Douii75 Posted August 31 Share Posted August 31 J'ai résolu le truc . On peu tout simplement pas à joué à deux (dans la même pièce) quelques soit le jeux ... Gaga46 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Gaga46 Posted August 31 Share Posted August 31 Il y a 2 heures, Douii75 a dit : pourtant nous avons 2 manettes et une seule est détecter sur ce jeux ,FRUSTRATION ENORME. Y a t-il un réglage ou paramétrage a faire? sa sera bien si quelqu'un pouvais m'en informer sa sera top en cloud, il est impossible de jouer à plusieurs sur un seul pc. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted September 1 Share Posted September 1 Je suis depuis ce matin sur le dernier River City Ransom appelé sobrement STAY COOL, KOBAYASHI-SAN : A RIVER CITY RANSOM STORY. Le jeu est développé par Arc System Works, ce qui assure un gage de qualité. ^^ Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted Tuesday at 10:45 AM Share Posted Tuesday at 10:45 AM 🔰 Sorti le 14 juin 2024, MONSTER HUNTER : Stories vous plonge dans l'univers de MONSTER HUNTER à travers un RPG conçu pour avoir une apparence semblable à celle d'un Pokémon. Vous ne traquez plus les monstres, vous les élevez désormais ! Cette histoire qui met à l'honneur les Riders, et à l'instar de la majorité des jeux de la franchise de Capcom, l'intrigue de Monster Hunter Stories débute dans un modeste village du nom d'Hakum. Cependant, la comparaison avec un MONSTER HUNTER dit "Classique" s'arrête là, car il ne s'agit pas d'une communauté de chasseurs, mais de personnes cohabitant en paix avec les créatures. En exploitant le potentiel d'une gemme de camaraderie capable d'établir une connexion avec les monstres, ou Monsties, et de combattre à leurs côtés plutôt que de les traquer. On désigne ces individus sous le titre de Riders et non pas dresseurs, le terme étant déjà utilisé pour les personnages de Pokémon. Dès le départ, l'histoire prend une sombre tournure lorsqu’un monstre atteint d’un mystérieux mal va saccager le village d’Hakum et mettre fin à la vie de certains habitants. Un an après cet événement tragique, nous sommes officiellement en train de passer notre examen de Rider. En attrapant notre premier Monstie, nous faisons la connaissance de Navirou, un Félyne plutôt spécial qui deviendra rapidement notre compagnon tout au long de notre périple. C'est ainsi que débute notre vaste aventure dans MONSTER HUNTER : Stories, premier du titre, visant à délivrer le monde de ce fléau redoutable en devenant le Cavalier prédit par une légende d'une époque révolue. Une fois cette assez longue introduction passée, il est donc temps pour nous et nos Monsties de partir à l’aventure, juchés sur leur dos. Notons d’ailleurs à ce sujet que, en fonction du monstre choisi, nous serons en mesure de nous déplacer plus vite, de nager, de grimper vers des lieux en hauteur ou encore de voler. Déjà dans l’exploration, les bêtes qui nous accompagnent se montrent indispensables. Nous allons ainsi pouvoir nous balader assez librement dans plusieurs zones ouvertes garnies de monstres à affronter et de ressources à récolter. Outre l’histoire principale, ces activités vont nous occuper une très grande partie du temps. Pour monter en expérience et rassembler les éléments nécessaires pour fabriquer armes et armures pour notre personnage et différents objets de soin et de soutien pour notre équipe, nous serons littéralement abreuvés de quêtes dites « FedEx ». À savoir vaincre des monstres, ramasser des composants, et autres objectifs de cet acabit. La formule est certes bien connue dans les jeux MONSTER HUNTER, mais devient ici quelque peu lassante. C'est en partie en raison de combats qui n’ont malheureusement pas le panache des jeux originaux. On retrouve en revanche le côté « Theory Crafting » propre à la licence s’agissant d’équiper notre personnage avec des armes et armures dotées de statistiques qui nous rendront plus performants face à des catégories données de monstres, mais de manière plus simplifiée pour rendre le titre plus accessible qu'un MONSTER HUNTER classique. Tout comme dans un Pokémon, un autre aspect majeur de MONSTER HUNTER : Stories est clairement la possibilité de recueillir des Monsties et d'accroître leur puissance. D'une certaine manière, c'est un rêve de fans de la saga qui se concrétise car qui n'a jamais souhaité posséder un Rathalos ou un Nargacuga à ses côtés, et cela devient envisageable dans cette déclinaison. Toutefois, ce rêve d'enfant peut ne pas correspondre aux attentes, en fonction de l'attrait individuel pour ce type d'activités. La capture de Monsties, tout comme la collecte de ressources et le farming de monstres pour les quêtes secondaires, peuvent à terme se transformer en un véritable défi. Toutefois, ceux qui apprécient ce genre de mécaniques seront satisfaits. Comparativement à la version originale lancée sur Nintendo 3DS, ce MONSTER HUNTER : Stories profite d’une remastérisation plutôt efficace, afin de compléter la formule avec sa suite, MONSTER HUNTER : Wings of Ruin. Les amateurs de RPG à la Pokémon y trouveront de nombreuses heures de plaisir à prendre soin de leurs Monsties et à se monter une équipe de rêve, une sorte de réalisation d’un fantasme pour les fans de la franchise originale de Capcom. Malheureusement, ce spin-off s’est montré pour moi un peu trop rébarbatif et redondant dans sa structure et ses mécaniques, et manque quelque peu de panache par rapport aux MONSTER HUNTER classiques centrés sur la chasse. En effet, malgré une grosse amélioration des textures, la compatibilité avec les résolutions modernes, l'inclusion de tous les DLC, un doublage en anglais ou en japonais et une frame rate à 60 fp/s, le jeu demeure identique à la version initialement sortie sur la console portable de Nintendo. En somme, cette version remasterisée de MONSTER HUNTER : Stories se contente d’aller à l’essentiel sans y rajouter de grosses nouveautés qui auraient été les bienvenues. Aflow and CopyCat 1 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Tuesday at 06:40 PM Share Posted Tuesday at 06:40 PM Castlevania : Legacy of Darkness sur nintendo 64 alors du coup cette opus plutôt qu'une suite c'est plus une director cut de castlevania 64 ont a tout se qu'avait déjà castlevania 64 mais avec des rajout et de nombreuse amélioration. Les rajout sont d'ordre technique pour les bug ainsi que la caméra qui a été amélioré ainsi que 2 scénario supplémentaire du coup en plus de Reinhardt Schneider et Carrie Fernandez ont pourra jouer avec Cornell un homme bête ainsi qu'avec Henri Oldrey un chevalier sacré munie d'un pistolet. Gameplays étant une director cut de la gameplays est majoritaire pareil pour Reinhardt et Carrie mais les amélioration de cette version rende la visé bien plus simple et moins brouillon que sa version précédente. Pour Cornell il combat au corps a corps mais a quand même une attaque onde de choc a mi distance qui est asser puissante et le fait que vous pourrez vous changez en homme loup. Henry qu'en a lui possède une arme a feu qui fait fondre la vie des ennemis comme neige au soleil. Petit plus pour cette opus si vous récupéré plusieurs fois la même arme secondaire vous pourrez utilisé une version plus puissante de cette arme a chaque fois ( si vous récupéré 2 hache par exemple la hache aura un éclair quand il atteins la cible et la zone d'effet sera plus grande). Comme dis précédemment le principal soucis la caméra a été majoritairement réglé pour cette version lors de pas mal de passage vous aurez une caméra automatique se qui vous facilitera la tache. Pour les niveau alors certain niveau comme la foret garderont les même texture et gameplays mais seront un peu modifier d'autre seront par contre exactement les même. Il a aussi de nouveau niveau dans cette opus comme le mur extérieur. Pour le scénario de Cornell et Henry les niveau similaire de Reinhardt et Carrie seront fait d'une façon différente les clef et les objet seront mis dans une disposition différente ainsi que de nouvel énigme. Niveau ennemis comme la version précédente chaque perso a ses point fort et faible selon les ennemis a vous de vous adaptez. Le vendeur apparaît toujours en 1er au même endroit a la villa Les boss il a des boss supplémentaire pour l'histoire de Cornell ainsi que 2 