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🔰 Sorti en 2011, SAINTS ROW : The Trird est un GTA-like développé par Volition et édité par THQ.
Ce troisième épisode reprend l'histoire des Saints quelques années après la fin de SAINTS ROW 2, le Gang s'est alors enrichi en devenant une marque.
Mais cette grande réussite attire les convoitises du Syndicat, la pègre de Steelport, qui compte prendre des parts du gâteau à Stilwater, fief des Saints.
À vous alors de renverser la situation et de jouer à l'arroseur-arrosé dans ce jeu plus déjanté que jamais !

 

Présenté comme une vraie alternative à GTA, le jeu reprend en effet les éléments principaux d'un jeu bac à sable :
Une ville ouverte, des gangs, des armes et des missions pour asseoir votre popularité dans la ville.
Pour autant, SAINTS ROW se distingue des jeux GTA classiques par une humeur et une ambiance plus déjantée, qui frôle la science-fiction et le surnaturel, là où GTA s'ancrait davantage dans la réalité.

 

SAINTS ROW : The Third nous permet de retrouver le gang des 3rd Street Saints, désormais à la tête d'un empire financier qui se décline en vêtements et dans les médias.
Cinq ans après les événements de SAINTS ROW 2, nous voici dans Steelport, une ville dominée par une entreprise mafieuse, le Syndicat, où trois gangs se partagent les principaux marchés illicites de la ville : prostitution, drogue, jeux d'argent, etc...

 

Après une proposition de soumission du patron du Syndicat, rejetée évidemment par les Saints, nos héros se retrouvent pris dans une nouvelle guerre des gangs, sur fond de politique alors qu'une milice armée d'armes futuristes est mise pour restaurer le calme à Steelport :
La Special Tactical Anti-Gang, connue sous l'acronyme S.T.A.G.
Pour cela, il vous faudra gagner en popularité aux quatre coins de Steelport, en réunissant plusieurs personnages clé de la ville, en acquérant des locaux un peu partout et en recréant un empire financier capable de financer la riposte envers le Syndicat.

 

Dans le détail, SAINTS ROW : The Third propose tout ce qu'on peut rechercher dans un GTA, mais avec un esprit décalé qui frôle la caricature dans tous les domaines : violences, sexe, dialogues, et même des zombies !
Le jeu n'est clairement pas destiné aux plus jeunes et assume totalement sa démesure.
Hélicoptères à exploser à coup de lance-roquettes, prostitué à sauver à bord d'un cargo, mutants armés de lance-flammes et j'en passe...

 

Tout est excès dans SAINTS ROW : The Third et c'est ce qui fait véritablement le charme du jeu.
Comme dans un GTA classique, les missions tournent globalement toujours autour des mêmes thèmes : une fusillade, un paquet à récupérer ou à escorter, une fuite en voiture ou en hélicoptère.
Bref, ce n'est pas forcément très original ou fin, mais c'est aussi ce que l'on recherche dans ce type de jeu.

 

SAINTS ROW : The Third n'est pas avare côté durée de vie avec une campagne, à réaliser seul ou en coopération, assez complète et à la mise en scène délirante.
Par ailleurs, le titre comporte un nombre important de "quêtes" annexes et d'activités innombrables, véritables modèles d'absurdité.
Celles-ci pullulent dans tous les quartiers de Steelport à l'image des exercices de fraude à l'assurance, des mini-jeux du professeur Genki, et des escortes impensables de tigres.
Sans oublier le Saints Book, sorte d'almanach affichant divers objectifs à remplir ou assassinats à organiser.

 

Pour nous faciliter la tâche, le gameplay du titre repose sur une seule et même mécanique : l'amélioration.
Dégâts des armes, résistance du personnage, caractéristiques des véhicules, efficacité du gang, et même planques, tout peut être personnalisé par l'intermédiaire d'un système d'amélioration simple et très, voire trop complet, qu'on en perdrait presque son latin.
L'objectif principal est de débloquer de nouvelles capacités, et autres aides s'appliquant durant les Gunfights qui sont légion et éviter de partir les pieds devant à chaque mission.
Logique, car bien pensé, le Respect fait également son grand retour, et constitue la seule monnaie d'échange avec le dollar bien entendu pour pouvoir accéder à de nouvelles améliorations et progresser dans l'histoire.

 

Du côté du seul mode de jeu, le mode Horde, sorte de survival assez anecdotique, n'offre que très peu d'intérêt, si ce n'est entre amis.
Enfin, il convient de terminer sur quelques notes de musique.
Les compositions présentes s'avèrent être d'un grand éclectisme.
Le véritable plus, en comparaison à la concurrence, réside essentiellement dans la possibilité de créer sa propre playlist.
À vous donc choisir si vous préférez rythmer vos courses-poursuites avec la Chevauchée des Walkyries de Wagner ou accompagner d'une symphonie de Mozart, pour vos cassages de bouches en bonne et due forme.

