Vos écrits

[Gohma]

http://www.romstation.fr/community/index.php?/topic/8852-vos-ecrits/

Ne me remerciez pas o/

[Invité LordDagan]

Passant par là, au détour de mes vagabondages... je fusionne les deux topics.

"Salagadou, la menchikabou, la bibidi bobidi bou, mélangez tout ça, et vous aurez quoi?"

[Nnamhock]

Passant par là, au détour de mes vagabondages... je fusionne les deux topics.

"Salagadou, la menchikabou, la bibidi bobidi bou, mélangez tout ça, et vous aurez quoi?"

Bibedi babedi bouh!

[NIMAI]

Merci lexomyl21, je vais de ce pas appliqué tes conseils.

[jonathanU]

salut a tous, comme vous vous en doutez (ou pas :gni: ), je viens vous faire partager une chanson sur l'un de nos hero favoris: bob lennon le pyro barbare.

Avant de le poster, j'aimerais vous rappeler, qu'a part les refrains (repris et chanté quasi tel que Bob) tout est imaginé et composé par moi (même si un pote m'a donné quelque fois de l'inspiration).

merci d'avance pour vos commentaire, et régalez vous bien :

P.S : une suite est en cour, et bien sur je compte sur vous pour ne pas vous apropriez l'écriture de cette chanson.

P.P.S: pour ceux qui ne connaissent pas bob lennon, allez faire un tour sur youtube, il fait pas mal de serie de video sur des jeux video, dont SKYRIM (la chanson est inspiré de ses video sur skyrim)

Couplet-1 :

Homme du nord il aime se battre,

Invertueux et un peu folâtre.

Il visite les bars pour chercher les noises,

Boire et mater les bourgeoises.

Sur ordre des dieux ou pour un peu d’or,

Partout où il va, il sème la mort.

Avec Bob Lennon toujours ça finit

A coup de hache a travers ses ennemis !!!

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-2 :

Un jour qu’il marche en pleine montagne,

sans ses armes, il n’avait que sa poigne.

Il croise la route d’un jeune grizzli,

Mal léché, affamé, il fonce sur lui.

Mais Bob esquive et tape dans le tas,

A coup de poing vaillamment il se bat.

Au bout d’une heure enfin il réussit,

A terrasser l’ours et sauver sa vie.

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-3 :

Grâce à sa hache il coupe des têtes,

C’est sa manière a lui de faire la fête.

Quand il a une masse entre les mains,

Il écrabouille tous, même les bambins.

Lorsqu’il dégaine sa terrible épée,

C’est dans le but de vous embrocher.

Quand à son arc, si sa corde est tendu,

Faites vos prières car vous êtes foutus.

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-4 :

Grâce à la puissance de sa magie,

Il vous fera regretter d’être en vie.

Pour commencer un p’tit coup de glace,

Afin de vous congeler la face .

Et ensuite de l’électricité,

Pour réussir à vous court-circuiter.

Et pour finir ce sera le feu,

Pour que vos cendres tapissent les lieux !!!

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-5 :

Bob lennon était célibataire,

Il a alors bougé ciel et terre,

Pour trouver la compagne idéale,

Pour se marier et vivre une vie ‘’normale ‘’.

Mais à peine arrivé à leur demeure,

V’là qu’sa femme l’agresse à pas d’heure.

La frustration de Bob éclata,

Envoyant sur elle le FUS-RO-DAH !! !!

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-6 :

Quand bob lennon traverse les cités,

Les dirigeants f’rais mieux d’se cacher.

Car si jamais un garde l’arrête,

Ou des enfants lui prennent la tête.

Horripilé il s’énervera,

Sortira sa hache et trucidera

Tout les habitant pour boire leurs âmes,

Et laiss’ra la ville à la proie des flammes.

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-7 :

Vint un jour un ennemi à sa taille,

Que Bob ne pouvait vaincre sans s’faire de mal,

Le dieu du nord de la destruction,

Dévoreur de monde c’est sa passion,

C’est bien le dragon nommé Alduin,

Qui ne craint rien sauf un Dovakhiin

Ce dernier était bien reconnu

Puisqu’il s’agit de Bob l’invaincu.

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-8 :

Ils se rencontrèrent au centre d’une plaine,

Où y régnait une ambiance malsaine.

Puis soudain le combat commença

Sous les yeux des spectateurs pantois .

Bob usait de sa hache et des cris,

Pour terrasser son puissant ennemi.

