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Le petit monde du Shoot'em up.


akumasan

Messages recommandés

  • 2 mois plus tard...
  • 3 mois plus tard...

Rien que pour faire plaisir à notre sorcière préférée ( @LaSorciereAuMiroir alias Alice 😅) dont c'est son jeu préféré 😁, mais aussi pour tenter de relancer ce topic laissé à l'abandon 🙄 voici R-Type oui, mais sur PICO-8 😆 jeu jouable en ligne et téléchargeable pour PC.

 

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  • 4 semaines plus tard...

Mazette ! @Bibinou67 nous avait informé du Crocofest 2023 ... on s’est bien tâté avec @Minou33... mais on n’y est pas allé finalement... et on a raté (entre autre) ça ! 

 

Me rappelait pas que Venusia soit aussi peu vêtue dans l’animé 😉

 

Le scrolling est "hyper" fluide pour ce support, bluffant. 

 

#IndieretroNews

 

https://www.indieretronews.com/2023/03/goldorak-versus-new-2-player-demo-by.html

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  • 2 mois plus tard...
il y a 10 minutes, GOONIES a dit :

Tu crois qu il y a un mode 2 joueurs ?

 

Apparemment, il n'y en a pas 😥 mais:

 

- 7 niveaux intenses avec secrets, bonus, boucliers, boss secrets, niveaux secrets (2)
- 3 modes de jeu : ARCADE, HISTOIRE et VERT
- Plus de 20 armes différentes
- Histoire immersive
- Différentes fins

 

-il y aura des mises à jour avec des niveaux et des boss cachés plus tard, en 2023/2024 (gratuitement)

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Il y a 10 heures, GOONIES a dit :

Il a l’air excellent celui ci ça va plaire à @lordpaddle  @akumasan @Minou33

Tu crois qu il y a un mode 2 joueurs ?

 

Shoot un jour Shoot toujours 🙂

 

Vu la démo, y'a l'air d'avoir une difficulté de fou malade!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Et puis shooter en avant et en arrière, c'est hyper chaud à gérer!

 

Trop de sprites tuent les sprites....Je passe mon tour pour celui-là😵

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  • 5 semaines plus tard...

Un très bon shoot peu connu, je le trouve dans l’esprit Thunder Force (ep 3/4) avec réglage vitesse de deplacement du vaisseau. On ne peut pas en revanche selectionner les armes mais elles se bonifient en fonction des power up. 

Une excellente bande son (exploitee depuis le dernier upload), des graphismes fins et chatoyants avec de belles couleurs et des details ainsi qu’une bonne jouabilité. Enfin,  un niveau de difficulté bien dosée.

 

Bari arms (ou Android Assault)  un soft en découvrir sur le Mega CD 🙂

 

 

 

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Le 18/06/2022 à 15:17, GOONIES a dit :

Parce qu’il n’y a pas que les Run N gun et les beat em up, dans ma grotte pour éviter les ..... 42°c à l’ombre, je me suis frotte à Andro Dunos 2 de chez PixerHeart soit disant "le" Shoot revival  Neo Geo de la mort qui tue. Oui oui tout ça tout ça ! 

 

Une bonne surprise, rythmé, nerveux, éclectique,  de nombreuses références a ses illustres aînés, une grande variété de classe d’armes, décors et ennemis.

Un shoot classieux, à l’ancienne avec une très bonne prise en main et jouabilite. Tout ce que j’aime. 

Une belle découverte pour moi. 

 

 

Jaquette-PX-Andro-Dunos-2-Switch-EUR.thumb.jpg.98ee1449d79c05ab54af3c1e8806131b.jpg

 

 

 


Je ne connais pas ce jeu, mais d'après la vidéo de Benzaie sur la Néo-Géo, le jeu est, paraît-il, mauvais.
Ou est-ce que la version Switch est mieux ?

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Il y a 16 heures, GOONIES a dit :

@Kenra2 fais toi ton idée (à toi) ce sera plus simple parce que les goûts et les couleurs ... Benzaie connais pas par contre je connais Banzai et c’est ce que je me dis qd je joue à un shoot 😉

 

Zéro Wing c’est du bon également 😀

Ouais ok

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  • 1 mois plus tard...
  • 1 mois plus tard...

🔰 DoDonPachi : SAI-DAI-ŌJŌ est un shoot 'em up des type Manic Shooter développé et édité par Cave sorti au Japon en 2012 sur borne d'arcade sur le système arcade Cave CV1000.D

Dans le monde de l’arcade, il y a des titres de légende et la saga des DoDonPachi en fait incontestablement partie. La saga DoDonPachi a vu le jour avec un premier opus du nom de DonPachi en 1995 sur le Cave 1st Génération System au format JAMMA, un système d'arcade exploité par Cave jusqu'en 2001.

