akumasan Posted September 18 Share Posted September 18 🔰 Sorti en 2009, BATMAN : Arkham Asylum est un jeu d'action aventure, conçu par Rocksteady Studios et publié par Eidos Interactive, en partenariat avec Warner Bros Games. Arkham Asylum, s'inspire largement de l'univers de DC comics, mettent en scène sur le super-héros Batman. Dans la trame principale du jeu, Batman se confronte à son adversaire de longue date, le Joker, qui a orchestré un plan machiavélique pour s'emparer de l'asile d'Arkham situé sur une île. Son but est d'attirer Batman dans un piège en libérant une multitude de ses ennemis détenus au sein de l’asile d’Arkham comme notamment Harley Quinn, Bane, Victor Zsasz, Killer Croc et Poison Ivy ou encore l'Homme-Mystère. Bien que l'histoire se déroule bien après le début de la carrière de Batman, BATMAN : Arkham Asylum offre une introduction complète au Chevalier Noir. Les événements débutent avec la libération du Joker, de loin l'ennemi le plus reconnaissable de Batman, qui, dans un asile pour aliénés criminels, rassemble rapidement une petite armée de super-vilains et de voyous jetables. Mais vous trouverez également un large éventail de personnages secondaires qui apparaissent soit en coulisses, soit comme des easter eggs, soit dans le Codex. L'asile d'Arkham est un personnage à part entière, un hybride entre l'architecture gothique de Gotham et l'aspect froid, métallique et industriel. L’histoire de l’établissement que vous pouvez découvrir à partir de notes et de « souvenirs » cachés est aussi horrible et dépravée que ses patients. L'asile d'Arkham est peut-être petit selon les standards modernes avec des zones extérieures compactes et des intérieurs composés de quelques lieux importants reliés par des couloirs, mais cela lui permet d'offrir plus de détails et une narration environnementale plus fine que la plupart des jeux en monde ouvert modernes. Le monde paraît dense, interconnecté, avec une architecture gothique qui confère à l'ensemble une impression de grandeur, pratique pour des combats acrobatiques contre des foules de plus en plus imposantes et s'intègre parfaitement aux séquences légèrement horrifiques. La narration ne se limite pas à créer une atmosphère historique et vivante pour l'asile éponyme. Bien qu'il se déroule par une nuit pluvieuse et venteuse, l'asile d'Arkham offre un éventail impressionnant de vues, intérieures, extérieures et souterraines. Vous traverserez un établissement de haute sécurité crasseux, un centre médical froid et stérile, un manoir gothique inquiétant, un pénitencier high-tech, des jardins botaniques luxuriants, des grottes et des égouts souterrains, sans oublier les terrains de l'asile eux-mêmes, qui offrent des vues imprenables sur Gotham City. Au fil de l'histoire, chaque lieu subit de nombreux changements, allant des premières bagarres entre détenus et gardiens à une invasion de plantes mutantes, ce qui rend les retours en arrière toujours utiles. Si vous êtes prêt à y consacrer du temps, vous pourrez retourner auprès des groupes de survivants pour découvrir leur sort ou entendre leurs commentaires sur les événements récents. BATMAN : Arkham Asylum c'est aussi un beat ’em all rapide et réactif, associé à une progression méthodique inspirée des Metroidvania et à une chasse aux objets à collectionner. Mais surtout, il parvient à maintenir un équilibre entre ces éléments et un rythme soutenu jusqu'à la dernière minute de jeu. Le level-design est relativement simple et entièrement soumis aux exigences de l'intrigue. Vous pouvez toujours grimper, planer et vous agripper, mais des outils pour ouvrir de nouveaux chemins par exemple, détruire des murs, pirater des portes et créer une Tyrolienne sont distribués périodiquement pour contrôler votre accès. Les combats reposent sur un mélange de combos, de contres et d'esquives, la férocité des attaques de Batman augmentant avec le multiplicateur de combo. Chaque niveau gagné rapporte un point de compétence et c’est à vous de choisir de vous concentrer sur la survie, les attaques multiplicatrices de combos ou l'intégration d'attaques gadgets. Bien que cela fait un moment que je n'y ai pas joué, j'ai tout de même trouvé le contenu rafraîchissant. La narration était bien cadencée, les mécanismes d'exploration et de résolution d'énigmes simples mais gratifiants, et les affrontements intenses demeuraient toujours plaisants. Il est clair que BATMAN : Arkham Asylum a été élaboré avec une attention méticuleuse et, malgré le fait que certains aspects puissent paraître aujourd'hui obsolètes ou peu aboutis, on perçoit vite sa marque indélébile sur les jeux d'action d'aujourd'hui. Si vous ne l'avez pas encore essayé, considérez-le comme un élément incontournable de l'histoire qui vous forcera à réévaluer vos attentes. Je sais que cela peut sembler simpliste, mais quand un jeu datant de 2009 surpasse des AAA sortis en 2025 en termes d'expérience ludique et audiovisuelle, je suis contraint de me questionner sur les motivations des développeurs et des éditeurs actuels. CopyCat and Aflow 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted September 18 Share Posted September 18 il y a 39 minutes, akumasan a dit : 🔰 Sorti en 2009, BATMAN : Arkham Asylum est un jeu d'action aventure, conçu par Rocksteady Studios et publié par Eidos Interactive, en partenariat avec Warner Bros Games. Arkham Asylum, s'inspire largement de l'univers de DC comics, mettent en scène sur le super-héros Batman. Dans la trame principale du jeu, Batman se confronte à son adversaire de longue date, le Joker, qui a orchestré un plan machiavélique pour s'emparer de l'asile d'Arkham situé sur une île. Son but est d'attirer Batman dans un piège en libérant une multitude de ses ennemis détenus au sein de l’asile d’Arkham comme notamment Harley Quinn, Bane, Victor Zsasz, Killer Croc et Poison Ivy ou encore l'Homme-Mystère. Bien que l'histoire se déroule bien après le début de la carrière de Batman, BATMAN : Arkham Asylum offre une introduction complète au Chevalier Noir. Les événements débutent avec la libération du Joker, de loin l'ennemi le plus reconnaissable de Batman, qui, dans un asile pour aliénés criminels, rassemble rapidement une petite armée de super-vilains et de voyous jetables. Mais vous trouverez également un large éventail de personnages secondaires qui apparaissent soit en coulisses, soit comme des easter eggs, soit dans le Codex. L'asile d'Arkham est un personnage à part entière, un hybride entre l'architecture gothique de Gotham et l'aspect froid, métallique et industriel. L’histoire de l’établissement que vous pouvez découvrir à partir de notes et de « souvenirs » cachés est aussi horrible et dépravée que ses patients. L'asile d'Arkham est peut-être petit selon les standards modernes avec des zones extérieures compactes et des intérieurs composés de quelques lieux importants reliés par des couloirs, mais cela lui permet d'offrir plus de détails et une narration environnementale plus fine que la plupart des jeux en monde ouvert modernes. Le monde paraît dense, interconnecté, avec une architecture gothique qui confère à l'ensemble une impression de grandeur, pratique pour des combats acrobatiques contre des foules de plus en plus imposantes et s'intègre parfaitement aux séquences légèrement horrifiques. La narration ne se limite pas à créer une atmosphère historique et vivante pour l'asile éponyme. Bien qu'il se déroule par une nuit pluvieuse et venteuse, l'asile d'Arkham offre un éventail impressionnant de vues, intérieures, extérieures et souterraines. Vous traverserez un établissement de haute sécurité crasseux, un centre médical froid et stérile, un manoir gothique inquiétant, un pénitencier high-tech, des jardins botaniques luxuriants, des grottes et des égouts souterrains, sans oublier les terrains de l'asile eux-mêmes, qui offrent des vues imprenables sur Gotham City. Au fil de l'histoire, chaque lieu subit de nombreux changements, allant des premières bagarres entre détenus et gardiens à une invasion de plantes mutantes, ce qui rend les retours en arrière toujours utiles. Si vous êtes prêt à y consacrer du temps, vous pourrez retourner auprès des groupes de survivants pour découvrir leur sort ou entendre leurs commentaires sur les événements récents. BATMAN : Arkham Asylum c'est aussi un beat ’em all rapide et réactif, associé à une progression méthodique inspirée des Metroidvania et à une chasse aux objets à collectionner. Mais surtout, il parvient à maintenir un équilibre entre ces éléments et un rythme soutenu jusqu'à