 

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🔰 Sorti sur GameCube en 2004, Paper Mario : La Porte Millénaire est la suite de Paper Mario sorti sur Nintendo 64 en 2001.
Paper Mario : La Porte Millénaire ou également appeler Paper Mario 2 est un RPG où l'on incarne le Plombier moustachu qui va devoir se plier en quatre pour prendre la forme d'un avion en papier et se sortir des situations périlleuses ou encore pour pouvoir passer dans les plus fines cavités et ainsi voler au secours de, devinez qui, Princesse Peach qui a encore et encore été kidnappée.

 

Cherchez les cristaux d'étoiles en explorant un monde immense, en communiquant avec les fidèles amis de Mario ainsi que ses vieux ennemis, et veillez bien à épater les badauds durant les combats avec les méchants si vous ne voulez pas qu'ils s'énervent !
Hilarant, divertissant et visuellement en rupture avec tout ce qui a pu être fait jusque-là, Paper Mario 2 est l'aventure la plus ludique de l'année 2004.

 

Si Mario met de belles claques dans le domaine de la plate-forme.
Il m'a vraiment mis KO dans le domaine du RPG avec ce deuxième volet de Paper Mario qui parvient à surclasser le premier qui était déjà excellent pourtant.

 

L'ambiance est encore plus loufoque que dans le premier, l'histoire reste classique dans les premières lignes.
Il faut sauver la princesse, toujours la princesse, mais les situations et les personnages que l'on rencontre sont vraiment mémorable.
Tout le monde est au top dans cet opus, Bowser, les compagnons, Luigi malgré ses courtes apparitions, bon sang même Princesse Peach sert à quelque chose et possède ses moments bien sympas !

 

Le rythme ne faiblit jamais, l'humour réussit vraiment à faire mouche.
La durée de vie est très respectable (une trentaine d'heures en ligne droite, dont facilement une dizaine d'heures de plus pour les quêtes annexes).

 

À aucun moment, le jeu n'est jamais trop facile, ni trop dur dans ses énigmes et ses combats même s'il ne faut pas se reposer sur ses lauriers.
Et encore une fois, je tiens vraiment à saluer le rythme et l'histoire qui promet vraiment des clins d'œil, des dialogues et pas mal situations culte.

 

Les combats aussi sont de bonne facture possédant de nombreuses subtilités qui demanderont de la stratégie et du vrai réflexe.
Mention spéciale au "public" endiablé qui nous durant ces matchs et l'ambiance de fou qui dégage lors des combats de boss.

 

Sans aucun doute un de mes jeux préférés sur Gamecube avec Luigi's Manison.
Un très grand J-RPG et je conseille à tous les fans de Mario de s'y essayer, même ceux qui détestent le genre, car c'est un excellent moyen pour commencer.
Il trône même fièrement aux côtés de ceux que je préfère et je sais que bon nombre de gens le sous-estime à cause de son habillage.

 

Reprenant la plupart des idées de l'épisode N64, Paper Mario : La Porte Millénaire ne peut que nous faire regretter que Nintendo ne sorte pas davantage de titres dans le style de Super Mario RPG.
Le système de jeu fonctionne à merveille et l'esthétique adoptée est un ravissement pour les yeux. Ajoutez à cela une ambiance loufoque à souhait et vous obtenez un titre indispensable pour tout possesseur de la GameCube.

 

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🔰 Sorti le 5 juin 2019, HEROINE ANTHEM ZERO•Ⅱ : Scalescars Oath est un excellent jeu d'action/RPG, grâce à sa grande fluidité de combat et à son histoire, Heroïne Anthem ZERO•Ⅱ Scalescars Oath a reçu une évaluation très positive de ma part.
Voici, la version officielle compte pas moins de 20 chapitres de contenu d’histoire, étendant le temps de jeu à plus de 50 heures.

 

Le jeu est doté de riches performances d’images de synthèse, de l’apparition de nouveaux personnages, de plus de 350 niveaux de scènes et d’un style d’illustration vif qui combine la 3D et les scènes en 2D.

 

Heroine Anthem est entré dans son 20ème Anniversaire depuis la première génération d’œuvres, et la nouvelle série HEROINE ANTHEM ZERO•Ⅱ : Scalescars Oath est également créée par le studio original.

L’histoire commence lorsque le monde a été libéré du chaos, les Saints Vierges Jumeaux ont commencé le cercle des sept apocalypse.

 

Lorsque les terres ont été inondées lors du sixième apocalypse, après que les descendants du Sauveur aient reçu les bénédictions de Dieu, ils ont ressuscité sous le nouvel arbre de vie Terasyr, établissant la cité royale de Vuzahem.

