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Il y a 1 heure, Ienzo100 a dit :

Je viens de faire Gris alors pour commencer pour ceux qui veulent de l'action passé votre chemin se jeu est plutôt pour ceux qui aime une mise en scène amené tout en douceur avec une musique qui va vous bercer tout le longs du jeu (je donne rarement mon avis pour l'ost mais la il était de toute beauté)

Le gameplay est classique pour un jeu de plateforme vous commencerez juste avec le saut puis vous aurez d'autre capacité par la suite

Niveau histoire sa touchera différemment les personne selon la sensibilité de chacun.
Le jeu se termine en quelque h (même si vous faite tout les trophée vous le faite facilement en moins de 9h)

Un très bon jeu qui est plus une oeuvre d'art a contemplé qu'un jeu en vrai.
 

Je confirme Lenzo, Gris montre encore une fois que la 2D reste et restera l’apanage de l'art absolu du jeu vidéo.

Comme pour les films animés, vous ressortirez ce jeu dans un siècle, il restera beau à jamais.

Je pourrais déballer bon nombre de superlatif sur la direction artistique du jeu.

Un jeu qui touche par sa mise en scène tout en douceur, la force de sa musique et d'une virtuosité peu commune.

 

Le gameplay lui est plus sage et même s'il s'étoffe par la suite, il reste très classique.

La difficulté est quasi nulle.

Étant un titre qui invite à la contemplation donc ce n'est nullement gênant. Une narration environnemental qui touchera plus ou moins selon les sensibilités.

 

Gris est une véritable œuvre d'art qui rejoint ces illustres prédécesseurs comme :

Flower,

Journey,

FlOw,

Bound,

ou même Abzu dans le panthéon des créations qui touchent et sublime le jeu vidéo !

 

Gris tient plus de l'expérience sensorielle et contemplative que du jeu vidéo.

C'est un concentré de poésie tant visuelle que sonore qui possède un gameplay minimaliste mais solide.

Le jeu se termine en une poignée d'heures mais c'est aussi en cela que réside sa force évocatrice.

 

Gris a en outre le bon goût de laisser au joueur la liberté d'y projeter son propre message, son propre vécu, ses propres démons.

Certes parfois moins subtil sur ce point il n'en reste pas moins efficace.

Si vous avez une après-midi ou une soirée de grisaille devant vous et quelques euros en poche je ne peux que vous conseiller de tenter l'expérience.

 

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Il y a 15 heures, Ienzo100 a dit :

Je viens de faire Gris alors pour commencer pour ceux qui veulent de l'action passé votre chemin se jeu est plutôt pour ceux qui aime une mise en scène amené tout en douceur avec une musique qui va vous bercer tout le longs du jeu (je donne rarement mon avis pour l'ost mais la il était de toute beauté)

Le gameplay est classique pour un jeu de plateforme vous commencerez juste avec le saut puis vous aurez d'autre capacité par la suite

Niveau histoire sa touchera différemment les personne selon la sensibilité de chacun.
Le jeu se termine en quelque h (même si vous faite tout les trophée vous le faite facilement en moins de 9h)

Un très bon jeu qui est plus une oeuvre d'art a contemplé qu'un jeu en vrai.

J'ai testé le jeu et je peut dire qu'il m'a bien soulé de fou!!!

Déjà, je n'aime pas marcher dans le vide s'il ne se passe rien, c'est du foutage de gueule, le jeu vient à peine de commencer que déjà, y a rien qui se passe... puis j'ai eu un puzzle avec une balance et rien d'autre. Aucun élément utilisable et aucune idée du but de ce qu'il faut faire.
J'ai donc abandonné.
J'aime bien certains jeux poétique mais ceux qui te font contempler le vide et qui soulent le joueur avec des mécaniques bien chiantes... non merci! Comme tu dis, c'est beaucoup moins un jeu mais du coup, pour moi, c'est alors du temps perdu, si c'est pour être aussi peu évident.

J'ai eu le même problème avec child of light et Sky : Enfants de la Lumière:

Pour child of light, c'est un RPG ultra difficile avec une gestion des ressources pour monter ses stats très complexe.

Pour sky, c'est juste du voyage au milieu de nuages, y a rien du tout. (contemplatif mon cul, tout l'écran est blanc de nuages, y a rien à voir de très beau!)

 

Le meilleur jeu contemplatif que j'ai "fini", c'est The king's bird. C'est plutôt un jeu dur, similaire à super meat boy mais tu voles et utilises l'inertie. Malheureusement, je ne peut pas recommander le jeu car il plante avant les derniers niveaux. J'ai contacter les devs et ils m'ont dit qu'ils étaient "au courant du problème" et mais on peut clairement aller se brosser vu que plusieurs années après, ce n'est toujours pas résolu.

 

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Il y a 1 heure, Gaga46 a dit :

J'ai testé le jeu et je peut dire qu'il m'a bien soulé de fou!!!