la dernière minute de jeu. Le level-design est relativement simple et entièrement soumis aux exigences de l'intrigue. Vous pouvez toujours grimper, planer et vous agripper, mais des outils pour ouvrir de nouveaux chemins par exemple, détruire des murs, pirater des portes et créer une Tyrolienne sont distribués périodiquement pour contrôler votre accès. Les combats reposent sur un mélange de combos, de contres et d'esquives, la férocité des attaques de Batman augmentant avec le multiplicateur de combo. Chaque niveau gagné rapporte un point de compétence et c’est à vous de choisir de vous concentrer sur la survie, les attaques multiplicatrices de combos ou l'intégration d'attaques gadgets. Bien que cela fait un moment que je n'y ai pas joué, j'ai tout de même trouvé le contenu rafraîchissant. La narration était bien cadencée, les mécanismes d'exploration et de résolution d'énigmes simples mais gratifiants, et les affrontements intenses demeuraient toujours plaisants. Il est clair que BATMAN : Arkham Asylum a été élaboré avec une attention méticuleuse et, malgré le fait que certains aspects puissent paraître aujourd'hui obsolètes ou peu aboutis, on perçoit vite sa marque indélébile sur les jeux d'action d'aujourd'hui. Si vous ne l'avez pas encore essayé, considérez-le comme un élément incontournable de l'histoire qui vous forcera à réévaluer vos attentes. Je sais que cela peut sembler simpliste, mais quand un jeu datant de 2009 surpasse des AAA sortis en 2025 en termes d'expérience ludique et audiovisuelle, je suis contraint de me questionner sur les motivations des développeurs et des éditeurs actuels. Pour se qui est de l'histoire la réponse est simple c'est paul Dini le scénariste et justement lui il est connu pour très bien adapté dc comics surtout les batman chaque détail compte pour lui et les mec chiant du tout public ne le font pas chier un peu pour sa qu'il a fait comme il a voulu. Pour le fait que des vieux jeu comme celui ci surpasse des AAA de 2025 ben le truc souvent les commentaire des studio c'est que nous les joueur ont va bouffé tout et n'importe quoi tant que sa a une belle apparence. Franchement par exemple les quête secondaire des AAA souvent c'est d'aller d'un point A a un point B pour trouvé un objet alors que la par exemple les énigme de l'homme mystère faut des fois un peu réfléchir(surtout pour les opus suivant sauf arkham origine ou c'est que des boitié a ramassé plus d'énigme). akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 18 Share Posted September 18 Je suis totalement d'accord avec ton commentaire, Ienzo. Ton commentaire est très approprié et si j'avais plus d'espace, j'aurais aimé intégrer tes suggestions pour enrichir la description de ma vidéo. C'est regrettable que YouTube impose une limite de 5000 caractères dans la description, c'est pour ça que toutes mes descriptions font presque tous la même longueur. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted September 18 Share Posted September 18 il y a 23 minutes, akumasan a dit : Je suis totalement d'accord avec ton commentaire, Ienzo. Ton commentaire est très approprié et si j'avais plus d'espace, j'aurais aimé intégrer tes suggestions pour enrichir la description de ma vidéo. C'est regrettable que YouTube impose une limite de 5000 caractères dans la description, c'est pour ça que toutes mes descriptions font presque tous la même longueur. A tient je me demandais pourquoi les description YouTube était souvent de la même longueur je savais pas qu'il avait cette limite. En vrai tu peux toujours rajouté en 1er commentaire se qui manque dans ta description je viens de me rendre compte que pas mal de personne font sa. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 18 Share Posted September 18 Il y a 3 heures, Ienzo100 a dit : A tient je me demandais pourquoi les description YouTube était souvent de la même longueur je savais pas qu'il avait cette limite. En vrai tu peux toujours rajouté en 1er commentaire se qui manque dans ta description je viens de me rendre compte que pas mal de personne font sa. Effectivement Ienzo, je connais plusieurs créateurs de contenu sur YouTube qui esquivent cette restriction de longueur des descriptions en plaçant les informations directement dans les commentaires, qui ne sont pas soumis à cette contrainte. J'ai moi-même eu recours à cette méthode quelques fois. Cependant, cela me gêne un peu car la description est censée servir à cela et je n'apprécie pas de reproduire ma description dans les commentaires simplement pour ajouter trois ou quatre paragraphes supplémentaires. J'ai ce côté perfectionniste qui m’empoisonne la vie depuis toujours et voir deux fois la même chose à quelques différences près m’embête beaucoup. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted September 18 Share Posted September 18 Il y a 1 heure, akumasan a dit : Effectivement Ienzo, je connais plusieurs créateurs de contenu sur YouTube qui esquivent cette restriction de longueur des descriptions en plaçant les informations directement dans les commentaires, qui ne sont pas soumis à cette contrainte. J'ai moi-même eu recours à cette méthode quelques fois. Cependant, cela me gêne un peu car la description est censée servir à cela et je n'apprécie pas de reproduire ma description dans les commentaires simplement pour ajouter trois ou quatre paragraphes supplémentaires. J'ai ce côté perfectionniste qui m’empoisonne la vie depuis toujours et voir deux fois la même chose à quelques différences près m’embête beaucoup. Tu peux toujours mettre sa dans la description pour la suite de la description regardé dans le 1er commentaire la limite de youtube m’empêchant de mettre plus que 5000 caractère. akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 18 Share Posted September 18 Oui, faire une description ++ épinglée en tête de la vidéo dans les commentaires est une bonne, voire une très bonne idée mon ami. Gaga46 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted September 19 Share Posted September 19 Je continue sur ma lancé des opus sur Game Boy Advance avec Castlevania: Harmony of Dissonance alors le jeu se passe 50 ans après simon quest ont aura donc comme belmont le petit fils de simon Juste Belmont. Gameplays alors cette opus abandonne le système de carte du jeu précédent pour un système de livre de sort vous pourrez trouvé plusieurs livre de sort dans le jeu qui une fois équipé modifieront vos arme secondaire. Chaque arme se modifiera selon le livre et affligeront plus de dégât qu'utiliser normalement ou alors servira de mur défensif pour votre perso selon le livre de sort et l'arme secondaire utilisé et vous n'utiliserez alors pas les cœur mais votre barre de magie a la place (En vrai les attaque magique sont tellement puissante ou utile que je pense que personne n'utilise les arme secondaire normalement dans cette opus a part au début quand ont a pas encore de livre) et comparé au système de carte du jeu précédent les livre sont a trouvé dans le jeu pas de loot aléatoire comme les cartes. Le système rpg de symphony of the night est toujours la et vu que vous contrôlez un belmont vous avez le fouet vampire killer mais pour cette opus vous aurez des pièce d'équipement pour amélioré les fouet sa ira d'une amélioration élémentaire a une simple amélioration des dégât ou a un équipement qui chargera une onde de choc. Pour le jeu en lui même pas trop de changement une grande map labyrinthique pour un metroidvania mais l'ia des ennemis a été amélioré comparé au précédent opus il changeront de stratégie selon votre position comparé au jeu précédent ou peu importe se que vous faisiez il faisait la même chose. Le design est un peu mieux qu'avant mais le fonctionnement de la map n'est pas franchement comme un metroidvania normal au lieu d'avoir plusieurs chemin a emprunté dans le jeu vous aurez vraiment qu'un seul chemin que vous pourrez exploré les artefact et l'histoire ne permette vraiment de déverrouillé qu'une zone a la fois. Pour les boss une petite quinzaine vous attendrons dont quelqu'un que vous verrez plusieurs fois mais il ne devrait pas vous posez de soucis pour cette opus les affrontement contre les boss ont été rendu plus facile et en vrai il n'ont pas été franchement marquant même les boss final était franchement simple a battre. Coté histoire alors se jeu ressemble a un peu trop a un mélange de symphony of the night et de simon quest pour certain concept et objectif de jeu. Lors des discussion entre perso faite bien attention ne passez pas dialogue il aura des information importante