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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 23/04/2024 dans la communauté.

  1. Salut a tousss j'aimerais parler d'un sujet particulier, jai remarqué que sur rom bcp n'avais pas compris que l'on pouvais faire des serveurs privés... et que par conséquent quand on rejoins leur serv pensant pouvoir jouer avec quelqun ces la recale direct!!!, de plus souvent accompagné d'insulte gratuite et d'humiliation, ce qui en mon goût peut influencer le plaisir pris sur ce joli logiciel, ca serais bien de pouvoir avoir un système de signalement ou bien juste poussé l"idée de l'étiquette plus loin, sachant que l'on peut en déposer q"une par jour c franchement limité, voila j'espere que mon message ai fait sens ^^
    8 points
  2. Minou33

    Tu écoutes quoi ?

    Toujours un vrai régal d'entendre la petite fée islandaise! Du coup, je suis comme obligé de rebondir sur ce titre où bien évidemment, la star du clip est........
    4 points
  3. Il est vrai que ce genre de sujet peut éveillé des idées pour ce genre de problème car c'est vrai qu'on peut éventuellement faire des serveurs privés mais parfois il ce peut qu'il recale pour l'arrivé de quelqu'un d'autre après le mieux est toujours d'informé quelqu'un. mais le signalement peut être une belle idée pour ceux qui agissent de façon toxique comme les ''Insultes" mais surtout les '' Mauvais joueurs" à ne pas oublier !
    4 points
  4. Just relax, man! Ceci n'est qu'un jeu, et d'autant + insignifiant qu'il n'y a strictement rien à gagner. La seule règle valable pour absolument tous les participants, c'est de jouer quand on peut, quand on veut......ou quand on sait!
    3 points
  5. Easy; c'est l'injouable Dream TV sur SNES!
    3 points
  6. 🔰 Sorti en 2020, OCEANHORN 2 : Knights of the Lost Realm fait suite au premier épisode qui m'avait marqué par ses nombreux hommages à la licence The Legend of Zelda. OCEANHORN 2 continue sur sa lancée, mais en troquant cette fois la vue isométrique pour une aventure en 3D. L’histoire débute sur la petite île d’Arne, nous y incarnons un jeune homme dans sa quête initiatique pour devenir chevalier. C’est ainsi l’occasion pour le jeu de nous familiariser avec ses commandes et son univers à travers un tutoriel plutôt bien construit et suffisamment clair pour se lancer dans l’aventure. Certains pan de la progression rappellent immédiatement les aventures modernes de Link avec des lieux semblables aux sanctuaires du monde d’Hyrule. Ces lieux nous proposent différentes énigmes qu’il faudra résoudre à l’aide des divers pouvoirs et gadgets obtenus lors de notre périple. On sera par exemple amené à enflammer des torches avec un pouvoir de feu, se hisser sur une corniche éloignée à l’aide d’un grappin ou encore plonger dans les profondeurs aquatiques grâce à un scaphandre. Leur obtention est d’ailleurs bien amenée et permet un sentiment de montée en puissance de notre chevalier en herbe. Si le scénario n’est jamais transcendant, il propose tout de même quelques rebondissements bienvenus et se laisse suivre avec plaisir. OCEANHORN 2 requiert environ une dizaine d’heures pour venir à bout de la trame principale. À cela, on peut encore rajouter cinq à six heures supplémentaires pour achever les quelques quêtes secondaires, récupérer les nombreux collectibles pour terminer l’exploration de Gaïa à 100 % ou encore accomplir la liste de tous les défis. Le titre a de quoi nous occuper sur le papier, encore faut-il parvenir à se donner l’envie de tout faire, la faute à un gameplay daté et quelques soucis d’ergonomie. En effet, la navigation dans les menus est confuse, on s’y perd facilement avec des informations pas forcément nécessaires. En revanche, nous déplorons l’absence d’un véritable journal de quêtes afin de pouvoir suivre les différents objectifs secondaires parmi ceux de la trame principale. Il est également dommage de ne pas bénéficier d’une carte globale de Gaïa et de devoir simplement se contenter de la vue de la zone où l’on se trouve. Côté