Déjà, je n'aime pas marcher dans le vide s'il ne se passe rien, c'est du foutage de gueule, le jeu vient à peine de commencer que déjà, y a rien qui se passe... puis j'ai eu un puzzle avec une balance et rien d'autre. Aucun élément utilisable et aucune idée du but de ce qu'il faut faire.
J'ai donc abandonné.
J'aime bien certains jeux poétique mais ceux qui te font contempler le vide et qui soulent le joueur avec des mécaniques bien chiantes... non merci! Comme tu dis, c'est beaucoup moins un jeu mais du coup, pour moi, c'est alors du temps perdu, si c'est pour être aussi peu évident.

J'ai eu le même problème avec child of light et Sky : Enfants de la Lumière:

Pour child of light, c'est un RPG ultra difficile avec une gestion des ressources pour monter ses stats très complexe.

Pour sky, c'est juste du voyage au milieu de nuages, y a rien du tout. (contemplatif mon cul, tout l'écran est blanc de nuages, y a rien à voir de très beau!)

 

Le meilleur jeu contemplatif que j'ai "fini", c'est The king's bird. C'est plutôt un jeu dur, similaire à super meat boy mais tu voles et utilises l'inertie. Malheureusement, je ne peut pas recommander le jeu car il plante avant les derniers niveaux. J'ai contacter les devs et ils m'ont dit qu'ils étaient "au courant du problème" et mais on peut clairement aller se brosser vu que plusieurs années après, ce n'est toujours pas résolu.

 

A bon t'était bloqué? Perso j'ai fait le jeu d'une traite sans aucun problème. Pour te dire les énigme était facile au point ou ta pas beaucoup besoin de réfléchir des fois c'était meme automatique 

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il y a 15 minutes, Ienzo100 a dit :

A bon t'était bloqué? Perso j'ai fait le jeu d'une traite sans aucun problème. Pour te dire les énigme était facile au point ou ta pas beaucoup besoin de réfléchir des fois c'était meme automatique 

c'est pas la difficulté, c'est plus, j'ai pas compris ce qu'il faut faire pendant 10min... je regarde déjà trop de soluces et j'ai l'impression que je perds mon temps ou que la soluce joue à ma place dans pas mal de jeux donc si c'est dès le début..💩😪

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il y a 9 minutes, Gaga46 a dit :

c'est pas la difficulté, c'est plus, j'ai pas compris ce qu'il faut faire pendant 10min... je regarde déjà trop de soluces et j'ai l'impression que je perds mon temps ou que la soluce joue à ma place dans pas mal de jeux donc si c'est dès le début..💩😪

a oui jouer avec la soluce sa tue toute l’expérience des jeu voir sa rend les jeu ennuyant

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🔰 Après avoir récupéré le casque de plonger dans les tunnels souterrains, celui-ci nous donne accès au temple de Darook Azir pour aller récupérer le deuxième anneau du Triskèle.

 

Ce donjon est très grand et labyrinthique, avec une énigme du portail pas si simple que cela à résoudre.

On trouvera également dans ce donjon notre seconde invocation nommée « Lame possédée ».

 

Après avoir réussi à ouvrir le portail, on est téléporté dans l'antre d'Arratim Zulle, qui fait office de boss de fin de niveau, et une fois celui-ci battu, on reçoit la compétence le grappin, qui nous sera fort utile pour la suite de notre aventure.

 

De retour sur l'île du Croissant, Rim nous apprend que le troisième anneau se trouve dans un lieu qui s'appelle « La couronne du géant ».

Ainsi, on change de continent pour se diriger vers l'est afin de prendre le train vers le continent oriental.

 

Ici s'achève la sixième partie.

 

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🔰 Après avoir pris le train dans les plaines de Speria, nous voilà partis en direction du continent oriental.

Sur ce continent, on va devoir traverser la Forêt Obscure, qui, tout comme le temple de Darook Azir, est très labyrinthique.

Au cœur de la forêt, on pourra acheter au marchand Winstig Thistleheim la carte de la forêt ainsi que le « Talisman d'épines » qui a pour originalité de faire des dégâts à l'ennemi s'il nous touche.

 

Après avoir parcouru en grande partie la forêt, on y rencontre Amiku, qui nous débloque le passage pour avoir accès à la dernière partie de cette forêt.

Au bout de notre périple, on y affronte le boss des lieux qui n'est autre que Razor Feng, le même rencontré quelque temps plus tôt au col de montagne.

 

S'ensuit un rapide combat qui, après celui-ci, nous débloquera la compétence « Trépignement » qui nous octroie la possibilité de défoncer les panneaux au sol et ainsi nous permettent d'accéder aux endroits jadis bloqués par ces panneaux.

Puis nous partons en direction de la ville des pirates nommée Couronne Géant.

 

Ici, s'achève la septième partie.

 

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Il y a 4 heures, titia1011 a dit :

j'avais (re)commencé majora's mask mais ça m'a un peu gavé ...

A cause du système des 3 jours ??

 

Wind Waker est cool... mais tu le fais en version Gamecube ou Wii U ? Car ce n'est pas pareil (sur Wii U : on obtient la voile rapide aux enchères et on vogue plus rapidement sur les flots par exemple).

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🔰 Nous voici arrivés à Couronne du Géant, la cité des pirates.

C'est la première fois dans le jeu où l'on va affronter des humains.

On va y faire la rencontre de Pepperoni, une jeune femme pirate au caractère bien trempé !