 

Mais l’ichtyopagie continue de croître, montrant clairement que les dieux n’ont pas pardonné au monde. Les gens doivent trouver des réponses au sens de la guerre tout en survivant aux péchés et aux punitions avant le jour du Jugement dernier.
L’histoire comprend de multiples métaphores subtiles sur la relation entre les dieux et les humains.

 

Lorsque le monde fut libéré du chaos, les Twin Virgin Saints entamèrent le cercle des sept apocalypses.
Le sixième Jugement Dernier inonda les terres et les descendants du Savior, après la bénédiction de Dieu, ressuscitèrent le nouvel arbre de vie Terasyr, fondant la cité royale de Vuzahem.
Cependant l'ichtyopagion continuait de se développer, montrant clairement que les dieux n'accordaient pas leur pardon.
Les gens doivent trouver des réponses au sens de la guerre tout en survivant aux péchés et aux punitions avant le Jugement Dernier.

 

Le jeu tourne autour de Shama, la jeune descendante de Gon Arrue qui survécut à l'ichtyopagion. Elle a vécu sous Terasyr et devint prêtresse, puis le quitta à la veille du Star Ark Festival pour se rendre à Uzato, la ville des Forest Keepers.
Ensuite, elle partit à la recherche du bienfaiteur dont sa mère lui parlait dans l'espoir de trouver une maison, mais le seul indice laissé par sa mère fut une épingle.

 

Sur sa route, elle rencontrera une flopée de personnages qui l'accompagneront et l'aideront Qu'est-ce que Shama a enduré ?
Elle a gardé ses larmes et sa solitude secrètes derrière son sourire, quittant l'endroit qu'elle avait promis de chercher.
Mais son destin lui apportera-t-il vraiment la paix ? (Mystère ?) 

 

Et à l'occasion de ce partage sur la chaîne, et du en plus du vingtième anniversaire de WindThunder Studio, une bande-annonce dévoilant l'orchestre philharmonique jouant un morceau d'HEROINE ANTHEM ZERO•Ⅱ : Scalescars Oath. ^^

 

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Il y a 3 heures, Aflow a dit :

Ce jeu est puissant ! La musique, les graphismes, l'atmosphère, la durée de jeu, tout y est !

Ce jeu m'a cueilli... si t'en as d'autres comme ça en réserve...

Coucou ma chère Aflow, oui ce jeu est une vrai tuerie avec plus de 30 heures d'aventure.

Dans le genre j'ai aussi :

Anno Mutadem.

Trinity Fusion.

Oblivion Override.

Révélation

Capturedcran2024-11-09145813.thumb.png.1cbf553c4437fb2410d5a30ee21a259c.pngCapturedcran2024-11-09145133.thumb.png.23d3ceb537b9d244e9c35e63553ca08a.pngCapturedcran2024-11-09150633.thumb.png.35a45011a22f1d9ff73a877b547d7857.png

 

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🔰 Sorti sur le système Arcade Neo·Geo MVS de SNK en 1997, Neo Bomberman et une version de très bonne facture.
Très classique dans le concept, le jeu révèle paradoxalement son intérêt en mode solo, et non en multi-joueurs.

 

Borne d'arcade oblige, il n'est possible de jouer qu'à deux au maximum sur cette version du jeu culte de Hudson.
Les amateurs de parties endiablées à huit ou dix en seront donc pour leur frais.
Forts de ce constat, les développeurs ont adapté le jeu de façon à privilégier le mode solo plutôt qu'un mode multi pourtant présent.
On passera donc rapidement sur ce dernier, car se battre à deux avec des bots n'est pas très intéressant.

 

En revanche, le mode solo vous fait passer cinq mondes comportant chacun 6 ou 7 niveaux.
Du coup, ce Neo Bomberman est assez long à terminer, c'est d'ailleurs étonnant de voir ça en arcade.
Les niveaux reprennent le principe de base : tuer tous les ennemis à l'aide de ses bombes, et bousiller les blocs afin de récupérer des options et trouver la sortie du niveau.
Les options sont classiques : coup de pied pour relancer une bombe, multi-bombes, flamme qui les fait péter plus largement, bref, rien d'innovant.

 

Les niveaux ont une belle patte graphique, de même que la réalisation en général.
La musique colle bien à l'ambiance et chaque niveau dispose de ses particularités.
Une mention spéciale est à apporter au deuxième niveau dont certains passages se déroulent dans l'eau.
A la fin de chaque monde a lieu un combat contre un boss.
Ce dernier ne fait généralement que sauter partout, à vous de poser des bombes et timer comme il faut pour qu'il se les prenne en retombant.
La plupart du temps, ces combats sont plus irritants qu'intéressants.
Les deux derniers mondes proposent des boss plus sympathiques, mais je vous laisse la surprise.

