akumasan Posted February 6 Share Posted February 6 🔰 Cette part Ⅳ signe la fin du quatrième chapitre, et quelle fin, mes aïeux ! ! ! Juste après cette vidéo, on attaqua le chapitre 5, qui sera le chapitre final de Tales of Graces ƒ. CopyCat, Aflow and GOONIES 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 9 Share Posted February 9 🔰 Voilà, on y est, c'est le dernier chapitre de Tales of Graces ƒ. Dans ce dernier chapitre, on change carrément de planète ! Exit donc Ephinea, et bienvenu sur Fodra. De vous à moi, je ne suis pas mécontent d'en voir le bout et de pouvoir reprendre mes vidéos à mon rythme et à ma façon de faire habituelle. Car, pour 2025, j'ai une tonne d'autres jeux à vous montrer. CopyCat and Aflow 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
youfei Posted February 9 Share Posted February 9 en ce moment je rejout à ori II (Ori and the Will of the Wisps) akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted February 11 Share Posted February 11 C'est un jeu que je rêverais de posséder (quoique je ne sais pas où le télécharger, il n'est pas sur GOG). C'est un point' n' click classé aventure réalisé par Joe Richardson sorti en 2024 pour PC, Mac et Linux. C'est DEATH OF THE REPROBATE. On navigue dans des peintures de la Renaissance (que ce soit dans de magnifiques paysages ou dans des ateliers de peinture) et ces peintures prennent vie, sur fond de musique classique. Les dialogues des personnages sont assez sarcastiques. C'est génial de pouvoir faire parler ces peintures... Le jeu existe en français. Je vous mets un petit Let's Play en français : mêler histoire de l'art et jeu vidéo, ça donne ça ! CopyCat and akumasan 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 11 Share Posted February 11 Il y a 2 heures, Aflow a dit : C'est un jeu que je rêverais de posséder (quoique je ne sais pas où le télécharger, il n'est pas sur GOG). C'est un point' n' click classé aventure réalisé par Joe Richardson sorti en 2024 pour PC, Mac et Linux. C'est DEATH OF THE REPROBATE. On navigue dans des peintures de la Renaissance (que ce soit dans de magnifiques paysages ou dans des ateliers de peinture) et ces peintures prennent vie, sur fond de musique classique. Les dialogues des personnages sont assez sarcastiques. C'est génial de pouvoir faire parler ces peintures... Le jeu existe en français. Je vous mets un petit Let's Play en français : mêler histoire de l'art et jeu vidéo, ça donne ça ! Bah ça alors ! Je pensais être le seul gonz à connaitre ce point and click, mais en fait non ! Si tu veux, je te le donne, je te l'envoie via internet. Par-contre, il te faut un PC pour le faire tourner. Config minimum : OS: Windows 10 Processeur: 2 GHz – Dual Core Memoire: 2 GB RAM DirectX: Version 10 HDD/SSD: 2 GB d'espace libre CopyCat and Aflow 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 11 Share Posted February 11 🔰 Dans cette deuxième partie du dernier chapitre, nos amies sont toujours sur la planète Fodra. Toute l'équipe part en direction de la Citadelle de Barhus, et une fois sur place, on en apprend beaucoup plus sur Émeraude et ses réelles intentions. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle a sacrément bien caché son jeu, celle-là ! La prochaine vidéo sera le grand final de Tales of Graces ƒ : Remastered. ^^ CopyCat, GOONIES and Aflow 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 13 Share Posted February 13 🔰 Voilà, c'est enfin le grand final de Tales of Graces ƒ : Remastered. Il est enfin l'heure de clôturer cette pépite du JRPG. Bandai-Namco nous a offert la meilleure version de leur jeu avec ce Tales of Graces ƒ Remastered. J'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à refaire ce Tales of Graces ƒ dans les meilleures conditions. Grâce à des ajouts de confort ainsi qu'un rendu visuel permettant à ce titre de mériter son qualificatif de « Remaster », le tout accompagné d'un gameplay toujours aussi efficace, même si celui-ci est parfois un peu poussiéreux. En cela, cette nouvelle version est logiquement la meilleure pour découvrir cette histoire captivante portée par des personnages plus complexes qu'ils n'en ont l'air au premier abord. On pourra bien entendu lui reprocher quelques défauts sur sa partie exploration, mais son univers, ses personnages attachants et son game-design qui cherche à sortir des sentiers battus en font un jeu d'exception à plus d'un titre. Aflow, GOONIES and CopyCat 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 15 Share Posted February 15 🔰 Sorti fin 2024, STARS In The TRASH nous propose de transposer la magie du cinéma d'animation à l'ancienne dans un jeu de plateforme narratif, mêlant action, exploration et énigmes. Animé à la main et peint à l'aquarelle, ce titre est l'œuvre du développeur Valhalla Cats. STARS in the TRASH nous raconte l'histoire de Moka, un chat domestique, qui se prend pour le petit roi de la maison, comme la plupart des chats, me diriez-vous. Mais voilà, Moka s'ennuie dans sa vie routinière de chat et un jour, décide de quitter la maison à la recherche d’aventure, d’amitié et d'amour. Pendant les deux premiers jours, son ami, le chien, l’empêche de sortir. À chaque fois que Moka est sur le point de traverser la porte, le chien le ramène à l’ordre. Ce début sert d’introduction et de tuto, vous montrant tout ce que vous pouvez faire avant de vous laisser aller. Vous pourrez sauter, escalader, renverser des pots de fleurs et même combattre un aspirateur ! Vous débutez votre aventure en dormant tranquillement avec votre ami, le chien. Il suffit de toucher une touche pour le réveiller. Ensuite, vous