 

La cité de Couronne du Géant n'est pas une ville difficile à parcourir, mais elle demandera pas mal d'allers-retours et une certaine dextérité face au tir de canons.

Sauter d'obus en obus est une tâche relativement fastidieuse à exécuter.

 

Après avoir traversé la ville du nord au sud et d'est en ouest, on y affrontera Pepperoni se servent d'un boulet de canon comme véhicule de combat.

À la fin du combat, Pepperoni commence à beaucoup vous apprécier, un petit peu trop d'ailleurs !

 

De retour sur la map, on reçoit en récompense l'aide d'Hatchi.

Cette invocation nous permet de voler à travers tout le royaume de Speria.

Hatchi nous informe également où se cache Lao Shay, le chef du clan des boulets de canon.

 

Avec l'aide de Hatchi, nous volons en direction du sud vers les îles flottantes de Japengo pour récupérer le dernier anneau du Triskèle gardé jalousement par Lao Shay dans son coffre-fort à l'intérieur de sa forteresse.

 

Ainsi s'achève la huitième partie.

 

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🔰 Après avoir battu Pepperoni, nous partons en direction de l'archipel de Japengo pour récupérer le dernier anneau du triskèle dans la forteresse de Lao Shay, mais, pour ce faire, une petite partie de cache-cache s'impose pour infiltrer la forteresse.

 

Une fois ceci fait, on retrouve Pepperoni ainsi que Duke, son ex-petit copain.

Après une discussion lunaire entre ces deux-là, on entre au cœur de la forteresse, et dès le départ, on obtient la compétence « Boulet de canon » capable de briser les blocs de pierre les plus durs.

 

L'accès au coffre-fort de Lao Shay est gardé par 4 portes fermées à clé, et le but est bien évidemment de retrouver les 4 clés pour avoir accès au coffre-fort et enfin retrouver le dernier anneau du triskèle.

Une fois Lao Shay vaincue, on obtient le 3ème et dernier anneau et nous partons en direction de l'île du croissant de lune pour la dernière fois.

 

Ici se termine la 9ème partie, et la prochaine vidéo sera le grand final.

 

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🔰 Voilà, on y est, c'est le grand final de Twilight Monk.
Cependant, tout d'abord, au début de ce dernier chapitre, on apprend qu'il n'y a pas trois anneaux du Triskèle, mais quatre !
Le quatrième anneau est divisé en trois parties.
Donc, il va falloir aller récupérer chacun de ses morceaux pour reconstituer ce fameux quatrième anneau.
Pour ce faire, Rin nous donne une clé permettant d'ouvrir les portes ectoplasmiques et nous indique leur emplacement grâce aux trois cartes gravées sur le mur de la salle secrète.


Le premier morceau se trouve dans les grottes de glace et, pour l'obtenir, il va falloir battre Samora.
Le second morceau se trouve à Bourg Pourri et, pour l'obtenir, il va falloir battre Spore de Vanité.
Et pour finir, le dernier morceau, se trouve en direction de l'oasis de Jabah Dooba où on va devoir affronter Sale Tronche.


Une fois les trois segments réunis, on part en direction de la plaine de Speria pour aller au temple pour y retrouver Rin.
Mais Rin n'a pas l’air dans son état normal, rien d'étonnant, car il s'agit en fait d'un subterfuge de Nox qui s'est servi de nous pour réunir les quatre anneaux du Triskèle.


Après une brève discussion entre Nox et Raziel, on apprend que le boss final était enfermé dans le pilier qui nous sert d'arme depuis le début du jeu et que les anneaux ne servent qu'à le libérer.


Nous voilà enfin face au boss final nommé Poogie.


De prime abord, il n'a pas l'air aussi féroce que l'avait présagé Nox, mais, au final, le piaf bouffe littéralement Nox et se montre bien plus coriace que son apparence ne laisse penser.
Après un combat en trois phases, on a réussi à battre Poogie grâce au sacrifice de Nox, et nous voilà à la fin de cette histoire.


Le jeu était vraiment fun à faire, j'ai beaucoup aimé le gameplay ainsi que l'histoire.
Dans les vidéos, vous n'avez vu que la trame principale de Twilight Monk, mais, en parallèle, hors enregistrement, j'ai fait les quêtes annexes qui sont tout aussi fun à faire.
Je ne peux que vous le conseiller pour tout fan de RPG et de Metroidvania, car le mix des deux est extrêmement bien dosé et fait de Twilight Monk un jeu que je n'oublierai pas de sitôt.

 

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🔰 Sorti en 2008 sur Xbox 360 et PC, PURE fut développé par Black Rock Studio et édité par Disney Interactive Studios, le soft nous met au guidon de Quads dans des courses dantesque.
Le jeu comporte plusieurs modes :
• Le mode Epreuve unique permet de participer à l'épreuve que l'on veut Sprint, Course ou Freestyle.
• Le mode Essai permet de choisir une course et de la parcourir seul pour pouvoir s'entraîner.
• Le mode World Tour permettent de participer à un championnat du monde.
• Le mode On-line.


Chacune d'entre elle est divisée en plusieurs épreuves : courses classiques, de Freestyle dans lesquelles on devra enchaîner les figures aériennes acrobatiques tout en surveillant sa consommation de carburant, ou de Sprint.
Chaque course terminée nous rapporte des points, plus ou moins importants selon la place à laquelle on a fini et permet de débloquer de nouvelles courses et de nouvelles pièces pour le Quad.


