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Le petit monde du Shoot'em up.


akumasan

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🔰 DoDonPachi est un shoot 'em up Ă  dĂ©filement vertical de type manic shooter.

Développer par Cave et édité par Atlus, Il est sortie en 1997 sur borne d'arcade, c'est le premier de la saga DoDonPachi mais le Second jeu de la société Cave, il est la suite de DonPachi publié en 1995.

Acclamé pour la qualité de son systÚme de jeu et de ses graphismes, DoDonPachi est considéré comme un des plus grands titres du genre.

 

DoDonPachi est sans doute le manic shooter Ă  retenir.

Mais ce mythe du shoot vertical est-il aussi manic qu’il en à l’air.

Avant de partir lutter contre les forces de la mystĂ©rieuse guĂȘpe thĂšme discret mais rĂ©current dans toute la saga il va vous falloir choisir entre 3 vaisseaux et 2 types d’armement.

 

-Type A, vaisseau rouge : le plus rapide, il possĂšde un tir frontal puissant, on l'appelle aussi canardeur.

-Type B, vaisseau vert : vitesse de déplacement intermédiaire, son atout réside dans le fait qu'il possÚde deux petites options qui tireront dans la direction de votre déplacement. (exemple : vous vous déplacez vers la gauche, les deux options dirigeront les tirs vers la gauche).

-Type C, vaisseau bleu : le moins rapide, tir large et peu puissant, le vaisseau le plus répandu parmi les joueurs débutants pour son déplacement relativement lent qui permet d'esquiver les patterns plus facilement, et son tir qui permet de détruire une large partie des ennemis.

Chacun aura la possibilité par la suite de choisir entre un mode shot et un mode laser.

 

Le premier permettant d'avoir une attaque plus puissante sur le tir normal, le deuxiĂšme de renforcer la puissance du laser et de dĂ©truire les ennemis faibles du premier coup le laser les dĂ©truira automatiquement, il ne fera plus blocage. Les vaisseaux, repris tels quel de Donpachi, sont Ă©quilibrĂ©s chacun dans leur genre : le bleu, favori des dĂ©butants, dispose d’un tir frontal Ă©largi en Ă©ventail, facilitant la progression Ă  travers les niveaux, mais d’un laser plus faible que les autres, rendant les boss plus difficiles Ă  vaincre. Le rouge, favori des vĂ©tĂ©rans, Ă  un tir frontal Ă©troit mais un laser bourrin. L’hĂ©licoptĂšre vert Ă  des option plus balancĂ©es, avec en prime deux modules tirant dans la direction vers laquelle penche le vaisseau.

 

DeuxiĂšme choix : laser ou shot.

En mode laser le tir frontal est plus faible que le laser, c’est l’inverse pour le mode shot.

Choix crucial au niveau du jeu, le mode laser semble cependant ĂȘtre plĂ©biscitĂ©.

L’armement est assez simple : bouton A pour tirer, longue pression pour activer un Ă©norme laser destructeur.

Bouton B pour la smart bomb et laser+B pour activer le si jouissif tir géant.

Le gameplay est à l’image du reste, fabuleux.

Le temps de réponse merveilleux du vaisseau et la masque de collision trÚs petit localisé en fait sur le cockpit du vaisseau permettent les slaloms les plus osés.

 

Graphiquement on est en pleine dans du savoir faire old school de trĂšs haute volĂ©e chaque pixel a Ă©tĂ© ciselĂ© Ă  la main, les dĂ©cors regorgent de dĂ©tails, chaque sprite est travaillĂ© dans ses moindres dĂ©tails, de quoi rendre malade d’envie les amateurs de pixel art. L’ambiance sonore est coordonnĂ©e au reste: bruitages exagĂ©rĂ©ment bourrins, une vraie dĂ©fonce sonore, couvrant d’inoubliables thĂšmes trĂšs rock satrianesques dans leurs envolĂ©es de guitare Ă©lectrique.

 

"Bourrin" est un terme qui revient souvent quand on commence Ă  parler de DoDonPachi chaque Levels est un hymne au fracassage, tout pĂšte de partout, une hystĂ©rie que l’on retrouve trop rarement.

Une violence d’apparence qui pour les dĂ©tracteurs du manic font de DoDonPachi un shoot typique des dĂ©fauts du genre gameplay permissif et Levels design axĂ© sur la surenchĂšre de tirs.

Ceux-ci sont invitĂ©s cordialement Ă  relire leur copie, DoDonPachi proposant une construction aussi ingĂ©nieuse et rusĂ©e que les classiques du genre old school, doublĂ©e d’une jouabilitĂ© hors pair rendant au final le monstre tout Ă  fait jouable avec un vrai challenge digne d’intĂ©rĂȘt.

 

Un shoot d’exception, alliance parfaite de la dĂ©mence explosive et d’un gameplay Ă  la prĂ©cision.

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🔰 Dimahoo, aussi connu sous le nom de Great Mahou Daisakusen est un shoot'em up Ă  scrolling vertical dĂ©veloppĂ© par Raizing/Eighting et Ă©ditĂ© par Capcom en janvier 2000 sur le hardware Arcade Capcom Play System Ⅱ.

 

Dimahoo est le 3Ăšme Ă©pisode de la saga des Mahou Daisakusen, on pourrait approximativement parler d’un concentrĂ© de barbarie absurde sur fond d’adrĂ©naline, de hurlements et de jolies couleurs mais la rĂ©alitĂ© est encore bien pire.

Sans doute l’une des perles du Manic Shooter, Dimahoo allie avec un art dont seul les cintrĂ©s de Raizing ont le secret graphismes dĂ©mentiels, ambiance de jeu unique, gameplay incroyable, originalitĂ© avec une pointe d'ultra violence.

Le jeu propose des personnages aux compĂ©tences et caractĂ©ristiques propres puissance, rapiditĂ©, diffĂ©rentes armes de diffĂ©rentes portĂ©es, diffĂ©rents coups secondaires, diffĂ©rentes smart bombs, etc
 Ainsi qu’une technique de jeu qu’on oserait presque qualifier de "subtile" le joueur peut aussi influer sur la chaleur de son vaisseau. Rendu froid, il abattra plus facilement les ennemis chauds et bloquera leurs tirs, et vice versa.

 

Le jeu peut-ĂȘtre classĂ© dans les bullet hell, mais par rapport aux tĂ©nors du genre, en particulier de Cave, les boulettes sont tout de mĂȘme moins nombreuses, elles sont par contre extrĂȘmement rapides.

En fait on a souvent pas le temps de réagir en faisant le bullet cancel qu'on est déjà mort.

Pourtant le jeu commence doucement, un habitué du style peut facilement aller jusqu'au 2Úme niveau sur 1 crédit, dÚs son premier run.

Mais ensuite, la difficulté devient absolument diabolique, les crédits peuvent trÚs bien durer moins d'une minute.

Heureusement, on a des bombes qui font un bullet cancel, trÚs pratique, mais faut avoir le temps de les lancer, et une fois qu'on les a utilisées, l'espérance de vie se compte en seconde.

Bien sĂ»r la fin du jeu est vraiment faite pour les super gamers, ceux qui vont apprendre les patterns et les placements par cƓur, pour les autres, c'est un gouffre Ă  crĂ©dit.

 

Dimahoo ne s’embarrasse pas d’un quelconque scĂ©nario.

Seul le cadre importe et, en l’occurrence, le jeu se dĂ©roule dans un univers hybride comportant des Ă©lĂ©ments d’heroic-fantasy et des crĂ©atures mĂ©caniques.

Imaginez Goldorak au pays du Seigneur des Anneaux, et vous aurez une vague idée de ce à quoi vous attendre. L'univers du jeu est original et a sa propre personnalité avec une direction artistique qui est vraiment excellente, le tout sublimer pas graphismes colorés et détaillés. A noter la quasi absence de ralentissements, chose assez rare dans shoot'em up, ce qui le rend pas plus facile.