allez vous balader dans la maison, sauter sur les meubles, regarder dehors et apercevoir un oiseau. Au troisième jour, vous vous dirigerez vers le sous-sol où vous combattrez le terrible aspirateur. Après ce combat, vous réussirez enfin à quitter la maison, car, oh ! chance ! Votre ami le chien, qui vous en empêchait, est occupé à poursuivre un animal. C’est alors que vous pourrez enfin profiter de votre liberté, mais attention, car le méchant gardien de la fourrière rôde dans les parages. STARS in the TRASH est un jeu d’aventure composé de deux sections principales : Les phases de plates-formes et les phases de casse-têtes. Il s’agit principalement d’un jeu de plates-formes et d’exploration. Vous allez explorer différents endroits de la ville et rencontrer des amis pendant votre aventure. Malheureusement, les chats et chiens errants sont rapidement repérés par la fourrière. Vous comprendrez vite qui sera le méchant de l’histoire. L’homme de la fourrière et ses rats font régner la terreur dans les rues et mettront éventuellement la main au collet de votre ami, le chien. Vous devrez donc vous rendre à la fourrière pour le sauver. Vous devrez circuler dans la ville par des endroits insolites et vous devrez trouver des moyens de poursuivre votre route. S’il y a de l’aventure, il y a aussi des phases de casse-têtes, qui sont un peu moins présentes, mais qui sont assez intéressantes. Les puzzles sont simples, mais bien pensés. Gardez à l’esprit que vous êtes un chat, donc vous ne pouvez pas activer des mécanismes avec vos mains. Vous devrez plutôt utiliser votre bouche ou votre corps pour pouvoir activer les mécanismes. J’ai particulièrement apprécié le niveau où je devais utiliser une pomme pour briser la vitre d’une épicerie dans laquelle j’étais enfermée. Malheureusement, il y a peu de phases de plates-formes et de casse-têtes, puisque le jeu est assez court et que vous passerez la majorité de votre temps à explorer. Cela n’enlève rien à l’expérience, mais j’aurais aimé que le tout soit un peu plus long et plus rempli. Votre principal désir en jouant à un jeu de chat est probablement d’incarner l’un d’entre eux. Vous serez heureux d’apprendre que STARS in the TRASH fait un excellent travail pour vous mettre dans la peau de votre animal de compagnie préféré. Vous pouvez également interagir avec tous les endroits confortables où il y a des couvertures et y faire une sieste. Lorsque vous arrêterez de bouger pendant quelques secondes, vous remarquerez que Moka s’allongera et commencera à ronronner ou à se lécher. STARS in the TRASH se distingue en présentant de véritables œuvres d’art. La technique utilisée est l’aquarelle, ce qui donne des résultats spectaculaires. On a vraiment l’impression de jouer dans un Disney des années 80's. Du ciel aux murs, en passant par les arbres et les voitures, tout est entièrement fait à la main. On se croirait dans un vieux film d’animation de Disney et j’adore ça ! Toutes les animations sont faites image par image, ce qui m’impressionne beaucoup, car il y a de moins en moins d’artistes qui font vivre ce médium aujourd’hui. J’ai aussi beaucoup aimé la fresque en hommage aux animaux de compagnie décédés. Ils y ont ajouté des photos de leurs propres animaux ainsi que celles envoyées par leurs fans pour les immortaliser dans leur jeu. STARS in the TRASH est un jeu spécial et il est clair que les trois artistes à l’origine du projet se sont donnés à fond pour créer une expérience unique, remplie de personnalité et d’émotion. Les personnages sont captivants, et l’histoire est profondément touchante. Si vous êtes amoureux des vieux films de Walt Disney de la grande époque, comme Les Aristochats, Rox et Rouky, La Belle et le Clochard, ou encore Les 101 Dalmatiens, vous devez absolument essayer STARS in the TRASH car c'est une perle vidéoludique rare et qui vaut la peine d’être découverte. CopyCat, GOONIES and Aflow 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 16 Share Posted February 16 🔰 Voilà, c'est déjà la suite et fin des aventures de Moka dans STARS In The TRASH. Dans cette deuxième partie, notre intrépide chat va apprendre à ses dépens que le monde des hommes n'est pas tout rose et qu'il est même rempli de dangers. GOONIES, CopyCat and Aflow 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 18 Share Posted February 18 Je suis sur 3 jeux en même temps : GUNS of FURY. Après vous avoir montrer Tomb Raider Ⅰ•Ⅱ•Ⅲ Remastered puis Legacy of Kain : Soul Reaver Remastered. C'est au tour de Tomb Raider Ⅳ•Ⅴ•Ⅵ Remastered de passer sur le Aku-Grill. ^^ Et Night Slashers, le Remake de la version Arcade de Data East. Autant vous le dire tout de suite, n'est pas Street of Rage 4 qui veut ! terre7777777, Kenra2, CopyCat and 1 other 3 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kenra2 Posted February 18 Share Posted February 18 Lunar silver star story complete via une fantrad, et Bully Scolarship edition sur wii akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Kenra2 Posted February 19 Share Posted February 19 J'ai commencé Osu hier, je connaissais ce jeu depuis hyper longtemps mais le système du jeu me donnait pas trop envie, et j'ai appris qu'il y'avait un mode taiko, alors j'ai téléchargé Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 19 Share Posted February 19 🔰 Sorti fin 2024 The Spirit of the Samurai est un Hack 'N Slash en 2D, mélangeant le style Souls Like et Metroidvania, développé par Digital Mind Games, et édité par Kwalee, où l'on va découvrir l'histoire de Takeshi, un Samouraï Japonais qui doit protéger son village de l'assaut d'un Oni qui