akumasan Posted November 2, 2024 Share Posted November 2, 2024 🔰 Sorti en 2003 Metal Slug 5 déboule dans les salles d'Arcade pour faire son baroud d'honneur. C'est ainsi la fin de Metal Slug, sur les systèmes Neo·Geo MVS et AES. Cette version Plus ajoute trois nouveautés par rapport à la version origine : Il ajoute la possibilité à votre personnage, de passer à tout moment, de mince ou gros lorsque vous appuyez sur start. Ainsi que de revenir à la normale et une fois que vous avez ramassé une arme. Vous pouvez également changer d'arme en appuyant sur (D) Alors que dire de ce Metal Slug 5 ? Les gars de chez SNK Playmore ont dû revoir leurs copies pour cet opus, car ce sera le dernier sur le system MVS et AES. Dans leurs esprits, il faut passer le cap du très litigieux Metal Slug 4 ! On t'ils réussi ? Je dirai que Oui..! Un grand oui, car on revient de loin avec le 4. SNK Playmore a bien replie le cahier des charges pour ce grand Final. Ils ont fait les choses bien avec des graphismes détaillés et que des animations soignées, l'action et frénétique et l'humour parodique sont à l'origine de la notoriété de la série des Metal Slug. Et l'OST envoi du très lourd, c'est une des meilleurs de la Saga.. Mais mon gros problème, c'est quand même le manque de folie. À chaque fois, je trouve le jeu en dessous d'un Metal Slug 3 ou d'un Metal Slug X. On y retrouve quand même avec plaisir Tarma et Eri. Il n'y avait aucun reproche en particulier contre Trevor et Nadia, mais ils n'avaient rien apporté dans Metal Slug 4 alors que cela aurait l'occasion d'introduire des nouveautés spécifiques à chaque personnage. Entre cela et le fait qu'ils avaient moins de charisme que Tarma et Eri, le retour de ces derniers est une très bonne chose. Un nouveau mouvement apparaît, la glissade. Si on appuie simultanément sur (A) , le personnage, effectue une glissade, glissade pendant laquelle il peut tirer. Cela permet de passer sous certains tirs et de rester offensif. Par contre du côté des armes, pas grand-chose à signaler. Ce sont strictement les mêmes que dans Metal Slug 3 et 4, à ceci près que le Flame Shot arme pourtant présente depuis les débuts de la série a été supprimé. Même chose du côté des projectiles à envoyer avec le bouton. On peut dire au revoir aux Fire Bomb et Stone, il ne reste que la grenade classique comme dans le premier Metal Slug. Heavy Machine Gun Rocket Launcher Shot Gun Laser Gun Dual Machine Gun Enemy Chaser Drop Shot Iron Lizard Super Grenade Concernant les véhicules, on note l'apparition d'un nouveau char, le Slug Gunner. Ce dernier, qui n'est pas sans évoquer les véhicules-robots de Top Hunter, avance soit sur chenilles, soit en marchant ! Il y a aussi quelques autres joyeusetés, comme ce véhicule gigantesque qui ressemble à une araignée, ou encore à la voiture de type Fiat 500, équipée d'une mitrailleuse. Metal Slug Slug Flyer Slug Mariner Slug Gunner Spider Slug Tiaf 660 Pour la première fois dans la série, on n'affronte pas l'Armée rebelle. Cela implique que les ennemis sont totalement inédits même si, bien sûr, leurs engins ont parfois un goût de déjà-vu. Les missions sont au nombre de cinq. Tout commence par une jungle sud-américaine puis on poursuit le carnage dans un temple aztèque. La suite, on peut la commencer à la découvrir au travers de ces quelques images des trois premiers niveaux. Comme on peut s'en douter, à la fin de ces missions, des boss sont là pour bloquer votre progression ou au moins faire perdre quelques vies. Ils ont le mérite d'être plus inspirés que ceux de Metal Slug 4 et surtout ont des schémas d'attaque plus logiques. Le premier est assez original, c'est une réplique du Metal Slug en beaucoup plus imposant. Première chose, Metal Slug 5 enfonce son prédécesseur en termes de réalisation et d'originalité. Plus joli, plus réussi et plus varié au niveau du son, il fait oublier le faux pas de Metal Slug 4, ce dernier ayant pour lui son système intéressant de médailles. Metal Slug 5, c'est de la très bonne réalisation, mais il reste perfectible avec son animation qui gèle et ses bruitages mal échantillonnés. D'accord, cela reste trop anecdotique pour entâcher la qualité du jeu, mais les joueurs les plus exigeants ne manqueront pas de relever ces soucis. Par ailleurs, on retrouve un peu l'esprit du premier Metal Slug : on ne finit pas épuisé pour voir le générique de fin. Plus dynamique et digeste que le terrible Metal Slug 3, il saura plaire à ceux qui n'adhèrent pas à la surenchère. Metal Slug 5 n'est pas du niveau de Metal Slug, Metal Slug X ou Metal Slug 3, c'est indéniable. Cela reste un très bon épisode, un bon gros défouloir comme ont les aimes. Apportant pas mal de nouveautés à une série qui tournait sérieusement en rond avec le 4. Bien que ce ne soit pas celui à avoir en priorité, il est tout à fait digne de sa série et c'est bien là l'essentiel, offre un moment d'action pure, comme tout Metal Slug qui se respecte. CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted November 5, 2024 Author Share Posted November 5, 2024 Mazette ! https://megaforcemagazine.com/2024/11/preview-news-space-adventure-cobra/?fbclid=IwY2xjawGW7eJleHRuA2FlbQIxMQABHVej_ri4Oa7BXoVOVj21QdsSSQP521iqyP9vrNLApDNnOEtg8EXCf4StZQ_aem_pw3Ws3YuyERKbVohT10REg