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Invité redoom

merci^^, c'est ça le but en fait: les liens sentimentaux entre Yazuu et Yiui, j'avais surtout peur de tomber dans la vulgarité à la fin, ce que j'ai réussi à éviter.

Par contre "humanisation des Dragons": non. Les Dragons ne sont pas humains et c'est pas comparable, mes personnages n'ont rien d'humain.

En fait, la dernière scène pourrait être accessoire, ce n'est qu'un aspect de leur amour (même si c'est vrai qu'il s'agit d'un aspect important et décisif dans leur relation).

J'ai écrit une "suite" à cette nouvelle, en fait un flash-back sur le passé de Yazuu que je publierais un peu plus tard et on retrouve les deux personnages dans mon feuilleton: Chroniques d'un Seigneur.

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pour ma part, outre le fait le fait que je reste dubitatif de la présence d'un texte comme ça sur RS, j'ai trouvé que c'était très bien écrit

je me doutais un peu de comment ça allait tourner dès la fin du premier chapitre mais, même sans être fan de furry, j'ai quand même voulu savoir comment tu t'étais débrouillé

j'ai été assez impressionné que tu aies su resté correct pour la fin, je pense que ça doit pas être simple

par contre toute seule cette histoire n'a pas beaucoup d'interrêt, je pense qu'elle pourrait servir pour une histoire plus longue où tu exploites un peu plus les sentiments de tes dragons

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Invité redoom

cette histoire, n'est qu'un de mes nombreux "fragments" les nombreux personnages de mon univers s'entrecroisent entre eux et ils réapparaissent un peu partout.

Je vais, je pense écrire une nouvelle histoire avec Yiui et Yazuu mais pas tout de suite ( pour l'instant j'ai entrepris la rédaction de "Chroniques d'un Seigneur", un feuilleton (d'ailleurs Yazuu et Yiui y apparaissent)

J'ai également écris un flash back sur l'enfance de Yazuu que je publierais........une autre fois; ici même.

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Bonjour,

En effet, ton ouvrage peut nécessiter un public averti :content: ...

Si tu en as d'autres comme ça, ne te gènes pas pour les poster (bon d'accord, je me tais, les modérateurs vont me taper sur les doigts, sinon), ça te permettra d'avoir des avis différents sur tes différents ouvrages.

Je trouve cependant dommage que l'histoire soit si courte, même si elle est très prenante, à peine entrevoit-on ton univers que la fin du récit arrive, j'attends avec impatience le fameux "flash-back" de Yazuu, et j'ai hâte qu'arrive une suite, je doute d'avoir vraiment compris comment fonctionnaient, au fond d'eux, tes personnages; ou en tout cas, seulement de manière très imparfaite et superficielle.

Sur ce,

Bien à vous,

Votre dévoué,

Keisen.

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Bonjour,

Encore un bon ouvrage, bien qu'il ne soit pas exactement dans le même style, il s'en rapproche drôlement (moi qui n'en ai qu'un quoi que j'essaie de faire, je ne peux que t'envier :) ).

Il reste encore deux ou trois fautes dans ton texte, à ce qu'il me semble : en bas de la page 12, quand Keshar parle, il me semble que les astériques remplacent un nom ou un prénom de dragon, ce n'est donc pas "sa" devant mais "ça"; fin page 13, début 14 il n'y a pas de problème d'orthographe ou de sens mais la réutilisation de "disparu" sur deux phrases m'a un peu géné(mais ce n'est qu'un avis personnel...) tu pourrais mettre à la place "à ceci près que Père et Mère étaient partis" ou "n'étaient plus là"... enfin, tu fais comme tu veux :gni: .

Sur ce,

Bien à vous,

Votre dévoué,

Keisen.

ps: je connais peu de flash back ayant lieu dans le passé ou dans le présent (c'est d'ailleurs le principe: c'est un retour en arrière), inutile, donc, de préciser

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Invité redoom
les astériques remplacent un nom ou un prénom de dragon, ce n'est donc pas "sa" devant mais "ça";

:rire: :rire: non c'est pas ça, c'est juste une censure de l'insulte qu'il emploie (sal****), en tout merci de lire ce que j'écris^^

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merci déjà ^^ mais en ces textes ne sont qu'un ensemble de remaniment des anciens mis sur mon blog RS (ils ni sont plus ) et présentés en mieux ! les suites sont écrites et je les envois prochainement car en ce moment j'étais assez occupé et l'accé à mon ordinateur devient rare ....mais le chapitre deux et le trois risquent d'arriver ensemblent dans la semaine ! ( au pire le week-end prochain :ok: ) Sinon j'espère que la manière de les lires ne vous dérangent pas et que vous téléchargerez mes textes :fier:

( Ps un nouveau test arrivera aussi dans la semaine avec : images , texte et vidéo :cool: :fete: )

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  • 3 semaines plus tard...

désolé du double post mais je up le topic car je viens d'ajouter 4 chapites d'affilé , ce qui met fin à la première partie .

