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🔰 VoilĂ , on y est, aprĂšs vous avoir montrĂ© les remasters de GTA ⅱ, suivis de GTA Vice City, ça tombe sous le sens que le tour de GTA San Andreas dĂ©barque dans la foulĂ©e.
Il ne fait aucun doute que GTA San Andreas soit qualifié comme véritable must-have des années 2000 sur consoles de 6Úme génération.
C'est mĂȘme ce jeu-lĂ  qui signa l'apogĂ©e de la PlayStation 2.
Dans son genre et à l'époque de sa sortie, aucun autre jeu ne bénéficie d'un tel raffinement dans l'immersion donnée aux joueurs.
Véritables défouloirs aux personnages travaillés, les trois jeux Rockstar ont tous été synonymes de nombreuses heures de jeux pour de nombreux joueurs, dont votre humble serviteur.
Pourtant, si l’on regarde de plus prùs, ces trois jeux ont trùs, trùs mal vieilli aujourd’hui.
À mon sens, c’est ce dĂ©faut qui empĂȘche la saga GTA de garder son titre de chef-d’Ɠuvre au fil des annĂ©es.


Bon, dĂ©jĂ , aucun jeu de la saga n’est exceptionnel pour moi, mĂȘme si je les aime tous et tout particuliĂšrement GTA Vice City, mais ce qui fait un chef-d’Ɠuvre, c’est un jeu qui garde sa qualitĂ© et son plaisir de jeu, malgrĂ© les annĂ©es, comme Bioshock, The Last of Us ou Okami.
Ce n’est clairement pas le cas de la saga de Rockstar, qui semble souffrir d’une obsolescence programmĂ©e.


Seul GTA â…€ semble, pour le moment, Ă©chapper Ă  ce vieillissement, et c’est normal quand on voit le temps que Rockstar continue Ă  passer dessus, au grand dĂ©sespoir des nombreux fans qui attendent le prochain opus depuis maintenant plus de 13 ans.


Dans cette DĂ©finitive Edition, vous ĂȘtes toujours ce bon vieux CJ, ancien membre de gang revenant Ă  San AndrĂ©as, plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Los Santos, afin de rendre hommage Ă  sa mĂšre dĂ©cĂ©dĂ©e.
Les fans du jeu de base seront en terrain connu, l’intrigue Ă©tant Ă©videmment toujours la mĂȘme, au dialogue prĂšs et cela malgrĂ© quelques censures.


Pour les petits nouveaux, sachez que San Andréas offre le scénario le plus abouti de la trilogie, avec des personnages hauts en couleur et tous plus détestables les uns que les autres.
Le sentiment d’appartenance à un gang est toujours intact et ce n’est qu’une question de temps avant que vous ne traquiez les gangs rivaux avec un sourire sadique.


San AndrĂ©as n’était pas exempt de dĂ©fauts et tous ont Ă©voluĂ© avec le temps, rendant en 2021 l’expĂ©rience particuliĂšrement pĂ©nible.
Commençons par le plus Ă©vident, le jeu est trĂšs punitif et extrĂȘmement frustrant.
Comprenez par lĂ  qu’il n’y a aucun point de passage dans les missions, que certaines d’entre elles peuvent ĂȘtre longues, trĂšs longues et, ajoutĂ©es Ă  un systĂšme de visĂ© archaĂŻque, assez difficiles.
En mourant, le joueur ne recommençait pas la mission mais devait, comme tous les opus avant GTA â…€, sortir de l’hĂŽpital, prendre un taxi, rĂ©cupĂ©rer des armes et ensuite, retourner dĂ©clencher la quĂȘte.
Ainsi, il était difficile de venir à bout du jeu sans utiliser les nombreux codes de triches mis à disposition du joueur.


Autre nouveauté et pas des moindres, le jeu possÚde enfin des points de passages dans ses missions les plus longues et le titre en devient nettement plus accessible et moins frustrant.
Pour les courtes, pas de panique, le jeu vous proposera le choix de recommencer directement au dĂ©but de la mission, avec l’intĂ©gralitĂ© de vos armes et de vos Ă©quipements.
Cela améliore considérablement le confort in-game, offrant une expérience moins stressante ou le joueur redoute moins la mort.
Malgré tout, beaucoup de choses ne vont pas, à commencer par le systÚme de visée toujours aussi peu efficace, malgré une petite mise à niveau le rendant plus accessible.