CopyCat, Minou33 and akumasan 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 7, 2024 Share Posted November 7, 2024 Coucou mon GOONIES, une nouvelle console va faire son apparition sur ma chaîne YouTube et je vais ouvrir le bal avec ce jeu là. ^^ Émulateur ATARI Jaguar totalement stable et configuré : https://www.emucr.com/2024/07/bigpemu-v115.html?m=1 Full Set ATARI Jaguar (46 Jeux) : https://www.rabbits-games.net/pack-roms-atari-jaguar-retrogaming/ CopyCat, Aflow and GOONIES 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted November 7, 2024 Author Share Posted November 7, 2024 La Jaguar !!!! Waouhhh !!! Avec ce jeu 🎮 🎮 🎮 mythique 😉 akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 7, 2024 Share Posted November 7, 2024 J'ai tester touts les jeux un par un et il passe tous nickel. L'ému tourne du tonnerre sous windows 10/11 J'ai fait juste une augmentation en X4 et en binaire, dans les options vidéo et c'est un gros kiff mon GOONIES. ^^ GOONIES, terre7777777 and CopyCat 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 18, 2024 Share Posted November 18, 2024 🔰 Sorti en 1992 sur le système Arcade GX-151 de Konami, Wild West C.O.W-Boys of Moo Mesa est un Run 'n Gun fortement inspiré de Sunset Riders, un autre Run 'n Gun de Konami sorti en 1991, c'est pour cela que les similitudes entre les deux jeux sont si nombreuses, ce qui est normal quand on sait que les deux jeux ont été réalisés par un grand nom de l’Arcade de cette époque, j'ai nommé Konami. À la base, Wild West C.O.W-Boys of Moo Mesa est une série TV d'animation américaine créée en 1992 par le dessinateur de BD Ryan Brown, également connu pour son travail sur Teenage Mutant Ninja Turtles. Dès le départ, quatre personnages sont disponibles, chacun d'entre eux ayant une arme différentes : •Buffalo Bull, •Moo Montana, •Cowlorado Kid, •Dakota Dude. La jouabilité est, une fois encore, d’une simplicité rare. Un bouton pour sauter, un pour tirer et un appuis simultanée sur les deux boutons pour une attaque en force. Les animations des personnages amis et ennemis sont bourrées d’humour, tout comme les éléments des décors. Pour ce qui est du déroulement du jeu, c’est là aussi, un classique du genre Run 'n Gun. On avance, on tire, on arrive au boss et c’est reparti pour le prochain niveau. Heureusement, comme dans Sunset Riders, certains niveaux viendront casser un peu la monotonie du genre. En somme, Wild West C.O.W-Boys of Moo Mesa est un bon petit jeu que je conseille aux fans de Run 'n Gun Arcade. CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted November 18, 2024 Author Share Posted November 18, 2024 Excellent Aku !!! Merci pour la decouverte akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted November 18, 2024 Share Posted November 18, 2024 Il était splendide en arcade, et ce portage était également très réussi! @GOONIES Tu vois que Minou peut faire preuve d'objectivité tout en étant TeamSNES pour la vie...😘 CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted November 18, 2024 Author Share Posted November 18, 2024 plus plateforme que Run N Gun, oui clairement il était tres chouette je l avais fini celui ci sur MD, il m avait bcp plus. Merci pour ce beau souvenir 😉 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 21, 2024 Share Posted November 21, 2024 🔰 Après vous avoir montrer Wild West C.O.W-Boys of Moo Mesa, il était évident que j'allais vous montrer son grand frère. Sorti en 1991 sur le système Arcade GX-64 de Konami, soit, pile poil un an avant Wild West C.O.W-Boys of Moo Mesa, SUNSET RIDERS, est pour moi, un pur Run 'n Gun qui sent bon le cigarillo, c'est incontestablement dans son ADN. Ce jeu me rappel fortement les salles d'arcade enfumé, ainsi que mes 30 années de moins ! Ce jeu respire la bonne humeur et l’insouciance : Tel un John Wayne ou un Clint Eastwood on dégomme des pistoleros qui nous assaillent, des pépées de saloon nous sautent au cou, on chevauche notre fier destrier avant de sauter sur des trains en marche, on va voir les Indiens, et on continue nos aventures trépidantes qui nous porteront vers la route du soleil couchant, en ayant occis au passage les 8 boss locaux. L’esprit est clairement bon enfant et plein d’humour : Le filet de bave de notre cowboy quand une serveuse l’embrasse, le « Bury me with my money » lâché en digit vocal par le premier boss lors de sa mort, la palme revenant à l’animation de course « à la Starsky » de nos vaillants héros Very Happy. Les couleurs vives et chatoyantes renforcent ce côté guilleret, ôtant s’ìl en était besoin toute notion de sérieux à cet univers Western. Mais pour autant la réalisation elle, est sérieuse et appliquée, Konami maîtrisant parfaitement son sujet. L’action et les commandes sont d’une fluidité parfaite comme il se doit dans un jeu d’arcade. Les animations sont excellentes, qu’il s’agisse des personnages, des chevaux ou des moyens de transports, les décors sont variés et détaillés, les scrollings différentiels offrent de chouettes panoramas. C’est agréablement joli, dans le bon sens du terme. Le gameplay, tout simple, est celui d’un Run 'n Gun dans lequel on tire dans 8 directions, on monte ou on descend sur des niveaux de hauteur en sautant vers le haut ou vers le bas, et on peut