D'autes textes du même univers sont en cours d'écriture : les affaires classées de ray (un ensemble de petites enquêtes ) , l'origine de la mafia francaise ( partie une )

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  • 2 mois plus tard...
Invité pollux2

Sur la planète très lointaine de Zun se trouvait une créature tentaculaire cette créature était la mère Zunien. Elle vivait ai fond d’une grotte très sombre celle elle parvenait a voir dans cette obscurité. Elle était de très grande taille, dans les dix mètre de haut, ses pieds était en faite des racine qui s’enfonçait dans les sols sur la totalité de la planète, au centre de se tronc se trouvait en visage de femme pourvut d’une énorme bouge béante. La mère Zunien ouvrit la bouge, un filet de bave coulât de sa bouge, elle poussa un terrible hurlement et cracha une créature sur le sol, cette créature était une forme de vie alien, elle se releva sur ses pates arrière, sa peau était de couleur blanche et noir, deux sortes de corne noire sortait des son dos.

-Tu te nommera Buibui. Je t’ai créé comme protecteur de cette planète, utilise la force que je t’ai donné pour protéger notre peuple. Siffla la mère zunien d’une voix étrangement mélodieuse.

-D’accord ma mère. Répondit le nouveau né d’une voix sifflante.

-Dans quinze ans, un ennemi très dangereux nommé le maitre des démons va attaquer notre peuple. Dit la mère.

-Comment le s’avez-vous?

-Je peux lire l’avenir de notre peuple grâce à mes tentacules qui son relier a la planète, mais je ne connais pas l’issu du combat. C’est pour ça que je t’ais donné la vie.

-Bien mère.

Un vingtaine d’année était passé, Buibui c’était dit que ça mère c’était surement trompé, il avait donc décider de se marié et c’était trouvé un travail, Sa femme Lopuila lui avait donné un fils, Lopuila ressemblait beaucoup a Buibui, mais avait des cheveux rouge qui se trouvait sur sa tête, de plus ses yeux était rouge en comparaison à son mari qui lui avait des yeux de couleur jaune. Son fils venait de naitre, mais très étrangement il ait déjà la portrait cracher de son père, mais d’une taille de cinquante centimètre, il n’était pas un élu créé par la mère Zunien, il serait donc le clone parfait de son père une fois l’âge adulte atteint. La planète Zun n’était pas un très belle planète, ce n’était en fait qu’un énorme dessert remplit de rocher, les habitation était taillé dans la roche.

-Chérie, je pars au boulot. Hurla Buibui devant la porte d’un petit hall vide de décorations, L’appartement ne possédait pas de porte et Buibui fit signe a sa femme qui se trouvait assit au milieux du salon sur un sofa en pierre, les pied croiser sur une table qui était en roche également. Le fils se trouvait lui dans un petit berceau taille dans la roche également, disposer au coté de sa mère.

Ça faisait vingt minutes qu’il marchait dans la rue, qui était enfaite la seule rue de la ville, en effet une seule rue d’une vingtaine de kilomètre entouré d’énorme immeuble de roche, au centre se trouvait une seule place où se trouvait les magasins.

Il eut une énorme explosion au loin, Buibui se retourna rapidement Il remarque que son immeuble qui se trouvait a cinq kilomètre de là était en feu. Buibui hurla de rage et s’envola rapidement vers sa demeure bien que la lévitation fut interdite en ville.

Il se posa devant l’endroit où se trouvait son imeuble quelque minutes plus tôt.

-Lopuila ! Bobo. Sauta sur les gravas et commença a les retirer a la main.

-Lopuila ! Bobo. Buibui s’acharnait contre les rocher, ses main saignaient.

-Buibui du calme.

Il se retourna Son ami Mibilo se trouvait devant lui. Son ami qui vivait dans l’immeuble d’en face.

-Ils sont morts

-Mibilo ! Répondit Buibui dans un souffle.

-Oui, Buibui. J’était a ma fenêtre lorsque tout est arrivé. Vous viviez au troisième étage. C’est là que la boule de feu a percuté, c’est le niveau qui s’en enflammé et qui, le premier, a cédé.

-Tu… Tu es sûr?

-Je suis désolé, mon ami, désolé.

Il baissa la tête, brisé de chagrin, mais Mibilo la releva aussitôt les yeux exorbité. Il tombât à plat ventre un troue béant dans le dos.

-Mibilo. Hurla Buibui.

Tous explosa autour de lui, bâtiment volait en éclat, Buibui parvient a s’envoler dans le ciel se qui lui sauva la vie, il regarda les grave en contre bas.