Étape obligée, le garage, qui est un endroit capital dans le jeu.
Lorsque l'on commence une partie, on s'y rend automatiquement pour créer notre quad.
On peut, en effet, le créer de A à Z.
Chacune des pièces qui le compose est customisable.
Et on prend un grand plaisir à créer notre quad et à le personnaliser à notre goût.
On choisit ainsi les poignées, la fourche, les roues, le siège, les pneus, les roues, les freins, et même le moteur.
On peut également choisir la couleur de chacune des pièces et rajouter des autocollants sur le Quad.
En plus d'avoir une esthétique différente et unique, ces pièces ont également des caractéristiques propres, offrant par exemple une meilleure tenue dans les virages, une meilleure accélération ou un meilleur apport de vitesse lors de l'utilisation du boost.


On choisit ensuite d'incarner un pilote parmi les six proposés.
Chacun d'entre eux ayant une histoire et un style différent.
Vient alors le moment de se jeter à l'eau.
16 concurrents avec nous y compris prennent part aux courses.
Les circuits, qui nous emmènent aux quatre coins du monde, offrent des parcours plus ou moins longs selon le type de courses choisi.
Ils sont tortueux, parsemés de bosses, de virages, de précipices, certains donnant même la sensation de défier les lois de la gravité.
Plusieurs itinéraires sont possibles, mais, au début, tout se fait plus ou moins au feeling.


La jouabilité de PURE peut se résumer en deux mots : fun et accessibilité.
C'est un véritable plaisir que de diriger son Quad.
Il répond au quart de tour.
Le jeu est clairement orienté arcade et n'est pas très pointilleux quant au pilotage.
Il s'adresse à tous les publics.


Pour un jeu de 2008, le moteur graphique de PURE est une petite merveille.
Les Quads sont très bien modélisés, les décors sont particulièrement réussis et variés.
Les effets de lumière sont de toute beauté.
Les éclaboussures fusent au fur et à mesure de notre progression en terrain terreux.
Qu'on se retrouve, au gré de notre parcours, en montagne, dans le désert, dans un cratère, sur une île paradisiaque ou à proximité d'un lac, on reste ébahi devant la beauté du jeu, surtout lors de sauts absolument vertigineux où on en prend plein les rétines.
Il arrive même de se crasher lamentablement parce que l'on regardait plus les décors en arrière-plan que la course en elle-même.
On éprouve vraiment une sensation de vitesse.
L'animation est parfaitement fluide et ne souffre d'aucun ralentissement, quels que soient la situation et le nombre de protagonistes à l'écran.


La bande sonore et les musiques, très rock, rythmé et varié, collent bien avec l'action.
Les bruits de moteurs, les commentaires de notre pilote sur ses prouesses ou envers les autres concurrents renforcent le côté fun du jeu.
On se croirait quelques années en arrière, dans une bonne vieille salle d'arcade en train de dépenser notre précieux argent de poche dans un jeu de course.


La durée de vie du jeu est correcte en solo.
Une bonne dizaine d'heures suffit pour boucler le World Tour.
Et les autres modes sont plutôt anecdotiques.
En ligne, il est possible d'affronter jusqu'à 15 adversaires en même temps lors de courses endiablées.
Et un mode exclusif, appelé « Freeride », permet aux promeneurs du dimanche de se promener sur les différents circuits en toute quiétude en leur laissant le loisir de prendre tout le temps qu'ils veulent et de faire ce qu'ils veulent.


PURE est une vraie réussite.
Outre le fait de proposer une véritable personnalisation de notre Quad, il offre une prise en main quasi-immédiate, des courses variées, une sensation de vitesse très bien rendue et une réalisation générale au sommet.
Il émane de ce jeu une sensation de fun absolu.
Malgré une durée de vie qui aurait mérité d'être plus longue et un mode multijoueur uniquement en ligne.
PURE est un opus qui s'avère être un très bon titre dans l'univers du Quad.

 

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J'ai récemment acheté en physique Monster Hunter premier du nom sur PS2 en français pour 180 €. C'était le moins cher du marché, les autres coûtais dans les 400/500 balles !! Trouver le jeu en pal français en occaz est plutôt dur. Mais je ne regrette pas !

Pour l'instant j'aime bien !

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Il y a 5 heures, MrDream123 a dit :

J'ai récemment acheté en physique Monster Hunter premier du nom sur PS2 en français pour 180 €.

180 EUR ? Ah ouais quand même...

Tu es collectionneur ?

 

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🔰 Sorti en 2009, soit un peu moins d’un an après l'excellent PURE, c'est ainsi que débarque FUEL sur le devant de la scène pour diversifier un peu le paysage des jeux de course Off-Road, entre mi Off-Road / mi Mad Max.
C'est dans cette logique que Codemasters, par le biais des développeurs d’Asobo Studio, a voulu tenter sa chance avec un jeu aux ambitions open world.


