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Mixing Test épisode 3


NIMAI

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Me voici de nouveau de retour pour un nouveau Mixing Test. Cette fois-ci, les choses vont être quelque peu différentes. Ainsi, au lieu de vous indiquer sur quel site il est possible de jouer au jeu dont je vous parle, je vous indiquerais directement la page. Il ne vous suffira plus qu’à cliquer sur le lien. La seconde différence concerne les graphismes. Lors de mes deux derniers Mixing Test, vous avez remarqué que les notes finales étaient justes les moyennes des notes pour chaque jeu, ce qui pouvait laisser des doutes quant à la qualité de chacun des jeux. Ce problème ne se posera plus car maintenant, chaque jeu aura ses propres notes (avec ses propres commentaires, bien sûr). C’est donc parti pour ce nouveau Mixing Test, à savoir, le troisième.

Flight, un jeu d’avion en papier

flight-le-jeu.png L'écran titre du jeu

Il ne vous ait jamais arrivé de plier une feuille de certaines façons pour lui donner la forme d’un avion en papier et ensuite de lancer cette feuille? Ne le nier pas, nous l’avons tous fait durant notre enfance (d’ailleurs, il m’arrive encore d’en faire aujourd’hui…). Un développeur a eu la magnifique idée d’en créer un jeu. Dans Flight, le but du jeu sera simple : vous devrez lancer en l’air votre avion en papier, puis celui-ci devra aller le plus loin possible de son point de lancer. En plus de cet objectif très basique, vous pourrez (ou devrez) ramasser un maximum d’étoiles à l’écran. Ces étoiles correspondent à de l’argent qui, lui, vous servira à améliorer votre avion et son environnement. De plus, vous découvrirez également (en plus des étoiles) des oiseaux en papier volant agréablement dans le ciel. Si vous en récupérez un, vous obtiendrez un multiplicateur de gains. Et si vous attrapez plusieurs oiseaux avant que le multiplicateur ne disparaisse, ce multiplicateur augmentera encore plus pour vous donner encore plus d’argent. Après chaque lancer, vous pourrez donc améliorer votre avion ou son environnement (le vent, les étoiles, les oiseaux, etc…). 15 améliorations vous sont disponibles et chacune d’entre elles est, bien sûr, accessible à un prix différent. Vous allez donc devoir améliorer votre avion pour que ce dernier aille toujours plus loin pour remplir votre objectif. Car oui, il y a un objectif dans ce jeu. Il vous faut simplement parcourir un certain nombre de mètres en plusieurs essais qui s’additionneront. Une fois l’objectif atteint, vous aurez droit à une petite cinématique puis vous changerez de décors. Et ce, jusqu’à la fin du jeu. Pour ceux qui auront grandement apprécié le jeu et qui voudront y rejouer, sachez qu’il y a également des défis à remplir (comme atteindre une certaine vitesse, ou une certaine hauteur, ou récolter un certain nombre d’étoiles, etc…).

flight.jpg I believe I can fly

Le jeu est disponible à cette page : http://armorgames.com/play/7598/flight

Graphismes : 13/20 Le jeu n’est pas très détaillée et par ailleurs, les quelques cinématiques sont moches et il s’agit juste d’images entrecoupées.

Jouabilité : 16/20 Ce jeu est simple à jouer : vous lancez l’avion avec la souris et vous attendez. Bien sûr, d’autres touches vont se rajouter au fur et à mesure que vous améliorerez votre avion.

Durée de vie : 13/20 Le jeu est court : vous mettre entre 1 et 2 heures pour le terminer. Heureusement, il est addictif et, de plus, il existe quelques défis à relever. De quoi rehausser la durée de vie.

Bande-son : 11/20 Peut-on parler de bande-son propre? Il n’existe ici que deux musiques et quelques bruitages et malgré que les musiques collent bien à l’ambiance, leur répétitivité fera qu’on finira par s’en lasser.

