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🔰 Sorti le 10/09/2024, « Last Time I Saw You » raconte l'histoire d'Ayumi est un jeune garçon qui vit au Japon, dans les années 80.

Tout commence dans une petite ville où des activités paranormales se produisent et hantent les nuits d'Ayumi. Un flot de pluie constant dû à un typhon menace le mode de vie de chacun, les rêves d'une jeune fille tentant le jeune garçon dans la forêt isolée sont persistants et, pour couronner le tout, tout et tout le monde autour de lui semblent devenir trop surréalistes.

 

Voici mon test de « Last Time I Saw You », un jeu d'aventure narratif avec des éléments de plateforme et de combat légers, développé par Maboroshi Artworks et publié par Chorus Worldwide.

 

Dans « Last Time I Saw You » le joueur incarnent Ayumi, un jeune garçon de 12 ans pas plus grand qu'une plante d'intérieur et qui n'a pas beaucoup d'ambitions. Mais il a des rêves si vivants qu'on dirait que quelqu'un l'appelle. En particulier, les visions d'une jeune femme drapée dans une robe noire ont tellement piqué sa curiosité que son cœur a fait un bond sans le savoir.

Ce qui suit est une histoire sur les premiers amours, l'honnêteté envers soi-même et envers les gens que l'on connaît et que l'on aime, et l'apprentissage de la capacité à surmonter des événements qui ont brisé l'avenir de beaucoup. L'histoire d'Ayumi est bien rythmée, car elle est un ensemble de blessures qu'il s'inflige lui-même, qu'il veut réparer ou du moins, qu'il essaie de réparer, mais qu'il ne parvient qu'à aggraver.

 

Ces défauts sont également exacerbés par les habitants du village qui placent beaucoup d'attentes sur le petit garçon.

« Last Time I Saw You » décrit des relations qui sont souvent un peu trop liées par des présomptions plutôt que par des discussions, du moins, jusqu'à ce qu'elles explosent, et j'ai pensé que le scénario du jeu fait un excellent travail en soulignant non seulement les défauts d'Ayumi, mais aussi ceux de ses amis, de ses parents, des habitants du village, et même des esprits de la forêt eux-mêmes, alors que vous êtes témoin de leurs histoires au cours des dix jours de jeu.

 

Ayumi entrera et sortira de sa maison, assumant les tâches de ses parents, des habitants et des esprits qui résident dans la forêt oubliée d'Amatsu.

Chaque jour, non seulement le récit global progresse avec Ayumi et lorsqu'il rencontre finalement la jeune femme de ses rêves, Ami, mais aussi avec les habitants de la ville et leurs problèmes et méandres. Ne, vous n'y trompez pas, cependant, leurs problèmes deviendront les vôtres et vous aurez bientôt une petite liste de choses à faire lorsque vous sauterez entre Amatsu et la forêt.

 

Ayumi porte toujours avec lui sa batte de confiance, qui lui sera très utile pour combattre les esprits maudits et détruire les vieux arbres usés.

Sérieusement, cette batte est très puissante pour une petite chose en bois, je suppose qu'ils ne les fabriquent plus comme avant.

Mais je m'égare, vous allez principalement balancer cette chose et sauter dans la forêt.

Cet endroit abrite de nombreuses choses connues qui sont maintenant devenues secrètes, notamment les yokai, ou esprits qui résident ici. Vous discuterez avec eux, découvrirez leur lien avec Amatsu et les aiderez à vous aider dans votre quête avec Ami pour dissiper une malédiction qui menace la ville.

 

L'une des choses qui m'a vraiment attiré dans « Last Time I Saw You » c'est ses graphisme 2D digne d'un film d'animation Japonais. Chaque élément de ce jeu est dessiné à la main, jusqu'aux animations.

Le rendu est vraiment sympa, grâce à une palette de couleurs agréable, des éléments en haute résolution et une bonne utilisation du grain du film et d'autres filtres pour améliorer la présentation.

Les effets de pluie sont particulièrement jolis, et je ne peux qu'imaginer le temps qu'il a fallu pour y parvenir. Le jeu est également accompagné d'une bande-son Lo-Fi, et fidèle à son genre, vous ne la remarquerez pas vraiment. Mais c'est une chose agréable à écouter sur le moment.

 

Le contrôle du personnage d'Ayumi est solide et il est facile à contrôler. La batte a un swing rapide à trois combos ainsi qu'un uppercut pour une attaque sautée.

Mais cela n'a pas vraiment d'importance, car il n'y a qu'un seul type d'ennemi dans le jeu et ils se présentent rarement au départ.

De plus, Ayumi ne peut pas s'accrocher aux échelles en sautant sur celle-ci, vous devrez marcher et déclencher l'invite pour grimper, ce qui est un peu dommage

 

Avec son style artistique dessiné à la main, son scénario profond et rempli d'émotion, dans une exploration immersive au cœur du Japon des années 80.

Que vous soyez un joueur chevronné ou un amateur d’histoires captivantes, « Last Time I Saw You » offre une expérience que vous ne voudrez pas manquer.

Préparez-vous à être touché par une histoire poignante et à être ébloui par un visuel stupéfiant.