 

Gymnastique qui parait facile dans le vide, mais qui l’est nettement moins en cours de partie, vu le rythme et la difficultĂ© du jeu.

Ajoutons Ă  ça un graphisme ultrafin, une ambiance sonore tonitruante, des levels bien longs, des tonnes d’astuces, un jeu Ă  deux hilarant, et voila un must have complet pour les amateurs de shoot hystĂ©rique.

Le jeu comporte aussi des Ă©lĂ©ments vaguement RPGesques ramassage d’objets magiques qui constituent d’aprĂšs certains les Ă©lĂ©ments d’une quĂȘte parallĂšle au shoot permettant de gagner des bonus.

 

Pour rĂ©sumĂ© Dimahoo est un shoot’em up de folie et ce Ă  tous les niveaux.

Graphiquement c’est du lourd avec de belles couleurs, des vaisseaux au design superbe et des dĂ©cors trĂšs dĂ©taillĂ©s.

La jouabilitĂ© est trĂšs bonne et l’action est intense, extrĂȘmement intense mĂȘme.

Si vous aimez les shoot’em up classiques vous allez ĂȘtre déçus, ici ça pĂšte de tous les cotĂ©s, c’est trĂšs confus, les tirs sont nombreux et le jeu est assez difficile.

Plusieurs personnages sont disponibles avec des caractĂ©ristiques diffĂ©rentes, vous avez bien sur des bonus qui permettent d’amĂ©liorer l’armement et aussi des boss, indispensables dans tous les shoot’em up.

Dimahoo est ce qu’on appelle un maniac shooter et les joueurs classiques ne trouveront pas forcĂ©ment leur bonheur, par contre ceux qui cherchent un shoot destructeur seront servis.

 

NB : Dimahoo est un pur jeu d'arcade dans le sense ou ce jeu n'a jamais était porté sur consoles de salon.

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 💘Je kiffe, super choix de topic @akumasan ! qui pourrait aussi s’intituler spĂ©cial ”tendinites et ampoules”, car oui le shoot c’est la vie mais une vie trĂ©pidante et mouvementĂ©e  nĂ©cessitant de l’entraĂźnement et une sacrĂ©e condition physique, une mĂ©moire aussi grande que celle de RainMan et Einstein reunis,  une vision nocturne, sans cligner des yeux pendant plusieurs heures au risque de perdre une vie pour une saletĂ© de missiles errants en plein milieu de l’écran👀, ou encore des pouces 👍qui rĂ©pondent  au doigt et Ă  l’Ɠil  (Ă©norme ce jeu de mot), une vista de tous les instants. J’adhĂšre totalement, l’amateur de shoot est une espĂšce Ă  part qui dispose de rĂ©flexes Ă  enrhumer en mĂȘme temps Neymar et MBappe et qui ne vit que par l’adrĂ©naline et la vitesse. Je dis ”Heus, Yeah Baby”. 

 

Shoot du soir, Shoot plus tard (dĂ©solĂ© j ai pas trouvĂ© mieux😅). 

Call me Shooter !

 

Mon prĂ©fĂ©rĂ©.... c’est sentimental, une expĂ©rience, un morceau de choix, , 1992...

Tout le monde (ou du moins, les ProSega😉 - de trĂšs bon shoots sur snes aussi, pas de jaloux) a entendu parler de la sĂ©rie des Thunderforce, mythe ou lĂ©gende, il est temps de tester, de se faire sa propre opinion.... je casse la tirelire, 399 F.

Une belle somme pour l’époque. la boĂźte s’ouvre, la cartouche se glisse dans la console, et là : PAF !Â Â đŸ€©Â dans ma petite face de gamin, une intro Ă  rĂ©veiller un mort qui te plonge immediatement dans l’ambiance shoot, what’s the f...k ! Tu sais deja que ça va ĂȘtre raide et que tu n’es pas lĂ  pour rigoler...

 

ThunderForce IV Ă©videmment, le shoot horizontal qui tue. Éloge d’un petit bijou, mon graal de shooter pour l’époque, la megadrive repoussĂ©e dans ces derniers retranchements, du scrolling en veux tu, en voilĂ ,  et une Ă©quipe de TechnoSoft au sommet de son art aprĂšs le furieux numĂ©ro 3. Ardu pour les plus hardis, sans cheatcode bien sĂ»r.... et puis cette BO qui me fait vibrer, qui conditionne le gameplay et qui frĂŽle le mĂ©tal.Â đŸ€˜

Bref, un sentiment, un feeling, une experience indefinissable pour ce jeu dur, hostile et envoutant, mon premier shoot qui m’a fait vraiment rentrer dans ce genre.

 

Mon maßtre etalon du genre.  

 

Un petit goût de reviens y .... 

 

 

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Ah... Thunder Force... i love...

🔰 Sorti en 2008 uniquement au Japon, Thunder Force â…„ fĂ»t dĂ©velopper par Techno Soft et Ă©diter par SEGA pour la PlayStation 2.

Il aura fallut attendre dix longues années pour voir arriver une nouvelle suite du célÚbre shoot horizontal.

Thunder Force Ⅳ sort plus de dix ans aprĂšs Thunder Force â…€, voici venir l'opus que tout le monde croyait totalement oubliĂ©.

Tout commence par un compte à rebours, sur le site d'un Techno Soft que tout le monde croyait mort et enterré.

Puis vient l'annonce dont tout le monde rĂȘvait, un nouveau volet de Thunder Force est en cours de rĂ©alisation.

Quelques photos sont laissées sur le site, de quoi largement créer un buzz au sein de la communauté des fans de shoot'em up.

 

Voir Techno Soft revenir sur le devant de la scÚne est étonnant car en 2001, la firme est rachetée par Twenty-one Company, un fabriquant de pachinko.

Tout comme cela a failli arriver à SNK avec Aruze Playmore, vous avez notre reconnaissance éternelle de joueur, notre développeur se fait bouffer et ses licences sont utilisées dans des machines à sous et rien de plus. Thunder Force ⅄ revient donc de loin.

Quelques images trainent ça et là, montrant une ébauche de version Dreamcast qui ne verra jamais le jour pour cause de mort commerciale de la Dreamcast et de Techno Soft.

DerriÚre ce double revival se cache en réalité SEGA, qui développe le jeu sous la houlette de Tez Okano, à qui on doit notamment le jeu Segagaga sur Dreamcast.

 

DÚs que l'on lance le jeu, les amateurs de la série retrouverons vite leurs marques.

On commence par choisir l'ordre des trois premiers niveaux, comme dans les Ă©pisode Ⅳ et â…€.

L'ensemble du jeu s'inspire d'ailleurs énormément du cinquiÚme épisode.

A tel point que l'on peut légitimement se demander si les développeurs n'ont pas plutÎt fait ce sixiÚme épisode en hommage à la série plutÎt que pour faire avancer le schmilblick.

On retrouve les décors en 3D, mais cette fois la Playstation 2 fait beaucoup mieux que la Playstation premiÚre du nom, faut dire que cette version pique beaucoup moins les yeux, sans toutefois arriver à la maestria d'un Gradius ⅀.

Certains décors sont un peu vides mais en revanche, le jeu joue et abuse des effets de lumiÚre, pour le plus grand plaisir de nos mirettes qui ont de quoi se faire plaisir. Cela se paye parfois au prix d'un frame rate un poil ralenti tant la console arrive à ses limites lors des grosses explosions.

 

Votre vaisseau peut toujours swapper entre les différentes armes, chacun ayant ses spécificités.