gameplay, ce qui m'a le plus frustré, c’est l’absence de saut manuel. Les seuls moments où notre personnage peut sauter, c’est en avançant vers un précipice ou une plateforme en face de nous. Cela nous a rendu l’exploration plus laborieuse, au point d’en être presque dégoûtés. Au niveau des combats, on est sur un système plutôt classique, proche là aussi des derniers jeux The Legend of Zelda avec la possibilité de donner des coups d’épée, de parer avec son bouclier ou de faire des roulades pour esquiver. Malheureusement, les affrontements manquent de pêche et de sensations pour être vraiment plaisants. De plus, il n’est pas possible de verrouiller une cible, entraînant quelques soucis de lisibilité lors des combats face à de nombreux ennemis. Malgré tout, le soft se rattrape par un level-design et des environnements assez variés pour ne pas nous lasser. Les différentes régions du monde de Gaïa ont chacune leurs spécificités et les niveaux sont construits de façon à nous faire progressivement utiliser tout notre attirail pour progresser. Je termine sur la partie sonore du titre qui accompagne très bien la direction artistique et nous permet de mieux profiter de notre épopée. Les musiques ne sont pas des chefs-d’œuvre, mais elles ont le mérite de bien accompagner l’action et la narration. Dommage que côté doublage, il faille se contenter d’un jeu plat et d’un héros muet tout comme Link dans la saga Zelda. OCEANHORN 2 : Knights of the Lost Realm dispose de certaines qualités. Il profite d’un scénario plaisant, servi par une bande-son bien choisie et des graphismes soignés. Mais malgré les différentes inspirations de la licence The Legend of Zelda qui peuvent plaire à certains, on ne peut s’empêcher d’être frustré par les menus confus ou le gameplay malheureusement daté. Cependant, bien que l’envie de terminer le jeu dans son entièreté se soit évanouie face à ces défauts, nous avons tout de même apprécié parcourir la trame principale pendant la dizaine d’heures nécessaire.
    3 points
  7. M'ouais. Même intrinsèquement (i.e. indépendemment de tes intentions derrière, j'ai beaucoup de mal à croire que ça puisse t'être venu comme ça, m'enfin je digresse), je serai plutôt contre. Certes, ça permettrait au créateur de contrôler directement le contenu de son topic plutôt que d'attendre l'intervention d'un admin ou modo, mais : 1) Ça ôterait l'intérêt de créer un sujet de discussion ouvert à tous. Un topic n'est pas un espace privé : s'il est public, tout membre doit pouvoir y participer sans avoir à en demander l'accès. Autrement, on peut s'en tenir aux messages privés qui permettent d'inviter autant de membres que voulu pour à peu près le même résultat. 2) Ça rajoute quand même une tâche assez importante que de modérer tout un topic. Il faut avoir la motivation pour tout surveiller, d'autant plus que ça ouvrirait la porte aux abus si le moindre utilisateur créait un topic et pouvait contrôler tous les messages comme bon lui semblait. Auquel cas, ça enlèverait encore un peu à l'intérêt de créer un sujet public. 3) Et si le créateur du sujet devient inactif ? C'est le cas maintenant pour beaucoup de topics (dont La Suite de mots), et ce serait dangereux à mon avis de confier la responsabilité de tout un topic à un seul membre si l'on n'est pas certain qu'il puisse toujours être là pour le modérer — même si un modo le supervise en plus.
    3 points
  8. À un moment, il y a quand même un minimum de maturité à avoir, et ramener constamment sa haine envers un autre membre sur tous les topics, ça commence un peu à bien faire. C'est aussi valable pour @Bibinou67 que pour @akumasan : sérieusement, la majorité de vos derniers posts ne sont que des remarques mesquines destinées à l'un ou à l'autre. Vous ne croyez pas que les autres membres en ont assez de vos gamineries ? Réglez ça en privé et cessez de constamment ramener les sujets à votre conflit. Ici, il s'agit de dénoncer les problèmes sur le multijoueur, pas une nouvelle occasion pour un règlement de compte.
    3 points
  9. GambierBae

