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Histoire D'un Empire - Sony Computer | Partie 1 - La PlayStation


Lighto

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Depuis son incursion dans le marché du jeu vidéo en 1995 avec la PlayStation, Sony s'est rapidement imposé comme un puissant leader du jeu vidéo. Symbole d'un changement drastique, la PlayStation à littéralement bouleversé le milieux grâce à une politique agressive et sans pitié. Divisé en trois parties, le dossier portera sur le parcours vidéo-ludique de la puissante entreprise nippone !

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- Préambule.

Avant de commencer il est important de savoir que Sony est une société multinational d'origine japonaise, divisé en plusieurs branches bien distincte l'une de l'autre. Cela permet à l'entreprise de varier ses activités dans divers milieux tels que la musique, le cinéma ou encore le jeux vidéo.

- Sony Corporation : Maison mère de la société, dirigé aujourd'hui par Kazuo Hirai.

- Sony Music Entertainement : Le label musicale de la marque.

- Sony Picture Entertainement : Spécialisé dans les films.

- Sony Computer Entertainement : En charge de l'édition des jeux-vidéo, mais surtout du développement de nouveaux hardwares sous la marque PlayStation.

A une époque où Nintendo et SEGA se partageaient encore le monde, nos deux compères étaient loin de s'imaginer que le milieux se transformerait bientôt en une industrie où chiffre et profit seront d'une importance capitale pour espérer survivre.

Fort d'une puissance marketing dévastatrice, Sony est portant bel et bien prédestiné à réduire au silence tous ses concurrents.

- Alliance funèbre.

Début des années nonante, les consoles de jeux 16-BIT se démocratisent pleinement. La MegaDrive est numéro un sur le classement mondial et Nintendo s'apprête alors à répliquer contre SEGA avec la Super-NES.

Alors que cette dernière est toujours en développement, les ingénieurs à la tête du projet lancent un appel à diverses sociétés spécialisé dans l'électronique pour doté la machine du meilleur hardware possible. Sony répond à la demande et se charge de produire le processeur audio de la bête.

Le travail est confier à Ken Kutaragi qui a pour mission de créer une pièce qui puisse fournir à la SNES une qualité sonore jamais égalé jusqu'à présent. C'est ainsi qu'il conçoit le SPC-600 qui équipera les premières SNES de Nintendo.

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- Coup de p* et trahison.

Peu de temps après la sortie de la SNES, SEGA dévoile un add-on qui permettra à la MegaDrive de lire des jeux sur le nouveau média à la mode : le CD-ROM. Nintendo entend faire de même pour son nouveau bébé et convoque à nouveau Sony pour créer cette extension.

Surnommé dans un premier temps "le Super-Drive", le prototype portera le nom définitif de "Play-Station" (le nom est alors composé en deux). Ken Kutaragi prend à nouveau les directives de ce projet et présente rapidement une première version de l'hybride lors du Consumer Electronics Show de 1991, situé à Las Vegas (salon d'exposition similaire à L'E3 de nos jours).

Le lendemain de la conférence, Nintendo déclare publiquement sur son stand que ce sera finalement Phillips qui se chargera de produire la fameuse extension. Cette décision est prise par Nintendo sans le consentement de Sony. Pour Kutaragi et ses partenaires c'est l'incompréhension. Atteint violemment dans leur fierté, ils sont même humilier face à la presse ainsi que les différentes personnalité du salon.

La raison de leur revendication est pourtant simple : Si l'ont se penche sur le contrat qui liait les deux sociétés, il est stipulé que Nintendo gagnerait les royalties engrangé par le support cartouche, tandis que Sony récolterais tous les bénéfices que rapporterais l'extension CD ! Selon la légende, ce derniers point sur le contrat aurait échappé au dirigeant de Nintendo (Hiroshi Yamauchi) qui se rétracte donc à la dernière minutes. Il était hors de question de partager les revenus software avec Sony !