Du coup, certaines seront indispensables pour tirer derriÚre vous, car le scrolling a tendance à pas mal bouger et faire tourner tout autour de vous, maintenant un rythme plus que soutenu du début à la fin

Le systÚme de spécial à évolué lorsque vous flinguez les ennemis, vous récupérez des orbes vertes qui viennent automatiquement sur votre vaisseau. Cela nuit parfois à la lisibilité et un peu d'habitude est demandée afin d'éviter de les confondre avec les tirs adverses.

Tout cela monte une barre de spécial qui permet de lancer des attaques puissant selon trois niveaux c'est à dire que l'on appuie une, deux ou trois fois sur le bouton de special.

Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la puissance 3 est particuliÚrement dévastatrice.

Il est également possible de modifier la vitesse de déplacement de votre vaisseau. C'est assez pratique, mais dans tous les cas ses déplacements sont nerveux.

 

La difficulté est bien entendu réglable, et permet vraiment à tous les joueurs de s'y essayer.

Le mode facile permet de terminer le jeu sans aucun problÚme, tandis que les modes supérieurs permettront de se confronter à un réel challenge. D'ailleurs, une fois au bout, vous pourrez choisir un nouveau vaisseau, qui rappelle encore plus le gameplay des précédents épisodes.

Thunder Force Ⅳ n'apporte pas grand chose Ă  la sĂ©rie, en dehors de la concrĂ©tisation d'un phantasme de fan, ce qui est dĂ©jĂ  Ă©norme.

Assez peu original, le jeu compense par une réalisation plus que correcte et un gameplay se basant sur les précédents épisodes, c'est à dire en béton armé.

Le retour d'une lĂ©gende, qui ne balaye pas tout sur son passage mais rĂ©ussi tout de mĂȘme Ă  nous amuser.

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Celui-ci est plus rare.
Pourtant c'est ce jeu qui a lancer le Manic Shooter.

🔰 Sorti en 1993 sur borne d'arcade, Batsugun est un shoot'em up Ă  scroling vertical conçu par le dĂ©veloppeur japonais Toaplan.

Souvent prĂ©sentĂ© comme le pĂšre des manic shooter, Batsugun est le dernier shoot dĂ©veloppĂ© par Toaplan avant sa banqueroute et que le reste des Ă©quipes n’aille rejoindre la team Cave.

Vous ne serez donc pas Ă©tonnĂ©s si je vous dis que ça va vite, trĂšs vite et que l’on a affaire Ă  un shoot de bonhomme, du genre qui se parfume au gasoil.

 

NB: J'avais treize ou quatorze ans quand je connu cette borne d'arcade et j'en garde un super souvenir, c'était l'époque 103 SP et Borne Arcade.

 

Comme toujours chez Toaplan, les sprites sont variés et bien détaillés, les décors super fins la transition plage/mer du niveau deux est hallucinante de qualité et les tirs hostiles sont rapides et vicieux.

Les boulettes sont lĂąchĂ©es dĂšs que le vaisseau ennemi apparaĂźt Ă  l’écran voir avant, les ennemis arrosent copieusement et se pointent en rangs serrĂ©s pour donner au final un challenge plutĂŽt relevĂ©.

 

Heureusement, la maniabilitĂ© du vaisseau choisi parmi les trois styles de shoot disponible de plus le systĂšme d’upgrade vraiment bien pensĂ©, combinant power-up et expĂ©rience Ă  noter que se faire toucher augmente la jauge d’expĂ©rience des tirs lorsque vous ĂȘtes au taquet level trois les tirs recouvrant alors une bonne partie de l’écran.

Revers de la médaille, les boulettes ennemies sont masquées par le déluge de feu, ce qui peut à la longue vous rendre soit aveugle soit épileptique, particuliÚrement en face de boss qui défouraillent sévÚre genre aux deux derniers niveaux.

Cependant, on a toujours l’impression de pouvoir passer entre les balles avec le bon timing et Ă  condition de ne pas laisser les mĂ©chants s’installer dans l’aire de jeu.

 

Pour un jeu sorti en 1993, Batsugun tient encore la route aujourd’hui en proposant une action intense et ne se laissant aucun rĂ©pit.

C’est un peu comme une voiture de sport, roots, simple, ça ne vous pardonne aucune erreur mais c’est terriblement jouissif.

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Il y a 6 heures, GOONIES a dit :

 💘Je kiffe, super choix de topic @akumasan ! qui pourrait aussi s’intituler spĂ©cial ”tendinites et ampoules”, car oui le shoot c’est la vie mais une vie trĂ©pidante et mouvementĂ©e  nĂ©cessitant de l’entraĂźnement et une sacrĂ©e condition physique, une mĂ©moire aussi grande que celle de RainMan et Einstein reunis,  une vision nocturne, sans cligner des yeux pendant plusieurs heures au risque de perdre une vie pour une saletĂ© de missiles errants en plein milieu de l’écran👀, ou encore des pouces 👍qui rĂ©pondent  au doigt et Ă  l’Ɠil  (Ă©norme ce jeu de mot), une vista de tous les instants. J’adhĂšre totalement, l’amateur de shoot est une espĂšce Ă  part qui dispose de rĂ©flexes Ă  enrhumer en mĂȘme temps Neymar et MBappe et qui ne vit que par l’adrĂ©naline et la vitesse. Je dis ”Heus, Yeah Baby”. 

 

Shoot du soir, Shoot plus tard (dĂ©solĂ© j ai pas trouvĂ© mieux😅). 

Call me Shooter !

 

Mon prĂ©fĂ©rĂ©.... c’est sentimental, une expĂ©rience, un morceau de choix, , 1992...

Tout le monde (ou du moins, les ProSega😉 - de trĂšs bon shoots sur snes aussi, pas de jaloux) a entendu parler de la sĂ©rie des Thunderforce, mythe ou lĂ©gende, il est temps de tester, de se faire sa propre opinion.... je casse la tirelire, 399 F.

Une belle somme pour l’époque. la boĂźte s’ouvre, la cartouche se glisse dans la console, et là : PAF !Â Â đŸ€©Â dans ma petite face de gamin, une intro Ă  rĂ©veiller un mort qui te plonge immediatement dans l’ambiance shoot, what’s the f...k ! Tu sais deja que ça va ĂȘtre raide et que tu n’es pas lĂ  pour rigoler...

 

ThunderForce IV Ă©videmment, le shoot horizontal qui tue. Éloge d’un petit bijou, mon graal de shooter pour l’époque, la megadrive repoussĂ©e dans ces derniers retranchements, du scrolling en veux tu, en voilĂ ,  et une Ă©quipe de TechnoSoft au sommet de son art aprĂšs le furieux numĂ©ro 3. Ardu pour les plus hardis, sans cheatcode bien sĂ»r.... et puis cette BO qui me fait vibrer, qui conditionne le gameplay et qui frĂŽle le mĂ©tal.Â đŸ€˜

Bref, un sentiment, un feeling, une experience indefinissable pour ce jeu dur, hostile et envoutant, mon premier shoot qui m’a fait vraiment rentrer dans ce genre.

 

Mon maßtre etalon du genre.  

 

Un petit goût de reviens y .... 

 

 

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Là tu tape dans le gras mon GOONIES. 😉

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Je me suis un peu tùter sur du shoot em up (all ?) mais celui que j'ai toujours adoré à l'exception de Gradius 3 et de la série Trouble Shooter ou encore Grey Lancer (toujours sur Megadrive)  , il s'agit de Progear un jeu développé par Cave et éditer par Capcom qui est le seul véritable maniac shooter auquel j'ai voulu maitrisé.

Ce qui m'avais marqué était qu'on pouvait choisir sa co-pilote et qu'en fonction de notre performance elle pouvait tombée amoureuse du pilote, c'est con mais j'ai bien aimé ce systÚme.
 

 

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Salut DrunkenPenPen, je me suis Ă©galement prĂȘter a l'exercice et cela donne ça.

