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Actuellement je m’enchaîne la série myst j'ai déjà fait myst et riven sa suite direct.

Très bon jeu d'énigme et de puzzle et surtout asser compliqué en vrai surtout riven si vous etes du genre impatient il vos mieux passé votre chemin sinon vous allez vite avoir les nerf.

Autre point important quand vous prenez ses jeu ne prenez surtout pas la version Playstation prenez pc car les version Playstation les moment ou vous passer a l'écran suivant sont affreusement long et c'est vraiment gonflant surtout quand vous voulez allez a l'exact opposé a la différence de la version pc ou la transition est immédiate

Sinon coté histoire je vous conseille d’être bien attentif avec les document récupéré ainsi qu'avec les conversation avec les personnage soyez attentif pour leur mensonge et les demi vérité. Et sauvegarder souvent quand vous avez l'impression que vous allez faire quelque chose ou vous pourrez plus revenir en arrière car le jeu est asser punitif pour les mauvaise décision. 

Pour l'instant je donne une bonne note pour les 2 1er jeu de cette série surtout le second qui était vraiment agréable a visiter.

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Le 11/11/2024 à 12:14, akumasan a dit :

🔰 Sorti sur le système Arcade Neo·Geo MVS de SNK en 1997, Neo Bomberman et une version de très bonne facture.
Très classique dans le concept, le jeu révèle paradoxalement son intérêt en mode solo, et non en multi-joueurs.

 

Borne d'arcade oblige, il n'est possible de jouer qu'à deux au maximum sur cette version du jeu culte de Hudson.
Les amateurs de parties endiablées à huit ou dix en seront donc pour leur frais.
Forts de ce constat, les développeurs ont adapté le jeu de façon à privilégier le mode solo plutôt qu'un mode multi pourtant présent.
On passera donc rapidement sur ce dernier, car se battre à deux avec des bots n'est pas très intéressant.

 

En revanche, le mode solo vous fait passer cinq mondes comportant chacun 6 ou 7 niveaux.
Du coup, ce Neo Bomberman est assez long à terminer, c'est d'ailleurs étonnant de voir ça en arcade.
Les niveaux reprennent le principe de base : tuer tous les ennemis à l'aide de ses bombes, et bousiller les blocs afin de récupérer des options et trouver la sortie du niveau.
Les options sont classiques : coup de pied pour relancer une bombe, multi-bombes, flamme qui les fait péter plus largement, bref, rien d'innovant.

 

Les niveaux ont une belle patte graphique, de même que la réalisation en général.
La musique colle bien à l'ambiance et chaque niveau dispose de ses particularités.
Une mention spéciale est à apporter au deuxième niveau dont certains passages se déroulent dans l'eau.
A la fin de chaque monde a lieu un combat contre un boss.
Ce dernier ne fait généralement que sauter partout, à vous de poser des bombes et timer comme il faut pour qu'il se les prenne en retombant.
La plupart du temps, ces combats sont plus irritants qu'intéressants.
Les deux derniers mondes proposent des boss plus sympathiques, mais je vous laisse la surprise.

 

Très classique, ce Neo Bomberman ne fait que surfer sur la vague déjà vue du genre.
Rien de nouveau, mais la possibilité d'y jouer sur borne reste tout de même intéressante.
Un jeu à jouer en mode aventure à deux pour vraiment l'apprécier.

 

Oh t'aimes bomberman ?
Trop bien !

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Il y a 14 heures, akumasan a dit :

C'est pas du tout normal f1 ne devrait pas coupé le son !?

C'est dommage de se taper un jeu en Anglais alors que la traduction Française est inclu dans le jeu.

T'inquiète aku, j'ai trouvé, il suffisait d'appuyer sur une autre touche pour que la touche F1 soit réellement active. Je continue en anglais avec un dico même si ça prend plus de temps. J'espère que ça va me faire progresser. Mes neveux pourront le découvrir en français.

Merci encore aku !

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🔰 Cette réédition HD de Resident Evil 4 sorti en 2011, est un portage du jeu initialement sorti sur GameCube en 2005 puis quelques mois plus tard sur PlayStation 2.
À l'époque de sa sortie, Resident Evil 4 était parvenu à renouveler la série avec brio et à écrire au passage une page majeure de l'histoire du jeu vidéo.
Un virage action assumée, mais surtout maîtrisée grâce à une vraie science du rythme, un level design bluffant, une avalanche de séquences désormais cultes et une durée de vie conséquente.
Un chef d'œuvre absolu.
Cette version propose un portage en HD, mais rien de plus, les qualités d'hier n'ont heureusement que peu fané.
Seule la prise en main relativement rigide, les caméras un peu brusques et quelques scintillements sont là pour se souvenir que le jeu est sorti il y a tout de même plus de 6 ans.
Dommage aussi qu'aucun bonus n'ait été ajouté pour cette réédition.