Scénario : -/20 Il n’existe pas de scénarios à l’état pur, cependant, les quelques cinématiques qui parsèment le jeu vous feront peut-être réfléchir un peu…

Note générale : 14/20 Flight est un jeu sympathique qui vous fera voyager un court instant de votre vie. Puis, quand vous aurez terminé le jeu, vous retournerez à vos vies monotones tout en vous disant : «Tiens, et si j’essayais, moi aussi, de lancer un avion en papier?»

Demons vs Fairyland, ou le kidnapping d’enfant n’est pas forcément une mauvaise chose…

DemonsvsFairy-0.jpg

L'écran titre du jeu

Vous connaissez tous (ou presque tous) le tower-defense. Ce genre de jeu ne fait pas seulement fureur sur les smartphones mais aussi sur le Web. Le but d’un tower-defense est d’empêcher que vos adversaires parviennent à remplir leur objectif (la plupart du temps, détruire votre QG) en suivant un chemin défini. Pour cela, vous allez devoir placer des tours et des unités à côté du chemin qu’emprunteront vos ennemis pour tuer ces derniers. Dans Demons vs Fairyland, ce sont les enfants du pays Fairyland (le pays féérique) qui se sont fait enlevés par les démons. Leurs parents, remarquant cela, vont poursuivre les démons qui tentent de retourner chez eux. Vous allez donc devoir empêcher que les parents de Fairyland ne ramènent leurs enfants chez eux. Trois unités vous sont donc disponibles : la première est une Bicoque Hantée, créant des squelettes qui viendront sur le chemin qu’emprunteront les parents pour les provoquer en duel. La seconde et la troisième unité sont la Tour de Guet et le Bassin de la Bête. Ces deux unités sont de simples tours, elles diffèrent juste dans leur attaque et leur rapidité (la Tour de Guet étant plus rapide et le Bassin de la Bête, plus fort). Chaque unité compte de l’argent, cependant, ne croyez pas que vous pourrez les placer librement sur la carte. Chaque unité ne pourra être créée que dans la zone d’effet d’un certain bâtiment (ainsi, la Bicoque Hantée ne peut être construite qu’à côté d’un Cimetière). Vous allez vous rendre compte également que les bâtiments disponibles pourront être améliorés et ce, grâce à un système de niveau. Vous pourrez augmenter le niveau d’un bâtiment lorsque vous aurez amassé suffisamment d’argent (argent que vous gagnez en tuer vos ennemis). Enfin, à partir d’un certain niveau, vous pourrez spécialiser vos unités (mais je ne vous en révèle pas plus là-dessus). Des sorts vous sont également disponibles. Ils sont au nombre de trois et ont tous une utilité différente. A chaque fois que vous terminerez un niveau, vous obtiendrez un certain nombre d’étoiles qui déterminera votre rang sur ce niveau et surtout, le nombre de points d’expérience que vous gagnerez. Et qui dit expérience, dit niveau. Et à chaque fois que vous augmenterez un niveau, vous obtiendrez trois points de compétence qui vous permettront d’améliorer une unité, un bâtiment ou un sort ou même de vous octroyez un bonus concernant les enfants de Fairyland.

screen1.png

Confrontation dans 3... 2... 1...

playdvf2.png

Vous avez le droit de dire qu'il s'agit d'un beau bordel...

Ici, le trailer du jeu : https://www.youtube....i7pwWI

Le jeu est disponible ici : http://armorgames.com/play/14430

Graphismes : 15/20 La pixellisation du jeu profite vraiment à ce dernier (en plus de profiter à nos yeux). On peut toutefois noter des ralentissements (notamment lorsque vous lancez le sort de feu).

Jouabilité : 18/20 L’excellent système de bâtiments et d’unités fera que vous devrez gérer efficacement votre argent et vos attaques pour ne succomber sous les attaques ennemies. Le système d’upgrade permet de jouer différemment selon les situations.