🔰 Peut-ĂȘtre le plus beau Shoot 'em up sur le systĂšme CPS-Ⅱ.

C'est un peut pour moi, le Metal Slug du Shoot 'em up !

Le jeu de chez Cave est un des meilleurs Shoot du genre, avec un design graphique et avec une des meilleurs ambiance sonore va passer au banc test. Au passage j'oublie pas Guwange bien sur.

 

Progear est un jeu vidĂ©o de type shoot 'em up dĂ©veloppĂ© par Cave et Ă©ditĂ© par Capcom uniquement sur le Capcom Players System Ⅱ en janvier 2001.

Toujours est encore le fameux CPS-Ⅱ.

Il est resté le seul shoot them up à orientation horizontale développé par Cave.

Réputé pour ses jeux à scrolling verticaux jusqu'à l'apparition de Deathsmiles en 2007, ce jeu reprend le moteur graphique crée par Tsuneki Ikeda.

 

Progear est le premier shoot 'em up à scrolling horizontal développé par Cave.

Il est possible de choisir entre deux avions aux caractéristiques différentes (tir large ou concentré) ainsi qu'entre trois canonniers ayant eux aussi un tir propre (bombe explosive, boulet de canon ou missile suiveur).

 

Le joueur doit se frayer un chemin parmi les labyrinthes formés par les tirs ennemis, dans la pure tradition du manic shooter.

Les niveaux sont trĂšs courts, et se terminent comme il se doit par un affrontement avec un boss de taille imposante.

Le systĂšme de scoring sait rester simple et les paterns sont lisibles, mĂȘme si ça se complique nettement dans les derniers niveaux.

 

En somme un Grand Jeu !!!

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🔰 Sorti sur borne Arcade en 1999 par Sammy Corp ce Shoot'em up est trùs particulier, je m'explique.

Change Air Blade semble trĂšs classique et trĂšs commun quand on se contente de le voir tourner.

Mais quand on y joue, c’est lĂ  qu’on se rend compte que l’on est en prĂ©sence d’un shmup qui bouscule allĂšgrement les codes fondamentaux du genre.

 

Change Air Blade un jeu si spécial.

On tient là un hybride entre shooter à l’ancienne et bullet hell.

Change Air Blade opte rĂ©solument pour le modĂšle tirs rapides et agencĂ©s qui se rapproche du modĂšle des jeux crĂ©e par Psikyo que je vĂ©nĂšre comme il le mĂ©rite. Graphiquement c’est sans surprise mais trĂšs convenable quand mĂȘme, le jeu mise tout sur une excellente lisibilitĂ© et vu le nombre important de tirs diffĂ©rents Ă  l’écran, c’est un atout.

La bande son est trĂšs discrĂšte mais compensĂ©es par d’excellents bruitages diversifiĂ©s tirs, explosions, crash, destruction de vaisseaux Ă©normes

Bref Ă  la guerre comme Ă  la guerre ! Avec une maniabilitĂ© optimale qui varie selon l’engin que vous choisirez.

Mais lĂ , c’est dĂ©jĂ  Ă©voquer tout le particularisme du titre, qui en fait d’ailleurs tout le charme !

 

Le principe de Change Air Blade est celui d’un versus shooter.

Une fois encore je m’explique : Vous choisissez votre engin, et dùs lors, tous les autres deviennent les cibles à abattre au travers des 8 missions du jeu.

Chaque niveau est en fait une course-poursuite entre vous et un avion adverse.

Le principe de Change Air Blade est celui d’un versus shooter.

Une fois encore je m’explique : Vous choisissez votre engin, et dùs lors, tous les autres deviennent les cibles à abattre au travers des 8 missions du jeu. Chaque niveau est en fait une course-poursuite entre vous et un avion adverse.

 

Mais il ne s’agit pas de simplement tirer sur un avion !

Chaque niveau comporte des ennemis judicieusement agencés, chaque cible libÚre item bonus médailles à valeur variable, items bombe, power up.

Les bombes se gagnent un peu comme dans Battle Garegga, il faut collecter un nombre dĂ©fini d’item pour emplir un jauge.

Sachant cependant qu’il n’est pas nĂ©cessaire d’avoir une jauge pleine afin de lĂącher sa bombe, mais moins la jauge sera remplie, moins l’effet de la bombe sera long et destructeur.

Et un bonus spécial, dont je reparlerai plus loin.

 

Chaque avion a ses forces et ses faiblesses et une bombe bien spécifique.

Vitesse, déploiement et puissante du tir et de la bombe.

Certains engins comme le F36B Blaster sont hĂ©las bien plus puissants que d’autres, ce qui dissuade de jouer avec un autre avion, mais bon, c’est une expĂ©rience Ă  tenter. Chaque avion dispose d’atouts, au joueur d’en tirer le meilleur parti.

 

Change Air Blade est Ă©galement un jeu riche en rebondissements Ă  tout moment, l’avion adverse peut se changer en un boss de fin de niveau, et ce plusieurs fois par stage ! Ce qui crĂ©e une pression inĂ©dite dans le genre tout entier on ne sait ni combien de boss vont vous assaillir, ni quand ils vont vous assaillir, le pied !

Votre engin dispose de trois barres qui sont autant de vies.

Et le jeu vous obligera Ă  une stricte gestion des projectiles.

En effet, dans Change Air Blade, il n’est pas question d’esquiver tous les tirs ennemis.

Certains d’entre eux ne feront qu’entamer votre barre de vie, lĂ  oĂč d’autres seront mortels !

Vous m’avez compris il y aura des fois oĂč il faudra choisir quel tir prendre dans la courge afin de limiter la casse !

La jeu vous octroie un bonus de vie entre chaque mission.

Une fois la zone franchie et les 3 barres de l’avion adverse Ă©puisĂ©es, vous remportez la victoire.

 

En solo, Change Air Blade est dĂ©jĂ  trĂšs particulier, les plus tĂ©mĂ©raires d’entre nous peuvent mĂȘme laisser l’ennemi se changer en boss 3 ou 4 fois par stage !

Ce qui donne un jeu qui s’apparente Ă  un vrai « shoot'em up Ă  boss », et de plus ça permet de maximiser son score


Cherchez bien : connaissez-vous un autre jeu qui permet d’affronter un nombre alĂ©atoire de boss, sans qu’on sache oĂč ils vont surgir ?

Et leur entrĂ©e en scĂšne est impressionnante, magistrale, et pour ceux qui aiment les patterns façon Psikyo, c’est le top !

 

En conclusion :

Change Air Blade est un jeu trĂšs rĂ©ussi techniquement, mais au concept radicalement original qui en fait un titre unique et Ă  mon sens le versus shooter le plus abouti, devant mĂȘme l’excellent Twinlkle Stars Sprites sur MVS.

Oui monsieur, ce jeu est une tuerie, seul et Ă  deux, oĂč il devient quasiment inĂ©puisable.

Un megahit qui remporte le prix de l’originalitĂ© en plus de l’énorme privilĂšge d’intĂ©grer le club trĂšs select de la « Yace Best Selection ».

 

 

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Amis Shooters😈, je consulte, de temps Ă  autres, ces sites dĂ©diĂ©s au shoot avec de bonnes dĂ©couvertes, en plus de vos conseils et reco, ça peut vous intĂ©resserÂ đŸ€“

 

http://shmup.com/ alias le petit monde du shoot avec un magnifique bandeau d’accueil qui reprend les plus cĂ©lĂšbres vaisseaux qui ont marquĂ© leur Ă©poque, Ă  vous de les reconnaitre’ j’avoue c’est pas trop dur ...

 

https://shmupemall.com/

 

La communauté des shooters reste bien active ! 

 

Call me Shooter !