et les passer pourrais vous bloqué dans le jeu. Habituellement je ne commente pas la musique mais pour cette opus c'était franchement épouvantable autant symphony of the night avait des bonne musique autant dans celui ci elle sont fade et surtout ont ne dirais pas des musique de Game Boy Advance mais plutôt de Game Boy voir de nes parfois. Constat alors se jeu a l'air d’être une tentative de refaire un symphony of the night sa va du perso juste belmont qui ressemble beaucoup a alucard et qui a même une aura lors de ses déplacement similaire a l'effet qu'avait alucard. Le gros point faible de se jeu pour moi c'est qu'au final malgré l'immense map vous êtes pas libre de vraiment exploré le château les salle du château se feront dans un ordre précis et vous allez sans doute tourné en rond durant un moment sa fait que lorsque vous serez a la fin du jeu et bien vous aurez vraiment exploré tout le château il n'y aura pas d'après partie pour cherchez des super boss ou du contenu en plus dans votre partie vous obtiendrez juste selon la fin que vous avez fait le menu du son et un boss rush. Autre point faible a un moment dans le jeu vous devez trouvé une relique derrière un mur cassable mais c'est le seul mur cassable du jeu et il est placé a un endroit tellement saugrenue que je me suis demander comment j'ai eu cette idée je pense en vrai que beaucoup de personne auront besoin de la soluce pour le trouver. Bon sinon se jeu était très facile a prendre en main et la difficulté a été réduite du coup il peu permettre pour ceux qui débute dans les metroidvania de se faire un avis au niveau du gameplays. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 21 Share Posted September 21 🔰 Sorti le 27 septembre 2023, Disney Illusion Island donne l'impression d'être un jeu de plateforme où l'on peut incarner Mickey et ses compagnons, fortement influencé par Rayman Origins, avec un univers graphique inspiré de la nouvelle série animée « Le monde merveilleux de Mickey ». L'histoire se déroule sur l'île de Monoth, où nos héros emblématiques de l'univers Disney depuis les années 1920, dont Mickey et Minnie, Donald et Dingo, font leur entrée sur cette mystérieuse île appelée Monoth. Même si tous ont l'intention de se rendre là-bas, le grand chef des habitants de Monoth les contraint à mener une enquête sur le vol de trois manuscrits provenant de la gigantesque bibliothèque de l'île. Durant le jeu, une multitude de personnages distinctifs ont été conçus spécifiquement pour ce titre. Le jeu est construit autour d'un scénario qui, sans être écrasant, se révèle plutôt surprenant dans sa manière de procéder. Disney Illusion Island puise davantage son inspiration du Metroidvania, en intégrant un style de jeu comparable à Castle of Illusion dans ses séquences de jeux de plateforme. Si les mécaniques de saut sont bien au cœur du gameplay, l’exploration, les allers et retours et surtout la montée progressive en compétence seront la seule façon pour vous de venir à bout du jeu. En ce qui concerne la carte, comme dans tout bon jeu de genre Metroidvania, elle constitue un ensemble homogène sans aucun temps de chargement. Sa découverte se fait naturellement au fur et à mesure que vous acquérez de nouvelles compétences. Il n'y a pas de limites artificielles qui vous empêcheraient d'explorer les différentes régions du jeu, tout se déroule de manière organique. Vous pouvez nager dans l'eau, mais la plongée est réservée à ceux qui ont appris à le faire. En ce qui concerne les obstacles aériens, ils ne deviendront accessibles qu'une fois que vous aurez maîtrisé le double saut, le grappin ou même le rebond. Le jeu de Dlala Studio est conçu pour rassurer les joueurs débutants, qui constituent son public cible, un public principalement les plus jeunes désireux d'expérimenter un jeu assez astucieux, avec un level design méticuleux et une courbe de progression fluide. Il laisse au joueur le soin d'assimiler la compétence acquise avant de passer à la suivante. En effet, Disney Illusion Island offre un jeu qui n'assume ni que les enfants soient des gamers aguerris, ni des « imbéciles ». Le jeu propose une jouabilité plutôt flexible, avec une inertie de saut assez légère, tout en restant précise dans le mouvement et l'atterrissage. Dès le début de votre périple, quel que soit le personnage que vous choisissez, l'unique action à votre disposition est le saut, donc un seul bouton, en plus du mouvement pour entamer votre aventure. En effet, bien que cela puisse sembler déstabilisant, cela marque manifestement un changement de paradigme par rapport aux jeux de plateforme conventionnels qui supposent que tous les joueurs maîtrisent déjà les codes du genre. Cela néglige quelque peu l'aspect graduel de l'apprentissage du gameplay en vous plongeant directement dans l'action. Ce Disney Illusion Island présente un niveau de difficulté comparable à celui d'un Kirby et bien qu'il soit possible de le traverser facilement du début à la fin, la proposition de Dlala Studios permet à Disney Illusion Island d'être le premier jeu pour une nouvelle génération de joueurs qui ont jusqu'à présent été trop habitués aux jeux pour enfants sous licence développés sans soin, mais dont le standard de qualité n'a jamais été rétabli depuis son départ. Les boss, les adversaires ainsi que l'univers de Monoth constituent un contexte élaboré pour le jeu, fortement inspiré. Le style graphique de la série Mickey des dix dernières années, qui se distingue par son cartoon néo-rétro d'une grande beauté, la D.A fait le job, on est bien dans un Disney. On retrouve aussi l'humour caractéristique de la série dans les quelques séquences animées qui rythment votre périple. C'est regrettable que ces séquences ne soient pas souvent doublées, bien que les acteurs de doublage officiels prêtent parfois leur voix ici et là. Disney Illusion Island est un jeu inattendu, grâce à son design de niveaux inspiré du Metroidvania parfaitement maîtrisé, à sa vision non violente de la plateforme et à son récit peu intrusif mais suffisamment inspiré. Le jeu se distingue par son ambition de proposer aux joueurs occasionnels un produit qui ne les considère pas comme des idiots tout en demeurant accessible. Il est sans doute l'un des jeux les plus astucieux pour initier les plus jeunes à l'univers du jeu vidéo, éloigné des titres dits « fan-service » pour la thune. Sa fonctionnalité de jeu à quatre joueurs permet également d'observer le progrès des plus jeunes en les soutenant lors des phases plus difficiles. Le jeu est une proposition intéressante, malgré quelques imperfections, et demeure captivant du début à la fin, ce qui est la qualité essentielle que l'on attend d'un jeu. Aflow and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 23 Share Posted September 23 🔰 Sorti le 31 janvier 2006, Psychonauts est une œuvre de Tim Schaffer, également connu pour être le créateur de Grim Fandango. L'histoire du développement de ce jeu a été, pour le moins, tumultueux. Initialement, un projet exclusif à Xbox, Microsoft a abandonné l'idée avant le projet fini, nécessitant ainsi la recherche d'un nouvel éditeur, en la personne de Majesco. Psychonauts est un jeu d'action-aventure où vous incarnez Raz, un élève Psychonaute appartenant à cette unité d'agents secrets dotés de pouvoirs psychiques qui sera confronté à des adversaires redoutables. En plus de posséder des dons, Raz est très doué en acrobaties et devra aussi mener des investigations dans des mondes psychiques complètement fous. Dans l'esprit de nombreux personnages, vous naviguez à travers des univers vibrants et au design irréprochable. La réalisation est véritablement remarquable et rappelle parfois un peu l'univers de Tim Burton. L'ensemble est logique et vraiment agréable à jouer, peut-être un peu trop simple par moments. Néanmoins, la longévité du jeu reste plutôt décente, il demeure toujours aussi amusant et l'attrait ne faiblit pas. Avec un doublage de haute qualité, Psychonauts ou "Psy" est un excellent jeu qui vaut le détour. Dès la scène d'ouverture, à la colonie de vacances du Roc-qui-murmure, le formateur Oleander, un militaire, expose à quelques enfants dotés de pouvoirs psychiques assis devant lui ce qu'est le métier de psychonaute, lorsque survient soudainement une interruption. Raz, s'est échappé de son cirque d'origine, poussé par un père qui rejetait toute forme de capacité psychique. Equipé de son casque et de ses lunettes surdimensionnées, il a rejoint le camp d'été dans l'espoir de devenir un psychonaute, un espion de l'esprit. L'histoire