 

Très classique, ce Neo Bomberman ne fait que surfer sur la vague déjà vue du genre.
Rien de nouveau, mais la possibilité d'y jouer sur borne reste tout de même intéressante.
Un jeu à jouer en mode aventure à deux pour vraiment l'apprécier.

 

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🔰 Sorti le 23 octobre 2024, SHIN-CHAN : Shiro and the Coal Town est une adaptation du manga papier populaire depuis son lancement au Japon en 1990.
SHIN-CHAN : Shiro and the Coal Town se veut une aventure ouverte aux joueurs de tous les âges, qu’ils soient fans de l'œuvre originale ou simplement attirés par l’envie de découvrir le quotidien d’un enfant japonais navigant entre la réalité et la découverte d’un monde mystérieux.
Le tout dans une ambiance toujours chargée de bonne humeur et de spontanéité !

 

Shinnosuke est un jeune garçon japonais plein de vitalité.
Du haut de ses cinq ans, il n’a jusqu’ici connu que le tumulte de la ville et ne connaît pas grand-chose d’autre.
Mais voilà que l’été arrive et ses parents décident d’emmener toute la famille Nohara passer quelques semaines dans leur maison de campagne.
Outre ses parents, Shinnosuke a une adorable petite sœur et des grands-parents toujours aux petits soins pour eux.
N’oublions pas Shiro, le jeune chien de la famille toujours volontaire pour partir à l’aventure !

 

Notre jeune héros va donc découvrir un tout nouveau monde : pendant que son grand-père va l’initier à la chasse aux insectes et à la pêche, sa grand-mère va lui inculquer le plaisir de faire pousser ses propres légumes pour les déguster ensuite.
Mais ce n’est que le début, et Shinnosuke va bientôt découvrir bien d’autres choses, à commencer par une énigmatique ville minière pleine de mystères et peuplée de personnages hauts en couleurs.

 

Le jeu n'est pas disponible en version française.
Si les voix en japonais rendent le jeu plus authentique et apportent un charme indéniable à l’ensemble, on aurait aimé avoir des sous-titres et une interface en français.
Que nenni, il faudra se contenter de l’anglais, l’espagnol, l’allemand ou le japonais.
Nous avons de notre côté opté pour la langue de Shakespeare, et ainsi constaté que tout joueur avec un niveau correct en anglais devrait largement s’en sortir.
Toutefois, ce sera l’occasion d’enrichir votre vocabulaire entre les différents noms de légumes, insectes et autres poissons croisés au cours du jeu !

 

Rassurez-vous, c’est là le seul point délicat au niveau de l’ergonomie ou du gameplay : nous sommes devant un titre particulièrement facile à prendre en main, avec des commandes très simples, des menus clairs et très accessibles, et des mécaniques de jeu aisées à appréhender par tous.

 

Vous n’avez donc plus qu’à profiter de cette magnifique patte graphique que nous propose SHIN-CHAN : Shiro and the Coal Town.
Le jeu est simplement superbe et on se croirait par moments dans les décors d’un certain studio Ghibli.
Les couleurs sont chatoyantes et évoluent au fil de la journée pour un ravissement des yeux sans cesse renouvelé.
Les musiques ne sont pas en reste et viennent parfaire une ambiance tellement apaisante et chaleureuse que chaque session de jeu apporte ce petit réconfort qu’on retrouve finalement rarement dans les jeux vidéo.

 

Le quotidien de Shinnosuke est celui d’un enfant de cinq ans en vacances : le matin et le soir, vous restez évidemment en famille et profitez de vos proches.
L’occasion pour nous occidentaux de découvrir de délicieuses scénettes de la vie quotidienne d’une famille japonaise.
En revanche, l’après-midi est à vous !
Vous allez donc pouvoir explorer le village à la découverte de ses habitants et de la nature qui vous entoure.

 

Attention, l’heure tourne et il vous faut veiller à rentrer avant la tombée de la nuit sans quoi la patrouille parentale risque de vous rappeler à l’ordre !
Mais une fois la nuit tombée, le courageux Shinnosuke pourra à nouveau se faufiler dehors pour découvrir la faune nocturne.
Des quêtes vous sont proposées par les différents habitants du village, principalement sous forme de services à rendre.
Mais si vous voulez vous faire de nouveaux amis de votre âge, il va également falloir faire vos preuves auprès d’eux !

 

Et sans trop en dire, il va vous falloir contrecarrer les plans d’un personnage aigri qui souhaite, en substance, retirer toute la joie de vivre et les plaisirs du quotidien à ses habitants.
A vous donc de faire l’inverse, aider le restaurant le plus apprécié de la ville à retrouver des clients et développer de nouveaux plats succulents, assister une inventrice de génie pour développer des innovations aussi loufoques qu’utiles aux gens, soutenir une vieille dame pour maintenir ses bains publics à flot, ou même devenir… pilote prodige de chariot minier dans des courses endiablées aux commandes de bolides personnalisables à souhait avec des options délirantes.

