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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 21/04/2024 dans la communauté.

  1. Salut a tousss j'aimerais parler d'un sujet particulier, jai remarqué que sur rom bcp n'avais pas compris que l'on pouvais faire des serveurs privés... et que par conséquent quand on rejoins leur serv pensant pouvoir jouer avec quelqun ces la recale direct!!!, de plus souvent accompagné d'insulte gratuite et d'humiliation, ce qui en mon goût peut influencer le plaisir pris sur ce joli logiciel, ca serais bien de pouvoir avoir un système de signalement ou bien juste poussé l"idée de l'étiquette plus loin, sachant que l'on peut en déposer q"une par jour c franchement limité, voila j'espere que mon message ai fait sens ^^
    7 points
  2. Il est vrai que ce genre de sujet peut éveillé des idées pour ce genre de problème car c'est vrai qu'on peut éventuellement faire des serveurs privés mais parfois il ce peut qu'il recale pour l'arrivé de quelqu'un d'autre après le mieux est toujours d'informé quelqu'un. mais le signalement peut être une belle idée pour ceux qui agissent de façon toxique comme les ''Insultes" mais surtout les '' Mauvais joueurs" à ne pas oublier !
    4 points
  3. La preuve en image!
    4 points
  4. Easy; c'est l'injouable Dream TV sur SNES!
    3 points
  5. 🔰 Sorti en 2020, OCEANHORN 2 : Knights of the Lost Realm fait suite au premier épisode qui m'avait marqué par ses nombreux hommages à la licence The Legend of Zelda. OCEANHORN 2 continue sur sa lancée, mais en troquant cette fois la vue isométrique pour une aventure en 3D. L’histoire débute sur la petite île d’Arne, nous y incarnons un jeune homme dans sa quête initiatique pour devenir chevalier. C’est ainsi l’occasion pour le jeu de nous familiariser avec ses commandes et son univers à travers un tutoriel plutôt bien construit et suffisamment clair pour se lancer dans l’aventure. Certains pan de la progression rappellent immédiatement les aventures modernes de Link avec des lieux semblables aux sanctuaires du monde d’Hyrule. Ces lieux nous proposent différentes énigmes qu’il faudra résoudre à l’aide des divers pouvoirs et gadgets obtenus lors de notre périple. On sera par exemple amené à enflammer des torches avec un pouvoir de feu, se hisser sur une corniche éloignée à l’aide d’un grappin ou encore plonger dans les profondeurs aquatiques grâce à un scaphandre. Leur obtention est d’ailleurs bien amenée et permet un sentiment de montée en puissance de notre chevalier en herbe. Si le scénario n’est jamais transcendant, il propose tout de même quelques rebondissements bienvenus et se laisse suivre avec plaisir. OCEANHORN 2 requiert environ une dizaine d’heures pour venir à bout de la trame principale. À cela, on peut encore rajouter cinq à six heures supplémentaires pour achever les quelques quêtes secondaires, récupérer les nombreux collectibles pour terminer l’exploration de Gaïa à 100 % ou encore accomplir la liste de tous les défis. Le titre a de quoi nous occuper sur le papier, encore faut-il parvenir à se donner l’envie de tout faire, la faute à un gameplay daté et quelques soucis d’ergonomie. En effet, la navigation dans les menus est confuse, on s’y perd facilement avec des informations pas forcément nécessaires. En revanche, nous déplorons l’absence d’un véritable journal de quêtes afin de pouvoir suivre les différents objectifs secondaires parmi ceux de la trame principale. Il est également dommage de ne pas bénéficier d’une carte globale de Gaïa et de devoir simplement se contenter de la vue de la zone où l’on se trouve. Côté gameplay, ce qui m'a le plus frustré, c’est l’absence de saut manuel. Les seuls moments où notre personnage peut sauter, c’est en avançant vers un précipice ou une plateforme en face de nous. Cela nous a rendu l’exploration