akumasan Posted May 5 Share Posted May 5 🔰 Voilà, on y est, après vous avoir montré les remasters de GTA Ⅲ, suivis de GTA Vice City, ça tombe sous le sens que le tour de GTA San Andreas débarque dans la foulée. Il ne fait aucun doute que GTA San Andreas soit qualifié comme véritable must-have des années 2000 sur consoles de 6ème génération. C'est même ce jeu-là qui signa l'apogée de la PlayStation 2. Dans son genre et à l'époque de sa sortie, aucun autre jeu ne bénéficie d'un tel raffinement dans l'immersion donnée aux joueurs. Véritables défouloirs aux personnages travaillés, les trois jeux Rockstar ont tous été synonymes de nombreuses heures de jeux pour de nombreux joueurs, dont votre humble serviteur. Pourtant, si l’on regarde de plus près, ces trois jeux ont très, très mal vieilli aujourd’hui. À mon sens, c’est ce défaut qui empêche la saga GTA de garder son titre de chef-d’œuvre au fil des années. Bon, déjà, aucun jeu de la saga n’est exceptionnel pour moi, même si je les aime tous et tout particulièrement GTA Vice City, mais ce qui fait un chef-d’œuvre, c’est un jeu qui garde sa qualité et son plaisir de jeu, malgré les années, comme Bioshock, The Last of Us ou Okami. Ce n’est clairement pas le cas de la saga de Rockstar, qui semble souffrir d’une obsolescence programmée. Seul GTA Ⅴ semble, pour le moment, échapper à ce vieillissement, et c’est normal quand on voit le temps que Rockstar continue à passer dessus, au grand désespoir des nombreux fans qui attendent le prochain opus depuis maintenant plus de 13 ans. Dans cette Définitive Edition, vous êtes toujours ce bon vieux CJ, ancien membre de gang revenant à San Andréas, plus précisément à Los Santos, afin de rendre hommage à sa mère décédée. Les fans du jeu de base seront en terrain connu, l’intrigue étant évidemment toujours la même, au dialogue près et cela malgré quelques censures. Pour les petits nouveaux, sachez que San Andréas offre le scénario le plus abouti de la trilogie, avec des personnages hauts en couleur et tous plus détestables les uns que les autres. Le sentiment d’appartenance à un gang est toujours intact et ce n’est qu’une question de temps avant que vous ne traquiez les gangs rivaux avec un sourire sadique. San Andréas n’était pas exempt de défauts et tous ont évolué avec le temps, rendant en 2021 l’expérience particulièrement pénible. Commençons par le plus évident, le jeu est très punitif et extrêmement frustrant. Comprenez par là qu’il n’y a aucun point de passage dans les missions, que certaines d’entre elles peuvent être longues, très longues et, ajoutées à un système de visé archaïque, assez difficiles. En mourant, le joueur ne recommençait pas la mission mais devait, comme tous les opus avant GTA Ⅴ, sortir de l’hôpital, prendre un taxi, récupérer des armes et ensuite, retourner déclencher la quête. Ainsi, il était difficile de venir à bout du jeu sans utiliser les nombreux codes de triches mis à disposition du joueur. Autre nouveauté et pas des moindres, le jeu possède enfin des points de passages dans ses missions les plus longues et le titre en devient nettement plus accessible et moins frustrant. Pour les courtes, pas de panique, le jeu vous proposera le choix de recommencer directement au début de la mission, avec l’intégralité de vos armes et de vos équipements. Cela améliore considérablement le confort in-game, offrant une expérience moins stressante ou le joueur redoute moins la mort. Malgré tout, beaucoup de choses ne vont pas, à commencer par le système de visée toujours aussi peu efficace, malgré une petite mise à niveau le rendant plus accessible. Si les missions sont désormais plus simples d’accès, elles n’en restent pas moins frustrantes, la faute à une IA ennemie et passante toujours aussi aberrante, ou un simple civil ira parfois vous foncer dessus sans la moindre raison, alors que vous transportez un produit instable, ou encore quand une voiture transportant un otage à sauver ira se précipiter au fond du fleuve. Pire encore, le jeu est désormais noyé sous une pluie de bugs divers et variés. Certains ponts ne sont