 

Alors que certaines séries peinent à se renouveler, végètent durant des années sur leurs acquis au risque de se parodier, Resident Evil 4 pris le risque de se couper d’une partie de ses fans en balayant d’un revers de main tout (ou presque) ce qui avait fait le succès des Resident Evil.
Fini les zombies qui au fil du temps sentaient de plus en plus la viande avariée, fini Umbrella et ses conspirations capillotractées, place à l’action sans fioritures et au rythme endiablé !
Après un soporifique Resident Evil Zero, un assez commun Resident Evil 3, suivi d'un remake du premier épisode, un essai loupé dans le monde du MMO et des jeux de tir à oublier, Resident Evil 4 fut un coup de pied au derrière salvateur, une bombe, une véritable révolution qui a relancé la série de la plus belle des manières.
Et de quelle manière, car Resident Evil 4 est un jeu haletant, au rythme soutenu, très riche, sans temps mort et regorgeant de passages culte qui restent à jamais gravés dans votre mémoire de joueur.

 

Le scénario de Resident Evil 4, ne peut même pas dire qu’il flirte avec de la série Z, il est en plein dedans !
Qui pourrait donner crédit à un jeu dans lequel il faut sauver la fille du président des États-Unis capturée par les habitants dégénérés d’un petit village espagnol, contrôlés par des insectes parasites.
Et ce n’est pas la présence d’un ancien rescapé des précédents Resident Evil, Leon en agent spécial salvateur ne parlant pas un mot d’Espagnol qui va sauver la mise.
L’histoire est une sorte de grand-guignol déguisé qui est juste un prétexte pour enchaîner les mises en situation référentielles et les scènes d’anthologie.
Une véritable succession de scènes devenues cultes, d’affrontements contre des boss gigantesques et de passages mémorables que cela soit dans leur mise en scène ou dans leur gameplay.
Une véritable prouesse lors de sa sortie !

 

Resident Evil 4 ne fait plus du tout peur.
Fini les zombies et leur râle inquiétant, le stress des rencontres inopportunes, Resident Evil 4 fait place à l’Action avec un grand A et la peur est remplacée par le stress d’une course effrénée ou la défense d’une bâtisse contre une horde de dégénérés armés de faucilles et de tronçonneuses.
Ce serait toutefois de la mauvaise foi de dire que l’on s’était caché derrière notre fauteuil devant les Resident Evil 2, 3, Code Veronica et Zero.
L’ambiance ou l’atmosphère de peur n’ayant jamais été le point fort de la série.

 

La maniabilité de Resident Evil 4 est très loin d’atteindre les normes actuelles.
On ne peut toujours pas tirer en se déplaçant et les mouvements de Leon restent rigides.
Toutefois, Capcom a travaillé la maniabilité en y ajoutant des actions contextuelles qui dynamisent les séquences de combat.
De plus, la caméra située au-dessus de l’épaule augmente la précision de la visée, il est maintenant très aisé d’éclater les têtes, détourner les faucilles qui volent vers soi, désarmer les adversaires, ou arrêter leur course en leur tirant dans les jambes.
Ce désir de dynamiser le jeu se ressent tout au long de l’aventure, le rythme y est particulièrement travaillé jusque dans ses cinématiques.
N’espérez pas vous reposer en cours de jeu en posant votre manette sur le canapé durant une longue séquence narrative, Resident Evil n’est pas un Metal Gear Solid ou un Final Fantasy.
Les plus longues cinématiques sont entrecoupées de QTE savamment distillés afin de laisser le joueur constamment sous tension.

 

Mis à part les fous furieux du jeu qui de toute façon vont sauter dessus sans lire les tests, on ne pourrait pas conseiller aux anciens joueurs de Resident Evil 4 de revivre l’expérience dans ce portage HD.
Il n’apporte rien de plus, il n’offre pas le moindre petit bonus aux fans autre que son esthétique splendide et la possibilité de pouvoir tourner sur les écrans HD sans nous exploser les yeux.
Par contre, il serait honteux pour un amoureux de jeu vidéo de passer à côté de cette petite perle ludique dont la générosité dans l’action et les situations n’ont, à ce jour, jamais été égalées.
Un chef d’œuvre kitsch qui laisse d’impérissables souvenirs.