Epuisé il allais capituler,

Quand Alduin explosa en fumée.

Refrain :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’est un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon va tous les massacrer !!!

Couplet-9 :

Exténué par toute cette histoire,

Bob alla dans une taverne pour boire.

Mais en chemin le drame arriva :

Bob pris une poule et la mangea.

Une foule se forma pour se venger,

De Bob qui a tué un poulet.

Pendant longtemps Bob résista,

A prendre la mort entre ses bras.

Mais une fois que le gong a sonné,

On passe de mort a trépassé.

A ce moment il n’eu plus de force,

Et il creva d’une fourche dans le torse.

Refrain(de la fin) :

Bob Lennon, Bob Lennon, c’était un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon les a tous massacrer !!!

Bob Lennon, Bob Lennon, c’était un pyro-barbare,

Découper, écorché au fil de son hachoir.

Accompagner de Carl Joe son fidèle poucet ,

Bob Lennon, Bob Lennon les a tous massacrer !!!

FIN.

[Irasbeth]

C'est sympa, moi j'aime bien.

Sinon, il y a quelques temps, j'ai écrit un poème (pour ma petite copine :coeur:) et j'aimerais vous le faire partager.

 

Rien

 

Rien

Rien que l'amour qui s'envole

Rien que le temps qui s'affole

Rien

Rien que la vie qui coule

Rien que le temps qui s'écoule

Rien

Rien que les mots qui dérangent

Rien que les gens qui changent

Rien

Rien, toujours rien

Rien que toi qui es là

Toi que je serre dans mes bras

Toi

 

Donnez moi vous avis et suggestions s'il vous plait.

[CerberusLouloup]

En ce qui me concerne j'ecris beaucoup de script/senario, je suis plus accès senaristique qu'ecriture a proprement parler, a vrais dire autant assumer complètement et affirmer que je ne sais pas écrire.

Mais sans prétention je suis un bon naratologue et scénariste.

Actuellement je suis sur la finalisation du scénario de mon jeu "The Gift of the Goddes" et sur les "Chroniques de Baramin" qui sont sensé expliquer la présence des factions Galadrim et Drakhior sur le serveur Minecraft de Romstation. Tim Galadrim pourtant du côté du bien est a la base le fautif du passage vers le mal d'Osgarath Drakhior, mais inutile de le détailler ici étant donné que ca concerne Minecraft.

Mes registres sont le dramatique, la mythologie/religion, le fantaisisme (style oriental et occidental, du style final Fantasy au style de Bethesda meme si dans certains cas c'est fantastique en passant par Tolkien) et le style comics.

Je suis en revanche peu attiré par le post apocalyptique, et je suis absolument naze en science fiction.

D'ailleur si quelqu'un a besoin de co-scénariste pour un projet cinématographique ou vudeoludique je suis dispo, travailler sur un univers qui n'ai pas le miens ne me dérange absolument pas :-)

Ps: Enfait je suis dans le même cas que George Lucas, bon senariste mais mauvais réalisateur et écrivain

[LeonBelmont]

:banzai: Tu ne veux vraiment pas passer au mois de juillet, toi ? :banzai:

[CerberusLouloup]

Le travail c'est la santé et en ce qui me concerne c'est cet été que le boulot commence vraiment, week end de maçonnerie, écriture de fan fiction, Sans oublier le serveur Minecraft a ne pas oublier..

Aussi la BD de ma copine a co-scénariser qui va être je pense tres dure (petit indice: fan de Tim Burton, voila :hap: )

Et faut que je pense a finir mon jeu et a le proposer sur le Windows phone store, mais y'a genre 0.5% de chance qu'ils me le prennent...

Mais bon je suis pas contre une co scénarisation d'un comic, c'est mon point fort les comics

[Astreachan]

j'ai fait 2 écrits récemment : un avant un éxercice en cours de français, et le deuxième, lors de l'exercice.

 

Avant l'exercice :

 

 

 

Ce fut son premier concert, CUL eu l'occasion de chanter en compagnie de Gumi, Lily et de Kamui pour l'anniversaire de Gumi, elle vennait d'avoir ses 3 ans de carrière. Elle fût très heureuse, bien qu'elle aurait voulu plus de monde pour chanter, mais c'était déjà bien pour un anniversaire. Puis, même si CUL a un nom à chier, elle a sû prouver qu'elle avait une très belle voix. La preuve, ils ont improvisé une chanson à quatre.