S’en est suivie alors la parution de cinq autres titres dont DoDonPachi : SAI-DAI-ŌJŌ, qui est le dernier opus de cette saga légendaire.

 

DoDonPachi : SAI-DAI-ŌJŌ reprend quasiment trait pour trait le système de DoDonPachi : Daiōjō.

Détruire des ennemis et récupérer les étoiles qu’ils lâchent fait monter une jauge qui, une fois remplie, vous donne un niveau d’hyper.

Ici, pas besoin d’aller chercher une icône, vous l’obtenez automatiquement.

Avec un hyper en votre possession, le bouton (B) déclenche non pas une bombe, mais un énorme power-up qui annule tous les tirs à l’écran, rend vos tirs surpuissants pendant quelques secondes et fait monter en flèche votre compteur de chaînes.

En contrepartie, le rank global du jeu, indiqué cette fois explicitement à l’écran sous forme de chiffre, augmente.

Il est possible de stocker jusqu’à dix niveaux d’hyper, ce qui en augmente l’efficacité avec un chouette effet visuel dès le niveau six mais aussi l’accroissement de rank.

 

DoDonPachi : SAI-DAI-ŌJŌ se traduit aussi par une volonté de simplification dans le score.

Le système de chaînes propre à la série est toujours présent, mais il a été considérablement assoupli.

Les timings sont plus cléments et un passage à vide entre deux destructions d’ennemis, qui signifiait la remise à zéro de la chaîne dans les épisodes précédents, ne vous fait plus perdre que 30 % de sa valeur.

Il n’est possible de perdre sa chaîne qu’en cas d’autobomb ou en sortie d’hyper mal maîtrisée.

En pratique, passé le stage 2, l’action est suffisamment soutenue pour ne pas avoir à être trop rigoureux sur ses timings.

 

Conséquence de cette volonté de simplification, on pourra regretter un niveau 1 dont on fait finalement le tour assez vite, loin des dizaines d’heures nécessaires pour bien scorer celui de Daiōjō par exemple.

On pourra regretter aussi que comme ses prédécesseurs, Saidaiōjō marche sur la corde raide entre hommage aux épisodes précédents et recyclage sans vergogne d’assets déjà existants comme un Mid-Boss emprunté par-ci, un pattern réutilisé par-là.

 

Saidaiōjō ne propose pas de 2ème loop.

Il se décline en revanche en trois modes de jeu pour chacun des trois vaisseaux disponibles : les modes Shot et Laser se partagent la même difficulté ironiquement appelée « Easy » sur le marquee du jeu, tandis qu’un troisième mode nommé Expert en remet une GROSSE couche niveau patterns improbables, dans la droite lignée des modes Ultra/God de Mushishimesama ou Strong de DoDonPachi DaiFukkatsu Black Label.

 

À ces trois vaisseaux et trois modes s’ajoute le choix d’activer ou non l’autobomb.

Loin de n’être qu’une béquille pour joueur du dimanche, cette aide s’accompagne de plusieurs désavantages. Son activation utilise non pas une bombe mais tout votre stock, son explosion ne dure qu’une seconde là où une bombe manuelle prend bien son temps et surtout, jouer en Autobomb on limite radicalement votre emport. L'autobomb Off peut ainsi avoir jusqu’à six bombes en stock là où un Laser Autobomb on n’en aura jamais plus de deux.

 

DoDonPachi : SAI-DAI-ŌJŌ fait honneur à la série légendaire qu’est Dodonpachi.

En plus d’être un bel hommage envers son vieux père Daiōjō, il remplit avec brio son rôle d’ultime épisode de la saga.

La concrétisation quasi parfaite du gameplay et du scoring est la preuve de toute l’expérience emmagasinée depuis plusieurs années par le studio Cave.

Vous voilà donc face à l’un des meilleurs Manic Shooter de ces dernières années.

 

NB Le prochain DoDonPachi et le dernier de cette saga mythique sera DoDonPachi Resurrection, comme ça la boucle sera bouclée.

Je l'ai aurai tous fait en vidéo.

 

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Sorti en 2016 sur PC, DoDonPachi : Resurrection ou DoDonPachi Dai-Fukkatsu au Japon est la suite directe de DoDonPachi Daiōjō dont il continue le scénario car oui il y a bien un scénario dans DoDonPachi !

Six ans après les événements de DoDonPachi : Daiōjō, alors que la paix semble être rétablie, des anomalies spatio-temporelles sont détectées.

Le colonel Longhena Gottvin, chef de l'escadron DonPachi, décide dans un premier temps de les ignorer, car il ne semble y avoir aucun danger.

