Jump to content
Download RomStation

GOONIES

Recommended Posts

🔰 Sorti en 2013, CALL OF JUAREZ : Gunslinger est le quatrième et dernier opus de la saga.
Le jeu aurait très bien pu s’appeler le "Western pour les Nuls" car son scénario nous propose de revisiter la culture américaine grâce à la narration de son personnage principal, Silas Greaves, que vous allez incarner tout au long des quatorze chapitres qui composent l’aventure.
Le jeu a un gameplay ultra nerveux très typé arcade, un humour qui fait mouche, une mise en scène très originale pour un FPS, des graphismes en Cell Shading vraiment réussis soutenus par un moteur graphique en béton armé, une excellente OST tant pour les musiques que pour les sons des armes, et avec un personnage ultra charismatique, tout ça dans un univers western, ce qui se fait rare de nos jours dans un jeu vidéo.

 

C’est donc la Conquête de l’Ouest qui est au cœur de l’intrigue, car notre héros, ancien chasseur de primes, évoque ses rencontres avec les plus célèbres protagonistes du grand banditisme de l’époque comme, Butch Cassidy, Jessie James, Sundance Kid, Billy The Kid ou encore les frères Dalton.
Ces noms vous sont forcément familiers et CALL OF JUAREZ : Gunslinger rend un bien bel hommage à cette période de l’histoire américaine tant et si bien qu’il n’y a quasiment plus de rapport entre cet opus et les épisodes précédents.
Comme si Techland faisait à la fois table rase du passé pour repartir sur de nouvelles bases, beaucoup plus arcades cette fois-ci.

 

CALL OF JUAREZ : Gunslinger retrace l'histoire de Silas Greaves, un chasseur de prime qui commence à raconter ses mémoires à son public.
Les rumeurs aidant Silas va, à de nombreuses reprises, réécrire son histoire ou changer quelques données afin de surprendre son auditoire ou tout simplement rétablir la vérité.
Notre chasseur de primes nous fera rencontrer par ses aventures des pointures telles que Billy the Kid, Pat Garrett, Jesse James ou encore Butch Cassidy.
Si les récits du héros sont fictifs, Techland a pensé aux amoureux d'Histoire en proposant les « pépites de vérité ».
Ces objets cachés dans les niveaux nous en apprendront plus sur les personnages, mais aussi les événements réels dont le jeu a pu s'inspirer.
Une excellente mine d'informations qui ravira les amoureux du Far-West.
On ne peut que féliciter le studio polonais pour cette initiative très alléchante et qui poussera les joueurs curieux à refaire les niveaux pour trouver toutes ces pépites.

 

En tant que défouloir résolument tourné vers « l'arcade », chaque action vous rapportera des points. À chaque fin de niveau vous aurez ainsi un score.
À vous de devenir meilleur que Lucky Luke et d'obtenir les meilleurs scores possibles.
Mais ces points ont une utilité toute particulière.
Ainsi, vous pourrez grâce à eux débloquer de nouvelles compétences et affiner votre style via trois styles de compétences :
-Pistolero.
-Trappeur.
-Ranger.
Une excellente idée qui manque cependant d'un peu de répercussions sur la façon de jouer.

 

Les Gunfight sont intense et jubilatoires et le lock semi-automatique nous permet de ce plonger encore plus dans cette frénésie de shoot à la sauce Far-West.
Le fameux « ralenti » de la série, ou Bullet-Time pour les initiés, est bien entendu de retour et permettra, avec un peu d’entraînement, d'enchaîner les morts.

 

Mais que serait le Far-West sans ses fameux duel à la façon du film Mort ou vif ?
Pas grand chose, du moins dans la culture populaire.
C'est pourquoi les développeurs nous proposent à nouveau ces fameux duels.
Que vous aurez la possibilité de gagner à la loyale ou simplement en dégainant le premier.
Pas très classe, mais très efficace.
Ces duels sont l'occasion d'offrir un gameplay spécifique, basé sur la « concentration » et la précision, mais avec une maniabilité un peu délicate qui risque malheureusement, d'en faire fuir certains.

 

Côté réalisation, Techland a repris son moteur maison, le Chrome Engine 5, le même moteur utilisé dans Dead Island, mais passé en mode Cell Shading.
Le résultat est plutôt sympathique, sans non plus être renversant.
On appréciera cependant les subtiles variations de décors qui donnent un peu moins l'impression de voir toujours le même désert.