prend place à l'intérieur de la colonie, avec ses cabanes perchées dans les arbres, ses dortoirs à lits superposés, ses toilettes grouillant de mouches et sa salle à manger. Dans cet univers, le joueur a la possibilité de se déplacer à sa guise, mais hormis interagir avec les autres enfants et collecter les power-ups dispersés ici et là, il n'y a pas beaucoup d'activités à entreprendre. Parce que les véritables niveaux de "Psy" se déroulent dans le domaine psychologique, en pénétrant directement dans l'esprit de certains individus. L'immense atout de ce scénario minutieusement élaboré, c'est qu'il offre la possibilité d'explorer des niveaux totalement démentiels et radicalement distincts sans que l'on puisse critiquer le manque de cohérence globale. L'avancement est très conventionnel sur le plan du gameplay, nécessitant de sauter d'une plateforme à l'autre, de récupérer des objets spécifiques, d'actionner certains mécanismes. Cependant, la structure a évidemment été modifiée en conséquence, il ne s'agit pas ici de collecter des champignons, des étoiles et des pièces de monnaie. Mais plutôt de vous engager à retrouver des fragments de souvenirs et des recoins d'esprit à nettoyer de leurs toiles mentales. Les adversaires changent aussi selon le contexte traversé, bien que l'on identifiera certains opposants récurrents, les censeurs, de petits fonctionnaires nerveux et belliqueux, et aussi les anticorps mentaux chargés de traquer tout ce qui n'aurait pas sa place dans l'esprit d'une personne. En bon apprenti Psychonauts, Raz possède aussi des capacités psychiques, qui ne sont pas toutes accessibles dès le début de l'aventure. Il devra les exploiter pour affronter ses adversaires et avancer dans les niveaux, on tir, lévitation, télékinésie, pyrokinésie, clairvoyance, invisibilité, ect... L'illustration de ces diverses habilités est comme il convient totalement décalée, que ce soit la grande sphère orange sur laquelle Raz court pour léviter, ou la vision claire qui permet d'observer à travers les yeux d'une autre personne. Chaque compétence compte, et il est indispensable de les fusionner pour progresser, notamment lors des combats contre les boss traditionnels de fin de niveau. L'aspect sonore est également presque parfait et les morceaux s'accordent parfaitement avec l'univers, les effets sonores sont efficaces et les voix des personnages sont presque toujours bien intégrées. La qualité des versions console est globalement excellente, cependant, les puristes qui possèdent, comme moi, cette version PC remarquent une différence notable par rapport à la version PlayStation 2 ! C’est largement plus beau et plus fluide sur PC ! Psychonauts alias "Psy" est un jeu de plateformes 3D qui, malgré son concept conventionnel, se distingue surtout par son esthétique unique. L'ensemble de ces aspects, l'univers, la mise en scène, les répliques, le fil narratif qui fusionne pour nous plonger dans une épopée totalement débridée que l'on ne peut s'empêcher de suivre jusqu'à son issue finale, issue qui arrive hélas un peu trop rapidement. Étant donné la rareté actuelle des jeux de plates-formes, surtout ceux de qualité, il serait presque un crime de ne pas se pencher sur Psychonauts. Aflow and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted September 26 Share Posted September 26 Je me suis fait le dernier castlevania sur Game Boy Advance avec Castlevania: aria of sorrow le jeu se passe en 2035 et ont contrôlera cette fois ci pas un membre du clan belmont mais un nouveau venue dans la série Soma Cruz. Gameplays alors le gameplays reprend la majorité de symphony of the night et vu qu'on ne contrôle pas un belmont ont ne sera pas limité au fouet comme arme principal ont pourra s'équipez de diverse arme allant du simple poignard au début au arme légendaire comme la lance Gungnir d’Odin ou même l'épée tueuse de dragon. Pour cette opus adieu les armes secondaire habituelle cette fois ci il aura un système d’âme a récupéré tout les monstre du jeu même les boss une fois vaincu ont une âme qui a une petite chance d’être récupéré et vous donnera différente capacité allant de la simple augmentation de vos statistique de force intelligence etc a des capacité plus classique comme envoyé des rafales de flamme ou de foudre au pouvoir un peu plus spéciaux comme vous transformé en géant. Se système permettra a tout type de joueur de jouer selon son style de jeu allant du corps a corps a ceux préférant le combat a distance ou misant plus sur les capacité spécial. Pour le jeu en lui même pas trop de changement une grande map labyrinthique pour un metroidvania l'ia des ennemis a été encore amélioré et il aura plusieurs chemin a emprunté plutôt qu'un ordre précis comparé au jeu précédent Pour les boss une petite dizaine vous attendrons comparé a l'opus précédent les affrontement ont été rendu un peu plus difficile mais c'est pas les boss les plus dur de la série tant que vous avez un bon niveau et que vous avez les bonne âme équiper. Pour l'histoire le jeu se passe en 2035 alors qu'en 1999 un belmont a réussir a totalement vaincre dracula se faisant l'histoire part dans une autre direction que l'habituel résurrection de dracula. Constat alors comparé au deux opus précédent sur Game Boy Advance celui ci tente vraiment un nouveau gameplays qui permet d'avoir différente façon de jouer selon les âme que vous récupéré se qui permet de varié le plaisir comparé au deux autre jeu ou au final c'était plus ou moins la même chose du début a la fin. Le jeu en lui même a aussi des amélioration graphique vous verrez a certain endroit comme la salle au miroir ou certain effet sont étonnant pour de la Game Boy Advance. Se jeu malgré le support vaux asser symphony of the night je me suis bien amusé avec celui ci au point que je l'est finie en a peine 8 h de jeu a 100%. Je le conseil a la plupart des joueur étant donné les possibilité de gameplays en plus se jeu est en français du coup aucun problème avec le fait de manqué certaine chose du au problème de langue. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 26 Share Posted September 26 🔰 Sorti en 2019, HORACE est un jeu qui fut développé par 505 Games. Il s’agit d’un platformer old-school en pixel-art, qui s’adresse à tous les types de joueurs. Il n'est pas nécessaire d'être un amateur de platformers pour s'y plonger, bien que les joueurs acharnés en quête de défi considèrent ce jeu comme plutôt décontracté, sans stress et centré davantage sur l'aventure et l'intrigue. Abordons le scénario d'Horace, qui est assez unique, bien qu'il prenne un certain temps à se mettre en place. Une famille fortunée anglaise a acquis un robot nommé Horace. Le patriarche de la famille s'occupe de l'androïde jusqu'à sa mort. Ses nouveaux propriétaires décident alors de désactiver Horace, n'y voyant plus d'utilité. Cependant, notre robot favori se réveille d'un profond sommeil dans un monde post-apocalyptique qu'il ne reconnaît pas, et commence alors à chercher un sens à son existence. Les développeurs ont fait preuve d'une intelligence remarquable dans la création de leur jeu. D'une part, le jeu regorge de références au cinéma, aux jeux vidéo et à la musique de l'époque, tels que le film Halloween ou 2001: L'Odyssée de l'Espace. En passant par Space Harrier ou Final Fantasy. Mais aussi, Pong, OutRun, ou encore Aerosmith. Chaque aspect de la production est dédié à honorer un mythe de la culture populaire. On s'attache même à déceler le plus petit « Easter Egg » dissimulé dans les décors ou sur les personnages. Pour ce qui est des personnages, ils n'ont pas bénéficié du même traitement de faveur. Il y en a qui sont totalement inintéressants et dispensables, alors que les personnages principaux, comme Horace, débordent d'humanité et d'émotion. Il arrive parfois que nous soyez émus au point de laisser échapper une petite larme, tant le comportement de notre charmant petit robot paraît à la fois enfantin et naïf. Il accueille les petits tracas qui se présentent à lui, se retrouvant avec plein de choses sur le visage, mais persiste tout de même à suivre son propre chemin, en gardant son petit sourire et sa bonne humeur. Certaines sections sont plus amusantes et amicales, ornées de cet impeccable humour britannique que nous chérissons tant. En ce qui concerne son gameplay, Horace réussit aisément à se distinguer des autres jeux de plateforme. En effet, pendant les quinze heures de jeu, nous sommes confrontés à une série de mini-jeux qui font allusion à des titres emblématiques. Au-delà du simple jeu de plateforme