Durée de vie : 18/20 Le jeu ne comprend que 12 missions. Cependant, vous pourrez rejouer à toutes ces missions en dosant vous-même la difficulté. De plus, vous aurez des objectifs à atteindre si jamais vous avez fait tous les niveaux en très difficile.

Bande-son : 17/20 Il n’y a que trois musiques pour le champ de bataille cependant celles-ci sont tellement belles que l’on n’hésite pas à les réécouter. Les musiques de menu sont un peu plus anodines mais respectent bien l’ambiance du jeu.

Scénario : -/20 Le scénario sert plus de prétexte mais on se pose tout de même quelques questions notamment : «Pourquoi les démons ont-ils kidnappé tous les enfants?»

Note générale : 17/20 Ce jeu est addictif et plaira vraiment aux amateurs de stratégie et de tower-defense. Les niveaux sont bien faits et vous aurez un plaisir fou à placer vos unités sur le champ de bataille et les regarder tuer vos ennemis.

Mushroom Revolution… Encore un tower-defense?

mushroom-revolution_1_big.jpg L'écran titre du jeu

Puisque nous sommes parti sur la lignée des tower-defense, autant continuer. Mushroom Revolution se rapproche beaucoup plus d’un tower-defense classique que Demons vs Fairyland, cependant, ce jeu intègre quelques éléments qui font qu’on l’apprécie. Tout d’abord (et comme le titre l’indique), vous dirigez des champignons qui ont décidé de… eh bien, on en a aucune idée vu qu’on vous lance dans le jeu sans aucune indication scénaristique. D’ailleurs, aucun tutoriel n’est là pour vous aider. Heureusement, le jeu est simple à prendre en main : vous placez les champignons où vous voulez et vous attendez qu’ils attaquent. Le prix ne bouge pas au fur et à mesure que vous en placez donc profitez-en. Vous pouvez les placer où vous voulez car il n’y a aucun quadrillage. Les seuls endroits où vous ne pourrez pas placer vos unités seront les endroits où un objet est déjà posé. Bref, revenons à nos champignons. Il vous sera possible d’augmenter le niveau de vos unités pour booster leur portée et leur attaque (vu qu’il s’agit des deux seules statistiques du jeu). Et c’est maintenant que nous rentrons dans la partie la plus intéressante : les éléments. Ils sont au nombre de 5 et ne s’active qu’en achetant une gemme. Chaque gemme correspond donc à chaque élément. Une fois que vous aurez équipé l’une de vos unités d’une gemme, certaines de ses stats augmenteront mais surtout, cette unité obtiendra un boost de dégâts sur certains ennemis doté d’un élément particulier. Prenons un exemple : vous achetez un rubis puis vous l’équipez à l’un de vos champignons (ceux dans le jeu, pas ceux des pieds). Ce champignon sera donc de l’élément feu puis arrive un ennemi doté de l’élément terre. Voter champignon enflammé va se voir avoir une attaque supérieure face à cet ennemi que face aux ennemis habituels. Attention cependant car cet avantage peut vite devenir un défaut : en effet, il suffit qu’un monstre de type eau arrive et votre champignon n’infligera plus que la moitié des dégâts habituels. Un autre avantage du jeu se situe dans l’upgrade. Comme dit précédemment, vous pouvez améliorer vos champignons en augmentant leur niveau. En plus de bénéficier d’une augmentation de statistiques, le champignon qui a vu son niveau augmenter obtiendra aussi un nouveau slot dans lequel il pourra mettre une nouvelle gemme. Et si vous combinez deux gemmes différentes, cela vous procurera un bonus pour votre attaque (attaque empoisonné, de zone, confusion, ralentissement…).

ScreenHunter_01Feb151223.jpg

Attention! Les champignons nous envahissent!

Le jeu est jouable ici : http://armorgames.com/play/3271

Graphismes : 13/20 Le jeu n’est pas très beau mais il se permet de ne pas avoir de ralentissements, ce qui est déjà une bonne chose en soi.