    souci resident evil 1 ps1

    mais quoi ?
    3 points
  10. Je ne suis pas le seul qui souhaite le devenir également après tant d'années de présence sur la plateforme. 👀 Mais vu qu'il y a 0 modérateurs je crains qu'il y ait une raison "pourquoi" et pourtant ça n'a rien à voir avec la compétence vu que Gambier a toujours été à la hauteur.
    3 points
  11. J'adore ce jeu (j'y joue sur Wii U -la config étant compliquée pour moi avec ma manette de type Xbox). La musique est géniale. La possibilité de bouger son épée en reproduisant ses mouvements est kiffante. De plus, on peut faire sprinter Link (avec une jauge d'endurance) ! J'ai aimé collectionner des insectes pour améliorer les potions complètement cheatées. Sans parler de l'amélioration des items ^^ Quand on trouve la carte d'un donjon, les coffres apparaissent, il n'y a plus besoin de la boussole. Quel plaisir aussi de pouvoir sauvegarder régulièrement grâce aux statues de la Déesse, même dans les donjons !! Le dragon de foudre nous met à l'épreuve pour gagner le bouclier ultime en battant plein de boss passés. J'ai trouvé la voix de Fay marrante à entendre, sa façon de s'exprimer à la Daft Punk m'a séduite. Ce que j'ai moins aimé, c'est la quête annexe du concert de lyre accompagné de Tironne à l'île de la Citrouille. Quelle galère ! Il me reste à refaire le jeu en mode héroïque (il se débloque à la fin du jeu). Cela m'a aussi donné envie de découvrir d'autres jeux Wii aux gameplay sympas avec ma Wiimote. Si vous avez des suggestions, d'autres incontournables de la Wii (à part Twilight Princess et Wind Waker que je connais déjà)...
    3 points
  12. TiraMISSU qui connaît les plus grands chefs-d'œuvre, on tient là un connaisseur ! ;3
    3 points
  13. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    🎼🎶
    3 points
  14. Aflow

    Tu écoutes quoi ?

    Très bon choix ! Je connais les frères Gutierrez.
    3 points
  15. ChatNoirRetro

    Final Fight 3

    Conclusion à la trilogie Final Fight, ce dernier opus représente sans doute le meilleur du beat 'em up sur Super Nintendo, en dépit d'un anonymat tout relatif. En effet, sa rareté, couplée à la postérité du premier jeu encore ardente de nos jours, fait de ce troisième épisode un jeu quelque peu oublié, quand bien même il demeure probablement le meilleur de la série. Dès les premières secondes de jeu, Final Fight 3 surprend. Il surprend, parce qu'il symbolise parfaitement tout ce qu'aurait dû être Final Fight 2 vis-à-vis du premier jeu sur SNES : une véritable suite qui fait avancer la formule classique des BTU, plutôt qu'une simple correction des erreurs initiales du premier volet. Et de fait, Final Fight 3 introduit tout un tas de nouveautés qui enrichissent considérablement le gameplay : de nouvelles armes débloquant des combos spécifiques selon le personnage, la possibilité de choper les ennemis par derrière pour effectuer un throw unique, l'introduction des dash qui permettent de se mouvoir plus rapidement, ou encore l'ajout de barres de Super qui, une fois pleines, permettent d'effectuer un coup spécial dévastateur, etc. Rosser comme plâtre du fripon et du coupe-jarret n'aura jamais été aussi jubilatoire ! Quatre — et non plus trois — personnages jouables sont au rendez-vous. Si les vieux de la vieille choieront le retour de Haggar et Guy, deux personnages du premier jeu dont le gameplay a tout juste évolué, on appréciera également les deux personnages inédits, bien loin cette fois-ci d'être de simples clones des héros des jeux précédents grâce à un style de jeu vraiment unique qui saura immanquablement varier les plaisirs. Notons de même la possibilité d'emprunter des routes différentes au cours de l'aventure, permettant de ne jamais faire deux fois les niveaux dans le même ordre à chaque partie — exemple : si vous détruisez l'arrêt de bus dans le troisième niveau, vous vous retrouverez dans une zone complètement différente que si vous l'aviez laissé intact, permettant par la même occasion de rencontrer des boss uniques. Ça va sans dire : cela favorise grandement la durée de vie qui, routes alternatives mises à part, reste quand même bien faible. Car Final Fight 3, malgré toutes ses bonnes idées et son gameplay aux petits oignons, reste un BTU ordinaire ; comprenez par là qu'il ne faut s'attendre à aucune dinguerie dans le level-design... ...et que, répétitivité oblige, l'aventure se termine bien vite malgré la présence de cinématiques vraiment réussies en fin de niveau — faible durée de vie qui n'est pas aidée par la grande simplicité du jeu, même en mode expert. Nonobstant, Final Fight 3 reste une réussite. Des beat 'em up notables sur SNES, il n'y en a pas foule, et cet épisode reste pour sûr un mètre-étalon du genre. Si j'ai beaucoup employé le mot unique dans ce test, c'est parce que Final Fight 3, unique, l'est sans le moindre doute : jouez-y à deux — que ce soit avec un ami ou par IA, ce troisième volet ayant eu la bonne idée d'introduire un second joueur virtuel mû intégralement par sa propre volition — et découvrez ce que Capcom a pu faire de mieux en terme de jeu de baston sur Nintendo...derrière Street Fighter II, bien sûr !
    2 points
  16. 2 points
  17. 2 points
  18. Oh, tout doux Bijou! Je suis pas le shériff du forum! Mais je concède volontiers l'idée que tu as donné la bonne réponse, donc pour moi y'a même pas de sujet; go!
    2 points
  19. GOONIES

