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Le petit monde du Shoot'em up.


akumasan

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🔰 Sorti en 1995 sur le Capcom Play System Ⅱ, 19XX : The War Against Destiny fut avant dernier épisode de la grande famille des 19xx et dernier épisode fait maison car 1944 ayant été développé par Raizing, War Against Destiny est sans aucun doute le meilleur volet de cette saga couvrant tous les styles et toutes les périodes du shoot'em up.

 

Un bon vieux diction que Capcom connaît par coeur.

"On ne change pas une recette qui marche."

Ainsi, 19XX reprend les ingrédients qui ont fait le succès de la série :

La mer, le petit avion, les graphismes vintage, etc…

On retrouve ce qui a fait le succès des épisodes précédents.

Néanmoins, finie l’ambiance Seconde Guerre Mondiale, place à une nouvelle ambiance mêlant rétro et futuriste du plus bel effet.

 

C’est le moins que l’on puisse dire, en effet, ce jeu est une véritable révolution dans la série des 19xx.

Tout d’abord, commençons par l’armement, vous disposez de 3 armes différentes :

Mitrailleuse (tir frontal)

Laser (tir frontal plus puissant, mais moins large)

Missiles (tir frontal et en diagonale avant)

 

Rien de neuf, sauf que maintenant, lorsque vous avez une arme, vous la conservez jusqu’à ce que vous trouviez un nouveau power-up, mais si vous reprenez le même power-up, vous augmenterez alors la puissance de votre arme.

C'est du classique, mais c’est radicalement différent au gameplay qu’offraient 1942 et 1943.

A cela, il faut bien sur ajouter l’indispensable bombe et là encore, Capcom innove dans la série en nous proposant la capacité de concentrer vos bombes une bombe concentrée ne compte que comme une bombe lancée :

Maintenez le bouton appuyé, vous aurez alors une jauge qui se remplit.

Une fois pleine, vous avez une bombe de niveau 2, continuez et vous en aurez une de niveau 3 !!!

 

Mais Capcom ne s’est pas arrêté là, une des grosses nouveautés est la concentration du tir :

Vous pouvez concentrer votre tir et lorsqu’il tue un ennemi, il continue sa course et peut ainsi en enchaîner, mais si l’ennemi résiste (comme les boss), il est alors locké durant quelques secondes. Durant ce laps de temps, chaque fois que vous tirerez, vous lâcherez également un tir secondaire qui ira vers cet ennemi, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles stratégies "on lock" le gros puis on canarde les petits.

 

A noter que vous pouvez enchaîner les tirs concentrés sans problèmes.

Enfin, le meilleur pour la fin : vous avez le choix parmi 3 appareils différents !!! Ces derniers se différencient selon 4 caractéristiques :

Power (puissance)

Speed (vitesse)

Homing (tir concentré)

Main Weapon (l’arme principale, vous permet en fait d’avoir une puissance supérieure avec cette dernière par rapport à normalement).

Ainsi, vous avez :

Le Lightning (équilibré)

Le Mosquito (le plus puissant)

Le Sinden (le plus agile)

 

Doté d’un excellent gameplay très riche, 19XX est composé de 7 niveaux qui, à défaut de ne pas être trop difficiles sont bien rythmés et variés.

Les boss n’ont pas encore complètement sombrés dans un délire poupée russe, mais ils sont déjà tous modulables, avec des parties qui s’ajoutent, se démontent, se transforment.

Le boss sous-marin par exemple, se retourne une fois abattu pour présenter son autre face, un redoutable navire.

Le boss locomotive, qui éjecte des douilles géantes très comiques, se fait rajouter sans cesse des modules, canons, lance-bidules, etc.

 

Les amateurs de Gigawing auront remarqué un point commun intéressant entre ces deux jeux, la présence du même ennemi, un mystérieux chasseur noir, servant de fil rouge entre les niveaux et venant regulièrement attaquer le joueur.

La mise en scèe et le sprite étant quasiment identiques, on ne peut qu’y voir un clin d’oeil volontaire de la part de Capcom.