Par ailleurs, le partenariat avec Phillips leur donnera le droit de développer deux jeux exclusif pour leur support. Mais suite à l'échec commerciale du MEGA-CD, Nintendo laisse purement et simplement tomber le développement de son extension. Toutefois, Phillips continuera seul la conception de son add-on pour créer une console de jeu autonome, le CD-I, et gardera le droit de produire deux jeux Nintendo de triste réputation : "Zelda Face of Evil" et "Hotel Mario".

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- Survivre dans la précarité.

Quelque peu aigris par l'attitude de Nintendo, Ken Kutaragi est malgré tout déterminer à poursuivre son projet. Il obtient par ailleurs le soutien du président de l'époque : Norio Ogha, également outragé d'être ainsi trahis par ce qu'il désigne comme "un fabricant de jouet".

Cependant les actionnaires de Sony Corporation sont totalement opposé à cette idée. Se lancer dans la guerre des consoles contre un géant aussi bien implanté tel que Nintendo était chose risquée. Si en plus ils se faisaient battre par "un fabricant de jouet" ce serait l'humiliation pour la société ! Kutaragi a donc pour mission de convaincre ses actionnaires de poursuivre son projet. Ce dernier finit par obtenir l'aval de ses supérieurs, mais il devra oeuvrer sans leur soutient !

Sans aucune base dans le software et aucune crédibilité auprès des éditeurs tiers, il est décidé que Kutaragi développera la console avec l'aide de Sony Musique (ces derniers ayant déjà participé au développement de jeux vidéo par le passé). Une occasion rêvé pour le vice président de la branche musicale de la société (Shigeo Maruyama) de prendre sa revanche sur Nintendo puisque le bonhomme s'est également fait dénigrer par l'entreprise, dans le passé, suite à une proposition de partenariat qui fut rejeté !

Les moyens financiers ainsi que les conditions de travail sont épouvantable pour l'équipe de Kutaragi, mais ils croient en leur projet et persévère plus que jamais. Les premières négociations avec les éditeurs tiers commencent dès l'année 1993. SquareSoft se montre par ailleurs très intéressé par le support CD qui équipera la console. Après de long mois de travail difficile et plusieurs prototype, la Playstation est enfin prête !

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- La Playstation.

Elle fait son entrée au Japon le 3 décembre 1994 avec 3 jeux pour son lancement. Le logo de la machine est pensé est réalisé par Manobo Sakamoto. Dans un premier temps les Japonnais restent dubitatif et privilégie la Saturn de SEGA qui jouit d'un lancement plutôt réussi et d'une notoriété héritée des nombreuse salle d'arcade de la société à Tokyo. Toutefois les fêtes de fin d'année inverse légèrement la tendance en faveur de la Playstation, beaucoup mieux garnis en terme de software.

C'est au cours de L'E3 de 1995 à Los Angeles que la PlayStation va réellement prendre de la valeur auprès des joueurs... Non loin du stand de son futur bourreau, SEGA déclare que la Saturn sera commercialisé dans seulement deux jours (soit trois mois avant la sortie initial de la console) au prix de 399$, cela, dans le but de damer le pion à son principal concurrent, Sony.

Le jour suivant, ces derniers déclarent que la PlayStation sera disponible pour le prix de 299$ dans tout juste trois mois. Cela suffit à faire hésiter les gamers indécis quant à l'achat d'une Saturn, deux fois plus chère que la PlayStation !

Sony profite de cette popularité soudaine, et continue d'impressionner la presse avec les démo' technique de Ridge Racer, Weap-out et Tekken, démontrant les capacités 3D incroyable de la PlayStation.

Sur le stand de Nintendo, c'est le désastre. La présentation du Virtual Boy ne convainc personne. Cet étrange périphérique deviendra quelque mois plus tard un terrible échec commerciale pour la firme de Kyoto...

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- Le glas de la vengeance.

