Quels jeux faites-vous actuellement ?

[akumasan]

🔰 Hironobu Sakaguchi, le papa des onze premiers FINAL FANTASY, accompagné de son célèbre compositeur Nobuo Uematsu reviennent pour nous offrir FANTASIAN Neo Dimension, un RPG au tour par tour comme je les aime tant.
Hironobu Sakaguchi est de retour à ses premiers amours avec un RPG entièrement créé en diorama.
Pour FANTASIAN Neo Dimension, l’équipe de Mistwalker a effectué un travail particulièrement osé. Pour créer tous les environnements du jeu, Hironobu Sakaguchi a décidé de les faire fabriquer de vraies maquettes façon diorama, pour ensuite les scannés en y implantant des modèles 3D pour les personnages.
Pour faire simple, les décors ne sont pas de 3D précalculée comme dans les FINAL FANTASY de l’ère PlayStation, ce sont de vrais décors fabriquer à la main. 
Ce qui implique, que les environnements sont fixes.
Mais alors, comment permettre aux personnages de passer dans une zone hors-champ de la caméra ?
Bien tout simplement avec une petite rotation de caméra à l’ancienne !

L’histoire débute en effet de la manière la plus classique qui soit, notre protagoniste, amnésique est se réveille dans un lieu futuriste hostile, entouré de robots maléfiques.
Parvenant à s’en échapper, il rencontre Kina, une jeune femme toute indiquée pour l’aider à retrouver ses souvenirs perdus.
Commence alors une reconquête du passé, Leo suivant ses propres pas, avec en toile de fond la menace planante d’un ennemi maléfique : Vam The Malevolent.
Tout ceci est extrêmement classique, et témoigne d’une volonté assez claire de la part de Hironobu Sakaguchi d’effectuer un retour aux sources avec son FANTASIAN Neo Dimension.

FANTASIAN Neo Dimension part d’un principe de base assez classique : trois personnages jouables, un tour par tour avec les ordres de passage dévoilés en bas d’écran, et un système d’attaque basé sur le positionnement des ennemis et l’aire d’effet des compétences.
Ainsi, certaines attaques agiront de manière classique, en attaquant un seul et unique ennemi. D’autres, en revanche, pourront être courbées pour atteindre un nombre plus élevé d’adversaires, tandis que certaines compétences pourront cibler des zones circulaires complètes par exemple.
Ajouté à ceci, les divers barrières défensives étant ainsi capables de purement et simplement annuler des attaques ennemies, tandis que les boost d’attaque augmentent véritablement la puissance offensive des personnages.

FANTASIAN Neo Dimension part ainsi de bases solides, celles d’un FINAL FANTASY Ⅵ sous stéroïdes, mais n’hésite pas à casser les codes.
Ainsi l’un des outils les plus intéressants de ce FANTASIAN Neo Dimension est le Dimengeon, un petit appareil permet de stocker les ennemis que l’on aurait normalement pu rencontrer en combat aléatoire, afin de tous les affronter en même temps au moment choisi par le joueur.
Ainsi, plutôt que de se charger six fois de cinq ennemis au cours de combats qui pourraient interrompre votre progression, vous pouvez décider d’en affronter trente à la fois.

Ce Dimengeon est un véritable outil de génie, qui permet de complètement mitiger les affres des combats aléatoires afin de permettre au joueur de s’y mettre lorsqu’il le souhaite, du moins lors des diverses phases d’exploration.
Par ce simple petit ajout, Hironobu Sakaguchi fait une fois de plus montre de toute son ingéniosité en accumulant les ennemis dans le Dimengeon, vous amassez également plus d’expérience une fois le combat terminé.
C’est si simple, et pourtant si nouveau qu’il fallait absolument saluer une telle initiative.

Si les premières dizaines d'heures de FANTASIAN Neo Dimension s’avèrent relativement aisées à parcourir, la deuxième moitié du jeu sera quant à elle beaucoup moins permissive.
Il y a, à partir d’un certain événement dans le jeu, un véritable pic de difficulté qui risque de poser des soucis à de nombreux joueurs.
Dès cet instant, il sera nécessaire de mettre à profit toutes les mécaniques apprises depuis le début du jeu pour venir à bout d’ennemis de plus en plus féroces.
La part belle est aux combats millimétrés, qui ne permettent absolument aucune erreur.
Il faudra enchaîner les bonnes combinaisons, se soigner au bon moment et attaquer dès qu’une fenêtre de tir se présente et surtout tenter de répondre au mieux aux nombreux boss prévus pour l’occasion.