plus laborieuse, au point d’en être presque dégoûtés. Au niveau des combats, on est sur un système plutôt classique, proche là aussi des derniers jeux The Legend of Zelda avec la possibilité de donner des coups d’épée, de parer avec son bouclier ou de faire des roulades pour esquiver. Malheureusement, les affrontements manquent de pêche et de sensations pour être vraiment plaisants. De plus, il n’est pas possible de verrouiller une cible, entraînant quelques soucis de lisibilité lors des combats face à de nombreux ennemis. Malgré tout, le soft se rattrape par un level-design et des environnements assez variés pour ne pas nous lasser. Les différentes régions du monde de Gaïa ont chacune leurs spécificités et les niveaux sont construits de façon à nous faire progressivement utiliser tout notre attirail pour progresser. Je termine sur la partie sonore du titre qui accompagne très bien la direction artistique et nous permet de mieux profiter de notre épopée. Les musiques ne sont pas des chefs-d’œuvre, mais elles ont le mérite de bien accompagner l’action et la narration. Dommage que côté doublage, il faille se contenter d’un jeu plat et d’un héros muet tout comme Link dans la saga Zelda. OCEANHORN 2 : Knights of the Lost Realm dispose de certaines qualités. Il profite d’un scénario plaisant, servi par une bande-son bien choisie et des graphismes soignés. Mais malgré les différentes inspirations de la licence The Legend of Zelda qui peuvent plaire à certains, on ne peut s’empêcher d’être frustré par les menus confus ou le gameplay malheureusement daté. Cependant, bien que l’envie de terminer le jeu dans son entièreté se soit évanouie face à ces défauts, nous avons tout de même apprécié parcourir la trame principale pendant la dizaine d’heures nécessaire.
    3 points
  6. M'ouais. Même intrinsèquement (i.e. indépendemment de tes intentions derrière, j'ai beaucoup de mal à croire que ça puisse t'être venu comme ça, m'enfin je digresse), je serai plutôt contre. Certes, ça permettrait au créateur de contrôler directement le contenu de son topic plutôt que d'attendre l'intervention d'un admin ou modo, mais : 1) Ça ôterait l'intérêt de créer un sujet de discussion ouvert à tous. Un topic n'est pas un espace privé : s'il est public, tout membre doit pouvoir y participer sans avoir à en demander l'accès. Autrement, on peut s'en tenir aux messages privés qui permettent d'inviter autant de membres que voulu pour à peu près le même résultat. 2) Ça rajoute quand même une tâche assez importante que de modérer tout un topic. Il faut avoir la motivation pour tout surveiller, d'autant plus que ça ouvrirait la porte aux abus si le moindre utilisateur créait un topic et pouvait contrôler tous les messages comme bon lui semblait. Auquel cas, ça enlèverait encore un peu à l'intérêt de créer un sujet public. 3) Et si le créateur du sujet devient inactif ? C'est le cas maintenant pour beaucoup de topics (dont La Suite de mots), et ce serait dangereux à mon avis de confier la responsabilité de tout un topic à un seul membre si l'on n'est pas certain qu'il puisse toujours être là pour le modérer — même si un modo le supervise en plus.
    3 points
  7. À un moment, il y a quand même un minimum de maturité à avoir, et ramener constamment sa haine envers un autre membre sur tous les topics, ça commence un peu à bien faire. C'est aussi valable pour @Bibinou67 que pour @akumasan : sérieusement, la majorité de vos derniers posts ne sont que des remarques mesquines destinées à l'un ou à l'autre. Vous ne croyez pas que les autres membres en ont assez de vos gamineries ? Réglez ça en privé et cessez de constamment ramener les sujets à votre conflit. Ici, il s'agit de dénoncer les problèmes sur le multijoueur, pas une nouvelle occasion pour un règlement de compte.
    3 points
  8. GambierBae