 

 

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Akai Katana (Arcade System CV1000.D)

🔰 Sorti au Japon en 2010 sur borne Arcade, Akai Katana est un Shoot'em up a Scrolling horizontal et en tant que joueur Hardcore de Shoot'em up, Akai Katana est fait pour moi.

Le Gameplay est plutĂŽt simple, lorsque vous entrez sous forme d'esprit, vous ĂȘtes invincible tant que vous ne tirez pas avec votre arme.

 

Les munitions ennemies rebondissent simplement autour de vous jusqu'Ă  ce qu'elles s'entassent dans une mer de plus de 200 balles roses, bleues et rouges un vrai feu d'artifice.

Afin de nettoyer les débris, vous devez détruire les ennemis proches qui les ont engendrés sous forme d'esprit.

Cela crée une boucle de rétroaction dans un tourbillon de balles.

En somme un vrai festival.

 

Le pitch est des plus basique, situĂ© dans un monde parallĂšle ressemblant Ă  la pĂ©riode Taishƍ du Japon, le peuple a dĂ©couvert les puissantes Ă©pĂ©es de sang.

Nécessitant des sacrifices humains pour libérer leur immense pouvoir destructeur, ces épées ont été utilisées par l'empire pour écraser les pays voisins.

Cependant, tout le sang versé et le pouvoir gagné en sacrifiant des membres de la famille proche ont amené certains épéistes à reconsidérer.

Avec de nouveaux avions de combat et des épées sous tension à leur disposition, ce petit groupe de rebelles se bat désormais contre l'empire tyrannique.

 

Une fois le jeu lancé, on arrive sur la page titre classique des jeux CAVE.

On a le choix entre 3 personnages/avions, chacun possùde un petit module qu’on dirige autour de l’avion.

C’est trùs similaire à DeathSmiles avec ses petits animaux de compagnie.

 

Suivant l’avion choisi, le module est fixe ou mobile, en tirant en continu ou en alternĂ©.

Puis vient le choix entre 2 types de commandes :

 

Le bouton A, comme dans beaucoup de jeux CAVE permet d’avoir 2 tirs, avec la concentration du tir et dĂ©placements ralentis quand on laisse appuyĂ©.

Le bouton B permet de bomber.

Le bouton C sert d’autofire. Le bouton D permet de passer en mode hyper.

 

Un petit module est attachĂ© Ă  votre avion par une ligne d’une longueur fixe.

Quand le module est en contact avec un ennemi et que vous tirez, cela génÚre des bonus verts La distance avec le module étant assez courte, cela demande un petite prise de risque.

Les bonus verts remplissent une jauge verte.

Quand vous activez la transformation, la jauge verte se vide doucement.

Une bulle de protection se forme autour de vous, et fait rebondir les tirs ennemis.

Cette bulle n’est protectrice qu’en mode de tir automatique, tir trĂšs peu puissant impossible de dĂ©truire des ennemis de taille moyenne.

En restant appuyé sur le tir, vous obtenez un laser trÚs puissant mais de courte portée.

En tuant les ennemis ainsi, vous accumulez des points, mais vous n’ĂȘtes plus protĂ©gĂ© par la bulle et n’importe quel tir ennemi peu vous toucher, vidant d’un coup votre jauge verte.

 

Dans cet opus vous disposez de moyens d'attaque surpuissantes lorsque vous entrez sous forme d'esprit, vous pouvez envoyer ces orbes à travers l'écran pour une attaque dévastatrice.

En plus de cela, vous pouvez également gagner des katanas géants en battant des ennemis sous forme d'esprit.

MĂȘme s'il y a de grande similitudes avec Deathsmiles pour son Gameplay et Progear pour ses graphismes, pour ce jeu CAVE est revenu aux sources avec ses sprites signature dans une version initialement crĂ©e pour l'arcade.

 

L'OST ainsi que les bruitages sont trÚs classique mais n'en reste pas moins trÚs efficace, pour le reste c'est un vrai régal pour les yeux avec ses essaims surréaliste de balles et de piÚces d'or qui entourent votre machine volante.

CAVE et Rising Star Games a fait un travail admirable, pour les fans du genre car Akai Katana est l'un des meilleurs Shoot que je connais, vous pourriez vous retrouver à monter au paradis des balles si vous consacrez du temps à apprendre les mécanismes obscurs mais absolument passionnants du jeu.

En somme je vous le conseil trĂšs fortement pour les fans de Shoot'em up a scrolling horizontal.

 

NB: C'est en discutent avec Mr Q de la chaine Lord Paddle que j'ai eu l'idée de vous présentez cet opus.

 

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🔰 Deathsmiles est un shoot them up Ă  scrolling horizontale de Cave sur le systĂšme CV1000, ce titre se veut rĂ©solument loufoque en faisant intervenir sorciĂšres, vaches gĂ©antes et autres crĂ©atures originales. Ce jeu se diffĂ©rencie du genre par son style et ses influences gothiques.

Il est le deuxiÚme shoot them up à scrolling horizontal de la société, aprÚs Progear.

 

Contrairement au systÚme de vie sur les shoot them up classiques, le joueur a une quantité de points de vie donnés (3 par défaut).

1 point est perdu quand le joueur est touché par une balle ennemie, 1/2 point pour un autre type d'attaque ennemi ou pour une collision avec un ennemi.

Le jeu se termine lorsque le joueur perd tous ses points de vie.

Ces points de vie peuvent ĂȘtre restaurĂ©s par des items, et le nombre maximum de points de vie peut ĂȘtre augmentĂ© quand le joueur atteint certains scores (par dĂ©faut, 20 et 45 millions de points).

 

Deathsmiles Mega Black Label est une édition limitée à 150 exemplaires du jeu.

Elle contient les contenues suivants :

-Un nouveau personnage jouable (Sakura).

-Un niveau supplémentaire, Crystal Shrine.

-Le niveau de difficulté 999.

 

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🔰 DĂ©veloppĂ© et Ă©ditĂ© par Seibu Kaihatsu, Raiden Fighters est un Shoot'em up Ă  scrolling vertical sortie en 1996 sur borne Arcade.

Quand on parle de Raiden, on pense de suite Ă  ce shoot'em up classique de l’Arcade, qui en dĂ©pit d’une rĂ©alisation somme toute trĂšs commune, a su exercer ce magnĂ©tisme sur les joueurs, qui en oubliaient par lĂ  mĂȘme que ce jeu Ă©tait un mange-piĂšces de premier ordre.

Pour illustrer le charme envoĂ»tant des productions classiques du shoot 'em up, je vois difficilement meilleur exemple. Faut dire qu’à l’époque, ce titre m’avait bien dĂ©pouillĂ© de mon argent de poche destinĂ© Ă  la base Ă  payer de quoi manger le midi.

 

De nos jours, la sĂ©rie Raiden a un tout nouveau souffle, souffle quelque peu artificiel cependant Seibu avait dans l’idĂ©e de crĂ©er une nouvelle sĂ©rie de shoot'em up qui au dĂ©part devait s’intituler "Gun Dog" Bon, finalement le chien flingue ne fut pas retenu et Seibu baptisa sa nouvelle sĂ©rie de Shoot du nom de sa glorieuse saga Raiden.

Et voilĂ  comment on fait d’une pierre deux coups on reste fidĂšle Ă  la sĂ©rie qui a causĂ© sa cĂ©lĂ©britĂ©, et dans la foulĂ©e on attire immĂ©diatement l’attention sur un jeu pourtant tout nouveau. Ainsi nait Raiden Fighters Et autant le dire de suite et illico presto, c’est une franche rĂ©ussite.

