’on incarne, Alex Mercer, vous, vous réveillez dans une salle d’opération, s’enchaîne sur un lit et s’échappe. L’histoire qui débute à cet instant, sans trop en dévoiler, sera à base de complots, de militarisme et de manipulation génétique, le tout agrémenté de flash-back réguliers. Dès le début, on sait que Manhattan est infectée par un virus et que l’armée tente de contrôler ce qu’elle peut. Plus on avancera dans le jeu, plus ça va dégénérer. Alex va donc tenter de comprendre ce qu’il se passe et heureusement, pour faire face à tout ça, il dispose de certains pouvoirs. Qui n’a jamais rêvé de jouer un fléau ? Pas celui de Stephen King hein, non un vrai fléau du genre très méchant, très puissant et très, mais alors très en colère ? Le fléau porte ici le nom d’Alex Mercer et comme son nom passe partout, il passe partout. Car trêve de bavardages, Prototype est un bon jeu car jamais de mémoire, un titre ne m’avait fait ressentir des sensations de puissance aussi hallucinantes ! Planer au dessus de New York, courir sur les faces verticales des buildings, utiliser les différents pouvoirs en notre possession. Faire des bons géants, voler tanks et hélicos ou les détruire, sauter de l’Empire State Building et atterrir à même la rue dans un fracas à réveiller les morts, sprinter en envoyant valdinguer les voitures et les habitants qui sont sur notre chemin. Le superbe gameplay permet donc toutes les folies, d’autant qu’Alex monte en puissance au fil du jeu grâce à un système d’expérience très standard. Les actions s’effectuent simplement, courir sur les buildings n’a jamais été aussi simple tout comme utiliser nos pouvoirs d’ailleurs Il faut choisir sur une roue des compétences quel pouvoir de combat activer et hop le tour est joué, l’action étant gelée lors de cette action. Le seul gros souci que j’ai eu concerne le lock des ennemis pas toujours précis, surtout lorsque qu’il y en a bien une vingtaine à l’écran ! Ce petit monde bouge bien d’ailleurs, car là où le jeu accuse le coup graphiquement avec ces textures assez pauvres et ces couleurs fades, il ne souffre au contraire d’aucun ralentissement malgré toute l’action qui se passe à l’écran, à savoir des véhicules dans tous les sens, la foule qui panique, les monstres qui nous sautent dessus et l’armée qui bombarde tout le monde ! Les ennemis ne sont pas non plus bien folichons, que ce soit l’armée ou les monstres, et seuls quelques boss bien sentis nous feront saliver, dont un mémorable boss énorme en plein Manhattan, avec une superbe attaque que l’on esquive au ralenti et c'est la classe. Mais c’est bien notre Alex qui reste le plus impressionnant. Une fois que l’on arrive à la fin du jeu, on possède d’énormes pouvoirs et là croyez moi, voir mon Alex sauter, se mettre en boule et effectuer une explosion de tentacules ôtant toute vie à 100 mètres à la ronde, le tout au ralenti avec effet à la Matrix et auquel plaisir coupable tout de même. Qu’il est bon d’être Le fléau ! CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 11, 2024 Share Posted July 11, 2024 🔰 Le Mad Max est un homme hanté par ses démons, on a tous vu les films, à la recherche de la paix dans un monde anarchique où règne la violence. Il conduit, il cherche et il se bat dans le but d’atteindre les plaines du silence. Qui aurait pensé qu’un jour des similitudes se retrouverait entre le désert "Zé Wasteland" post-apocalyptique de Mad Max et les plaines ravagées du Mordor ? On retrouve en effet dans l’ADN de Mad Max des traces issues d’autres licences à monde ouvert Ubisoft comme Far Cry ou Assassin’s Creed. A partir de cet ADN commun, Avalanche Studios surtout connu pour la saga Just Cause qui tente de relever un challenge ardu car on parle bien d'une adaptation en jeu vidéo de grosse licence hollywoodienne. Mad Max va-t-il mordre la poussière ou trouver le gisement de pétrole qui lui permettra de traverser le désert entre deux rafales de plomb ? Montez à bord de mon tas de ferraille et taillons la route pour en savoir plus... Soyez fou !!! Dès l’ouverture du jeu, Max se fait voler sa voiture et est laissé pour mort après une course contre le belliqueux Scrotus. A son réveil dans le désert, il fait la rencontre d’un curieux personnage du nom de Chumbuket, mi Igor, mi Gollum. Ce dernier est un mécanicien exilé de Pétroville, qui voit en Max un Saint et va donc l’aider à construire la meilleure caisse du désert, la plus puissante, la plus robuste, la « Magnum Opus ». Votre premier objectif est donc de construire votre propre véhicule et d’obtenir un moteur V8. Max en aura besoin pour poursuivre son voyage. Après cette entrée en matière tonitruante, vous aurez tout le loisir de voguer à vos occupations à l’aide de votre véhicule dans le vaste monde désertique de Mad Max. Le jeu est grand et rempli d’activités en tout genre : des camps à vider d’ennemis, des convois à arrêter, des tireurs d’élite à zigouiller, des voitures à détruire… Et c’est à ce niveau-là que l’on ressent le plus de points communs avec les jeux d’Ubisoft, par exemple, quand Max monte dans des montgolfières, lui permettant de prendre de la hauteur et de découvrir les activités à réaliser dans la zone concernée. Pour ce qui est du style du jeu, l’action se déroule en vue à la troisième personne. Les activités rapportent de la ferraille, la monnaie du jeu qui permet de débloquer des compétences pour Max ou pour son véhicule. Chaque zone a une ambiance différente (dune, montagne, ville détruite, etc.), et est dirigée par un chef de guerre allié. Chacun garde avec hargne sa forteresse, que l’on peut améliorer, une fois reconquise aux mains des ennemis, en récupérant des équipements à travers le Wasteland. L’amélioration des forteresses permettra à Max de se ravitailler en