Un technicien se penche alors sur l'affaire et découvre que "Les Elemental Dolls", Humains artificiels ont décidé d'anéantir l'humanité dans le passé en guise de punition pour les avoir asservies.

Le colonel ordonne à un navire de transport de revenir à l'année 2008, transportant avec lui trois vaisseaux de combat pour lutter contre cette menace à l'intelligence artificielle.

Cinq poupées géantes et évoluées, "Les Elemental Daughters", vous attendent en guise de Boss de fin de niveaux.

 

DoDonPachi : Resurrection reprend la plupart des bases de la série.

On retrouve le choix habituel de trois vaisseaux :

 

· Le Type A : "Deltasword" (vaisseau rouge) : mouvement rapide, mais tir étroit.

 

· Le Type B : "Biaxe" (vaisseau vert) : tir principal droit, tir secondaire qui s'incline avec le mouvement du vaisseau.

 

· Le Type C : "Spearhead" (vaisseau bleu) : mouvement lent, mais tir large.

 

Chaque vaisseaux dispose de trois modes de jeu :

Une fois votre vaisseau sélectionné, vous aurez le choix entre Bomb, Power et Strong.

 

· Le mode Bomb : Vous aurez beaucoup de bombes et le déclenchement automatique de celles-ci si vous vous faites toucher pour vider l’écran et éviter de mourir.

 

· Le mode Power : Vous n’avez qu’un seule Bombe, mais vous pourrez augmenter la puissance de votre tir d’une simple pression sur un bouton (évidemment pas mal de subtilités de scoring sont liées à ça pour vous éviter de trop en abuser).

 

· Le mode Strong : Mode est une sorte de mix entre les deux, que je conseillerais à tous les débutants, car contrairement à la difficulté Novice, le jeu reste tout de même intéressant.

 

L’autre ajout intéressant est la barre d’Hyper.

En détruisant les ennemis (si possible en étant collé au maximum à eux), cette jauge se remplira et une fois pleine, vous pourrez déclencher un laser surpuissant qui aura la particularité d’éliminer les tirs ennemis, le fameux "Cancel Bullets" et cerise sur le gâteau, toutes ces suppressions s’ajouteront à votre compteur de combos pour atteindre des scores complètement fous !

 

Niveau contenu ce DoDonPachi : Resurrection régal avec huit modes de jeu réellement différents les uns des autres :

 

· Normal 1.51 : un seul loop, le rank augmente beaucoup plus vite, Hyper qui se charge très vite, mais dure moins longtemps, des patterns extrêmement chargés au bout de quelques minutes.

 

· Arrange A : sorte de mix entre Dai-Fukkatsu et Daiōjō, un seul vaisseau possible (le type A en mode Power) et des Hyper qui tombent du haut de l’écran comme dans le précédent épisode.

 

· Arrange B : un score attack niveau par niveau où mieux vous jouerez et plus les niveaux seront difficiles à votre prochain essai (vitesse des tirs, résistance des ennemis, patterns).

 

· Black Label : un seul loop, difficulté liée au mode de tir choisi (très très dur en Strong) et apparition d’une nouvelle jauge appelée Reddo.

Pour le remplir, il faut utiliser simultanément le shot et le laser, ce qui offre une plus grosse puissance de feu, mais plus la barre est haute et plus il y a de boulettes à l’écran et pour scorer un maximum, vous devrez annuler ces tirs.

C’est clairement un mode destiné aux acharnés qui aiment apprendre les niveaux par cœur.

 

· Black Label Arrange : la base reste proche du Black Label auquel on aurait ajouté le système de scoring de Ketsui.

Perso, je me suis vraiment éclaté, je crois que ce mode est encore plus fou que les autres avec encore plus de choses affichées à l’écran si c’était encore possible !

 

Pour conclure DoDonPachi : Resurrection est beau, plaisant à jouer et les huit modes permettent à tous les types de joueurs de s’amuser.

Que vous soyez un débutant total intéressé par les Manic Shooters ou un joueur expérimenté, vous trouverez forcément une variante qui vous conviendra.

Les connaisseurs retrouveront d’ailleurs pas mal de clins d’œil aux précédents jeux du studio notamment Ketsui avec le mode Black Label Arrange reprenant le système de boîtes ainsi qu’à d’autres mythes du shoot 'em up comme Ikaruga, car certains passages vous demanderont d’alterner entre shot et laser pour survivre.

 

Les musiques sans être exceptionnelles sont pour la plupart des remix d’anciens titres qui rappelleront de très bons souvenirs.

 

Pour finir, si vous ne possédez pas ce jeu et que vous aimez les shoot 'em up bien vénère, il n’y a aucune raison de passer à côté de ce must have !