La variété justement, les ennemis et les boss n’en manquent pas, on notera d’ailleurs la présence d’un méchant avion noir qui viendra vous dire bonjour régulièrement.

Les musiques sont toujours plus beaux avec de nouveaux effets spéciaux bien réalisés digne de la CPS-Ⅱ.

Bref, beaucoup de sang neuf (graphismes, musiques, gameplay…) pour ce qui s’avère être le meilleur opus de la série, mais tout en conservant l’esprit de l’original quasi-intact (on regrette juste la capacité à faire des loopings).

 

Pour ce qui est du gameplay, une fois de plus la recette classique des 19xx est inévitablement excellente.

La maniabilité est exemplaire, les vaisseaux ont de plus différentes vitesses suivant le modèle choisi.

La difficulté est plutôt basse, les joueurs novices y verront une excellente approche du genre, les plus expérimentés pourront sans doute le one-crediter sans trop de peine.

 

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🔰 Sorti en 1999 sur le système arcade CPS-Ⅱ GigaWing fut développé par Takumi pour le compte de Capcom, le premier volet des aventures des GigaWings lançait les bases du genre « manic shooter à bouclier », style cher à Takumi, qu’ils développèrent dans des jeux comme Mars Matrix ou la suite de GigaWing.

Une fois n’est pas coutume, le jeu se paye le luxe d’un scénario !
Mis en scène lors de petits dialogue variant suivant le personnage choisi, il raconte en gros la lutte contre un objet étrange et maléfique, le medalion, sorte de pièce d’or géante et visiblement contrariée.
Les levels sont donc une longue course poursuite, avec à chaque bout l’affrontement d’une nouvelle incarnation du vilain bidule doré.

GigaWing propose de choisir parmi 4 pilotes au look manga plutôt réussi, qui ont chacun leur vaisseau particulier, la grosse différence résidant au niveau de l’arme secondaire (homing, gros missile, tir droit…) et de la puissance du tir frontal.
En plus de leurs armes classiques, nos braves GigaWings disposent d’une arme secrète, héritage d’une ancienne et mystérieuse civilisation, la ReflectBarrier laissez le doigt appuyé sur le bouton de tir, et après un court délai (le timing sera un point clé du gameplay) votre vaisseau s’entoure d’un champ vous rendant invulnérable et absorbant les boulettes roses ennemies avant de les renvoyer dans leur direction d’origine.

Un élément très intéressant, donnant un gameplay unique et vraiment agréable, reposant à 100% sur une bonne gestion du timing de la ReflectBarrier pour traverser les passages les plus encombrés.
Et encombré c’est peu dire: si les 2 premiers niveau sont relativement modérés, la suite tient du pur délire, avec ces cataractes démentes de boulettes roses que déverse le moindre petit adversaire.
Le mythique boss final est sans doute d’ailleurs l’un des arrosoirs les plus énormes qu’a pu connaître le monde du shoot'em up.
La difficulté, certes élevée, n’est cependant pas si démente qu’elle pourrait sembler en maîtrisant bien le timing et les bons positionnements, il est humainement possible d’aller jusqu’au boss de fin.
Le vaincre déborde par contre des compétences de l’humanoïde normalement constitué.

Les puristes verront sans doute dans GigaWing les défauts typiques du shooter moderne dont quelques ralentissements par-ci, par-là, gestion des collisions « généreuse » (comme souvent dans les gros manics, la seule partie vulnérable de l’engin est située au niveau des 3 pixels du cockpit) et confusion facilité par le magma monstrueux de sprites, de tirs et d’explosions.

Petit reproche personnel ou alors je n’ai rien compris aux cutscenes en cours de jeu…
La petite histoire mise en place avec l’arrivée du mystérieux ennemi, qui apparaît quand même 3 fois, finit en eau de boudin.
Au final on n’en sait pas plus, le fil rouge est abandonné, c’est assez curieux rectificatif sponsorisé par Cormano.
Il vous faudra en fait finir le jeu en un crédit pour affronter ce vrai boss de fin.