 

Vous l’aurez compris, SHIN-CHAN : Shiro and the Coal Town est un jeu bienveillant chargé de bonnes ondes où la violence n’a pas sa place.
Aucun combat en vue, pas de sang versé ou d’armes à équiper: ici c’est l’entraide qui prime, et le développement personnel d’un enfant adorable au contact de personnages aussi singuliers qu’attachants.

 

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  • 2 weeks later...

🔰 Le 11 décembre 1998 fût un jour à marquer d'une pierre blanche.
Les attentes et espoirs de tous les fans de Nintendo européens et d'aventures Hyliennes se voyaient enfin concrétisées et sur l'étiquette de la cartouche on pouvait y lire :
The Legend of Zelda : Ocarina of Time.

 

Six ans se sont déroulés entre la sortie du mythique A Link To The Past sur Super Nintendo et Ocarina of Time sur la première console 3D de Big N, la Nintendo 64.
Inutile de dire que le mastodonte du jeu vidéo n'avait pas le droit de décevoir, d'autant plus que les premières critiques envers la 64 bits de Nintendo commençaient à pointer le bout de leur nez.

 

Le résultat :
Un jeu magique et enchanteur, figurant au panthéon des meilleurs Zelda.

 

L'histoire :
Link est un jeune hylien recueilli par les Kokiris, une tribu de la forêt, protégée par le Vénérable Arbre Mojo, gardien de cette forêt.
Un jour, il reçoit une fée, compagnon à vie de chaque Kokiri, et est convoqué par l'Arbre Mojo, victime d'une malédiction lancée par le vil Ganondorf, chef de la tribu des Gerudos.
Après avoir acheté votre bouclier et trouvé votre épée, votre premier objectif sera de libérer l'arbre de cette malédiction.
Ceci fait, vous récupérez une première pierre ancestrale, l'Emeraude Kokiri, mais l'Arbre Mojo succombe à sa maladie.
Avant de mourir, il vous demande de vous rendre au Château d'Hyrule.


Vous y rencontrerez la princesse Zelda qui vous donnera votre première grande quête :
Retrouver les deux autres pierres ancestrales permettant l'accès à la Triforce avant Ganondorf qui projette de s'en servir pour régner sur Hyrule.

Ocarina of Time est donc le premier épisode de la série des Zelda avoir été réalisé entièrement en 3D.
Les développeurs de Nintendo ont donc utilisé le savoir-faire acquis de Mario 64 à savoir l'utilisation du stick analogique du pad N64 pour les déplacements de Link, par exemple.
Des soucis de caméra ? Que nenni, sur simple pression d'un bouton, vous pouvez la replacer.
Les combats ?
En appuyant sur Z, vous pourrez aisément viser vos ennemis grâce à un système de verrouillage de cible.
Une première, pour un jeu en 3D temps réel.

 

Univers de Zelda oblige, on retrouve toute une ribambelle d'éléments issus des précédents opus. Les cœurs, fragments de cœur, bombes, rubis, boomerang, arc, et puis d'autres petites choses sympas comme le bruit qui résonne quand on a résolu une énigme et qui nous emplit de bonheur à chaque fois.
Beaucoup de nouveautés sont apparues dans le gameplay comme les tuniques rouge et bleue se portant sur certaines conditions ou encore la possibilité de monter à cheval (La sensation de liberté que l'on ressent quand on parcourt la plaine d'Hyrule avec Epona, haaa...pataclop, pataclop ! Hum...) !
Enfin, les éléments les plus importants de ce Zelda sont les Ocarinas, instruments qui vous seront indispensables pour votre progression.
Les mélodies apprises au cours du jeu permettent de provoquer divers évènements (comme passer du jour à la nuit, appeler votre cheval, ou simplement de franchir des obstacles).
Vous en aurez deux, le premier vous sera confié durant les premières heures de jeu, le second vous permettra de voyager dans le temps.

 

La quête principale est très longue, et de multiples quêtes annexes sont à découvrir à Hyrule, comme la quête des Skulltulas d'or (il y'en a plus de 250 à retrouver, bon courage !).
Niveau difficulté, certains donjons sont très corsés (satanés temples !) notamment vers la fin du jeu.
Mais si vous êtes venu à bout de A Link to the Past et/ou Link's Awakening, vous n'aurez pas trop de mal à terminer le jeu.

 

Enfin, n'oublions pas les musiques sublimes composées par monsieur Koji Kondo, tantôt inédites, tantôt sorties des précédents Zelda et ré-arrangées pour notre plus grand plaisir de nostalgeek.
Zelda : Ocarina of Time est un grand classique dans la plus pure tradition des jeux Nintendo.
Il a certes vieilli, mais on ne se lasse jamais de parcourir Hyrule une fois encore et de botter les fesses de Ganon !