    souci resident evil 1 ps1

    mais quoi ?
    3 points
  9. Je ne suis pas le seul qui souhaite le devenir également après tant d'années de présence sur la plateforme. 👀 Mais vu qu'il y a 0 modérateurs je crains qu'il y ait une raison "pourquoi" et pourtant ça n'a rien à voir avec la compétence vu que Gambier a toujours été à la hauteur.
    3 points
  10. J'adore ce jeu (j'y joue sur Wii U -la config étant compliquée pour moi avec ma manette de type Xbox). La musique est géniale. La possibilité de bouger son épée en reproduisant ses mouvements est kiffante. De plus, on peut faire sprinter Link (avec une jauge d'endurance) ! J'ai aimé collectionner des insectes pour améliorer les potions complètement cheatées. Sans parler de l'amélioration des items ^^ Quand on trouve la carte d'un donjon, les coffres apparaissent, il n'y a plus besoin de la boussole. Quel plaisir aussi de pouvoir sauvegarder régulièrement grâce aux statues de la Déesse, même dans les donjons !! Le dragon de foudre nous met à l'épreuve pour gagner le bouclier ultime en battant plein de boss passés. J'ai trouvé la voix de Fay marrante à entendre, sa façon de s'exprimer à la Daft Punk m'a séduite. Ce que j'ai moins aimé, c'est la quête annexe du concert de lyre accompagné de Tironne à l'île de la Citrouille. Quelle galère ! Il me reste à refaire le jeu en mode héroïque (il se débloque à la fin du jeu). Cela m'a aussi donné envie de découvrir d'autres jeux Wii aux gameplay sympas avec ma Wiimote. Si vous avez des suggestions, d'autres incontournables de la Wii (à part Twilight Princess et Wind Waker que je connais déjà)...
    3 points
  11. TiraMISSU qui connaît les plus grands chefs-d'œuvre, on tient là un connaisseur ! ;3
    3 points
  12. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    🎼🎶
    3 points
  13. Aflow

    Tu écoutes quoi ?

    Très bon choix ! Je connais les frères Gutierrez.
    3 points
  14. Jasu

    Tu écoutes quoi ?

    Et pour ceux qui kiff la musique d'amérique du sud accoustique... Certains morceaux sont simplement dingue !
    3 points
  15. Jasu

    Tu écoutes quoi ?

    Un p'tit groupe super sympa pour ceux qui aiment le genre un peu psyché et très chill.
    3 points
  16. Et voilà que maintenant je suis aussi le minou de Tiramissu..........Quel succès!
    3 points
  17. Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 delivers an extreme 3D fighting experience, improving upon last year's game with over 150 playable characters, enhanced fighting techniques, beautifully refined effects and shading techniques, making each character's effects more realistic and over 20 battle stages. This is the ultimate chapter in Budokai Tenkaichi series with over 20 new characters that have never been seen in any other Dragon Ball Z video games such as Nail, King Cold and King Vegeta and battle stages that fans will love.
    3 points
  18. En jeu ça n'a rien à voir avec cette jolie image, on a plutôt le droit à des dessins génériques de chats ainsi qu'à leurs miaulements génériques, insupportable 😂 🤣
    2 points
  19. Parce que comme le disent nos poètes contemporains Eric & Ramzy : "C'est de toute beauté"
    2 points
  20. On souhaite un joyeux anniversaire à Emmanuel Garijo et Jean-Pierre Moulin !
    2 points
  21. Minou33

    La musculation

    Les croquettes, ça assèche le gosier! Alors pour casser la routine, un p'tit coup de Shebon!!!
    2 points
  22. Damn! C'était écrit dessus; c'est le jeu de réflexion du doux nom de.......Starman!
    2 points
  23. GOONIES