Annoncé comme le gros argument de vente du jeu, les développeurs ont vu les choses en grand pour FUEL, si bien que la map de 14 000 m², censée reprendre celle des États-Unis dans un présent alternatif où les énergies sont épuisées et le réchauffement climatique à son apogée, a permis au jeu de faire son entrée dans le Guinness Book des records comme la carte la plus vaste pour un jeu vidéo.


Histoire de vous faire une idée, il faudrait pas moins de 8h pour traverser la carte de bout en bout.
Devant une telle immensité, vous aurez tôt fait de vous sentir démuni et perdu.
Pas de crainte à avoir, FUEL, en bon jeu d’arcade, reste simple d’accès : en solo, l’unique mode disponible, la carrière et c'est sans compter le Free-Ride qui permet de vous balader à votre guise, se résume à une série de courses et de défis listés dans un menu épaulé par une carte et un GPS bienvenus pour vous repérer.


Libre à vous après d’y aller manuellement ou de cliquer sur la course de votre choix pour y participer, si vous n’avez pas 2h devant vous, par exemple.
Lors des courses, débrouillez-vous comme vous voulez entre les checkpoints, malheureusement trop proches pour permettre de vrais raccourcis, sauf en endurance.
Ici, seule la première place compte : une épreuve remportée, c’est la possibilité de gagner des étoiles afin de déverrouiller les courses d’autres secteurs.
Les secteurs sont accessibles dès le début en Free-Ride ainsi que du fuel pour acheter de nouveaux véhicules.


Au total, un peu moins d’une vingtaine de secteurs seront ainsi visitables au cours de vos pérégrinations sur les quelque 70 véhicules disponibles, parmi lesquels Moto-Cross, Buggies, Quads, Monster-Trucks, Stock-Car notamment.


L’originalité ici viendra des défis qu’il vous faudra découvrir par vous-même lors de vos visites afin de les localiser sur la carte et d’avoir la possibilité d’y participer.
Ces derniers sont plus ou moins variés et vont de l’épreuve d’endurance à la course contre un hélicoptère en passant par le stock car et autres festivités.


Mais la taille, ça compte pas, l’important, c’est la façon dont elle est mise à profit.
Le contexte de FUEL rappelant celui de Mad Max, cela signifie terres désolées et décors assez ternes et vides la plupart du temps, mais ceux-ci restent tout de même agréables à visiter et très vraisemblables, allant de la plaine plutôt déserte aux monts enneigés, en passant par des forêts plus touffues et ses bords de mer sur fond de soleil couchant, avec un cycle jour / nuit plutôt pas mal.


La finesse des graphismes assez inégale avec des véhicules plutôt bien faits, certaines parties du décor complètement ratées et parfois l’aliasing ; la distance d’affichage en général très correcte qui cache néanmoins des effets de clipping très gênants : autant de problèmes fâcheux qui vont de concert pour entacher largement le tableau.


D’autres détails limitent l’immersion dans le jeu, que ce soit la gestion des dommages.
Les dégâts font monter une jauge sans qu’on ait de traces sur les véhicules qui n’ont qu’une influence minime sur la conduite, les collisions parfois mal gérées, vous foutant en l’air toute une course, ou encore l’intelligence artificielle totalement banale, car les adversaires empruntent plusieurs chemins quand c’est possible, mais ça s’arrête là.


Le jeu, clairement orienté arcade, se veut avant tout fun et hyper accessible pour donner envie au quidam de lancer une partie le temps d’avancer dans la carrière en solo ou de retrouver des amis en ligne pour quelques courses endiablées ou de simples virées romantiques au soleil couchant, le vent dans vos cheveux défaits, comme un printemps sur votre trajet.


Côté durée de vie, vue l’immensité de la carte proposée, FUEL proposera de nombreuses heures de jeu aux accros des visites non guidées qui n’utiliseront pas la carte du menu pour se téléporter de zone en zone, et sans doute moins aux moins courageux.
Cela étant, les 3 modes de difficulté proposés par épreuve sur les 190 défis et 70 courses en solo, auxquels nous joignons le mode Free-Ride qui saura occuper de nombreux joueurs, même hors ligne, ça fait déjà pas mal.


Ajoutons enfin le mode en ligne, qui vous proposera moult courses contre de parfaits inconnus jusqu’à 16 ou des balades avec vos amis en Free-Ride à nouveau ; inutile de tergiverser sur ce point, FUEL comblera tous les gens qui n’ont pas été rebutés par les défauts du jeu.


Enfin, un éditeur de parcours, très simple d’accès, vous permettra de créer un trajet vous-même en plaçant les points de passage.
À vous les joies des checkpoints éloignés pour pouvoir couper dans la cambrousse !

 

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Il y a 5 heures, GOONIES a dit :

C est nouveau ton logo en début de vidéo ? C est très sympa 😀

C'est pas très vieux en effet, cela fait un peu plus d'un mois que j'ai crée cette mini intro.

Mais c'est l'outro de fin de vidéo qui me fait le plus sourie. ^o^ 

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La vie impose de faire des choix cruels.

 

Vous en avez peut-être entendu parler en ce moment (même notre Président s'est fendu d'une remarque) : Clair Obscur : Expédition 33 connait un beau succès, apparemment plus large que ce qu'escomptait le studio.

 

Qu'est-ce que ça raconte ?