    Tu écoutes quoi ?

    Tellement introspectif
    2 points
  20. akumasan

    Parlons baston

    🔰 Sorti 1991 Burning Fight fut parmi les premiers titres sur MVS, ce Beat 'em all ne restera pas dans les mémoires de joueurs. SNK tente ici de surfer sur la vague initiée par Final Fight, mais ne sait visiblement pas vraiment comment s'y prendre. Le déroulement fait en effet beaucoup penser au hit de Capcom, la maestria en moins. Cela se sent dans beaucoup de graphismes du jeu, et plus particulièrement dans certains personnages qui frôlent carrément le plagiat. Ainsi, on a le choix entre trois protagonistes qui rappellent une fois de plus Haggar, Guy et Cody, pour permettre au joueur de choisir un combattant équilibré, ou soit plus fort mais lent et inversement. Les différences s'arrêtent là, car les coups sont totalement identiques de l'un à l'autre. L'histoire prend place quand pendant des années, la famille Casterora a régné sans partage sur les rues de la ville de New-York. Deux policiers, Duke Edwards et Billy King, ont été chargés d'enquêter et de combattre ce clan mafieux. Les Casterora ont alors joint leurs forces à une autre famille du crime, basée à Ôsaka au Japon : les Heiwa-Gumi. Leur pouvoir est désormais total et seul un policier ose s'opposer à eux au Japon, c'est Ryû Saeba. Duke et Billy décident de se joindre à lui pour combattre ces deux familles et se rendent donc à Ôsaka. Le jeu propose trois personnages, comme vous l'avez sans doute compris. - Ryû est le policier japonais, agile mais peu puissant. - Duke est parfaitement équilibré, ni trop lent, ni trop faible. - Billy fait enfin office de grosse brute, il est lent, mais dispose d'une bonne puissance de frappe. Le système de Burning Fight est basé sur l'utilisation de trois boutons. (A) coup de poing / ramasser une arme ou un bonus / utiliser une arme / projeter l'adversaire (B) saut (C) coup de pied Eh oui, c'est l'un des rares beat them up qui permet d'effectuer un coup de pied tout en restant debout. Les armes sont nombreuses et variées : bâton, 44 Magnum, couteau, bouteille ect... En appuyant sur (A) et (B) simultanément, on déclenche un pouvoir spécial dévastateur qui dégomme sans difficulté les adversaires qui ont le malheur de se trouver à proximité de votre personnage. Prix à payer classique, la barre de santé diminue alors légèrement. À l'instar de son modèle Final Fight ainsi que de nombreux autres titres du même genre, on aura droit à des semi-boss puis à des boss de fin de niveau. Ces derniers sont assez peu impressionnants, ce qui ne les empêche nullement d'être coriaces. Au détour d'une rue, on pourra voir des portes marquées "in". Si on y entre, on accède à une sorte de Bonus Stage dans lequel il s'agit de casser du mobilier dans un temps imparti. On y gagne divers bonus donnant points ou santé. Des policiers entrant dans des boutiques pour tout casser, on aura tout vu. En fait il s'agit, d'après la notice, de boutiques tenues en sous main par le clan Casterora. Quelques détails amusants ont été intégrés au jeu, comme par exemple ces personnages très peureux et inoffensifs, le client d'un sex-shop et un clochard ou la présence en guest star d'un clone de Hulk Hogan. Burning Fight est, dans l'ensemble, très correct, même si certains stages sont bien trop vides, ce qui est bien dommage. Le choix de couleurs laisse aussi parfois à désirer. Bref, on sent que ça aurait pu être bien mieux. Cependant, quelques passages sont réussis, comme un superbe coucher de soleil ou une grosse BMW garée sur un quai. Le jeu est assez rapide, mais que c'est mal animé ! On croirait que les personnages se sont fait un tour de rein tellement qu'ils sont raides dans leur démarche. Tout cela manque singulièrement de souplesse. Histoire de ne pas rester sur cette impression négative, on notera quelques effets de zoom très sympa pour l'apparition de certains ennemis. Le son est très bon niveau bruitages, avec par exemple le bruit des pas sur un escalier en métal très réussi. Pour les musiques, ça va, elles soutiennent bien l'action sans être exceptionnelles. La jouabilité, complète, possède toutefois quelques défauts. D'abord le temps pendant lequel on peut tenir une arme est beaucoup trop court. En effet au bout de quelques secondes le personnage la lâche, sans raison apparente. Il y a également les prises au corps-à-corps, ou plutôt la prise au corps-à-corps. Il est dommage qu'il n'y en ait qu'une et que SNK n'ait pas copié Capcom sur ce point en allouant à Billy plus de variété dans ce domaine. Enfin, les coups sautés sont disposent d'une fenêtre de collision ridiculement courte est bien les placers deviens une vraie gageure. Tout cela fait que Burning Fight aurait pu être bien meilleur à ce chapitre, même s'il reste défoulant et répond bien. Burning Fight ne fait que reprendre pour lui des bases posées par Double Dragon et Final Fight. Visiblement mal ingurgitées et mal gérées sur la jeune MVS, le plaisir de jeu peine à se faire ressentir, réservant cette cartouche aux seuls fans de beat'em all purs et durs.
    2 points
  21. akumasan