pas visibles à l’écran, il suffit à CJ d’escalader un muret pour se coincer dedans, les voitures sont clouées au mur après un passage au garage, bref, les problèmes sont légions. La pluie, par exemple, ruine complètement l’affichage et il faudra très souvent plisser les yeux pour y voir quelque chose. Pour les joueurs qui n’auraient connu Rockstar qu’à partir de GTA Ⅴ et Red Dead Redemption Ⅱ, cette compilation n’a que très peu d’intérêt. En effet, il existe désormais une multitude de jeux infiniment supérieurs à Grand Theft Auto Ⅴ mais aussi très différents, attention, que ce soit en terme de narration, de gameplay, de scénario, de mise en scène ou encore d’implication du joueur dans l’histoire. Là où la licence est imbattable et le restera sans doute à jamais, c’est pour son côté bac à sable, et le dernier opus remplit encore parfaitement le job. Il y a eu un avant GTA San Andreas et un après. À cette époque, on se demandait comment un jeu comme ça pouvait tourner sur PlayStation 2 !? L'OST est totalement folle, tu imagines, pour un fan de hip-hop, écouter Cypress Hill (How I Could Just Kill a Man) dans un jeu, c'est le summum de la tuerie ! J'aime beaucoup le background de Franklin dans GTA Ⅴ, même si mon préféré reste Trevor le tordu, mais CJ les surclasse tous, car, dès le début, il perd sa mère… On sent que Rockstar s'est inspiré de la vie de 2Pac en jouent avec la guerre entre les Bloods et les Crips qui a réellement existé, et qui est le fil conducteur du jeu, et c'est pour ça que San Andreas reste le GTA intemporel. krooked, GOONIES and CopyCat 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 7 Share Posted May 7 🔰 J'aime appeler SKYRIM le roi des jeux, car fondamentalement, dans son genre, il l'est. C'est du moins le jeu aux 200 récompenses du Jeu de l'année et autres et distinctions. Sorti initialement en 2011, c'est le 28 octobre 2016 que The Elder Scrolls Ⅴ : SKYRIM S.E. revient dans une version contenant tous les DLC sortis depuis le lancement du jeu, offrant ainsi aux joueurs une aventure de qualité et qui vous prendra de longues heures de jeu. SKYRIM S.E. apporte pas mal de choses : tout d'abord, une réalisation revue à la hausse. Cela passe principalement par des jeux de lumières entièrement revus et qui font bien plaisir à voir. Les textures ont été revues, mais l'ensemble du jeu reste strictement identique. SKYRIM accuse le poids de son âge, mais a très bien vieilli. Créez et personnalisez votre héros et faites littéralement tout ce que vous souhaitez dans ce monde gigantesque. Choisissez parmi des centaines d'armes, de sorts et de capacités. De plus, le jeu apporte l'ensemble des DLC publiés au fil des années : • Dawnguard : les vampires investissent Bordeciel, à vous de rejoindre la Garde de l'Aube pour contrer l'invasion. • Earthfire : construisez votre maison et aménagez-la. • Dragonborn : qui vous ouvre une nouvelle aventure sur l'île de Solstheim. Plein de nouveaux objets, personnages. Et surtout, la possibilité de chevaucher un dragon ! SKYRIM se déroule deux cents ans après les événements d'OBLIVION, le précédent épisode de The Elder Scrolls. L'action se déroule cette fois en Bordeciel, une contrée située très au Nord. Le Haut-Roi vient d'être assassiné. Et vous n'allez pas tarder à être mort vous aussi, car vous assistez à votre propre exécution, la hache juste au-dessus de votre cou. Une exécution qui va être contrariée par un dragon, rien que ça. Les dragons sont de retour à Bordeciel et vous allez devoir remédier à tout ça, au milieu de la guerre civile qui gronde. SKYRIM, ce n'est pas UNCHARTED ni même FINAL FANTASY. C'est rugueux et ça gratte un peu durant les premières dizaines de minutes, voire les premières heures. Le jeu ne nous prend pas par la main, mais la quête principale nous permet de comprendre dans les grandes lignes ce que l'on attend de nous. On est ici dans un RPG pur et dur, avec des aptitudes qui augmentent uniquement lorsque vous les pratiquez. Vous désirez être fort en magie ? Si vous ne faites que jouer de l'épée, vous n'allez pas pouvoir faire péter de trop