Un petit rire démonique émergea des graves, deux personnes sortir des grave en lévitant, l’un deux était très petit et très moche, une cap blanche sur les épaules et une ceinture barré d’un M se retenait un petit pantalon. L’autre était très grand, deux cornes sur le crane et M sur le front, une grand cap pendant sur ses épaules.

-Qui êtes-vous? Hurla Buibui.

-Je suis le seigneur Babidi, je recherche des êtres puissant pour gonflé mes rang dans le but de faire revire le démon Boo et de me venger de Kaio Shin.

-C’est vous qui avez provoqué ça?

-Oui. Gamin. Répondit le grand homme. Je suis Dabula le roi des démons. Tu force est pas mal pour un gamin, viens avec nous.

-Jamais, pas avec les meurtries de ma famille et de mes amis.

Buibui fonça vers Dabula et tenta de lui mettre une droite, mais le roi l’évita simplement. Buibui tenta de lui donné un coup de pied par la gauche et le toucha a la hanche, mais le grand homme ne broncha pas. Il donna un coup de boule a son adversaire et envoya volé a une trentaine de mètre. Buibui avait les yeux fermés, Il se retrouva devant la mère Zunien.

-Suis-je mort mère.

-Non tu ne l’est pas, je me suis connecté avec ton esprit. Je vais d’aider pour ce combat.

-Comment?

Buibui n’eut pas sa réponse, il fut éblouit par un grand flash de lumière blanche et il ouvrit les yeux.

Dabula était entrain d’éviter d’énorme tentacules qui sortait du sol.

-Mère.

Buibui chargea vers babidi qui était son protéction.

-Dabula. Hurla le maitre des démon. Aide moi.

Dabula repoussa les tentacules a l’aide de son aura et se positionna devant son maitre.

La rage décuplât la force de Buibui, il lança une énorme gauche qui fendit la lèvre supérieur du roi. La mère Zunien se matérialisa derrière Dabula au fond de sa bouche se trouvait une énorme boule d’énergie rouge prête a être lancé. Le roi se retourna et crache un jet de salive qui touche la mère entre les deux yeux. La mère se changea en pierre avant d’explosé dans une grande explosion blanchâtre.

-Mère !!!!!

-Gamin.

Buibui se retourna. Badidi était là. Il souriait.

-PARRAPAR

Il eu un flash noir, Buibui se sentit défaillir son cerveau était sur le poing d’exploser tellement il avait mal. Il sentit le mal s’initier en lui, comme un parasite, une gangrène maléfique.

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contacté moi aussi ci vous voulez ;)

http://www.youtube.com/user/MySupercochon?feature=mhee

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  • 1 mois plus tard...
Invité gamplayman

peut etre ce week end, histoire de posé quelque note me passant par la tete cette semaine.

disons que le chapitre 1 n'est pas vraiment l'histoire, il permet simplement de voir les rare (pour le moment) caracteristiques des persos, evidemment, le temps que le(s) perso principaux decouvrent a quoi ils sont mélé

Euh l'intrigue de ton histoire à prit la poussière depuit le 23 mars 2011 à 1h07 du matin et il serai temps que tu laisses la place à chaque membre du romstation pour qu'ils puissent faire évoluer ton histoire plutôt sorti tout droit d'un sénario fantastique.

Avis au membre-Lire le premier chapitre avant d'en écrire la suite(votre suite)Merci :mort:

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Invité IceChaos

Heu... gamplayman, ce n'est pas à toi de décider si les membres on le droit d'écrire eux même la suite de l'histoire, mais à l'auteur lui-même :/

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Invité gamplayman

Oui mais c'est bien.Mais plus pour nous car je viens de faire un tour sur ton lien et je peux aller me brosser pour savoir,car il semblerai que ton exposition est déménager du romstation ou je n'ai rien compris à la marche à suivre mais je ne crois pas et ton histoir est parti sans laisser d'adresse(domage)Mais merci quand même.Je me demande ci les romeurs ne vont pas commencer une autre histoire version 2011 pour sauver ton topic.

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Voici un petit extrait:

Après avoir traversé un rud col, Christan arrive devans l'entrée d'un vieux sanctuaire. Soudain, un etre d'une rondeur corporelle avec une longue barbe noire apparaît:

- Ce que disais Dame Lilith étais vrai, le déchu sort de son sommeil pour prendre sa vengeance. Mais tu as l'air lessivé.

- Qui est-tu ? dit Christian.

- Amnésique ? Tremble devant Belzébuth, l'une des 7 divinités du mal.

- Les 7 divinités du mal ?

- Oui, tu es Christian de l'Empire du Ciel, l'un des 9 archanges qui a enfermé Lucifer. Vous protégez ce monde mais nous, nous opprimons les humains.