effectuer des glissades. Les ennemis, variés, s’enchaînent sans temps morts, mais eux le sont après notre passage durant notre progression, celle-ci étant ponctuée de brèves scénettes. Les situations changeantes font qu’on ne s’ennuie pas, les développeurs ayant été imaginatifs dans le design des niveaux. Les boss sont originaux et sympathiques, et il est parfois diablement dur d’en trouver la faille. (merci les crédits infinis) Pour affronter notre destinée, on aura des armes différentes selon lequel des quatre personnages, on aura choisi. •Steve, •Billy, •Bob, •Cormano. Nous voici donc avec les quatre personnages prêt a faire parler la poudre dans ce Run 'n Gun du Far West made in Konami. Ces armes pourront être upgradées grâce à des étoiles argentées ou dorées qui permettront de tirer dans plusieurs directions à la fois ou d’obtenir un auto-fire, ceci sur plusieurs niveaux. À noter que des éléments du décor sont destructibles, ce qui nous aidera à éliminer nos ennemis, ou qu’on peut ramasser et lancer des explosifs avant qu’ils n’explosent. De manière générale, il y a d’assez nombreux objets dans le jeu pour se rendre plus fort ou pour faire du score. Enfin, après chaque boss, vient le niveau bonus, qui consiste simplement à shooter des ennemis qui apparaissent de plus en plus vite sur un écran fixe. C’est basique, mais simple et rigolo. L’expérience est accompagnée d’une musique entraînante et inspirée qui colle parfaitement à son thème, se faisant passé parfois pour la Chevauchée fantastique ou plaçant discrètement un arpège de guitare mexicaine pour retranscrire l’ambiance. Les bruitages quant à eux sont corrects, et offrent quelques sympathiques digits vocaux. Après tout cela que reste-t-il à dire, sinon un élément important, voire essentiel pour certains ? La force de SUNSET RIDERS est bien sûr son multi-joueurs jusqu’à quatre. Le moins, que l'on puisse dire, c'est que SUNSET RIDERS dans sa version arcade a des graphismes sont impressionnants et la bande sonore vous plongera au cœur des Gunfight du Far West. En revanche, ce qui comblera les Billy the Kid en herbe, sera bien évidemment le gameplay relativement simple, mais incroyablement speed et jouissif. Voilà qui aura de quoi vous coller devant SUNSET RIDERS un bon paquet d'heures, à plus forte raison si vous partagez ce moment de massacre jovial avec un, ou deux, ou trois potes. Et pour conclure, on ne peut pas ne pas aimer ce jeu si on aime l’arcade et les grands espaces que parcouraient les cowboys d’antan. CopyCat, GOONIES and Minou33 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 27, 2024 Share Posted November 27, 2024 🔰 Sorti le 02/10/2024, BAD 2 BAD : Apocalypse est un Action/RPG en monde ouvert développé et édité par Dawinstone. Le jeu se déroulant dans un univers post-apo où des animaux anthropomorphes luttent pour leur survie, après une infection zombie. Le jeu a très bien été accueilli par les joueurs, alors qu’il ne vient que de sortir, et en plus, il est en français. BAD 2 BAD : Apocalypse, la suite officielle de « BAD 2 BAD : Delta » et « Extinction », est sorti sur plusieurs plateformes, avec un décor plus vaste, un monde plus vaste et un contenu plus riche. Apocalypse suit l’histoire de l’équipe Delta, dirigée par le major Pan, qui sauve et reconstruit le monde ravagé par un virus des forces humaines. Rejoignez l’équipe Delta dans son voyage de la survie à la reconstruction du monde. Avec les contenus de base d’exploration, de cueillette, de pêche et d’artisanat pour la survie, améliorez votre camp de base et fabriquez de l’équipement pour vaincre les puissantes forces ennemies et les Wilders infectés par des virus pour reconstruire le monde. Du remodelage des armes aux apparences des personnages, une personnalisation beaucoup plus détaillée est possible. La vision nocturne et de nombreux accessoires ont été ajoutés pour augmenter la profondeur de la personnalisation par rapport aux jeux précédents. Avec un système de personnalisation et d’escouade plus puissant, en plus de pouvoir changer de tactique de manière flexible pour s’adapter à la situation, l’importance de chaque membre de l’escouade et les changements tactiques sont plus importants que jamais dans Apocalypse. Plus on avance dans le jeu et plus on a la possibilité de recruter des membres. Mais on a aussi la possibilité de crée des machines armés comme des drones ou autres machines de guerre hi-tech. Le soutien d’artillerie des canons automoteurs, le soutien aérien des hélicoptères d’attaque et les drones de combat peuvent faire partie de l’escouade, en plus de la puissante arme tactique « Battle Armor », que vous pouvez embarquer et chevaucher au combat. En somme BAD 2 BAD : Apocalypse est une vraie pépite dans son genre, avec un gameplay vraiment sympa, c'est fluide, facile à prendre en main, jolie, du moins si on aime ce style graphique. GOONIES and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted November 30, 2024 Share Posted November 30, 2024 🔰 Le jeu est bien plus dur que ce que je pensais, car, dans cette vidéo, je voulais, vous montrez au moins le 1er Boss, mais non, ce sera un semi-boss, car je n'ai toujours pas le niveau pour affronter l'un des trois premiers Boss disponible dans cette map, car pour