Il n’en reste pas moins que GigaWing est un pilier du genre mêlant dextérité pure, gestion experte du timing et bourrinage de goret avec un équilibre atteint par bien peu d’autres titres.
Un shoot de bourrin axé à 100% sur le fun total ou le but est de tout faire péter dans la joie et la bonne humeur et dans un déluge de flammes.
Une franche réussite.

 

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Le 07/12/2023 à 17:48, akumasan a dit :

moi aussi 😉

 

Difficulté atroce ! par contre de ce que j'ai pu voir le jeu est sorti officieusement sur mame ?, depuis la version de mame 0.240 les jeux comme Akai Katana à disparu de la liste de Mame et ce SaiDaiOujou qui devait normalement être dispo pour la version 0.240 est lui aussi non affichable dans mame et il est officieusement jouable dessus, et la rom étant difficile à trouver qui plus est, il faut télécharger une version de mame débloquée (ou passer par le mode développeur et aller dans les lignes de codes de l'émulateur) pour que ces deux jeux s'affichent et soient jouable... Merci Exa Arcadia pour votre appât du gain....  

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Tiens sinon j'ai une question, je n'arrive pas à trouver les isos fonctionnel de Star parodia et Steam Heart's sur pc Engine, je veux dire j'utilise Magic Engine en passant par ImgDrive pour monter les fichiers Cue et jouer aux jeux, certains dump sont correct, d'autres ne fonctionnent pas, j'ai essayé Planetemu mais si la qualité des dump sont exemplaires sur le site, des dump parfait qui fonctionnent à merveille, il semble qu'il n'y  ai pas tout les isos Pc Engine cd ou même Saturn... C'est vraiment dommage, du coup si vous connaissez un moyen de chopper ces deux jeux je vous en remercie grandement les gars !

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@DagonAzagthoth

 

Je me rappelle l avoir teste, il y a qq tps en le téléchargeant sur RS d ailleurs j avais laissé un petit commentaire 😀

 

J avais utilisé Mednafen d ailleurs je n utilise que cet emulateur pour les jeux PC Engine et PC Engine Cd. Je ne crois pas avoir connu de souci dans son utilisation. Le plus pénible c est la configuration du pad car l interface est plutôt "aride" et pas tres conviviale.

 

N hésite pas à faire un retour sur la résolution et sur le jeu 😉

 

 

 

 

 

 

 

 

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oui j'ai déjà utilisé Mednafen comme émulateur, il est aussi utilisé comme cœur principal pour émuler pas mal de systèmes sur Retroarch d'ailleurs (Beetle), mais comme j'ai trouvé une version craquée de Magic Engine (car il est payant), j'utilise aujourd'hui principalement cet émulateur que j'apprécie beaucoup, l'avantage de Mednafen c'est que oui tu n'as pas besoin de monter les isos avec un lecteur virtuel pour jouer aux jeux cd contrairement à Magic Engine, mais j'ai eu une conversation par mail avec le développeur de Magic Engine (un Français), il se pourrait peut-être qu'à l'occasion, dans un futur plus ou moins lointain ou non, l'émulateur est une mise à jour (la dernière mise à jour date de 2008 quand même) et pourrait enfin lire les jeux cd-rom sans passer par un lecteur virtuel, et aussi encore améliorer l'émulation (qui est déjà juste exemplaire sur cet émulateur) ainsi que d'autres petites améliorations ça et là...

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  • 3 semaines plus tard...

🔰 Sorti en 1992 sur borne d'arcade, Sky Alert est un Shoot 'em up à scrolling vertical crée par Metro.

Dans un genre assez oldies avec de bon gros pixels qui tache mais malgré ça, il est très agréable à l’œil, avec de belles couleurs claquantes, des effets de scrolling rapides et des sprites plutôt de bonne taille, Sky Alert est un shooter sans prétentions, mais qui fait le taf pour son époque.

 

Le jeu offre le choix entre 2 types de vaisseaux, soit le type A ou le type B dont la différence entre les deux est vraiment très subtile.

Tous deux ont deux armes principales qui peuvent être modifiées au cours du jeu ainsi qu'une attaque à la bombe.