 

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  • 2 semaines plus tard...

🔰 Sorti initialement en 1990 en arcade, le premier épisode de la saga RAIDEN a été développé par Seibu Kaihatsu qui a ensuite passé le relais au studio MOSS.

Le succès de ce shoot’em up à scrolling vertical est immédiat et le jeu s’impose rapidement comme l’un des incontournables du genre.

La recette originale demeure la même au fil des années, les évolutions techniques permettant principalement d’améliorer les graphismes et de multiplier le nombre d’ennemis et de projectiles à l’écran.

RAIDEN Ⅳ, sorti en 2007, puis porté l’année suivante sur Xbox 360 et quelque temps plus tard sur PlayStation 3.

 

Mais qu’est-ce donc que ce “Mikado” ajouté au nom du jeu et qui titille indéniablement notre curiosité ?

Outre le fait que ce titre honorifique définissait les empereurs nippons de l’ancien temps, nous donnant une indication sur cette version qui se veut “ultime” et “de prestige”, nous autres gaijin associons plus naturellement cette image à ce jeu d’adresse traditionnel d’inspiration bouddhiste ou à une célèbre confiserie, cette “petite faiblesse qui vous perdra”.

Dans les deux cas, nous nous rapprochons de la réalité car ce RAIDEN Ⅳ : X MIKADO remix demande une sérénité et une maîtrise de soi à toute épreuve tout en présentant un côté fabuleusement addictif.

 

En fait, le terme fait référence au Mikado Game Center, salle d’arcade rétro gigantesque, presque un musée vidéoludique, dont l’antenne principale est située dans le quartier étudiant de Takadanobaba dans le district de Shinjuku à Tokyo.

 

Elle nous propose une collection absolument dantesque des pépites de l’arcade sur plusieurs étages, l’un d’entre eux étant entièrement dédié aux shoot’em up.

Ce haut lieu de l’excellence old-school organise régulièrement des tournois de VS Fighting ainsi que l’évènement Spring Shooting Festival dédié justement au genre qui nous intéresse. Bénéficier de cette association est ici une grande marque de confiance.

 

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Le projet de ce remake, lancé pour fêter les trente ans de la licence en 2020 s’est accompagné de toute une série de collaborations avec des groupes locaux afin d’offrir à cette version “anniversaire” une bande-son “remix” à la hauteur de l’événement, bourrée de riffs gras et à la rythmique au diapason de l’action proposée.

 

Parmi la brochette d’artistes ayant contribué à cette réorchestration, nous notons la présence de Fantômes Iris, formation spécialisée dans la musique de jeu vidéo et se composant justement d’habitués du Mikado Game Center.

De son côté, le trio d’O.T.K. sévit depuis plus de vingt-cinq ans sur cette frange particulière de la reprise de thèmes vidéoludiques. Enfin, Heavy Metal Raiden, groupe officiel des arrangements musicaux de la série depuis 2011 compte comme guitariste… le gérant de la salle.

La boucle est bouclée.

 

Du côté des Options, il est possible de régler le nombre de vies par crédit et de bombes disponibles par vie, remapper les touches sur les différents boutons de la manette, un pour le tir, un pour les bombes, huit boutons, le choix est très ouvert, opter pour la bande-son originale ou remixée et régler les diverses options d’affichage.

 

Les modèles de vaisseau disponibles sont :

Le Fighting Thunder ME02, anguleux et incisif, est le plus facile à prendre en main.

Le MK-II propose une expérience “à l’ancienne” avec des bombes à retardement et à aire d’effet réduite ainsi qu’un design très rondouillard et la Fée, initialement un bonus rare en jeu, bénéficie de versions “magiques” des différentes armes.

Si balancer des bulles violettes, des fleurs au pollen virevoltant et des feuilles autoguidées fait partie de vos plaisirs coupables, nous ne vous jugeons pas.

Mais nous vous invitons vivement à vous intéresser à un certain MushihimeSama, qui correspond sans doute mieux à vos aspirations champêtres et naturalistes.

 

RAIDEN Ⅳ : X MIKADO remix ne s’adresse clairement pas aux pilotes du dimanche à qui l’on conseillera plutôt des titres plus abordables et probablement beaucoup moins frustrants en matière de complétion.

Sauver la Terre est un business terriblement sérieux depuis les années 80.

Cet épisode de la foudroyante licence ne se laisse pas facilement dompter et nous rappelle avec morgue et style que seuls l’entraînement et la persévérance sont les clés du succès.

Il est bien entendu possible de se frotter à l’invasion extraterrestre avec les curseurs au minimum, mais dévoyer ainsi le challenge proposé reviendrait à gâcher tout ce qui fait le sel et le piment du jeu.

 

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