 

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Bonjour,a Tetris,le vrai en noir et blanc avec sa petite musique entêtante qui me replonge dans les années quatre vingt.le truc qui te colle des yeux rouges plus vite qu'une conjonctivite.sur une Anbernic RG35XX plus,grise comme a l’époque.ma série x dans le salon fait la gueule,j'ai retrouvé mon premier amour .je crois que je suis en train de pleurer.j'en ai vu passer des versions de Tetris maquillées comme des voiture volées.NIETDog Dancing GIF

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Le 02/12/2024 à 20:37, dadou47300 a dit :

Bonjour,a Tetris,le vrai en noir et blanc avec sa petite musique entêtante qui me replonge dans les années quatre vingt.le truc qui te colle des yeux rouges plus vite qu'une conjonctivite.sur une Anbernic RG35XX plus,grise comme a l’époque.ma série x dans le salon fait la gueule,j'ai retrouvé mon premier amour .

Le mieux: tetris en multijoueur en ligne notamment sur switch 😉.

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Pour les amateurs de Youtube Poops, je vous conseille Arzette: The jewel of Faramore, un jeu inspiré des zeldas CD-I, aka la triforce de la honte.
Même gameplay, mêmes cinématiques (mêmes bruitages parfois aussi) mais c'est un très très bon jeu !
Je l'ai pas encore fini mais je l'aime beaucoup
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Il y a 17 heures, Aflow a dit :

Non. Si tu pouvais m'expliquer s'il te plaît... 

et @terre7777777C'est des extraits de video monté dans le désordre pour dire des trucs complétement différent...

⚠️il faut aimer les blagues sur le caca prout et le cul. et la rigolade facile et ça radote⚠️

Quelques exemples mais y en a tellement:
(j'adore ce premier alors que je ne suis pas fan des YTP en général)

Je ne trouves pas de bonnes de Zelda CD-I mais sache que c'est aussi un très connu.

Encore une bonne:

 

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🔰 Il est difficile de se distinguer quand on veut jouer dans la jungle des jeux de course.
C'est donc en 2002 que Capcom sort Auto Modellista sur la PlayStation 2.
Capcom a décidé de tenter le pari des graphismes en cell shading et là fallait oser.
Dans les jeux courses, le plus dur c'est de se démarquer de la concurrence.
Capcom a osé une voie originale, celle du cell shading.
Oui, exit les graphismes à tendance réaliste, place aux graphismes à tendances anime/manga !!!
Et qu'est-ce que ça donne à l'écran ?
Un résultat assez impressionnant, riche en couleur et donnant de bonnes sensations de vitesse.
On se croirait presque entrain de regarder la série animé "Initial D" à la TV.
Les véhicules se reconnaissent aisément, leur caractère se voyant même renforcé, quand aux décors, ils sont particulièrement riches en couleur et sont saupoudrés d'effet bien rendu.
Bref, techniquement Auto Modellista est une franche réussite.

 

NB: A noter que cette version Japonaise corrige touts les défauts de la version E.U et U.S.
Et principalement la conduite qui a était totalement revu dans cette version Japonaise.

 

Côté garage, là encore Capcom a bien fait les choses.
On dénombre une bonne quarantaine de bolide, tous issue de marques Japonaises, customisables.
Niveau customisation c'est assez complet mécanique, aérodynamique et esthétique le catalogue de pièces est directement issue de préparateurs officiels.
Néanmoins certaines règles vous empêche de mettre de jantes de Subaru sur une Toyota ou bien encore un autocollant Nissan sur une Honda.
Ces règles ne sont pas gênantes en soit, mais on aurait alors aimé que lors du choix des pièces on ne nous affiche que les pièces que l'on peut installer.
Enfin, dernier gros détail tout est gratuit et oui, vous n'avez aucune gestion financière, vous pouvez changer de voiture sans limite et l'équiper comme bon vous semble sans avoir besoin de vous soucier d'un porte-monnaie se qui s'avère à double tranchant comme nous le verrons un peu plus loin.
Niveau tracé, le jeu en comporte peu sept ce qui fait qu'on se lasse vite même si Suzuka et les courses de côtes s'avèrent intéressant.