 

Le fighter de type A est doté d'un laser soutenu par des bombes au napalm à courte portée et d'une attaque à large portée avec des roquettes à tête chercheuse.

Tandis que le fighter de type B dispose d'un canon vulcain étalé accompagné de missiles et d'un puissant canon automatique avec des missiles étalés.

La gestion des power ups est originale, on change d’arme en survolant des balises « change », et les armes sont changer automatiquement.

 

Le jeu n’est pas trop difficile, même si certains ennemis arrosent pas mal dans tous les sens.

Rien d’exceptionnel dans shoot 'em up somme toute classique, mais le jeu reste plutôt plaisant a faire dans son ensemble.

Sky Alert reste un jeu réserver aux fans du genre ou aux fans de shoot 'em up arcade bien oldies.

 

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Le 09/12/2023 à 09:08, GOONIES a dit :

@DagonAzagthoth

 

Je me rappelle l avoir teste, il y a qq tps en le téléchargeant sur RS d ailleurs j avais laissé un petit commentaire 😀

 

J avais utilisé Mednafen d ailleurs je n utilise que cet emulateur pour les jeux PC Engine et PC Engine Cd. Je ne crois pas avoir connu de souci dans son utilisation. Le plus pénible c est la configuration du pad car l interface est plutôt "aride" et pas tres conviviale.

 

N hésite pas à faire un retour sur la résolution et sur le jeu 😉

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est un peu chiant à configurer Mednafen je trouve, chaque fois il faut configurer la taille de l'écran en passant par Notepad ++, la configuration des manettes est aussi un peu laborieuse, mais l'émulation est de bonne qualité.

 

Tiens sinon je reviens maintenant sur Romstation pour jouer aux émulateurs, assez déçu par Retroarch et son système de playlist qui t'affiche la moitié ou le tiers de tes roms après les avoir scannées, tout ça prend de la place en plus sur ton disque dur, au moins ici tout est stocké dans le cloud et tu as presque tout à disposition, donc pour moi grand retour ici pour jouer et discuter avec la communauté.

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti en 2019, JAMESTOWN+ est un Shoot'em up développé par Final Form Games, une équipe de la scène indé de Philadelphie bourré de talant car nombreux sont les Shoot'em up à voir le jour sur la scène des indépendants, souvent très rétros et parfois obscurs.

Parmi le flot de titres que l'on voit débarquer, certains arrivent clairement à se démarquer en proposant le petit plus qui le rendra attractif pour les néophytes et pour les experts.

Ne tournons pas autour du pot, Final Form Games a réussi à nous créer un petit bijou avec ce Jamestown.

 

L'histoire de Jamestown se déroulera sur Mars, lieu d'affrontements entre colons espagnols et britanniques.

On y incarne un des huit pilotes d'élite pour aller réduire le grand "El conquistador" en cendre dans sa base.

Pour ce faire, cinq niveaux classiques seront à parcourir, proposant chacun une atmosphère différente de toute beauté.

En effet, le côté très arcade du soft lui confère un dynamisme qui flatte la rétine et la palette graphique utilisée donne au titre une ambiance en accord avec son thème pour le moins original. Si on pourra atteindre le troisième stage sans trop de mal, sachez que pour atteindre les niveaux 4 et 5 il faudra avoir terminé les trois premiers en mode légendaire.

Cela requiert un peu d'entrainement et ce palier s'avère au final être plutôt symbolique.

Les deux niveaux supplémentaire sur Mars sont déblocable en cours de jeu.

 

Du côté de la jouabilité, il existe autant de vaisseaux différents que de façons de jouer.

Quatre sont disponibles en version Originale.

Quatre autres en version Armada.

Et les quatre dernier en version Treason.

Soit 12 vaisseaux en tout avec chacun leurs armements et leurs vitesse de déplacements différente.

On s'amusera donc à trouver le pilote qui nous convient le mieux, sachant que ces derniers se distinguent par leur tir secondaire dont voici quelques exemple :

Un immense rayon vertical.

Un tir rapide moins puissant mais orientable dans la direction de son choix.

Des missiles à charger en maintenant la touche d'attaque puis à relâcher, et bien d'autres.