munitions, essence, etc... Chacune des zones est sous l’influence de Scrotus. Plus vous arrivez à éradiquer le mal dans le monde, plus son influence se réduit et diminue ainsi le nombre de patrouilles ennemies ce qui a pour conséquence de débloquer de nouveaux équipements pour votre voiture. Mad Max s’articule sur deux axes de gameplay : Tout d’abord, la conduite de votre véhicule à travers le Wasteland, puis des phases de combats et d’exploration à pied. La conduite est très probablement la partie la plus importante du jeu ; des options d’amélioration se débloquent au fur et à mesure de l’aventure et vous permettent de profiter du vaste terrain de jeu mis à disposition par les développeurs. À partir du châssis de base, votre but consistera à ajouter de nouvelles pièces à votre véhicule pour en faire une véritable machine de guerre. Le niveau de personnalisation est énorme et vous permet de devenir le guerrier de la route que vous désirez être, aux compétences axées sur la défense, l’attaque, la vitesse ou la maniabilité. Heureusement, vous n’êtes jamais limité à un seul type de voiture puisque vous pouvez aussi voler celles de vos ennemis. Vous passez donc la plupart de votre temps à chasser des engins pour agrandir votre collection de bolides, tout en continuant à améliorer votre propre “Magnum opus”. Pour l’aider à survivre à travers le désert vivant, Max dispose d’un grappin. De l’arrière de votre véhicule, Chumbucket tire le grappin sur les pneus des voitures, leurs portes ou directement sur les pilotes ennemis. D’autres armes sont à la disposition de Max comme un fusil, un harpon de feu ou un sniper. Mad Max se révèle être une très bonne surprise. L’ambiance désertique est parfaitement retranscrite, le gameplay est vraiment sympathique, le soft a aussi une grande durée de vie. Des tas d’activités sont à la disposition du joueur, même si on peut déplorer la répétitivité qui s’en dégage, ainsi qu’un scénario qui aurait pu briller plus s’il avait été un peu plus développé. Cependant, le problème de redondance ne devrait pas gêner les joueurs habitués à des sagas comme Far Cry ou Assasin’s Creed. Pour résumer, Mad Max est un jeu solide, une sorte de melting pot de jeu en monde ouvert avec sa propre ambiance, qui lui permet de se démarquer de ses concurrents. GOONIES and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 🔰 Sorti en 2022, Dragon Quest Treasures est un opus à part entière parmi les spin-off de la saga Dragon Quest puisqu’il reprend quelques codes de licence Dragon Quest Monsters sans pour autant pleinement intégrer cette dimension Pokémon-like. Même si l’on sent que le titre se destinait à partir dans ce sens au niveau du game design, c’est finalement la composante chasse aux trésors qui prend le pas sur le reste. Ce mélange peut sembler être bricolé au premier abord, mais le concept surprend positivement par sa simplicité. Que l’on soit petit ou grand, la recherche de trésors offre un sentiment grisant qui est en plus renforcé ici par le charme de la licence Dragon Quest. Square Enix profite en plus du gros succès critique et commercial de Dragon Quest Ⅺ : Echoes of an Elusive Age pour mettre en scène des protagonistes issus du dernier J-RPG de la série principale. C’est ainsi que l’on retrouve Mia et son frère Erik dans leurs très jeunes années à bord d’un vaisseau viking. Tous deux rêvent d’explorer le monde afin de faire fortune en dénichant de gros trésors. Leur souhait devient réalité lorsqu’une nuit, ils font la rencontre de deux mystérieuses créatures comme le cochon volant Porcellus et le chat volant Persianna qui vont les guider vers de vielles ruines. Là-bas, ils s’emparent des deux dagues magiques avant d’embarquer pour un périple sur l’archipel de Draconia afin de trouver les sept pierres du dragon. Même si on est loin d’avoir un scénario aussi travaillé que sur les opus principaux, on évitera de divulguer tous les enjeux car il y a tout de même des choses sympathiques à découvrir par rapport à l’univers. Il y a notamment de nombreuses pierres anciennes que vous pouvez trouver lors de l’exploration qui vous racontent le passé de Draconia. Toutefois, on apprécie surtout la légèreté et le caractère bon enfant du jeu sans pour autant être trop infantilisant. Fidèle à son essence, Dragon Quest Treasures se place dans la pure tradition des jeux de rôles nippon très axés sur l’aventure. L’héritage de la série Monsters est notamment présent grâce aux nombreux monstres que l’on pourra dresser. Ces derniers sont essentiels pour les combats contre les autres monstres, l’exploration et même la chasse aux trésors. On peut en avoir jusqu’à trois en même temps dans son équipe et ces derniers se recrutent simplement en mettant K.O des monstres sauvages. Si vous avez de la chance, ils pourront être recrutés à votre base auprès de la sympathique Micheline, moyennant quelques ressources en guise de paiement. La composition a même une influence sur le ratio de coffres au trésor dorés qui sont les plus rares. Vous avez donc tout intérêt à en capturer un maximum pour optimiser vos chasses. Le surplus peut même être utilisé pour des expéditions automatiques facilitant la récolte de ressources. Le concept du jeu est parfaitement calibré pour nous embarquer vers de courtes chasses aux trésors où l’on peut profiter de nos monstres pour se déplacer en utiliser un Smilodon comme monture pour aller plus vite ou bien planer avec un Mécachasseur. De retour à la base, l’évaluation de votre butin donne une valeur marchande à chaque trésor récolté. Ces montant débloquent de nouveaux paliers pour votre base et vous donner des bonus non négligeables comme le maximum de coffres pouvant être portés. Ces trésors ne sont pas n’importe lesquels puisque chacun d’entre eux