 

PremiĂšre surprise :

On a dĂ©sormais le choix entre 5 vaisseaux un nombre qui s’en ira croissant dans les suites de ce jeu, et ĂŽ sacrilĂšge, nos deux Raiden adorĂ©s ont purement et simplement disparu. Chaque nouvel appareil a ses forces et ses faiblesses et bĂ©nĂ©ficie d’un arsenal simple mais efficace: un tir frontal, et un tir secondaire secondaire n’est peut-ĂȘtre pas vraiment le mot, son importance est rien moins que capitale, et d’une smart bomb qui, Ă  la diffĂ©rence de celle du premier Raiden, a Ă©tĂ© conçue pour la dĂ©fense elle explose de suite mais n’inflige que peu de dĂ©gĂąts. Et Ă©galement de deux satellites de tirs pour parachever le tout.

 

Seconde surprise :

Le rythme du jeu a fait l’objet d’une refonte totale.

Un des principaux reproches faits Ă  Raiden et Ă  Raiden Ⅱ dans une moindre mesure s’agissant de ce dernier il est vrai Ă©tait la lenteur parfois agaçante des dĂ©placements de l’engin, surtout Ă  partir des niveaux supĂ©rieurs, ce qui faisait de ces niveaux de vĂ©ritables cauchemars.

Ici, zou, balayĂ©e cette allure modĂ©rĂ©e, tout est ultra rapide, tout fuse vitesse grand V, les ennemis tirent vite et souvent bien. Le joueurs devra anticiper les tirs -notons l’apparition de motifs de tirs rĂ©ellement Ă©laborĂ©s dans cet Ă©pisode et tout se fera aux rĂ©flexes de derniĂšre minute ou plutĂŽt de dernier instant. Ce qui donne un gameplay furieux, instinctif et pĂȘchu, comparable Ă  celui des pires niveaux de Raiden et Raiden Ⅱ, mais cette fois avec un appareil qui en a dans les rĂ©acteurs.

Un mot d’ordre: TOTALE DESTRUCTION !

 

TroisiĂšme surprise :

Le scoring system s’étoffe.

Raiden Ⅱ proposait dĂ©jĂ  deux types de mĂ©dailles, ici le jeu opte pour un systĂšme de chaine, faisant passer la valeur des mĂ©dailles de 10 Ă  10.000 points sous rĂ©serve d’en cueillir un nombre suffisant pour faire grimper leur valeur d’un palier Ă  un autre et de ne pas en rater.

Perdre une vie brise Ă©videmment la chaine de bonus, cependant le nombre de bombes restantes n’interfĂšre plus sur le score en fin de level. De mĂȘme, Raiden Fighters propose de nouvelles techniques de tuerie qui rapportent bonbon:

Les « Quick Shot » ou le fait de descendre rapidement un ennemi plus rĂ©sistant que le moyenne, et les « Destroyed at Time », ou le fait de dĂ©truire une partie d’un boss avant que celle-ci n’ait eu le temps de larguer la purĂ©e.

Ce qui contribue encore plus au coté nerveux et frénétique du gameplay. Ces techniques de scores seront reprises et encore étoffées dans les opus suivants.

 

Et comme Ă  l’accoutumĂ©e dans Raiden, c’est quand mĂȘme bien costaud, on a affaire Ă  forte partie, le jeu devient vite un enfer, mais il sait toujours motiver le joueur Ă  aller plus loin avec son challenge Ă©quilibrĂ© tout en Ă©tant assez Ă©levĂ©.

 

Graphiquement on sent quand mĂȘme l’influence de Raiden Ⅱ, la bande sonore est constituĂ©e d’airs vaguement technoĂŻdes qui ont le mĂ©rite d’ajouter Ă  l’intensitĂ© de l’action. les bruitages sont proches d’ĂȘtre exemplaires.

 

Un excellent titre qui annonce avec brio de la renaissance de Raiden, un shoot moderne sans renier le classicisme originel avec une harmonie et un Ă©quilibre assez rares et inĂ©galĂ©s. bref, Raiden, mĂȘme si on change quelque peu la recette, ça reste indispensable et extrĂȘmement plaisant. Une valeur sĂ»re pour une sĂ©rie qui a ses entrĂ©es au PanthĂ©on du shooting game.

 

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  • 2 weeks later...

🔰 Sorti en 2006 sur borne d'arcade uniquement au Japon Ibara Kuro Black Label est un shoot'em up a scrolling vertical de type Manic Shooter, dĂ©veloppĂ© par CAVE.

Contrairement à la majorité des version Black Label de chez CAVE, ce Ibara Kuro Black Label est un jeu profondément différent de sa version standard qui est sorti un an avant sur le system arcade CV1000

 

Visuellement tout d’abord, on note l’apparition d’une jauge de Rank donnant le niveau de difficultĂ© du jeu, des barres de vie des boss, de tout un tas de compteurs qui apparaissent Ă  l’écran et d’une zone circulaire autour de l’avion qui symbolise le principal changement de cette version c'est la zone de scratch.

 

Le jeu se joue avec trois boutons :

â–ș Le bouton A devient le tir appeler le Cave Style. Il ralenti l’avion, oriente automatiquement les modules annexes vers les ennemis donnant une impression de puissance bien supĂ©rieure Ă  l’Ibara standard et fait apparaĂźtre la zone de scratch.

â–ș Le bouton B reste la bombe, avec sa variante “Hado Gun” si on le maintient et qu’on a une bombe pleine en stock. Petite diffĂ©rence, seule la partie avant du Hado celle qui avance fait apparaĂźtre des bonus.

â–ș Le bouton C devient le tir le Raizing Style, exactement comme dans le premier Ibara.

 

La plupart des patterns ennemis et le level design global sont similaires Ă  Ibara standard.

On remarque tout de mĂȘme quelques dĂ©tails bien finement modifiĂ©s comme par exemple le premier pattern du 2Ăšme boss qui devient enfin nĂ©gociable pour le commun des mortels, ou la meilleure lisibilitĂ© globale des boulettes pas de trainĂ©es floues, ou encore la hit box visible pendant le scratch mode bouton A.

 

Dernier état des modifications notable par rapport à Ibara Classique, c'est la tracklist subit trois modifications aux niveaux un, quatre et le niveau cinq.

 

Comme tout Black Label qui se respecte, le scoring system est au cƓur du game play.

On garde les mĂ©dailles chĂšres Ă  Raizing, sauf qu’elle peuvent ĂȘtre aspirĂ©es automatiquement par l’avion du joueur, autorisant plus de flexibilitĂ© dans les dĂ©placements si on veut conserver sa chaĂźne.

Les médailles commencent la mécanique de scoring optimale de Ibara Kuro Black Label :

â–ș Ramasser des mĂ©dailles fait monter le Rank.

â–ș Le Rank fait grandir la zone de scratch elle devient rouge et les tirs ennemis peuvent inonder l’écran ! Chaque boulette scratchĂ©e monte un compteur, le XTC.

â–ș Lorsqu’on rĂ©alise un bullet cancel les boulettes sont converties en roses et le XTC multiplie la valeur des roses. â–ș les roses ramassĂ©es baissent le rank et gonflent le score.

 

On peut et on doit néanmoins moduler la séquence tout au long du jeu.

Et c’est lĂ  que le jeu fait fort, car mĂȘme si certains chemins semblent bien meilleurs on arrive toujours Ă  retrouver une bonne dose de points et de fun en expĂ©rimentant des trucs.

On peut aussi facilement juguler le Rank et voir l’impact de ce qu’on fait grñce à la jauge à coup de bombe dans un pattern pour calmer le jeu et se concentrer sur la survie.

 

Avec seulement deux vaisseaux et les mĂȘmes jolis graphismes que Dodonpachi et comme Dodonpachi on meurt souvent, on perd toutes ses armes quand on meurt et le boss final qui nous shoot toutes les deux secondes. Bon faisons un deuxiĂšmes run, et lĂ  c'est dĂ©jĂ  beaucoup mieux, on maĂźtrise et c'est quand mĂȘme cool tous ces missiles Le troisiĂšme run est jouissif, on est super puissant, on Ă©vite les boulettes. Il y a vraiment des moment oĂč ça part en live, mais quel pied tout de mĂȘme !