 

Le public les a acclamés et ont laisé des p'tits mots. "CUL est trop belle", "meilleure chanson de tout les temps", ...

 

CUL a même eu le droit à Bad Apple avec tout ses confrères Vocaloid.

 

Bref, inutile de vous dire que CUL a un bel avenir devant elle au même titre que les plus connus Vocaloid comme Hatsune Miku ou Kasane Teto du côté des Utauloid.

 

 

Pendant l'éxercice (l'éxercice était de finir une histoire avec plein d'autres règles, mais, vous vous en rendrez compte, je vais mettre le début qu'on m'avait donné et ce que j'ai mis à la suite)

 

PS : attention aux ames sensibles, l'histoire est assez gore.

 

 

(début qu'on m'a donné)

 

Alice est une petite fille qui s'ennuie : elle a pour ami le chat Kitty. Elle lui parle de "La maison du Miroir" qu'elle s'est inventée.

 

"Oh, Kitty, que ce serait bien si nous pouvions entrer dans la Maison du Miroir ! Je suis sûre qu'il y a des choses tellement belles dedans ! Faisons comme s'il éxistait un moyen d'y entrer, Kitty. Faisons comme si la glace était devenue comme un rideau de gaze légère, à travers lequel on peut passer. D'ailleurs, voilà qu'il se transforme en une sorte de brouillard ! Nous n'aurons pas de mal à traverser... "

 

Tout en disant cela, elle se tenait sur le dessus de la cheminée, sans trop savoir comment elle était arrivée là. Et assurément, le Miroir commençait bien à fondre, se dissipant comme une superbe brume argentée.

 

En un instant, Alice eut traversé la glace et descendit d'un bond dans le salon du Miroir. La toute première chose qu'elle fit fut de vérifier s'il y avait du feu dans la cheminée, et elle fut ravie de découvrir qu'il y en avait bien un, qui vrûlait aussi vivement que celui qu'elle avait laissé de l'autre côté. "J'aurais donc aussi chaud ici que dans l'ancien salon, pensa Alice. Plus chaud, en fait, parce qu'il n'y aura personne pour me dire de ne pas m'approcher du feu. Oh, on rira bien quand ils me verront ici à travers la glace, sans pouvoir m'attraper ! "

 

Elle se mit à regarder autour d'elle et remarqua que les choses visibles depuis l'ancien salonétaient tout à fait ordinaires et inintéressantes, mais que le reste était aussi différent que possible. Par exemple, les tableaux suspendus à côté de la cheminée semblaient vivants, et même la pendule posée sur la cheminée (vous savez qu'on n'en voit que l'envers dans le Miroir) avait le visage d'un petit vieillard qui lui souriait.

 

" Ce salon-ci n'est pas aussi bien rangé que l'autreé", songea Alice en distingant plusieurs pièces du jeu d'echecs dans l'âtre, au milieu des cendres. Mais l'instant d'après, un petit "oh ! " de surprise, elle se mi à quatre pattes pour les observer. Les personnages marchaient deux par deux !

 

"Voici le Roi Rouge et la Reine Rouge, dit Alice (tout bas de peur de les effrayer), et voici le Roi Blanc et la Reine Blanche, assis sur le bord de la pelle à charbon. Et là, deux Tours qui se promènent bras dessus, bras dessous. Je ne crois pas qu'ils puissent m'entendre, poursuivit-elle en baissant un peu la tête. Et je suis à peu près sûre qu'ils ne me voient pas. J'ai l'impression de devenir invisible... "

 

A ce moment, quelque chose se mit à couiner sur la table derrière Alice. Elle tourna la tête juste à temps pour voir un des Pions Blancs tomber à la renverse et lancer des coups de pieds en l'air.Elle l'éxamina avec une grande curiosité, se demandant ce qui allait lui arriver.

 

(début du passage que j'ai écrit.)

 

Le pion se releva et continua sa marche vers les autres. Alice alla vers la chambre et vit des tableaux représentant des okémons et des personnages Vocaloid et entendit deux chansons en même temps : La fréquence manquante de Lavanville et le clip "Rotten Girl Grotesque Romance" de Hatsune Miku.

 

Elle ne s'en souciait pas et continua sa visite dans la cuisine. La deuxième chanson disparu et une autre chanson prennait sa place. Elle reconnu "Hide And Seek" de SeeU. Les deux chansons ralentirent leur rythme sous un ton plus grave et Alice pris peur. Dans la cuisine, elle vit sa cuisine normale avec un immense tableau de Flandre Scarlet qui remplaçait la fenêtre. Flandre la fixait, Alice, paniquée, sortit de la cuisine, les musiques ralentirent encore et devinrent plus effrayantes, Flandre sorti du tableau et poursuivit Alice. Alice pressa le pas vers le Miroir et un personnage en sorti : Sakuya.

