Pour les curieux, cette localisation japonaise dénote pas mal des versions occidentales.

Spyro s’exprime davantage : dès qu’il charge ou plane, il pousse une exclamation.
Notre héros ne peut pas sauter en chargeant. Tandis qu’à contrario, il saute nettement plus haut ! Pourquoi ? J'en sais rien, c'est un dragon japonais. Il est bien étrange, en tout cas, d’avoir opté pour de tels changements qui affectent l’excellent gameplay et dosage de difficulté.

La caméra est très différente : plus reculée, elle ne suit pas le personnage. Vous pensiez que la caméra n'est pas un point fort dans Spyro ? Essayez donc cette version, vous m'en direz des nouvelles...
Les niveaux sont numérotés et, en plus des dragons, le jeu comporte pas mal de panneaux explicatifs, comme dans Super Mario 64.

Voilà pour citer quelques particularités de cette version destinée aux Japonais qui, de mon humble avis, n'ont pas été très gâtés ici en-dehors du doublage et d'une jolie jaquette.