nombreuses boules de feu. Idem pour la santé, ou le crochetage, ou les armes à une main, ou les armes à deux mains, ou les potions, ou les armures légères, ou les armures lourdes, ou la fabrication d'objets, et j'en passe. Il y a énormément de paramètres, mais tout est clair et tout fonctionne parfaitement bien. Restent des menus pas super pratiques, mais on s'y fait. Les différents niveaux de difficulté permettent de lisser cela et d'avancer plus vite dans l'aventure. Finalement, SKYRIM est bien un jeu qui peut être mis entre toutes les mains. SKYRIM a le syndrome des grands jeux : on fait une quête, et durant cette quête on tombe sur un personnage, une idée, un lieu, qui fait que l'on met notre quête en cours de côté, et cela peut durer des heures. Le jeu va donc de digression en digression sans jamais donner cette overdose de missions annexes. Outre les ralentissements qui ont quasiment disparu, ce sont surtout les temps de chargement beaucoup plus courts qui donnent un nouveau souffle au jeu. Arpenter le monde de Nirn s’avère être une véritable partie de plaisir, aussi bien pour les néophytes que pour les anciens joueurs. Le gros point noir reste les bugs, à répétition, et l'I.A. qui prend souvent des décisions incompréhensibles. Il est vrai que cela aurait été beaucoup plus agréable d’évoluer dans un monde où les bugs ne sont pas aussi présents, mais il faut bien avouer que ces derniers ont grandement contribué au succès du titre et sont en quelque sorte un élément à part entière du jeu. D’autant plus qu’avec la sauvegarde rapide, il est dorénavant possible d’enregistrer votre partie juste avant les moments "chauds", afin d’éviter qu’un bug ne vienne ruiner votre progression. En revanche, on regrettera le coté un peu compliqué à utiliser avec une manette quand on a également la version PC. Tout comme la boussole qui peut rendre difficile les déplacements sur la carte, poussant souvent le joueur à tourner en rond. Heureusement que le monde ouvert et la vie qu'on y trouve invitent le joueur à se balader à travers les plaines pour admirer les différentes zones du jeu. On est perdu, certes, mais au moins, on est happé par l'ambiance du titre, et je ne peux que vous le recommander chaudement dans cette version Special Edition. Aflow, GOONIES, krooked and 1 other 3 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted May 7 Share Posted May 7 @akumasan Je viens de finir de regarder ta vidéo. J'attends la suite ^^ Link to comment Share on other sites More sharing options...
Abelarion Posted May 8 Share Posted May 8 En ce moment, je suis sur Grand Ages Rome, un mixe entre un jeu de construction de ville et un jeux de stratégie. Y a aussi un codex fourni pour qui veut en savoir plus sur l'histoire de la Rome antique. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Thinger Posted May 8 Share Posted May 8 The Division sur PS5 mais je galère face au LMB Link to comment Share on other sites More sharing options...
jojoaventure53 Posted May 8 Share Posted May 8 je fait jack et daxter 3 j'ai pourtant une 4080 I714700KF et il lague et ne tient pas les 60 fps quel paramétre activée ? GambierBae 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
krooked Posted May 8 Share Posted May 8 sur viewtiful joe 😃 Gaga46 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted May 8 Share Posted May 8 Il y a 2 heures, jojoaventure53 a dit : je fait jack et daxter 3 j'ai pourtant une 4080 I714700KF et il lague et ne tient pas les 60 fps quel paramétre activée ? Citation Non-Issues Language bug Type: Not an issue Description: On original hardware, the game does not run at a consistent 60 FPS. Workaround: Overclock the per-game EE to 180%. https://wiki.pcsx2.net/Jak_3 traduction: sur console d'origine, le jeu ne tourne pas à 60FPS... overclock l'émulateur à 180% GambierBae 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 10 Share Posted May 10 🔰 Sorti en 2014, WATCH_DOGS n’est malheureusement pas la claque graphique qu’on nous avait promise à l’E3 2012. J'avais compris que, pendant l'E3, le jeu tournait sur un PC master race et