est un morceau d’histoire la franchise Dragon Quest. Du premier opus sur NES jusqu’aux derniers titres en date, en passant par les jeux qui ne sont jamais sortis du Japon, Dragon Quest Treasure devient un énorme musée qui se dévoile de plus en plus après chaque expédition. Finalement, ce qui pose le plus problème sur ce spin-off, c’est son système de combat très brouillon à la limite du ridicule. Dans la nature, vous ne contrôlez qu’Erik ou Mia. Vous êtes limités à quelques actions basiques comme frapper avec la dague, esquiver et donner des ordres à vos monstres. Vous pouvez néanmoins déclencher les attaques signatures de vos monstres pour rapidement nettoyer une zone. L’autre point assez gênant, c’est l’utilisation du lance-pierre qui permet tout un tas d’actions comme lancer des attaques élémentaires sur les ennemis, « buffer » vos monstres ou encore les soigner. Le souci est que l’outil n’est pas du tout intuitif, on se retrouve très souvent à être perdu par les déplacements de nos monstres ou ceux des ennemis si bien qu’on le laisse de côté autant que faire se peut. En bref, le RPG de Square Enix s’apprécie si l’on passe outre le système de combat et si l’on adhère à cette collecte de trésors qui n’en finit pas. Dragon Quest Treasures est un excellent spinoff n’ayant pas peur d’innover. Le jeu est prenant et donne envie de passer de nombreuses heures à chercher le maximum de trésors en tous genres. J’espère que vous avez du temps devant vous parce que si vous voulez le compléter à 100 %, il va falloir beaucoup, beaucoup de trésors. CopyCat and Aflow 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 Coucou @akumasan ! Tu dois avoir un bon niveau d'anglais : tu passes un peu vite les dialogues. Du coup, j'ai pas le temps de comprendre entièrement les dialogues... akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 il y a 25 minutes, Aflow a dit : Coucou @akumasan ! Tu dois avoir un bon niveau d'anglais : tu passes un peu vite les dialogues. Du coup, j'ai pas le temps de comprendre entièrement les dialogues... Met pause pendent les dialogues ^^ Oui je joue quasiment qu'avec des jeux en Anglais. Alors oui je lis vite et passe les dialogues en speed mais je comprend de suite mais c'est comme lire en Français, ça va vite. ^^ Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 Trop bien... (pratique pour jouer quand y'a pas VF) j'aimerais bien arriver à ton niveau ! D'ailleurs j'ai acheté un jeu en anglais Bug Fables que j'ai pas encore commencé. Où as-tu appris l'anglais comme ça ? Tu es allé dans le pays ou tu as appris solo à base de séries, films ? Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 C'est du a mon éducation Bretonne car en Bretagne depuis l'école primaire je parle Breton, mes grand-parent me parler en Breton ainsi que mes parents et ma fille de 14 ans parle Breton, mes amis parle Breton, et c'est une langue très proche de celle toujours utilisé par les Anglais. Je vais te donné un exemple très simple : En Breton pour dire "moi aussi" on dit "mé ivez tou" Et en Anglais il disent "me too" Les deux sons de cette phrase ce ressemblent beaucoup. En plus pour moi c'est plus facile de parler le Breton et Anglais que de parle le Français car nos deux cultures son intimement lié depuis des siècles. Aflow and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted July 18, 2024 Share Posted July 18, 2024 Il y a 2 heures, Aflow a dit : Trop bien... (pratique pour jouer quand y'a pas VF) j'aimerais bien arriver à ton niveau ! D'ailleurs j'ai acheté un jeu en anglais Bug Fables que j'ai pas encore commencé. Où as-tu appris l'anglais comme ça ? Tu es allé dans le pays ou tu as appris solo à base de séries, films ? moi aussi, j'ai appris l'anglais avec une toute petite base puis sur internet avec des tutos minecraft (pour les bases) puis des jeux video VN en anglais. Y en a quelques uns qui sont bien dur comme Steins gate; que je n'arrives toujours pas à lire mais sinon, je joues à un peu de tout. Le mieux, c'est d'essayer de comprendre les mots qui forment la phrase puis globalement l'ordre des mots et ce que ça peut vouloir dire. Si tu veut, je peut aider à la lecture en vocal sur discord. J'ai déjà aidé mon ex de cette manière alors qu'elle avait un trauma de l'anglais et les résultats étaient foudroyant! CopyCat and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted July 19, 2024 Share Posted July 19, 2024 Il y a 11 heures, Gaga46 a dit : Si tu veut, je peut aider à la lecture en vocal sur discord. J'ai déjà aidé mon ex de cette manière alors qu'elle avait un trauma de l'anglais et les résultats étaient foudroyant! Ah ouais... Je ne connais pas Discord mais depuis le temps que je vois ce site cité, je suis allée jeter un coup d'oeil. C'est un tchat ? Ça a l'air cool. Mais il faut installer un truc ? Et si tu veux faire des vocaux, il faut un micro, non ? Si ça pouvait me permettre d'améliorer mon anglais, ça serait top ! Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted July 19, 2024 Share Posted July 19, 2024 Il y a 6 heures, Aflow a dit : Mais il faut installer un truc ? il est recommandé d'installer l'application, oui, car certaines fonctionnalité seront indisponible sur navigateur. Tu peut l'installer sur windows, mac, PS5/4, linux, steamdeck, android, Iphone Il y a 6 heures, Aflow a dit : Et si tu veux faire des vocaux, il faut un micro, non ? seulement si tu veut qu'on t'entendes... tu peut écrire en même temps. Tu peut utiliser le micro de ton casque/écouteurs s'il est reconnu. En tout cas, Discord fonctionne par communauté ("serveurs"). Tu peut rejoindre une communauté en cliquant sur le lien ou en rentrant le lien dans l'application. Tu peut aussi ajouter des amis et leurs parler en mp. J'ai moi même fait plusieurs serveurs Discord sur plusieurs thématiques (entraide, manga/animes, jeux video, porno, vocaloids). Il existe beaucoup de serveurs très mal entretenu et j'aimerai à nouveau refaire mes propres serveurs au propre... En attendant, je te recommande ce serveur qui parle principalement de retro: https://discord.gg/CmQJG5CBnu Et mon serveur d'entraide si tu ne te sens pas bien ou seul ou si tu veut parler de tout et de rien: https://discord.gg/vGsu3Qg7EW Moi, je suis principalement actif de 16h à 5h du matin quand j'aurai mon nouveau PC... parce que là, c'est chaud. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 22, 2024 Share Posted July 22, 2024 🔰 Sorti le 18/07/2024 Bō : Path of the Teal Lotus est un jeu d’action à scrolling horizontal, le tout en 2D dessiné à la main, totalement inspiré du folklore japonais un peu à la Okami. Le joueur suivra les aventures d’un kitsune, un esprit surnaturel qui prend la forme d’un renard blanc. Au premier coup d'œil, Bō : Path of the Teal Lotus peut sembler être une sorte de clone de Nine Sols un jeu dont j'avais déjà fait une Part Ⅰ sur la chaîne il y a quelques semaines en arrière. Le talent artistique et la vision de Squid Shock sont pleinement mis en valeur dès le départ, leur style artistique saisissant étant un mélange envoûtant d'animation traditionnelle dessinée à la main, de designs de personnages quasi-animés et d'artisanat traditionnel japonais en papier. Tous ces éléments artistiques distincts, renforcés par des effets visuels spectaculaires d'éclairage et autres, se combinent pour créer l'un des styles artistiques les plus attrayants et uniques de tout jeu récent. Mais Bō : Path of the Teal Lotus est bien plus qu'un simple beau visage. Il possède toutes les caractéristiques du genre métroïdvania et sa progression est conditionnée par des capacités spécifiques, il y a un minimum d'indications, et sa carte est interconnectée et truffée de secrets. En même temps, les conventions de la plate-forme 2D sont inextricablement tissées dans l'ADN du jeu, à un degré beaucoup plus élevé que ses contemporains du genre. Comprendre ce mélange de genres est la clé pour apprécier le gameplay de Bō. La comparaison avec Nine Sols voir même Hollow Knight est pertinente, du moins pour la première heure de Bō. Les joueurs contrôlent une petite silhouette encapuchonnée et déceptivement mignonne, maniant une arme de base ressemblant à une épée. Frapper les ennemis avec cette arme provoquera un effet de recul qui, lorsqu'on attaque par le haut, peut être utilisé pour prolonger le temps de vol, ce qui facilite les déplacements et le repositionnement. Le génie de Bō réside dans ce que Squid Shock appelle son "système de mouvement et de réinitialisation". Essentiellement, cette mécanique permet aux joueurs d'obtenir un saut en l'air après avoir heurté un ennemi ou un autre objet. Cela réinitialisera également la capacité de dash de Bō. L'univers mystique de Bō : Path of the Teal Lotus est construit autour de l'épine dorsale du folklore japonais. Bō lui-même est un tentaihana, un hybride yokai fleur-animal inventé pour les besoins du jeu, et la plupart des ennemis et PNJ que les joueurs rencontreront sont également des yokai. Ces PNJ comprennent un oiseau brise la quatrième dimension inspiré du Yogen no Tori, ou "oiseau prophétique" du mythe japonais, et l'Étranger Vermillon, une femme bizarrement belle tirée d'une légende japonaise du 19ème siècle. En effet, les inspirations japonaises de Bō sont profondes, et le jeu regorge de références subtiles à reconnaître. La campagne principale de Bō : Path of the Teal Lotus peut être bouclée en environ dix heures. Terminer tout le contenu secondaire et obtenir tous les objets de collection peut vous faire gagner quelques heures supplémentaires, mais pas beaucoup. D'une certaine manière, cela profite au jeu, lui permettant d'avancer à un rythme soutenu, offrant régulièrement de nouvelles mécaniques, environnements et personnages à découvrir et il n'y a rien qu'on pourrait qualifier de "remplissage". Dans le même temps, ceux qui recherchent plus pour leur argent pourraient être déçus par le manque de contenu proposé. Bō manque également de valeur de rejouabilité, car il n'y a pas de niveaux de difficulté supérieurs à sélectionner ou de défis qui pourraient distinguer significativement un second parcours d'un premier. En fin de compte, Bō : Path of the Teal Lotus est une petite pépite de jeu qui ne manquera pas de séduire les amateurs de métroïdvanias et de plates-formes à la recherche d'une expérience concise mais riche en contenu. Ses mécaniques de mouvement révolutionnaires, son univers envoûtant et son level design astucieux en font un incontournable pour tous ceux qui apprécient le genre. Que vous soyez un vétéran ou un nouveau venu dans le monde des métroïdvanias indés, Bō saura vous charmer avec son mélange unique de traditions japonaises, de gameplay fluide et d'une direction artistique au top. C'est une aventure remplie de magie, de merveilles et d'instants inoubliables qui mérite amplement votre temps et votre argent. CopyCat, Aflow and GOONIES 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted July 23, 2024 Share Posted July 23, 2024 Un jeu qui plaira sûrement à Shogun @Minou33 le roi du Bushido ! Minou33 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 26, 2024 Share Posted July 26, 2024 🔰 Sorti en 2008 The Last Remnant, est un J-RPG initialement exclusif à la Xbox 360. Le jeu signé Square-Enix est resté dans l’ombre des joueurs, ne connaissant qu’un maigre succès commercial et les ventes furent tellement décevantes que les développeurs ont abandonné sa potentielle sortie sur PlayStation 3. Le développement de The Last Remnant fut laborieux pour Square-Enix car la