Dans une France de la Belle Epoque transformée à jamais par un évènement nommé "la Fracture", dans la ville de Lumière, chaque année un terrible évènement prend place : les habitants atteignant leur trente-troisième année sont purement effacés de la réalité...

C'est ce qu'on nomme le Gommage, orchestré par la Peintresse. Chaque année, une Expédition (généralement composée de personnes n'ayant plus qu'une année à vivre) part vers la Peintresse, pour tenter de la vaincre.

Mais en 67 ans, aucune n'a réussi... Et il n'y a presque jamais de survivants. Mais chaque Expédition tente de faciliter la mission de la suivante pour qu'un jour, le cycle du Gommage soit terminé.

Evidemment, vous allez faire partie de l'Expédition 33 pour tenter d'atteindre cet objectif !

 

Comment ça se joue ?

C'est un RPG au tour par tour, mais avec une composante "dynamique" : en-dehors des attaques de base, les compétences impliquent des QTE pour augmenter leur efficacité, vous pouvez esquiver ou parer la quasi-totalité des attaques ennemies. 

Ce n'est pas un gimmick car, notamment contre les ennemis plus coriaces (boss optionnels) et boss obligatoires, si vous n'arrivez pas à esquiver un minimum les assauts adverses, vous connaîtrez bien des déboires.

Heureusement, même pour quelqu'un qui n'a pas le sens du rythme comme moi (ainsi que le faisait finement remarquer mon prof de musique au collège) cela reste parfaitement gérable avec de l'entraînement et un peu de grind.

Chaque personnage se joue différemment, peut disposer de six compétences à la fois, où il faudra composer avec des synergies et un système de résistance/faiblesse aux éléments. Rajoutez le fait que chaque personnage peut porter jusqu'à trois Pictos (boost de stat + un effet additionnel, comme récupérer 10% de la vie au début de chaque tour ; cet effet additionnel peut être appris comme compétence passive en allouant des points de Lumina), diverses armes à récolter et upgrader : vous obtiendrez un ensemble pas forcément complexe mais suffisamment complet. 

Plaisant en tout cas et on redemande facilement. Il y a aussi toute une dimension d'exploration de l'environnement (très élégant) pour trouver des ressources cachées et affrontements optionnels.

 

Pourquoi pourrait-on avoir envie d'y jouer ?

Direction artistique au top, OST envoûtante, une histoire qui sait manier à la fois des thèmes sérieux, poignants, ainsi que des moments de légéreté (avec un twist intelligent), des personnages attachants, un système de combat prenant et du défi à tire-larigot pour ceux qui veulent être mis à l'épreuve : personnellement, cela faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas autant happé. 

Le mode normal me semble parfait adapté en termes de difficulté et si jamais vous peinez trop, un mode Histoire est là pour passer les moments difficiles. Je regretterai simplement une fin d'acte II un peu trop chargée en affrontements, ainsi qu'un acte III où vous avez certes toute liberté pour explorer le monde à fond...

Mais majoritairement pour des boss très exigeants, comme si l'on était dans un post-game.

Et tout ça pour 50€ alors qu'on nous propose parfois des triple A à 70€ à la qualité nettement inférieure, chapeau bas Sandfall Interactive.

Si en plus vous avez le Game Pass et que le genre vous attire, je ne peux que vous le recommander.

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🔰 Sorti en 2021, GTA Ⅲ : The Definitive Edition et la version remastered du jeu sorti en 2001 sur PlayStation 2.
Dans cette version, nous ne sommes en effet pas en présence d’un remake.
Ce n’est pas non plus un simple portage, mais une vraie remasterisation : un peu comme pour Mass Effect Legendary Edition, si tout le contenu du jeu d’origine à été conservé comme les animations, la mise en scène des cinématiques, et la construction globale du jeu, des décors, des missions et des secrets, un gros travail de polish à été effectué sur les graphismes car tous les modèles 3D ont été retravaillés.


À l’époque, Rockstar utilise le moteur RenderWare de Criterion Games pour développer ses jeux.
20 ans plus tard, les trois hits se paient une seconde jeunesse grâce à l’Unreal Engine 4.
Il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas saluer le joli travail effectué par Grove Street Games.


Globalement, quand on compare sa vieille version PlayStation 2 avec un jeu issu de cette compilation, c’est le jour et la nuit.
On sent qu’on est face à un produit “moderne” et le tout se montre plutôt joli même si cela reste en soi plutôt daté !
Veuillez noter que le moteur graphique à carrément changer : là où les premières versions des GTA PlayStation 2 utilisaient le moteur Rockstar maison, cette fois-ci, c’est l’Unreal Engine 4 qui est aux commandes !


Les distances d’affichages ont été améliorées et nous avons plus d’éléments à l’écran. Malheureusement, les jeux souffrent d’un petit souci avec quelques éléments qui apparaissent aux derniers moments sur notre écran.
Mais le principal changement qui continue de nous perturber concerne les modèles 3D des personnages qui ne sont pas toujours très réussis.


En plus des améliorations graphiques, Rockstar et Grove Street Games ont apporté de nouvelles fonctionnalités de gameplay.
On retrouve une configuration de manette semblable à celle de GTA Ⅴ avec la possibilité d’accélérer et de freiner avec les gâchettes.
Il en est de même pour viser et tirer.
Pour faire simple, vous disposez des mêmes touches que GTA Ⅴ dans ce GTA Ⅲ.
Mais n’ayez crainte, pour les plus nostalgiques d’entre vous, il sera toujours possible de revenir aux configurations de l’époque.