Jouabilité : 16/20 C’est surtout le système des éléments qui rend le jeu bon. Attention, ce jeu est plus réservé aux personnes étant un poil stratège car le jeu, sans être véritablement difficile, n’est pas vraiment accessible.

Durée de vie : 17/20 Dix niveaux à faire. Cela peu paraître court mais ne vous y fier pas car chaque niveau doit être refait trois fois pour être entièrement terminé. Sachant que vous pouvez passer une heure sur un niveau, à vous de calculer combien cela fait.

Bande-son : 12/20 Le gros problème de ce jeu : seulement 2 musiques. Une pour les niveaux l’autre pour les menus. Dommage qu’il y en ait aussi peu et qu’elles soient aussi répétitives. Vous stopperez rapidement la musique et mettrez la votre à la place.

Scénario : -/20 Il n’y a aucun scénario et ça ne change rien à l’appréciation globale du jeu.

Note générale : 15/20 Mushroom Revolution a presque autant d’avantages que de défauts. Mais heureusement ce sont ces premiers qui priment. Le système des éléments est original, intuitif et bon. Et tant mieux car sans lui, on s’ennuierait vite.

Continuity, un jeu avec un titre se voulant explicite

Encore aujourd’hui, il n’existe que peu de jeu de plateformes-réfléxion et quant un jeu tente de nous montrer ce genre, ce n’est pas forcément avec une bonne volonté. Cependant, avec Continuity, la bonne volonté est présente et est même grandement présente. Continuity vous demande tout simplement d’aller à une porte pour terminer le niveau dans lequel vous êtes. Pour cela, vous devrez récupérer une clé cachée dans le niveau. Et c’est là que Continuity devient original car la clé n’est pas forcément dans la partie où vous êtes. Vous devez savoir que chaque niveau de Continuity se divise en plusieurs parties et que pourrez déplacer ces parties pour créer des chemins qui vous permettront d’avancer dans le niveau. Il existe donc 2 phases dans chaque niveau : l’une où vous contrôlez le personnage et l’autre où vous déplacez les parties. Les niveaux sont nombreux et certains vous demanderont de réfléchir car, si l’on voit facilement où se situe la ou les clés, il n’est pas toujours aisé d’y accéder. Enfin, on peut noter que le jeu en doté d’une seule musique jouée de deux façons différentes. Lors de la première phase, elle se veut mouvante (comme le personnage) et lors de la deuxième phase, elle est calme et douce.

continuity.png Réflechissez...

continnuity.png Encore un autre...

Continuity+flash+game+115B315D.jpg Allez, un petit dernier pour la route...

Le jeu est jouable à cette adresse : http://www.stickpage...ygameplay.shtml

Graphismes : 15/20 Rien de plus simple mais que demander de plus? Les graphismes sont très basiques mais s’adapte parfaitement au jeu. Et puis, quand on le compare à certains jeux qui tentent d’être beau et qui se plante, on est d’avoir aussi peu.

Jouabilité : 17/20 En un mot : original. Le concept est très bien trouvé et surtout le level-design (à savoir à quoi ressembleront les niveaux) est très bien choisi.

Durée de vie : 14/20 Le jeu est court (vu qu’il ne comporte que 31 niveaux) cependant vous allez certainement rester bloqué sur quelques niveaux (encore plus si vous n’aimez pas trop réfléchir).

Bande-son : 16/20 Une musique, remaniée deux fois, pour un résultat superbe. La musique lors de la phase où vous déplacerez les pièces vous transporte littéralement dans un autre monde.

Scénario : -/20 Aucun scénario et même la fin du jeu est basique. Aucune cinématique n’intervient dans le jeu et c’est tant mieux car cela aurait pu casser le rythme lent du jeu.