 

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Tiens c'est marrant ça, c'est pile le jeu que je voulais commencer ce matin très tôt... Malheureusement le son grésille, @akumasan t'aurais pas une astuce ? Mon émulateur est Project 64 3.0.1.5664. J'avais la version v1.0 d'Ocarina of Time et j'ai téléchargé la v1.1 pour voir si ça changeait quelque chose mais non. Y a t-il des paramètres que tu connais qui peuvent faire taire ces grésillements ??

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Il y a 4 heures, Aflow a dit :

Tiens c'est marrant ça, c'est pile le jeu que je voulais commencer ce matin très tôt... Malheureusement le son grésille, @akumasan t'aurais pas une astuce ? Mon émulateur est Project 64 3.0.1.5664. J'avais la version v1.0 d'Ocarina of Time et j'ai téléchargé la v1.1 pour voir si ça changeait quelque chose mais non. Y a t-il des paramètres que tu connais qui peuvent faire taire ces grésillements ??

Coucou ma chère Aflow, j'ai la version 1.6 de Project 64 et The Legend of Zelda : Ocarina of Time tourne nickel.

Ça grésille pas et c'est du 50 fp/s consent.

J'ai regardé mes réglages pour le son et j'ai rien changer dans ses options.

 

Capture d’écran 2024-11-23 153303.pngIl y a une autre alternative a la version Nintendo 64/Projet64.

C'est la version PC de The Legend of Zelda : Ocarina of Time appelé Ship of Harkinian.

Non seulement cette version corrige les bugs et les principaux défauts de la version Nintendo 64, mais c'est un régal de faire tourner The Legend of Zelda : Ocarina of Time a 120 fp/s et sa, ça change tout crois moi.

C'est cette version que je te conseil vivement car c'est la meilleur, ma vidéo a était faite avec cette version :

 

 

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J'ai téléchargé le jeu pour voir si ça marchait et ça a l'air de tourner. Je vois que ce jeu est disponible en français et le jeu a démarré tout seul en anglais. Comment on fait pour changer la langue ?

Pour accéder aux paramètres, c'est où ? si je veux par exemple mettre en plein écran.

Et merci beaucoup aku, je ne connaissais pas cette version d'OOT.

En plus, chose qui m'a surprise, ma manette vibre au son du tonnerre de l'intro... c'est la première fois qu'un de mes jeux émulés vibre... trop cool ! Que du bonus ! 

Le jeu est beaucoup plus fluide, j'ai l'impression que Link marche plus vite.

Je vais supprimer mes versions N64.

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il y a 7 minutes, Aflow a dit :

Je vois que ce jeu est disponible en français et le jeu a démarré tout seul en anglais. Comment on fait pour changer la langue ?

Pour accéder aux paramètres, c'est où ? si je veux par exemple mettre en plein écran.

Et merci aku, je ne connaissais pas cette version d'OOT.

Je crois que tu peut configurer ça directement depuis le menu du jeu:

Citation

Easy-to-Use Menus

Gameplay settings, graphics settings, input mappings, and audio settings can all be configured with the in-game config menu. The menus can all be used with mouse, controller, or keyboard for maximum convenience.

 

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il y a une heure, Aflow a dit :

J'ai téléchargé le jeu pour voir si ça marchait et ça a l'air de tourner. Je vois que ce jeu est disponible en français et le jeu a démarré tout seul en anglais. Comment on fait pour changer la langue ?

Pour accéder aux paramètres, c'est où ? si je veux par exemple mettre en plein écran.

Et merci beaucoup aku, je ne connaissais pas cette version d'OOT.

En plus, chose qui m'a surprise, ma manette vibre au son du tonnerre de l'intro... c'est la première fois qu'un de mes jeux émulés vibre... trop cool ! Que du bonus ! 

Le jeu est beaucoup plus fluide, j'ai l'impression que Link marche plus vite.

Je vais supprimer mes versions N64.

pour changer la langue tu dois :

Appuis sur la touche F1

Settings

Language

French

 

 

Capture d’écran 2024-11-24 083645.png

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🔰 Sorti en 2011 sur la Nintendo 3DS, The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D est le troisième opus officiel de The Legend of Zelda : Ocarina of Time.
Il ne s'agit pas d'un simple portage comme ce fut le cas pour la version Nintendo GameCube sorti en 2002, mais bien d'une version upgrader du soft de 1998.

 

The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D n'est pas un remake, ce n'est pas une refonte en profondeur qui a été effectuée avec ce titre, mais bien quelques détails qui ont été revus avec subtilité afin que cette aventure épique se présente sous son meilleur jour en 2011.
Une opération cruciale, car comme on le sait, le diable se cache toujours dans les détails, et qui nous permet de l'affirmer aujourd'hui sans sourciller car, beaucoup de titres qui sortent actuellement ne tiennent même pas la comparaison en terme d'intérêt, face à ce jeu de treize ans d'âge, subtilement rafraîchi aujourd'hui.