Plus qu’un simple portage, sans être un remake, nous sommes face à un vrai ravalement de façade.
Si le contenu des jeux, les secrets, le level design, les cinématiques et la jouabilité sont quasiment reprises à l’identique, question graphismes, tout a été revu côté modèles 3D des décors et des personnages.
Les textures sont désormais plus belles, et les effets lumineux ont été revus à la hausse.
L'ensemble se montre globalement très agréable à regarder et la comparaison avec les vieilles versions est assez impressionnante ! 
Il s’agit là d’un très bel hommage qui parviendra à séduire et satisfaire les fans de la première heure et permettra même à des joueurs plus jeunes de découvrir ce grand classique.

 

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Il y a 22 heures, Aronaar a dit :

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La vie impose de faire des choix cruels.

 

Vous en avez peut-être entendu parler en ce moment (même notre Président s'est fendu d'une remarque) : Clair Obscur : Expédition 33 connait un beau succès, apparemment plus large que ce qu'escomptait le studio.

 

Qu'est-ce que ça raconte ?

Dans une France de la Belle Epoque transformée à jamais par un évènement nommé "la Fracture", dans la ville de Lumière, chaque année un terrible évènement prend place : les habitants atteignant leur trente-troisième année sont purement effacés de la réalité...

C'est ce qu'on nomme le Gommage, orchestré par la Peintresse. Chaque année, une Expédition (généralement composée de personnes n'ayant plus qu'une année à vivre) part vers la Peintresse, pour tenter de la vaincre.

Mais en 67 ans, aucune n'a réussi... Et il n'y a presque jamais de survivants. Mais chaque Expédition tente de faciliter la mission de la suivante pour qu'un jour, le cycle du Gommage soit terminé.

Evidemment, vous allez faire partie de l'Expédition 33 pour tenter d'atteindre cet objectif !

 

Comment ça se joue ?

C'est un RPG au tour par tour, mais avec une composante "dynamique" : en-dehors des attaques de base, les compétences impliquent des QTE pour augmenter leur efficacité, vous pouvez esquiver ou parer la quasi-totalité des attaques ennemies. 

Ce n'est pas un gimmick car, notamment contre les ennemis plus coriaces (boss optionnels) et boss obligatoires, si vous n'arrivez pas à esquiver un minimum les assauts adverses, vous connaîtrez bien des déboires.

Heureusement, même pour quelqu'un qui n'a pas le sens du rythme comme moi (ainsi que le faisait finement remarquer mon prof de musique au collège) cela reste parfaitement gérable avec de l'entraînement et un peu de grind.

Chaque personnage se joue différemment, peut disposer de six compétences à la fois, où il faudra composer avec des synergies et un système de résistance/faiblesse aux éléments. Rajoutez le fait que chaque personnage peut porter jusqu'à trois Pictos (boost de stat + un effet additionnel, comme récupérer 10% de la vie au début de chaque tour ; cet effet additionnel peut être appris comme compétence passive en allouant des points de Lumina), diverses armes à récolter et upgrader : vous obtiendrez un ensemble pas forcément complexe mais suffisamment complet. 

Plaisant en tout cas et on redemande facilement. Il y a aussi toute une dimension d'exploration de l'environnement (très élégant) pour trouver des ressources cachées et affrontements optionnels.

 

Pourquoi pourrait-on avoir envie d'y jouer ?

Direction artistique au top, OST envoûtante, une histoire qui sait manier à la fois des thèmes sérieux, poignants, ainsi que des moments de légéreté (avec un twist intelligent), des personnages attachants, un système de combat prenant et du défi à tire-larigot pour ceux qui veulent être mis à l'épreuve : personnellement, cela faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas autant happé. 

Le mode normal me semble parfait adapté en termes de difficulté et si jamais vous peinez trop, un mode Histoire est là pour passer les moments difficiles. Je regretterai simplement une fin d'acte II un peu trop chargée en affrontements, ainsi qu'un acte III où vous avez certes toute liberté pour explorer le monde à fond...

Mais majoritairement pour des boss très exigeants, comme si l'on était dans un post-game.

Et tout ça pour 50€ alors qu'on nous propose parfois des triple A à 70€ à la qualité nettement inférieure, chapeau bas Sandfall Interactive.

Si en plus vous avez le Game Pass et que le genre vous attire, je ne peux que vous le recommander.


J'y joue également en ce moment, j'ai rarement vu un jeu aussi élégant ! Même au sein de la production vidéo ludique française. Beaucoup d'élément nous pousse en avant, et en cas de difficulté, on peut retravailler les builds de nos personnages (compétence, arme, lumina, picto et etc...) Pour l'instant, au bout de ma petite dizaine d'heure de jeu, je n'ai presque jamais eu besoin de grind pour ma part, améliorant juste mes reflexes et ma connaissance des boss optionnels pour réussir à les surmonter.

Au départ, je pensais que j'allais être fan de Lune, mais au final c'est de Maelle dont je suis dingue. Le choix du fleuret pour ce personnage sensible est presque... évident.