À vous d'orienter votre style de jeu en fonction du vaisseau choisi, sachant qu'il sera possible de jouer jusqu'à 4 en local pour assurer une coopération bien fichue due à la complémentarité de ces capacités.

 

Il sera possible de terminer tous les niveaux de la campagne dans tous les niveaux de difficulté, mais ce n'est pas tout !

Le scoring est un point majeur dans tout bon shoot'em up, c'est donc bien sûr le cas ici aussi. Lorsque vous récupérez des engrenages, vous chargez une jauge de bouclier.

Une fois lancé, ce dernier vous protège quelques instants et la jauge se mettra à se vider progressivement mais attention !

Il sera tout de même possible de continuer à la charger, sans pouvoir vous protéger de nouveau, en récupérant d'avantage d'engrenages.

La subtilité est ici qu'au plus vous arrivez à prolonger ce temps de décharge de la jauge, au plus le bonus de points qui vous sera donné sera grand une fois vidée.

Ce sera donc en abusant de votre skill pour gagner des points que vous pourrez atteindre les cinq étoiles dans chaque stage, encore un défi supplémentaire.

Des missions bonus sont également au programme.

Achetables dans la boutique du jeu grâce à l'or récolté en finissant les niveaux, elles seront l'occasion de réaliser de véritables prouesses.

 

La version "+" de Jamestown propose de parcourir deux niveaux bonus inédits sur Phobos et Déimos les deux Lunes de Mars.

On quitte l'univers militaire pour se concentrer davantage sur un bestiaire extra-terrestre typé insectoïde pour découvrir de nouveaux patterns... et de nouveaux boss !

Très bonne surprise que cet ajout de taille qui brille, encore une fois, de par la qualité de son expérience globale.

Level design, musique, graphisme, rien n'est laissé de côté par Final Form qui nous livre un contenu passionnant encore une fois.

Entre des niveaux magnifiques construits minutieusement et des combats de boss dantesques, vous tenez là un excellent titre qui est un véritable must have pour tout amateur de shmup's !

 

Du challenge, un univers graphique intéressant et soigné, de la diversité dans le gameplay et beaucoup de contenu, que pourrait-on demander de plus ?

Jamestown est un jeu qui peut convenir aux débutants comme aux experts du genre, avec une très grande marge de progression.

L'édition "+" hisse le titre de Final Form encore plus haut tout en conservant le niveau de qualité de l'expérience de jeu, les deux niveaux et quatre vaisseaux s'intègrent parfaitement au jeu de base pour le rendre encore plus passionnant.

Trouvez le vaisseau qui vous convient, apprenez à le maîtriser, c'est parti pour de longues heures de jeu !

JAMESTOWN+ est un jeu solide de base et son portage l’est tout autant.

Une belle opportunité pour découvrir ou redécouvrir un Shoot'em up bien fun, avec du challenge et un peu différent de ce qui se fait encore aujourd’hui.

 

C'est un gros coupe de cœur cette version + c'est fait part des passionne avec quelques belle références. Les stages Phobos et Déimos sont de gros clin d'oeil a Metal Slug !

 

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Le 09/01/2024 à 13:54, Aflow a dit :

Non mais attends @akumasan tu torches ce jeu en 37 minutes ?! C'est ta première fois ?

Non mon Aflow c'est une semaine de préparation avant de faire cette vidéo ^^

Pour faire cette run il faut connaitre par cœur le paterne ennemies qui te fait face.

@ Question :

M'en vais sûrement le prendre lorsque je reverrai mes neveux et leur Switch aux prochaines vacances. 16 balles ça peut le faire.

L@ Réponse :

T'en prive pas car le jeu a une grosse duré de vie, il y a plein de mod et un coop jusqu’à 4 joueurs en même temps. 

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Merci pour vos réponses @GOONIES @akumasan

Akumasan tu me rassures en disant qu'il t'a fallu une semaine de préparation même si je trouve que c'est pas beaucoup... mais tu n'en es pas à ton premier shoot'em'up. Justement quel fut ton premier ?