 

Sakuya sorti des couteaux et en lança un sur le chat qui fut touché au ventre. Elle le laissa agoniser et poursuivit Alice avec Flandre. Flandre lança une Spellcard (sorte de carte) sur Alice et lui traversa le coeur. Flandre sourria et demande à Sakuya de la laisser agoniser au sol.

 

Depuis ce jour, elle enchainnairent les victimes via le même rituel et personne ne compris ce qu'il se passait avec ce Miroir.

 

 

 

 

Voilà, je sais, c'est nul, mais bon, j'fais des trucs comme ça quand je ne sais pas quoi faire en cours^^

[jonathanU]

C'est sympa, moi j'aime bien.

Sinon, il y a quelques temps, j'ai écrit un poème (pour ma petite copine :coeur:) et j'aimerais vous le faire partager.

 

Rien

 

Rien

Rien que l'amour qui s'envole

Rien que le temps qui s'affole

Rien

Rien que la vie qui coule

Rien que le temps qui s'écoule

Rien

Rien que les mots qui dérangent

Rien que les gens qui changent

Rien

Rien, toujours rien

Rien que toi qui es là

Toi que je serre dans mes bras

Toi

 

Donnez moi vous avis et suggestions s'il vous plait.

 sympa pour ton compliment

 

sinon, même si ton poeme est un peu petit , je l'apprécie bp, ta copine a due être super touchée

P.S: si j'ai une relation sérieuse, tu m'écris une petite prose de ce styme, car je doute qu'avec ma chanson de barbare je fasse chavirer des coeurs :D

[Invité Poxe]

Je suis peut-être un peu rabat joie mais il n'y a pas de sens dans les phrases :

rien que l'amour qui s'envole : ça ne veut rien dire, je veux bien que l'on donne des sens cachés à des phrases mais là ce n'est pas français comme structure.

Un peu de forme ok (rimes et anaphore) mais sans plus, pas de pieds, rimes moyenne au mieux (moyenne au sens nombre de sons identiques.)

Après je ne suis pas non plus un expert, prends pas mon avis pour un truc qui dépasse la pensée humaine hein

Maintenant pour sûr c'est le résultat qui compte : si déclarer ce texte à ta copine fait mouche, oublie ce que je viens de dire, elle n'en aura rien à faire de savoir si oui ou non ton poème est structuré/beau...

[CerberusLouloup]

Pas tout a fait tort. Mais la poésie est un art et le principe de l'art c'est la créativité et donc réussir a dépasser les codes.

Si je peux me permettre de faire une critique négative constructive, c'est que répéter souvent le même mot, parfois seul dans la phrase peut paraître comme du remplissage plus que comme un effet.

Également le fait qu'un poème ce n'est pas que des joli mots qui riment, ce serait trop simple. Dans une poésie, les jolis mots sont utilisés comme métaphores, qui souvent cache un sens ou plusieurs sens, qui peuvent etre interprétés de diverse façon.

Maintenant faut pas oublier que le principal c'est le contexte dans laquelle une oeuvre est faite qui compte. Le tiens part d'une excellente intention et c'est grâce a ca qu'il touche et qu'il est efficasse.

Par exemple si un réalisateur fais un remake d'un film sans s'en soucier juste parceque le précédent a rapporté des sous, si le film est mauvais (ce qui a de grandes chances de se produire) les gens ne vont pas aimer.

Alors que s'il reprend imaginons un livre connu juste pour le plaisir d'adapter une oeuvre qui lui plait, si ce l'est pas parfait ou qu'il manque des choses ca passera tout de même puisqu'il part d'une bonne intention.

L'intention compte pour beaucoup sur le regard que les gens ont de l'oeuvre. Pour ca que les produits trop grands publiques sont détestés par les gens, car l'intention n'est pas de bien faire mais de faire en masse pour se remplir les poches.

[Irasbeth]

 sympa pour ton compliment

 

sinon, même si ton poeme est un peu petit , je l'apprécie bp, ta copine a due être super touchée

P.S: si j'ai une relation sérieuse, tu m'écris une petite prose de ce styme, car je doute qu'avec ma chanson de barbare je fasse chavirer des coeurs :D

 

Merci

Et oui, elle a été super touchée.