 

Je dédicace ce let's play à Aflow.

 

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Il y a 21 heures, akumasan a dit :

CTR c'est un must have de la PSone et je le préfère de loin à Mario Kart.

C'est le Mario Kart de la PS1 oui. 

Sinon il y a les Wipeout qui sont pas mauvais, mais il faut plusieurs PS1 pour y jouer en multijoueur.  C'est un mélange entre F-Zero et Mario Kart. 

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Il y a 8 heures, akumasan a dit :

Je dédicace ce let's play à Aflow.

Merci pour la découverte et pour la dédicace aku ! Ca fait plaiz'

Cette expérience de jeu pourrait m'intéresser si j'avais la Xbox One.

Je reviendrai réagir demain...

Stop Motion Love GIF by Mochimochiland

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🔰 Sorti en 2024, Beyond GALAXYLAND, un RPG d'aventure rétrofuturiste !
Rejoignez Doug et Boom Boom, un courageux cochon d'Inde armé d'un pistolet, lors d'une épopée palpitante qui vous fera voyager de planète en planète afin de sauver l'Univers tout entier.
Inspiré des films cultes de science-fiction, Beyond GALAXYLAND est un jeu de rôle et d'aventure intergalactique en 2.5 D qui vous fera voyager au milieu des étoiles.
Incarnez Doug, un lycéen emporté dans le système solaire composé de planètes à explorer de "Galaxyland", et sauvez la Terre tout entière au cours d'une quête épique.

 

Le nom Galaxyland, désigne un ensemble planétaire dirigé par une étrange méga corporation : DreamCore.
La firme en question et sa cheffe, la reine Zéro, revendiquent publiquement vouloir sauver toutes les espèces vivantes de l’Annihilation.
Il s’agirait, selon les médias locaux, d’un danger qui menacerait notre bel astre bleu et d’autres régions de l’univers, faisant ainsi de Galaxyland une sorte d’immense zoo spatial.
À ce titre, l’ambition de DreamCore semble plus que louable, à moins que cela ne serve de prétexte pour dissimuler des objectifs plus nébuleux ?

 

La réalisation de Beyond GALAXYLAND est une vraie réussite grâce au cadrage par défaut de la caméra, puisqu’elle prend de la distance lorsqu’on parcourt des environnements désertiques ou qu’elle zoome sur les héros durant des instants plus intenses en émotion.
Lorsqu’on se pose sur un monde, un petit radar s’affiche en haut de l’écran avec des repères qui aident à voir ce qui se trouve à proximité.
Les éléments tels que les ennemis, les personnages avec qui interagir ou encore les points de sauvegarde sont alors affichés.
Précisons que l’enregistrement de la progression s’effectue manuellement et qu’un échec entraîne un retour au dernier lieu de repos visité.

 

Le jeu propose une aventure riche en activités, alternant entre les phases de plateformes et de combats.
Il existe des petites énigmes pour permettre d’avancer dans les différents niveaux : il faut parfois couper des cordages pour abaisser un pont de fortune, à d’autres moments, c’est une boule d’énergie qu’on doit déplacer afin d’alimenter un portail verrouillé.
Une aventure totalement inédite tandis que vous plongez dans ce jeu de rôle innovant inspiré de grands classiques du genre.
Explorez des jungles luxuriantes, des villes illuminées de néon ou encore des casinos cybernétiques : chaque planète fourmille de personnages intrigants, de redoutables adversaires et de nombreuses autres surprises.

 

Accompagné de Boom Boom armé d'un pistolet et de MartyBot le robot conscient, Doug doit défendre le monde contre une entité surpuissante surnommée l'Annihilation avant qu'elle ne conquière tout l'univers...
Du rire, des larmes, des frissons et de l'amitié, le tout saupoudré de pixels aux couleurs néon : le monde éblouissant de Beyond GALAXYLAND vous attend.
Explorez un système solaire composé de mondes extraordinaires
Des plaines balayées par le blizzard d'Arcos à la forêt tropicale accidentée d'Erros, en passant par les villes néon de Neo et les dunes arides de Xalm, explorez une foule de planètes uniques recelant leurs propres quêtes, énigmes environnementales et personnages hauts en couleur.

 

Explorez les nombreux mondes extraordinaires de Galaxyland au cours de votre aventure pour sauver la planète Terre.
Découvrez une histoire palpitante qui rend hommage à vos films de science-fiction rétro favoris.
Formez un groupe de compagnons variés pour affronter de redoutables ennemis lors de combats au tour par tour.
Capturez les ennemis que vous affrontez, faites-en vos alliés au combat et tirez parti de leurs capacités pour obtenir des bonus.
Fabriquez de nouvelles armures et des consommables pour aider Doug et ses amis lors de leur périple.
Affrontez plus de 25 adversaires craints dans toute la galaxie lors de combats de boss épiques.
Laissez-vous séduire par une bande originale d'un autre monde composée de 50 morceaux éclectiques, allant de l'électro au hip-hop en passant par le blues.