Le 9 septembre 1995 la PlayStation arrive aux Etats-Unis. Le succès est au rendez-vous grâce à une ludothèque de jeu déjà très étoffé. Sony ne lésine pas sur la publicité et joue de sa toute puissance marketing en faisant notamment usage de l'auto-dérision. Tous le monde se souvient des spots publicitaire du CAP (comité anti-PlayStation).

Devant le mutisme médiatique de SEGA et le manque de jeu crucial sur leur support, la Saturn perd très vite en crédibilité. Ne parlons par du public européen complètement délaissé par la firme, endetté et trop occupé à veiller à la prospérité de son hardware au Japon (seul marché où SEGA fait match égale avec la PlayStation).

Kutaragi va donc conseiller Sony de se montrer plus attentif quant à l'Europe, qui représente des parts de marché non négligeable. Sony rachète donc plusieurs studio, en Angleterre, dont le célèbre Psygonosis conférant ainsi des jeux d'une excellente qualité pour le lancement européen !

L'année 1997 sera une date déterminante dans la prise de pouvoir de Sony Computer :

Tout d'abord, SquareSoft brise son contrat d'exclusivité avec Nintendo relative à la série Final Fantasy. Sakaguchi justifie son choix par la capacité importante des CD-ROM, bien plus adapté à leur ambitions que le maigre support cartouche de la Nintendo 64 (Nintendo ayant dénigrer le CD). Le président de Nintendo prend très mal cette décision et va interdire SquareSoft de développer sur leur prochaines consoles de jeu ! Il faudra attendre l'arrivé de Satoru Iwata en 2004 à la présidence, pour revoir un Final Fantasy sur une console Nintendo.

Au Japon, comme partout ailleurs, l'annonce de Final Fantasy VII sur la PlayStation va définitivement sceller le destin de la Saturn vers une mort certain. SEGA est contraint d'abandonner la console en 1998 pour se concentrer sur d'autre projets...

Quant à Nintendo, ils sont désormais sous l'égide de la toute puissance de Sony. Si d'excellent titre sauve la mise tel que Zelda Ocarina Of Time, Mario 64 ou encore 007 Golden Eye, la Nintendo 64 représente la pire période de l'histoire de Nintendo, voué à vivre dans l'ombre d'une entité qu'ils ont jadis trahis et sous-estimé.

En 2007, Sony déclare avoir vendu plus de 103 000 000 de console PlayStation à travers le monde. La production du support cesse officiellement en le 23 Mars 2006.

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- Quelques jeux mémorables

Final Fantasy VII - 1997

Premier épisode de la trilogie débuté sur PlayStation, c'est aussi le premier RPG japonais à intégralement traduit en français. Si celle-ci est des plus douteuse il reste le premier jeu de rôle de beaucoup de français. Sur le plan technique le jeu est aussi très impressionnant, notamment grâce aux fameuses cinématique réalisée en image de synthèse !

Crash Bandicoot - 1996

C'est un peu la mascotte non officiel de Sony. Développé par Naughty-Dog, il s'agit d'un jeu de plate-forme qui a révolutionné le genre grâce à l'accouplement des plans 2D et 3D parfaitement bien maîtrisé. Le jeu met en scène Crash, une sorte de marsupial complètement dérangé. Plusieurs suite ont été développé dont un spin-off qui rivalise sans problème avec le légendaire Mario Kart de Nintendo !

Tekken - 1995

Certainement le jeu de baston le plus connu à l'heure actuelle au côté du célèbre Streets Fighter de Capcom. Développé par Namco, c'est le second jeu de baston de l'histoire du jeu vidéo (après Virtua Fighter 2) à proposer des personnages en 3D texturé.

Metal Gear Solid - 1998

Le génie de Hideo Kojima ne vous est certainement pas inconnus. C'est en effet l'auteur des aventure de Solid Snake sur PlayStation. Développé par Konami, il s'agit un jeu d'infiltration au scénario très recherché. Le soft est doté d'une réalisation absolument blufante et remarquable pour l'époque. Le jeu a su réunir bon nombre d'adepte depuis cet épisode.