    L'Alcool

    Dites 33 ! Chez nous, ça se passe comme ça ! #WineHouse
    2 points
  24. Dang, c'est bien ce que je craignais. Bien heureux que ce topic ait permis de soulever ce problème. J'ai l'impression d'être de retour à l'époque où Tanuki78 avait créé un sujet exprès pour se plaindre de l'absence de modération. Je peux toujours repartager le topic enregistré sur Wayback pour rappeler tous les nombreux problèmes que ça avait posé...
    2 points
  25. Eh mec, laisses-moi le temps d'atterrir après ma journée de boulot!!!
    2 points
  26. J'en profite pour demander si GambierBae est toujours modo ? C'est l'unique qu'on a normalement, mais ça fait maintenant deux-trois mois que sa page indique "Uploadeur" — j'avoue que ça m'intrigue. Qui plus est, le rôle de modérateur concerne surtout ici les forums, il me semble, et il serait compliqué, même avec plusieurs modos, de gérer tous les échanges pouvant avoir lieu sur chaque serveur, même public. Changer la manière dont fonctionnent les signalements me sembleraient donc être en effet le plus simple.
    2 points
  27. Kuppa

    Alien Isolation

    J'ai ajouté l'information complémentaire suivante. Faites-moi savoir si ça ne suffit pas. Bug connu : Dans le Niveau 10, juste après que Watts vous enferme dans la zone et qu'on vous demande de dépressuriser l'écoutille pour partir, un mur invisible pourrait apparaître vous empêchant de sortir. Solutions possibles : - Rechargez la dernière sauvegarde. - Redémarrez le niveau en utilisant la sauvegarde de mission, rejouez-le, et le bug pourrait ne pas se produire. - Appuyez rapidement sur le bouton d'accroupissement tout en avançant et essayez de passer à travers l'embrasure après plusieurs tentatives.
    2 points
  28. Pour passer le mur invisible à la fin du chapitre 10 : appuyer le plus vite possible et plusieurs fois sûr la touche s’accroupir tout en avançant contre le mûr invisible et boom la cinématique ce lance
    2 points
  29. Le boulot d'un modo, principalement, c'est: gérer le forum, bannir, sanctionner et gérer les problèmes sociaux... C'est leurs seuls boulot!! (normalement) Mais oui, pour les admins, c'est pas leurs boulot principal.
    2 points
  30. GambierBae

    Tu écoutes quoi ?

    Fan de Trey Parker et Matt Stone depuis longtemps et j'en suis toujours !
    2 points
  31. J'aime bien les moutons car il y en a plein en France, et un mouton c'est fait pour être tondu, et quand ils seront tous tondus ils feront "bé, bè ou bê" 😂.
    2 points
  32. 2 points
  33. 2 points
  34. Chacun ses références les petits loups.🤣
    2 points
  35. akumasan