exigeant de progresser à travers des niveaux tout en esquivant les multiples périls environnants, 505 Games a réussi à nous offrir un titre qui captive l'attention du joueur sur le long terme sans jamais le fatiguer véritablement. Le rôle principal du petit robot consistera à ramasser des déchets, conformément aux instructions de son propriétaire avant son décès. Toutefois, en plus de l'obligation de ramasser un million de déchets, Horace devra affronter des sections du jeu Pong, la tâche de secourir quelqu'un dans le temps imparti et progresser à travers des niveaux tout en gérant l'apesanteur. On n'a jamais l'impression de revoir deux fois la même mission, et c'est là que réside la force du titre. Horace nous invite à explorer des univers regorgeant de périls, mais où la mort n'est heureusement pas définitive, car on y réapparaît quasi immédiatement au même lieu. Bien que le jeu soit simple à comprendre, nous déplorons l'absence d'une version en français. Certes, ce film touche aussi bien les enfants que les adultes, mais Horace n'est disponible qu'en version originale sous-titrée qui risque fort de dissuader certains. La version doublée anglaise est de qualité supérieure, ce qui n'est pas le problème. Cependant, ceux qui ont des difficultés à jouer tout en lisant les sous-titres ou qui ne préfèrent pas visionner un titre en anglais risquent d'être déçus. L'ambiance, l'intrigue et le style de jeu d'Horace s'harmonisent parfaitement avec l'art pixelisé. Au sein d'un même niveau, la diversité des environnements n'est pas très grande, cependant les développeurs ont su nous offrir des pixels parfois colorés, parfois plus sombres lorsque l'on passe à l'ère post-apocalyptique. En ce qui concerne la bande sonore, le résultat est plus nuancé. Le compositeur a brillamment revisité plusieurs morceaux emblématiques du cinéma. Par contre, la voix off du robot, Horace, est extrêmement irritante. Étant donné qu'il n'est pas possible de sauter les cutscenes, nous devons endurer les interminables discours du petit robot et son ton fatigant... L'objectif des développeurs de 505 Games était de nous offrir un jeu de plateforme touchant et divertissant, accessible, avec une jouabilité qui se réinvente constamment. Bien que ces graphismes pixélisés soient esthétiquement agréables, on déplore que la bande sonore n'ait pas bénéficié du même soin et que la voix off soit tout simplement insupportable. Heureusement, le parcours d'Horace, émouvant à plusieurs égards, aura compensé l'ensemble et favorisé le titre. GOONIES, Aflow and CopyCat 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 28 Share Posted September 28 🔰 Sorti à l'origine en 2002 sur console de 6ᵉ génération, PAC-MAN WORLD 2 fut développé et édité par Namco, et à sa sortie le jeu a suscité des critiques plutôt partagées de la part de la presse. Toutefois, une communauté restreinte de passionnés s'est vite constituée pour soutenir ardemment cette création, jugeant qu'elle devait bénéficier d'une bien meilleure analyse critique. C'est donc en 2025, soit 23 ans plus tard, que ce remake nommé PAC-MAN WORLD 2 Re-PAC revient sur nos machines modernes. Le scénario est essentiellement un prétexte pour une traversée de différents environnements, six au total, avec un niveau de difficulté qui augmente progressivement. Chaque univers offre quatre niveaux, y compris un combat de boss avec des schémas révisés. Les trois premiers univers sont assez simples, mais dès que l'on atteint le monde Volcan, la difficulté du jeu augmente considérablement. Les fautes sont désormais impitoyables, et le nombre de vies peut s’évaporer rapidement. Les chefs ont de nouvelles attaques et tous ne sont pas faciles à battre ! Pac-Man World 2 Re-PAC est un jeu de plateforme en trois dimensions où le but principal est de se rendre à un point B tout en ramassant un maximum d'items sur la route. Le nombre de melons, cerises, fraises... diffère en fonction de la taille du niveau. La force majeure du jeu est son design de niveaux, qui demeure toujours aussi efficace. Chaque univers offre une dynamique de jeu unique, évitant toute répétition : dérapages en patins à glace, plongée sous-marine, métamorphoses diverses… Pac-Man dispose de suffisamment de contenu pour captiver le joueur pendant les six à sept heures nécessaires pour terminer l'aventure une première fois. L'introduction d'un mode de chrono et de quêtes pour déverrouiller des apparences peut aisément prolonger la durée du jeu à environ une vingtaine d'heures. En ce qui concerne la bande sonore, l'OST conserve le style de 2002 : les compositions sont vivantes et s'ajustent parfaitement à l'action présentée à l'écran. Cependant, nous aurions préféré une réorchestration plus audacieuse, car l'ensemble semble parfois être une simple remastérisation des thèmes d'origine. Bien que Pac-Man World 2 présente un level-design remarquable et une jouabilité relativement diversifiée, il souffrait de soucis au niveau de la manœuvrabilité. Dans cette mise à jour, certains problèmes de caméra subsistent, même s'ils sont moins fréquents que dans l'édition initiale. L'autre point faible significatif portait sur la gestion de l'espace, avec une difficulté à se repérer lors des multiples sauts. Toutefois, il subsiste des actions curieuses, comme l'obligation de sauter dans le vide dans l'espoir d'attraper une corniche pour atteindre des objets habilement dissimulés. Globalement, la maniabilité est néanmoins plus plaisante et plus contemporaine qu'en 2002. Les labyrinthes font leur grand retour sous une nouvelle forme, étant désormais accessibles directement depuis le village ! Ce village, qui figure toujours dans le jeu, a connu quelques modifications. On trouve toujours les célèbres bornes d'arcade, bien que leur nombre ait diminué par rapport à avant, il est encore possible d'y jouer au jeu original ainsi qu'à d'autres titres qui ont fait la gloire de nos salles d'arcade il y a plusieurs décennies. Des vendeurs supplémentaires embellissent les allées du village, incluant particulièrement une boutique consacrée à la modification de skin. Finalement, des espaces sont maintenant accessibles pour présenter les figurines débloquées. Il existe deux méthodes pour les récupérer : soit en les accumulant à l'aide de jetons dans les niveaux, soit en les complétant simplement. Le hub a été révisé afin de donner au joueur une meilleure clarté. Une autre amélioration marquante : l'intégration de quêtes pour chaque niveau, qui augmentent la richesse du contenu. Accomplir un niveau en mode chronométré, survivre... autant de défis qui offrent la possibilité de déverrouiller un grand nombre de skins. En conclusion, une option de difficulté supplémentaire a été introduite pour les joueurs novices ou ceux désireux d'avancer sans se frustrer. Des plateformes additionnelles évitent les chutes trop fréquentes, et le nombre de points de passage est plus important. Pac-Man World 2 Re-PAC est à la hauteur du jeu original. Ce remake est considéré comme un succès, en particulier grâce à une modification significative du gameplay, qui offre l'opportunité de vivre l'expérience dans des conditions beaucoup plus agréables. Avec une bande-son toujours à la hauteur, c'est un jeu de plateforme particulièrement plaisant à explorer dans ses moindres recoins. Les petits ajouts disséminés ici et là rendent l'ensemble agréable en 2025. CopyCat, Aflow and GOONIES 2 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted Wednesday at 04:20 AM Share Posted Wednesday at 04:20 AM 🔰 Sorti en 2013, BATMAN : Arkham Origins est le dernier opus de la trilogie des Batman Arkham sur console de 7ᵉ génération, et après un premier épisode d'anthologie, suivi d'un excellent second épisode porté par le scénario écrit par Paul Dini, c'est ainsi que Warner Bros Games remet le couvert pour un troisième épisode des aventures du Dark Knight. L’histoire se déroule bien avant les faits d’Arkham Asylum et d’Arkham City, alors que Bruce Wayne en est à ses débuts en tant que justicier masqué. C’est d’ailleurs durant cet épisode qu’il fera la connaissance de certains vilains. Dans ce troisième opus, Batman est donc un jeune justicier fraîchement débarqué dans Gotham City au point de ne pas être connu par le commissaire Gordon, qui lui n’est pas encore commissaire d’ailleurs. C’est donc la nuit du réveillon de Noël que Black Mask décide de s’échapper de Black Gates la prison officielle de Gotham, l’asile d’Arkham n’existant pas encore. Et comme cadeau de Noël, Black Mask décide de s’offrir la tête du nouveau héros en