qu'aucune console de cette époque ne pourrait afficher un tel résultat. Et quand j'ai eu la version Xbox 360, puis plus tard j'avais pu tester la version PS4 chez mon frangin, j'ai immédiatement compris que je ne m'étais pas trompé lors de l'E3. J'ai la version 360 et mon frère a le jeu en version PS4 et la différence entre les versions n'est pas si folle que ça. Il y a plus d'aliasing sur 360 que sur PS4, car c'est du FXAA sur 360 alors que sur PS4 c'est du TAA. Il y a aussi moins de piétons sur 360 que sur PS4, car c'est 512 Mo de RAM pour la 360 alors que, sur PS4, c'est 8 Go de RAM, et ça se voit tout de suite. Mais pour tout le reste, les deux versions du jeu sont quasiment similaires. Pour un jeu Xbox 360, c'est un petit tour de force. Techniquement, le jeu, est assez inégal, WATCH_DOGS est surtout victime d’un délit de sale gueule en journée, avec des ruelles complètement vides dès qu’Aiden prend le volant d’une voiture ou enfourche une moto. Moins de PNJ dans les rues pour garder un frame-rate stable, des véhicules et des passants qui popent sous nos yeux à moins de 20 mètres : Ubisoft Montréal a fait son choix. En fait, il faut attendre la tombée de la nuit pour que Chicago enfile son plus bel habit, et nous propose un festival de lumières qui nous a charmé plus d’une fois. Le titre gagne encore plus en qualité visuelle lors des journées de pluie où l’on peut se délecter des reflets sur le sol. En revanche, WATCH_DOGS use et abuse jusqu’à certaines situations grotesques : c’est l’utilisation du vent. Dans le jeu, vous verrez très souvent le manteau d’Aiden, ouvert sur le bas, flotter au gré des courants d’air ou lorsqu’il traverse à vive allure Chicago au guidon d’une moto. Le genre de détails qui font plaisir à l’œil, surtout que la flore est elle aussi soumise aux brises avec le mouvement de va-et-vient du feuillage des arbres et des végétaux. Même les plantes d’appartement, pourtant à l’abri des intempéries, sont soumises à la même météo. Rien de choquant pour un jeu à monde ouvert, sauf que WATCH_DOGS a tendance à multiplier les erreurs de ce type. En voiture, on passe quasi systématiquement au travers des arbustes, et il suffit de se placer près d’un distributeur d’argent avec des personnes faisant la queue pour leur traverser le corps. Des bugs de collision pas si nombreux on vous rassure, mais suffisamment grossiers pour qu’on aligne ces quelques lignes dans ce papier. Quoiqu’il en soit, techniquement parlant, il y a eu un downgrade graphique qui joue malheureusement en défaveur de WATCH_DOGS. Il suffit d’ailleurs de coller un deuxième écran à côté avec GTA Ⅴ pour se rendre compte que le titre de Rockstar Games n’a vraiment pas à rougir face à WATCH_DOGS, qui a pourtant été développé sur la génération de consoles supérieure. Mais là où le jeu d’Ubisoft pâtit de la comparaison avec le maître en matière d’open world, c’est du côté de l’ambiance qui se dégage de Chicago. Froide, sans âme véritable et finalement assez petite, la ville est in fine à l’image du scénario : quelconque. Il faut dire qu’Ubisoft nous a habitués à mieux en termes d’histoire et de narration. On ne sait pas si c’est le charisme quasi inexistant d’Aiden Pearce ou sa manie à marmonner dans son foulard qui nous empêche de nous éprendre de son triste sort, il part venger la mort de sa nièce Lena, décédée dans un accident de voiture, mais à aucun moment, notre héros est parvenu à nous émouvoir un seul instant. Ceci étant dit, toute sa famille manque véritablement de personnalité, qu’il s’agisse de sa sœur Nicky ou de son neveu Jackson, ils sont aussi transparents que lui. C’est d’autant plus regrettable que le reste des protagonistes ont à l’inverse la gueule de l’emploi. Mention spéciale pour Dermot "Lucky" Quinn, dont l’interprétation fait de lui le méchant à qui on a vraiment envie de casser la gueule, tandis que T-Bone, le sidekick d’Aiden, séduit par son look de rebelle. Au final, ce sont ces personnages secondaires qui volent la vedette à notre pirate en herbe. WATCH_DOGS regorge donc de quêtes annexes, souvent intéressants, parfois