    Parlons baston

    🔰 Sorti en 2009, Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans est un RPG au tour par tour des plus classiques dans la pure veine des premiers Final Fantasy ou Dragon Quest, en plus d’être exclusif à la Nintendo DS, berceau de pas mal de jeux de rôles. Le développement de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fût confié à Monolith Soft, studio fondé par Tetsuya Takahashi, connu pour avoir travaillé sur les graphismes des premiers Final Fantasy sur Super Nintendo comme ceux de Chrono Trigger. Au vu de l’expertise du studio et sachant que cette adaptation du bébé de Toriyama est une commande, il n’est pas si surprenant d’avoir affaire à un RPG old school. Puis, le choix du support DS permettait de se contenter de la 2D, rapprochant le jeu des standards qui régnaient à l’époque sur Super Nintendo. Le récit de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans va débuter avec l’arc du 23ème Tenkaichi Budokai pour se terminer sur la confrontation entre Goku et Vegeta durant l’arc Saiyan. Bien que l’histoire du manga soit respectée, le soft se permet quelques libertés pour le bien du rythme, mais aussi afin de gonfler un minimum la durée de vie pour tenir dans la moyenne du genre qui tourne entre 20 et 30 heures. Un RPG en 2D classique, qui reprend logiquement la structure du genre, avec une map sur laquelle se trouve divers lieux emblématiques de la franchise où il est possible de se balader. Que ce soit dans une ville ou dans des zones plus dangereuses où se trouveront les ennemis. En outre, certains niveaux auront des pseudos obstacles qu’il faudra détruire avec un kikoha pour avancer. Rien de bien folichon, alors que cela aurait pu amener des situations plus intéressantes, sachant que parfois, ce seront des éléments de glace, feu ou poison qui pourront vous obstruer la route. Des capsules, que l’on peut collecter, vont alors servir à passer ces dits obstacles plus aisément ou être utilisées comme dragon radar, etc. Le jeu ne sortait pas vraiment du lot comparé aux pléthores de RPG existant sur Nintendo DS. Pourtant, rien qu’avec l’univers de Dragon Ball, sa beauté et son système de combat qui retranscrit plutôt bien l’essence des affrontements, le jeu possède toujours ce petit truc en plus. De même que l’approche en équipe a du sens ainsi que l’utilisation intelligente du lore, dans les quêtes comme avec le bestiaire qui va piocher dans pas mal de spécimens, populaires ou non. Preuve d’un amour sincère des développeurs envers la licence. De plus, le fait que le récit nous fasse jouer plusieurs personnages aide à renouveler l’aventure. Mais là où le jeu s’en sort le mieux c’est dans les affrontements. S’il est possible d’améliorer ses statistiques grâce à l’expérience gagnée ou de débloquer et augmenter des capacités, une des particularités du titre est que certaines techniques sont cachées. Le jeu propose en effet un système de combinaisons à découvrir soi-même. En exécutant