tente de conquérir le pays avec son armée de morts-vivants. Et après avoir transpercé le corps de nombreux Yokai, démons et autres morts-vivants, il est temps pour moi, de vous montrer cette Part Ⅰ sur ce jeu totalement réalisé en Stop-Motion. The Spirit of the Samurai nous raconte l’histoire de Takeshi, un Samouraï Japonais qui doit protéger son village de l'assaut d'un Oni qui tente de conquérir le pays avec son armée de morts-vivants. Accompagné de Kodama, un esprit courageux, ainsi que Chisai, un chat guerrier qui n’a pas peur des Yokai, Takeshi va devoir parcourir les ruines de ce qui reste de son village, ainsi que ses alentours, afin de combattre l'horrible Jorogumo. Dans The Spirit of the Samurai, on va donc incarner Takeshi qui, après l’attaque de son village, va se retrouver seul face à l’armée de monstres qui envahit son île. Enfin, on ne sera pas vraiment seul. Notre fidèle compagnon, Chisai, un adorable petit chat, sera aussi de la partie pour nous aider à vaincre les Yokai et autres monstres du folklore Japonais. Puis très rapidement, un petit esprit Kodama se joindra à nous. Pour progresser dans The Spirit of the Samurai, comme dans de nombreux Metroidvania, on va simplement devoir avancer, et explorer les différents lieux qui pourront être explorés, afin de mettre la main sur des objets qui nous aideront à nous débloquer, comme une clé ou un objet de quête. Sur notre route, de nombreux ennemis, plus redoutables, les uns que les autres, feront leur apparition. Pour les vaincre, il suffira simplement de manier à la perfection, son katana, sa lance, ses kunais et son arc. Dès le début de l’aventure, avant que le village se fasse attaquer, on va avoir le droit à un petit entraînement, afin de maîtriser l’art du combat. Et même si The Spirit of the Samurai est un Souls Like, les combats ne seront pas si difficiles. Il faudra simplement faire attention à son endurance, tout en attaquant l’ennemi. On pourra effectuer des roulades, ainsi que des parades, afin de bloquer les attaques. Et utiliser notre arc pour effectuer quelques attaques à distance. Pour ne pas mourir bêtement lors d’un combat, il faudra maîtriser la parade et le contre. En parant une attaque au bon moment, on aura la possibilité d’attaquer l’ennemi à plusieurs reprises, sans se faire attaquer. Une fois qu’on maîtrise les bases du combat, on pourra se plonger dans l’aventure sans trop de difficulté, enfin presque. Car The Spirit of the Samurai est parfois punitif, comme de nombreux Souls Like. Et quand plusieurs ennemis viendront nous attaquer, il nous sera difficile de s’en sortir sans mourir. Sachant que le jeu ne propose pas vraiment de barre de vie. On va simplement avoir 3 boules de santé, correspondant au nombre de coups que l’on pourra subir. Ce qui va rendre certains combats délicats. Pour nous aider lors de certains combats, on pourra compter sur le courage de Chisai, qui viendra donner quelques coups de griffes dans le visage des Yokai. En accomplissant des missions, en récupérant des objets et en tuant des ennemis, on va gagner de l'expérience. L'expérience va permettre de monter le niveau de notre héros, et de gagner des runes. Ces runes vont nous permettre d’augmenter nos 4 attributs principaux, la force, la résistance, la dextérité et les dégâts à l’arc. Monter ses niveaux va aussi nous permettre de débloquer de nouvelles techniques de combat au cours de l’aventure. En plus de nous plonger dans un monde inspiré de la mythologie Japonaise, The Spirit of the Samurai a la particularité d’être réalisé en stop-motion. Au début, ça fait son petit effet. Et plus on avance dans l’aventure, plus on découvre le travail d'orfèvre réalisé. Surtout lorsque l’on fait face à certains boss, ou que l’on débloque les nombreuses animations de combat de notre héros. Le travail est bluffant, et parfois, on n’a pas l’impression d’avoir un jeu en Stop-Motion entre les mains. Il suffit de se pencher sur les détails du visage de Takeshi ou sur ceux de certains boss, pour voir que les développeurs ont un très grand talent. Pour conclure, The Spirit of the Samurai ne réécrit pas le script. Il reprend les bases d’un Metroidvania et d’un Souls Like, avec sa petite touche folklore Japonais. Mais ce qu’on retient le plus dans cette aventure, hormis l’adorable chat guerrier, c’est la beauté du jeu. GOONIES and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted February 19 Share Posted February 19 C est très beau effectivement ! akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 23 Share Posted February 23 🔰 Sorti en 1997 sur le système Arcade Neo•Geo MVS, Magical Drop Ⅲ est, et cela n'engage que moi, le meilleur Puzzle Game sur Neo•Geo MVS. Avec Puzzle Bobble sur le système Arcade Neo•Geo MVS et Super Puzzle Fighter Ⅱ Turbo sur le système Arcade CPS Ⅱ, Magical Drop fait partie incontestablement des meilleurs Puzzle Games apparus sur les bornes Arcade au pays du Soleil-levant. Le gameplay est simple au premier abord, mais terriblement efficace. Facile à comprendre, un peu moins à maîtriser, car ici, c'est la vitesse d'exécution qui est le nerf de la guerre. Magical Drop Ⅲ est un jeu à base de boules de couleur. Ces deux choses font que ce jeu est souvent décrit comme un jeu du genre Puzzle Bobble, mais Magical Drop Ⅲ et Puzzle Bobble n’ont pas grand-chose à voir l’un avec l’autre. Le concept du jeu est très simple : Le petit bouffon peut en tout et pour faire 2 choses en plus de se déplacer : attraper une (des) boule(s) et envoyer les boules qu’il a en main vers le haut. Le truc, c’est que dès qu’on fait entrer en contact au moins 3 boules