- De quoi parles tu ?

- Ton réveil brusque t'a fais perdre la mémoire, elle reviendra en temps voulu.

Christian est fatigué d'écouter Belzébuth.

- Tu n'est rien qu'un....

Le dieu n'a pas eu temps de finr sa phrase car le jeune homme lui donne une grosse pêche qui l'as envoyé de l'autre coté du sanctuaire. Le démon a atterit sur sa tête et se releve en se frottant la tête.

- Tu parles trop, Belzébuth.

- Sale petit.... TUEZ LE !!!!

Des démons sortent de sous la terre et attaque le jeune garçon. Les coups volèrent, Christian prend un démon et s'en sert comme matraque. Tous les démons tombèrent à terre. Christian regarde le démon qu'il tient et l'envoya dans le vide intersidéral. Le jeune garçon regarde Belzébuth et ce premier est prêt à lui envoyer un coup de poing.

- A ton tour, baudruche,

Belzebuth fonce vers Christian mais ce dernier le bloque et lui envoie une grosse peigne qui fais voler le dieu du mal. Suite à celà:

- Purée de marron au menu pour toi, Belzébuth. De première classe.

Après avoir distribué le plat au démon, ce dernier se prépare à l'écraser mais Christian l'intercepte et l'envoie balader. Christian prend son ennemi, lui fait trainer la tête et le jette dans un précipice.

Christian regarde son ennemi tomber dans le vide. Mais une lumière aveuglante l'éblouit, peu de temps après une grosse main fait son apparition. Un géant de 40 m avec une tête de mouche fais son apparition.

- Bravo, quelle force, mais tu n'es rien de plus qu'un traître.

- Un traître ?

- Oui, je suis Belzébuth le Pestifilant. Apres 100 ans, nous pouvons grandir autant qu'on veut. C'est grâce au pouvoir de la plus belle fille de l'empire, ta grande soeur Catherine.

- Ma grande soeur ?

Christian eu une vision avec sa grande soeur souriante. Enervé, il crit

- Ma soeur. Espèce d'ordure, qu'est ce que tu lui a fait ?

- Elle nous sert à exécuter notre plan.

Belzébuth lève sa main et le géant est sur le point de l'attraper. Christian regarde la grosse main se rapprocher de lui. Plus que quelques secondes et Christian passerait un sale quart d'heure.

Fin de l'extrait, ce n'est que la partie visible de l'iceberg. Qu'en pensez de vous ?

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Invité redoom

punaise! Il s'en passe des choses en mon absence! Ice Chaos devient modo, on déplace mon topic sans m'avertir... on lit mes textes! (miracle!!! haaaalleluya!) et la moitié du forum s'essaye à la littérarure..... bah pinaise!

pour ceux qui ont encore le courage d'attendre la suite de CDS, j'ai commencé le chap 11, juste que je progresse lentement....

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  • 1 mois plus tard...

Je n'ai pas l'habitude d'écrire de jolis textes mais bon, en rangeant ma bibliothèque j'ai retrouvé mon classeur contenant toute mes feuilles de personnages de Jdr (Jeu de rôle papier). Je me suis donc remémoré quelques fabuleuses péripéties et l'idée m'est venu dans coucher quelques unes pour peut être vous distraire.

Bonne lecture!

L’Héroïne (non pas la drogue) principale de ce récit se nomme Christine Flecher, une humble humaine du monde de Warhammer. (Pour les plus néophytes, c'est un univers médiéval fantastique)

Loin d'avoir crée l'archétype parfait de l'aventurière, le générateur de personnage m'obligea à jouer une prêtresse des plus pittoresque. Voici quelques détails, son Curriculum Vitae en quelque sorte :

Christine Flecher est une humaine prêtresse de Shallya (la déesse de la guérison)qui naquit à Waldenhof (Ville que je n'ai jamais su restituer sur une carte). Elle pèse 71Kg pour un bon 1m59, les yeux verts et une chevelure de jade.

Avant de commercer ce bout de narration, il est à mon avis assez important de préciser quelques points qui feront monter le contraste lors de l'aventure:

Les commandements de Shallya demandent à tout inspirant de porter la robe blanche et le bâton uniquement. Le prêtre doit se faire un devoir de secourir autrui quelle que soit sa nature. Les armes sont bien sûr formellement interdites pour tous les membres de l'Ordre de la Déesse.

Cesse de Bavardage et commençons l'histoire !

Le premier combat de Shallya

Forte heureuse d'avoir enfin quitté le Temple, Christine, déjà propriétaire d'un joli trésor dérobé lors de la quête précédente, s'en allait le plus loin possible des Religieuses gâtées de Shallya.

Malheureusement pour elle, sa compagnie était agrémentée de deux bougres qui trainaient avec eux un nombre incalculable de babioles inutiles.