les bonnes techniques avec les bons personnages, et ce durant le même tour, vous pouvez déverrouiller des enchaînements spéciaux qui formeront de puissants combos. Ces derniers vous gratifient d’animations réussies qui rendent fièrement hommage à l’œuvre. Généralement, les affiliations vont découler d’une association de personnages et de techniques logiques. Enfin, plus le combat sera long et plus vos combattants seront déchaînés. Des mécaniques qui profitent du fait que nous pouvons contrôler jusqu’à trois héros sur le terrain, avec la possibilité de switcher avec les autres si notre team complète en inclus plus. Cela rend les affrontements grisants et permet de profiter de la Z Team. Notez qu’il est aussi possible de réduire les dégâts reçus en appuyant au bout moment sur la touche adéquate. Un moyen d’ajouter un petit peu plus de dynamisme et de pimenter l’action, bien que cela reste très basique. Enfin, concernant la partie exploration, particulièrement avec les capsules à récupérer et utiliser, s’inspirer de ce que fait Game Freak sur Pokémon avec l’usage des CS semble la meilleure chose. Cela rendrait l’aventure plus immersive, plus jouissive aussi et impliquerait plus concrètement les joueurs et joueuses. Notamment vis-à-vis de la narration, qui est normalement un élément important dans un RPG. Le genre se prête bien à Dragon Ball, car il peut donner une autre ampleur à la saga en mettant en avant son lore comme c’est rarement le cas. Et bien qu’on parle de reprendre l’intrigue du manga, on est tout aussi ouvert à une nouvelle histoire, néanmoins cela implique un travail plus minutieux si l’on veut éviter les déconvenues comme le scénario autour de C-21. Ce Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans regorge de bonnes choses et de bonnes intentions. On aimerait qu’un autre jeu de la franchise prenne la relève afin de proposer un RPG digne de ce nom. Pouvoir un jour placer un jeu Dragon Ball à côté d’un Dragon Quest sans qu’il y ait à rougir.
    2 points
  36. Aku ça me ferait bien penser à un dessin de ma choupinnette ! Je propose Chouppy à Wonderland ?
    2 points
  37. Je pense qu'il s'agit d'un jeu Wii, mais par contre je n'ai aucune idée de ce que c'est !? A moins qu'il s'agit en fait d'un dessin de tiraMISSU fait aux crayons de couleurs. 😄
    2 points
  38. Oui au plus court, c'est ce que m'a dit ma mémé et soutenir l'engagement !
    2 points
  39. RomStation

    Dino Crisis

    Three years ago a brilliant scientist disappeared while researching a new form of energy. The government that funded his research wrote the whole affair off as a loss, which made it all the more upsetting when reports of Dr. Kirk's good health and nearly finished research came in. A special forces team is sent to the doctor's private island laboratory to extract him and his research, but they are totally unprepared for some of the side effects of his developments. Side effects that come from 100 million years in the past.