 

Le mode carrière d'Auto Modellista se décompose en six levels.
Pour franchir un niveau, il suffit de finir premier à un certain nombre de course du niveau précédent Level un à trois ou bien terminer premier le championnat du level quatre et supérieur.
En terminant premier, vous débloquez de nouvelles voitures, de nouvelles pièces, de nouveaux autocollants ainsi que de nouveaux éléments pour votre garage.
On trouve en efet là une originalité c'est à vous de personnaliser choix et placement des équipements et autres affiches votre garage où vous stockez votre engin.
Bien que cela n'ait aucune influence sur le jeu, cela est fort sympathique.

 

Malheureusement, c'est là qu'apparaît le double tranchant de l'absence d'argent.
Les épreuves sont en effet très peu nombreuses et pas vraiment difficiles ce qui fait que l'on parcourt tout assez vite en améliorant sa voiture ou bien en la changeant à la volée en fonction des besoins. Si cela évite de devoir tourner deux heures pour pouvoir acheter la dernière Porsche ou bien équiper sa Renault d'un énorme bloc moteur, cela réduit la durée de vie du mode carrière à un bon après midi de jeu, compter de quatre à cinq heures pour en venir à bout.

 

Une fois fini la carrière vous débloquerez tout d'abord une nouvelle option pour le tuning, la possibilité de changer le moteur tout en restant dans la même marque, vous voulez mettre un moteur de Honda NSX dans votre petite Civic ?
Aucun problème cela s'avère amusant, mais on y passera pas des heures.
Plus intéressant, le VJ Theater qui permet de réaliser de superbes montages avec vos replays, très sympa, surtout avec les graphismes cell shading.
Enfin, il vous reste les traditionnels modes contre la montre et multi-joueurs.
On notera que pour ce dernier on sera limité à deux en écrans splittés là où la version japonaise permettait de s'affronter jusqu'à six en ligne.

 

Le gameplay d'Auto Modellista est totalement typer arcade, ne cherchez pas la simulation dans ce jeu, c'est un game play a la Rage Racer.
Le moteur physique s'avère plutôt complet pour donner du réalisme, néanmoins, la conduite en dérapage est également délicate et c'est tout ou rien.
Si cela ne cause pas de problème sur les circuits simples, ce gameplay s'avère frustrant sans les courses de côte.
On remerciera alors l'IA d'être assez moyenne.
Bref, un concept gâché par une durée de vie beaucoup trop courte et c'est vraiment dommage car l'idée était très bonne.

 

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     Je me lance dans l'aventure BUG FABLES en anglais, le jeu n'existe pas en français.

C'est le premier jeu du studio indépendant Moonsprout Games sorti en 2019. RPG au tour par tour comme Paper Mario. 

 

     Nous sommes immergés dans une colonie d'insectes. Nous incarnons 3 insectes Vi, l'abeille, Kabbu, le scarabée, Leif, le papillon. Chacun a des capacités différentes au combat : l'abeille attaque en l'air, le scarabée donne des coups de corne et Leif sera capable de déterrer des ennemis.

Il y a des mécanismes à activer pour progresser avec le boomerang de Vi par exemple tandis que Leif lui, pourra geler des gouttes d'eau pour créer des plateformes. Des énigmes ou puzzles seront au rendez-vous dans cette expédition d'aventuriers rythmée par des musiques sympas. 

     Il y a beaucoup de PNJ, les dialogues ne manquent pas d'humour, l'immersion se fait mais je ne suis qu'au début du jeu (je viens d'affronter l'araignée et viens de clore le premier chapitre) et j'avance lentement avec mon dictionnaire. Ce jeu se révèle prometteur.

 

     Et pour ceux qui recherchent un peu plus de challenge, dès le début du jeu, on obtient une médaille qui est l'équivalente du badge dans Paper Mario qui nous permet de passer en Hard Mode (booste la force des ennemis mais donne plus d'XP et de récompenses).

 

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🔰 Sorti en 2018, PARTY HARD 2 est comme le premier opus, toujours un Jeu vidéo développé par PinoklGames et édité par tinyBuild, c'est un des jeux les plus délire que je possède et un des premiers jeux avec lequel j'ai ouvert ma chaîne YouTube en 2019.
PARTY HARD 2 est donc la suite du jeu d'infiltration qu'on pourrait aussi définir comme arcade dont le but est de dézinguer originellement vos voisins faisant malheureusement trop de bruit.
Quiconque a ou a eu des voisins bruyants et manquent de tout respect pour le confort et le repos d'autrui saisira vite le point de départ.