 

Étrangement, ce dernier opus de la série CALL OF JUAREZ est uniquement en VOSTFR.
Si le travail des doubleurs est excellent, chapeau bas au doubleur de Silas Greaves parfait dans son rôle, on perd la moitié des dialogues en jouant au jeu.
Comme je l'ai dit plus haut, la bande son est agréable et de qualité, tout en collant bien à l'ambiance.
Néanmoins, ce n'est pas du Ennio Morricone, faut pas déconner !

Au final, ce CALL OF JUAREZ : Gunslinger est un FPS que j'aime beaucoup.
Ubisoft et Techland rattrapent le coup avec une ambiance diablement efficace.
Un bon moyen de redonner des couleurs à la licence et de lui offrir un futur peut-être jonché de cadavres et de douilles !
Bien entendu, le titre n'est pas exempt de défauts, et c'est surtout sa très grande répétitivité qui pourrait décevoir certain joueurs.

 

Link to comment
Share on other sites

Ohhhhh yeeaaaahhhh  !!!! Depuis le temps qu on l attend Je vais "essayer de l'essayer" également si mon emploi du temps de ministre me le permet !!! Vivement ta video dessus 😀 et ca donne quoi ? aussi bien que la demo / version bêta à laquelle on avait joué ? 

Puree tu as assure en moins de 2h t as "plie le Game", Aku, un vrai tireur d Élite !!! 

 

Link to comment
Share on other sites

Il y a 6 heures, GOONIES a dit :

Vivement ta video dessus 😀 et ca donne quoi ?

Et bien ça donne que c'est un très bon Contra-like.

Je l'ai juste trouver trop court, 9 Stages c'est un peu léger, en rushent le jeu, il ce fini en 1 heure gros max.

Mais Iron Meat a une bonne rejouabilité car il y a pas mal de petites choses a débloqué.

J'ai déjà enregistré une première partie ce matin et j’enregistrais la seconde partie ce soir.

Je ferai le montage vidéo demain pour regroupé les deux parties en une seule vidéo pour ce week-end. ^^  

Link to comment
Share on other sites

@akumasan je viens de l essayer une petite heure je vous ferai un retour qd j aurais un peu de temps ️  rapidement bon kiff' la demo de ... 2022 ... deja... n est pas remise en cause ce qui est bcp pour moi car j avais une grosse attente  😉  un jeu à partager avec son @Minou33 car bien souvent... à 2 c'est bcp mieux !!! (A davantage aussi mais ça plaît pas à tout le monde ... aucun sous entendu s il vous plait)

Link to comment
Share on other sites

il y a 8 minutes, GOONIES a dit :

@akumasan je viens de l essayer une petite heure je vous ferai un retour qd j aurais un peu de temps ️  rapidement bon kiff' la demo de ... 2022 ... deja... n est pas remise en cause ce qui est bcp pour moi car j avais une grosse attente  😉  un jeu à partager avec son @Minou33 car bien souvent... à 2 c'est bcp mieux !!! (A davantage aussi mais ça plaît pas à tout le monde ... aucun sous entendu s il vous plait)

Tu parle la Demo ?

Moi je parle du jeu complet mon GOONIES.

Link to comment
Share on other sites

🔰 Sorti le 26/09/2024 IRON MEAT est un excellent Run and Gun ou Contra-like comme l’excellent Blazing Chrome sorti en 2019.
Vous êtes en manque d’action frénétique en 2D et de difficulté à l’ancienne ?
Alors IRON MEAT pourrait bien vous séduire !
Le jeu fut développé par Ivan Valeryevich Suvorov & Retroware, le jeu nous met aux commandes d’un super soldat qui va devoir stopper une menace monstrueuse venant de la lune.
Au programme, du Run and Gun, de la plateforme, du mitraillage en règle et grosses explosions.

 

Voici le pitch du jeu :
Yuri Markov est un scientifique talentueux, le problème c’est qu’il se sert de ses neurones pour mener des expériences dangereuses.
Une de celles-ci, The Meat, parvient à s’échapper du laboratoire lunaire, empruntant le portail qui mène sur terre.
Capable de prendre le contrôle de la matière vivante comme inerte, The Meat se répand désormais à une vitesse prodigieuse et personne ne semble pouvoir enrayer sa progression.
Personne vraiment ?
C’est sans compter Vadim, le super soldat que le joueur va diriger !
Avec son gros gun futuriste dans les mains et oui parfois, c’est la taille qui compte !
Vadim va devoir traverser 9 niveaux afin de sauver le monde.
Trois modes de difficulté sont de la partie, à savoir facile, normal et difficile pour les masochistes. Vous avez également la possibilité de parcourir l’aventure en solo ou en coopération à deux joueurs en local, car comme on dit, plus on est de fous plus on rit.
Et puis après tout mourir ensemble c’est mieux non ?
Car oui, comme vous l’imaginez, si vous connaissez ce style de jeu, vous allez en baver !
Quoi que, pas tant que ça au final.