Le premier d'entre eux, se nommait Jocit Tassvaland, un Halfeling de 20 ans qui pratiquait le métier de paysan de manière odorante et donc en toute logique, de manière assez récurrente.

Le second, déjà plus grand, sentait lui aussi quelques effluves mais d'un piquant plus maritime. Tout le monde l'appelait Konrad Mohr, le pêcheur du village. Son aventure commençait tout juste mais il portait déjà la dentition des plus aguerris : ses 4 dents de devant manquaient à l'appel.

Trainassant leurs charges sur la route de Bretonnie depuis une demi journée seulement, le premier élément perturbateur de l'aventure pointa son nez. Un bestial Homme-Bête martelait sur un carré d'herbe, un garçonnet déjà moins fougueux qu'à l'ordinaire.

Il n'en fallu pas plus pour engager le monstre en appliquant la tactique de combat du groupe débutant.

Konrad, fut par sa taille et son statut D'homme, le plus approprier pour approcher la créature en premier, tandis que Jocit lancerait quelques cailloux avec sa fronde. Ayant donc troqué sa barque et sa ligne contre une épée de fer et un arc, il dégaina non sans mal la lame effilochée de son barda. (A cet instant je remarqua que mon personnage était d'une incompétence sans pareil pour la lutte armée au corps à corps)

Christine elle, servait de soutien magique. (En gros elle a spammé le mot de soin pensant 15min)

Quelques échanges martiaux après, le combat tourna en faveur de la Bête qui souhaitait, à priori, agrémenter sa plus jeune victime d'une autre plus moche. Faisant tomber sa ferraille, Konrad s'enfuit vers un bosquet....

Christine ne souhaitant pas user trop longtemps de son influence divine, arrêta les murmures de prière au profit d'une stratégie plus improvisée qui se résumait à essayer d'assommer son adversaire avec le bâton de marche de Shallya. Malheureusement la canne n'étant rien de plus qu'une branche prise sur un arbre aléatoire de la forêt la plus proche, elle se brisa avant d'infliger le moindre hématome.

A la grande surprise de tout le monde (le monde étant à priori pour le moment composé d'une créature hybride à l'intelligence limitée, d'un Halfeling qui cherche des cailloux par terre et d'un quasi cadavre d'enfant de 10 ans). Christine ramassa l'épée du pêcheur pour châtier son ennemie d'une façon moins religieuse. Bravant ainsi ses commandements divins, elle fit couler le sang tel une barrique de vin qu'on décapite.

Le combat aurait pu s'arrêter à la simple main tranchée de l'immonde homme bête, mais Christine en ratant un test de volonté, poursuivi son gibier qui s'enfuyait à travers les arbres.

Konrad découvrit quelques minutes plus tard, Christine, prêtresse de Shallya, assise par terre, contemplant le premier de ses nombreux cadavres.

Fin !

Ce moment fut réellement marquant pour mon personnage, en effet sa compétence de course améliorée faisait d'elle, malgré sa petite taille et son poids, une redoutable sprinteuse. Elle passa très rapidement du rôle de soutien à celui de guerrier sanguinaire.

Aujourd'hui Christine reste la seule des trois dans l'aventure, Konrad étant mort en voulant aborder un navire elfe noire et Jocit ayant prit sa retraire après avoir perdu un bras et une jambe contre un Shaggoth.

Conservant la voie de l'épée sous silence, la prêtresse de Shallya passa Grande prêtresse dans son ordre il y a peu. Ses effets de voyages contenant pourtant déjà 4 épées légendaires (Donc la Lame d'un Dragon de Sang, pour les connaisseurs,que j'ai tué en combat singulier)

, ainsi qu'une armure de cuir complète, pourtant interdite par l'ordre, qui vient finir de compléter sa silhouette large. [/font]

Voilà, j'espère que ce 'petit' écrit vous fera rire. Il me reste pas mal d'aventure semblable en stock, peut être qu'un jour si l'humeur m'en dit, j'en raconterai une autre.

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  • 9 mois plus tard...
  • 8 mois plus tard...
Invité TheMiniGeeks

Voilà un chapitre de mon roman, en Anglais.

I shifted uneasily in my seat. I had never liked airplanes. Too cramped for me, too many people and their germs. This particular one was quite small, and the chairs were not very comfortable and the food had been… revolting. I peered out of the window. I could see the Big Ben, Buckingham Palace, and a few other landmarks. We we had finally arrived in London. A woman’s voice came out of the intercom:

“We are nearing Heathrow Airport, ladies and gentlemen, we will be landing in a few minutes.”

I leaned back on my chair and fumbled in my pockets, pulling out the print of the e-mail that I had received from a friend of mine. I looked at it.