ville, à savoir Batman, et pour cela il invite quelques tueurs à chasser de la chauve-souris dans les rues de Gotham. Pour commencer, il est important de noter que tout ce qui a été découvert dans les deux premiers épisodes est toujours présent dans ce troisième opus. Cela signifie que vous disposez déjà de certains appareils qui ne devraient pas être accessibles. Même si c'est un détail, je trouve toujours ça un peu limite en termes de préquelle. Ainsi, au niveau du contenu, tout ce qui a contribué à l'attrait et à la réussite des épisodes antérieurs est toujours là : les casse-tête du Riddler, les missions secondaires d'enquête sur les malfaiteurs, les confrontations entre criminels et forces de l'ordre… Tout est conçu pour éviter l'ennui lorsque vous parcourez la ville du nord au sud et vice versa. Car, oui la map d'Arkham Origins est vraiment grande ! L'open world de la ville d'Arkham City a été reprise en y ajoutant quelques zones supplémentaires, ce qui oblige le joueur à effectuer des va-et-vient légèrement frustrants sur le long terme. Heureusement, le Batplane permet de déverrouiller les voyages rapides. Concernant le Batplane, il vous donnera également la possibilité d'accéder à la Batcave, où un Alfred toujours présent vous attend pour vous fournir des conseils et divers objets pendant le jeu. La Batcave sera votre salle d'entraînement et de défi, auparavant accessible via le menu dans les versions précédentes. C'est un excellent outil, car il vous aidera à gagner de l'expérience et à améliorer rapidement vos compétences. Il n'est plus nécessaire de traquer les malfaiteurs en pleine rue. Dans le scénario, le Chapelier Fou (Mad Hatter) reste en scène pour réutiliser d'anciennes séquences coupées des précédents volets, tandis que le Pingouin fait également son apparition pour nous fournir des indices utiles pour le déroulement de l'histoire. Évidemment, on ne manquera pas de croiser le Joker qui se positionnera en antagoniste de cette aventure, tout comme dans les deux premiers chapitres... bref, rien de surprenant à ce sujet. Pour être tout à fait clair, j'apprécie énormément le Joker, mais disons que l'univers de Batman est peuplé d'ennemis suffisamment captivants pour qu'on ne se contente pas toujours des mêmes. La bande-son est impeccable, l’ambiance géniale, fait ressentir une ville de Gotham City toujours aussi sombre. Pourtant, une fois de plus, il a fallu se contenter de reprendre les éléments de l'épisode précédent sans prendre plus de risques que cela. Concernant le gameplay, il n'y a pas grand-chose à redire. On reprend les mêmes éléments et on poursuit parce que ça marche bien. Les déplacements sont aisés et plaisants, malgré quelques mouvements de caméra légèrement frustrants. Les affrontements restent presque toujours aussi plaisants. Oui, c'est presque exact, sauf pour un petit détail qui a changé. Ce n'est pas grand-chose, mais quand on joue en mode difficile, on remarque que les adversaires sont beaucoup plus agressifs et ne vous laissent guère le temps de respirer. D'autant plus que l'esquive n'est plus aussi réactive qu'auparavant et ne permet plus d'interrompre certaines animations. BATMAN : Arkham Origins, troisième jeu et antépisode de la série Batman : Arkham initiée par Rocksteady. Assurément, le risque était de toute façon négligeable, étant donné la manière dont le studio québécois reproduit à la lettre BATMAN : Arkham City, l'un des titres les plus remarquables de cette génération. Il ne suffit pas d'être ordinaire pour tenter de reproduire la perfection, mais élaborer une intrigue et un rythme narratif dignes d'Arkham City représentait un défi considérable, sans aucun doute relevé avec succès. Comme en plus, Origins bénéficie d'un mode multi sympathique et d'une durée de vie immense pour être entièrement complété, Il n'y a pas de doute, ce Batman clôture parfaitement cette trilogie sur console de 7ᵉ génération. GOONIES and CopyCat 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Wednesday at 09:16 AM Share Posted Wednesday at 09:16 AM Il y a 4 heures, akumasan a dit : 🔰 Sorti en 2013, BATMAN : Arkham Origins est le dernier opus de la trilogie des Batman Arkham, et après un premier épisode d'anthologie, suivi d'un excellent second épisode porté par le scénario écrit par Paul Dini, c'est ainsi que Warner Bros Games remet le couvert pour un troisième épisode des aventures du Dark Knight. L’histoire se déroule bien avant les faits d’Arkham Asylum et d’Arkham City, alors que Bruce Wayne en est à ses débuts en tant que justicier masqué. C’est d’ailleurs durant cet épisode qu’il fera la connaissance de certains vilains. Dans ce troisième opus, Batman est donc un jeune justicier fraîchement débarqué dans Gotham City au point de ne pas être connu par le commissaire Gordon, qui lui n’est pas encore commissaire d’ailleurs. C’est donc la nuit du réveillon de Noël que Black Mask décide de s’échapper de Black Gates la prison officielle de Gotham, l’asile d’Arkham n’existant pas encore. Et comme cadeau de Noël, Black Mask décide de s’offrir la tête du nouveau héros en ville, à savoir Batman, et pour cela il invite quelques tueurs à chasser de la chauve-souris dans les rues de Gotham. Pour commencer, il est important de noter que tout ce qui a été découvert dans les deux premiers épisodes est toujours présent dans ce troisième opus. Cela signifie que vous disposez déjà de certains appareils qui ne devraient pas être accessibles. Même si c'est un détail, je trouve toujours ça un peu limite en termes de préquelle. Ainsi, au niveau du contenu, tout ce qui a contribué à l'attrait et à la réussite des épisodes antérieurs est toujours là : les casse-tête du Riddler, les missions secondaires d'enquête sur les malfaiteurs, les confrontations entre criminels et forces de l'ordre… Tout est conçu pour éviter l'ennui lorsque vous parcourez la ville du nord au sud et vice versa. Car, oui la map d'Arkham Origins est vraiment grande ! L'open world de la ville d'Arkham City a été reprise en y ajoutant quelques zones supplémentaires, ce qui oblige le joueur à effectuer des va-et-vient légèrement frustrants sur le long terme. Heureusement, le Batplane permet de déverrouiller les voyages rapides. Concernant le Batplane, il vous donnera également la possibilité d'accéder à la Batcave, où un Alfred toujours présent vous attend pour vous fournir des conseils et divers objets pendant le jeu. La Batcave sera votre salle d'entraînement et de défi, auparavant accessible via le menu dans les versions précédentes. C'est un excellent outil, car il vous aidera à gagner de l'expérience et à améliorer rapidement vos compétences. Il n'est plus nécessaire de traquer les malfaiteurs en pleine rue. Dans le scénario, le Chapelier Fou (Mad Hatter) reste en scène pour réutiliser d'anciennes séquences coupées des précédents volets, tandis que le Pingouin fait également son apparition pour nous fournir des indices utiles pour le déroulement de l'histoire. Évidemment, on ne manquera pas de croiser le Joker qui se positionnera en antagoniste de cette aventure, tout comme dans les deux premiers chapitres... bref, rien de surprenant à ce sujet. Pour être tout à fait clair, j'apprécie énormément le Joker, mais disons que l'univers de Batman est peuplé d'ennemis suffisamment captivants pour qu'on ne se contente pas toujours des mêmes. La bande-son est impeccable, l’ambiance géniale, fait ressentir une ville de Gotham City toujours aussi sombre. Pourtant, une fois de plus, il a fallu se contenter de reprendre les éléments de l'épisode précédent sans prendre plus de risques que cela. Concernant le gameplay, il n'y a pas grand-chose à redire. On reprend les mêmes éléments et on poursuit parce que ça marche bien. Les déplacements sont aisés et plaisants, malgré quelques mouvements de caméra légèrement frustrants. Les affrontements restent presque toujours aussi plaisants. Oui, c'est presque exact, sauf pour un petit détail qui a changé. Ce n'est pas grand-chose, mais quand on joue en mode difficile, on remarque que les adversaires sont beaucoup plus agressifs et ne vous laissent guère le temps de respirer. D'autant plus que l'esquive n'est plus aussi réactive qu'auparavant et ne permet plus d'interrompre certaines animations. BATMAN : Arkham Origins, troisième jeu et antépisode de la série Batman : Arkham initiée par Rocksteady. Assurément, le risque était de toute façon négligeable, étant donné la manière dont le studio québécois reproduit à la lettre BATMAN : Arkham City, l'un des titres les plus remarquables de cette