le moment, il explose toute mon équipe en moins d'une minute !!! GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted December 3, 2024 Share Posted December 3, 2024 🔰 Sorti en 2022, PRODEUS est dans la pure tradition des FPS d’antan, à l'époque où on les appeler encore Doom-like. Ici, on ne s’embarrasse pas d’un scénario complexe ou d’une narration omniprésente. Vous êtes un genre de marine de l’espace qui se retrouve pris dans un conflit entre des démons et une entité toute-puissante appelée PRODEUS. Voilà, c’est tout, voici un flingue et tuez-les tous. Oh, vous trouverez bien par-ci par-là quelques textes essayant de donner un sens à l’histoire du jeu, mais vous ne vous en réveillerez pas la nuit. Et c’est tant mieux : le joueur n’a qu’une seule chose à penser, tuer, massacrer, exploser, détruire l’ennemi. La bagarre est, comme il se doit, au centre du gameplay de PRODEUS. Vous connaissez la formule classique des FPS des années 90's avec un personnage, extrêmement rapide et mobile, traverse des niveaux plus ou moins labyrinthiques à toute vitesse, atomisant tous les adversaires sur son passage. Il doit trouver des cartes de couleur pour ouvrir les portes correspondantes, tout en cherchant de nombreux secrets disséminés çà et là. Vos ennemis, nombreux et ayant pour seule consigne de foncer sur vous, répondent aux archétypes habituels. On retrouve ainsi les classiques zombies, soldats armés de fusil à pompe, diablotins balançant des boules de feu, créatures volantes créant des dégâts de zone, etc. En somme, si vous avez déjà joué à DOOM ou consorts, vous ne serez pas perdu tant PRODEUS pioche allègrement dans la recette traditionnelle du fast FPS. Ceci dit, il apporte aussi quelques aspects de gameplay plus modernes. Par exemple, la transition entre les niveaux se fait sur une carte interactive : vous déplacez votre personnage d’une mission à l’autre, ce qui vous permet de revenir sur vos pas pour recommencer une map, et vous aurez parfois la possibilité de prendre différents embranchements. Aussi, en avançant dans la campagne, vous débloquerez des défis facultatifs qui vous octroieront du minerai en cas de réussite. Ce dernier est une monnaie de singe, qui peut aussi être récupérée dans les niveaux classiques, vous permettant d’acheter de nouvelles armes ou améliorations comme un double saut, dash, ect... L’arsenal est d’ailleurs très complet, composé d’une douzaine d’armes ayant chacune son utilité et un tir secondaire. Sa proposition de gameplay est certes classique, mais elle reste très efficace et cohérente. Cependant, ce qui fait de PRODEUS l’un des meilleurs rétro FPS et un incontournable pour les amateurs de shooter, c’est son aspect artistique extrêmement travaillé. Tout d’abord, pour peu que l’on soit sensible au style old-school, le jeu est vraiment magnifique. Mélangeant ses sprites et textures pixellisés et des décors anguleux avec des effets modernes, PRODEUS flatte la rétine. Que l’on soit dans les niveaux plus austères comme les bases militaires ou dans des environnements extra-terrestres plus diversifiés, les visuels claquent vraiment. Et ce, jusqu’à nous faire ressentir le fameux effet « wahou », lorsque l’on découvre des ruines aliens sous la pluie ou que les décors changent sous nos pas, transformant intégralement les niveaux. Les jeux de lumière, notamment, apportent énormément à l’ambiance générale. De bout en bout, c’est un véritable plaisir pour nos yeux. PRODEUS ne manque pas de contenu, bien au contraire, il s’agit du rétro FPS le plus complet sur lequel j’ai pu mettre la main. D’une part, l’intégralité de la campagne est jouable en coopération jusqu’à 4 joueurs. Le jeu propose également un mode multijoueur PvP à l’ancienne, avec des modes classiques comme le Deathmatch, le Team Deathmatch ou la Capture de drapeau. Malheureusement, il est difficile, voire impossible, de trouver une partie car personne ne semble y jouer. C’est bien dommage car ça reste un mode assez amusant, au demeurant. Enfin, PRODEUS propose un workshop intégré permettant de jouer aisément à n’importe quelle carte créée par les utilisateurs avec l’éditeur de niveau fourni. Le potentiel est, évidemment, infini et on y trouve facilement des missions de qualité. Quant à l'aspect technique du jeu, qui est absolument irréprochable. Il propose des myriades d’options en tout genre, permettant de personnaliser son expérience comme bon vous semble, allant de la modification du FOV à l’affichage des modèles d’ennemis en 2D ou en 3D, en passant par la simplification du HUD. De plus, il n’est pas très demandeur en terme de ressources et est totalement exempt de bugs. Une finition absolument exemplaire qui mérite qu’on félicite les développeurs. À la fois superbe, efficace et généreux, PRODEUS est un excellent FPS, et probablement l’un des meilleurs FPS tout court de cette année 2022. Si vous êtes fans de Doom-like nerveux et gores, et que vous n’êtes pas particulièrement en quête de défi, ce jeu est fait pour vous. GOONIES and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted December 5, 2024 Share Posted December 5, 2024 Voici la Part Ⅱ sur PRODEUS, et là, on passe à la vitesse supérieur avec le Sawed-off Shotgun. ^^ Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted December 6, 2024 Share Posted December 6, 2024 🔰 Sorti en 2017 soit la même année que le film avec Tom Cruise, le jeu reprend des grandes lignes l'histoire vue dans le film et vous met dans la peau d'un soldat lambda de Prodigium, la société chargée de traquer et contenir diverses forces du mal. Votre but ici sera d'éliminer la momie donc, et toute la ribambelle de monstres qu'elle a invoqué. Et même si ça aurait été sympa d'incarner Tom Cruise, on a quand même le droit au personnage de Russell Crowe pour nous donner des ordres. Le tout dans le cadre d’un Metroid-like fort agréable à prendre en main, même s’il ne brille ni par son originalité, ni par son scénario prétexte, soutenue par une traduction française largement perfectible. Avec un monde semi-ouvert parsemé de points de sauvegarde et de téléporteurs, l’acquisition progressive de compétences permettant d’accéder à de nouvelles zones, et une montée en puissance par le biais de différentes armes ou améliorations, l’expérience proposée par WayForward s’avère ainsi très scolaire. Néanmoins, le gameplay fonctionne bien, le level design est globalement réussi malgré quelques facilités, et certaines idées, sans être fondamentalement inédites, offrent un minimum de personnalité au titre. Parmi la dizaine d’armes et d’explosifs que l’on peut récupérer, seule la mitraillette de départ dispose par exemple d’un tir illimité. Pour les autres, il faudra gérer intelligemment son stock de munitions afin de ne pas se retrouver à sec au mauvais moment, notamment face aux boss. Une gestion d’autant plus importante qu’hormis notre pétoire de base, on ne peut transporter que deux armes et un explosif à la fois, et qu’il n’est possible de changer d’équipement qu’en se rendant dans l’une des caches d’armes disséminées sur la carte. Loin d’être anodine, cette contrainte prend tout son sens lorsqu’on finit par succomber aux attaques ennemies, puisque le cadavre de notre agent est rapidement réanimé et va grossir les rangs ennemis. On reprend alors au dernier point de sauvegarde avec un soldat tout neuf dont la première tâche va être d’abattre son prédécesseur afin de récupérer son équipement, sachant que le néo-zombi ne se gênera évidemment pas pour tenter de nous faire la peau avec. Heureusement, il est possible de retourner à une cache d’armes pour s’équiper avec le matos restant. Et on conserve au passage les compétences précédemment acquises, qui sont d’ailleurs souvent nécessaires pour retourner sur les lieux du décès. Néanmoins, la tâche demeure risquée et il est tout à fait possible de perdre un autre agent en cours de route, ce qui oblige à recommencer la manœuvre avec cette fois deux cibles à abattre. De fait, plus on se rapproche de la conclusion du jeu, plus les morts deviennent punitives, avec un personnage de mieux en mieux équipé qui peut finir par se retourner contre son camp lorsqu’on commet trop d’erreurs notamment face aux boss. Et si cette arme à double tranchant offre un peu d’originalité au titre, elle pourra également en frustrer quelques-uns. La difficulté globale est d’ailleurs loin d’être négligeable avec des ennemis certes guère intelligents, mais plutôt nombreux, et des boss coriaces qui, sans être fondamentalement dangereux, demandent souvent pas mal de patience pour en venir à bout. Cela dit, c’est surtout la gestion de la jauge de santé qui s’avère délicate, cette dernière diminuant à la moindre occasion et ne se remplissant pas n’importe comment. Contrairement à d’autres Metroid-like, il n’est, en effet, pas possible ici de se soigner simplement grâce à des objets ou en sauvegardant sa partie. Malgré le fait qu’ils ne rendent que quelques maigres points de vie, on prend donc l’habitude de farmer les orbes rouges qui apparaissent régulièrement lorsqu’on dézingue un ennemi et on pousse un petit soupir de soulagement quand on tombe sur une trousse de secours permettant d’augmenter sa jauge d’un cran tout en bénéficiant d’une petite guérison complète. Au final, The Mummy Demastered demeure donc un petit plaisir ponctuel, que les fans de WayForward et de Metroid-like auraient tort de bouder. Sans s’imposer comme une nouvelle référence, The Mummy Demastered est un bon Metroid-like qui propose une aventure classique, mais efficace. Et si certaines mécaniques de jeu ne font sans doute pas l’unanimité, il faut reconnaître qu’elles permettent au titre de se démarquer un peu de la concurrence tout en offrant un certain challenge. Outre un scénario sans grand intérêt et une durée vie que l’on aurait aimée un peu plus consistante, on regrettera donc surtout une technique parfois balbutiante qui ne rend pas forcément hommage au travail réalisé par les graphistes. Néanmoins, le titre de WayForward reste une expérience plaisante qui devrait satisfaire la plupart des amateurs du genre. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted December 16, 2024 Share Posted December 16, 2024 🔰 Sorti en 2011 BATTLEFIELD 3 a était scénarisé autour de l'interrogatoire d'un soldat américain, vous allez tour à tour rentrer dans la peau de différents personnages, qui ne profiteront pas tous d'une retraite tranquille. Grâce à cette astuce de narration assez répandue dans le genre, tout de même, DICE peut facilement vous coller aux commandes d'un avion de chasse ou d'un tank, pour vous ramener à la dure réalité du troufion de base, ventre à terre dans la boue, la mission suivante. De Paris à la frontière Iran-Irak, la trame est plus intéressante que prévu et vous comprendrez assez tard pourquoi on vous en veut autant. C'est un très bon point pour DICE, ils imposent leurs styles, et ça marche plutôt pas mal ! Avec un solo perfectible, mais jouissif pour les yeux et les oreilles, BATTLEFIELD 3 rajoute une corde à son arc. Mais son arme principale reste et de loin son mode multi, toujours aussi complet et bluffant. Associé à cette réalisation vraiment top pour un jeu de 2011, on en oublie les tracas de BattleLog et Origin. C'est un must have. Je vous souhaite à toutes et à tous de belles fêtes de fin d'année, Bye Bye 2024. ^^ GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted December 24, 2024 Share Posted December 24, 2024 Kentucky hey, Kentuchy ho... My Old Kentucky Home... GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted January 2 Author Share Posted January 2 Bill Ryzor & Lance Bean #Commando #80 terre7777777, akumasan and Minou33 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted January 2 Share Posted January 2 Je me suis permis de rajouté un protagoniste essentiel à l'histoire de Contra mon GOONIES. ^^ terre7777777, GOONIES and Minou33 3 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted January 3 Author Share Posted January 3 Bien vu !!!!! 🤩 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted January 11 Share Posted January 11 🔰 Sorti en 2019, IMMORTAL LEGACY : The Jade Cipher est un FPS développé par le studio Vivagames, qui nous plonge dans une ambiance un peu à la Metal Gear Solid dans la façon dont sont traités les personnages. Le titre nous place dans la peau de Tyre, dont son passé ne nous est même pas expliqué, si ce n’est que le bougre a perdu sa mère par le passé. Notre héros sera accompagné de la belle et sexy Ksana, et ils partent en mission sur une île inconnue. Nos deux comparses sont vraisemblablement à la recherche de réponses sur cette dernière, tout en tentant de mettre la main sur une mystérieuse relique de jade. Le tout est aussi en lien avec une très sombre légende chinoise, où des expériences peu recommandables sont faites sur des humains. Ce sont les grosses lignes du synopsis, qui commence assez brutalement avec la chute de l’avion où sont Tyre et Ksana. Si le jeu débute en soi d’une belle manière, nous avons malheureusement l’immense sentiment que les développeurs peinent à rendre la narration intéressante. En effet, même si IMMORTAL LEGACY : The Jade Cipher s’inspire fortement d’un Uncharted : Drake’s Fortune en l’occurrence, force est de constater que Vivagames n’arrive à aucun moment à proposer des personnages qui s’affirment ou sortent du lot, et n’arrivent pas non plus à apporter une certaine identité ou fraîcheur au jeu. De plus, le background de nos protagonistes, ainsi que d’une autre demoiselle que nous rencontrons au tout début du jeu, n’est jamais véritablement creusé et une fois le jeu terminé, on se posera beaucoup plus de questions que l’on obtiendra de véritables réponses. Concrètement, la frustration est bien présente, surtout qu’une suite doit être obligatoirement dans les tuyaux, et on espère que le narration n’en sera que bien meilleure si second volet il y a. La narration du jeu de Vivagames aura de quoi laisser de marbre, et le studio a encore beaucoup à apprendre dans le fait de proposer une histoire solide, et des personnages hauts en couleurs. En ce qui concerne l’habillage artistique, IMMORTAL LEGACY : The Jade Cipher ne va pas chercher trop loin dans ses inspirations. Ce FPS nous plonge à la fois dans une île à la jungle luxuriante, dans des ruines à perte de vue, mais aussi dans des catacombes pour le moins angoissantes. (tiens j'ai déjà vu ça quelque part... ah oui dans Far Cry) Incontestablement pas de doute, Vivagames s’est vraiment inspiré d’Uncharted : Drake’s Fortune comme je l'ai évoqué plus haut. Le côté surnaturel est qui plus est bel et bien présent, et nous pourrons au moins nous contenter d’un minimum d’inspiration de la part du studio au niveau du design des monstres que nous affronterons, c’est déjà ça de pris et encore. Du coup, nous resterons un peu mi-figues mi-raisins sur la direction artistique qui n’est pas ridicule certes, mais qui reste malgré tout trop empruntée à ce que nous avons déjà vu dans les Uncharted pour ne citer que cette franchise. On en convient, tout n’est pas parfait loin de là, mais IMMORTAL LEGACY : The Jade Cipher est convenable techniquement parlant. En revanche, et on s’en rend vite compte, le soft alterne entre des textures chouettes à franchement passables… Après la note mitigée des graphismes, on termine avec une bonne note, celle de la bande-sonore. Décidément, il est à souligner que les studios chinois semblent avoir pris la main quand il s’agit de proposer une atmosphère sonore. En sus d’un sound design particulièrement immersif casque sur les oreilles, les doublages en anglais restent indéniablement d’assez bonne qualité, avec un acting franchement honorable. De même, les musiques collent bien à l’ambiance que ce soit dans