"Hey Bectee,

I know you've been planning to move to London but couldn't find a good place. Well, my cousin has decided to share his house with someone! The rent's not too bad, I thought you could check it out:

4 Haverston Street, Kensington."

I then pulled out a map and looked at it in search for the adress. I finally found it and marked it with an X, and put everything away. I then started thinking about how to get there. It would hardly be advisable to trust me in London’s many streets, but my small funds could get me a cab.

A voice snatched me from my thoughts.

"Is everything satisfactory sir?". I turned around. It was a young woman, a stewardess.

"Yes, thanks."

"Buckle your seatbelt please."

Within minutes we landed. I got off the plane and went to Terminal 3, and through security. With my natural good luck, I had forgotten my passport on the plane and had to wait for an hour to get it back. The Terminal was like any other, filled with shops and restaurants. I collected my luggage and exited the airport. As I got out I breathed in the air. Not very refreshing, but good enough after such a long and stuffy flight. I patiently waited for a taxi, until it finally turned up. I ventured up to it.

"Hello?" I said.

"Good Evening sir."

"Yes, could you take me to London please?”

He nodded and got off the car and put my luggage in the car boot. He got back into his seat and I seated myself at the back.

"Where to?"

"Er, 4 Haverston Street, Kensington."

"Okay."

The cab ride from the airport to my new home was uneventful. I was so tired that I just eventually nodded off. I was abruptly woken by a tap on the shoulder.

"Mr. Rotins? We're here."

"Ah, thank you."

I stepped out and took out my wallet, handing him the money I owed him. I turned around.

A block of flats stood in front of me. I saw the number plate four and walked up to the door. The block was quite nice, it stood about 3 stories high. It was made of clean brown bricks. The door in front of me was Olive green, and had a small slit saying “NO PUBLICITY” for mail.

More importantly, though, there was a wanted poster stuck to a lampost near the flat. I had not payed much attention to him, but I could swear that that was the same face as the cabbie who just left me off... Well. Can't do much about it. I grimly walked up the door of the house.

I rang the doorbell that said 'Slush'. I heard the sound of running footsteps, and moments later a man flung the door open.

He was fairly tall, about 5’9. He had dark brown hair that was slicked back, framing a young face. He was in his thirties and wore a grey suit.

He beamed at me and shook my hand vigourously.

“Ah, yes. My cousin warned me of an impeding visit. Mr…?”

“Rotins. Becterand Rotins.”

“Yes, yes. Of course, Mr. Rotins. Well, my name is Aleppin Slush. Shall I show you around the flat?”

“Yes, thank you.”

I entered. The wallpapers were white but slightly dirty in places. He led me into what appeared to be the living room. I looked around.

Several strange and wonderful objects lay around. In one corner stood a fireplace and mantelpiece. On the mantelpiece was a golden-framed mirror, which was cracked in places. A small sofa stood in the middle of the room, in front of a small coffee table littered with papers and books. He dashed to the table and cleared the mess. A small table was covered in chemistry equipment and a bone.

“Coffee?” he asked.

“No thanks.” I said, yawning.

“When you're tired, there's nothing better. And I can see you’re tired.”

“Oh?” I asked, bemused.

“Yes. I can see you woke up late for your flight, your hair is uncombed. You have bags under your eyes, you are obviously tired. You did not have time to shave or eat, for I can see you even now staring at the food on this plate.” He said, nodding at the food on the coffee table.

I was amazed. “How…?”

“I’ll explain later.” he said, grinning. He led me into a small room, with just a bed and a window. “This will be your room, if you agree to it. Quite empty now, but you can fill it with furniture à volonté.”

“Wonderful.” I replied.

“I see you have luggage.”

“I do. Only clothes, though. I sold all the furniture in my studio, I couldn’t be bothered to lug them all from Canada to here.”

“Good. Well, it is late, I shall let you retire. I, myself, have some experiments to conduct.”

I was very tempted to ask what experiments, but I figured I’d find out soon enough. I took out my clothes and put them in the wardrobe and dropped onto the bed, fully clothed, and fell asleep almost immediately.

As I woke up in the morning, around 10 A.M, I entered the living room to find him already arisen, deep in thought and scribbling rapidly on a piece of paper.

“Morning’.” I yawned.

“Good Morning. Slept well?”

“Yes, thank you.”

“Good.”

He was saying all this absent mindedly, now very absorbed in that morning's newspaper, which he had picked up and was browsing through. A finished breakfast stood in front of him, and he was fully dressed.

"Breakfast's in the fridge" he said, not taking his eyes off the paper.

"Er, thanks." I went into the kitchen, which unlike the rest of the apartment was quite clean. In the fridge there wasn't much, and I returned to sit with him with just a piece of toast.

"So... What kind of job do you do?" I asked tentatively.