 

Affrontez des adversaires cosmiques lors de combats tactiques au tour par tour
Participez à des combats stratégiques au tour par tour contre de nombreux adversaires galactiques et évitez les dégâts grâce à un gameplay reposant sur vos réflexes.
Chaque membre du groupe dispose de capacités uniques.
Mais vous pouvez également scanner discrètement vos ennemis avant le début du combat afin de découvrir leurs forces et faiblesses et ainsi bénéficier d'un avantage tactique.

 

Chaque planète comporte ses propres dangers, mais aucun d'entre eux n'arrive à la cheville des boss épiques que vous rencontrerez lors de vos voyages interplanétaires : dragons spatiaux, fleurs carnivores et même un béhémoth bionique, l'Intellect omniscient.
Capturez des ennemis afin qu'ils combattent à vos côtés et autres créatures étranges et exotiques qui croisent votre chemin, faites-les combattre à vos côtés et tirez parti de leurs capacités exclusives.

 

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🎃Halloween Game Week 2024🎃
Sorti en 1993 sur le System 32 de SEGA, ALIEN ³ The Gun est un Rail Shooter très jouissif.
C'est l'adaptation de l'univers du troisième film dans un jeu d'arcade, qui lorgne souvent sur les prémices non assouvis des futurs FPS notamment le ALIEN Trilogy sorti en 1996 sur PSone.

 

Les différents niveaux reprennent fidèlement les décors carcéraux cradingues du film.
C'est donc avec sept niveaux aux environnements assez différents qui nous sont proposés.
Ainsi, on se retrouve avec :
Les couloirs de la prison plutôt style ALIENS que ALIEN ³
L'extérieur industriel de la fonderie,
Le réfectoire reprenant la fameuse scène d'enlèvement d'un prisonnier par le plafond,
Et les haut-fourneaux.

 

Sur la borne arcade selon le nombre de joueurs, on a donc un ou deux guns, ressemblent aux Pulse Rifle, vu dans les films Alien, mais en moins bien quand même.
Comme souvent le jeu est bien plus sympa à deux joueurs, une action fortement calquée sur le second film, car je le rappelle, mais dans le film sur Fiorina 161 il n'y a pas d'arme et un seul Alien, en même temps comment reprocher le bonheur coupable de dégommer du Xenormorph par paquet de douze.
Et contrairement aux différentes versions micro et consoles développées par Probe Software qui nous avait pondues un jeu de plateforme passable, ici grâce à la vue subjective l'immersion est plutôt réussi même si on ne guide que le viseur puisque le parcours est tracé.
En fait le seul point commun que partagent toutes ces adaptations est l'abondance d'Aliens, bien loin de l'univers claustrophobe du film où la peur était centrée sur un seul Alien qui semait le carnage dans le pénitencier minier.

 

Les graphismes in-game sont convaincant notamment grâce à des digitalisations des différents Xenormorph et toutes ses phases d'évolution possible.
Rien ne vous sera épargné des œufs qui s'ouvrent, des face-huggers qui se jettent sur votre visage, des chestbursters zizaguant dans les coursives jusqu'à l'Alien adulte et ses coups de mâchoires qui brisent l'écran, action non-stop garanti.

 

Tout n'est pas rose, premier reproche, l'intro comporte de très mauvaises digitalisations noir et blanc style 8 couleurs, et en 1993, on pouvait faire beaucoup mieux surtout pour de l'arcade.
L'action se répète et les couloirs s'enchaînent, les niveaux font place à de nouveaux environnements, mais pas de réelle surprise, et le manque d'originalité est parfois criant comme ce gros tank à la fin d'un niveau ressemblant étrangement à ceux qu'on trouve dans le Shooter Arcade Terminator 2.
Non mais franchement un tank dans ALIEN ³ !!! Mais vous avez fumé quoi chez SEGA ???

 

Pour conclure :
ALIEN ³ The Gun est un bon rail shooter dans l'univers Alien, un poil fainéant, sans réelle surprise, mais avec des graphismes très réussis.
Forcément, avec le recul, on est un poil plus sévère, tirer sur tout ce qui bouge sans avoir une once de choix stratégique, tel est le principe du rail shooter, mais en 1993, c'était le pied de pouvoir dégommer de l'Alien à coup de guns vissés sur la borne.

 

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🎃Halloween Game Week 2024🎃
Sorti en 2012, Resident Evil 6 est en réalité le vingt-et-unième épisode de la saga de Survival-Horror que l'on ne présente plus.


L'histoire prend place entre décembre 2012 et juin 2013, soit quinze ans après les événements de Raccoon City, où un missile tiré par l'armée américaine, avait enrayé la propagation du virus T, mais avait également ravagé la ville.
Au moment où Adam Benford, l'actuel président des États-Unis, décide de révéler l'histoire au grand public, il est infecté par une nouvelle attaque bioterroriste.
Son équipe de protection composée de Leon S. Kennedy (Resident Evil 2 et Resident Evil 4) et sa nouvelle partenaire Helena Harper décident de l'abattre.
Accusés d'avoir assassiné le président, ils sont contraints de fuir et de se cacher, le temps de mener leurs propres investigations.
Au même moment, Chris Redfield (Resident Evil 1, Code Veronica, Revelation et Resident Evil 5) qui souffre de perte de mémoire, et son coéquipier Piers Nivans, tous deux membres de la BSAA (une organisation luttant contre le bio-terrorisme mondial), sont confrontés à une attaque terroriste, utilisant une arme biologique, en plein centre-ville de Lanshiang en Chine.
Enfin, Jake Muller (fils d'Albert Wesker) et la jeune Sherry Birkin (Resident Evil 2) chargée de le protéger, sont quant à eux, coincés en république d’Edonie, située en Europe de l'Est.
Ils doivent quitter le pays face aux agents du BSAA.