de la même couleur sous la forme d’une ligne verticale, ces boules disparaissent ainsi que toutes celles de la même couleur qui sont en contact avec elles. Le « qu’on fait entrer en contact » dans la phrase précédente, est important, car ce n’est pas parce que 3 boules de même couleur sont posées en vertical les unes sur les autres qu’elles disparaîtront automatiquement. Il faut que cela se produise suite à une de vos actions, en l’occurrence une de ces deux choses : • Le lancer d’une boule • Une réaction en chaîne qui avait elle-même été déclenchée par le lancer d’une boule. Le bouton [A], qui permet d’attraper des boules notre petit bouffon peut se déplacer en horizontale et attraper n’importe quelle boule de la ligne la plus basse. Une ligne pointillée verticale permet de facilement repérer la boule que cible notre bouffon. Le bouton [B], qui permet de relâcher des boules dès que le petit bouffon a au moins une boule dans les mains, une pression sur le bouton [B] permet de la renvoyer au-dessus de lui. Là encore, la ligne pointillée verticale permet de faciliter la visée. À noter qu’il n’y a pas de contrainte pour rejeter les boules. Si on relance la boule ou les boules sur une ou plusieurs boules de la même couleur qu’elle, alors elle disparaîtra et ainsi que toutes celles qui sont en contact pour peu qu’elle forme une colonne d’au moins 3 boules de même couleur. Sinon, elle se contentera d’aller se coller à la boule d’au-dessus. Bien sûr, si le bouffon portait 3 boules ou plus de la même couleur, la série de boules qu’on renvoie disparaîtra. Un troisième bouton s’ajoute aux deux précédents : Ce bouton permet de faire descendre dans son écran de nouvelles billes, sans avoir besoin d’attendre que cela arrive naturellement. Ainsi, si jamais vous vous ennuyez ou si vous avez complètement vidé votre écran, une pression sur le bouton [C] fera descendre une ligne de boules toute neuves rien que pour vous ! Voilà, pour les bases, on attrape des boules et on les balance un peu plus loin le plus vite possible. Et comme dans tout bon Puzzle Game qui se respecte, quand on est bon, on envoie des trucs chez son adversaire ! D’où l’intérêt de faire disparaître un grand nombre de boules en même temps, mais surtout, d’user et d’abuser des combos !!! Et parlons-en des combos !!! Pour réaliser un combo, il suffit de faire une chaîne de disparition. En général, cela se produira parce qu’une fois des boules disparues, celles qui restent se regroupent, et cela peut donner lieu à de nouvelles disparitions si 3 boules ou plus d’une même couleur rentrent en contact sous la forme d’une ligne verticale. Ce qui différencie vraiment Magical Drop Ⅲ des autres Puzzle Games, c’est son côté frénétique, pour ne pas dire hyper méga giga frénétique. Mais attention, frénétique ne veut pas dire bourrin pour autant. Au contraire, la précision demandée par le jeu est d’autant plus grande que l’action est frénétique. Appuyer sur le bouton qui permet de relâcher ses boules un peu trop tôt ou trop tard lors du cours d’un déplacement rapide et ces boules iront se coller dans une colonne totalement inappropriée. Et ça, ce n’est vraiment pas ce que vous voulez ! Contrairement à un Puzzle Bobble, une manche de Magical Drop Ⅲ peut se terminer en quelques secondes, et ça, c’est vraiment énorme et très jouissif. Le point négatif qui va de pair avec cet aspect génial, c’est qu’il n’est pas toujours facile de trouver des gens prêts à jouer avec vous… À part ça, il n’y a pas grand-chose à dire qui n’ait déjà été dit plus haut. Magical Drop Ⅲ bénéficie d’un gameplay simple mais puissant, d’un concept ludique, d’un visuel qui flatte la rétine et d’une ambiance du tonnerre. On peut difficilement demander plus à un jeu de ce genre-là ! Avec ce Magical Drop Ⅲ, c’est déjà la 100ème vidéo sur les jeux Arcade. Plus que 2396 à faire. ^^ CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted February 23 Share Posted February 23 Je viens de finir duke nukem forever alors en soi c'est pas un mauvais fps mais plutôt il déçois sur le fait que c'est un fps générique et que certain truc ont l'air d’être piqué d'autre fps comme l’ego qui sert de bouclier qui a l'air d’être pris de halo et aussi le fait que duke ne peux se servir que de deux arme sa casse un peu le rythme qu'on avait dans duke nukem 3d ou tu pouvais te trimbalé une dizaine d'arme. Autre défaut les boss alors une bonne partie sont les meme que dans duke nukem 3d comme le battlelord et l'empereur cycloide qui ont quasiment les même mouvement. En vrai pour moi c'était pas mauvais mais je pense que si j'avais comme beaucoup de joueur attendu 14 ans pour avoir se jeu j'aurai aussi été déçu la je pense l'avoir apprécié car j'ai pas attendu des plombe se jeu + le fait que je l'est pas payé. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aronaar Posted February 23 Share Posted February 23 Une nouvelle fashion victim de la fantasy => De quoi ça cause ? Avowed se passe dans le monde de Pillars of Eternity, une duologie se voulant successeur spirituel à la série Baldur's Gate, avec son propre système de jeu. On incarne l'Emissaire : un Divin (un humanoïde touché par les dieux, avec toujours une déformation morphologique) envoyé par l'Empereur d'Aedyr dans les Terres Vivantes. Ces iles lointaines livrées majoritairement à elles-mêmes font écho d'un mal qui les ronge : le Malrêve, rendant fou ses victimes et les transformant de manière grotesque... A vous d'enquêter d'épauler l'ambassadeur, décidément comment résoudre la crise, grosso modo pro-autochtones ou pro-Empire. On peut lever un sourcil dubitatif en constatant qu'on envoie une seule personne face à une telle menace et si une raison se fait jour pour cela, l'histoire est loin d'être fracassante. Les révélations ne vont pas vous défriser les cheveux et niveau personnages, on est loin de ce à quoi Obsidian a pu nous habituer, surtout pour les compagnons, très oubliables à mon sens. => Comment ça se joue ? On oublie le côté CRPG des épisodes précédents ; on bascule en mode A-RPG à la Skyrim, avec une jauge d'endurance pour les attaques, esquives et parades. L'Emissaire est ce genre de golem fantastique qui sait tout faire : crocheter, utiliser un arc ou une arquebuse, combattre avec des armes de mêlée, utiliser la magie, crafter... Il n'y a aucune classe mais pour être efficace, vous allez vous axer sur un build : combattant, rôdeur ou magicien, avec les capacités qui vont bien (attaque tournoyante, augmentation des dégâts avec les armes à distance, attaques à la baguette qui rebondissent sur d'autres ennemis) que vous débloquerez en montant de niveau. Contrairement aux épisodes antérieures, il n'y a rien de bien compliqué dans les builds ou la façon de les jouer, ce qui rend le jeu très accessible. Les combats sont raisonnablement funs - vous pouvez avoir jusqu'à deux compagnons en même temps, dont vous ne gérez ni l'inventaire, ni les stats, qui utilisent des capacités avec délai de rechargement - avec l'habituelle recherche d'équipement plus efficace pour rester au niveau. En normal, quiconque d'un peu habitué s'en sortira sans problème, il y a pléthore d'objets de soin à obtenir ou crafter, plus la possibilité de monter gratuitement un camp pour tout régénérer. L'IA comptera plus sur le nombre que sur ses tactiques, ayant parfois du mal à vous suivre, effectuant de temps à autre de magnifiques moonwalk dans votre direction sans vous attaquer ou se perdant dans le décor. Les boss sont plus des matchs d'endurance qu'autre chose. Les maps sont suffisantes, sans être trop grandes, avec toutefois moult secrets à dénicher et un nombre raisonnable de quêtes secondaires, rarement passionnantes cela dit. => Est-ce que ça vaut le coup ? Au prix de lancement ? Clairement pas et j'ai d'ailleurs du mal à comprendre ces 70€. S'il n'avait pas été sur le GamePass, j'aurai clairement passé mon chemin. Je suis raisonnablement fan d'Obsidian (notamment Tyranny, KOTOR II, Alpha Protocol et New Vegas) mais je n'ai retrouvé dans Avowed ni la qualité d'écriture que l'on pouvait vivre dans ces titres, ni une folle originalité. Le concept du Malrêve est aguicheur mais il est traité presque comme une menace fantasy générique et les choix qui sont proposés aux joueurs restent très convenus. Si chaque région comporte son identité, on y retrouve à chaque fois une certaine routine et si les graphismes sont cool, les villes manquent assez de vie, la faute à des PNJ rarement attachants. C'est au final une aventure sans prise de tête et globalement fluide (sauf la fin, un peu trop chargée en combats dont l'intérêt commence sérieusement à faiblir), mais loin d'être remarquable. akumasan and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 25 Share Posted February 25 🔰 Sorti initialement en 2011 sur consoles de 7ème génération, CATHERINE se fait un petit come-back sur Xbox One pour mon plus grand bonheur, car oui, je suis fan absolu de ce Puzzle-Game vraiment atypique. Dans ce jeu, on incarne Vincent, un type pour le moins banal, accroché à son train-train quotidien. Cependant, cela devient sérieux avec sa chère et tendre Katherine, avec qui il est en couple depuis bientôt cinq ans. Mariage, bébé et beaux rideaux, ça sent la corde au cou pour Vincent ! C’est ainsi que Vincent commence à envisager un changement dans sa vie, mais ça risque d’aller de mal en pis. Comme tout ne se déroule jamais comme prévu dans les jeux vidéo, Vincent fait la rencontre d'une blonde et plantureuse femme, du nom de Catherine avec un C qui débarque dans sa vie, et surtout dans son plumard ! La partie jeu de drague dans CATHERINE s’est révélée plutôt sympathique. De temps à autre, Vincent reçoit sur son phone, des messages de différents personnages féminins auxquels il a affaire, et c’est à nous de répondre grâce à des réponses préenregistrées. Impossible donc de lâcher avec des punchlines du style : « J’espère que t’es un i7, parce que j’aimerais t’overlocker » « Peu importe que tu sois de type C ou micro-USB, je suis un chargeur universel » Niveau punchlines de geek, on est pas mal là ! La réponse donnée ne semble pas avoir d’effet direct sur la relation qu’ils entretiennent, cependant, cela influence la « jauge de valeur » de Vincent. Si vous avez tendance à tromper votre partenaire et à mentir, vous allez dans le rouge, et si vous avez tendance à essayer de réparer la situation, vous allez dans le bleu. Eh oui, dans la vie de Vincent, c’est soit tout rouge ou soit tout bleu ! En gros, si vous êtes dans le rouge, donc en mentant à votre partenaire et en la trompant, vous êtes quelqu’un qui aime la liberté. Dans le cas contraire, si vous êtres dans le bleu, vous aimez l’ordre et la fidélité... L’opposition étrange entre Katherine, censée représenter une vie rangée avec maison, bébé et tout le bordel et Catherine, qui, elle, semble vivre sa féminité à travers sa sexualité, donne un résultat un peu trop binaire à mon goût. N’y a-t-il vraiment que deux choix ? N’est-il pas possible de s’épanouir à la fois dans la parentalité et la sexualité ? Bref, difficile pour moi de répondre étant donné que j’ai un zboubi, mais personnellement, je souhaite aux femmes qu’elles puissent choisir elles-mêmes leur