He finally put his paper down, and lit up a cigarette which he started puffing on.

"Detective work." was his answer. I had pretty much guessed this from his conclusions from the night before. "And yourself?"

"I'm a teacher, a French teacher."

He nodded, looking pensively at the ceiling.

"So, do you work with the police or privately?"

"Privately." There were a few seconds of silence where I ate my breakfast and he just sat there, looking completely out of it. After a while, he pointed at the newspaper. "I've been looking for a damn case, can't find one. They're all boring, easy. Frivolous."

"Mmh. Well, I'm sure something will crop up."

"Anyway, I have to go. I'll be back for lunch, we can go somewhere." With this, he got up and put on his coat and left.

I took out a book and started reading it. It was a collection of Lovecraft's short stories, which I was reading for about the 20th time. You can't get enough Lovecraft.

Anyway, after an hour or so Aleppin got back and we left off into central London's streets. We found a McDonald's and ordered our food and ate away at it. We talked about this and that, he was very talkative, mostly asking about myself than talking about himself. In fact, he didn't talk about himself at all.

When we had finished our meal, and walked out of McDonald's, a small group of people stood in a circle and police sirens were sounding from everywhere. Aleppin ran to the circle and pushed his way through.

"We're detectives, let us through."

"We allowed to be here?" I inquired softly in Aleppin's ear.

"Nope."

"Brilliant."

I looked down at the dead body Aleppin was standing over.

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Invité MrPixel

Moi il y a une histoire style un peu SF que j'aimerais mettre sur papier. Ca se passerait en 2024, un homme aurait été enfermé dans un hôpital psychiatrique à la suite du meurtre de sa famille qu'il aurait commis en suivant les indications d'un fantôme. Mais 15 plus tard, il s'évade...Il à passé 15 ans de sa vie enfermé sans contact avec le monde extérieur Si bien qu'à sa sortie, le monde qu'il découvre n'a rien à voir avec le monde qu'il à connu. Une dictature s'est installé, la vie des gens est contrôlée. Uniformes, couvre-feux et suppression des libertés sont les principales règles de ce nouveau régime, le héros tentera alors de renverser ce régime pour retrouver la liberté et la démocratie...

Voila, je sais pas encore si je vais l'écrire, j'hésite un peu, mais voila c'etait pour partager l'idée :)

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  • 4 mois plus tard...

Bon, quand vous avez lu le titre, vous vous êtes certainement dit :

"Oh tiens, un nouveau topic, voyons à quoi il ressemble..."

Ou alors, vous vous êtes dit :

"Oh tiens, encore un nouveau topic qui va se faire locker dans trente minutes :noel:."

Bref, je ne vais pas m'attarder là-dessus (vu que les possibilités de dialogue sont illimitées) mais je vais de ce pas vous indiquer la raison de la création de ce topic.

Donc, récemment, j'ai reçu un devoir en Français (en oui, j'ai encore des cours...) qui me demandait d'écrire un incipit (l'introduction du livre qui correspond aux première pages) sur l'un des deux thèmes au choix : la nuit ou le rêve/réalité.

Je vais donc vous envoyer ce que moi, j'ai fait.

Petite précision : j'ai préféré prendre le thème de la nuit, allez savoir pourquoi...

Deuxième petite précision : si j'ai créé ce topic, c'est surtout pour connaître votre avis, savoir ce que je dois changez, ce qui est bien, etc... Donc n'hésitez pas à poster

Dernière petite précision (promis, après, je vous laisse lire) : vous avez vu? C'est ma première "histoire" que je poste sur RomStation!

J’étais venu finalement. Je ne comprenais toujours pas la raison qui m’avait poussé à être là…

Le sable crissait sous mes pieds. Le vent soufflait fort cette nuit et les arbres peinaient à rester droit et fier, comme à leur habitude. Ici, ils semblaient ne plus avoir de forces et donnaient même l’impression que la mort semblait une meilleure alternative que ce qu’il subissait actuellement. Même la mer, à ma gauche, avait du mal à garder son calme. Le courant l’emportait loin, comme si elle me fuyait. Mais la mer et la flore n’étaient pas les seules à souffrir de la puissance cyclonique. Mes cheveux battaient au vent et je peinais à avancer devant moi. De toute façon, la météo nous avait prévenus… Je ne regarde jamais la météo…

Le mur à ma droite semblait lui aussi souffrir des habituels vents forts. Il donnait l’impression qu’il était penché et même qu’il allait tomber si le vent continuait de souffler comme un forcené. Des plantes grimpantes poussaient sur ce mur et comme toute plante grimpante, elles mettaient un point d’honneur à croître aléatoirement. Elle débutait au sommet du mur (peut-être même que leur racine se situait de l’autre côté du mur) et se dirigeait lentement vers la base du mur. Au pied de ce mur attendaient patiemment les habituelles mauvaises herbes que l’on retrouve dans ces endroits.