 

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Je me suis fini y a pas longtemps Air Gallet qui est juste super bon et j'aime beaucoup les ost! 🙂

Niveau difficulté

Comme tout shoot d'Arcade qui se respecte c'est un jeux qui nous demande d'utiliser autant de crĂ©dit (comme tout autre shoot), beaucoup de skill, aussi c'est trĂšs fluide et nerveux sur certain moment mais sinon c'est trĂšs maniable 🙂.

Et pour finir

Le dernier boss qui est juste super compliquer (heureusement qu'il existe le Free Play) si comme moi vous-ĂȘtes novice (mdr).

Donc pour ceux ou celle qui commence l'univers des shoot commencer par les gros classique comme galaga ou galaxian 😉

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Il y a 2 heures, RichterB a dit :

Je me suis fini y a pas longtemps Air Gallet qui est juste super bon et j'aime beaucoup les ost! 🙂

Niveau difficulté

Comme tout shoot d'Arcade qui se respecte c'est un jeux qui nous demande d'utiliser autant de crĂ©dit (comme tout autre shoot), beaucoup de skill, aussi c'est trĂšs fluide et nerveux sur certain moment mais sinon c'est trĂšs maniable 🙂.

Et pour finir

Le dernier boss qui est juste super compliquer (heureusement qu'il existe le Free Play) si comme moi vous-ĂȘtes novice (mdr).

Donc pour ceux ou celle qui commence l'univers des shoot commencer par les gros classique comme galaga ou galaxian 😉

Air Gallet est un trÚs bon Shoot'em up un gros classique de l'arcade. 

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Le 06/11/2021 à 17:05, akumasan a dit :

Celui-ci est plus rare.
Pourtant c'est ce jeu qui a lancer le Manic Shooter.

🔰 Sorti en 1993 sur borne d'arcade, Batsugun est un shoot'em up Ă  scroling vertical conçu par le dĂ©veloppeur japonais Toaplan.

Souvent prĂ©sentĂ© comme le pĂšre des manic shooter, Batsugun est le dernier shoot dĂ©veloppĂ© par Toaplan avant sa banqueroute et que le reste des Ă©quipes n’aille rejoindre la team Cave.

Vous ne serez donc pas Ă©tonnĂ©s si je vous dis que ça va vite, trĂšs vite et que l’on a affaire Ă  un shoot de bonhomme, du genre qui se parfume au gasoil.

 

NB: J'avais treize ou quatorze ans quand je connu cette borne d'arcade et j'en garde un super souvenir, c'était l'époque 103 SP et Borne Arcade.

 

Comme toujours chez Toaplan, les sprites sont variés et bien détaillés, les décors super fins la transition plage/mer du niveau deux est hallucinante de qualité et les tirs hostiles sont rapides et vicieux.

Les boulettes sont lĂąchĂ©es dĂšs que le vaisseau ennemi apparaĂźt Ă  l’écran voir avant, les ennemis arrosent copieusement et se pointent en rangs serrĂ©s pour donner au final un challenge plutĂŽt relevĂ©.

 

Heureusement, la maniabilitĂ© du vaisseau choisi parmi les trois styles de shoot disponible de plus le systĂšme d’upgrade vraiment bien pensĂ©, combinant power-up et expĂ©rience Ă  noter que se faire toucher augmente la jauge d’expĂ©rience des tirs lorsque vous ĂȘtes au taquet level trois les tirs recouvrant alors une bonne partie de l’écran.

Revers de la médaille, les boulettes ennemies sont masquées par le déluge de feu, ce qui peut à la longue vous rendre soit aveugle soit épileptique, particuliÚrement en face de boss qui défouraillent sévÚre genre aux deux derniers niveaux.

Cependant, on a toujours l’impression de pouvoir passer entre les balles avec le bon timing et Ă  condition de ne pas laisser les mĂ©chants s’installer dans l’aire de jeu.

 

Pour un jeu sorti en 1993, Batsugun tient encore la route aujourd’hui en proposant une action intense et ne se laissant aucun rĂ©pit.

C’est un peu comme une voiture de sport, roots, simple, ça ne vous pardonne aucune erreur mais c’est terriblement jouissif.

Qu'est-ce que j'adore ce jeu ! one crédité la premiÚre loop à l'époque quand j'avais encore ma Sega Saturn ! Oui ce jeu (surtout la version Sp de Batsugun) et V-V/Grind Stormer ont créés à eux deux les manic shooter ! et oui comme tu le souligne, une partie des devs de ce Batsugun et Batsugun SP ont ensuite créés le Studio CAVE et ont donc bossé donc sur Donpachi (dans le tableau des high scores on peut y lire TOAPLAN Forever en vertical de haut en bas si on regarde bien), et sur Dodonpachi !. J'adore ce studio (TOAPLAN pour lequel j'ai énormément de respect), des jeux comme TATSUJIN, TATSUJIN HO alias TRUXTON et TRUXTON 2 ou VIMANA, DOGYUN, OUT ZONE, FIX EIGHT, BATSUGUN sont de pures merveilles de pixel art 2D, et des jeux géniaux au niveau du gameplay et de leurs ambiance !, des jeux qui ont créé la définition du shoot vertical moderne dans toute leur essence, pas pour rien que ces mecs qui bossaient chez TOAPLAN ont ensuite créé CAVE, CAVE à ses débuts était la continuité spirituelle de TOAPLAN !. 

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🔰 Espgaluda Ⅱ est un shoot'em up a scrolling vertical dĂ©veloppĂ© par CAVE en 2005 sur borne d'arcade sur le systĂšme arcade CV1000-B, et une fois encore uniquement au Japon.

Trois personnages disponibles avec chacune leurs caractéristiques propres :

â–șAgeha.

â–șTateha.

â–șAsagi.

Pour rĂ©sumer ça de maniĂšre simpliste Ageha est le plus Ă©quilibrĂ©, Tateha dispose d’un tir plus large au dĂ©triment de sa vitesse et Asagi un tir central et des espĂšces de fantĂŽmes qui peuvent locker les ennemis ultra pratique contre certains boss !

Le systĂšme typique de Cave tir martelĂ© ou maintenu avec un Guard Barrier (bouclier) s’accompagne du bouton B qui dĂ©clenche le mode Kakusei.

 

On s’accroche car là le tout se complique.

En haut de l’écran on identifie deux compteurs un pour les gemmes vertes et l’autre pour l’or.

Pour collecter les gemmes il suffit de détruire les ennemis et cela permet ensuite de passer en Kakusei en appuyant sur B.

Du coup les boulettes sont ralenties et en dĂ©truisant l’ennemi qui les tire on rĂ©cupĂšre de l’or.

Ce systÚme couplé à un multiplicateur donne vite un max de points.

Mais l’utilisation du Kakusei consomme des gemmes et quand il ne nous en reste plus que ce passe t-il ?

 

Les ennemis ne rapportent que de l’or et le multiplicateur disparaüt.

J’espùre que vous suivez encore car il reste le Zesshikai.

Pour l’enclencher on maintient B quelques secondes.

Ainsi les compteurs de gold et de gemmes diminuent en mĂȘme temps mais surtout les boulettes prĂ©sentes Ă  l’écran se multiplient sauf contre les boss.

Alors hop on dĂ©truit les ennemis qui ont prĂ©alablement remplis l’écran de boulettes avec le bullet cancel et grĂące au multiplicateur ça rapporte !

 

Le principe du scoring rĂ©side donc dans l’utilisation appropriĂ©e, voire millimĂ©trĂ©e du Kakusei pour convertir le plus possible de boulettes en points.

Il est aussi possible d’augmenter son rank de Kakusei.