FANTASIAN Neo Dimension doit son salut à un système de combat artisanal et ciselé, pensé manuellement pour susciter réflexion et peines auprès des joueurs les moins aguerris.
C’est une petite leçon de maîtrise en design de tour par tour, mais qui perd en aura à cause d’une narration bien trop conventionnelle, un protagoniste aux fraises et des contrôles bien trop frustrants pour permettre une exploration sans accroc.
Certains aiment parler de l'ultime tentative de Hironobu Sakaguchi de créer un RPG au tour par tour à la façon des premiers FINAL FANTASY.
En résulte un titre plus que plaisant si l’on cherche un système de combat exigeant et évolutif, le tout dans un univers visuellement beau et vibrant.

 

[akumasan]

🔰 Après avoir parlé avec Owen dans sa maison, Leo rejoint Kina et, après une petite discussion, elle intègre l'équipe.
Puis s'ensuit une petite cut-scène narrative qui nous en apprend un peu plus sur Vam Tha Malevolent. Ceci fait, nous partons en direction de la tour au sommet de la ville d'En.
Une fois sur place, au pied de la tour, nous rencontrons un groupe d'individus très spéciaux appelés : "Les Cinderella Tri-Stars" ou en français "Les trois-étoiles de Cendrillon."

Étant habitué aux pirouettes scénaristiques mises en place dans les différents FINAL FANTASY, mon petit doigt me dit que ces trois-là, on va les recroiser tout au long de notre aventure.
Ces trois PNJ sont un peu l'équivalent des Turks vus dans FINAL FANTASY Ⅶ.

Après avoir mis une grosse rouste à la Cinderella Tri-Stars, Leo et Kina partent en direction de la Forêt du Sud.
Une fois dans la forêt, une nouvelle cinématique se déclenche où Léo se souvient du nom de la machine qu'il transportait : La fameuse Dimengeon Machine qui est ni plus ni moins que le coup de génie de ce FANTASIAN Neo Dimension, un coup de génie signé Hironobu Sakaguchi.

La Dimengeon machine vous permet de capturer les monstres que vous rencontrez au hasard.
Au lieu d’avoir un combat aléatoire toutes les 10 secondes, les monstres sont envoyés dans la Dimengeon machine pour y être combattus plus tard.
Vous pouvez ainsi parcourir librement les cartes sans rencontrer de monstres aléatoires !

Cependant, lorsque le Dimengeon atteint sa limite de 30 monstres capturés, vous devrez tous les affronter simultanément dans ce qu'on appelle une bataille de Dimengeon !
Différents gadgets apparaissent pour augmenter vos statistiques au combat.
Il est donc important de garder un œil sur votre jauge de Dimengeon, car, vous ne voudriez pas vous retrouver à court de PV et devoir affronter 30 monstres d'un coup !

Notez également que vous avez la possibilité de déclencher manuellement et à n'importe quel moment une bataille de Dimengeon tant que votre jauge n'atteint pas le nombre de 30 monstres capturés.

Après avoir compris comment fonctionne le Dimengean, nous continuons notre périple jusqu'au milieu de la forêt.
À cet endroit, se trouve l'ancienne maison de Kina et elle se souvient y avoir vécu recluse avec Owen, car, quand elle était petite, Kina n'arrivait pas à maîtriser ses pouvoirs magique et pour qu'elle ne blesse personne autour d'elle, cet endroit était donc le lieu idéal pour y passer son enfance, loin de toute présence humaine.

Après une longue cut-scene narrative, on poursuit notre chemin et nous voici face à Money Tree, le Boss de la forêt.
Après l'avoir battu, nous sortons de la forêt pour repartir en direction de la ville d'En.

Ici, s'achève la Part Ⅱ.

 

[nogoodnameleft]

Le 29/05/2025 à 16:20, akumasan a dit :

🔰 Hironobu Sakaguchi, le papa des onze premiers FINAL FANTASY, accompagné de son célèbre compositeur Nobuo Uematsu reviennent pour nous offrir FANTASIAN Neo Dimension, un RPG au tour par tour comme je les aime tant.
Hironobu Sakaguchi est de retour à ses premiers amours avec un RPG entièrement créé en diorama.
Pour FANTASIAN Neo Dimension, l’équipe de Mistwalker a effectué un travail particulièrement osé. Pour créer tous les environnements du jeu, Hironobu Sakaguchi a décidé de les faire fabriquer de vraies maquettes façon diorama, pour ensuite les scannés en y implantant des modèles 3D pour les personnages.
Pour faire simple, les décors ne sont pas de 3D précalculée comme dans les FINAL FANTASY de l’ère PlayStation, ce sont de vrais décors fabriquer à la main. 
Ce qui implique, que les environnements sont fixes.
Mais alors, comment permettre aux personnages de passer dans une zone hors-champ de la caméra ?
Bien tout simplement avec une petite rotation de caméra à l’ancienne !