 

On a vite fait de trimballer les comateux, un par un, jusqu'à la benne à ordures du coin de la rue pour les y fourrer au frais sans se faire voir, d'en pousser un par-dessus la rambarde, l'air de pas y toucher, mais surtout de mitonner des pièges en douce, placés plus ou moins aléatoirement à chaque partie, qu'il s'agisse d'empoisonner les bières ou le saladier de punch, de faire exploser le four, de limer un poteau ou de taquiner de l'animal sanguin.
Il sera également possible de lancer un appel à l'aide en vue d'obtenir un petit bonus comme une bombe ou une grenade fumigène.
Il faudra donc prendre son temps et ne jamais se précipiter, car la moindre erreur peut être fatale.

 

Le jeu est divisé en niveaux, dont l'objectif étant de tuer tous les participants d'une fête en évitant de se faire repérer pour ne pas avoir affaire à la police ou pire au FBI.
On dispose pour cela de plusieurs pièges et autres tours de passe-passe variés, chacun ayant pour objectif de faire passer le goût de la musique à fond.
Le gros plus du jeu dans son enrobage est son histoire.
Si le titre nous met dans la peau d’un serial killer, s’amusant à tuer toutes personnes faisant la fête, l’histoire est celle de l’inspecteur, à la recherche du « party killer » comme on pourrait le nommer.
Le scénario nous est raconté par l’intermédiaire de cutscene assez inspirées, nous faisans part des interrogations et doutes de l’inspecteur, traversant les Etats-Unis en décalage avec le tueur.

 

De Hotline Miami, PARTY HARD lui emprunte son style graphique et sa cruauté !
Ce style Pixel-Art identifiable d’une bonne partie de la scène indépendante actuelle.
Il est par contre plus original dans sa manière de situer la caméra dans les airs, avec une vue d’ensemble de la carte.
Si cette dernière va s’avérer indispensable pour le gameplay, on se retrouve ici en terrain presque connu.
Là où le jeu s'en sort très bien, c'est bien c'est encore une fois dans son côté très Hotline Miami.
En effet, la DA et la musique respirent la fin des années 80's ce qui permet de pouvoir refaire les niveaux plusieurs fois sans en avoir marre.
Ceux-ci s'enchaînent d'ailleurs bien même s'il faut généralement compter plusieurs essais pour réussir.
Plusieurs gadgets ou situations sont uniques à chaque niveau, car level design a été conçu comme une succession de cartes générées de façon semi procédural.
En effet, les pièces du décor seront placées au même endroit, mais le contenu de ces dernières ainsi que les pièges vont quant à eux changer d’une partie à une autre.

 

La musique, quant à elle, se trouve suivre la même mouvance que son aîné de Dennaton Games.
Les chansons sonnent et sentent bon l’électro néon des années 80's comme on a déjà pu l’entendre dans pas mal de productions cinématographiques comme dans le film Drive de Nicolas Refn par exemple.
Les chansons sont diverses et variées, mais on peut regretter qu’elles manquent de diversité et de variations à l’intérieur d’un niveau.
Le sound design quant à lui, s’avère efficace, avec les différents bruitages habituels comme les sirènes de polices, bruit de sabres, cris de femmes en détresse.

 

Malheureusement, ces changements et ces niveaux n'empêchent pas le jeu d'être un brin répétitif dans son gameplay, la meilleure façon de gagner restant encore de se planquer et de tuer personne par personne.
Et vu que certains niveaux demandent 60 morts, la frustration lorsque vous perdez à 10 morts de la victoire ne manquerons pas de vous frustrez.

 

L' IA des policiers et généralement des personnes qui peuvent vous attaquer varient du Super Soldat au grabataire myope.
Le pattern des ennemis est ainsi assez aléatoire et on ne sait jamais si on va se faire pincer ou si l'on va partir librement.

 

Au final, PARTYHARD 2 est l'un de ces jeux sympas qu'on relance avec plaisir, mais qu'on quitte avec frustration.
Cependant, le jeu réalise ce doux rêve de pouvoir casser l'ambiance de manière définitive à ces fêtes de voisins trop bruyantes et ça, ça vaut de l'or tout comme le silence d'ailleurs.