    Dino Crisis is a survival horror game that is very similar in both control and gameplay to its sister series, Resident Evil. As in that series, protagonist Regina will have limited supplies and ammo with which to fight deadly enemies while searching rooms for keys (some figurative, some literal) to open locked areas. Unlike Resident Evil games, Regina will find very few actual supplies laying around, and will instead find "plugs" that are used to open caches of emergency supplies located around the complex. There are only enough plugs to open some of these caches, however, so care must be taken to decide what items are really needed. In another change from Resident Evil, the game is rendered in 3D, allowing the camera to rotate or pan, although camera angles are still out of the control of the player. Even the dumbest dinosaur is smarter than the undead, and enemies can chase and disarm Regina, and even occasionally follow her through doors. Regina can use the force fields in the complex to block her enemies.
    2 points
  40. 🔰 Troisième et dernière partie de Papo & Yo. Le monde imaginaire de Quico n'était finalement est pas si imaginaire qu'il n'y paraît. Il s'agit en fait du reflet de l'enfance tragique de Vander Caballero qui visiblement a subi des coups tout au long de sa jeunesse par son père alcoolique et violent. L'histoire personnelle de Vander Caballero (le directeur créatif du jeu) fut parfaitement retranscrite tout au long de Papo & Yo, avec un degré de double lecture rarement vu dans un jeu vidéo. Quico est un jeune garçon tout ce qu'il y a de plus gentil et attentionné. Malheureusement, il vit chez son père qui, même s'il aime son fils, finit toujours par lui faire du mal. La raison de ce mal, c'est l'alcoolisme et c'est toujours Quico qui finit par trinquer, il est par conséquent obligé de se cacher de son père dès qu'il a bu même s'il éprouve pour lui une telle affection qu'il ne demande qu'à pouvoir le guérir. Un sujet grave est abordé dans ce jeu, mais il n'est pas présenté de cette manière. Vous incarnez Quico dans un monde plutôt étrange dans lequel les maisons ont des pattes et les jouets sont vivants. On croirait le rêve d'un enfant et c'est bien le cas. Vous allez jouer Quico qui avancera dans ce monde en escortant un monstre en apparence pacifique et mangeur de fruits. Malheureusement, ce monstre a un problème, dès qu'il lui arrive de manger des grenouilles, ce qu'il adore, il devient agressif voire très violent. Je vous laisse faire le rapprochement entre les deux histoires. Ce jeu exploite autant votre réflexion que votre agilité à sauter de plateforme en plateforme. Vous allez devoir avancer tout en jonglant entre les phases de plateforme et les énigmes mettant en scène des interrupteurs, des clés que vous reconnaîtrez facilement, car ils sont dessinés à la craie et j'en passe. On voit bien que ce monde est tiré de l'esprit du jeune Quico, car il a beau être mélancolique, il n'en est pas moins plein de couleurs et pourvu d'un style crayonné au niveau des interrupteurs et autres éléments qui ne laisse pas indifférent. Déplacer des maisons, les voir voler, attirer Monstre (oui, c'est son nom.), l'éviter durant ses colères, se servir de son jouet robot afin de faire des doubles sauts et d'activer certains interrupteurs éloignés, voici le quotidien du monde imaginaire de Quico. Les tâches à effectuer sont simples et répétitives, mais vous aurez peu de chances de vous en lasser, car vous n'aurez pas besoin de plus de 3 ou 4 heures pour finir le jeu. Assez pour faire passer un message important, mais pas assez pour tenir le joueur en haleine, le scénario est brillant, mais la durée de vie est relativement courte. Il vous arrivera tout de même d'avoir quelques difficultés à comprendre ce que vous devrez faire pour avancer. Pour vous aider des cartons sont disséminés dans les niveaux, les mettre sur votre tête vous permettra de consulter soit un didacticiel soit des indices sur votre tâche à accomplir. Du coup, le jeu ne propose plus de réel défi, la difficulté n'étant déjà pas très élevée. Heureusement cela n'empêche en rien le joueur de rester scotché à sa manette. Graphiquement, pour un jeu sorti en 2013, c'est plutôt correct, avec des paysages très reposants, mais il se rattrape aisément avec une bande son réellement sublime crée par Brian d'Oliveira : Sans compter sur le message qui se cache derrière le jeu. Un réel travail a été fait sur l'univers proposé, un petit garçon sans défense dans la vie réelle qui arrive à avoir une influence énorme sur un monde imaginaire, une idée de génie. La fin du jeu n'est pas moins marquante qu'elle n'est poétique, comme tout le reste du jeu. Il est possible de comparer chacun des éléments de l'univers de Quico à sa vie réelle et le rendu est vraiment intéressant. Au final, c'est un jeu qui atteint de sommets qui nous est offert, du moins au niveau du scénario, de la mise en scène, de la bande son et de l'immersion offerte aux joueurs. Reprenant des éléments déjà vus dans Majin and the forsaken kingdom et Ico, c'est pour ma part un grand très YES !!! Je dédicace ce let's play à Aysha de la chaîne Aysha Gaming Geek.
    2 points
  41. Facile, il s'agit de << Mojito the Cat >> sorti il y a quelques jours. #l'alcool ça me connait 😋
    2 points
  42. Bonjour, comme vous le savez je fais des rectifications sur ma chaine youtube et apparemment ce ne sont pas des let's plays mais du gameplay sans commentaires audios de ma voix que j'ai publié depuis le début car des let's plays sans commentaires cela n'existe pas dans le monde du gaming donc si vous voulez regarder l'histoire d'un jeu ou ma façon de jouer venez pas de soucis sinon tant pis je fais ce qui me plait n'en déplaisent à vous !!!!
    2 points
  43. GambierBae