répétitifs, mais aussi de mini-jeux représentés par des trips acides après avoir gobé ce qu’il faut comme drogue pour halluciner totale. Tantôt, on nous demandera d’éliminer des aliens venus d’ailleurs, tantôt, on s’amusera à sauter de fleur en fleur et parfois, on pourra prendre le contrôle d’une araignée mécanique pour se débarrasser des flics qui nous tirent dessus. On aurait aimé que l’histoire d’Aiden nous fasse davantage vibrer et que le rythme soit plus effréné, mais pour ce premier coup d’essai, Ubisoft assure le spectacle pour un faire l’un des open worlds les plus crédibles du moment, et l’un des rares jeu à pouvoir véritablement tenir tête à GTA Ⅴ. C’est d’ailleurs peut-être l’objectif à atteindre… CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 12 Share Posted May 12 🔰 Si vous avez fini Watch_Dogs et l’histoire d’Aiden Pearce, vous vous êtes dit sans doute : hé, c’est une fin ouverte bordel, on va avoir le droit à un numéro 2. Et en attendant ce nouvel opus on pourra déjà faire mumuse dans Chicago, mais cette fois-ci sans Aiden mais avec Raymond Kenney. Le changement de personnage d’influe en rien le gameplay, d’ailleurs la ville de Chicago est exactement la même que dans le jeu de base. Alors à quoi bon faire un DLC ? Du coup, on dirige Raymond Kenney a.k.a T-Bone, un expert en hacking, que l’on rencontre à partir de l’Acte III dans Watch_Dogs. Un personnage plutôt fun, qui a de le répartie et qui est affuté d’un bon doublage. Pour comparer avec GTA Ⅴ, on pourrait dire que T-Bone est le Trevor de Watch_Dogs, mais en version roots. Bad Blood ajoute aussi des contrats Street Sweep, qui peuvent être joués seul ou en mode coopératif. Ce DLC rajoute de nouvelles armes, de nouveaux avantages, et de nouveaux vêtements. Une nouvelle voiture télécommandée nommée Eugène est aussi utilisable. De nouvelles missions secondaires sont aussi ajoutées. Raymond Kenney, ou T-Bone, qui a infiltré l'établissement de Blume à Chicago afin de placer une fausse piste dans leur système, avant d'être déconcentré par un ancien collègue du nom de Tobias Frewer. Tobias donne alors à Raymond une série de nouvelles missions. La campagne vous occupera 3 ou 4 heures, et on ne sera pas renversé par l’histoire qui est d’un classicisme à tout épreuve, mais bon, on se laisse porter par le scénario pour aller dans des endroits clefs pour buter du méchant ou tout simplement infiltrer proprement des bâtiments pour pirater un point clef. En plus de la campagne, les missions «comme, contrats de chauffeurs et nettoyages de rues vous détendront, tout comme les enquêtes annexes, dont une basée sur Aiden Pearce. Un petit Splinter Cell à la sauce Watch_Dogs, un bonus bien sympathique, mais malheureusement un peu trop court. En conclusion, Bad Blood est un DLC sympa, à la durée de vie plus que correct pour son prix. Cela permet de nous relancer dans Watch_Dogs et de prendre du plaisir avec des missions non dénués de fun. Après, cela ne va pas rendre le jeu indispensable pour autant, mais pour une fois qu’un DLC ne se fout pas trop de la gueule du joueur, il faut le saluer ! GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 14 Share Posted May 14 🔰 Avec un début de match très rapide, qui permet à LeBron et au Heat de s'imposer face aux Mavs dans la première période. Mais à partir de la seconde période, les Mavs ont été plus que redoutables avec un 3ᵉ quart-temps de folie ! Du côté des Heat's de LeBron "BULDOZER" James de son état, qui, de plus, en cette fin année 2012, est au top de sa forme, notamment grâce à des paniers précoces sur des passes astucieuses le tout servi par un Dwyane Wade on fire sur le paquet, permet au Miami Heat de remporter une victoire 70-68 face à des Dallas Mavericks coriaces et très soudés et surtout, grâce à un Jason Kidd flamboyant du début à la fin. Le match fut très intense et se finit au buzzer, avec une pression constante, jusqu'à la dernière seconde digne des plus grandes Final NBA... C'était du grand NBA2K ! CopyCat and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 20 Share Posted May 20 🔰 Nous