 

Au menu de cette aventure, trois campagnes distinctes, celle de Léon, celle de Chris ou encore celle de Jake.
Et avec le système de jeu en coopération, on pourrait presque compter 6 campagnes, car vous pourrez bien évidemment choisir d’incarner chacun des acolytes qui accompagnent les personnages listés plus haut au cours de chacune de leur histoire, en solo ou multijoueur, mais divers éléments à débloquer au fur et à mesure de votre progression pourront encore augmenter la durée de jeu.
Pour ce titre, la trame scénaristique gagne encore en force et se trouve cette fois construite autour de ces trois personnages, qui viendront même à se croiser au cours de leur aventure propre, tout en gardant une mission indépendante directement liée aux récentes attaques bio-terroristes.

 

• Le personnage de Léon aura par exemple à parcourir une aventure plus classique, traditionnelle : vous devrez vous enfuir de la ville tout juste contaminée et aurez à affronter des hordes de zombies fraîchement morts, tout juste vivants, tout en poursuivant une quête de vérité très fidèle au caractère du personnage.

 

• La campagne de Chris se veut plus musclée évidemment : accompagné des membres du BSAA, vous serez chargé de rétablir l’ordre dans les rues d’une ville chinoise aux prises des J’avo, fanatiques vouant un culte à la Neo-Umbrella, qui leur a sûrement fourni de quoi produire leurs affreuses mutations.
La vengeance demeurera pour Chris le motif de la poursuite d’Ada Wong, ayant des liens obscurs avec ces nouveaux laboratoires d’Umbrella et vous entraînera dans une campagne bourrée d’action à la sauce forces spéciales.

 

• La campagne de Jake, fils d’une vieille connaissance, et Sherry se situe à mi-chemin entre celle de Léon et de Chris en termes d’expérience de jeu : Sherry est un agent qui tente de protéger Jake, le dernier espoir de réaliser un vaccin pour sauver le Monde, rien que ça.
Bien entendu, l’armement varie en fonction des personnages.
Ainsi, Léon trouvera sûrement au fil de son aventure le fusil à lunette d’abord lorsque Chris trouvera le fusil mitrailleur en premier au cours de la sienne.
Et bien qu’au final, chaque personnage bouclera sa campagne avec une gamme d’armes quasiment identiques pour chacun, on appréciera les légères variances entre elles, avec des pistolets différents par exemple.
Vous aurez la possibilité pour certaines de vos armes de personnaliser vos munitions, permettant à Léon de se servir de deux pistolets à la fois, à Chris d’utiliser des munitions différentes pour le lance-grenade ou de passer du simple tir au tir en rafale pour Sherry.

 

Resident Evil 6 tente clairement de renouer avec la perfection, et si l’on insiste sur le fait que la perfection n’existe pas, le titre s’en approche tout nettement.
L’ambiance culte de la série est présente intensément dans une aventure inédite, menée par des personnages clés de la saga, joués avec angoisse dans les meilleurs épisodes de la série.
Les clins d’œil sont nombreux mais ne laissent toutefois pas un néophyte au second plan de l’histoire, tant cette aventure vous propulse dans l’action.


La jouabilité diablement efficace implique un jeu porté bien plus vers l’action, mais l’ambiance oppressante de la saga fait très bien son travail et l’angoisse est bien présente.
Plus impressionnant qu’effrayant, Resident Evil 6 et procure au joueur une expérience haletante du début à la fin et n’en déplaise aux puristes de la série, Resident Evil devient clairement un jeu d’action/survie, délaissant le genre survival-horror des premiers épisodes de la série.

 

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J'ai suis tombée dans ma boutique d'occase sur un OVNI pour moi (c'est la première fois que je croise ce jeu en occasion). Vous, vous connaissiez ce jeu ?

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     Il serait sorti en 2015 sur Wii U et aurait été développé par le studio Good-Feel.

C'est un jeu de plateforme où vous incarnez Yoshi tout tricoté de laine comme son environnement. Commence alors une quête à travers les 6 mondes, chacun composé de 8 niveaux, ce qui nous fait 48 niveaux en tout, +les 6 niveaux secrets.

     Pour faire un niveau à 100%, il faudra collecter les 5 fleurs (permettant de débloquer un niveau secret), les 5 pelotes de laine (permettant de débloquer d'autres apparences de Yoshi), toutes les pièces-tampons-bonus au nombre de 20 (consiste à récupérer tous les gemmes) et avoir l'énergie de Yoshi au maximum.

Ce qui pousse à refaire les niveaux pour trouver ce qu'il nous manque.