Ce jeu est un banger et il mérite largement le succès dont il est en train de jouir.

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🔰 Alors celui-là, c'est mon chouchou, le remastered de GTA Vice City sorti en 2021 !
Mais avant petit retour en arrière.
C'est en 2002, sur la PlayStation 2 que sortait GTA Vice City, le jeu devait être à la base un add-on, une extension de GTA Ⅲ, mais vu le carton planétaire de GTA Ⅲ Rockstar Game s'est dit : 
"Il faut le sortir comme un jeu à part entière", et c'est pour ça que cet opus ne s'appelle pas GTA Ⅳ.
Plus tard, ils nous referont le coup avec San Andreas, mais ça, j'en parlerai plus tard, quand je ferai cet opus.


Comme je l'ai dit ci-dessus, GTA Vice City n'est pas vraiment la suite de GTA Ⅲ, sans pour autant être une véritable extension.
C'est plutôt une variation sur le même sujet avec une nouvelle ville, de nouveaux protagonistes et bien sûr de nouvelles armes et de nouveaux véhicules, une espèce de version 1.5 gonflée aux hormones qui améliore l'onctueuse recette de base en rajoutant encore une nouvelle petite couche de provoc.
Le résultat est bien sûr détonnant, pas vraiment original puisqu'il reprend les acquis de la précédente mouture, mais quand même salement accrocheur, surtout qu'il réserve quand même son lot de surprises.


Ce Vice City est un jeu à part qui ne réclame pas GTA Ⅲ pour se lancer et qui ne permet pas non plus de récupérer ses sauvegardes du précédent opus, histoire de commencer la nouvelle aventure avec un petit compte en banque bien garni et un arsenal conséquent.
Dans Vice City on commence à pied, sans un sou et sans amis, à part un avocat véreux et geignard qui ressemble trait pour trait à celui de L'Impasse, en moins fourbe quand même.
Le but de la crapule qu'on incarne est simple : devenir baron à la place des barons en les truffant de plomb ou en les réduisant en purée rouge à la tronçonneuse, de préférence après les avoir servi un temps, histoire de se faire la main et d'être capable de reprendre leurs affaires une fois leur retraite anticipée effective.


Si le scénario ressemble énormément à celui du premier en laissant la même liberté d'action et les mêmes vides, il offre quand même quelques opportunités nouvelles au joueur persévérant qui aura déjà passé dessus une bonne dizaine d'heures au bas mot.
Une fois un petit pécule amassé au fil des règlements de compte en ville, il devient possible d'acheter divers bâtiments qui servent soit de garage et de lieu de sauvegarde, soit d'usines à fric. Après rachat et remise à flot, avec au programme quelques missions destinées à rendre l'affaire rentable, il suffit de se pointer régulièrement pour toucher le blé en bon gros patron qui après en avoir bavé un temps aime bien s'en mettre plein les poches facilement.
Entre autres affaires à reprendre, le jeu propose un studio de cinéma spécialisé dans les films d'art et d'essai qui passent tard le soir sur les chaînes câblées, une compagnie de taxis, une imprimerie ou, plus intéressant, un bar de strip-tease qui permet accessoirement de se rincer l'œil.


Avant d'en arriver là et de commencer à racheter la ville façon Monopoly, il faut tout de même jouer les hommes de main tout au long de missions décousues mais vraiment originales.
En vrac, il faut voler un tank franchement bien escorté par des militaires, faire évader un détenu en se déguisant en policier, participer à une course de bateaux et de Harley Davidson ou même faire exploser un immeuble en construction en manipulant un petit hélico télécommandé.
Chaque mission réserve son lot de surprises et s'avère réellement captivante, malgré quelques gros défauts.


Le gameplay n'est pas toujours bien équilibré et risque régulièrement d'en frustrer plus d'un, soit parce que la difficulté est aberrante, soit parce que le chrono est trop serré.
Il arrive qu'il faille comprendre comment les programmeurs ont conçu la mission pour la mener à bien tant elle s'avère linéaire, alors que tout le reste du jeu prône la plus grande liberté de mouvement.


Pour rattraper le coup, Vice City offre quand même une ville gigantesque dont tous les quartiers deviennent rapidement accessibles, après une poignée de missions seulement.
Il est possible d'y faire tout et n'importe quoi comme voler une voiture ou, grosses nouveautés, une moto voire un hélicoptère, frapper des passants qui déambulaient innocemment, braquer une ambulance et activer des missions indépendantes en allumant les sirènes, devenir livreur de pizza en enfourchant la meule appropriée, faire des cascades qui rapportent des sous en dénichant des tremplins planqués en ville ou encore trouver 100 paquets cachés, juste histoire de dire qu'on l'a fait.


Cette copie de Miami avec les musiques années 80's GTA Vice City, est une suite aux allures d'add-on opportuniste certes, c'est donc aussi en toute logique que l'on s'est rapidement enthousiasmé pour ce nouveau cadre floridien, sa population hétéroclite et les nouvelles possibilités de gameplay distillées au fur et à mesure par les développeurs.
Mais vu le résultat final, on se dit qu'ils avaient eu sacrément raison.

 

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