Si les missions sont dĂ©sormais plus simples d’accĂšs, elles n’en restent pas moins frustrantes, la faute Ă  une IA ennemie et passante toujours aussi aberrante, ou un simple civil ira parfois vous foncer dessus sans la moindre raison, alors que vous transportez un produit instable, ou encore quand une voiture transportant un otage Ă  sauver ira se prĂ©cipiter au fond du fleuve.
Pire encore, le jeu est désormais noyé sous une pluie de bugs divers et variés.
Certains ponts ne sont pas visibles Ă  l’écran, il suffit Ă  CJ d’escalader un muret pour se coincer dedans, les voitures sont clouĂ©es au mur aprĂšs un passage au garage, bref, les problĂšmes sont lĂ©gions.
La pluie, par exemple, ruine complùtement l’affichage et il faudra trùs souvent plisser les yeux pour y voir quelque chose.


Pour les joueurs qui n’auraient connu Rockstar qu’à partir de GTA â…€ et Red Dead Redemption Ⅱ, cette compilation n’a que trĂšs peu d’intĂ©rĂȘt.
En effet, il existe dĂ©sormais une multitude de jeux infiniment supĂ©rieurs Ă  Grand Theft Auto â…€ mais aussi trĂšs diffĂ©rents, attention, que ce soit en terme de narration, de gameplay, de scĂ©nario, de mise en scĂšne ou encore d’implication du joueur dans l’histoire.

LĂ  oĂč la licence est imbattable et le restera sans doute Ă  jamais, c’est pour son cĂŽtĂ© bac Ă  sable, et le dernier opus remplit encore parfaitement le job.

 

Il y a eu un avant GTA San Andreas et un aprĂšs.

À cette Ă©poque, on se demandait comment un jeu comme ça pouvait tourner sur PlayStation 2 !?

L'OST est totalement folle, tu imagines, pour un fan de hip-hop, écouter Cypress Hill (How I Could Just Kill a Man) dans un jeu, c'est le summum de la tuerie !

J'aime beaucoup le background de Franklin dans GTA â…€, mĂȘme si mon prĂ©fĂ©rĂ© reste Trevor le tordu, mais CJ les surclasse tous, car, dĂšs le dĂ©but, il perd sa mĂšre


On sent que Rockstar s'est inspiré de la vie de 2Pac en jouent avec la guerre entre les Bloods et les Crips qui a réellement existé, et qui est le fil conducteur du jeu, et c'est pour ça que San Andreas reste le GTA intemporel.

 

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🔰 J'aime appeler SKYRIM le roi des jeux, car fondamentalement, dans son genre, il l'est.
C'est du moins le jeu aux 200 récompenses du Jeu de l'année et autres et distinctions.
Sorti initialement en 2011, c'est le 28 octobre 2016 que The Elder Scrolls ⅀ : SKYRIM S.E. revient dans une version contenant tous les DLC sortis depuis le lancement du jeu, offrant ainsi aux joueurs une aventure de qualité et qui vous prendra de longues heures de jeu.


SKYRIM S.E. apporte pas mal de choses : tout d'abord, une réalisation revue à la hausse.
Cela passe principalement par des jeux de lumiÚres entiÚrement revus et qui font bien plaisir à voir. Les textures ont été revues, mais l'ensemble du jeu reste strictement identique.
SKYRIM accuse le poids de son Ăąge, mais a trĂšs bien vieilli.
Créez et personnalisez votre héros et faites littéralement tout ce que vous souhaitez dans ce monde gigantesque. Choisissez parmi des centaines d'armes, de sorts et de capacités.

De plus, le jeu apporte l'ensemble des DLC publiés au fil des années :


‱ Dawnguard : les vampires investissent Bordeciel, à vous de rejoindre la Garde de l'Aube pour contrer l'invasion.
‱ Earthfire : construisez votre maison et amĂ©nagez-la.
‱ Dragonborn : qui vous ouvre une nouvelle aventure sur l'üle de Solstheim.

Plein de nouveaux objets, personnages.
Et surtout, la possibilité de chevaucher un dragon !


SKYRIM se déroule deux cents ans aprÚs les événements d'OBLIVION, le précédent épisode de The Elder Scrolls.
L'action se déroule cette fois en Bordeciel, une contrée située trÚs au Nord.
Le Haut-Roi vient d'ĂȘtre assassinĂ©.
Et vous n'allez pas tarder Ă  ĂȘtre mort vous aussi, car vous assistez Ă  votre propre exĂ©cution, la hache juste au-dessus de votre cou.
Une exĂ©cution qui va ĂȘtre contrariĂ©e par un dragon, rien que ça.
Les dragons sont de retour à Bordeciel et vous allez devoir remédier à tout ça, au milieu de la guerre civile qui gronde.