 

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🔰 Sorti le 10/12/2024 pour les 25 ans de la licence Legacy of Kain : Soul Reaver et le moins que l'on puis dire, c'est que cela faisait un moment que j'attendais une version Remastered pour cette saga !
Tout en espérant que ce remake de Legacy of Kain : Soul Reaver Remastered soit à la hauteur de celui de Tomb Raider Ⅰ•Ⅱ•Ⅲ Remastered, car comme pour Tomb Raider Ⅰ•Ⅱ•Ⅲ Remastered ce sont les développeurs de chez Aspyr qui s'y colle en reprennent le travail effectué pas Crystal Dynamics 25 ans plus tôt.
Legacy of Kain : Soul Reaver 1 & 2, est une licence mythique et culte de l’époque PlayStation, avec son héros charismatique et son ambiance sombre.
Mais est-ce que ce portage a été fait avec passion comme le fut Tomb Raider Ⅰ•Ⅱ•Ⅲ Remastered ? 
C’est parti pour Legacy of Kain : Soul Reaver 1 & 2 Remastered ^^

 

Dans le monde dévasté de Nosgoth, Raziel, un ancien lieutenant du puissant vampire Kain, est trahi et jeté dans les abysses, car il a subi une évolution, l’obtention d’ailes, avant son maître.
Des siècles plus tard, il renaît en créature spectrale, dotée d’une mission de vengeance.
Armé de la Soul Reaver, une épée mystique qui dévore les âmes, il sillonne les plans d’existence de Nosgoth, à la recherche de son ancien maître et de ceux qui l’ont trahi.
Son périple le mène à travers le temps, dévoilant les secrets d’un passé tumultueux et les raisons qui ont conduit à la chute de son monde.

 

L’histoire dépeint donc un univers sombre et violent dans lequel l’humanité est loin d’être la plus forte.
Soul Reaver 2 est une suite directe au premier.
Elle reprend vraiment juste après le combat final et nous commençons déjà avec les pouvoirs débloqués lors de la première histoire.

 

Ce remaster bénéficie d’un beau lifting et travail graphique.
Si on clique sur le joystick droit, nous passons à la volée des graphismes d’origine à ceux actuels, que ce soit en plein combat ou en pleine cinématique.
On se rend alors compte que le jeu a subi un beau lifting.
Mais pas seulement.
Nous avons une carte qui a été ajoutée, mais surtout une boussole pour se repérer,  ce qui est bien pratique.

 

Il y a aussi une nouvelle maniabilité au niveau de la caméra et du gameplay.
Mais attention, on ressent quand même que le jeu à plus de 25 ans !
C’est lourd, les actions sont grossières et difficilement précises.
En termes de gameplay, c’est plutôt simple : Raziel est capable de tenir des armes.
Une fois que l’adversaire est « mort », il va alors rendre l’âme qu’il faut avaler pour regagner de la vie, mais surtout pour l’achever sans quoi il ne mourra pas vraiment.
Tuer avec la Soul Reaver ne donnera pas la même chose et nous vous en laissons la surprise.
Il est possible de brûler les adversaires par le feu et les armes que l’on tient peuvent aussi servir de projectiles.
En bref, le jeu est plutôt complet pour son époque.

 

Un peu comme Metroidvania, Raziel va débloquer de nouvelles fonctionnalités dans le temps qui vont permettre d’avancer, le tout rythmé par des énigmes plus ou moins évidentes.
Le jeu a tendance à nous laisser un peu dans le flou en permanence, comme très souvent à l’époque.

 

Soul Reaver 2 est un jeu d’une génération au-dessus.

Si le premier était sorti sur PSone, le second, lui, a débarqué sur PlayStation 2.
Ce n’était pas un gap graphique, mais le gameplay y est quand même plus agréable et plus précis : le lock fonctionne mieux et la Soul Reaver est améliorée.

 

En bonus, nous avons aussi tout un tas d’images et d’informations comme des niveaux qui ont été supprimés, mais aussi des fan arts.
En bref, un contenu supplémentaire plutôt agréable.
Le jeu est entièrement traduit et doublé en français, fonctionnalité à configurer dans le menu des options avant de lancer votre partie.

 

Legacy of Kain : Soul Reaver 1 & 2 Remastered proposé environ 6h de durée de vie pour chacun des deux jeux.
Avec une refonte visuelle conséquente sans jamais dénaturer le jeu d’origine et de nombreux bonus.
À réserver aux fans de l’époque, aux nostalgiques ou encore à ceux qui veulent découvrir des pépites d’antan.

 

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