 

En effet, contrairement à de nombreux jeux du genre, IRON MEAT est assez généreux avec le joueur, en lui donnant d’office un grand nombre de vies dès le départ.
En sachant qu’on en regagne même de temps en temps en jeu.
Oui, ça change d’un Contra avec deux ou trois vies avant un Game Over !
Résultat, même en normal, on parvient à s’en tirer assez « facilement » si on est habitués à ce type de jeu.
Il ne vous faudra d’ailleurs guère plus d'une heure pour terminer la campagne.
Une durée de vie qui peut paraître assez courte, mais pourtant tout à fait dans la norme pour un Run and Gun.
Et bonne surprise, le joueur peut déverrouiller du contenu, à savoir des skins parfois assez drôles comme le costume banane, afin de varier le look de son personnage. (de mon côté, j'ai choisi le Black Beret)
Pour cela, il faudra accumuler des points qui permettent de faire grimper la jauge d’un classement. Plus vous tuerez d’ennemis par niveaux, moins vous perdrez de vies et plus cette jauge montera rapidement.
De quoi augmenter d’un cran la durée de vie donc pour qui veut tout débloquer.

 

Au niveau du gameplay, notre soldat peut tirer dans plusieurs directions, y compris en diagonale, ainsi que lors des sauts, et même en étant allongé sur le sol.
Comme dans Contra, on peut collecter des Power-Up ainsi que de nouvelles armes.
Il est d’ailleurs possible de switcher entre deux armes en jeu, ce qui permet notamment d’éviter de perdre votre arme de prédilection si vous voyez que vous allez mourir.
En plus des dizaines d’ennemis qui arrivent dans toutes les directions y compris dans votre dos, les niveaux se terminent toujours par un boss, qui est d’ailleurs souvent impressionnant.
Cependant, on finit vite par mémoriser les patterns, et on s’en sort plutôt bien même du premier coup pour peu que l’on possède assez de vies en stock.
Surtout que le jeu n’est jamais injuste, malgré le respawn parfois de certains ennemis y compris dans notre dos.
Si on ajoute à cela une très bonne maniabilité, IRON MEAT est en définitif un Run and Gun accès accessible même aux néophytes du genre.

 

Avec ses jolis graphismes 2D très fouillés, le jeu de Retroware met clairement des étoiles dans les yeux des amateurs de jeux rétro.
Les environnements sont de plus variés et fourmillent de petits détails y compris en arrière-plan.
La mise en scène est aussi particulièrement efficace, avec de nombreux événements se déroulant durant les niveaux comme ces chutes d’immeubles et autres explosions dans tous les sens.
Mais impossible de se quitter sans évoquer la bande-son du jeu, franchement réussie.
Avec ses sonorités rock/métal, les musiques du jeu sont très entrainantes, dynamiques, et ajoutent encore un peu plus de peps à l’action.

 

Dans la veine d’un Contra ou du plus récent Blazing Chrome, IRON MEAT est un excellent Run and Gun qui captivera sans nul doute les amateurs de jeu d’action 2D à l’ancienne.
Assez accessible grâce à ses trois difficultés au choix et un grand nombre de vies par niveaux, IRON MEAT s’adresse aussi aux néophytes du genre.
On a donc bien du mal à trouver des défauts au jeu de Retroware hormis son côté un peu gore qui ne plaira pas à tout le monde et un certain manque de surprises pour les habitués du genre.
Pour le reste, que ce soit côté graphismes, bande-son, ou encore question maniabilité, le jeu frôle le sans-faute.

 

Link to comment
Share on other sites

  • 2 weeks later...
il y a 10 minutes, GOONIES a dit :

...n’hésite pas à nous faire un Let's Play dont tu as le secret ! 

Je te ferai ça, mon GOONIES, un let's play de 45mn pour vous montrer le jeu dans ces grandes lignes.

Par-contre, vu que Prison City est un jeu néo-rétro, je ne peux que le comparer à IRON MEAT, Blazing Chrome ou encore Huntdown.

Et là, Prison City, au niveau gameplay, est carrément en dessous.

Mais j’expliquais pourquoi dans la description. 

Link to comment
Share on other sites

×
×
  • Create New...