Gran Turismo -1998

On ne présente plus cette licence qui est la première véritable simulation de voiture de course. Le premier épisode est en effet apparus sur la PlayStation, développé par Polyphony Digital, une structure interne de Sony. Le jeu s'est écoulé à plus de 10 millions d'exemplaire à travers le monde.

- Conclusions

Arrivé de nul part, et sans aucune expérience préalable, personne n'aurait pensé que le géant de la Hi-Fi arriverait à s'imposer dans un secteur aussi concurrentiel que le jeu vidéo. Beaucoup s'y sont essayer, et nombreux ont succombé face à la toute puissance de Nintendo et de SEGA. Sony fut le seul constructeur qui a su remettre les pendule à l'heure.

Ils ont indéniablement bouleversé les fondements de l'industrie vidéo-ludique et la meilleur preuve est qu'ils ont réussi à détruire la notion de mascotte instauré par ses rivaux. Leur image de marque est un simple nom surmonté d'un simple logo : La PlayStation.

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Invité vernes

Bon dossier Lighto mais il y a quelques erreurs , FFVII n'est absolument pas le premier RPG à franchir les frontières du Japon, on a quelques RPG distribués en français bien avant lui ^^' que ce soit sur SNIN , NES ou même megadrive ^^' . Et qualifier Metal Gear Solid de premier opus pose problème aussi ^^' .

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Autant pour moi je vais corriger ces informations, je crois que je me suis mélanger les pinceau, ce serait pas le premier FF a vraiment quitter les frontières du japon alors ? Enfin il me semble qu'ils y en a quelqu'un qui ont été publier aux states je ne sais plus, si tu pouvais m'éclairer sur le sujet ce serait top ^ ^

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Invité vernes

FFVII est bien le premier FF a être traduit officiellement en français ^^ par contre aux states 3 FF sont sortis avant même si remaniés au niveau de la difficulé ^^ . Il suffit de savoir que FF VI est connu comme FFIII aux states , c'est facile pour moi j'ai la boite et le jeu :cool: . Pour un RPG traduit en français il suffit de penser à secret of mana, evermore , illusion of time etc ... ^^ .

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Il m'avait bien semblé que FF VII avait introduit quelque chose de spécifique, mais j'ai complètement mélangé mes idées et je n'ai pas prit la peine de vérifier ce que je racontait, tellement j'étais sûr de moi. Ca m'apprendra u.u

Merci pour ces compléments d'information, et surtout de m'avoir corriger, Vernes *-*

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Malgré les fautes ici et là, c'est un dossier de la bonne taille et clair pour le sujet abordé. Juste une phrase qui me fait tiquer un peu :

" Sony est portant bel et bien prédestiné à réduire au silence tous ses concurrents." Je ne nie pas le succès de Sony mais les concurrents sont toujours là, tout de même. Par contre, c'est vrai que Nintendo a eu le don d'accumuler de mauvaises décisions... Imaginez seulement s'ils avaient choisi le CD et que les FF soient restés une exclusivité Nintendo !

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C'est vrai, c'est peut-être un peu fort de dire que Sony les a réduit au silence... Mais si on se penche sur le total de N64 vendus à travers le monde entier, c'est vraiment lamentable en comparaison des ventes effectué par la PlayStation. Et ne parlons pas de la pauvre Saturn ! C'est une sacré raclée que Sony leur a infligé.

Si Nintendo n'avait pas eu Zelda et Mario pour sauver ses miches, ou encore les Pokémon sur GameBoy ils auraient peut-être subi le même sort que SEGA.

Enfin, Sony est tout de même resté numéro pendent au moins 15 ans, avant que Nintendo ne reprenne le trône avec la wii. Ils avaient le monopole et la plupart des meilleurs jeux leur étaient exclusif

Moi aussi je suis très curieux de savoir qu'elle aurait été le visage du jeu vidéo si Nintendo n'avait pas mit fin au contrat. Peut-être que SEGA serait toujours là, peut-être qu'il n'y aurait pas eu Sony et Microsoft...