les moments calmes, horrifiques ou en plein gunfights ou combats contre des boss. En clair, si tout n’est pas parfait certes, le sound design du titre de Vivagames est d’une bonne qualité dans son ensemble. On ne savait franchement pas à quoi s’attendre avec IMMORTAL LEGACY : The Jade Cipher, vraiment. Mais en définitive, il faut bien avouer que le titre est plutôt sympa à jouer. Si le soft de Vivagames reprend indéniablement les codes d’un Uncharted dans sa progression et phases de jeu, force est de constater que le gameplay fait grandement le boulot. Les gunfights restent nerveux et jubilatoires, certaines énigmes sont intelligentes et sa seconde partie horrifique n’a pas à rougir de sa variété. En revanche, on regrettera que les développeurs manquent un peu d’inspiration sur la direction artistique ou sur sa narration totalement à la rue. CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted January 18 Share Posted January 18 🔰 Sorti en 2012 sur la Xbox 360, et autres consoles de cette époque, Spec OPS : The Line est un TPS dont l'action se déroulent à Dubaï. Mais, Spec OPS, c'est aussi une licence qui, en réalité, existe depuis 1998. Une série de TPS pourtant tombée dans l'oubli au début des années 2000 et que 2K Games et les studios Yager Development font aujourd'hui renaître de ses cendres. Au programme, un épisode torride nous transportant dans la chaleur de Dubaï et baptisé Spec OPS : The Line. Une ligne que les développeurs nous invitent très clairement à franchir par le biais de scènes chocs et de choix cornéliens à prendre. Le scénario de Spec OPS : The Line, découpé en une quinzaine de chapitres plus ou moins cohérents, nous transporte dans les bottes du Capitaine Walker, accompagné de ses deux coéquipiers de l'escouade Delta. Leur mission : retrouver le Colonel Conrad en charge de l'évacuation de la ville de Dubaï, dévastée par une tempête de sable, et tout ceci en dézinguant les Damnés, des militaires américains devenus rebelles. Mis à part un lieu de prédilection pour le moins original, le scénario ne surprend guère en l'état et ne fait que reprendre des bases plus ou moins pré-construites du genre. Certaines situations bousculent ainsi l'éthique et le déroulé de l'action gagne très clairement en intensité dès la seconde partie du jeu, pour atteindre son paroxysme, que ce soit à travers la représentation psychologique des personnages que dans les phases de jeu gênantes qui jouissent d'une bien meilleure mise en scène. La principale déception se trouve du côté de sa durée de vie, assez courte avec moins d'une dizaine d'heures au compteur, ainsi que des choix moraux donnés aux joueurs, alors fer de lance de l'éditeur lors de la promotion du titre, trop peu nombreux. Les développeurs se rattrapent pourtant en bout de course en proposant plusieurs fins possibles. Spec OPS : The Line ne lésine pas sur les phases de tir nerveuses. Le joueur n'aura pour ainsi dire aucun réel moment de répit, en ligne de mire une IA meurtrière qui n'hésitera pas à user des grosses pétoires et autres grenades pour vous déloger. On regrette pourtant que la difficulté n'évolue pas progressivement car, si certes le nombre d'ennemis et leurs armements varient au fur et à mesure de notre avancée dans Dubaï, être touché de façon systématique par la moindre balle en devient déroutant. L'absence d'une quelconque facette de personnalisation, notamment de l'arsenal, est aussi sujette à caution, mais s'excuse par la très grande variété des armes disponibles et aux munitions rares qui demanderont de dépouiller sans cesse les cadavres ennemis pour se réapprovisionner. Si certes la maniabilité souffre d'une légère rigidité et d'un système du couverture loin d'être parfait, elle ne déroutera pas les fans du genre avec des contrôles faciles à assimiler. Et puis qu'on se rassure, l'action est omniprésente et la possibilité d'utiliser certains environnements à son avantage reste sympathique. Du côté de la réalisation, la modélisation des personnages reste crédible, affichant les moindres brûlures et blessures du héros au fur et à mesure de la progression. Seule ombre au tableau, l'animation des personnages souffre d'un manque de souplesse, notamment dans les déplacements. Mais c'est véritablement en nous transportant à Dubaï que les développeurs ont voulu nous en mettre plein les mirettes. Avec ses reproductions fidèles des gratte-ciels, ses effets de lumière abondants et ses environnements intérieurs ravagés par les tempêtes de sable ou préservés des intempéries, Spec OPS : The Line propose une balade dépaysante, que seules quelques textures baveuses viennent éventuellement entacher le rendu final. Ajoutez à cela une bande-son constituée de classiques du rock et vous obtenez une visite de Dubaï menée tambour battant. Spec OPS : The Line est un TPS efficace dont il serait trop facile de critiquer ses mécaniques de jeu un tantinet classiques. Et pourtant, le titre de 2K Games parviendra à coup sûr à satisfaire plus d'un joueur grâce à sa représentation lumineuse et apocalyptique de Dubaï, nouveau champ de bataille baignant dans l'excès et la terreur. Ajoutez à cela une mise en scène crescendo qui retranscrit physiquement comme psychologiquement la folie de notre héros avec réussite, et