    Tu écoutes quoi ?

    Le tonnerre Breton 😉
    2 points
  22. Drobote41

    Dino Stalker

    Un spin-off de Dino Crisis 2 en mode machine d'arcade où l'on se déplace nous même. Histoire nul à chier et le jeu se fini en 1h. Très étrange pour un jeu ps2.
    2 points
  23. GOONIES

    Tu écoutes quoi ?

    La cover qui m a scié ! 🔨 ⚒️ 🛠 #Musicalité L originale qui me file la pêche 🎣 🍑
    2 points
  24. J invoque le pouvoir du Aku !!!! car je suis sur qu il aura la réponse 😀
    2 points
  25. Ben, allumes la lumière ce sera plus simple nan????
    2 points
  26. Et un DOOM pour le GOONIES, vous pensez que ça existe ❔ Regardez plutôt ⤵️ A ne pas confondre avec "Doonies" c'est pas la même chose, le métal est aussi présent mais pas que, oui je pense néanmoins que Minou préféreras cette version 😂 mais ptet que Goonies aussi 😜.
    2 points
  27. En jeu ça n'a rien à voir avec cette jolie image, on a plutôt le droit à des dessins génériques de chats ainsi qu'à leurs miaulements génériques, insupportable 😂 🤣
    2 points
  28. Parce que comme le disent nos poètes contemporains Eric & Ramzy : "C'est de toute beauté"
    2 points
  29. On souhaite un joyeux anniversaire à Emmanuel Garijo et Jean-Pierre Moulin !
    2 points
  30. Minou33

    La musculation

    Les croquettes, ça assèche le gosier! Alors pour casser la routine, un p'tit coup de Shebon!!!
    2 points
  31. Damn! C'était écrit dessus; c'est le jeu de réflexion du doux nom de.......Starman!
    2 points
  32. GOONIES

    L'Alcool

    Dites 33 ! Chez nous, ça se passe comme ça ! #WineHouse
    2 points
  33. Dang, c'est bien ce que je craignais. Bien heureux que ce topic ait permis de soulever ce problème. J'ai l'impression d'être de retour à l'époque où Tanuki78 avait créé un sujet exprès pour se plaindre de l'absence de modération. Je peux toujours repartager le topic enregistré sur Wayback pour rappeler tous les nombreux problèmes que ça avait posé...
    2 points
  34. Eh mec, laisses-moi le temps d'atterrir après ma journée de boulot!!!
    2 points
  35. J'en profite pour demander si GambierBae est toujours modo ? C'est l'unique qu'on a normalement, mais ça fait maintenant deux-trois mois que sa page indique "Uploadeur" — j'avoue que ça m'intrigue. Qui plus est, le rôle de modérateur concerne surtout ici les forums, il me semble, et il serait compliqué, même avec plusieurs modos, de gérer tous les échanges pouvant avoir lieu sur chaque serveur, même public. Changer la manière dont fonctionnent les signalements me sembleraient donc être en effet le plus simple.
    2 points
  36. Kuppa