Je lâchais un soupir. Cela faisait déjà vingt minutes que je l’attendais, peut-être ne viendrait-elle pas… J’ai levé la tête et admiré les étoiles. Certaines d’entre elles luisaient d’une forte luminosité tandis que d’autres étaient beaucoup moins puissantes, comme si elles étaient en train de mourir ou qu’elles étaient trop loin pour que leur lumière atteigne notre œil. Ce qui m’amusait avec les étoiles, c’était la façon dont elles étaient disposées. Certaines étaient tellement proches qu’on avait du mal à voir qu’elles étaient deux et d’autres étaient tellement éloignées qu’ensemble, elles parvenaient à créer des formes géométriques toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Là, la constellation d’Orion, ici, celle des Voiles, et là encore, la constellation du Pégase.

J’avais déjà entendu le bruit de ses chaussures marchant dans le sable avant qu’elle ne me parle mais j’avais préféré ne pas me retourner. Lorsqu’enfin, elle me parla, ce fut pour m’appeler :

-Paul, avait-elle dit dans un murmure.

Je m’étais retourné lentement pour prendre le temps à ce moment du durer interminablement. Enfin, je la vis…

Cette fois-ci, elle ne s’était pas parée des habituels bijoux qui la masquaient mais elle s’était présentée sous son beau jour. Sans même se mettre en valeur, elle était magnifique…

Subitement, elle me dit une phrase que je n’aurais jamais pensé entendre venir d’elle :

-Je t’aime…

Silence total sur la plage. Seul le vent s’obstinait à souffler mais je ne l’entendais pas.

Pourquoi, mon dieu, pourquoi avait-il fallu qu’elle me dise cela?

Voilà, c'est terminé... J'espère que ça vous a plu ou que vous avez trouvé cela intéressant. En tout cas, commentez ce texte, s'il vous plaît, c'est très important pour moi.

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Il existait pas déjà un topic sur nos écrits nouvelles etc ? Tu devrais le poster la bas.

Si il n'existe plus on aura qu'a modifier celui la pour qu'il soit ouvert à tous.

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@NIMAI

yo,titavis, Finalement j'étais venu (c'est plus posé, y'a pas réellement d'indication d'age de tes persos à part les bijoux qui me font dire que au moin elle a un certain âge maintenant si ton perso est jeunot ça colle et pourrait donné encore plus d'intêret à l'intrigue qui va déboucher de ces pages mais il faut faire d'avantage ressortir ce trait alors, pas trop non plus le suggérer.)

que la mort était (répétition) ou, et donnais l'impression que la mort leur faisait du pied, sensation qu'ils trouveraient sans doute de plus en plus douce après l'effroi, meilleur alternative que ...

Au pied de celui-ci (répétition)

De toute façon la météo nous avait prévenu. Je ne regarde jamais la météo, mais cette fois... (mouais c'est plus logique et moment important)

Maintenant les étoiles, pour moi c'est le moment de donner un aperçu subtil et intriguant sur ce qu'imagine, éspère, attend le narrateur.

Certaines luisaient d'une forte luminausité tandis que d'autres étaient beaucoup moin puissantes, comme si (plutot que de les faire mourir) elle n'attendaient que de pouvoir briller, ou qu'elles étaient simplement trop loin pour que leur lumiere atteigne notre oeil...

Ce qui m’amusait avec les étoiles c’était la façon dont elles étaient disposées. Certaines étaient tellement proches qu’on avait du mal à voir qu’elles étaient deux et d’autres éloignées mais ne pouvant être perçu que liées créant des formes géométriques toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Là la constélation d'Orion, ici celle des Voilles et là encore, la constélation du Pégas. Pourquoi nous obstiner à donner une forme à ce qui existe déjà.(AAAAAhhh la virgule, tout un art héhé, là je l'tourne comme ça et c'est un peu lourdingue mais tu peux en faire autre chose à toi de voir c'est juste pour orienter sans montrer mais c'est le je t'aime de fin qui me fait écrire ça)

Noooooon enfin pas l'bruit des godasses!!! plus glamour!!! ou moin sex. Et dans du sable avec le vent l'a une sacrée ouïe ton loup. L'odeur de sont parfum si reconnaissable par exemple.

pour laisser le temps à ce moment de durer. (ça sonne mieu)

Mais elle se présentait de toute façon sous un beau jour. (pareil)

elle me dit ses mots (pareil)

Silence sur la plage. (ça devrait suffir) mais je n'l'entendais plus.

Tu m'excuses pour la forme ça fait un peu correction mais c'est ce qui m'a sauté au yeux si ça peut t'aider.

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