 

SKYRIM, ce n'est pas UNCHARTED ni mĂȘme FINAL FANTASY.
C'est rugueux et ça gratte un peu durant les premiÚres dizaines de minutes, voire les premiÚres heures.
Le jeu ne nous prend pas par la main, mais la quĂȘte principale nous permet de comprendre dans les grandes lignes ce que l'on attend de nous.
On est ici dans un RPG pur et dur, avec des aptitudes qui augmentent uniquement lorsque vous les pratiquez.

Vous dĂ©sirez ĂȘtre fort en magie ?
Si vous ne faites que jouer de l'épée, vous n'allez pas pouvoir faire péter de trop nombreuses boules de feu.
Idem pour la santé, ou le crochetage, ou les armes à une main, ou les armes à deux mains, ou les potions, ou les armures légÚres, ou les armures lourdes, ou la fabrication d'objets, et j'en passe.
Il y a énormément de paramÚtres, mais tout est clair et tout fonctionne parfaitement bien.
Restent des menus pas super pratiques, mais on s'y fait.

Les différents niveaux de difficulté permettent de lisser cela et d'avancer plus vite dans l'aventure.

 

Finalement, SKYRIM est bien un jeu qui peut ĂȘtre mis entre toutes les mains.

SKYRIM a le syndrome des grands jeux : on fait une quĂȘte, et durant cette quĂȘte on tombe sur un personnage, une idĂ©e, un lieu, qui fait que l'on met notre quĂȘte en cours de cĂŽtĂ©, et cela peut durer des heures.
Le jeu va donc de digression en digression sans jamais donner cette overdose de missions annexes. 
Outre les ralentissements qui ont quasiment disparu, ce sont surtout les temps de chargement beaucoup plus courts qui donnent un nouveau souffle au jeu.
Arpenter le monde de Nirn s’avĂšre ĂȘtre une vĂ©ritable partie de plaisir, aussi bien pour les nĂ©ophytes que pour les anciens joueurs.


Le gros point noir reste les bugs, à répétition, et l'I.A. qui prend souvent des décisions incompréhensibles.
Il est vrai que cela aurait Ă©tĂ© beaucoup plus agrĂ©able d’évoluer dans un monde oĂč les bugs ne sont pas aussi prĂ©sents, mais il faut bien avouer que ces derniers ont grandement contribuĂ© au succĂšs du titre et sont en quelque sorte un Ă©lĂ©ment Ă  part entiĂšre du jeu.
D’autant plus qu’avec la sauvegarde rapide, il est dorĂ©navant possible d’enregistrer votre partie juste avant les moments "chauds", afin d’éviter qu’un bug ne vienne ruiner votre progression.


En revanche, on regrettera le coté un peu compliqué à utiliser avec une manette quand on a également la version PC. 
Tout comme la boussole qui peut rendre difficile les déplacements sur la carte, poussant souvent le joueur à tourner en rond.
Heureusement que le monde ouvert et la vie qu'on y trouve invitent le joueur à se balader à travers les plaines pour admirer les différentes zones du jeu.
On est perdu, certes, mais au moins, on est happé par l'ambiance du titre, et je ne peux que vous le recommander chaudement dans cette version Special Edition.

 

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Il y a 2 heures, jojoaventure53 a dit :

je fait jack et daxter 3 j'ai pourtant une 4080 I714700KF et il lague et ne tient pas les 60 fps quel paramétre activée ?

Base Profile Screenshot 2025.05.05 - 23.45.25.76.png

Citation

Non-Issues

Language bug

Type: Not an issue

Description: On original hardware, the game does not run at a consistent 60 FPS.

Workaround: Overclock the per-game EE to 180%.

https://wiki.pcsx2.net/Jak_3

traduction: sur console d'origine, le jeu ne tourne pas à 60FPS... overclock l'émulateur à 180%

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🔰 Sorti en 2014, WATCH_DOGS n’est malheureusement pas la claque graphique qu’on nous avait promise à l’E3 2012.
J'avais compris que, pendant l'E3, le jeu tournait sur un PC master race et qu'aucune console de cette époque ne pourrait afficher un tel résultat.
Et quand j'ai eu la version Xbox 360, puis plus tard j'avais pu tester la version PS4 chez mon frangin, j'ai immédiatement compris que je ne m'étais pas trompé lors de l'E3.