 

En termes de réalisation, The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D est tout simplement magnifique, c'est la plus belle des versions à ce jour.
Depuis la brève apparition du jeu l'an passé au Convention Center de Los Angeles, les développeurs ont pris le temps de soigner les différentes animations de Link, ainsi que la modélisation des personnages qui n'ont jamais semblé aussi beaux.
Les endroits comme les maisons ou les magasins qui était en 2D pré calculé sur les versions Nintendo 64 et GameCube, son dans cette version 3DS en tout en 3D.
Et c'est pareil pour certains éléments du décor comme par exemple les barrières qui sur les versions Nintendo 64 et GameCube était de simple sprits, son ici modéliser en 3D.
Ce changement est vraiment très appréciable et donne une deuxième vie à The Legend of Zelda : Ocarina of Time.
Le fog qui écorchait les yeux sur Nintendo 64 a totalement disparu, et les textures ont gagné en finesse pour rendre les environnements encore plus enivrants.
The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D régale les amateurs d'arts plastiques, avec ses multiples effets de lumière qui donnent envie de retourner à la maternelle pour prendre des cours de dessin.

 

Les plus pointilleux pourront regretter l'absence de nouveautés dans l'aventure, pour un jeu sorti à l'origine plus de dix ans plus tôt, en 1998.
Par exemple, pour le Zelda DX sur Game Boy Color, on avait eu droit à un nouveau donjon.
De mon côté, je préfère prendre le contre-pied en m'étonnant que la recette fonctionne aussi bien après toutes ces années.
Comme quoi un jeu mythique le reste, peu importe le poids des années.
Et puis sans cela, il y avait très peu de chances pour que je me relance dans cette aventure que j'avais finalement pratiquement tout oublié.
Et je ne pense pas faire exception.

 

Le jeu est la tuerie qu'il était déjà en 1998 en termes de profondeur de jeu, d'aventure, d'univers, les génies mentaux de chez Big N ont eu l'idée de mettre un coup de polish sur ce qui pouvait paraître défraîchi et l'interface tactile rend le tout encore plus confortable.
C'est vrai que l'univers de ce Zelda n'est pas aussi foisonnant que certains plus récents, chaque PNJ ne semble pas vaquer à ses occupations comme dans certaines productions actuelles.
Mais bon, comme de toute façon ces productions doivent tout à Ocarina of Time, comme par exemple, le cycle jour/nuit , et qu'avec le nombre de quêtes annexes (la chasse aux Skulltulas, aux esprits, le commerce des masques, la recherche des grandes fées aux tendances douteuses...), il y a peu de chances que vous vous sentiez seul, et ce n'est donc pas moi qui tiendrai le couteau pour tuer le père !

 

Certains regretteront peut-être le fait que la Master Quest ne soit pas immédiatement disponible, auquel cas on leur répondra que replonger dans cette épopée fantastique, treize années après, est d'une manière nostalgique, assez formidable.

 

Prenez donc toute la mesure du chef-d'œuvre qu'est The Legend of Zelda : Ocarina of Time, en vous y replongeant treize ans après sur 3DS et en constatant qu'il aura juste suffi de quelques retouches graphiques et du confort tactile proposé par la 3DS, pour que celui-ci s'impose de nouveau comme une référence absolue.

 

Si vous avez déjà joué au jeu sur Nintendo 64, vous retrouverez toute la majesté du titre qui vous aura marqué à l'époque, avec des graphismes beaucoup plus fins et une interface plus confortable.
Quant aux petits nouveaux, si vous ne vous prendrez sûrement pas la claque de vos aînés, vous découvrirez tout simplement l'un des tout meilleurs jeux de ces quinze dernières années, toujours fringuant, treize ans après sa sortie originale.
C'est pour moi la version ultime de The Legend of Zelda : Ocarina of Time, c'est incontestablement un indispensable.

 

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Il y a 2 heures, Aflow a dit :

Je reviens réagir demain aku ! 

J'avais appuyé F1 au début du jeu et cela ne me fait que couper le volume...

Bah ça c'est vraiment bizarre !!!

Je viens de réessayer et c'est bien la touche f1 pour faire apparaître la toolbar des options ???  

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il y a 16 minutes, Aflow a dit :

Ah, pas grave... je ferais de l'anglais mais ce sont mes neveux qui vont être plus récalcitrants à y jouer en anglais.

C'est pas du tout normal f1 ne devrait pas coupé le son !?

C'est dommage de se taper un jeu en Anglais alors que la traduction Française est inclu dans le jeu.