manière de s’épanouir sans devoir forcément se ranger dans une de ces cases, qui me semblent trop réductrices par bien des aspects. Côté énigme, toutes les phases de cauchemar se présentent de la même manière. Vous vous trouvez en bas de toute une série de blocs et vous devez les déplacer pour pouvoir monter plus haut. Il existe différents types de blocs : des blocs normaux, des explosifs, des glissants, etc. La progression se fait donc en fonction des types de blocs. Vous pouvez aussi utiliser des objets pouvant vous aider dans votre ascension, comme une plateforme de blocs ou un saut vous permettant de gravir plusieurs étages d’un coup. Enfin, lorsque vous galérez trop et que vous vous mettez dans une situation impossible, vous pouvez revenir en arrière de quelques mouvements grâce à ce que l’on appelle le undo. Dans l’ensemble, les énigmes sont bien pensées, mais parfois très compliquées. J’avoue avoir eu envie à plusieurs reprises de bouffer ma manette à force de recommencer dix fois la même énigme. Tout comme dans les Puzzle-Games que dans la vie de Vincent, un faux pas peut avoir de lourdes conséquences et c’est ce qui rend le jeu très attractif, car CATHERINE se révèle à la fois plaisant et frustrant. Il s’agit d’une expérience qui sort des sentiers battus et qui ne plaira pas à tout le monde. Force a été de constater que j’avais envie d’avoir le fin mot de l’histoire, et de progresser dans le jeu, mais j’ai aussi trouvé le gameplay des phases cauchemardesques un peu répétitif au bout d’un moment. À l’époque, j’ai mis une dizaine d’heures pour terminer le jeu sur PlayStation 3. Cependant, je n’ai débloqué qu’une seule fin, les développeurs ont donc voulu inclure une potentielle rejouabilité dans leur jeu. Entre 2011 et 2025, beaucoup de choses ont évolué, et pas forcément dans le bon sens. Mais CATHERINE a le mérite de tenter de nous présenter une version plus actuelle de la société et de ses questionnements factuels, et même si l'exercice est difficile, ATLUS a su nous captiver une fois de plus avec CATHERINE qui a le mérite de nous repousser dans nos retranchements et de nous faire nous poser beaucoup plus de questions sur les relations hommes / femmes. Aflow, GOONIES and CopyCat 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 27 Share Posted February 27 🔰 Sorti en 2023, Born of Bread est un A-RPG dans la même veine que Paper Mario. Le soft fut développé par une équipe canadienne du nom de WildArts Studio Inc, et édité par Dear Villagers et Plug In Digital. Tout comme Paper Mario, Born of Bread n’hésite pas à casser les codes et à surprendre, en faisant notamment un pas de côté et en nous donnant le contrôle de la bande un peu loufoque d’ennemis libérés au début du jeu par une équipe d’archéologues manquant de prudence. Une cohorte colorée de personnages variés et écrite avec beaucoup de soin constitue le casting de ce jeu assez bavard. Toutefois, les répliques font mouche, les personnages adoptant chacun un ton impertinent et rafraichissant qui témoigne de l’imagination de l’équipe à l’œuvre. Dans Born of Bread, vous incarnez Tipain, une boule de mie rendue vivante par sérendipité grâce au mélange astucieux du cuisinier du palais de la Reine. À peine doré, notre héros se retrouve confronté au retour de démons anciens qui cherchent à récupérer leurs terres ancestrales. Terres revendiquées et habitées depuis des lustres par le royaume humain actuel. Une version somme toute médiévale fantastique de la maison bâtie sur un ancien cimetière indien. N’écoutant que son courage, armé d’une louche glanée dans la cuisine de son papa, Tipain s’élance vaillamment dans une quête à l’humour décalé où se multiplieront les rencontres et les lieux à explorer. L’aventure se déroule, comme tout bon A-RPG, en progressant de niveaux au moyen de l’expérience acquise après chaque combat victorieux. Ces combats au tour par tour se déclenchent sans grande surprise dès qu’un ennemi qui se balade librement dans les environnements en 2.5D que l’on parcourt nous fonce dessus. En dehors des affrontements, le jeu n’hésite pas à oser titiller le genre plateforme, avec quelques passages plus stratégiques et demandant un soupçon d’adresse. Heureusement, l’expérience est parfaitement équilibrée et sans grand temps mort. Assurer la survie de Tipain et de ses amis n’a rien d’insurmontable et une chute par ci ou quelques coups encaissés pendant les combats ne constituent pas des menaces suffisantes pour rendre le jeu difficile. Parti pris assumé, le jeu déroule ainsi son histoire avec fluidité et on apprécie et sommes curieux à chaque changement d’environnement de découvrir les surprises concoctées. Comme un immense coffre à jouets de carton, les développeurs ont imaginé des paysages remarquables. Chacun propose une ambiance colorée redoutablement accrocheuse, en passant de l’immense forêt émeraude, aux champs lumineux des terres agricoles ou encore aux neiges mystérieuses d’un bois inquiétant. J'en dis pas plus pour vous laisser savourer jusqu’au bout les idées à l’œuvre. La zone principale qui accueille la cité radieuse, son château féérique et sa reine aussi folle qu’effrayante, emprunte aux Royaume Champignon de Paper Mario sur Nintendo 64 et au Port-Lacanaïe de Paper Mario et la Porte millénaire sur GameCube leurs meilleures idées visuelles, avec des boulevards, des ruelles et des maisons innombrables. Si le vagabondage urbain est très agréable, on aurait apprécié qu’un peu plus de secrets y soient dissimulés. Parmi les actions proposées, Tipain dispose enfin d’une attaque spéciale qui s’améliore à chaque fin de chapitre