Et bonne nouvelle, on peut y jouer en collaboration à 2 joueurs.

     Yoshi a un mode lévitation quand il est en mode Relax.

     On peut gober les ennemis à coup de langue (d'ailleurs j'aime les petits bruitages du Yoshi), ce qui créé, une fois digérée, une pelote de laine derrière lui quand on oriente le stick vers le bas juste après le coup de langue. Yoshi peut aussi leur sauter dessus mais là on ne récolte pas de pelote de laine.

     Ces pelotes sont utiles pour révéler des nuages (avec un point d'interrogation au centre) transparents ou pas, qui libèrent des items ainsi que pour faire apparaître des plateformes seulement esquissées par un contour en fils de fer qui se retricotent.

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Yoshi pourra aussi se frayer un chemin avec un coup de langue en détricotant la laine lorsqu'il croise un petit noeud de celle-ci.

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Yoshi peut également viser pour projeter une boule de laine qui détruira, par exemple, certaines cases cassables libérant ainsi un chemin ou même s'en servir de projectile.

     Le décor est magnifique : toutes ces couleurs chamarrées font plaisir à l'oeil' et le jeu est agréable à jouer et surtout ces petits bruits de Yoshi quand il plane, tire la langue etc. me régalent. 

 

     N'hésitez pas à me faire part de votre expérience si vous avez déjà parcouru ce jeu (Il y a surement des aspects que je n'ai pas révélé comme le chien : je suis au début du jeu).

Une vidéo est peut-être plus parlante...

 

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🎃Halloween Game Week 2024🎃
Sorti en 2009, Brütal Legend fait parti de ses jeux développés avec plus de passion que les autres !
Tout droit sorti de l’imagination de Tim Shafer, à qui l’on doit l’excellent Psychonauts.
Brütal Legend mettant l’emphase sur le Metal et nous embarque avec son casting de rêve.
Pour commencer, on a confié au célèbre Jack Black le soin d’incarner le protagoniste.
Et quelques têtes marquantes de la scène Heavy Metal font leur apparition, notamment Ozzy Osbourne et Lemmy Kilmister, respectivement fondateurs des groupes Black Sabbath et Motörhead.

 

En bref, tout semble réuni pour faire de ce jeu d’action mêlé de stratégie en temps réel, s’offrant un monde ouvert alors que nous ne sommes qu’en 2009, un véritable indispensable pour tout fan de Metal et d’expériences vidéoludiques.
Pourtant, le titre n’a pas fait grand bruit, et est rapidement tombé dans l’oubli le plus total.
Aujourd’hui, pour ce 3ème jour de la Halloween Game Week 2024 voyons ensemble de quoi il en retourne vraiment.

 

Tout commence par une séquence vidéo tournée chez un disquaire américain.
L'acteur Jack Black nous entraîne dans les linéaires du fond, à la recherche d'un article aussi rare que mystérieux.
Après un moment de doute, il finit par retrouver le précieux objet.
Il s'agit d'un disque vinyle intitulé Brütal Legend.
Cette entrée en matière aussi séduisante que décalée aurait pu être réalisée par Michel Gondry s'il œuvrait dans le jeu vidéo.
Absolument exemplaire, elle laisse augurer du meilleur pour la suite.

 

Quiconque connaît un peu les arcanes du monde de la musique ne pourra qu'apprécier la justesse du propos, que l'on pourrait résumer ainsi : les hommes de l'ombre bossent sans relâche pour des stars ingrates, qui ramassent sans effort l'argent et les fans.
Comble du malheur pour Eddie, un élément de décor s'écroule sur lui et le laisse pour mort.
Mais par un subterfuge scénaristique qui ne sera pleinement compréhensible qu'en fin de jeu, le technicien se réveille dans un étrange monde médiéval fantastique, ou plus exactement Metal fantastique !

 

Les décors sont en effet parsemés d'éléments hérités de la culture rock.
Amplis électriques, bus de tournée et pantalons en cuir côtoient pentacles sacrificiels, armes rudimentaires et montagnes d'ossements, sans jamais que ces anachronismes ne choquent.
Bien au contraire, l'univers se révèle d'une grande force et d'une parfaite cohérence, pour peu qu'on accepte l'idée initiale d'un monde 100% Metal.

 

Tout ou presque nous ramène à ce mouvement musical, à commencer par la bande-son qui aligne les groupes cultes, notamment des années 70's et 80's.
Black Sabbath, 
Cradle of Filth,
Judas Priest,
Manowar,
Marilyn Manson,
Megadeth,
Ministry,
Motley Crue,
Motörhead,
Ozzy Osbourne,
Scorpions...
ce sont plus de cent chansons qui nous attendent !
Cette méga compilation, qui regroupe exactement 108 morceaux et 75 groupes, pourrait justifier à elle seule l'achat du jeu.
D'autant plus qu'on peut facilement se concocter sa propre playlist, à écouter au volant de la voiture qu'Eddie se bricole en début d'aventure.
Mais ce serait mal connaître l'équipe de Double Fine que de les croire capables de se contenter de ce seul argument audio.