génération. Il ne suffit pas d'être ordinaire pour tenter de reproduire la perfection, mais élaborer une intrigue et un rythme narratif dignes d'Arkham City représentait un défi considérable, sans aucun doute relevé avec succès. Comme en plus, Origins bénéficie d'un mode multi sympathique et d'une durée de vie immense pour être entièrement complété, Il n'y a pas de doute, ce Batman clôture parfaitement cette trilogie. Cette opus était super a faire et en vrai parmi les tueur engagé il en a ou le combat sera mythique a faire. Bon en vrai comme tu le dit et comme s'accorde a dire pas mal de critique d’ailleurs les studios de Warner Montreal se sont reposés sur le travail déjà fait de Rocksteady sur arkham city se qui fait qu'une bonne partie de la map ont la déjà fait la seul différence c'est que la map est plus propre et moins détruite car c'est pas encore arkham city. Un reproche que je ferai aussi c'est les données de l'homme mystère ta juste a ramassé les données par terre et plusieurs sont a la même place que les trophé d'arkham city et les tour sont simple a faire. Aussi c'est pas le dernier opus de la trilogie en faite la trilogie c'est vraiment asylum city et knight. Origine est vraiment considéré comme une prequel jusqu'au bout au point que que quand ont te vend la trilogie c'est toujours les 3 autres jamais celui ci. akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Wednesday at 02:41 PM Share Posted Wednesday at 02:41 PM Après les 3 opus sur GBA je passe au 1er opus sur ps2 Castlevania: Lament of Innocence le jeu se passe en 1094 soit 376 ans avant que trevor soit le 1er belmont a vaincre dracula. Pour se préquel ont incarnera léon belmont le 1er belmont a brandir le fouet vampire killer. Gameplays alors vu le passage en 3d le gameplays va bien évidemment changé sa devient donc sur la ps2 un Hack 'n' slash asser basique. Vous aurez comme arme principal le fouet et les habituel armes secondaire de la série. Pour avoir de la variation de gameplays après avoir vaincu un boss vous obtiendrez un orbe qui permettra de modifier les armes secondaire (le simple poignard passant d'un simple lancer de poignard a des poignard a tète chercheuse voir a une boule de feu géante) ou pour avoir un fouet différent certain ennemis optionnel pourront être vaincu pour avoir un fouet élémentaire. Pour se qui est des mouvement vous commencerez avec des enchaînement basique et vous en obtiendrez de nouveau a force de varié les enchaînement du coup utilisez différent mouvement sinon vous allez passé la partie avec les mouvement basique et sa vous posera de problème contre certain boss ou faut être rapide. Vous pouvez obtenir des relique avec divers effet(simple enflamment de la ou vous marchez a la regénération pogressive de la santé) ses relique fonctionne avec la magie que vous ne pourrez obtenir soit en faisant une parade parfaite soit en parant une attaque magique des ennemis. Malgré quelque mauvais placement de caméra contre les ennemis normal qui fait que vous les verrez pas forcément venir le jeu est très maniable. Pour les niveau alors celui qui c'est occupé de se jeu est le même qui c'est occupé des metroidvania sur GBA se qui fait qu'il a tenté de faire le même principe dans cette opus vous aurez donc des niveau labyrinthique mais en vrai dans se jeu vous allez du coup comme moi je pense regarder la carte toute les minute car chaque couloir se ressemble et merci qu'il a une carte qui se remplie au fur et a mesure car sinon je me serai perdu et j'aurai tourné en rond pendant des heure. Le principe des niveau sont asser simple a comprendre une fois rentré dans une nouvelle pièce elle se verrouillera et vous devriez battre les ennemis pour passé vous aurez aussi dans chaque map des petite énigme mais rien de bien méchant juste tiré des levier ou dans un niveau apporté un artefact pour que le boss se réveille. Au début du jeu vous aurez 5 téléporteur le 1er sera le même a chaque nouvel partie mais pour les 4 autre vous pourrez les emprunté dans l'ordre qui vous semble si une zone vous semble trop dur quittez la et revenez plus tard car si vous avez du mal dans la zone en elle même les boss ne vous ferons pas de cadeau. Pour les ennemis il aura de la variété même si certain ennemis auront juste un sprite un peu différent il auront une mécanique de gameplays différent se qui fait que vous ne devriez pas vous lassez des affrontement qui sont quand même régulier dans cette opus. Pour les boss chacun a une mécanique de gameplays a lui et serons selon les enchaînement et les armes secondaire que vous avez pris facile ou au contraire asser dur a géré. Perso vu ma partie je pense avoir fait les boss dans l'ordre le moins optimal avec les 5 1er boss ou le second ma donné du mal (j'aurai du le faire en dernier en vrai). Prévoyez toujours un gros stock de potion et n'oubliez pas a chaque fin de niveau d'aller chez le marchant pour vous remettre a niveau. Les musique donne bien l'ambiance même s'il en a qui sont reprise d'autre opus Koji Igarashi le producteur de la série depuis les épisode GBA a essayé d'en créé de nouvel pour faire peau neuve. Constat se castlevania en 3d pour moi passe mieux le coche que les opus sur nintendo 64 avec une meilleur maniabilité et aussi son histoire qui nous fait voir l'origine d'énormément d'élément de la série. Bémol pour moi c'est que celui qui a fait le jeu comme dis précédemment a tenté de faire un metroivania en 3d se qui fonctionne moyen car du coup autant en 2d les différente pièce et niveau ont un cachet et des élément unique autant en 3d vous aurez l'impression d'avoir les même décor et les même couloir (le 1er niveau qui a des tonne de pièce avec un piano qui a besoin d'autant de piano dans un seul endroit). Pour la caméra alors elle est automatique se qui fait que selon l'endroit ou vous êtes sa posera quelque petit problème mais la solution est simple mettez vous au milieux de la pièce comme sa vous aurez une large zone avec la caméra. Un bon jeu que j'ai fait asser rapidement (j'ai fait 100% de la carte et des boss optionel en un peu pret 9h30). Pour ceux qui ont l'habitude des Hack 'n' slash se jeu devrai être asser simple pour les autre se jeu peu être une bonne entré mais vous allez souvent mourir avant de maîtrisé le jeu. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted Thursday at 11:33 PM Share Posted Thursday at 11:33 PM 🔰 Sorti le 26 septembre 2025, NBA BOUNCE est le fruit de la collaboration entre Unfinished Pixel et Outright Games pour nous offre un jeu de basket arcade accessible à tous. NBA BOUNCE est un jeu de basket jouent sur la fibre nostalgique que procurait NBA JAM. Parmi les amateurs de basket et de jeux vidéo, personne ne prétendra que NBA JAM ne lui manque pas, car ce jeu était une pure source d'amusement, du basket arcade tel qu'on n'en voit plus. Néanmoins, NBA BOUNCE est à des années lumières d'un NBA 2K Playgrounds qui représente pour moi le summum du jeu basket façon NBA JAM. Révélation NBA BOUNCE nous offre l'ensemble des équipes de la ligue, toujours divisées entre l'est et l'ouest. Cependant, ne vous attendez pas à voir les vedettes de la NBA, car elles ont été remplacées par des athlètes à la manière de Pinypoon, mais avec une personnalisation illimitée possible. Mais en bonus, toutes les mascottes officielles des équipes peuvent être aisément déverrouillées et utilisées dans le jeu. Dans NBA BOUNCE, les mascottes ne se contentent plus d'un rôle ornemental pendant les quarts temps, puisqu'elles sont désormais jouables et possèdent la capacité de dunker, contrer et intercepter comme aucun autre joueur. En d'autres termes, les mascottes sont surboostées ! Qui dit arcade, dit absence de règles, et NBA BOUNCE s'en passe très bien. Tout est conçu pour garantir une action rapide ; par conséquent, les quarts temps restent très brefs, bien que modifiables, et varient d'une minute trente à cinq minutes. La shot clock a été réduit à douze secondes et les retours dans la zone ne sont plus pénalisés. Les fautes ont également disparu, la touche d’interception fonctionne à plein régime afin de piquer la possession à l’adversaire, mais pas à la manière de NBA JAM dans lequel on pouvait carrément mettre l’autre à terre, ici, c’est plus soft. Une fois affranchis de tout ce qui peut nuire à la fluidité d’un match, les Dunks et Alley-oops s’enchaînent à un rythme effréné. Bien que NBA BOUNCE ne présente pas de vrais joueurs, il est possible de jouer avec des personnages prédéfinis ou de se créer des joueurs grâce à une grande quantité d’outils de