Navré pour les fautes, j'essaie de les corriger par moi même pour progresser ><

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Ah, là je peux tout lire. x)

Dossier très sympathique et instructif, c'est vrai qu'ils sont arrivés comme un cheveux sur la soupe, et pourtant ils s'en sont admirablement tiré. Il faut dire qu'il sont arrivé à la bonne génération, entre Nintendo et sa piteuse N64 ,qui possède probablement une des pires manettes de l'histoire du jeux vidéo et un support vieillissant, et la Saturn très chère et pas assez orienté vers la 3D, la concurrence était loin d'être rude. Après, une fois la machine lancé, la marque a fait une grosse part du travail pour les générations suivante : avoir écrit PlayStation sur sa console, aujourd'hui, ça fait vendre.

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Très bon dossier Lighto, pour ne pas changé^^. En gros si Nintendo n'avait pas fait le "con" avec le contrat ont auraient peut être jamais eu le droit de joué à la Ps1, Merci Nintendo !!! :p.

Bon par contre je dois te tuer Lighto désoler, tu n'as pas parler de Suikoden, qui est juste ( pour moi ) le meilleur RPG , après FF8, de la Ps1.

PS : certain paragraphe, ne sont pas dans la même police que le reste de ton dossier, nottament dans le paragraphe Alliance funèbre, et Playsation.

Petite faute de frappe aussi dans le paragraphe " survivre dans la précarité" ( ces derneirs ayant déjà participé au développement )

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Merci à toi, j'ai eu un horrible bug hier qui a effacer le texte d'origine, il a donc fallut que je réorganise le topic. Ce doit être pour ça que la police ne suit pas... u.u

J'aurais pu parler de beaucoup d'autre jeux c'est vrai, mais j'ai vraiment cité les plus culte, histoire de bien mettre en avant les jeux phare de la console ! Mes excuses n.n'

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Invité VersusKuro

Superbe dossier, je regrette juste la chute de Saturne

Je regrette aussi le fait que la Dreamcast, console ultime, soit restée dans l'ombre de la ps1, de la N64, alors qu'elle avait presque les capacités d'une ps2 (sortie bien après la dreamcast)

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Pourquoi ne pas m'avoir tué avant le soir d'Halloween si c'était par plaisir, j'aurais pu revivre dans la nuit du 31 comme si de rien n'était :noel:

Superbe dossier, je regrette juste la chute de Saturne

Je regrette aussi le fait que la Dreamcast, console ultime, soit restée dans l'ombre de la ps1, de la N64, alors qu'elle avait presque les capacités d'une ps2 (sortie bien après la dreamcast)

Attention, la Dreamcast ne joue pas du tout dans la même cours que la PS1 ou la N64, qui font partie de la cinquième génération de console. La Dreamcast appartient à la même époque que la PS2, la Gamecube et la XBox. Les gens ont tendance à l'oublier car SEGA a prit les devant très tôt, dès l'année 1998 et que la Dreamcast s'est très vite effacé face à la PS2 (3 ans d'exploitation).

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Invité VersusKuro

Pourquoi ne pas m'avoir tué avant le soir d'Halloween si c'était par plaisir, j'aurais pu revivre dans la nuit du 31 comme si de rien n'était :noel:

Attention, la Dreamcast ne joue pas du tout dans la même cours que la PS1 ou la N64, qui font partie de la cinquième génération de console. La Dreamcast appartient à la même époque que la PS2, la Gamecube et la XBox. Les gens ont tendance à l'oublier car SEGA a prit les devant très tôt, dès l'année 1998 et que la Dreamcast s'est très vite effacé face à la PS2 (3 ans d'exploitation).

Je sais, mais elle est sortie juste avant la ps2, bref je regrette SEGA du temps où il ne squattait pas les autres consoles

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