 

Les personnages, les environnements, les situations, les dialogues, ainsi que les références au monde de la musique.
On retrouve notamment Ozzy Osbourne en gardien du Metal et Lemmy de Motörhead en guérisseur chamanique, les deux star ayant prêté leur visage et leur voix à leurs avatars virtuels.

 

Arrivé à ce stade, vous êtes en droit de vous demander à quel genre de titre nous avons affaire exactement.
S'agit-il d'un beat'em all ?
D'un jeu ouvert à la GTA ?
D'un jeu de stratégie ?
D'un jeu musical ?
Hé bien, Brütal Legend est un peu tout cela à la fois.

 

En tout début d'aventure, le héros met la main sur Separator, une grosse hache bien tranchante, et Clémentine, une guitare électrique capable de foudroyer les ennemis.
L'utilisation alternée ou combinée de ces deux armes nous plonge en plein beat'em all, avec son lot de démembrements sanglants et d'attaques spéciales dévastatrices.
L'architecture du jeu privilégie quant à elle la liberté de déplacements dans un monde ouvert, où différentes missions principales et secondaires nous attendent.
Voilà une bonne raison de justifier la présence de la Destroymobile d'Eddie et sa radio d'enfer.

 

Dans Brütal Legend, il n’y a pas de place pour tout ce qui est mou, tendre ou mièvre.
Ici, ça dépote grave, aussi bien à coups de tatane, qu’au niveau démembrement à la hache ou encore électrocution à la gratte.
Les tirades débitées par Eddie et ses acolytes sont souvent à mourir de rire et l’ensemble du jeu donne tout simplement envie que celui-ci ne s’arrête jamais.
Les quelques défauts qui peuvent apparaître sont lessivés par la qualité globale du jeu.
Seuls, peut-être, les réfractaires au Metal ne l’aimeront pas, mais s’il doit y avoir un jeu qui rend hommage à ce monde musical, c’est bien Brütal Legend.

 

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il y a une heure, Aflow a dit :

Salut @akumasan ! Ca va ?

Dis... tu connaissais toi, le jeu que j'ai présenté plus haut : Yoshi's Woolly World.

Je suis curieuse de savoir si tu connais -j'ai l'impression que ce jeu n'est pas très connu, non ?

Coucou ma chère Aflow, je vais très bien merci, quoi que, en cette période, je n'ai pas beaucoup de temps a consacrée à RomStation.

Oui je connais Yoshi's Woolly World que j'ai toujours appeler le : Little Big Planet de chez big N" tant les ressemblances avec le titre de SONY son évidente. 

Nintendo a juste changer l’aspect carton de LBP pour de la laine. 

J'y ai pas beaucoup jouer car il y a que mon frère qui avait investi dans une Wii U et dans cet opus à cette époque.

Mais le soft reste un jeu plutôt agréable a jouer, du moins dans mes souvenirs. ^^

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🎃Halloween Game Week 2024🎃
Sorti le 18 octobre 2024, RETROREALMS : Halloween & Ash Vs. Evil Dead sont deux jeux d'action plateforme arcade en 2D Pixel Art de très bonne facture, développé par WayForward.
Lorsque vous démarrez le jeu, vous vous retrouverez dans un environnement 3D avec deux bornes d'arcade à votre disposition.

 

HALLOWEEN :
Sur la droite, se trouve la borne Halloween, avec le masque de Shattner lui-même, Michael Myers.
Une particularité de ce titre est que vous pouvez jouer à travers les mêmes niveaux que le personnage de Jamie Lee Curtis, Lauri Strode.
La campagne principale est celle de Michael Myers et vous permettra de vous frayer un chemin à travers une douzaine de niveaux inspirés de la franchise.

 

Michael Myers peut manier son couteau, débloquer divers mouvements pour le manier de manière plus cool et obtenir des capacités à distance dépendantes du niveau s'il tue des personnages « innocents » avant qu'ils ne puissent sauter hors de l'écran.
Le principe de l'histoire est le même dans les huit campagnes, avec un puissant démon qui a pris le contrôle des mondes d'Halloween et d'Ash, et qui a laissé derrière lui un œil qui vous permet de passer de l'un à l'autre.

 

En appuyant sur le bouton (B), vous pouvez entrer dans le royaume démoniaque pendant une courte période, où de nombreux démons effrayants attendent de vous détruire.
Ce titre est de la vieille école dans le sens où une fois que vous avez perdu tous vos cœurs, vous revenez au dernier point de contrôle, dont il y en a deux à trois par niveau.
Le premier est littéralement au début, le deuxième à mi-chemin, et dans les niveaux de boss, vous pouvez passer au point de contrôle juste avant le combat final.

 

Pour ses Boss, le jeu adore utiliser des attaques à distance hors écran et des ennemis frénétiques qui courent et que les commandes ne peuvent pas bien gérer.
Michael obtient l'ensemble de la collecte de monnaie à chaque niveau.
Vous êtes encouragé à les rejouer pour obtenir tous les objets spéciaux par personnage : des citrouilles pour Michael Myers.
Ceux-ci vous donnent un score supplémentaire à la fin de chaque étape, ce qui vous donne plus de monnaie pour alimenter le dit personnage.