avec l’octroi d’un nouveau pouvoir. Ces attaques subsidiaires sont pour le moins puissantes et sont un autre atout à mettre au crédit du jeu qui ne lésine pas devant le vaste choix à disposition du joueur pour s’amuser, tout en prenant des initiatives dans les combats. Entre les points de vie, (PV), et les points d’attaque, (PC), tout est question d’équilibre dans les combats, et pour cela, le jeu s’appuie sur un système plutôt original et amusant de spectateurs pouvant encourager nos combattants. Comme si le combat était diffusé en direct sur internet, de faux spectateurs assistent en nombre à chaque affrontement et font entendre leur voix à travers des messages loufoques mais en même temps crédibles, comme s’ils étaient tirés d’un live YouTube. Pour finir, Born of Bread est une belle surprise et se taille une place de choix en tant que digne successeur de l’esprit des premiers épisodes de la série Paper Mario. Tout y est, identité personnelle, humour et combats efficaces. L’univers est ravissant et chaque tableau nous enchante. Les heures, certes passées trop rapidement, s’enchaînent avec beaucoup de plaisir. Une belle pioche à ne pas rater pour les fans des A-RPG tout choupi. Je dédicace ce let's play à Aflow. Aflow, CopyCat and GOONIES 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted February 27 Share Posted February 27 Le 19/02/2025 à 19:18, akumasan a dit : Chisai, un chat guerrier qui n’a pas peur des Yokai, Minou, 9 fois la samouraï's life😻 akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted February 28 Share Posted February 28 Merci aku pour ce jeu 👌 tout simplement kiffant ! akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Garbit1234 Posted February 28 Share Posted February 28 où peut ont le télécharger ? Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted February 28 Share Posted February 28 il y a 56 minutes, Garbit1234 a dit : où peut ont le télécharger ? Tu peux le télécharger sur : Xbox Series / PlayStation 5 / Nintendo Switch / Steam. Garbit1234 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted March 1 Share Posted March 1 Le 23/02/2025 à 17:59, Aronaar a dit : Une nouvelle fashion victim de la fantasy => De quoi ça cause ? Avowed se passe dans le monde de Pillars of Eternity, une duologie se voulant successeur spirituel à la série Baldur's Gate, avec son propre système de jeu. On incarne l'Emissaire : un Divin (un humanoïde touché par les dieux, avec toujours une déformation morphologique) envoyé par l'Empereur d'Aedyr dans les Terres Vivantes. Ces iles lointaines livrées majoritairement à elles-mêmes font écho d'un mal qui les ronge : le Malrêve, rendant fou ses victimes et les transformant de manière grotesque... A vous d'enquêter d'épauler l'ambassadeur, décidément comment résoudre la crise, grosso modo pro-autochtones ou pro-Empire. On peut lever un sourcil dubitatif en constatant qu'on envoie une seule personne face à une telle menace et si une raison se fait jour pour cela, l'histoire est loin d'être fracassante. Les révélations ne vont pas vous défriser les cheveux et niveau personnages, on est loin de ce à quoi Obsidian a pu nous habituer, surtout pour les compagnons, très oubliables à mon sens. => Comment ça se joue ? On oublie le côté CRPG des épisodes précédents ; on bascule en mode A-RPG à la Skyrim, avec une jauge d'endurance pour les attaques, esquives et parades. L'Emissaire est ce genre de golem fantastique qui sait tout faire : crocheter, utiliser un arc ou une arquebuse, combattre avec des armes de mêlée, utiliser la magie, crafter... Il n'y a aucune classe mais pour être efficace, vous allez vous axer sur un build : combattant, rôdeur ou magicien, avec les capacités qui vont bien (attaque tournoyante, augmentation des dégâts avec les armes à distance, attaques à la baguette qui rebondissent sur d'autres ennemis) que vous débloquerez en montant de niveau. Contrairement aux épisodes antérieures, il n'y a rien de bien compliqué dans les builds ou la façon de les jouer, ce qui rend le jeu très accessible. Les combats sont raisonnablement funs - vous pouvez avoir jusqu'à deux compagnons en même temps, dont vous ne gérez ni l'inventaire, ni les stats, qui utilisent des capacités avec délai de rechargement - avec l'habituelle recherche d'équipement plus efficace pour rester au niveau. En normal, quiconque d'un peu habitué s'en sortira sans problème, il y a pléthore d'objets de soin à obtenir ou crafter, plus la possibilité de monter gratuitement un camp pour tout régénérer. L'IA comptera plus sur le nombre que sur ses tactiques, ayant parfois du mal à vous suivre, effectuant de temps à autre de magnifiques moonwalk dans votre direction sans vous attaquer ou se perdant dans le décor. Les boss sont plus des matchs d'endurance qu'autre chose. Les maps sont suffisantes, sans être trop grandes, avec toutefois moult secrets à dénicher et un nombre raisonnable de quêtes secondaires, rarement passionnantes cela dit. => Est-ce que ça vaut le coup ? Au prix de lancement ? Clairement pas et j'ai d'ailleurs du mal à comprendre ces 70€. S'il n'avait pas été sur le GamePass, j'aurai clairement passé mon chemin. Je suis raisonnablement fan d'Obsidian (notamment Tyranny, KOTOR II, Alpha Protocol et New Vegas) mais je n'ai retrouvé dans Avowed ni la qualité d'écriture que l'on pouvait vivre dans ces titres, ni une folle originalité. Le concept du Malrêve est aguicheur mais il est traité presque comme une menace fantasy générique et les choix qui sont proposés aux joueurs restent très convenus. Si chaque région comporte son identité, on y retrouve à chaque