Et as-tu un job en rapport avec les jeux vidéos ? Ou préfères-tu diriger ton flow uniquement en tant que loisir ?

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🔰 Sorti le 12 Janvier 2024, ce Shmup, par nature, ce Danmaku ou encore ce Bullet Hell a.k.a Shoot'em up est effrontément impitoyables.

Ils nécessitent régulièrement une précision parfaite au pixel près, lorsque vous manœuvrez votre vaisseau à travers des tempêtes de centaines de projectiles.

Sans aucun doute, le dernier effort des développeur de chez Akiragoya déjà derrière Maidens of a Hollow Dream mais surtout de l'énormissime Steel Vampire.

Deux titres magnifiquement masochistes.

Il s’agit d’un jeu dont le niveau de difficulté le plus bas est qualifié de « très difficile » et qui remplit régulièrement son terrain de jeu à scrolling vertical d’un maelström de puissance de feu ennemie.

 

Mais voilà :

Angel at Dusk propose le meilleur tutoriel que j'ai jamais vu dans un jeu de tir.

Les leçons interactives démarrent avec les bases, vous apprenant des rudiments comme déplacer votre vaisseau sur l'écran et comment vos armes sont plus puissantes lorsque vous êtes à côté d'ennemis.

Ce qui est particulièrement agréable, c'est qu'Angel fait généreusement l'éloge, vous faisant sentir comme un poisson dans l'eau pour effectuer des tâches de base.

 

Mais le jeu offre bien plus que de simples flatteries visuel.

Suivez les enseignements d' Angel et vous apprendrez des techniques précieuses telles que le positionnement décalé pour éviter les projections linéaires de projectiles et le déplacement lent pour échapper aux tirs ciblés.

Même si vous êtes un expert, il est difficile de ne pas quitter le didacticiel avec de nouvelles informations.

Akiragoya vous incite à méditer sur leurs game design.

En tant que tel, il est difficile de ne pas apprécier le dévouement du développeur envers le genre.

 

Une fois que vous prenez votre envol dans le ciel d' Angel, les leçons et la loyauté convergent, vous aidant à traverser au moins trois des cinq expéditions par étapes du mode Arcade.

Tout au long du voyage, vous aurez accès à trois capacités différentes.

Votre tir principal jaillit des deux ailes de votre vaisseau en forme de libellule.

En chargeant votre arme lourde, vous accédez à une capacité repoussant les projectiles.

Mais au lieu d’annuler automatiquement les balles ennemies, le heavy d’ Angel ressemble au ki-blast d’un anime de type Shōnen.

Bien sûr, vous pourrez peut-être annuler les décharges des adversaires de niveau intermédiaire. Mais lorsque vous affrontez l'un des plus gros boss, vous ne ferez que repousser quelques projectiles.

 

Le mode Arcade représente Akiragoya offrant une expérience standardisée avec des scores téléchargés dans les classements locaux et en ligne.

Plus intéressant est le mode original du titre, dans lequel les joueurs collectent différentes armes, améliorent leurs attributs et ont accès à une troisième capacité VoM, qui va d'une bombe dévastatrice à la capacité de retrouver de la santé.

Le mode original comporte deux éléments :

Un mode Histoire fixe ainsi qu'un mode Chronique, où votre chemin à travers le jeu bifurque après chaque étape.

Heureusement, il y a ici des combats de boss intéressants dont un où vous êtes au milieu d'un adversaire en rotation que l'on ne trouve nulle part ailleurs.

 

Plus important encore, il y a la longévité, chaque étape récompensant les joueurs avec plusieurs armes possédant sept caractéristiques statistiques différentes.

Bien sûr, dans l'exécution, les armes se répartissent en une poignée de types, mais Angel vous permet de vendre tous les armements inutiles pour vous aider à payer six améliorations de vaisseaux à plusieurs niveaux.

Bien sûr, l'économie avare du jeu signifie que vous franchirez des dizaines d'étapes avant que l'assistance ne soit perceptible.

 

PS: Je ferais une vidéo sur Steel Vampire car c'est lui aussi un autre chef-d'oeuvre signé Akiragoya.

 

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