    DuckStation

    Pour info : La dernière version de DuckStation (ainsi que celle PCSX2) rend l’exécution des jeux sur RomStation impossible et il m'a fallu décompresser les jeux puis les faire lancer dans l'émulateur. Si vous allez ajouter la nouvel version de l'émulateur (PCSX2 aussi) faut en prendre compte. Je veux pas revenir vers les anciennes version de l'émulateur juste pour que les jeux lancent directement via RomStation car les amélioration des dernières versions rend les jeux plus agréable à jouer.
    2 points
  44. Minou33

    Qu'est-ce que tu mat ?

    Exactement le même coup de pédale pour aller bosser......et un bon café à l'arrivée!
    2 points
  45. terre7777777

    Recherche de Jeu

    Voila un jeux qui a l'aire sympa 🤣
    2 points
  46. ChatNoirRetro

    Final Fight 2

    Devant le rachitisme tout relatif de la Super Nintendo par rapport à sa quantité de beat 'em up notables, et face au mastodonte que représentait Streets of Rage sur la console rivale de Sega, Capcom fut dépêché pour produire un second volet au monument que fut Final Fight en 1989, dont la sortie sur SNES eut grand peine à en retranscrire le génie. Cette fois-ci, on part de zéro : aucune comparaison avec nulle autre console ! Cela rend-il le jeu meilleur ? A fortiori déjà oui. Il est évident que les développeurs ont maintenant une meilleure connaissance du support, et cela leur permet de compenser tout ce qui manquait cruellement au premier épisode. Ainsi, il est enfin possible de jouer à deux, beaucoup moins de ralentissements sont à noter, les couleurs sont plus enjouées, les sprites plus détaillés et on retrouve la possibilité de jouer trois personnages plutôt que seulement deux. Comble du bonheur : le boss absent du premier jeu, alors supprimé avec son niveau lors du portage, est ici rencontré dans exactement le même affrontement. De quoi régaler tous ceux qui furent déçus par le port du premier épisode. Or, cela nous révèle peut-être justement le gros problème du titre : il faut bien ne pas avoir joué au premier Final Fight pour trouver pleinement à son goût cette suite. Non pas qu'elle soit mauvaise, au contraire ; elle se joue tout pareil que le premier — trop pareil ! Les deux nouveaux personnages — dont l'une est une copie blonde de Mai dans Fatal Fury — se jouent exactement de la même manière que Cody et Guy dans le premier jeu, idem pour le comportement des ennemis qui ne sont pour la plupart que des reskins des précédents. Le titre manque terriblement de nouveautés pour être réellement satisfaisant, et l'on aura plus l'impression globalement de jouer à une correction du premier jeu plus qu'à une véritable suite. Il n'empêche néanmoins qu'on y prend son pied. Certes, ce n'est pas original pour un sou, mais casser du bad guy n'a jamais demandé de sortir son épingle du jeu. La maniabilité est impeccable, les différents environnements nous donnent vraiment à voir du beau paysage, et les combats de boss, bien qu'étant un peu moins uniques que ceux du premier jeu, demeurent un bon petit défi de fin de niveau. On notera également une bande-son grandiose, sachant parfaitement rythmer les différentes phases de combat. Si je pouvais vous donner un conseil s'il n'est pas trop tard : ignorez le premier jeu sur SNES ou faites-le sur un autre support, puis passez directement au 2 ; le caractère légèrement "repompe" de celui-ci en paraîtra moindre, et vous pourrez ainsi mieux apprécier une des meilleures séries de BTU des années 90. Final Fight 2 n'est pas un grand jeu, mais on ne lui demande pas de l'être. Jouez à deux, et prenez plaisir devant ce titre bien plus accessible que son aîné — c'est le meilleur conseil que je puisse vous donner. EDIT : je ne me rend compte qu'après publication du test que je l'aie écrit sous la version japonaise. Pour des raisons évidentes, prenez une autre version si vous souhaitez découvrir le jeu, à moins que vous ne parliez la langue de Mishima ou que vous vouliez tester cette version non censurée du jeu — oui, ils ont encore enlevé les femmes du jeu, ces sales misogynes !
    2 points
  47. akumasan

    L'Alcool

    Avec la Vodka EOR, la Zubrowka, celle que j'appel l'herbe de bison est ma préférer et de loin. Elle a une odeur et un gout reconnaissable entre 1000. Et après 3h passer au congélateur cette Vodka révèle tout son gout.
    2 points
  48. Aflow

    Tu écoutes quoi ?

    2 points
  49. RomStation

    Skate 3

    skate 3 takes place in the town of Port Carverton. After a failed trick (jumping over the shark statue at the stadium), "The Legend" (which is the player) starts his goal to become a skating mogul. The player works to create a team of skaters that compete against other teams, with a goal to sell a million skateboards.
    2 points
  50. FIFA 18 is a football simulation video game developed and published by Electronic Arts for PlayStation 3. It is the 25th installment in the FIFA series and features Portuguese footballer Cristiano Ronaldo as the cover athlete. The PlayStation 3 and Xbox 360 versions, marketed as FIFA 18: Legacy Edition, do not contain any new gameplay features and are identical to the previous release aside from updated kits and squads. FIFA 18 simulates association football and includes 52 fully licensed stadiums from 12 countries, as well as 30 generic fields for a total of 82. The game also includes the third tier of Germany's Bundesliga, the Iceland national football team, the Saudi Arabia national football team, and both the men's and women's national New Zealand teams. EA Sports have introduced Quick Subs into FIFA 18, which allows players to make substitutes when the ball goes out of play. In Career Mode, players can watch interactive transfer negotiations and see new signings unveiled in cut scenes.
    2 points
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