 

ASH Vs. EVIL DEAD :
Sur la gauche se trouve la borne, Ash Vs. Evil Dead, proposent une nouvelle série de niveaux mettant en scène Ash et Kelly de la série télévisée STARZ qui donne son nom à cette borne arcade.
Pour Ash, comme dans les films, a son bras tronçonneuse et son fusil à double canon.
Comme avec Michael, vous utiliserez (X) pour une attaque rapide, vous le maintiendrez pour un mouvement sous tension (ici un fusil à pompe) et vous obtiendrez diverses armes à distance à chaque étape.
Kelly utilise un attendrisseur à viande pour le corps-à-corps et avec (X) sous-tension un fusil d'assaut.

 

Le scénario est similaire ici, avec le démon Overlord qui provoque Ash pour qu'il se batte pour lui, et vous traverserez différents niveaux inspirés de la franchise Evil Dead.
L'histoire de Kelly se déroule après celle d'Ash et la voit traverser les mêmes niveaux que Lauri et Michael Myers.
Le hic, c'est que chaque personnage a une campagne dans chaque jeu.
Cela signifie huit campagnes au total à parcourir et vos personnages doivent être renforcés encore et encore dans chacune d'elles.

 

Vous obtiendrez une tonne de rejouabilité du titre si vous aimez le gameplay et les décors.
Je n'ai pas aimé devoir réapprendre à maîtriser chaque personnage des deux franchises et j'aurais aimé que mon Michael presque entièrement débloqué vienne dans le monde d'Evil Dead, mais vous pourriez le faire.
Peu importe le personnage ou le jeu, en dehors de Lauri et de son double saut, je n'ai pas suffisamment apprécié le gameplay pour vouloir approfondir les choses, mais, mes débuts sur les jeux m'ont laisser une bonne impression.

 

EN CONCLUSION :
RETROREALMS : Halloween & Ash Vs. Evil Dead a créé deux jeux avec de très jolis sprites.
En plus de son superbe look, on trouve d'excellentes chansons Chiptunes.
Le thème d'Halloween étant l'un des plus emblématiques de l'horreur, il se situe au-dessus d'Evil Dead.
C'était une expérience globale solide, seulement gênée par mon manque de plaisir pendant la durée de ses campagnes.
Le gameplay est sympa, mais j'aurais aimé qu'elles soient plus longues ou qu'elles me permettent de transporter des améliorations entre elles.
RETROREALMS : Halloween & Ash Vs. Evil Dead est un titre long pour un jeu étonnamment long, proposent d'excellentes musiques de style midi.
Parcourez une multitude de niveaux plateforme action terrifiante aux thèmes visuels et sonores empruntés au film Halloween original et à la série télévisée de STARZ Ash Vs. Evil Dead !
Utilisez vos armes et confrontez des versions alternatives démoniaques de personnages phares dans deux jeux distincts réunis dans un seul pack, à relier pour encore plus de fun.

 

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Le 30/10/2024 à 10:13, Aflow a dit :

Salut @akumasan ! Ca va ?

Dis... tu connaissais toi, le jeu que j'ai présenté plus haut : Yoshi's Woolly World.

Je suis curieuse de savoir si tu connais -j'ai l'impression que ce jeu n'est pas très connu, non ?

J'en ai beaucoup entendu parlé quand il est sorti... Pour sa non difficulté... Alors que c'est devenu commun de ne plus avoir de game over mais possible que cette mauvaise pub a vachement enterré le jeu mais pas forcément ses ventes!

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🎃Halloween Game Week 2024🎃
Sorti en 2002, Luigi's Mansion fut développé en interne par Nintendo et le pari est plutôt osé puisque nous n'avons pas affaire à un jeu de plates-formes, mais à un jeu d'aventure, prenant comme héros un Luigi qui ne dispose pas de l'aura du grand frère auprès des gamers.
C'est pourtant sur lui que Nintendo a tout misé pour le lancement de la GameCube, et avec du recul, c'était plutôt une bonne idée puisque le soft s'avérait novateur en termes de gameplay, tout en faisant office de vitrine technologique pour la GameCube.

 

La cinématique d'introduction est assez bluffante pour l'époque surtout au niveau de l'expression du visage de Luigi, tant et si bien que l'on se croirait dans un cartoon plus vrai que nature.
De nombreux joueurs sont passés de la Nintendo 64 à la GameCube avec ce jeu et autant dire que le fossé graphique est assez impressionnant.
La cinématique est faite avec le moteur du jeu, Nintendo ne voulant pas mentir à ses joueurs, mais bien leur montrer ce que la GameCube avait dans le ventre.
Un vrai travail d'orfèvre a été abattu sur les effets de lumière, et pour imprimer une ambiance Halloweenesque au titre.

 

En progressant un peu dans l'aventure, vous ferez la rencontre du professeur K. Tastroff.
Ce petit bonhomme à l'allure de savant fou vous racontera que le manoir en question n'est apparu que très récemment et que des fantômes y résident.
Il vous confiera également l'Ectoblast 3000, un aspirateur, petit clin d’œil à Ghostbusters qui permettra à Luigi d'aspirer tous les spectres des lieux.
Il vous offrira aussi un Gameboy Horror qui vous servira à analyser votre environnement et à découvrir les points faibles des gros fantômes.