Note générale : 16/20 La principale raison de cette note, c’est la musique. Ensuite, vient le gameplay. C’est bien la seule fois où un jeu qui ne s’était pas du tout concentré sur la musique arrive à en faire d’aussi belle…

Rediculas, le jeu d’action-plateformes qui vous permettra d’apprécier la vie comme elle est…

L’action-plateformes vous connaissez (Sonic). Le run’n’gun vous connaissez (Metal Slug). Mais connaissez-vous le genre de jeu situé entre ces deux derniers?

«Non car il n’existe pas», me direz-vous.

Et pourtant, un développeur l’a fait et ça a donné Rediculas. Dans ce jeu, vous allez pouvoir traverser des niveaux tout en explosant les adversaires qui passent à la portée de votre arme. Lorsque vous commencez le jeu, vous pouvez choisir entre 2 options : l’aventure et le survival. Le premier mode va donc vous demander quelques skills car il n’est pas si facile. Vous devrez donc vous rendre d’un point A à un point B tout en essayant de rester en vie (donc en essayant de tuer tous les ennemis que vous croiserez). Pour cela, de nombreuses armes vous seront disponibles comme par exemple le Freeze Gun ou encore les Cocktail Molotov. Notez que chaque arme a des munitions, même le pistolet. Une fois que vous êtes à sec, c’est par vos poings que devrez prouver de votre habileté. Comme dit depuis le début, des ennemis seront présents sur la carte pour vous empêcher d’avancer. Ces derniers sont nombreux et l’on pourra s’amuser à jouer avec le grand-père dans son fauteuil roulant alors que l’on pourra pleurer face aux énormes ennemis dotés de lance-roquettes. Le deuxième mode (le survival) est, quant à lui, beaucoup plus simple. Non pas que les ennemis sont moins difficile à battre (ce sont les mêmes et reviennent sans arrêt) mais les armes s’obtiennent beaucoup plus facilement. C’est simple, il suffit de ne faire que quelques pas pour découvrir une arme. Prenez-la, attendez un peu et une autre arme apparaîtra au même endroit. Le survival se divise en 10 niveaux et, pour terminer chaque niveau, vous devrez tuer un certain nombre d’ennemis. Ce nombre augmente au fur et à mesure que vous changez de niveau.

rediculasgame.jpg Expicite, non?

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Et un mort de plus, un!

rediculas.jpg L'un de ses fameux papis handicapés...

Le jeu est disponible sur ce site : http://www.stickpage...sgameplay.shtml

Graphismes : 14/20 Aucun fond d’écran, des décors uniquement en blanc, un liquide uniformément violet (pour dire qu’il est dangereux) et des personnages et armes pas très bien modélisées. Cependant, on se fiche absolument des graphismes lorsque l’on joue à ce jeu, la seule chose qui nous intéresse est de remplir l’objectif demandé. Et puis, il n’y a aucun ralentissement.

Jouabilité : 16/20 Le mixage entre action-platesformes et run’n’gun est juste excellent. On prend un plaisir fou à tuer ses adversaires et, en même temps, on sait très bien que l’on doit faire attention à sa santé (qui baisse rapidement).

Durée de vie : 17/20 Le jeu n’est pas vraiment long : seulement 20 niveaux. Mais si la moitié d’entre eux se fait en un quart d’heure (le survival), l’autre moitié va être très longue à terminer. De plus, les niveaux de l’aventure sont longs (et c’est bien ça qui va faire que vous allez fréquemment mourir).

Bande-son : -/20 Aucune musique n’est présente dans le jeu. Bien sûr, j’aurai pu noter les bruitages mais l’auriez vous fait, vous?

Scénario : -/20 On vous demande juste de terminer le survival et l’aventure, c’est tout, ne cherchez pas plus loin.

Note générale : 16/20 Rediculas est un excellent jeu qui vous fera souffrir sans vous ayez à vous plaindre du jeu. Recommencer encore et toujours le même niveau, ça vous fait pas penser à un autre genre de jeu? «Si! A du die’n’retry!» Rediculas en conserve quelques approches et nous en fait profiter.

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