somme le 14 juin 1987, les Celtics, champions NBA l'année précédente, se déplace à Los Angeles pour affronté les Lakers au Staples Center pour la Finals NBA. Les Lakers sont très motivés à l’idée de venir se venger de la défaite lors du Game 7 de 1984. D’autant qu’à l’époque, Los Angeles n’a encore jamais gagné une finale contre Boston. Après avoir remporté 3 titres NCAA avec les Bruins d’UCLA entre 1966 et 1969 et raflant au passage 3 titres de meilleur joueur universitaire, Kareem Abdul-Jabbar a.k.a "CAP" est choisi en 1ère position de la draft NBA en 1969 par les Milwaukee Bucks. Drafté également par les New Jersey Nets de l’ABA, il choisit finalement de rejoindre les Bucks. Il y restera six saisons avant de porter le numéro 33 du côté des Lakers de Los Angeles. Il sera nommé MVP à 6 reprises tout au long de sa carrière. Ses plus belles saisons, il les passera en Californie avec pas moins de 5 titres NBA. Mais retour sur le titre NBA en cette bonne vielle année 1987. Cette saison-là, les Lakers finissent premier de la Conférence Ouest avec 62 victoires pour 20 défaites avec des statistiques de 23,4 points et 6,1 rebonds pour Abdul-Jabbar. Au premier tour, les Lakers se défont facilement des Phoenix Suns (3-0) avant d’éliminer les Blazers (4-1) et les Nuggets de Denver (4-1) en finale de Conférence. Pour les finales NBA, les Lakers rencontrent leur meilleur ennemi les Boston Celtics. Avec Magic Johnson, James Worthy, Mitch Kupchak ou encore Bob MdcAdoo aux côtés de Kareem Abdul-Jabbar, les Lakers restent sans aucun doute l’une des plus belles équipes. Durant ces finales NBA et alors qu’il a déjà 38 printemps, Abdul-Jabbar va élever son niveau de jeu pour permettre aux Lakers de remporter un nouveau titre avec 4 victoires pour 2 défaites. Avec 25,7 points, 9 rebonds, 5,2 passes et 1,5 contres, Abdul-Jabbar participe grandement à ce titre. Si durant le 1er match perdu par les Lakers, il se fait timide avec seulement 12 points, il relève la tête dès le 2ème match et la victoire des Lakers (30 points, 17 rebonds, 8 passes et 3 contres). Il réitère de très belles performances au Game 3 (26 points, 14 rebonds, 7 passes). Pourtant, il faudra attendre le Game 5 (après une seconde défaite lors du Game 4) pour voir à nouveau les performances stratosphériques du joueur avec 36 points, 7 rebonds et 7 passes. Dans son sillage les Lakers gagnent ce match face à Larry Bird, Robert Parish et autres. Pour le Game 6, accompagné des 28 points de James Worthy et des 14 passes de Magic Johnson, Kareem Abdul-Jabbar score 29 points. Les Lakers remportent le titre NBA et Kareem Abdul-Jabbar montre du haut de ses 38 ans quel magnifique joueur de basket il est. CopyCat 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted May 21 Share Posted May 21 @akumasan Quel jeu suis-je en train de découvrir ? akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 21 Share Posted May 21 il y a 30 minutes, Aflow a dit : @akumasan Quel jeu suis-je en train de découvrir ? Bien sur que je connais Seiken Densetsu 3 ou Secret of Mana si tu préfère. Je compte même plus le nombre de fois ou je l'ai fini ! Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
ketalord Posted May 21 Share Posted May 21 en ce moment je me refais The last of us 2 avec la serie qui a sortie la saison 2 pour voir si ils ont bien retranscrit ce que véhicule le jeu dans les grandes lignes et comme j' avais pas était très loin je découvre en plus les différences en meme temps que les moments inchangés ou peu et ducoup je comprend pas les critiques en général sur cet opus parce que je le trouve plus intense dans le sens ou on ressent bien la haine que ressent ellie envers abby et son groupe ducoup on prend limite plaisir à les tuer et pour la fin que je connais déjà je trouve aussi qu'il s'agit d'un bon choix parce que la vengeance ne résout pas une perte mais le pardon permet de passer à autre chose plus simplement . En résumé je trouve que la série a un casting exceptionnel en performance d'acting mais ellie est parfois soulante et pour le jeu je le trouve tellement intense et immersif et intense comparé au premier . quels sont vos avis ? akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 21 Share Posted May 21 Le 1 et le 2 son énorme je suis un gros fan de The Last of Us, le 2 prend aux trips et m'a rendu fou de rage pour Joel !!! ketalord 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