L’histoire débute en effet de la manière la plus classique qui soit, notre protagoniste, amnésique est se réveille dans un lieu futuriste hostile, entouré de robots maléfiques.
Parvenant à s’en échapper, il rencontre Kina, une jeune femme toute indiquée pour l’aider à retrouver ses souvenirs perdus.
Commence alors une reconquête du passé, Leo suivant ses propres pas, avec en toile de fond la menace planante d’un ennemi maléfique : Vam The Malevolent.
Tout ceci est extrêmement classique, et témoigne d’une volonté assez claire de la part de Hironobu Sakaguchi d’effectuer un retour aux sources avec son FANTASIAN Neo Dimension.

FANTASIAN Neo Dimension part d’un principe de base assez classique : trois personnages jouables, un tour par tour avec les ordres de passage dévoilés en bas d’écran, et un système d’attaque basé sur le positionnement des ennemis et l’aire d’effet des compétences.
Ainsi, certaines attaques agiront de manière classique, en attaquant un seul et unique ennemi. D’autres, en revanche, pourront être courbées pour atteindre un nombre plus élevé d’adversaires, tandis que certaines compétences pourront cibler des zones circulaires complètes par exemple.
Ajouté à ceci, les divers barrières défensives étant ainsi capables de purement et simplement annuler des attaques ennemies, tandis que les boost d’attaque augmentent véritablement la puissance offensive des personnages.

FANTASIAN Neo Dimension part ainsi de bases solides, celles d’un FINAL FANTASY Ⅵ sous stéroïdes, mais n’hésite pas à casser les codes.
Ainsi l’un des outils les plus intéressants de ce FANTASIAN Neo Dimension est le Dimengeon, un petit appareil permet de stocker les ennemis que l’on aurait normalement pu rencontrer en combat aléatoire, afin de tous les affronter en même temps au moment choisi par le joueur.
Ainsi, plutôt que de se charger six fois de cinq ennemis au cours de combats qui pourraient interrompre votre progression, vous pouvez décider d’en affronter trente à la fois.

Ce Dimengeon est un véritable outil de génie, qui permet de complètement mitiger les affres des combats aléatoires afin de permettre au joueur de s’y mettre lorsqu’il le souhaite, du moins lors des diverses phases d’exploration.
Par ce simple petit ajout, Hironobu Sakaguchi fait une fois de plus montre de toute son ingéniosité en accumulant les ennemis dans le Dimengeon, vous amassez également plus d’expérience une fois le combat terminé.
C’est si simple, et pourtant si nouveau qu’il fallait absolument saluer une telle initiative.

Si les premières dizaines d'heures de FANTASIAN Neo Dimension s’avèrent relativement aisées à parcourir, la deuxième moitié du jeu sera quant à elle beaucoup moins permissive.
Il y a, à partir d’un certain événement dans le jeu, un véritable pic de difficulté qui risque de poser des soucis à de nombreux joueurs.
Dès cet instant, il sera nécessaire de mettre à profit toutes les mécaniques apprises depuis le début du jeu pour venir à bout d’ennemis de plus en plus féroces.
La part belle est aux combats millimétrés, qui ne permettent absolument aucune erreur.
Il faudra enchaîner les bonnes combinaisons, se soigner au bon moment et attaquer dès qu’une fenêtre de tir se présente et surtout tenter de répondre au mieux aux nombreux boss prévus pour l’occasion.

FANTASIAN Neo Dimension doit son salut à un système de combat artisanal et ciselé, pensé manuellement pour susciter réflexion et peines auprès des joueurs les moins aguerris.
C’est une petite leçon de maîtrise en design de tour par tour, mais qui perd en aura à cause d’une narration bien trop conventionnelle, un protagoniste aux fraises et des contrôles bien trop frustrants pour permettre une exploration sans accroc.
Certains aiment parler de l'ultime tentative de Hironobu Sakaguchi de créer un RPG au tour par tour à la façon des premiers FINAL FANTASY.
En résulte un titre plus que plaisant si l’on cherche un système de combat exigeant et évolutif, le tout dans un univers visuellement beau et vibrant.

Le 29/05/2025 à 16:20, akumasan a dit :

accompagné de son célèbre compositeur Nobuo Uematsu

 

 

A 20:52 on croirait écouter le "boss theme - Fight On" de FF7 remixé !

 

[akumasan]

il y a 13 minutes, nogoodnameleft a dit :

 

A 20:52 on croirait écouter le "boss theme - Fight On" de FF7 remixé !

 

Salut nogoodnameleft, oui c'est normal car dans FANTASIAN Neo Dimension on peut choisir son OST, celle crée par Nobuo Uematsu.

Et tu imagine bien que j'ai mis celle de FINAL FANTASY Ⅶ direct car pour moi c'est une des meilleurs OST ever. ^^