prise en main du moteur graphique Unreal Engine 3 a était beaucoup plus compliquée que prévu pour les développeurs Nippon à cause de l’absence de documentation en japonais et d’un fonctionnement totalement différent des habitudes japonaises. L’équipe avouera alors devoir revoir ses ambitions à la baisse et annulera la version PlayStation 3 initialement prévue la même année. The Last Remnant sortira donc uniquement sur Xbox 360 en cette année 2008. L'histoire prend place quand Rush Sykes coulait des jours heureux sur une île à l'écart du tumulte du monde, mais son existence est bouleversée lorsque sa jeune sœur se fait enlever. En partant à sa recherche, il ne tarde pas à se retrouver malgré lui au plein milieu d'un champ de bataille. C'est ainsi qu'il fait la rencontre de David Nassau, le duc de la ville d'Athlum, qui décide de le prendre sous son aile. Il devient rapidement évident que les deux hommes ont des intérêts communs. Le kidnapping n'est pas totalement étranger aux conflits et aux intrigues politiques qui secouent le monde. Cet enlèvement est manifestement lié aux recherches que les parents de Rush effectuent sur les Rémanences. Ces puissants artefacts magiques assurent l'équilibre des forces et chaque ville dispose ainsi d'une puissante Rémanence pour assurer sa protection. Ce pouvoir a toutefois un sérieux revers puisque quiconque veut en profiter, doit commencer par passer un pacte qui consumera petit à petit sa vie. Les choses se corsent lorsque apparaît un puissant guerrier capable de se lier aux Rémanences les plus puissantes. Entre combats épiques et intrigues politiques, le scénario de The Last Remnant ne brille pas par son originalité, il apporte une base solide au déroulement de l'aventure. Malheureusement, cette trame n'est pas toujours bien servie par les cinématiques, car certaines d'entre elles sont certes somptueuses et bien mises en scène, mais la plupart du temps, il faudra vous contenter de longs dialogues qui manquent cruellement de rythme. Si vous décidez tout de même de partir pour l'aventure, vous serez étonné de constater la ressemblance entre l'ambiance de The Last Remnant et celle de Final Fantasy Ⅻ. Cet air de famille se fait surtout sentir lorsque vous déambulez dans les cités, car celles-ci sont divisées en quartiers et peuplées d'individus de quatre espèces différentes. Mais à comparer les deux jeux, on se rend bien vite compte que les ruelles de The Last Remnant paraissent moins vivantes que celles de Final Fantasy Ⅻ sorti 2 ans avant sur PlayStation 2. La direction artistique de The Last Remnant est une vraie réussite. Les villes ont toutes un style et une ambiance unique renforcée par la rémanence les surplombant. Symbole de puissance des cités, mais aussi de la faiblesse des hommes vivant dans leur ombre, elles sont l’attraction et le point central de chaque lieu. Dommage que l’exploration soit entachée par la taille des cartes qui sont incroyablement petites. Les villes sont fragmentées en deux ou trois petites zones qui certes fourmillent de vie, mais peuvent aussi créer de la frustration chez le joueur qui rêvait de s’y perdre. De plus, lorsque l’on change de zones, il est obligatoire de repasser par la carte de la ville afin de choisir sa nouvelle destination, de quoi casser l’immersion. Pour ce qui est des donjons, on alterne entre cavernes basiques et inutilement labyrinthiques et zones en extérieur jolies mais réduites à de simples lignes droites. L'un des points forts de The Last Remnant c'est la personnalisation de l'équipement. Une fois que vous avez vaincu un monstre, vous pouvez naturellement récupérer son butin, mais il est aussi possible de démembrer son cadavre pour avoir accès à davantage de ressources. Une dépouille entière vous rapportera plus d'argent, mais certains éléments vous permettront d'améliorer votre équipement en vous rendant dans une boutique d'optimisation. Ce type de fonctionnalité n'est pas une grande nouveauté, on se souvient par exemple qu'il pouvait prendre une place importante dans un RPG comme Tales of Symphonia. Mais dans The Last Remnant, il est associé à un système de récolte qui rappelle un peu celui d'Infinite Undiscovery. Lorsque vous trouvez des matières premières, il vous suffit de demander à une petite bestiole, de tous vous les récupérer. En conclusion The Last Remnant n'est certainement pas le hit que tous les amateurs de J-RPG japonais attendaient, il manque certes un peu d'originalité et ses combats sans fin en lasseront plus d'un, mais les joueurs les plus patients trouveront peut-être là de quoi s'occuper de longues heures durant. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Zaito Posted July 27, 2024 Share Posted July 27, 2024 C'est malheureux mais aucun jeux, j'ai l'impression que j'ai tellement jouer que je commence a ne plus aimé jouer. Je deviens trop exigent dans les jeux que je veux et rien trouve grâce a mes yeux. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 28, 2024 Share Posted July 28, 2024 🔰 Sorti en 2020 SAKUNA : Of Rice and Ruin est un Action-RPG qui est une sorte de mix entre un hack and slash et une gestion rizicole. Le titre développé par Edelweiss Studio et édité par Marvelous n’oppose toutefois pas ces deux genres éloignés grâce à un système solidement interconnecté dans une aventure tant itérative qu’hypnotique. L'histoire prend place quand, par un malheureux concours de circonstances, Sakuna, une jeune princesse pourrie-gâtée, est exilée sur une île infestée de démons. Avec quatre humains égarés et pour retrouver son domaine céleste, Sakuna doit découvrir l’origine du mal qui ronge les lieux. Son pouvoir étant lié à la qualité du riz cultivé, la petite communauté doit s’armer de courage tant pour l’exploration que pour le travail aux champs. Pour évoluer, Sakuna a besoin de bon riz. Pour en augmenter la quantité et la qualité, elle nécessite de meilleurs outils et installations. Pour fabriquer ces derniers, des ressources sont indispensables et pour les obtenir, elle doit traverser des terres inexplorées. Pour ce faire, elle doit évoluer et ainsi de suite. Comme les saisons qui se suivent, la boucle de gameplay de SAKUNA : Of Rice and Ruin est inéluctable. Sur une carte du monde, de petits stages d’action et de plateforme sont pleins à craquer de ressources à récolter sous forme de nourriture ou de matériaux. Chaque nouvelle zone se déverrouille selon le niveau d’exploration et ainsi réaliser des objectifs permet de l’augmenter : combattre un ennemi en moins de 90 secondes, extraire trois minerais d’or ou combattre avec une capacité spécifique n’en sont que quelques exemples. Les combats de SAKUNA : Of Rice and Ruin sont prodigieusement dynamiques à l’aide de deux armes, une légère et une lourde, agrémentés des compétences propres à Sakuna. Sakuna peut enchaîner les ennemis dans un ballet d’attaques que l’on croirait issu de MURAMASA : The Demon Blade. Son écharpe divine qui sert de grappin s’utilise en prime comme un lasso et, en ligotant un ennemi, on peut lui passer dans le dos, le balloter et même l’affaiblir. Les combats sont parfaitement équilibrés et, si un mur de difficulté se présente, il ne faut généralement qu’une récolte pour augmenter significativement ses statistiques. Chaque nouveau riz augmente effectivement la puissance de Sakuna. Le rythme de l’aventure est pour le moins insolite : on n’obtient pas d’expérience au combat, mais une seule fois par an, en sachant qu’une année de SAKUNA : Of Rice and Ruin n’est constituée que de douze jours. Le cycle du jour et de la nuit rythme également la progression avec des adversaires plus coriaces après le coucher du soleil. Tous les soirs, le groupe se réunit autour d’un repas qui dépend des denrées obtenues par la déesse. Ceux-ci octroient des buffs et des effets spéciaux, comme la régénération de la barre de vie aussi longtemps que Sakuna est rassasiée. Les aliments servent aussi d’engrais pour cultiver un riz de qualité supérieure. Edelweiss Studio montre sa maîtrise technique de ce gameplay dynamique. Le studio séduit cependant par une patte graphique très colorée, inspirée et chatoyante. Les décors sont détaillés durant les phases d’exploration 2,5D comme dans le HUB en 3D. Les décors sont assez diversifiés entre forêts, grottes, champs de bataille médiévaux ou volcans parmi d’autres. Le rendu des personnages est également très réussi, sans oublier une bande sonore de bonne facture en adéquation avec le Japon médiéval folklorique. D’ailleurs, en version japonaise, le dialecte est issu de cette ancienne époque du Japon, donnant une certaine crédibilité à l’ensemble, alors même que le Royaume de Yanato n’est qu’une fiction inspirée du légendaire Royaume japonais ancestral de Yamato. Aflow and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 30, 2024 Share Posted July 30, 2024 🔰 Sorti le 25 juillet 2024, PIGROMANCE raconte l'histoire d'un petit cochon qui ne voulait pas finir en saucisse. Le jeu commence quand, lors d'une nuit, des cochons dorment paisiblement dans une ferme entourée de clôtures furent libérés par erreur par un des employés d'une usine de saucisses. L'employé brisa la clôture en pourchassent une truie qui s'était évadée de l'usine, vous libèrent et, du même coup, tous les autres cochons aussi. En s'échappant, notre petit cochon, accompagné de la truie, qui les avait aidés à s'échapper par accident, fut abattu lors de son retour dans l'usine, et notre petit cochon, qui habituellement est un lâche, décide de rassembler tout son courage pour partir à la recherche des morceaux de sa nouvelle amie. Notre cochon, parviendra-t-il à retrouver les morceaux de son amie éparpillés dans l'usine de saucisses ? PIGROMANCE n'est pas un jeu vidéo comme les autres, c'est une aventure hilarante et palpitante mettant en scène un héros improbable : un cochon qui s'échappe avec audace d'une usine de saucisses. Autrefois habitant insouciant d'une ferme, notre protagoniste porcin se retrouve désormais piégé dans un monde de machines industrielles et de périls culinaires. Imaginez une usine transformée en un parcours d'obstacles périlleux. Les joueurs doivent résoudre des puzzles tout en fuyant les découpeurs, ou à contourner les dangereux obstacles semés de part et d’autre de l’usine de saucisses. Des tuyaux enflammés, des congélateurs glacés et des lames de scie acérée comme des rasoirs ne sont que quelques-uns des dangers que notre héros cochon doit affronter. Chaque recoin de l'usine est un piège mortel potentiel, avec des bandes transporteuses, des mécanismes de broyage et des machines improbables qui se cachent dans chaque salles. Pour survivre, les joueurs doivent maîtriser une combinaison de compétences de plateforme, de réflexes rapides et de capacités de résolution d'énigmes. Esquivez, sautez et réfléchissez vite pendant que vous guidez le cochon à travers une série de niveaux difficiles. L'usine est un labyrinthe d'obstacles et chaque instant est un test de compétence et de détermination. PIGROMANCE est comme un rayon de soleil pendent une journée nuageuse ! Le jeu développé par OAA se distingue par des effets de contraste et des graphismes de style film d'animation en papier découpé. Avec ses jeux de lumières plus sombres, ses images macabres, ses sons de même tonalité et sa musique de fond angoissante qui rappelle les plus inquiétants contes des frères Grimm. Ayant déjà fini le jeu, une fois, avant de faire cette vidéo, je peux dire que le jeu est amusant, coloré et rempli de surprises. Les graphismes sont