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Il y a 7 heures, akumasan a dit :

🔰 Sorti en 2011 sur la Nintendo 3DS, The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D est le troisième opus officiel de The Legend of Zelda : Ocarina of Time.
Il ne s'agit pas d'un simple portage comme ce fut le cas pour la version Nintendo GameCube sorti en 2002, mais bien d'une version upgrader du soft de 1998.

 

The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D n'est pas un remake, ce n'est pas une refonte en profondeur qui a été effectuée avec ce titre, mais bien quelques détails qui ont été revus avec subtilité afin que cette aventure épique se présente sous son meilleur jour en 2011.
Une opération cruciale, car comme on le sait, le diable se cache toujours dans les détails, et qui nous permet de l'affirmer aujourd'hui sans sourciller car, beaucoup de titres qui sortent actuellement ne tiennent même pas la comparaison en terme d'intérêt, face à ce jeu de treize ans d'âge, subtilement rafraîchi aujourd'hui.

 

En termes de réalisation, The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D est tout simplement magnifique, c'est la plus belle des versions à ce jour.
Depuis la brève apparition du jeu l'an passé au Convention Center de Los Angeles, les développeurs ont pris le temps de soigner les différentes animations de Link, ainsi que la modélisation des personnages qui n'ont jamais semblé aussi beaux.
Les endroits comme les maisons ou les magasins qui était en 2D pré calculé sur les versions Nintendo 64 et GameCube, son dans cette version 3DS en tout en 3D.
Et c'est pareil pour certains éléments du décor comme par exemple les barrières qui sur les versions Nintendo 64 et GameCube était de simple sprits, son ici modéliser en 3D.
Ce changement est vraiment très appréciable et donne une deuxième vie à The Legend of Zelda : Ocarina of Time.
Le fog qui écorchait les yeux sur Nintendo 64 a totalement disparu, et les textures ont gagné en finesse pour rendre les environnements encore plus enivrants.
The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D régale les amateurs d'arts plastiques, avec ses multiples effets de lumière qui donnent envie de retourner à la maternelle pour prendre des cours de dessin.

 

Les plus pointilleux pourront regretter l'absence de nouveautés dans l'aventure, pour un jeu sorti à l'origine plus de dix ans plus tôt, en 1998.
Par exemple, pour le Zelda DX sur Game Boy Color, on avait eu droit à un nouveau donjon.
De mon côté, je préfère prendre le contre-pied en m'étonnant que la recette fonctionne aussi bien après toutes ces années.
Comme quoi un jeu mythique le reste, peu importe le poids des années.
Et puis sans cela, il y avait très peu de chances pour que je me relance dans cette aventure que j'avais finalement pratiquement tout oublié.
Et je ne pense pas faire exception.

 

Le jeu est la tuerie qu'il était déjà en 1998 en termes de profondeur de jeu, d'aventure, d'univers, les génies mentaux de chez Big N ont eu l'idée de mettre un coup de polish sur ce qui pouvait paraître défraîchi et l'interface tactile rend le tout encore plus confortable.
C'est vrai que l'univers de ce Zelda n'est pas aussi foisonnant que certains plus récents, chaque PNJ ne semble pas vaquer à ses occupations comme dans certaines productions actuelles.
Mais bon, comme de toute façon ces productions doivent tout à Ocarina of Time, comme par exemple, le cycle jour/nuit , et qu'avec le nombre de quêtes annexes (la chasse aux Skulltulas, aux esprits, le commerce des masques, la recherche des grandes fées aux tendances douteuses...), il y a peu de chances que vous vous sentiez seul, et ce n'est donc pas moi qui tiendrai le couteau pour tuer le père !

 

Certains regretteront peut-être le fait que la Master Quest ne soit pas immédiatement disponible, auquel cas on leur répondra que replonger dans cette épopée fantastique, treize années après, est d'une manière nostalgique, assez formidable.

 

Prenez donc toute la mesure du chef-d'œuvre qu'est The Legend of Zelda : Ocarina of Time, en vous y replongeant treize ans après sur 3DS et en constatant qu'il aura juste suffi de quelques retouches graphiques et du confort tactile proposé par la 3DS, pour que celui-ci s'impose de nouveau comme une référence absolue.

 

Si vous avez déjà joué au jeu sur Nintendo 64, vous retrouverez toute la majesté du titre qui vous aura marqué à l'époque, avec des graphismes beaucoup plus fins et une interface plus confortable.
Quant aux petits nouveaux, si vous ne vous prendrez sûrement pas la claque de vos aînés, vous découvrirez tout simplement l'un des tout meilleurs jeux de ces quinze dernières années, toujours fringuant, treize ans après sa sortie originale.
C'est pour moi la version ultime de The Legend of Zelda : Ocarina of Time, c'est incontestablement un indispensable.

 

Waw !!!

Elle est sublime cette version d'Ocarina of Time.

Gros like mon Aku.😍

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