ketalord Posted May 21 Share Posted May 21 pareil c est pour ca que je le trouve plus intense parce que on ressent la haine d ellie et on cherche juste la meme chose qu elle Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted May 21 Share Posted May 21 il y a 30 minutes, akumasan a dit : Bien sur que je connais Seiken Densetsu 3 ou Secret of Mana si tu préfère. Je compte même plus le nombre de fois ou je l'ai fini ! Ah ben je connaissais Secret of Mana mais pas celui-là, il était qu'en japonais à la base. En tout cas, il a l'air génial. C'est tout à fait le genre de jeu qui te fait oublier le temps qui passe... akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted May 21 Share Posted May 21 il y a 3 minutes, Aflow a dit : Ah ben je connaissais Secret of Mana mais pas celui-là, il était qu'en japonais à la base. En tout cas, il a l'air génial. C'est tout à fait le genre de jeu qui te fait oublier le temps qui passe... C'est un très bon titre, le genre de jeu qu'on fait plus... Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Friday at 01:23 PM Share Posted Friday at 01:23 PM Je viens de finir dark cloud un action-rpg alors pour un jeu sortie au début de la ps2 il est étonnamment novateur et donne des élément de gameplays comme prendre soin de ses arme sinon elle se casse ou les amélioré petit a petit avec les élément que vous trouverez ainsi que le concept de Géorama. Du coté des combat au début vous trouverez sa redondant quand vous aurez qu'un seul perso mais au fur et a mesure de votre progression vous vous habitué a switché entre tout les perso selon l’ennemi et la situation. Pour le scénario c'est le type de jeu ou vous allez avoir le scénario au début du jeu puis apres quelque péripétie il continuera a la fin du jeu mais c'est quand même sympathique. Du coup j'ai un peu prêt mis 27 h pour finir le jeu principal et un peu plus de 13 h pour le donjon bonus. Un jeu a faire au moins une fois mais je préviens pour ceux qui ont pas l'habitude du genre il est peu être un peu dur pour commencé les action rpg. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted Friday at 08:53 PM Share Posted Friday at 08:53 PM Le Tzenker (boss n°4 de Seiken Densetsu 3) : akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted Monday at 12:11 PM Share Posted Monday at 12:11 PM 🔰 La finale NBA de 1992 et la conclusion des playoffs qui voient s'affronter, dans ce cinquième match, les Chicago Bulls, champions NBA en titre et champions de la Conférence Est, contre les Portland Trail Blazers, champions de la Conférence Ouest, pour le titre de champions NBA. Chicago bénéficiait de l'avantage du terrain, affichant le meilleur bilan de la NBA cette saison-là. Les deux équipes semblaient se diriger vers une confrontation pendant la majeure partie de la saison et des comparaisons ont été faites entre Clyde Drexler et Michael Jordan tout au long de la saison. Le magazine Sports Illustrated avait même répertorié Drexler comme le « rival N°1 » de Jordan sur une couverture sur laquelle les deux apparaissaient ensemble avant les séries éliminatoires. Les médias, espérant recréer la rivalité vue lors de la finale de 1987 qui voyait s'affronter Magic Johnson contre Larry Bird dans l'affrontement entre Michael Jordan et Clyde Drexler, ont comparé les deux tout au long du battage médiatique précédant la finale. En 1992, les Bulls sont ainsi la quatrième équipe NBA à remporter deux titres consécutifs après les Celtics de Boston, les Lakers de Los Angeles et les Pistons de Détroit. Michael Jordan a été élu meilleur joueur des finales pour la deuxième année consécutive, en plus de son sixième titre consécutif de meilleur marqueur en saison régulière. Les Bulls de Chicago ont remporté leur premier titre NBA la saison précédente