Et pas de problème, si tu as une relation sérieuse, je serais ravis de t'en faire un.

Et, perso, je connais des filles qui adorent les "chansons de barbare" comme tu dis. :ok:

[jonathanU]

Merci

Et oui, elle a été super touchée.

Et pas de problème, si tu as une relation sérieuse, je serais ravis de t'en faire un.

Et, perso, je connais des filles qui adorent les "chansons de barbare" comme tu dis. :ok:

mouais, c'est gentil, mais étant donné que t'a 15ans et moi 20, les filles que tu connais ne sont pas vraiment de mon age :hum:

en plus, j'ai pas envie de me faire arreter par nos amis les volailles (juste un brin de plaisanterie, j'admire le travail de nos policiers) pour détournement de mineur :gni:

[Rubydaia]

Salut tout le monde, je vois que le niveau d'écriture en ces lieux est assez élevé, permettez-moi de poster un de mes textes. Il représente assez bien ce que j'écris en général, à la limite du conte et du symbolisme. Certains diront que c'est bizarre comme texte, et, ma foi ils ont bien raison.

 

Ah et en ce moment j'écris beaucoup par rapport à la renaissance et à la folie, deux thèmes bel et bien présents dans ce texte

 

De la Vie

 

La chaleur est partout. Elle m’étouffe. Le pire, c’est le vent. Lui aussi est partout. Le vent et la chaleur. C’est la pire association qui soit. L’un te rend sourd et insensible au monde extérieur, tandis que l’autre tâche de t’affaiblir encore plus, en troublant les perceptions logiques comme la vue.

Cela fait si longtemps que je marche que j’ai perdu la notion du temps. La seule chose qui m’importe est de continuer à marcher. Vers où ? Je n’en sais rien. La seule chose dont je me rappelle est d’avoir suivi la direction d’un panneau de signalisation. A première vue, on aurait pu le trouver banal. En vérité, sa particularité était due à la direction qu’il indiquait. Sur ce panneau, il y avait inscrit :

« En direction de La Fin »

Et c’est ainsi, qu’intrigué par le panneau, j’avais commencé mon périple. Rapidement, j’avais dû garer la voiture pour partir à pied car la plaine était devenue désert, et les roues de mon véhicule ne cessaient de s’enliser. La chose la plus curieuse dans ce voyage, déjà bien étrange en soit, est que je n’avais pas mangé ni bu depuis bien longtemps. Et ce n’était pas une sensation de manque que je ressentais, mais bien au contraire, un sentiment de trop.

Et plus j’avançais, plus ce sentiment était présent, il s’insinuait partout en moi, me rendait malade. Peut-on dire que je souffre de trop ? Oui, sans aucun doute.

Malgré cela, c’est une douleur agréable, salvatrice. J’ai l’impression de vivre une purge. J’ai mal,  mais cela me fait du bien.

Je me rappelle, au début de mon voyage, j’étais encore soucieux de mon apparence ; je pestais à chaque fois que j’éraflais mon costume. Je me souviens même avoir versé quelques larmes en guise d’épitaphe à ma Rolex, le dernier lien qui me rattachait à la civilisation.

A présent, mon costume est en lambeaux. Mais, pour être honnête, ça m’est complètement égal.

Je continue d’avancer. Droit devant, encore et toujours. Je n’ose pas regarder en arrière, sans savoir pourquoi.

En réalité, je le sais bien. Si je regarde en arrière, j’ai peur d’y voir  ma voiture garée, et, non loin, la plaine. J’ai peur Que tout ce qu’ai j’ai fait ne soit qu’une illusion, qu’un mirage qui s’évaporerai sous mes yeux. Si c’est un mirage, je vous en supplie, empêchez-moi d’y voir clair. Que je ne croie pas que j’ai fait tout ça pour rien, peu importe si c’est réellement le cas. Laissez-moi croire en quelque chose. S’il vous plaît. Je m’arrête un moment. A qui suis-je en train de m’adresser ?

Je suis sans doute fou.

Mais peu importe. En racontant tout ça, j’ai l’impression que ça passera à la postérité, j’ai le sentiment d’enseigner à quelqu’un… Et si ce quelqu’un n’était d’autre que moi ?

Je suis sans doute fou.

Oui je suis fou.