boss supplémentaire pour Reinhardt et Carrie grace a la caméra amélioré les soucis de certain boss qui rendait leur attaque difficile a évité sont réglé. Mention spécial au dracula qu'affronte Cornell c'était surement lui le boss le plus dur du jeu. Les histoire de Reinhardt et Carrie malgré quelque ajout reste inchangé pour Henry son histoire est plus une quête bonus qui se passe en même temps que celle de Reinhardt et Carrie. Pour Cornell son histoire se passera 8 ans plus tôt et expliquera pas mal de chose qui n'était pas expliqué dans les scénario de Reinhardt et Carrie. Constat alors se jeu améliore beaucoup la version précédente et corrige pas mal de défaut néanmoins certain défaut sont resté comme la traduction française un peu foireuse ta même une fois dans le scénario de Cornell ou sa passe du français a l'allemand et le fait que le jeu est asser court même avec les rajout. Mais bon a faire au moins une fois. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Thursday at 09:39 AM Share Posted Thursday at 09:39 AM J'ai tester la démo de castlevania résurrection alors c'est marrant les belmont ont souvent été des tank mais la dans cette démo je crois que c'est le summum elle pese quoi 50 kilo tous mouillé? et pourtant elle est asser lente et niveau saut c'est pas bien haut et le fouet c'est comme les 1er opus sur nes le temps qu'elle utilise pour utiliser le fouet. Je note que cette belmont sonia et ben elle joue de malchance pour ses opus celui sur gameboy ou elle apparait la 1er fois c'était l'opus de trop sur cette console et au final son histoire est hors chronologie et sur cette opus la par contre c'est tous simplement l'annulation. En vrai je me demande se que cette opus sur dreamcast aurai pu donné cette console aura vraiment pas eu de chance. Gaga46 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
nogoodnameleft Posted Thursday at 04:15 PM Share Posted Thursday at 04:15 PM Il y a 6 heures, Ienzo100 a dit : J'ai tester la démo de castlevania résurrection A quoi sert le sablier avec le chrono ? Quand il arrive a 0, il repart à 99s. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Thursday at 04:23 PM Share Posted Thursday at 04:23 PM Castlevania Chronicles sur ps1 alors c'est en fait le portage Akumajō Dracula sortie sur Sharp X68000. Se jeu reprend donc la version sur sharp X68000 ainsi qu'une version exclusif a la Playstation qui s'appelle arranged mode. Du coup ayant déjà donné mon avis sur la version original je vais juste me concentré sur les différence de l'arranged mode. Pour faire simple se mode reprend la majorité du jeu sans trop de différence graphique mis a part les sprite de simon et de dracula qui sont amélioré et les musique du jeu qui sont un légèrement différente. Le principal ajout est sont deux cinématique en 3D de début et de fin qui montreront la résurrection de dracula ainsi que la destruction du château. Cette version a aussi été rendu plus facile pour les nouveau joueur les ennemis et les boss feront moins de dégât. Comme je l'avais dis la version original est pour ceux qui aime la difficulté et les castlevania des 1er heure et la version arranged est faite pour rendre le jeu plus accessible au nouveau joueur. Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ienzo100 Posted Thursday at 04:27 PM Share Posted Thursday at 04:27 PM il y a 10 minutes, nogoodnameleft a dit : A quoi sert le sablier avec le chrono ? Quand il arrive a 0, il repart à 99s. A rien c'était sans doute une fonction qu'il allait rajouté plus tard. Et je pense pas que c'était le temp pour finir le niveau en vrai c'est beaucoup trop court. Link to comment Share on other sites More sharing options...