J'ai la version 360 et mon frÚre a le jeu en version PS4 et la différence entre les versions n'est pas si folle que ça.
Il y a plus d'aliasing sur 360 que sur PS4, car c'est du FXAA sur 360 alors que sur PS4 c'est du TAA.
Il y a aussi moins de piétons sur 360 que sur PS4, car c'est 512 Mo de RAM pour la 360 alors que, sur PS4, c'est 8 Go de RAM, et ça se voit tout de suite.

Mais pour tout le reste, les deux versions du jeu sont quasiment similaires.
Pour un jeu Xbox 360, c'est un petit tour de force.


Techniquement, le jeu, est assez inĂ©gal, WATCH_DOGS est surtout victime d’un dĂ©lit de sale gueule en journĂ©e, avec des ruelles complĂštement vides dĂšs qu’Aiden prend le volant d’une voiture ou enfourche une moto.
Moins de PNJ dans les rues pour garder un frame-rate stable, des véhicules et des passants qui popent sous nos yeux à moins de 20 mÚtres : Ubisoft Montréal a fait son choix.
En fait, il faut attendre la tombĂ©e de la nuit pour que Chicago enfile son plus bel habit, et nous propose un festival de lumiĂšres qui nous a charmĂ© plus d’une fois.
Le titre gagne encore plus en qualitĂ© visuelle lors des journĂ©es de pluie oĂč l’on peut se dĂ©lecter des reflets sur le sol.

 

En revanche, WATCH_DOGS use et abuse jusqu’à certaines situations grotesques : c’est l’utilisation du vent.
Dans le jeu, vous verrez trĂšs souvent le manteau d’Aiden, ouvert sur le bas, flotter au grĂ© des courants d’air ou lorsqu’il traverse Ă  vive allure Chicago au guidon d’une moto.
Le genre de dĂ©tails qui font plaisir Ă  l’Ɠil, surtout que la flore est elle aussi soumise aux brises avec le mouvement de va-et-vient du feuillage des arbres et des vĂ©gĂ©taux.
MĂȘme les plantes d’appartement, pourtant Ă  l’abri des intempĂ©ries, sont soumises Ă  la mĂȘme mĂ©tĂ©o.

 

Rien de choquant pour un jeu Ă  monde ouvert, sauf que WATCH_DOGS a tendance Ă  multiplier les erreurs de ce type.

En voiture, on passe quasi systĂ©matiquement au travers des arbustes, et il suffit de se placer prĂšs d’un distributeur d’argent avec des personnes faisant la queue pour leur traverser le corps.
Des bugs de collision pas si nombreux on vous rassure, mais suffisamment grossiers pour qu’on aligne ces quelques lignes dans ce papier.

 

Quoiqu’il en soit, techniquement parlant, il y a eu un downgrade graphique qui joue malheureusement en dĂ©faveur de WATCH_DOGS.
Il suffit d’ailleurs de coller un deuxiĂšme Ă©cran Ă  cĂŽtĂ© avec GTA â…€ pour se rendre compte que le titre de Rockstar Games n’a vraiment pas Ă  rougir face Ă  WATCH_DOGS, qui a pourtant Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© sur la gĂ©nĂ©ration de consoles supĂ©rieure.
Mais lĂ  oĂč le jeu d’Ubisoft pĂątit de la comparaison avec le maĂźtre en matiĂšre d’open world, c’est du cĂŽtĂ© de l’ambiance qui se dĂ©gage de Chicago.
Froide, sans Ăąme vĂ©ritable et finalement assez petite, la ville est in fine Ă  l’image du scĂ©nario : quelconque. Il faut dire qu’Ubisoft nous a habituĂ©s Ă  mieux en termes d’histoire et de narration.

 

On ne sait pas si c’est le charisme quasi inexistant d’Aiden Pearce ou sa manie Ă  marmonner dans son foulard qui nous empĂȘche de nous Ă©prendre de son triste sort, il part venger la mort de sa niĂšce Lena, dĂ©cĂ©dĂ©e dans un accident de voiture, mais Ă  aucun moment, notre hĂ©ros est parvenu Ă  nous Ă©mouvoir un seul instant.
Ceci Ă©tant dit, toute sa famille manque vĂ©ritablement de personnalitĂ©, qu’il s’agisse de sa sƓur Nicky ou de son neveu Jackson, ils sont aussi transparents que lui.
C’est d’autant plus regrettable que le reste des protagonistes ont à l’inverse la gueule de l’emploi.
Mention spĂ©ciale pour Dermot "Lucky" Quinn, dont l’interprĂ©tation fait de lui le mĂ©chant Ă  qui on a vraiment envie de casser la gueule, tandis que T-Bone, le sidekick d’Aiden, sĂ©duit par son look de rebelle. Au final, ce sont ces personnages secondaires qui volent la vedette Ă  notre pirate en herbe.