Je suis fou                                          Je suis fou

Je suis fou                                          Je suis fou

Je suis fou                                          Je suis fou

 

Soudain je vois quelque chose. Je n’arrive pas à déterminer ce que c’est. Je m’approche de l’objet, avec mon rythme habituel, me sentant incapable d’accélérer le pas. La forme indéterminée grandit rapidement.

J’ai maintenant la certitude que j’avance.

A présent, il est juste en face de moi. Cet objet est… la chose à laquelle je m’attendais le moins. Cet objet est… un panneau de signalisation.

Curieusement, sa surface est vierge. J’en fais le tour pour voir si l’autre côté est identique. Sans m’en rendre compte, je viens de regarder en arrière. Je contemple le désert sans fin.

J’ai maintenant la certitude que j’avance.

Sans me presser, je reporte mon regard sur le panneau. La douleur est à son paroxysme. J’ai si mal, mais je parviens tout de même à rester conscient. Quelque chose me dit qu’une fois que j’aurais lu cette inscription, tout sera fini.

Et je ne sais pas encore à quel point j’ai raison.

Je retiens un cri de douleur, tandis que je déchiffre lentement les lettres. Cela fait si longtemps que je n’ai pas lu.

Sur ce panneau, il y a tout simplement écrit : « La Fin »

Je sens des larmes couler sur mes joues, devenues brulantes à cause du soleil. La douleur m’a quittée. Je sais que je ne la ressentirais plus jamais.

A présent, je suis heureux. Oui, heureux.

[jonathanU]

j'aime bcp ton texte, que je trouve  bien écrit. par contre si je peux me permettre: le passage ou il répète je suis fou, est un peu en trop, u'il le dise une ou deux fois oui, mais là c'est un peu trop

 

Je me demande ce que tu pourrais faire si tu partais pour un texte un peu plus long

[Rubydaia]

Merci de tes conseils jonathanU, je travaille sur un texte plus long (qui traite aussi de folie, on se refait pas  ), mais va falloir attendre qu'il soit fini... Et il faut que je finisse de taper un texte plus... expérimental on va dire

 

En revanche, j'ai un poème en prose écrit il y a un moment (qui est très court par contre)  à proposer à cette section :

 

Le deuil de la Sylve

 

Elle est vivante. Les feuilles bruissent. Les branches les plus fines se ploient sous la masse immatérielle et aérienne qu’est le vent. Des gouttes d’eau, ultimes vestiges d’un lointain passé traversent le dédale des ramures enchevêtrées telle une pluie de lumière aux reflets marins. Des raies d’or tranchent la douce pénombre. Ils sont violents, et font briller les bois. Un chêne se dresse. Seul, puissant, immortel. Il semble souffrir. A cause du bruit, du silence, de l’eau, de la terre, de l’ombre et de la lumière. Il se dresse. Souvenir lointain, présent certain, futur probable. Il est là.

 

Tantôt il est vert comme le tendre bourgeon, promesse d’un avenir glorieux et éphémère ;  tantôt il est brun comme la Terre, comme le pain chaud, comme la feuille qui craque et le Soleil bienveillant ; tantôt il est rouge, il est sang, il est cuivre et racine, violence et douceur, Amour.

 

Le chêne tout puissant se dresse. C’est un monarque, un seigneur, un roi. Cependant il n’a nul besoin de se faire respecter par quiconque. Le chêne souffre.

 

Soudain un chant. Les notes s’égrènent lentement comme une mélodie sans fin. Le chêne souffre. Ses sujets n’en ont cure. Ils chantent l’allégresse. La peur. La douceur. La colère. Ils chantent pour exister. Aucun ne se soucie d’être entendu, tous se soucient de continuer à chanter. Le ramage gagne en puissance et en force. Il devient violent, tel le chant des guerriers partant au combat, il devient furieux, hardi et triste.

 

Le chêne souffre, et ses sujets composent son requiem.

 

 

 

 

[CerberusLouloup]

La prise est de moins en moins courante...

J'adore ton texte meme si je n'ai pas saisi certaines symboliques, meme si je pouvais en trouver, je pense que personne d'autre que toi ne peut les annomcer

[Rubydaia]

Désolée, j'ai pas compris ta première phrase ^^'

 

Merci beaucoup de ton commentaire positif, ça fait plaisir   la principale symbolique de ce poème est l'absurdité. Je lie des choses qui sont opposées. Ce poème va avec une thématique que j'affectionne : la renaissance. Ici, on parle de mort, mais aussi de vie, parce que les deux vont ensemble quoi que l'on fasse...