sympas et ses mélodies entraînantes, c'est un jeu amusant à jouer, quel que soit votre âge. Vous courrez, sauterez et réfléchirez tout au long du jeu, vous vous amuserez à chaque niveau que propose le soft. Pouvez-vous aider notre héros cochon à échapper aux griffes de l'usine de saucisses et a rester en vie pour raconter son histoire ? CopyCat and Aflow 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted July 30, 2024 Share Posted July 30, 2024 Excellent @akumasan ! Pigromance est une friandise, j'adore les jeux indépendants, si tu en as d'autres je suis preneuse ^^ akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted July 30, 2024 Share Posted July 30, 2024 il y a 59 minutes, Aflow a dit : Excellent @akumasan ! Pigromance est une friandise, j'adore les jeux indépendants, si tu en as d'autres je suis preneuse ^^ Coucou ma Aflow, oui PIGROMANCE est vraiment excellent, le jeu est hilarant du début à la fin. Chose rare le développeur de PIGROMANCE m'a contacter dans les commentaires sous ma vidéo et ça, c'est une première pour moi !!! PS : Des jeux indé j'en ai un sacrée paquet et t'inquiet pas, je t'en montrerai plein d'autres. ^^ GOONIES, Aflow, Minou33 and 1 other 3 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
BackJauer57 Posted August 1, 2024 Share Posted August 1, 2024 Après avoir refait NFS4 à 100% je me suis fait une session sur Colin Mcray Rally, deux jeux que j'avais connu il y a plus de 20 ans et sur lesquels mon père jouait. Je compte aussi me faire Gran Turismo premier du nom qui pour le coup je n'ai jamais fait. Mon père quant à lui avait eu tous les permis à l'époque donc je vais tenter de marcher sur ses traces, avec un peu de retard certes :hap: GOONIES and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted August 2, 2024 Share Posted August 2, 2024 🔰 Voici la première vidéo d'une série de trois sur la trilogie des Assassin's Creed Chronicles. Je vais tous vous les montrer et dans l'ordre de leur sortie. On commence donc par le CHINA puis on enchaînera avec le RUSSIA pour finir avec le INDIA. Ces dernières années ont vu naître un nombre important d'excellents jeux en 2D et 2.5D. Je pense notamment à Prince of Persia : The Lost Crown, Blasphemous, The Last Faith, Nine Sols, Bō, Nérobi, Child of Light, Trek to Yomi ou encore Ender Lilies pour ne citer qu'eux. On peut également évoquer Cuphead, Trine, Deadlight, Never Alone, ou bien encore Mark of the Ninja, et bien d'autres merveilles vidéoludiques que je n'ai pas cité, car la liste est longue, très longue... Tous ses jeux ont la particularité d'offrir un gameplay à la fois classique, mais avec leur propre originalité et jouabilité, associé à des graphismes de toute beauté. Qu'en est-il alors d'Assassin's Creed Chronicles : CHINA, premier épisode d'une trilogie dérivée de la saga des Assassin's Creed qui nous envoie, comme son nom l'indique, en Chine, un pays qu'on aurait bien voulu visiter au sein d'un véritable Assassin's Creed durant la période des Trois Royaumes, par exemple ? Tout d'abord, Assassin's Creed Chronicles : CHINA n'est pas exactement en 2D, mais plutôt en 2.5D. En effet, le jeu utilise par moment la perspective et permet de passer d'un premier plan à un second ou vice versa. C'est ce qui le rend un peu plus original par rapport à ses concurrents. C'est le cas également des graphismes qui sont très jolis avec quelques environnements et des arrière-plans de grande beauté, même si les modèles 3D des personnages ne sont pas forcément très inspirés. Le style graphique rappelle fortement l'encre de Chine et les estampes chinoises avec quelques effets très réussis pour représenter les giclées de sang, les flammes ou les explosions. Sur ce point, il n'y a rien à redire, les développeurs de chez Climax Studio ont fait un excellent boulot. D'ailleurs, parlons-en des développeurs. Ce n'est pas Ubisoft qui a développé le jeu, mais Climax Studios, connu pour avoir réalisé des portages de Diablo et Warcraft Ⅱ et la PlayStation ou Castlevania : Lords of Shadow sur PC ou encore Silent Hill Shattered Memories. On peut reprocher parfois à Ubisoft d'avoir des dizaines de studios éparpillés à travers le monde pour travailler sur un même Assassin's Creed, mais au moins ils connaissent leur saga. Cette fois-ci, ils ont pris le risque de faire appel à un studio qui n'a aucun lien avec les Assassin's Creed, qui ne possède aucun jeu historique dans son catalogue et qui n'a pas encore réalisé de grands jeux. Dans Assassin's Creed Chronicles : CHINA, nous évoluons en l'an 1526, en Chine. La dynastie Ming est en train de s'effondrer tout comme la confrérie chinoise des assassins dont il ne reste qu'un seul membre, une jeune et talentueuse femme, âgée de 21 ans, dénommée Shao Jun. Toute jeune, elle était une concubine de l'Empereur Zhengde jusqu'à sa mort en 1521. À ce moment-là, elle découvrit l'existence des Assassins et décida de les rejoindre. Jiajing, cousin de Zhengde, succéda à l'empereur mort sans héritier direct. Celui-ci se comportait cruellement envers son peuple. Les assassins se devaient d'intervenir, ce qui causa leur perte, car Jiajing décida de les traquer jusqu'au dernier, anéantissant la confrérie orientale chinoise. Vous débutez l'aventure en Chine alors que Jun est faite prisonnière. Je vous laisse imaginer la suite, ce qui ne sera pas bien difficile, car on ne peut pas dire que le scénario du jeu brille par son suspens, ses surprises ou ses bouleversements, car il n'y en a tout simplement pas. Ici, il s'agit d'une bête histoire de vengeance qui ne vous transcendera pas, contrairement à un Ori and the Blind Forest, ou qui ne vous amusera pas autant qu'un Trek to Yomi ou d'un Hoa par exemple. Cela vous prendra entre 6 et 8 heures pour terminer les 12 séquences