    Alien Isolation

    J'ai ajouté l'information complémentaire suivante. Faites-moi savoir si ça ne suffit pas. Bug connu : Dans le Niveau 10, juste après que Watts vous enferme dans la zone et qu'on vous demande de dépressuriser l'écoutille pour partir, un mur invisible pourrait apparaître vous empêchant de sortir. Solutions possibles : - Rechargez la dernière sauvegarde. - Redémarrez le niveau en utilisant la sauvegarde de mission, rejouez-le, et le bug pourrait ne pas se produire. - Appuyez rapidement sur le bouton d'accroupissement tout en avançant et essayez de passer à travers l'embrasure après plusieurs tentatives.
    2 points
  37. Pour passer le mur invisible à la fin du chapitre 10 : appuyer le plus vite possible et plusieurs fois sûr la touche s’accroupir tout en avançant contre le mûr invisible et boom la cinématique ce lance
    2 points
  38. Le boulot d'un modo, principalement, c'est: gérer le forum, bannir, sanctionner et gérer les problèmes sociaux... C'est leurs seuls boulot!! (normalement) Mais oui, pour les admins, c'est pas leurs boulot principal.
    2 points
  39. GambierBae

    Tu écoutes quoi ?

    Fan de Trey Parker et Matt Stone depuis longtemps et j'en suis toujours !
    2 points
  40. J'aime bien les moutons car il y en a plein en France, et un mouton c'est fait pour être tondu, et quand ils seront tous tondus ils feront "bé, bè ou bê" 😂.
    2 points
  41. 2 points
  42. 2 points
  43. Chacun ses références les petits loups.🤣
    2 points
  44. akumasan