fois une certaine routine et si les graphismes sont cool, les villes manquent assez de vie, la faute à des PNJ rarement attachants. C'est au final une aventure sans prise de tête et globalement fluide (sauf la fin, un peu trop chargée en combats dont l'intérêt commence sérieusement à faiblir), mais loin d'être remarquable. Apparemment, je ne suis pas le seul a penser que Avowed n'est pas fou fou comme RPG. Aronaar and Gaga46 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted March 2 Share Posted March 2 🔰 Sorti en 2018, Super Robot Wars Ⅹ ou Super Robot Taisen Ⅹ au Japon, est un Tactical-RPG développé par B.B. Studio et édité par Bandai Namco Entertainment. La principale particularité de cette série est de proposer des personnages, des scénarios et des unités issus tout droit de diverses œuvres de l'animation japonaise, depuis Mazinger, Getter Robo et Gundam jusqu'à Goldorak. Avec le temps le nombre de séries utilisées dans un Super Robot Wars se chiffre en dizaines, ce qui en fait l'une des plus grandes séries de crossover disponible sur console. Le tout premier épisode sort en 1991 sur Game Boy, le jeu proposait donc déjà ce qui deviendra dans les jeux suivants la distinction entre super robots, monstres colossaux surpuissants mais peu maniables, et real robots, plus réalistes et misant plus sur leur agilité et leur petite taille. Le jeu connut suffisamment de succès pour connaître une suite sur Famicom, puis sur Super Famicom, console sur laquelle la série a véritablement explosé et où les bases de la série ont définitivement pris forme. Le passage au support CD-ROM avec la Saturn et la PlayStation ont permis des apports supplémentaires, comme l'utilisation des Seiyuu d'origine pour sonoriser les attaques des unités, ou des séquences de combat ressemblent à de véritables dessins animés, qui ont fini d'assurer la popularité d'une série devenue une véritable institution au Japon. Vous l’avez compris, Super Robot Wars est un gloubiboulga des licences de mèchas dont Bandai Namco possède les droits, ou du moins une partie, et pour cet épisode on espérait voir les plus importantes enfin se retrouver dans un même jeu, car si elles ont toutes été exploitées durant ces trente années, les histoires de droits ont toujours rendu cela impossible. Bandai Namco possède bien une partie de ces droits d’exploitation, mais l’éditeur nippon ne peut pas en faire ce qu’il veut, les auteurs ayant toujours leur mot à dire. De même, d’autres entités veulent leurs parts du gâteau essentiellement via les coûteux droits sur les musiques et les doublages. Au niveau du gameplay, soft reste dans la lignée des épisodes précédents, mais sans liens chronologiques avec les autres opus. Avec tout de même une ambiance plus Heroic-Fantasy chose assez rare dans la saga, et sans tomber dans les extrêmes comme dans Super Robot Taisen Neo. La nouveauté du gameplay c'est tout de même l'ajout d'un mode Expert. Deux différences notables par rapport au mode Standard et ces deux difficultés: • Les ennemis ont un gros boost d'amélioration par rapport au mode Standard. • Les objectifs secondaires de missions ou SR pour Skill Requirement, ne sont plus présent sous leurs formes traditionnelles. Dans ce mode, ils sont donnés si la mission est réussite du premier coup. À priori, on y perd par rapport à un mode EX-Hard présent en NG+ dans les épisodes OG. Mais pas tant que ça. Les ennemis sont suffisamment forts pour nous forcer à exploiter l'ensemble du gameplay. Les compétences pilotes, l'équipement des robots et leurs améliorations, l'utilisation des Spirits Commands, sans se restreindre. L'absence des SR traditionnels peut rendre ce mode plus facile. À part ça, c'est assez similaire aux précédents opus comme le Z-Ⅱ et Z-Ⅲ ainsi que le Ⅴ. Seul le casting change. Il y a 23 séries/mangas présents dans ce Super Robot Wars Ⅹ, mais seulement une moitié est réellement adaptée. L'autre fait un peu de figuration ou a une importance très limitée. Du point de vue de la réalisation, les sprites des robots sont très jolis et détaillés, mais les animations sont saccadés. Et les mise en scène des attaques très variables, du magnifique au très passable. Mais j'ai un énorme problème, je n'ai pas aimé que le sol défile constamment dans les scènes de bataille. C'est bien quand le robot est en l'air, mais au sol, cela semble bizarre lorsque les unités terrestres ennemies visuellement stationnaires continuent de glisser vers l'avant le long de la surface. Quant à l'OST, là aussi pas de changement, toujours ces formats midi pour faire plus kitch. Mais avec l'ajout de l'excellent mode Custom BGM repris du Ⅴ, permet d'apporter un peu de modernité de ce côté-là. Dans l'ensemble, ça reste un opus sympathique, qui a le mérite de tendre la main aux joueurs en manque de challenge et sans décourager les néophytes. Mais il n'y a plus cette volonté de bluffer les joueurs, ni d'impliquer réellement l'entièreté du casting dans le scénario du jeu. J'y ai passé de bons moments dessus, mais ça sera vite oublié, comme le Ⅴ je pense. Bandai Namco aurait pu nous proposer encore plus de licences cultes. Certes, on retrouve les classiques Gundam, Mazinger Z et on ne va certainement pas bouder les présences de Code Geass ou encore Majestic Prince, mais quand on sait que des séries comme Evangelion, Macross, Cowboy Bebop ou même Gunbuster ont déjà fait partie du cast d’un ou plusieurs Super Robot Wars, on ne peut que rester sur notre faim face à une liste somme toute sympathique. CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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