du titre, ce qui est la moyenne pour ce genre de jeu. Une fois fini, un mode New Game Plus apparaît avec deux niveaux de difficulté (normal ou difficile), si vous vous sentez l'âme de recommencer une partie avec les compétences débloquées lors de votre précédente partie. Assassin's Creed Chronicles : CHINA n'est pas un mauvais jeu, son gameplay est plutôt efficace, mais comparé à Mark of the Ninja dont ce Assassin's Creed Chronicles s'inspire grandement, le jeu ne propose rien qui le rend à la fois original, fun, excitant ou emballant. Les fans prendront forcement du plaisir, mais les autres joueurs risquent de ne pas apprécier ces mécaniques de jeu qui manquent d'originalité et surtout un manque d'équilibre sur toute la duré du soft. Voilà donc les ingrédients de ce premier jeu d'une trilogie pas forcément mémorable, mais qui mérite le coup d'œil si vous suivez la série depuis le début ou que vous êtes à la recherche d'un épisode différent avec du challenge. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 🔰 Deuxième vidéo sur la trilogie des Assassin's Creed Chronicles avec l'opus RUSSIA. Autre jeu, autre période, autre histoire, du moins en apparence. Le jeu prend place en février 1917 : cette date marque le début de la Révolution russe, un ensemble d'événements ayant conduit en ce mois de février au renversement du régime tsariste de Russie. Dans ce contexte historique, les Rouges affrontent en effet les Blancs dans tout le pays et les fidèles du tsar Nicolas Ⅱ de son vrai nom Nikolaï Alexandrovitch Romanov, sont en déroute alors que les troupes communistes progressent à pas de géant. En cette période pour le moins troublée, l'ordre des Assassins charge son meilleur élément local, Nikolaï Orelov, dans le but d'aller récupérer un coffre qui renferme un mystérieux artefact. Seul hic, l'objet était en possession du tsar récemment arrêté par les Rouges, ce qui oblige notre héros à aller le récupérer sur les lieux mêmes de détention de la famille royale. Une fois sur place, Nikolaï s'insurge contre la barbarie des Bolchéviks qui ont exterminé le tsar et toute sa famille, sauf une, l'héritière Anastasia Romanov qui détient le fameux coffret. Dès lors, l'essentiel de l'aventure va être pour Nikolaï Orelov de mettre la dernière survivante royale à l'abri. Seulement voilà, cette dernière, une fois au contact de l'artéfact présent dans le coffre, va ressentir l'influence de Shao Jun, la jeune Chinoise, protagoniste du premier épisode d'Assassin's Creed Chronicles : CHINA Ce twist un peu capillotracté va surtout permettre de reprendre l'approche d'Assassin's Creed Syndicate, à savoir un homme utilisé quand la violence sera de mise, et une fille qui pourra pour sa part s'occuper des phases d'infiltration les plus poussées. Niveau du gameplay, si les fondamentaux n'ont pas évolué d'un iota par rapport au premier épisode de la série des Chronicles, on notera quelques adaptations fortuites afin de coller à l'époque et aux personnages. Nikolaï Orelov se verra ainsi doter d'un grappin permettant d'envoyer des impulsions électriques, un cadeau de l'autrichien Nikola Tesla paraît-il, et dont le rôle sera crucial dans le jeu, qu'il s'agisse de désactiver des pièges électriques en faisant sauter leur boîtier d'alimentation, de désactiver des alarmes en faisant sauter les plombs, ou encore de zigouiller quelques ennemis en surchargeant des prises électriques ou en tirant dans des flaques d'eau. Autre nouveauté, l'abandon des couteaux à lancer contre un fusil Mosin-Nagant M91 disposant de trois cartouches. Ce fusil est surtout aussi l'occasion de blinder le jeu de séquences façon sniper où vous devrez plomber du Rouge pour couvrir votre avancée ou celle de la princesse Anastasia, sans que les munitions ne comptent à ces moments. Hormis le contexte historique, le jeu reste strictement identique à l'opus Assassin's Creed Chronicles : CHINA. Le level design est simple et sans fioritures, tandis que tout le système de combat et de déplacement est repompé de l'excellent Mark of the Ninja. Seulement voilà, là où le titre de Klei Entertainment est un modèle de précision, celui de Climax Studio est à la peine. Le manque de précision est encore plus criant lors des séquences de fuite où l'on est souvent obligé de recourir au Bunny Hop pour rattraper le temps perdu lors de la grimpette sur les façades. De même, sur les transitions en profondeur, une fois Nikolaï sur la bonne poutre, tout se fait automatiquement. Le jeu conserve toujours son côté die & retry exacerbé, et sur certains passages, il va falloir mourir beaucoup de fois avant que le timing parfait vous permette de réussir le niveau. Bref, un gameplay strictement identique à l'opus précédent, tous deux dérivés de Mark of the Ninja. Enfin, ne comptez pas trop sur la technique pour sauver le titre puisque là encore, il n'y a rien d'extraordinaire à proposer, même si je trouve la DA de cet épisode vraiment classe. Climax Studio continu donc sa série des Assassin's Creed Chronicles avec un jeu un peu plus abouti que CHINA. Le studio prend confiance en lui et propose des niveaux au level-design plus ambitieux. En mêlant habilement les mécaniques des deux précédents épisodes à une direction artistique originale et des personnages enfin un peu attachants, Climax Studio réalise désormais son objectif en sortant un vrai jeu d'infiltration 2.5D certes encore perfectible, mais proposant de grands moments. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted August 6, 2024 Share Posted August 6, 2024 Je joue à F-Zéro 99, il est en téléchargement gratuit sur le Nintendo e-shop de la Switch. Le gameplay est sympa... Zaito 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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