    Parlons baston

    🔰 Sorti en 2009, Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans est un RPG au tour par tour des plus classiques dans la pure veine des premiers Final Fantasy ou Dragon Quest, en plus d’être exclusif à la Nintendo DS, berceau de pas mal de jeux de rôles. Le développement de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fût confié à Monolith Soft, studio fondé par Tetsuya Takahashi, connu pour avoir travaillé sur les graphismes des premiers Final Fantasy sur Super Nintendo comme ceux de Chrono Trigger. Au vu de l’expertise du studio et sachant que cette adaptation du bébé de Toriyama est une commande, il n’est pas si surprenant d’avoir affaire à un RPG old school. Puis, le choix du support DS permettait de se contenter de la 2D, rapprochant le jeu des standards qui régnaient à l’époque sur Super Nintendo. Le récit de Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans va débuter avec l’arc du 23ème Tenkaichi Budokai pour se terminer sur la confrontation entre Goku et Vegeta durant l’arc Saiyan. Bien que l’histoire du manga soit respectée, le soft se permet quelques libertés pour le bien du rythme, mais aussi afin de gonfler un minimum la durée de vie pour tenir dans la moyenne du genre qui tourne entre 20 et 30 heures. Un RPG en 2D classique, qui reprend logiquement la structure du genre, avec une map sur laquelle se trouve divers lieux emblématiques de la franchise où il est possible de se balader. Que ce soit dans une ville ou dans des zones plus dangereuses où se trouveront les ennemis. En outre, certains niveaux auront des pseudos obstacles qu’il faudra détruire avec un kikoha pour avancer. Rien de bien folichon, alors que cela aurait pu amener des situations plus intéressantes, sachant que parfois, ce seront des éléments de glace, feu ou poison qui pourront vous obstruer la route. Des capsules, que l’on peut collecter, vont alors servir à passer ces dits obstacles plus aisément ou être utilisées comme dragon radar, etc. Le jeu ne sortait pas vraiment du lot comparé aux pléthores de RPG existant sur Nintendo DS. Pourtant, rien qu’avec l’univers de Dragon Ball, sa beauté et son système de combat qui retranscrit plutôt bien l’essence des affrontements, le jeu possède toujours ce petit truc en plus. De même que l’approche en équipe a du sens ainsi que l’utilisation intelligente du lore, dans les quêtes comme avec le bestiaire qui va piocher dans pas mal de spécimens, populaires ou non. Preuve d’un amour sincère des développeurs envers la licence. De plus, le fait que le récit nous fasse jouer plusieurs personnages aide à renouveler l’aventure. Mais là où le jeu s’en sort le mieux c’est dans les affrontements. S’il est possible d’améliorer ses statistiques grâce à l’expérience gagnée ou de débloquer et augmenter des capacités, une des particularités du titre est que certaines techniques sont cachées. Le jeu propose en effet un système de combinaisons à découvrir soi-même. En exécutant les bonnes techniques avec les bons personnages, et ce durant le même tour, vous pouvez déverrouiller des enchaînements spéciaux qui formeront de puissants combos. Ces derniers vous gratifient d’animations réussies qui rendent fièrement hommage à l’œuvre. Généralement, les affiliations vont découler d’une association de personnages et de techniques logiques. Enfin, plus le combat sera long et plus vos combattants seront déchaînés. Des mécaniques qui profitent du fait que nous pouvons contrôler jusqu’à trois héros sur le terrain, avec la possibilité de switcher avec les autres si notre team complète en inclus plus. Cela rend les affrontements grisants et permet de profiter de la Z Team. Notez qu’il est aussi possible de réduire les dégâts reçus en appuyant au bout moment sur la touche adéquate. Un moyen d’ajouter un petit peu plus de dynamisme et de pimenter l’action, bien que cela reste très basique. Enfin, concernant la partie exploration, particulièrement avec les capsules à récupérer et utiliser, s’inspirer de ce que fait Game Freak sur Pokémon avec l’usage des CS semble la meilleure chose. Cela rendrait l’aventure plus immersive, plus jouissive aussi et impliquerait plus concrètement les joueurs et joueuses. Notamment vis-à-vis de la narration, qui est normalement un élément important dans un RPG. Le genre se prête bien à Dragon Ball, car il peut donner une autre ampleur à la saga en mettant en avant son lore comme c’est rarement le cas. Et bien qu’on parle de reprendre l’intrigue du manga, on est tout aussi ouvert à une nouvelle histoire, néanmoins cela implique un travail plus minutieux si l’on veut éviter les déconvenues comme le scénario autour de C-21. Ce Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans regorge de bonnes choses et de bonnes intentions. On aimerait qu’un autre jeu de la franchise prenne la relève afin de proposer un RPG digne de ce nom. Pouvoir un jour placer un jeu Dragon Ball à côté d’un Dragon Quest sans qu’il y ait à rougir.
    2 points
  45. Aku ça me ferait bien penser à un dessin de ma choupinnette ! Je propose Chouppy à Wonderland ?
    2 points
  46. Je pense qu'il s'agit d'un jeu Wii, mais par contre je n'ai aucune idée de ce que c'est !? A moins qu'il s'agit en fait d'un dessin de tiraMISSU fait aux crayons de couleurs. 😄
    2 points
  47. Oui au plus court, c'est ce que m'a dit ma mémé et soutenir l'engagement !
    2 points
  48. Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 delivers an extreme 3D fighting experience, improving upon last year's game with over 150 playable characters, enhanced fighting techniques, beautifully refined effects and shading techniques, making each character's effects more realistic and over 20 battle stages. This is the ultimate chapter in Budokai Tenkaichi series with over 20 new characters that have never been seen in any other Dragon Ball Z video games such as Nail, King Cold and King Vegeta and battle stages that fans will love.
    2 points
  49. Ce tuto est de mauvaise qualité car il ne montre pas comment ajouter un system de dezippage et lancement pour les jeux CD/DVD (PS1, PS2, Saturn, Dreamcast etc...). Ce tuto marche uniquement pour les émulateurs de consoles cartouches qui peuvent faire fonctionner les fichier .zip directement.
    2 points
  50. RomStation

    Skate 3

    skate 3 takes place in the town of Port Carverton. After a failed trick (jumping over the shark statue at the stadium), "The Legend" (which is the player) starts his goal to become a skating mogul. The player works to create a team of skaters that compete against other teams, with a goal to sell a million skateboards.
    2 points
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