akumasan Posted 19 hours ago Share Posted 19 hours ago 🔰 Sorti le 31 mars 2006, OutRun 2006 : Coast 2 Coast est un jeu vidéo de course automobile, développé par Sumo Digital et édité par SEGA, sorti sur console de sixième génération et PC. Souvenez-vous, en 1986 sortait un jeu de voiture qui allait révolutionner à jamais les courses automobiles en arcade et sur console. Classe, moderne et hyper fun à jouer, OutRun donnait un nouveau souffle au genre et installait SEGA comme l’un des tous grands éditeurs de jeux d’arcade. Jamais en retard d’une guerre lorsqu’il s’agit d’exhumer une antique légende du jeu vidéo, l’éditeur japonais s’était fendu d’un OutRun 2 sur Xbox en 2004, qui était parvenu à rendre classe à nouveau le fait de tracer le long d’une plage en F-40 en écoutant une scie au synthé Bontempi à fond la caisse. Deux ans plus tard, c’est au tour d’un OutRun 2006 de venir pointer le bout de son cheval cabré sur tous les autres supports disponibles, sous le fallacieux prétexte de fêter dignement les 20 ans d’existence d’une des plus célèbres courses automobiles de l’histoire du jeu vidéo. OutRun 2006 étant officiellement patronné par Ferrari, le joueur se verra offrir l’opportunité de piloter une dizaine de bolides de la célèbre marque italienne au lieu de la sempiternelle Testarossa rouge décapotable. Par ailleurs, peu de choses ont changé au niveau du fond si ce n’est le chemin technologique parcouru en deux décennies. On retrouve d’ailleurs le mode classique du premier OutRun, qui vous propose un parcours de cinq étapes exotiques avec la possibilité de choisir le parcours suivant à chaque fin d’étape, en choisissant son chemin à l’intersection. En ce qui concerne les autres modes de jeu, tout ce qu’on est en droit d’attendre d’un jeu de voitures qui se respecte est bel et bien présent, disponible dès le départ ou déblocable au fur et à mesure des victoires engrangées : mini-défis de deux étapes, courses en mode miroir ou contre la montre, grande course de 15 étapes successives, en somme rien de bien original, mais c’est le moins qu’on puisse attendre d’un jeu de course moderne. Le seul mode à retenir l’attention par son côté décalé est le mode coup de cœur. Dans cette série de parcours supplémentaires, outre le fait de boucler l’étape dans les temps, il faudra satisfaire les caprices de votre greluche de passagère, qu’il s’agisse de slalomer entre les véhicules, de se livrer à des dérapages contrôlés, de rouler sur une portion précise de la route ou de percuter des cônes de signalisation. Voici 20 ans, OutRun offrait un visuel éblouissant, avec des éléments variés en bord de route, des arrière-plans colorés et une volonté totale de donner dans l’exotisme. OutRun 2006 ne vise pas autre chose, et vous fera rouler à travers les luxueuses plages californiennes, le désert du Nevada, les ruines amérindiennes envahies de brume, San Francisco, Las Vegas ou encore Paris. À grands renforts de dénivelés vertigineux et de virages serrés, OutRun 2006 s’efforce d’offrir des panoramas impressionnants sur les décors. Et il y a arrive plutôt bien, puisqu’on retire une bonne impression générale de sa réalisation technique. Il s’agit d’une prouesse car, en y regardant de plus près, il ne vaut techniquement pas grand-chose ou en tout cas, se montre indigne d’un jeu de course sur PC cuvée 2006. OutRun est un pur jeu d’arcade, et les véhicules sont très simples à maîtriser une fois qu’on a compris les deux ou trois astuces qui permettent de ne jamais sortir de la route. En dehors de cet élément, courses et épreuves sont suffisamment nombreuses pour qu’on reste quelque temps dessus? Les mélodies d’origine et une poignée de nouveautés ont été réinstrumentées. Évidemment, on retrouve l'OST de OutRun avec ses synth-pop/surf music/new wave du milieu des années 80's. Peu importe si l'on aime ou pas car la nostalgie, ça ne s’explique et ne se justifie pas. Trente-neuf ans après la sortie du jeu d’origine, OutRun 2006 reste OutRun, un soft qui carbure à la nostalgie pour convaincre un nouveau public n'ayant pas connu le jeu en 1986. Objectivement, cette mouture 2006 garde son gameplay arcade d'antan dont on fait rapidement le tour. Et pourtant, OutRun 2006 reste hyper fun à jouer, justement grâce à ce genre de gameplay qu’on parvient à prendre en main en deux secondes chrono. Comme quoi, l’idée de piloter un bolide de parvenus dans des décors totalement fantaisistes possédait de sacrées potentialités de séduction et cela dès le départ. Aflow 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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