Pour ce faire il faut entrer en OverHeat et un cercle apparait autour de votre personnage qui peut faire quatre fois le tour.

Aprùs les ennemis lñchent plus de gemmes en jouant normalement et d’or en mode Kakusei.

La contrepartie c'est des boulettes encore plus rapide en mode Over. Mais mĂȘme si vous perdez une vie ce rank ne changera pas.

 

Pour ĂȘtre complet le bouclier (Guard Barrier) se vide de 25 % Ă  chaque utilisation en appuyant juste sur le bouton.

Plus on le maintient plus le tir devient puissant. Par contre pas de gemmes de gagner donc Ă©viter pour scorer de l’employer.

En mode Kakusei et Zesshikai le bouclier et automatique mais vide plus vite la jauge pour moitié pour le Kakusei et entiÚrement en Zesshikai.

 

Ainsi beaucoup d’élĂ©ments sont Ă  assimiler et Ă  maitriser.

Chacun des autres possÚde des spécificités de scoring qui modifient complÚtement la façon de jouer.

En plus clair le dĂ©roulement des niveaux restera identique mais on aura l’impression de s’amuser Ă  un autre jeu et j’exagĂšre Ă  peine.

Imaginez le nombre d’heures nĂ©cessaires, la durĂ©e de vie absolument faramineuse du titre rĂ©clame par ailleurs un investissement assez consĂ©quent et rendra le soft moins accessible aux joueurs lambdas.

 

Attention cependant Ă  ne pas voir trop gros et prendre une boulette en repassant en mode normal.

CAVE a prĂ©vu une barre d’invincibilitĂ© qui ralentit fortement les boulettes Ă  votre approche.

Bien sur celle-ci n’est pas illimitĂ©e et l’employer avec parcimonie sera de rigueur.

Pour avoir encore plus de boulettes on peut déclencher le Zesshikai à vos risques et périls car chaque boulette frÎlée se divise.

En Zesshikai une barre d’invincibilitĂ© apparaĂźt aussi cercle vert foncĂ© autour du personnage pour se protĂ©ger mais se vide trĂšs rapidement.

 

Comme chez CAVE on est des grands malades de la boulette il est possible d’augmenter le rank.

Cela rend les patterns plus touffus et denses.

Quand on finit le jeu direction les options pour l’accroitre petit à petit.

AprÚs le déferlement de boulettes et absolument ahurissant et du coup le score peut atteindre plusieurs milliards.

Une vrai orgie bluffant et trĂšs gratifiant.

 

Heureusement le soft est absolument magnifique graphiquement, une merveille de chez CAVE avec des détails partout et des effets visuels bluffant.

Vraiment du grand art et les musiques collent parfaitement Ă  l’action. Intense et frĂ©nĂ©tique certains modes ne vous laisseront pas une minute de rĂ©pit.

Certains patterns complĂštement dĂ©ments sont trĂšs jolis Ă  voir en mouvement mĂȘme si souvent on les prend en pleine face.

Mais chez CAVE l’abondance ne nuit pas grĂące Ă  la multitude des modes chaque joueur trouvent une difficultĂ© en accord avec ces capacitĂ©s.

 

De prime abord ce shoot n’est pas vraiment un shoot accessible pour tous.

En fait il faut surtout passer par un apprentissage indispensable afin de profiter des richesses inouïes d’Espgaluda Ⅱ.

Car ce jeu mĂ©rite sans conteste les galons de titre culte encore faut il avoir le temps nĂ©cessaire pour s’y frotter et dĂ©passer sa complexitĂ©.

 

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Le Mega CD de Sega, un veritable objet de dĂ©sir lors de sa sortie. BranchĂ© sur ma bonne vieille megadrive et plugge sur ma chaĂźne stereo en mode auxiliaire Ă  l’époque... une machine de guerre (ou presque 😉), Ambiance CD garantie.

Arme de mon pad 3 boutons, j’insere delicatement le CD de Silpheed dans le lecteur, Sonic bouge l’index et hop une grosse baffe technique .... signĂ©e  GAME ARTS atmosphere Xwings garantie. 

 

 

 

Un trĂšs bon shoot (meconnu Ă  cause du support qui n’a malheureusement pas tenu toutes ses promesses) qui m’a bien fait vibrer à sa sortie avec cette prĂ©sentation superbe, une rĂ©alisation Ă©galement magnifique (des dĂ©cors a tomber qui immerge le shooter dans le jeu) et une bo sublime (voix off, musiques). Ci-dessous le premier niveau qui n'est qu’une toute petite mise en bouche ...Teasing 😋

 

 

 

Quelques points faibles : le design polygonal des adversaires, des tirs et des bonus ainsi que des bruitages un peu en deçà de la bo mais à part cela ... un vrai must have. 

 

Le test Console+ de l’époque đŸ€©, postĂ© par @Valekqui m’avait conduit au passage Ă  l’acte .... 

 

j’ai envie de dire, l’essayer c’est l’adopter. Dispo sur RS of course.

 

 

 

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il y a 16 minutes, GOONIES a dit :

Le Mega CD de Sega, un veritable objet de dĂ©sir lors de sa sortie. BranchĂ© sur ma bonne vieille megadrive et plugge sur ma chaĂźne stereo en mode auxiliaire Ă  l’époque... une machine de guerre (ou presque 😉), Ambiance CD garantie.

Arme de mon pad 3 boutons, j’insere delicatement le CD de Silpheed dans le lecteur, Sonic bouge l’index et hop une grosse baffe technique .... signĂ©e  GAME ARTS atmosphere Xwings garantie. 

 

 

 

Un trĂšs bon shoot (meconnu Ă  cause du support qui n’a malheureusement pas tenu toutes ses promesses) qui m’a bien fait vibrer à sa sortie avec cette prĂ©sentation superbe, une rĂ©alisation Ă©galement magnifique (des dĂ©cors a tomber qui immerge le shooter dans le jeu) et une bo sublime (voix off, musiques). Ci-dessous le premier niveau qui n'est qu’une toute petite mise en bouche ...Teasing 😋

 

 

 

Quelques points faibles : le design polygonal des adversaires, des tirs et des bonus ainsi que des bruitages un peu en deçà de la bo mais à part cela ... un vrai must have. 

 

Le test Console+ de l’époque đŸ€©, postĂ© par @Valekqui m’avait conduit au passage Ă  l’acte .... 

 

j’ai envie de dire, l’essayer c’est l’adopter. Dispo sur RS of course.

 

 

 

Techniquement ce jeu est juste incroyable, pour tout dire je le trouve mĂȘme plus impressionnant que Starfox, mĂȘme si Starfox c'est de la 3D temps rĂ©el, alors que lĂ  on est sur un shoot avec un dĂ©filement en 2D et un dĂ©roulement des dĂ©cors en 3D prĂ©calculĂ©e, mais le rendu Ă  mon sens est encore plus spectaculaire et cinĂ©matographique ! j'adore ce jeu ! (Starfox aussi, mais celui lĂ  a une place particuliĂšre pour moi, car trĂšs arcade, mais ça c'est l'esprit SEGA !)

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il y a 1 minute, GOONIES a dit :

”Sega ... c’est plus fort que toi” 😉 @DagonAzagthoth et ça le restera 😍

Ma console de cƓur la Megadrive, et j'ai toujours eu un Ă©norme affect avec les consoles SEGA, de la Megadrive jusque le chant du cygne avec la Dreamcast. Mais la Megadrive reste vraiment ma console de cƓur ! si j'avais eu la PC Engine et la PC Engine cd Ă  l'Ă©poque peut-ĂȘtre que ç'aurait pu changer la donne (quoique... ç'aurait Ă©tĂ© kif-kif en fait, parce que ces deux machines jouent dans la mĂȘme cour selon moi). 

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