 

WATCH_DOGS regorge donc de quĂȘtes annexes, souvent intĂ©ressants, parfois rĂ©pĂ©titifs, mais aussi de mini-jeux reprĂ©sentĂ©s par des trips acides aprĂšs avoir gobĂ© ce qu’il faut comme drogue pour halluciner totale.
TantĂŽt, on nous demandera d’éliminer des aliens venus d’ailleurs, tantĂŽt, on s’amusera Ă  sauter de fleur en fleur et parfois, on pourra prendre le contrĂŽle d’une araignĂ©e mĂ©canique pour se dĂ©barrasser des flics qui nous tirent dessus.

On aurait aimĂ© que l’histoire d’Aiden nous fasse davantage vibrer et que le rythme soit plus effrĂ©nĂ©, mais pour ce premier coup d’essai, Ubisoft assure le spectacle pour un faire l’un des open worlds les plus crĂ©dibles du moment, et l’un des rares jeu Ă  pouvoir vĂ©ritablement tenir tĂȘte Ă  GTA â…€.
C’est d’ailleurs peut-ĂȘtre l’objectif Ă  atteindre


 

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🔰 Si vous avez fini Watch_Dogs et l’histoire d’Aiden Pearce, vous vous ĂȘtes dit sans doute : hĂ©, c’est une fin ouverte bordel, on va avoir le droit Ă  un numĂ©ro 2.
Et en attendant ce nouvel opus on pourra déjà faire mumuse dans Chicago, mais cette fois-ci sans Aiden mais avec Raymond Kenney.
Le changement de personnage d’influe en rien le gameplay, d’ailleurs la ville de Chicago est exactement la mĂȘme que dans le jeu de base.


Alors Ă  quoi bon faire un DLC ?
Du coup, on dirige Raymond Kenney a.k.a T-Bone, un expert en hacking, que l’on rencontre à partir de l’Acte III dans Watch_Dogs.
Un personnage plutĂŽt fun, qui a de le rĂ©partie et qui est affutĂ© d’un bon doublage.
Pour comparer avec GTA â…€, on pourrait dire que T-Bone est le Trevor de Watch_Dogs, mais en version roots.


Bad Blood ajoute aussi des contrats Street Sweep, qui peuvent ĂȘtre jouĂ©s seul ou en mode coopĂ©ratif.
Ce DLC rajoute de nouvelles armes, de nouveaux avantages, et de nouveaux vĂȘtements.
Une nouvelle voiture télécommandée nommée EugÚne est aussi utilisable.
De nouvelles missions secondaires sont aussi ajoutées.


Raymond Kenney, ou T-Bone, qui a infiltrĂ© l'Ă©tablissement de Blume Ă  Chicago afin de placer une fausse piste dans leur systĂšme, avant d'ĂȘtre dĂ©concentrĂ© par un ancien collĂšgue du nom de Tobias Frewer.
Tobias donne alors à Raymond une série de nouvelles missions.
La campagne vous occupera 3 ou 4 heures, et on ne sera pas renversĂ© par l’histoire qui est d’un classicisme Ă  tout Ă©preuve, mais bon, on se laisse porter par le scĂ©nario pour aller dans des endroits clefs pour buter du mĂ©chant ou tout simplement infiltrer proprement des bĂątiments pour pirater un point clef.
En plus de la campagne, les missions «comme, contrats de chauffeurs et nettoyages de rues vous dĂ©tendront, tout comme les enquĂȘtes annexes, dont une basĂ©e sur Aiden Pearce.
Un petit Splinter Cell Ă  la sauce Watch_Dogs, un bonus bien sympathique, mais malheureusement un peu trop court.


En conclusion, Bad Blood est un DLC sympa, à la durée de vie plus que correct pour son prix.
Cela permet de nous relancer dans Watch_Dogs et de prendre du plaisir avec des missions non dénués de fun.
Aprùs, cela ne va pas rendre le jeu indispensable pour autant, mais pour une fois qu’un DLC ne se fout pas trop de la gueule du joueur, il faut le saluer !

 

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