 

Alors comment se joue-t-elle finalement, cette chasse aux fantômes ?
Eh bien, dans un premier temps, vous devrez paralyser l'ectoplasme à l'aide de votre torche pour faire apparaître son cœur, puis dans un second temps l'aspirer à l'aide de la gâchette analogique tout en tournant le stick C à l'opposé de sa direction.
Certains fantômes ne s'aspirent donc pas du premier coup et vous demanderont un certain temps avant d'être capturés.
Les gros fantômes nécessiteront quant à eux d'accomplir des actions plus recherchées pour pouvoir être avalés par l'Ectoblast 3000.

 

Luigi's Mansion n'est pas un jeu si facile que cela, et le finir à cent pour cent demandera de nombreuses heures de jeu.
En effet, au cours de votre aventure, vous trouverez de l'argent disséminé un peu partout dans le manoir sous forme de pièces, billets ou encore diamants.
Ce pécule sera comptabilisé en fin de partie et vous octroiera un rang.
Atteindre le plus haut rang ne sera pas chose aisée, car vous perdrez de l'argent lorsque vous vous ferez toucher par un ennemi.
Notons d'ailleurs que Luigi possède bel et bien une barre de vie symbolisée par un cœur comptant cent points.
Il est possible de remonter son énergie en fouillant pour dénicher des cœurs, mais ces derniers sont finalement assez rares.

 

Autre point qui améliorera la durée de vie du titre, c'est la chasse aux Boos.
Vous en trouverez un caché dans chaque pièce du manoir et il vous faudra utiliser votre Game Boy Horror pour les dénicher puis ensuite les aspirer.
Certains se cachent plutôt bien et se débattent pour ne pas être mangés par l'Ectoblast.
Ajoutez à tout cela un nouveau manoir (le même en mode miroir) à visiter en new game + avec une difficulté accrue.
Alors certes, il y a pas mal de choses à faire et de challenge, mais le joueur qui voudra juste boucler le jeu sans s'acharner sur les à-côtés le terminera très rapidement puisque l'on compte moins de dix heures pour retrouver ce bon vieux Mario.

 

Sur le plan sonore, le jeu s'en tire vraiment très bien avec une bande son assez rap qui colle parfaitement à l'ambiance du titre.
Les musiques ne sont pas nombreuses, mais le thème principal est pour le moins sympathique et l'on entend même Luigi le chanter et quand il a peur, chose assez comique à écouter.
Bien sûr, il n'y a pas de dialogues à proprement parler, mais on peut appeler Mario à l'aide de la touche (A) ce qui force l'immersion, et le professeur K. Tastroff possède un dialecte bien particulier tout en étant plutôt hilarant.
Les fantômes ont également leurs cris qui sont plutôt bien trouvés, tandis que les bruitages du jeu ne sont pas en reste.

Bref, tout est là pour vous plonger sans ménagement dans l'ambiance si particulière du titre.

 

Pour conclure :
Je dirais que Luigi's Mansion est un bon jeu regroupant une foule de bonnes idées et démontrant parfaitement les capacités de la machine sur le plan technique.
En revanche, on aurait vraiment aimé une plus grosse durée de vie et plus de rythme pour que le jeu soit vraiment au niveau d'un Mario.
Luigi a néanmoins prouvé qu'il pouvait s'imposer lors d'un line-up.
Allez, Mario, ne soit pas jaloux, toi aussi, tu auras ton heure de gloire sur GameCube dans un certain Super Mario Sunshine.

 

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Il y a 2 heures, Aflow a dit :

Salut aku !

Bon choix ! Je le connais celui-là.

Tu pourrais nous faire des vidéo sur Luigi's Mansion 2 et 3 s'il te plaît ?

Salut ma chère Aflow, bonne idée, ça fait un moment que je m'étais dit de me choppé Luigi's Mansion 2 et 3 sur ma Switch.

Dès que je tombe dessus, en occaz, je ferais une vidéo sur ses deux là. ^^

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il y a 8 minutes, akumasan a dit :

Salut ma chère Aflow, bonne idée, ça fait un moment que je m'étais dit de me choppé Luigi's Mansion 2 et 3 sur ma Switch.

Dès que je tombe dessus, en occaz, je ferais une vidéo sur ses deux là. ^^

Est-ce qu'au passage tu pourra expliquer pourquoi Luigi's Mansion 2 est aussi souvent oublié par la plupart des gens?

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Il y a 3 heures, terre7777777 a dit :

Il y à eu plus de 3DS que de Gamecube vendu dans le monde, mais on se souvient quand même du premier.

Comme je l'ai dit dans mon test, si beaucoup de gens ce souviens du 1er Luigi's Mansion, c'est parce-que c'était une vrai vitrine technologique pour la GameCube, car passer de la Nintendo 64, voir même de la PSone à la GameCube avait était une vrai claque graphique, perso je me souviens encore de la première fois ou j'ai jouer à Luigi's Mansion en 2002 !

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