customisation. Il y a plus de deux cents objets cosmétiques à utiliser comme des maillots, chaussures, chapeaux, lunettes ou encore ballons. De nombreuses options pour customiser les visages ou la couleur de peau sont également disponibles. Bien que les items disponibles sont assez conséquents au début du jeu, la plupart sont à débloquer en réalisant des défis ou en progressant dans les modes saison et tournois. Il est évident que NBA BOUNCE ne vise pas principalement les adeptes de simulation de NBA 2K. Effectivement, avec son ambiance de dessin animé, ses commandes très intuitives et son large éventail d'objets cosmétiques à déverrouiller, il s'adresse davantage à un public plus jeune. Cependant, bien que le jeu semble simple à première vue, l'introduction de gestes plus sophistiqués rend le jeu plus captivant une fois les commandes maîtrisées. Même si les Alley-oops et contres, qui requièrent l'utilisation simultanée de deux boutons, ainsi que les feintes et les tirs à distance, qui demandent une bonne synchronisation, peuvent sembler faciles pour un joueur de jeux vidéo expérimenté, ils représentent un défi bien plus grand pour de jeunes enfants. Le niveau de difficulté peut varier considérablement. Le mode « débutant » donne l'illusion que le jeu est excessivement facile, tandis que le niveau « avancé » paraît injouable. Effectivement, l'IA agit en interceptant tout d'un coup et en réalisant des tirs qui semblent impossibles. Je conseil donc le niveau « pro » permet d’avoir un certain équilibre qui pourra plaire aux joueurs expérimentés. Toutefois, le saut des personnages n’est pas fluide et est difficile à juger, ainsi, il n’est pas évident de bien se positionner pour contrer ou prendre un rebond. C’est vraiment le seul point négatif du gameplay de NBA BOUNCE. Je n'avais pas prévu de me divertir avec NBA BOUNCE, je le percevais uniquement comme une pâle imitation de NBA JAM. Eh bien, j'avais tort, car bien que certaines actions comme les Alley-oops doubles ou le bris de plexiglas suite à un Dunk violent fassent défaut, j'ai grandement apprécié de m'initier aux parquets avec mes potes. Effectivement, bien que j'aie initialement passé du temps à jouer en solo pour débloquer des cosmétiques et spécialement les mascottes, le jeu acquiert une tout autre dimension lorsque l'on y joue à quatre potes. Gaga46, GOONIES and CopyCat 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
GOONIES Posted Friday at 09:30 PM Share Posted Friday at 09:30 PM NBA Jam c etait quand super trop chouette !!! akumasan 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted yesterday at 10:26 AM Share Posted yesterday at 10:26 AM 🔰 Sorti le 14 août 2020, SAMURAI JACK : Battle Through Time est un jeu d'action-aventure développé par le studio Soleil, basé sur la série télévisée d'animation créée par Genndy Tartakovsky en 2001. Le jeu propose une trame narrative alternative se déroulent durant la saison finale de la série. Ce nouveau Samurai Jack offre au joueur la possibilité de traverser le temps pour combattre définitivement le démon nommé Aku. Le jeu prend place quand Jack, séparé de sa dulcinée Ashi et projeté dans un univers hors du temps. Dans cette dimension alternative, il est obligé de revivre certaines de ses plus célèbres aventures de la série animée, mais avec de nouveaux rebondissements. Dès le départ, on ressent que c'est un jeu conçu par des passionnés, pour des passionnés. Une attention toute particulière est portée aux visuels, les modèles 3D capturant presque parfaitement l'aspect de la série animée. Jack lui-même est exactement comme on peut s'y attendre, avec sa coiffure et son kimono qui font de lui le personnage que l'on connait. Au fur et à mesure de vos combats, Jack prendra des dégâts et, par ce fait, il changera d'apparence avec des vêtements déchirés et sa coiffure changera. Encore une fois, tout comme dans la série elle-même. L'expérience est renforcée par le fait que les voix originales ont prêté leur talent à SAMURAI JACK : Battle Through Time. Cela signifie que lorsqu'Aku se moque de Jack ou que l'Écossais fait une apparition, on a l'impression de regarder un épisode de la série, mais avec le bonus supplémentaire de participer soi-même à l'action. Côté gameplay, les combats sont d'une telle profondeur, grâce à un mélange de compétences évolutives et d'une impressionnante gestion des armes. Tout au long du jeu, vaincre les ennemis permet de gagner des compétences, qui sont utilisées pour améliorer votre barre de santé, ajouter de nouveaux combos et des emplacements d'armes supplémentaires. Le jeu devient un peu plus complexe lorsque vous ajoutez le Bushido, qui est une monnaie plus rare, utilisée pour acquérir de nouvelles compétences au fur et à mesure de votre progression. Une fois que vous commencez à ajouter les différents joyaux nécessaires pour débloquer les niveaux les plus élevés, cela rend Jack totalement cheaté, mais c'est tellement jouissif. Comme dans la série, l'arme principale de Jack est son katana magique, mais il est également connu pour en utiliser d'autres lorsque c'est nécessaire. SAMURAI JACK : Battle Through Time n'est pas différent, car vous pouvez manier jusqu'à trois autres armes de mêlée, en les assignant à une direction sur le D-PAD, ce qui vous permet de les activer à la volée. Les lances et les haches offrent une portée supplémentaire, ce qui peut être utile lorsque vous êtes encerclé lors de combats particulièrement importants. Il existe aussi des marteaux, ainsi que des armes à distance comme les arcs, les shurikens et même des revolvers, qui ont tous leurs propres forces et faiblesses lors des combats. Cependant, il semble qu'il y ait un déséquilibre significatif dans la difficulté des adversaires. Durant ma première partie, les sections initiales étaient un véritable jeu d'enfant, alors que la partie centrale de la campagne me donnait l'impression de jouer à un niveau de difficulté totalement différent. Ce qui n'était pas une courbe de difficulté normale et attendue dans ce genre de jeu. Côté graphismes, les changements d'environnement lorsque Jack voyage dans le temps sont vraiment impressionnants. On prend vraiment du plaisir à admirer les paysages diversifiés dont les teintes dominantes évoluent constamment. Une chose est certaine, le studio Soleil a su capturer fidèlement l'atmosphère et le style de la série animée. Il est d'ailleurs difficile de ne pas avoir les yeux écarquillés lorsque l'on voit pour la première fois les personnages de la série modélisés en 3D, plus beaux que jamais, car il y a un tel écart visuel entre SAMURAI JACK : The Shadow of Aku, sorti en 2004 sur PlayStation 2 et GameCube, et ce SAMURAI JACK : Battle Through Time de 2020 ! Tout cela me rappelle que tous les bons jeux ne doivent pas nécessairement être conçus comme des super productions pour fonctionner. Parfois, une direction artistique plus simple est une bonne voie à suivre et elle peut être tout aussi élégante et tout aussi enrichissante. SAMURAI JACK : Battle Through Time n'est pas seulement un excellent jeu à licence, ce qui est assez rare, c'est aussi un excellent jeu d'action à part entière. C'est pour cela que je vous le conseille fortement ! Aflow and GOONIES 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted yesterday at 11:54 AM Share Posted yesterday at 11:54 AM il y a une heure, akumasan a dit : Jack lui-même est exactement comme on peut s'y attendre, avec sa coiffure et son kimono qui font de lui le personnage que l'on connait. En matière de personnage, j'ai une autre vision de Rotschild.......350 E la bouteille!!!! 🤪 Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted yesterday at 11:58 AM Share Posted yesterday at 11:58 AM Tu as du te trompé de topic Minou car je ne vois pas le rapport avec ma vidéo sur SAMURAI JACK : Battle Through Time ??? Link to comment Share on other sites More sharing options...
Minou33 Posted yesterday at 12:40 PM Share Posted yesterday at 12:40 PM il y a 41 minutes, akumasan a dit : je ne vois pas le rapport avec ma vidéo sur SAMURAI JACK : Battle Through Time ??? Et à 3.24 mn de ta vidéo, y'a quoi????????? Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted yesterday at 01:35 PM Share Posted yesterday at 01:35 PM il y a 53 minutes, Minou33 a dit : Et à 3.24 mn de ta vidéo, y'a quoi????????? Ah, oui, d'accord ! C'est tordu comme délire, mais je comprends mieux le pourquoi d'une bouteille de vin Philippe de Rothschild. Link to comment Share on other sites More sharing options...
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