et ont terminé la saison 1991-1992 avec un bilan de 67 victoires pour 15 défaites, surpassant de six matchs le record de la saison précédente. Jordan a remporté son deuxième titre consécutif de MVP avec une saison à 30,1 points, 6,4 passes décisives et 6,1 rebonds. Après avoir balayé le Heat de Miami au premier tour, ils ont affronté les Knicks de New York, désormais entraînés par Pat Riley, et ont gagné en sept matchs. Ils ont ensuite affronté les Cavaliers de Cleveland, qu'ils avaient battus lors de deux précédentes rencontres d'après-saison, en finale de conférence. Quant aux Trail Blazers de Portland, le club sortait d'une défaite en finale contre les Pistons de Détroit. Les Trail Blazers de 1990-1991 avaient remporté 63 matchs, un record pour la franchise, et, têtes de série numéro 1 de la Conférence Ouest, semblaient promis à un match de championnat face aux Bulls. Cependant, les Lakers de Los Angeles ont bouleversé la donne en battant Portland en six matchs de la finale de conférence. Les Lakers ont cependant perdu contre les Bulls de Chicago en finale. Il est à noter que cette surprise marquait un dernier triomphe pour les Lakers de l'ère « Showtime », car Kareem Abdul-Jabbar avait pris sa retraite deux ans plus tôt, et Magic Johnson a pris sa retraite de manière inattendue dès la première semaine de la saison 1991-1992, après avoir appris qu'il était séropositif. Pour la saison 1991-1992, les Blazers ont conservé le même noyau dur que les deux saisons précédentes ; l'équipe a remporté le titre de la division Pacifique avec un bilan de 57 victoires pour 25 défaites. Au premier tour des playoffs, ils ont pris leur revanche de la défaite de l'année précédente en éliminant une équipe des Lakers affaiblie , 3-1. Portland a ensuite battu les Phoenix Suns en cinq matchs au deuxième tour, avant de se qualifier à nouveau pour la finale grâce à une élimination en six matchs du Jazz de l'Utah en finale de conférence. Juste après, vous montrer une des finales les plus légendaires dans NBA2K15. Ce sera au tour de NBA2K18 de faire son apparition sur la chaîne, avec une finale tout aussi légendaire. Vous verrez le gap graphique à partir de cet opus avec un Jordan plus beau que jamais. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Aflow Posted yesterday at 10:14 AM Share Posted yesterday at 10:14 AM @akumasan ^^ J'ai avancé un peu... or je découvre la page de Trials of Mana: Complete Bugfix Compatibility. C'est fou toutes les modifications que cela peut apporter : T'en penses quoi ? Y'a t-il des modifications que tu trouves meilleures ? (Je trouve intéressant que la correction du calcul des dégâts des sorts soit basée sur le niveau de la cible plutôt que sur celui du lanceur). Et quand on a déjà commencé le jeu, est-ce qu'on peut en bénéficier ? akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted yesterday at 02:41 PM Share Posted yesterday at 02:41 PM Il y a 4 heures, Aflow a dit : T'en penses quoi ? Y'a t-il des modifications que tu trouves meilleures ? (Je trouve intéressant que la correction du calcul des dégâts des sorts soit basée sur le niveau de la cible plutôt que sur celui du lanceur). Et quand on a déjà commencé le jeu, est-ce qu'on peut en bénéficier ? J'ai fait la version originale japonaise (Super Famicom) il y a plus de 10 ans, je n'ai pas test cette version hack. La dernière fois que j'ai jouer a Trials of Mana, c'était sur la version Remake sur Switch. Qui, de toi à moi, est un super remake. Voici un de mes let's play pour te faire une idée du boulot fait sur ce remake : Aflow and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted 3 hours ago Share Posted 3 hours ago 🔰 C'est au tour de NBA2K18 de faire son apparition sur la chaîne avec la même finale NBA vue dans NBA2K15, à une petite différence près, l'aspect graphique de 2K18 marque un tournant dans la franchise NBA2K avec des joueurs toujours mieux modélisés et des effets visuels et une physique toujours plus réalistes. GOONIES 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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