plongeant ainsi petit à petit le joueur dans l'horreur d'un conflit qu'il ne maîtrise plus. Enfin, son mode multijoueur complet occupera les adeptes des bains de sang en ligne pendant plusieurs heures, venant se greffer à une campagne solo que l'on aurait aimé au final un peu plus longue. CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted January 19 Share Posted January 19 🔰 Sorti le 16/01/2025, BLADE CHIMERA est un Metroidvania 2D futuriste se déroulant dans les restes d'une ville technologique en ruine. En effet, une soudaine invasion de Yōkai ont réduit l'humanité à une poignée humains. Mais pas de panique, je fais partie de la résistance, car dans un futur proche, les humains se retrouvent confrontés à des monstres difformes et autres Yōkai venus tout à coup de nulle part, et ces combats marquent alors le début de ce qu'on appellera la Guerre des Démons. Trente ans ont passé, et des êtres humains ont survécu, notamment grâce à l'Union sacrée, une organisation religieuse qui possédait les moyens de combattre les démons. Dans cette histoire on incarne un personnage amnésique accompagné par une étrange épée lumineuse n'étant autre qu'un démon, partant affronter les entités tandis que la mémoire et les compétences seront retrouvées progressivement. Durant l'exploration des lieux, l'épée ne servira pas seulement à se battre mais offrira également des capacités allant du grappin à l'activation de plateformes, ou même une transformation en dague ou en pistolet. Vos souvenirs de votre femme et de vos amis disparus, ainsi que de vos compétences, vous reviendront peu à peu. Ce faisant, SHIN pourra alors à sa guise changer la forme de l'épée démon et devenir plus fort, ce qui lui permettra d'explorer les quatre coins du monde hostile qui l'entoure. Comme dans tout bon Metroidvania il faut exploré le monde pour vaincre les ennemis qui se dressent devant vous, avec à vos côtés votre épée démon, la forme prise par le démon dénommé LUX, qui possède le pouvoir d'interférer avec le passé. LUX, peut non seulement vous servir au combat, grâce à ses puissantes attaques, mais elle peut aussi créer de nouveaux chemins et étendre le champ de mouvement de SHIN. Elle peut notamment restaurer divers objets détruits et reconstituer notamment des barrières, mais elle peut aussi effectuer des attaques à distance une fois lancée. Explorez une ville d'Osaka méconnaissable en compagnie de LUX, votre fidèle épée démon. Lorsque le niveau de SHIN augmente après avoir vaincu des Démons, il peut débloquer de nouvelles compétences dans son arbre de compétences. A l'aide de ces dernières, au fur et à mesure qu'elles lui reviendront, et grâce à la possibilité de vous déplacer instantanément d'un point à l'autre de la carte, mais aussi grâce, entre autres, au double saut, vous pourrez explorer librement et rapidement le monde qui vous entoure. Outre l'épée démon LUX & SHIN peut se battre à l'aide d'une grande variété d'armes à deux mains, dont son arme principale, un pistolet, ainsi qu'une grande épée et un fouet. Il vous sera ainsi possible de choisir le style de combat qui vous convient le mieux. La carte est nettement plus grande que dans les précédents titres développé par Ladybug, ce qui vous donne plus de possibilités d'exploration. De plus, les quêtes secondaires ont également été améliorées, ce qui vous permettra de vous immerger encore plus longtemps dans le monde de BLADE CHIMERA. BLADE CHIMERA est tellement confiant dans son identité fondamentale et dédié à la création d'un gameplay engageant que toutes les lacunes fondent en quelque sorte sur le moment. Ce n'est pas un parfait jeu, mais nous avons du mal à trouver autre chose que des sentiments de positivité lorsque nous pensons à notre temps à y jouer. Plus que tout, cela ressemble à un jeu amusant uniquement pour le plaisir. Le plaisir est exactement ce que nous avions dans ce jeu. BLADE CHIMERA est une ode à un type très spécifique de Metroidvania, un peu à la façon d'un Castlevania : SOTN assumé, le genre qui évite les énigmes énigmatiques et une structure ouverte et se délecte des joies simples du mouvement ultra-fluide et de l'explosion des ennemis avec un arsenal toujours croissant d'armes puissantes et équipement. Il n'impressionne peut-être pas particulièrement par ses aspects exploratoires ou narratifs, mais son identité frappante et élégante et sa boucle de combat Shoot 'N Slash sans cesse divertissante l'élèvent au sommet des classiques dont il s'inspire si clairement. Dédicace au GOONIES ^^ CopyCat and GOONIES 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted February 9 Share Posted February 9 Une belle claque pleine de fun en perspective!!!! Une héroïne faisant de la moto et qui défouraille à tout va façon Contra dans un univers cyberpunk......Je suis déjà in love! Le jour de sa sortie, j'en connais un qui sera invité à la maison😘 akumasan, GOONIES and Aflow 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 17 Share Posted February 17 Let's Go pour les enregistrements vidéo de Guns & Fury. Les vidéos sur cette pépite du Run 'N Gun tomberont dans quelques jours. ^^ Aflow, GOONIES and CopyCat 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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